Nos poèmes
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Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Nos passions :: J'écris
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Re: Nos poèmes
Grand Schtroumpf admire le schtroumpf costaud
Il se dit qu'il se mettra au sport lui aussi demain
Ou peut-être après-demain.
Il se dit qu'il se mettra au sport lui aussi demain
Ou peut-être après-demain.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le grand schtroumpf s'est acheté un pèse-personne
Il se pèse
Il pèse une tonne.
Il se pèse
Il pèse une tonne.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le meilleur moment ?
Celui où je m'en fous
Où je tombe en plein néant
Mon sourire, le ciel et puis c'est tout
Celui où je m'en fous
Où je tombe en plein néant
Mon sourire, le ciel et puis c'est tout
Re: Nos poèmes
Les derniers crépitements
du feu s'amenuisent ~
La grand-mère ronfle
du feu s'amenuisent ~
La grand-mère ronfle
câlin- Messages : 787
Date d'inscription : 13/09/2022
Re: Nos poèmes
Être touché :
Le souffle comme renversé
Les tripes à la cheville
Le tout instant immobile
Suspend - le tout va et puis vacille
Le cœur qui monte et file
Le souffle comme renversé
Les tripes à la cheville
Le tout instant immobile
Suspend - le tout va et puis vacille
Le cœur qui monte et file
Re: Nos poèmes
Parler avec des sentiments
Qui capable de la grande éclosion ?
Donnez-moi mille tourments
À deux mains je les tords
Avec ma bouche je mords et déchire
Trouvez-moi fou mais je suis fort
Ivre de jubilation
Je ne cesse de mourir
Qui capable de la grande éclosion ?
Donnez-moi mille tourments
À deux mains je les tords
Avec ma bouche je mords et déchire
Trouvez-moi fou mais je suis fort
Ivre de jubilation
Je ne cesse de mourir
Re: Nos poèmes
T'es là
Tu dis c'est l'amour
Mais tour à tour
Tu ne passes que ta joie
Tu fabriques des mensonges
Un peu de et si et d'illusions
De moi tu songes
La réponse à tes questions
L'ambition bien secrète
Que je confirme nos vérités
Autant être honnête,
À ça je n'ai point envie de jouer
Ils sont assez à fuir par la fenêtre
À maudire et condamner
À dire que c'est leur être
Qui maintenant est prisonnier
Moi je veux être-là
Glissée sous ton indicible chair
Là où tu m'entendras murmurer
Que dans ton cœur vienne l'été
Vienne l'hiver
Des mots qui feront ta joie
Tu m'entendras compter
Combien tout est flingué
Et le nombre de questions
Qui pendent à ton front
Tu dis c'est l'amour
Mais tour à tour
Tu ne passes que ta joie
Tu fabriques des mensonges
Un peu de et si et d'illusions
De moi tu songes
La réponse à tes questions
L'ambition bien secrète
Que je confirme nos vérités
Autant être honnête,
À ça je n'ai point envie de jouer
Ils sont assez à fuir par la fenêtre
À maudire et condamner
À dire que c'est leur être
Qui maintenant est prisonnier
Moi je veux être-là
Glissée sous ton indicible chair
Là où tu m'entendras murmurer
Que dans ton cœur vienne l'été
Vienne l'hiver
Des mots qui feront ta joie
Tu m'entendras compter
Combien tout est flingué
Et le nombre de questions
Qui pendent à ton front
Re: Nos poèmes
Ces paroles de sagesses, je peux plus
Certains d'eux disent que tout est rêve
Et pourtant, j'amais n'osent de l'inconnu
Jamais n'en ouvrent les portes et fendent le glaive
D'autres, tous même
Disent vérité, vérité, en vérité
Ils s'imaginent avec un diadème
Plutôt qu'au réel aller se torcher
Ah mais sûr, c'est moins pur
Que les grands mots, les grandes idées
Ils n'aiment pas la souillure
Moi je dis, la tête dans la mélasse
Ça pourrait bien les aider
Et pour mieux que bien leur fasse
Deux baffes bien méritées
On devrait les prendre, les forcer
Avec leurs mains, leurs ongles et leurs dents
À creuser la terre, au moins dix pieds !
Qu'ils se souviennent un peu des tourments
De la force et la faiblesse
Que le corps jamais ne ment
Jusqu'à ce qu'ils confessent :
J'ai mal, j'ai mal, je veux mon bien
C'est vrai' toujours mon bien
Oh mais les pauvres petits
Je m'en occuperai bien moi
J'ai un goût de cruauté
Un si délicat appétit
Et les voir aux émois
Courber leurs corps comme ils courbent l'esprit
Toujours pareil, si débauchés
Appele-moi dieu oh oui oh oui
Maintenant que je t'apporte le péché
Tu vas l'avoir ta vérité
Je parle, je parle, mais je sais bien
Que je n'ai pas de poids
Qui a le malin
Qu' ils appellent foi
Certains d'eux disent que tout est rêve
Et pourtant, j'amais n'osent de l'inconnu
Jamais n'en ouvrent les portes et fendent le glaive
D'autres, tous même
Disent vérité, vérité, en vérité
Ils s'imaginent avec un diadème
Plutôt qu'au réel aller se torcher
Ah mais sûr, c'est moins pur
Que les grands mots, les grandes idées
Ils n'aiment pas la souillure
Moi je dis, la tête dans la mélasse
Ça pourrait bien les aider
Et pour mieux que bien leur fasse
Deux baffes bien méritées
On devrait les prendre, les forcer
Avec leurs mains, leurs ongles et leurs dents
À creuser la terre, au moins dix pieds !
Qu'ils se souviennent un peu des tourments
De la force et la faiblesse
Que le corps jamais ne ment
Jusqu'à ce qu'ils confessent :
J'ai mal, j'ai mal, je veux mon bien
C'est vrai' toujours mon bien
Oh mais les pauvres petits
Je m'en occuperai bien moi
J'ai un goût de cruauté
Un si délicat appétit
Et les voir aux émois
Courber leurs corps comme ils courbent l'esprit
Toujours pareil, si débauchés
Appele-moi dieu oh oui oh oui
Maintenant que je t'apporte le péché
Tu vas l'avoir ta vérité
Je parle, je parle, mais je sais bien
Que je n'ai pas de poids
Qui a le malin
Qu' ils appellent foi
Re: Nos poèmes
Grand Schtroumpf tombe
Il se fait un bleu
Il prend un peu de vodka.
Il se fait un bleu
Il prend un peu de vodka.
Dernière édition par Grand Schtroumpf le Lun 1 Avr 2024 - 10:18, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La ville s'endort ~
Ses trois grands mimosas brillent
Sous les lampadaires
Ses trois grