Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

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Message par Invité Sam 12 Sep 2015 - 12:09

J'aime bien la dernière photo, ce bleu et cette... Comme une promesse. Dent pétée

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Message par Invité Dim 13 Sep 2015 - 2:18


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Message par Numero6 Dim 13 Sep 2015 - 10:46

@Nicolas, suis parti me faire chouper le Choupa dans ch'Nord.

On verra bien si les sous-Douais tiennent leurs promesses.

Procès-verbal et non-verbal suivent.
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Message par Invité Dim 13 Sep 2015 - 10:51



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Message par Invité Dim 13 Sep 2015 - 10:55

@Nicolas, suis parti me faire chouper le Choupa dans ch'Nord.
Passe par chez moi au retour !!!
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Message par Invité Dim 13 Sep 2015 - 12:17

Pour les voyageurs du jour, motivé par l'amuuuurr:

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Message par Invité Mer 16 Sep 2015 - 7:09

tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue tongue pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat pirat Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Wink Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz Razz

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Message par Invité Jeu 17 Sep 2015 - 13:09

Numero6 a écrit:@Nicolas, suis parti me faire chouper le Choupa dans ch'Nord.

On verra bien si les sous-Douais tiennent leurs promesses.

Procès-verbal et non-verbal suivent.

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Message par Numero6 Jeu 17 Sep 2015 - 18:27

Le K.

Et voilà, je devrais faire des courses, le frigo et les placards sont vides, au lieu de ça, je me légumise devant un clavier.

J'en parlais l'autre soir au Bowling à Dino, dans toute bonne histoire ce qui compte ce n'est pas l'histoire elle-même, c'est son point de départ. Le patron du bowling Buzatti me clignit de l’œil d'un air complice, et me labouru l'estomac avec son coude gauche (ou droit, tout dépend si vous étiez en train de louer vos chaussures ou de les rendre au guichet), empli d'une fierté paternelle.
Tout jeune déjà, Dino avait saisi l'arnaque la plus profitable du monde des arts et lettres, laisser le lecteur faire le boulot. Une situation absurde dés le départ, et hop, tu embarques le myope tout excité par l'étrangeté de ton paradoxe. Après tu déroules à la langoureuse, surtout pas de rebondissements, rien qui pourrait perturber l'hypnotique transe de la lectrice, échappant pendant quelques instants à la tyrannie voluptueuse de ses descendants géniaux (alors que, hein, quelqu'un qui s'annonce en commençant par te défoncer le cul à la Taras Boulba dans les steppes de l'Asie Centrale, tout être doué de raison développerait une salutaire méfiance, c'est pour cette raison que notre Créateur en fut réduit à en confier l'accueil aux femmes).

Contrairement aux idées à la mode, moins t'en mets plus elles aiment. Plus c'est vide, plus elles peuvent voleter dans les éthers immatures de leurs rêveries. Dino pensait que l'arnaque ne pouvait pas durer quand il a racheté sa chaine de bowling, il redoutait l'explosion de ses bulles spéculatives du Grand Vide. Et Dino, il rigole souvent, mais jamais avec le pognon, ler dernier qui lui a fait payer une tournée est en train de méditer dans l'Hudson avec une paire de brodequins en ciment aux pieds.

Au volant d'une bagnole dépourvue d'une centaine de boutons, tour de contrôle de la multitude d'options et d'équipements, reflets manquants de ses capacités à dompter la technologie, il se sent misérable l'homme, minable utilisateur fonctionnel d'un véhicule roulant, clochard contraint au dépouillement du sans-dent. L'homme n'est qu'un contribuable façonné par la sueur et les larmes, une parodie d'humain, sans son prolongement biomécanique.
Pour une femme, la voiture idéale n'accueille qu'un seul bouton, si possible élégant, souvent rose, l'idéal absolu étant que madame puisse choisir la couleur. Du bouton. L'important c'est elle, pas la voiture.

C'est ce que je me disais à la lecture du conte Berbère du radis du Chacalinuuu du forum. La sagesse des nations porté par ces contes populaires, cette fois-ci la tempérance en actes et en paroles, utilisent la même méthode que celle de l'avaricieux Dino, le point de départ, celui qui n'est pas discuté pour pouvoir suivre, le postulat initial, le vrai message.

Tempérance, sagesse, sur un forum de zèbres je ne vois pas plus efficace pour faire fuir mes futures maitresses, en dehors de l'Intelligence, point de salut. L'Intelligence comme l'oreille, Absolue, totale, en un mot : parfaite. Comme le bouton sur la bagnole, l'Unique qui commande à l'univers, j'effleure mes arborescences et la vérité révélée émet le Son Parfait. Toutes les autres sont des pétasses maquillées à la truelle.

C'est sur qu'il ne faudrait pas trop de Hobb ici. Quand la gazelle de Thomson s'astique l'arbo astronomique et quantique après la lecture de La vie sexuelle d'Hubert Reeves, il aurait un peu tendance à faire son mesquin le Hobb. La biche quantique s'emmêle les pinceaux dans ses cordes, se paye un down avec l'effet tunnel, irradie de la foutaise comme un discours holistique et... se pââme. Le Hobb c'est une brute, l'empêcheur de se branler en paix. Au lieu d'encourager le tripotage de nouille par de petits soupirs extasiés, toute son intelligence rudimentaire refoule du goulot, brise l'entrain.
Il commet l'irréparable, il dénie le point de départ, solide sur les appuis et dur au mal, l'arbo en fusion extatique aurait plutôt tendance à lui courir sur le frein comme autant de fourmis formolisées. On peut envisager, certes, mais d'autres ont essayé, ça ne marche pas. Epicétou.

Oui mais, on aurait dit que l'Univers était une banane non-courbe dont les extrémités resteraient bi-potentielles à l'infini temporel avant un épluchage non-révélateur, le fruit comestible perdant de son ontologie pointue par assimilation à un bi-bout indistinct après l'épluchage. Oh putain, je sens que ça vient, je tiens l'hypothèse du tout, l'allégorie ultime de l'absence d'espace-temps par un dong réversible et fruitier.
Et là, le Hobb te cisaille l'approche de la délivrance comme un coup de fil de ta femme pendant que tu te fais essorer le poireau.
- Beuh, l'étude de Koulalyarstenski de 1538 a bien montré que l'hypothèse bananière ne tenait pas la route, lis un peu mon gars. Quand à la banane non-courbe, je dis ça je dis rien, mais les études de Ploucratès, en 258 ans avant JC, ont écarté cette chimère.

Le discours n'est là que pour noyer le poisson, c'est la main gauche du magicien qui attire ton regard. Tout est dans le point de départ.

Écoutez un débat éternel entre Grandes Surfaces et Petit Commerce. La main gauche c'est le commerce de centre ville, la déshumanisation, le commerce de proximité, la concurrence déloyale, les centrales d'achat. Et pendant ce temps-là, personne ne prête attention au fisting en cours. Le point de départ, LE message délivré reste non discuté : ça coute moins cher en Grande Surface. Ce qui est vrai dans l'absolu, ce qui est faux en réalité, on dépense plus d'argent dans une grande surface.
Et le petit commerce n'aura de pérennité qu'à la condition que toi, obèse épanoui, tu renonces à gaver ton coffre en une seule fois, garé à moins de dix mètres des caisses enregistreuses.
Ces braves gens se contentent de te donner une excuse : c'est moins cher. En filigrane.

Tout est illusion. Tout est dans le point de départ. Dans le conte du Radis, le point de départ c'est un mari qui va se faire trancher l'oreille en allant piquer des radis dans le champ du voisin parce que sa connasse de femme enceinte pleure sa mère pour une envie de radis. Alors que tout le monde s'interroge : pourquoi n'a-t-il pris la peine de lui décocher une bonne baffe dans la gueule pour finir sa nuit en paix ? Voilà le vrai message. Main droite, main gauche. Une pour écrire des conneries, l'autre pour balancer des torgnoles.
Chaque culture à ses fictions. Les amerloques font défiler dans leurs films des bagnoles à des vitesses qui tordraient n'importe quel châssis comme un cul pommelé fait fléchir mon vœu temporaire de chasteté. Dans un pays où l'on se traine la bite dans des caisses à boite automatique, coincé dans des embouteillages monstrueux, c'est speed no limit sur HBO.

C'est comme les histoires du petit français. Dans un pays où le paradigme féminin reste "je suis donc je vaux", ce brave tonitruant du clavier s'évertue à couvrir le chant des sirènes en répétant que non, justement, elles ne valent pas grand-chose. Et, si je ne saurais évidemment lui donner tort sur le fond, sa méthode interpelle. Pourquoi ne pas pousser la porte d'un concessionnaire Mercedes avec 2000 balles en poche et s'accrocher aux basques du premier vendeur disponible pour lui expliquer que ses bagnoles sont des bouzes à roulette ?
Ne pas montrer trop d'empressement devant un commerçant qui attend son premier pigeon de la matinée est une règle ancienne. Ne pas acheter une maison sur le coup de cœur des cinq premières minutes devrait être la règle. Et pourtant on le fait. Persistance cérébrale archaïque de la conquête de l'élément féminin : flatter le produit. Avec distance, avec mépris si possible, avec dédain certainement, parce que le produit aime ça, mais la flatterie constitue l'entrée en matière de la négociation bitale.

Les zèbres se sont contentés de privilégier une des flatteries connues depuis toute éternité, vanter, de la femme, l'intelligence. Et ça, croyez-moi, c'est accessible au premier crétin venu capable de ne pas rire au même moment (éviter par exemple de penser à "La mort ! mais d'abord... Tchi-Tchi !"). Il suffit au départ de se poser en expert de l'intelligence. Pas besoin de se taper un doctorat d’astrophysique ou une école de commerce de rang A, ça c'est pour les puceaux bien braves, les besogneux de la pension alimentaire. Un homme ça doit rester aussi simple d'emploi qu'une bagnole mono-bouton : un homme intelligent est celui qui sait voir l'intelligence des femmes. Le reste, elle s'en foutent à peu près autant que du nombre de culbuteurs ou de vilebrequins qui se cachent derrière le gros bouton rose.
Un seul shit-test à passer : "d'abord, qu'est-ce t'en sais toi ?"
Le plus grand philosophe de tous les temps reste Julio Iglesias. Pendant ce temps-là, les autres mecs se coltinent Kierkegaard et Kant, ces cons.
La fantasme secret de la femme c'est de transformer une insomnie au milieu de la nuit en caméra cachée. Chéri, du haut de mon intelligence intuitive supérieure, je te demande avec amour d'aller me chercher des radis. Ne jamais laisser une femme inoccupée, son principal passe-temps est de foutre la merde ou de dire du mal des copines.

Le point de départ, toujours. Si Hobb limite ses interventions de briseur de rêve de grandeur sublimée de l'arborescence à son registre de la physique, d'autres malandrins sont intraitables sur tous les autres domaines. L'acharnement héroïque du petit français à cracher sur le produit fini, finit par les faire passer de la compassion amusée à l'irritation la plus explosive.

Chez la gent masculine, ce serait du style "si t'aime pas ça, n'en dégoute pas les autres, bordel, on a déjà du mal à se convaincre que ça vaut la peine de les supporter, n'en rajoute pas".

c.
"Truc, va te faire enculer !
Si tu changes de genre tu trouveras chaussure à ton pied."

Le produit ne supportant plus d'être dévalorisé, style "on a déjà assez de mal à leur faire croire qu'on est des princesses" saura à bout de confrontation polie, consensuelle, bienveillante et empathique formuler son point de vue d'une manière concise :

K.
"tout ce qu'il veut c'est un trou avec une femme autour". Aaaaahh, l'androgynie de la surdouée..., ces effluves délicates de testostérone.

Ce qui, vous en conviendrez, messieurs, est totalement faux, ou éminemment féminin, ce qui revient à peu près au même. La vérité masculine, la vraie, c'est : "un trou avec des poils autour", tout le reste aurait tendance à faire un peu chier. Si l'homme a abandonné la chèvre, c'est en raison de son odeur de bouc, la chamelle parce qu'il n'a pas toujours un escabeau sous la main. Si l'homme s'est résolu à se tourner vers la femme et son organe vocal destructeur, cocufiant sa main gauche sans aucun remord, c'est uniquement pour assurer ses vieux jours et avoir une bonne à la maison.

Il se trouve que dans nos sociétés modernes, ce comportement de survie devient suicidaire. Plus tu aimes les chèvres, moins tu as d'enfants, et plus ton patrimoine se garnit. Indesit et Whirpool ont réduit à néant le bénéfice secondaire de la machine à déchirer les cœurs et les tympans. Non, non, un trou, des poils autour pour la déco, ou pas, et roulez jeunesse. Whirpool, sensing the difference.

Petit français, tu te trompes dés le départ, tu idéalises la femme, jeune puceau, erreur, grave.
Moi qui suis l'aboutissement de l'alpha-mâle il me suffit de choisir dans mon cheptel celle qui aura l'honneur de me faire couler un bain et d'aller me chercher une bière. Tu salives ? Tu t'astiques ? Tu en pleures d'assouvissement inabouti ? C'est bien. Tu n'as vraiment rien compris.
Ouvrir un robinet et sortir une bière du frigo, combien de temps dans une journée ?
Tu commences à entrouvrir tes paupières alourdies par le sel de tes larmes ?
Tu viens de considérer un gain de 30 secondes dans ton planning quotidien comme le Graal qui t'échappe depuis toujours. "What a pity", comme ils disent à Delphes.

Diego, mon bon, préparez nos valises, nous partons pour la propriété du plateau des mille-vaches. Ne négligez pas la crème dépilatoire, elle sera utile pour distinguer la brebis qui saura se montrer digne de devenir ma favorite. Gorgez mes Vuittons, mon bon Diego, de pâté Hénaff et de cassoulet La belle Chaurienne, il nous va falloir envisager une disette prolongée, les banques sont en faillite, ils vont nous refaire le coup de l'Argentine ou de Chypre.
Prévenez Pablo de hisser le nouveau gonfanon de notre commanderie templière restaurée avec ce gout exquis qui a fait mon succès auprès des mercières cévenoles. Affichons nos couleurs, publions nos armoiries à l'effigie de la Boite Fendue, frange esurienti expandit labia, qui a faim écarte les lèvres.

Les dirigeants du Monde Libre de l'Europe ex-Chrétienne et Apostolique ont pris la peine de nous guider vers la lumière. La loi est entérinée, elle prendra effet en 2016, les banques en faillite pourront se ressourcer en tapant dans les comptes bancaires des déposants. Et comme le dit mon banquier, le gueux Corbineau, pfff... trois mois, putain, trois mois... pour une fois que ce manant se trouve susceptible d'une anticipation, je crains qu'il ne fasse son mariole.

Paix et félicité. Cet hydre de Bern surnommée femme, au cri strident et aux larmes curarisantes, il vous faut l'imaginer, Diego, l'estomac vide depuis plus de trois jours. Sa tendance naturelle au consensus et à la bienveillance lui fera déchiqueter à coups d'ongles et de dents tout impétrant interposé entre son système digestif et une boite de conserve qui fait péter.
C'est pourquoi, ainsi que pour vous épargner des tentations malsaines mon bon Diego, l'empreinte de la clef du coffre aux conserves a été moulé sur ma bite en érection. Pas d'érection, pas de digestion.
Pour celles qui voudront des radis... elles sauront s'adapter aux circonstances. Programme turlutte contre flageolet.

Et... STOOOOOOOOPPPPP, c'est bon, l'idée d'une boite de pâté Hénnaf me décharge l'insuline et me gonfle les caverneux.

Putain, mais qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour se motiver à la corvée des courses !
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Message par 'C.Z. Jeu 17 Sep 2015 - 19:52

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Message par Invité Jeu 17 Sep 2015 - 22:02

Tu devrais te motiver plus souvent à faire les course, encore ! Bravo ! Respect

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Message par Numero6 Ven 18 Sep 2015 - 10:16

Une tweeteuse a écrit:Quand tu veux sucer un mec le matin venu et qu'il dort sur le ventre
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Message par Numero6 Ven 18 Sep 2015 - 10:20

La plupart du temps je ne sais pourquoi je fais ce que je fais. Ce qui m'offre des réjouissements de gamin quand je constate que ce je faisais n'était pas si con que ça.


[|`\^@]} a écrit:« Lugnasad est l’antithèse de l’Imbolc : c’est la fête de la Satiété, comme l’Imbolc est la fête de la Pureté. L’une célèbre le Plaisir de l’accession au Tout, l’autre le Plaisir du retour au Rien. Et, au fond, c’est une seule et même chose : en français, le Vieux Goði a caché cet Arcane dans le fait que le mot ‘pure’ est la Permutation du mot ‘repu’. » – G. Stjarna Dagansonn
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Message par Invité Ven 18 Sep 2015 - 10:48

Putain, mais qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour se motiver à la corvée des courses !

Tu l'as dit Goofy !

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Message par Numero6 Ven 18 Sep 2015 - 10:55

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:L'idée en gros, c'est de comprendre l'autre pour mieux me comprendre. scratch

Et comment donc votre Majesté Azur !

Le brillantissime auteur de ce fil est incapable d'envisager la moindre de ses réalités tant qu'il n'a pas pu la constater chez un autre.
Une sorte d'accréditation par la constatation, une validation par l'exemple.

Je le vis comme une levée d'écrou.

Tout en voyant ce que cet approche peut avoir de servile, elle reste pour moi la plus efficace.

Les gens me libèrent par ce qu'ils sont ou ce qu'ils font, jamais par les conseils qu'ils délivrent sans compter. Si les conseils avaient la moindre valeur, les gens ne les prodigueraient pas aussi généreusement, à croire qu'ils cherchent à s'en débarrasser.

Un conseil est comme le 06 d'un gay, à ne jamais utiliser. J'y perçois le sodomite qui se dissimule derrière le prosélyte.
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Message par Invité Ven 18 Sep 2015 - 11:01

Numero6 a écrit:
Une tweeteuse a écrit:Quand tu veux sucer un mec le matin venu et qu'il dort sur le ventre

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Message par Invité Ven 18 Sep 2015 - 18:05

Merci ! Merci ! Merci ! Merci ! Merci ! Merci ! Pour Toi

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Message par Numero6 Ven 18 Sep 2015 - 22:04

Telle est la question.


Depuis la difficulté du nouage de lacet jusqu'à ma campagne de lobbying pour convaincre Charlotte que le fructose du sperme ne délivre aucune calorie vergeturienne, il existe des questions dont le sens ne m'échappe pas du tout. Le sens précède la résolution, l'intérêt préside à la démarche. Ce sont les questions "utiles", celles dont le bénéfice de la réponse tant espérée est évident.

Il y a ensuite les questions "péniblement utiles", les contre-intuitives, celles qui demandent un effort, si ce n'est un renoncement à certains algorithmes personnels.
Un grand nombre de personnes se rendent au Mont Saint-Michel, ce qui a immédiatement tendance à me faire fuir l'endroit. Surtout que les témoignages au retour du périple portent sur le confort du bus, les prix exorbitants de l'omelette chez la mère Poulard, l'étroitesse des rues inadaptées au flux touristique.
J'ai la chance de pouvoir me déconnecter le cerveau grâce à mon absence de firewall dans une circonstances très particulière. Sitôt qu'une gazelle en tailleur-pantalon Hugo Boss m'adresse une requête quelconque, la décharge d'épilepsie synchrone provoquée par l'évocation de chacune de ses fesses caressée par la toile délicate à chacun de ses pas me libère de mes considérations rigides. A la pensée d'assister à la symphonie musculaire de ses jambes juchées, de son pas qui se déroule avec insignifiance dans la ruelle pavée et je suis prêt à partir dans le pire endroit pavé de la planète.
Bande de ratiocineurs branlomanes végétatifs, je ne saurais évoquer avec justesse, si je me cantonnais à votre registre de mesquinerie nombrilesque, la pleine puissance de la jouissance ultime à pénétrer la Merveille, à déambuler l'âme offerte dans son cloitre à ciel ouvert, avec en offrande expiatoire un cul merveilleux enluminé par quelques grammes de grand couturier, quelques microns de lycra et, ou pas, le revers d'une dentelle en soie sauvage incrusté par inadvertance dans sa fente complaisante. Le mystère de la chrétienté qui m'explose la tête, agrippé à la merveilleuse et double rotondité de la femelle frissonnante.
J'ai eu cette chance hors du commun de me laisser guider par les culs les plus aboutis vers les emplacements que ma raison m'interdisait d'approcher.

C'est le gros problème de la réflexion que de démontrer la vanité de toute chose.

Alors que merde, le mont Saint-Michel au petit matin, quand les touristes ne sont encore qu'une condamnation à du sursis, c'est le truc le plus sensible que je connaisse, à condition que l'émoi engendré puisse être transcendé par l'hypothèse d'une tendre turlutte, le monde en équilibre, le sublime guéri par le sublime, l'homéopathie de l'âme, la délivrance par la persévérance buccale.

Mais que d'énergie dépensée à lutter contre les sanctions atrabilaires de la réflexion logique ! Je n'ai jamais rien trouvé de mieux qu'une femme pour lutter contre les énoncés de cette épouse acariâtre. Penser et bander sont deux activités qui ont le bon gout de dépasser mes capacités si elles savent se synchroniser.

Je confiais à ces soyeuses la mission de m'exporter vers des territoires que ma raison réfutait.


J'affronte actuellement un champ nouveau de questionnement. Personne n'est censé se poser de questions quand tout va bien, la philosophie s'efface avec le problème. Adepte du marché de niches, je me suis engouffré dans cet obscur objet du désir de questionner. Vaste zone immaculée de savoir, celle qui interdit la question, celle qui en définit l'obscénité.

Je ne suis pas fait pour me croire vaillant face à la concurrence.

Dans le domaine du "je suis une merde dépressive, inapte à supporter mes semblables, mais pourquoi diantre ces manants ne s'agenouillent-t-ils pas devant ma subliminence potentielle, ma souffrance ultime et mon besoin d'amour ?", la concurrence est farouche, les listes d'attente décourageantes, et les chances de se distinguer proche du degré zéro selon le petit Kelvin.

J'ai donc choisi un marché de niche. J'ai opté pour "mais putain de foutre de vierge folle, mais pourquoi me sentais-je bien avec cette meuf, et quelle est donc cette alchimie improbable qui m'attire les grâces de ces femelles enamourées, insensibles à l'appel incessant de la jeunesse et du muscle révélés ?" La chance est un éclairage, pas une réponse.
La démarche est absurde par essence.

- Chérie, avant de me glouper le Nestor, prouve-moi avec une logique aristotélicienne que tu y trouves ton bonheur ! Et ne tergiverse pas avec une dialectique hegellienne noyeuse de poisson !

Extension du domaine de la connerie.

Je suis au mont Saint-Michel, lieu sacré du pèlerinage de la beaufitude de masse, et je me sens bien, merveilleusement bien. Comment m'extraire de la poisse de la masse, la condamnation au commun, la fustigation du vulgaire ?
Et pourquoi Cunégonde, qui ne veut toujours pas de fromage, avec ou sans sucre dessus, se délecte à me tutoyer l'organe, bien moins attractif à mes yeux qu'un Reblochon gouleyant ou qu'un Camembert qui marche tout seul ?

Quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console. Chez moi, ça ne marche absolument pas.

Mais pourquoi donc l'hystérique Nath propulse-t-elle ses propositions gloupesques dans ma direction ?
Et pourquoi certaines prétendent se découvrir à la lecture de mes errances ?
Il y a tant à lire, il y a tant à aimer, il y a tant à chérir, alors pourquoi ces gueuses accordent-elles à mes propos la valeur de mettre-étalon de leur monde intérieur ?

Telle se présente la meilleure définition de la question la plus totalement inutile de l'univers charnel "mais putain, mais qu'est-ce qu'elles me trouvent ?"

Sans reprendre la définition paranoïaque du club dont je me méfierais s'il m'acceptait comme membre, je dois dire que je ne suis rassuré que lorsque j'ai réussi à cerner l'intention égoïste d'un laudateur.

Voilà, voilà, voilà, je ne suis pas dans la merde déjà ! Comment s'imaginer proie ?

Alleluiah mes biens chers sœurs, hosanna au plus haut des cieux, la réponse à mon intolérable question me fut servie sur le plateau de Thor et d'Odin réunifiés, la rune de l'improbable, le Molnir du mécréant, la révélation de l'éblouissance, la lecture d'un blog, la quintessence de la noblesse de plume, la béance vulvaire de l'improbable : j'ai trouvé un mec plus intelligent que moi, putain c'est trop bon, je jouis avant de bander, j'éjacule avant la tumescence, je m'écarquille l'anus avant son désir, je tente la séduction, j'hypothèque mes sphincters, j’absous mes réticences, va-z-y salopiaud, laboure-moi les résistances de trop de définitives sanctions, explose-moi la membrane de tes certitudes, enculeur, va, défonce-moi et dieu reconnaitra l'essieu.

Non mais alors d'accord. Si jamais je vous fais cet effet-là, alors d'accord, je peux comprendre. Il me faut propulser la violente projection de votre vacuité organique pour en accepter l’appétence, mais je peux comprendre. Hymen rebelle par manque de pratique, virginité recomposée par oubli de soumission, étroitesse redoutée par l'absence de dilatation régulière, asphyxie angoissante d'un respect poli, je peux extrapoler votre aspiration gloutonesque à la réplétion.

Putain le salopard, mais qu'est-ce qu'il écrit bien ! Je me garderais bien de vous indiquer le lien vers son blog sulfureux, je me le réserve pour mes pratiques solitaires, mais le bâtard, c'est trop injuste, qui lui a donné le droit d'écrire aussi bien ?

Alors oui, je peux comprendre certaines réactions, certaines pâmoisons. Je le salue avec circonspection, le talent à ce niveau n'est pas humain, l'humour à ce degré évoque la supercherie de connivence.



Si je devais vous la faire plus courte, je vous dirais que les 160 permettent aux 130 de comprendre la séduction qu'ils exercent sur les moins de 130. Mais là, je me montrerais irrespectueux. Parce que putain, le jour où un QI me fera bander n'est pas encore prévu.


Je vous laisse sur cette interlude sublime, l'indécision de l'instant, cet équilibre de funambule pendant lequel vous savez renoncer à la spiritualité unique du Cloitre pour plonger dans le cul de l'Offerte, l'appel au divin bafoué par le coup de rein ravageur et sauvage, l'espérance du pardon sacrifié devant l'autel de son cul, LE cul, le seul, refuge ultime. L'instant sacrificiel pendant lequel mes prières se veulent plus fortes que mon esprit "Mon Dieu, faites que son cul ne soit ni lavé, ni épilé".

Amen.
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Message par Invité Ven 18 Sep 2015 - 22:51


?..... Smile

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Message par //ha!ha! Sam 19 Sep 2015 - 15:11

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Message par Invité Sam 19 Sep 2015 - 22:57


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Message par Numero6 Lun 21 Sep 2015 - 11:58

Mike Tyson et Raskolnikov.


Je leur trouve un point commun. Les deux m'ont chatouillé la même glande, ont provoqué la même décharge hormonale, celle qui vous fait préférer un pantalon marron pour camoufler une hypercinésie intestinale sub-aigue, une bonne chiasse quoi.

Il existe deux mondes, celui que le cerveau fabrique et l'autre.

C'est toujours l'autre qui gagne.

J'ai eu beau repasser à de multiples reprises le ralenti des KO de Tyson, je n'ai jamais pu voir partir le coup destructeur, je n'ai jamais pu sentir la violence de l'impact. L'adversaire s'écroule, complètement sonné, titubant.
Dans les films, le coup de poing est allégorique. Sans compter les effets sonores qui assimilent un coup porté à l'explosion d'une rocket, l'intention, la préparation, la propagation, puis l'impact, le geste est scénarisé. Accessible à l'analyse du spectateur. Voici le monde qui satisfait l'esprit, le plaisir de la narration.
Dans le vrai monde, tu t'écroules à terre sans avoir vu le coup partir, tu es à genoux sans comprendre pourquoi.

Plongé dans son propre débat existentiel après son câlin à sa logeuse, le commissaire en sait plus sur ce qui se produit en Raskolnikov que l'intéressé lui-même. Dans une fiction, si c'est le criminel qui incarne le spectateur, les flics sont des idiots congénitaux, si c'est le flic qui fait son héros, ce sont les méchants qui sont stupides, du genre à beugler comme des cons hystériques avant de tirer. Dans ce roman, c'était la première fois que je pouvais lire la profondeur du personnage principal opposée à l'expérience subtile du flic.

Un cerveau je le vois comme un foie ou un estomac, fonctionnant à peu près de la même manière quelque soit son propriétaire, avec des différences de niveau si ça vous fait plaisir. Rien de plus facile que de prévoir la solution fournit par un cerveau dans une situation inattendue, il suffit de regarder les réactions de mille autre cerveaux dans la même situation.
Les réponses à certains fils sont caractéristiques sur ce forum, très hautement prévisibles, à croire que la priorité d'un cerveau est de s'auto-valider, de se rassurer sur sa fonctionnalité. Si en plus il est boosté par un QI élevé, tout baigne, l'anxiété diminue, la probabilité supposée d'une bonne réponse grimpe en flèche.


Le cerveau veut se soumettre à un système d'accréditation, il aime se tester, et il le fait de préférence dans l'univers virtuel, celui créé par le cerveau.

Oui mais.

Un uppercut de Tyson ou l'expérience d'un commissaire auront toujours raison à la fin.


Je m'amuse à me faire peur avec le blog de Ferfal, un argentin qui décrit jour après son jour sa vie dans un pays en crise, les méthodes de survie, les difficultés au quotidien.
Il a beaucoup de succés auprès des survivalistes étatsuniens pour une raison simple : il sait de quoi il parle, il a eu sous les yeux ce qui se passe en vrai dans un pays en faillite.


Pleins de gens vendent leur soupe basée sur leurs réflexions personnelles, le suisse Piero San Giorgio en est l'exemple caricatural. Leurs cerveaux les amènent à prévoir une maison à la campagne avec un potager et un point d'eau, batterie solaire, armement, bouffe pour l'année et tout le chenil.
Ce qui définit quasiment la proie isolée idéale dans une société en délabrement selon Ferfal, et la première victime en cas de conflits armés. Faible prise de risque et énorme potentiel pour le pillage où l'établissement d'un QG militaire.

Les précautions valables ne sont pas fournies par le cerveau, mais par l'expérience.
Premièrement un passeport. Une double nationalité est l'idéal. Une simple pièce d'identité peut vous sauver la vie quand une brutasse en uniforme cherche à buter ceux qui viennent de dessouder son pote. Un compte bancaire à l'étranger, avant que tout virement soit impossible. Et des briquets. Dans les Balkans, en Ukraine, une collection de briquets BIC revient dans toutes les whish-list.
Dans toutes les zones de conflits armées, tout ce qui ressemble de près ou de loin à du matériel militaire peut vous faire torturer ou tuer. Un simple Smartphone avec appareil photo et GPS peut servir à guider le tir d'une artillerie. Tout ce que pourrait utiliser l'adversaire pour combattre est une incitation à tirer dans le tas à chaque check-point.


Dans le monde virtuel des tests de QI élaborés par des cerveaux pour tester des cerveaux, le niveau de performance peut avoir un sens.

Dans le monde réel, celui qui n'est pas élaboré par les cerveaux, la pertinence de ce niveau de performance se réduit.

Dans le monde du travail tertiaire, élaboré par des cerveaux, de plus en plus inconscient du réel, les cerveaux se roulent des joints et sabrent le champagne. Bloquer la production au profit du respect sacro-saint du papier ne pose aucun problème. Le réel doit se soumettre.

Dans une situation de crise économique ou de conflit armé, le tri des productions cérébrales est drastique. L'intérêt d'une boite d'antibiotique surpasse sans problème toute réflexion sur la valeur stimulante de la méditation sur l'immunité, une vaccination contre le tétanos peut vous éviter qu'une simple écharde se transforme en piège mortel, les effets secondaires liés à la présence d’aluminium ou d'huile de requin redeviennent ce qu'ils sont : secondaires.



Je reste toujours partagé entre ces deux tentations.


La sensuelle caresse de la réflexion pure, de la divagation aléatoire, de la fiction onirique, est ma tentation primaire, d'autant plus qu'elle me procure un plaisir qui laisse indifférent tant de personnes.

Et d'autre part l'excitation rustique du réel, l’esbroufe engendrée par le "truc-qui-marche", le plaisir de mettre à genoux mes élucubrations, l'apprentissage, la soumission au contre-intuitif, au contre-cérébral pour tout dire. Comme se trimballer dans des rues sauvages sans flingue mais avec une carte d'identité.


Le nombre de domaines où mon expérience dépasse ma réflexion est extrêmement limité. Toutefois ils m'autorisent une observation précieuse, le fossé qui sépare le fruit naturel de la réflexion, assez peu corrélé au niveau du QI, malheureusement, oui, malheureusement, (je vous assure que j'aurais adoré constaté que la puissance d'un cerveau fasse la différence), et le fruit de l'expérience accumulée, confrontée chaque jour à l'impératif de l'efficience, adapté en permanence à un environnement variable.


L'aventure des zèbres me fascine, je la trouve emblématique de l'emballement naturel, de la tendance dictatoriale du cerveau envers le réel. Les débats sur ce forum sont un reflet fidèle de cet aveuglement acharné.
Au lieu de chercher à comprendre ce qui sous-tend le discours des autres, 99 % des interventions sont consacrées à promulguer les productions primaires du cerveau, celles qui refusent de se soumettre. Ni compréhension, ni observation : affirmation.


Juste comme ça, pour déconner : que vaut une idée que vous devez défendre à coup d'invectives et d'arguments d'autorités ? Et si par hasard cette idée ne valait pas grand-chose ? Ça fait mal au cul, hein ?

C'était quand la dernière fois qu'une de vos idées à déclenché le cépacontontruc-effect ?

Le cerveau est un sale gosse qui barbouille les murs du salon, un pervers polymorphe, un dictateur qui valide sa fortune en flattant la pensée magique. Plus le modèle de société est hédoniste et narcissique, plus le cerveau poursuit sa pente naturelle. Le cerveau adore les idéologies et déteste les factures et les uppercuts.


Ouais, finalement l'intelligence a très peu d'utilisation pratique, c'est sans doute ce qui me la rend si séduisante, la beauté du geste, le panache.
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Message par Soren Lun 21 Sep 2015 - 12:16

Le cerveau est un sale gosse qui barbouille les murs du salon

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Message par Pola Lun 21 Sep 2015 - 14:44

Comment un cerveau entre en intimité alors ?

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Message par Pola Lun 21 Sep 2015 - 14:53

J'ai le sentiment que deux cerveaux auront bien du mal s'intimiser

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Message par Numero6 Lun 21 Sep 2015 - 16:57

Pola a écrit:J'ai le sentiment que deux cerveaux auront bien du mal s'intimiser


Mais il n'y a pas deux cerveaux !


La pensée ne révèle que l'interaction entre un cerveau et son environnement. Son fonctionnement à vide, sans contrepartie, n'est qu'une de ses particularités, c'est bien pour cette raison que dans un débat d'idée s'expriment avant toutes choses les interactions précédentes (origine sociale, familiale, idéologique), l'interaction n'est qu'une minuscule partie dans l'échange d'idée.
Je crains que peu de personnes comprennent que la pensée que un working process, temporaire, l'idée d'une stabilité de la pensée est plus instinctivement séduisante. Vouloir la sacraliser par sa performance particulière dans une population donnée est le meilleur moyen pour stériliser la pensée.

Si je retombe sur mon petit gimmick (il me sert de repère basique, un peu comme la famille dans la grotte dépendante du chasseur de mammouth) la pensée comme représentation du monde reflète avant tout le mode fonctionnement basique du cerveau, l'intelligence se présentant surtout sous forme de performance chez les hommes, sous forme de consensus, d'équilibre, d'empathie chez les femmes.

Je suis étonné de constater que des cerveaux censément différents, plus aptes à fuir la norme, plus créatifs, ne font souvent que reproduire des schémas de pensée extrêmement standardisés.

C'est ce qui me désole. La richesse de l'interaction, la richesse de la pensée ne peuvent naitre qu'en utilisant la synergie des différences. Jongler avec une dynamique qui va par moment privilégier la performance et dans d'autres le consensus. Et cela ne peut exister qu'à condition d'accepter la valeur d'une pensée différente.

L'égalistarisme qui ravage nos sociétés est le fer de lance de la crétinerie globalisante, rien n'est différent et tout est dans tout, hommes, femmes, castors, grue cendrée, tout est la même chose, tout se neutralise.

Envisager la pensée comme une Entité est le début de la mystique. La pensée n'existe que par ceux qui la formulent.
Prétendre qu'il existe une bonne manière de penser, en référence à La Bonne Pensée, la Parfaite, l'Ultime, c'est une forme de castration, l'application d'un protocole, la validation d'une norme.
Ai-je encore le droit de penser que les gens me font chier ? Ai-je le droit de ne pas vouloir être empathique ni bienveillant ? Ai-je simplement le droit de ne pas en avoir honte ?

Toute pensée est interaction. Chercher à définir La Pensée est la propagande d'un système totalitaire. Actuellement, pour s'exprimer, la pensée doit revêtir l'armure de la connerie pour franchir les lignes ennemies. Ramper sous les barbelés de la pensée dominante, camouflé par les habits du pitre.


Parce que quand même, c'est fou ce que les mots sont sexués ! Je me frise la couenne à se faire se confronter l'intelligence interne et l'intelligence engendrée par l'affrontement au monde extérieur.
Toi Pola il me semble que tu places les deux intelligences dans un schéma intérieur où l'équilibre serait le point crucial. Moi, ça, surmoi, et après on s'étonne que le public de la psychanalyse soit essentiellement féminin.

Il est tout à fait possible que j'interprète mal tes propos, je suis capable de tout dés qu'il s'agit de mauvaise foi et de ressasser mes lubies, mais il y a quelque chose qui m'énerve sans que je sache quoi exactement. J'exprime ma manière, tu exprimes la tienne. Tout devrait être en harmonie.
Ah si, je crois que c'est ça le truc qui me donne de l'acné : quand tu écris "J'ai le sentiment que deux cerveaux auront bien du mal s'intimiser", je le perçois comme un rappel au souci d'équilibre, si féminin, sans tenir compte de mon équilibre si masculin vers l'extérieur, ce qu'il est à la mode de baptiser le réel.

Je me demande si ce n'est pas ça la base de la pensée masculine, son gout pour le bordel, l'affrontement et son attirance pour le monde extérieur, l'intolérable supériorité d'une balle face à la dialectique. Je me demande si son rôle ne serait pas de servir de courroie de transmission entre le réel et cette merveilleuse machine à tourner en rond qu'on appelle la pensée féminine.

C'est peut-être au moment où la pensée féminine a décidé de se vouloir l'unique source d'approvisionnement de la pensée masculine que les emmerdes ont commencé.
Les hommes, au lieu d'importer du réel dans leur foyer, y ont rapporté de la pensée féminine. Le meilleur moyen pour ne plus servir à grand-chose.

Je me souviens de roues de voiture procurant à des tapis l'usure nécessaire pour leur commercialisation.

Mon vieux tapis du "les hommes et les femmes c'est pas pareil", il est tellement usé que la trame se décompose. Je ne regrette pas l'investissement, il m'aura fait de l'usage celui-là.

Lola, ma réponse n'a rien de personnel, c'est purement hormonal.

Puisse la modération faire acte de contrition. Avec modération bien sur.
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Message par //ha!ha! Lun 21 Sep 2015 - 17:35

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Message par //ha!ha! Lun 21 Sep 2015 - 17:45

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Message par Pola Lun 21 Sep 2015 - 17:52

Un seul cerveau, c'est noté !

Inutile d'en faire tout un plat non méééé

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Message par 'C.Z. Lun 21 Sep 2015 - 19:57

Euh... entre le cerveau et l'extérieur, y'a pas le corps ? Je veux dire, tu dis

Numéro 6 a écrit:La pensée ne révèle que l'interaction entre un cerveau et son environnement.

à moins que tu considères le corps comme environnement du cerveau, il manque quelque chose à ta phrase, non ?

Perso, ma pensée révèle souvent ma condition physique... Pas vous ? Je ne vais pas dire que je suis conne, mais je le suis sacrément plus quand je perds trop de poids par exemple.
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Message par zeHibou Jeu 24 Sep 2015 - 15:11

Numero6 a écrit:
Pola a écrit:J'ai le sentiment que deux cerveaux auront bien du mal s'intimiser


Mais il n'y a pas deux cerveaux !


Eh oui cher N6, il n'y a pas que mon cerveau et le tien, nous sommes plusieurs milliards sur cette planète...

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Message par Kass Jeu 24 Sep 2015 - 15:26

si si les hommes ont deux cerveaux... un petit, et un gland...
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Message par Pola Jeu 24 Sep 2015 - 16:15

Quel serait le petit ?

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Message par Invité Jeu 24 Sep 2015 - 17:38

Kass a écrit:si si les hommes ont deux cerveaux... un petit, et un gland...

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Message par Stauk Jeu 24 Sep 2015 - 17:45

On a trouvé un second cerveau au niveau du ventre "penser avec ses tripes". Logiquement on devrait en trouver un troisième au niveau des couilles. "penser avec sa queue". Ou peut être juste un réseau dédié,  mais je me dis qu'il doit être localisé à proximité.
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Message par Numero6 Jeu 24 Sep 2015 - 18:44

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Message par Numero6 Jeu 24 Sep 2015 - 18:51

Stauk a écrit:On a trouvé un second cerveau au niveau du ventre "penser avec ses tripes".

Les deux cent millions de neurones répartis dans le système digestif m'amènent à penser qu'une bonne stimulation de ce second cerveau par le biais de la sodomie pourrait se situer au niveau de l'élévation spirituelle d'un éveil des consciences.

Je manque de références bibliographiques dans ce domaine.

Mais on pourrait ainsi mieux appréhender le lien entre dilatation sphinctérienne et qualité des choix en matière de décoration intérieure.

A quand la diffusion du test de QI (Quotient Intestinal) ?

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Message par Numero6 Jeu 24 Sep 2015 - 18:56

Soyez sympa les gens, parlez-moi de cul, je fais une poussée d'acné.
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Message par Invité Jeu 24 Sep 2015 - 19:06

mais avec plaizzzzzzzzzzziiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr


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Message par Kass Jeu 24 Sep 2015 - 22:26

Stauk a écrit:On a trouvé un second cerveau au niveau du ventre "penser avec ses tripes". Logiquement on devrait en trouver un troisième au niveau des couilles. "penser avec sa queue". Ou peut être juste un réseau dédié,  mais je me dis qu'il doit être localisé à proximité.

et paraît qu'il y a des cellules mémorielles-chaipaquoi au niveau du coeur (à rapprocher de la maladie du "coeur brisé" ?).
me réjouis de voir le gars qui va se faire greffer une tête écrire ses mémoires - et parler de sa libido !

nan en fait, je m'en branle.


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Message par JCVD Jeu 24 Sep 2015 - 22:49

Kass a écrit:si si les hommes ont deux cerveaux... un petit, et un gland...


Hahahahaha ! Mdr ! Excellent !
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Message par JCVD Jeu 24 Sep 2015 - 22:49

Centaure Z'ailée a écrit:Euh... entre le cerveau et l'extérieur, y'a pas le corps ? Je veux dire, tu dis

Numéro 6 a écrit:La pensée ne révèle que l'interaction entre un cerveau et son environnement.

à moins que tu considères le corps comme environnement du cerveau, il manque quelque chose à ta phrase, non ?

Perso, ma pensée révèle souvent ma condition physique... Pas vous ? Je ne vais pas dire que je suis conne, mais je le suis sacrément plus quand je perds trop de poids par exemple.

On parle de plus en plus du ventre comme de notre deuxième cerveau.
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Message par JCVD Jeu 24 Sep 2015 - 22:53

Numero6 a écrit:
Stauk a écrit:On a trouvé un second cerveau au niveau du ventre "penser avec ses tripes".

Les deux cent millions de neurones répartis dans le système digestif m'amènent à penser qu'une bonne stimulation de ce second cerveau par le biais de la sodomie pourrait se situer au niveau de l'élévation spirituelle d'un éveil des consciences.

Je manque de références bibliographiques dans ce domaine.

Mais on pourrait ainsi mieux appréhender le lien entre dilatation sphinctérienne et qualité des choix en matière de décoration intérieure.

A quand la diffusion du test de QI (Quotient Intestinal) ?

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Ce Stauk ! Il faut toujours qu'il me coupe l'herbe sous le pied ! Quel type insupportable !

Je pense qu'il manque d'élévation spirituelle.

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Message par Invité Ven 25 Sep 2015 - 8:28

Numero6 a écrit:Vodka 1 - 0 Numero6

On a retrouvé la vidéo


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Message par Stauk Ven 25 Sep 2015 - 13:36

JCVD a écrit:
Ce Stauk ! Il faut toujours qu'il me coupe l'herbe sous le pied ! Quel type formidable !

On a retrouvé la vidéo

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Message par ______________ Ven 25 Sep 2015 - 16:17

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Message par Invité Ven 25 Sep 2015 - 18:47


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Message par Numero6 Ven 25 Sep 2015 - 19:19

Putain, j'ai envie de lauder !


Ordinairement, je passe mon temps à jalouser ceux qui ont des envies, de baiser, de gagner, d'avoir le dernier iPhone, de voyager. Je subis la condamnation de leurs enthousiasmes comme le révélateur de ma profonde tendance à ne rien foutre qui puisse réclamer un effort de plus de 10 Joules.

Comme ils ont l'air plus heureux, j'ai tendance à reluquer leurs jouets, si possible je tente de me les approprier. La satisfaction de l'usage reste tiède, éventuellement chaleureuse, mais sans plus. La vérification de mon absence d'entrain reste la principale satisfaction. Non, ben, en fait, je m'en fous un peu. C'est énorme le nombre de trucs dont je n'ai pas grand-chose à foutre, ce qui rend difficile l'émergence d'interactions sociales de qualité.
Difficile de créer une complicité avec l'enthousiaste acquéreur d'une Porsche bi-turbo à 18 cylindres culbutés, quand ma seule préoccupation reste l'inconfort des sièges Recaro. Ben oui, ça fait vroum-vroum, c'est fait pour, je suis content pour mon ami que la marque de Stuttgart sache fabriquer des jouets qui le transportent. Je suis content pour lui. Mais sa Porsche je m'en fous. C'est comme lui dire que le cul de sa femme me laisse totalement indifférent, ce qui, loin d'être une politesse convenue, se rapproche du mépris à la vitesse du fion.

Si jamais je tente de leurs expliquer que me branler la couenne à écrire des conneries sur un forum de dépressifs me procure une satisfaction dont la nature m'échappe, ils vont vouloir me sauver de ce plaisir comme on confisquerait sa seringue à un junkie.
Je trouve mes plaisirs passifs. Je me contente de les subir, les berçant d'une main douce et chaude dans un va-et-vient langoureux, je ne fais strictement aucun effort.

C'est peut-être pour cette raison que je leur envie cet enthousiasme qui me manque, que j'avais résumé par un fond dépressif persistant pour arrêter de me prendre le chou. Parce que, pour s'enflammer autant, je leur suppose une énergie qui me fait défaut. Il me faut faire preuve d'une imagination débridée pour tenter de stimuler en moi l'excitation de la possession d'un bolide dévoreur de points de permis.

Mais il y a une énergie spontanée qui m'anime, un besoin radical, une envie plus socialement répréhensible que les tournantes sur mineures du tiers-monde, l'envie de dire du bien des gens.

Certaines personnes déclenchent chez moi une sympathie délicieuse, ils me font du bien rien qu'à exister. Souvent je ne sais pas pourquoi, j'ai cru identifier un mélange d'énergie et de gentillesse, mais s'y rajoute un truc pas frais, pas quantifiable, la sensation du beau. C'est au niveau du plexus solaire, c'est physique, un enthousiasme de groupie. Cette personne me fait du bien.

La tentation primaire est de renvoyer cette béatitude sous forme de compliments. Mais c'est con. Comme un propriétaire de Porsche qui s'agenouillerait aux pieds de l'ouvrier spécialisé sur la chaine de montage, merci, monsieur, du bien que vous me faites.

Les rares fois où j'ai tenté la chose avec un mec, j'ai bien senti qu'il se demandait si je comptais l'enculer tout de suite ou avec vaseline.

Même phénomène avec les femmes, quand je croise une splendide coupe de cheveux ou un décolleté démoniaque, je sens monter une bouffée d'enthousiasme que j'ai immédiatement envie de partager avec celle qui me fait ce cadeau. Même en réduisant mes commentaires aux éléments féminins qui réclament un effort comme les fringues ou le maquillage, je sens bien qu'ils sont perçus comme une drague éhontée.

Je peux comprendre, je ne critique pas. Quand une approche de communication à visée horizontale débute par "zyva, t'sais qu't'es bonne, toi ?", je peux comprendre que s'enthousiasmer pour la perfection d'un balayage passe pour une invitation à visée sexuelle, alors que le travail du coiffeur est resté transparent aux yeux du conjoint. Il semblerait qu'un mâle de catégorie standard ne fasse jamais l'effort d'un compliment sans l'espoir évident d'une introduction.

C'est le monde à l'envers. L'enthousiasme qui me porte fait défaut aux autres, il leur demande un effort. Et donc, aux yeux de la donzelle je suis en train de faire un effort, donc j'ai envie de la sauter, donc je suis un porc, donc son 06 est... Mais pas du tout, c'est me taire qui me demande un effort. Je me traiterais d'inverti si ce terme n'était pas aussi connoté.

C'est très rare de trouver des hommes qui partagent ce plaisir, la satisfaction oculaire, la volupté de croiser un dandinement de femme. J'en ai trouvé un comme ça, capable de descriptions homériques sur les émotions violentes que lui procurent la beauté de certaines femmes, encore un TDAH. Nous en étions à comparer nos gouts respectifs, lui pour les opacités, moi pour les transparences, quand j'eus la tentation de sonder son attraction pour les sarouels. Oh putain, j'ai vu son regard s'allumer, son enthousiasme volubile l'a entrainé sur les motifs, les couleurs, je l'avais branché sur la force. Un TDAH ça reste impressionnant dans la pratique, un simple détail déclenchent chez eux des passions immédiates, soucieuses de se répandre sur l'instant.

C'est pas possible ce truc, j'ai la cinétique corporelle d'un Aï et les passions d'un TDAH. Ça existe le TDAH léthargique ?

Je l'envie ce mec, mais alors vraiment je l'envie. Quand il parle des femmes c'est un feu d'artifice. Chez lui aussi, la beauté précède l'indice Nikkei. La sensation de la beauté, l'impression de la beauté, le sentiment de la beauté lui sont indispensables. C'est mon héros du moment, c'est d'autant plus étonnant que ses défauts sont flagrants, ses intérêts très spécifiques, ses excitations très ciblées. Sa frénésie qui reste empreinte d'une grande sensibilité lui a ouvert l'intimité de nombreuses femelles, son désir balayant les objections de la décence.

Qu'il est doux d'enfin pouvoir partager avec ce pineur compulsif l'intensité de l'émotion que savent nous procurer certaines femelles de l'espèce. Cette folie douce déclenchée chez lui par l'absence, chez moi par les voiles. Parce que, globalement, les mecs sont mieux conçues pour s'enthousiasmer sur le moteur d'une Porsche que sur le cul de leurs femelles. C'est bôôôô, putain que ça fait du bien de pouvoir le dire, c'est bôôô, une putain de bonne femme, mais que c'est beau.


Je sais, ça ne se fait pas, mais putain, j'ai envie de lauder.
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Message par Pola Ven 25 Sep 2015 - 23:34

Il ne manquerait pas un bout ?

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Message par Invité Ven 25 Sep 2015 - 23:44

Le drame de ma vie. Dent pétée


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Message par Numero6 Sam 26 Sep 2015 - 8:21

Pola a écrit:Il ne manquerait pas un bout ?

J'entends la remarque, mais quel bout te semble faire défaut ?
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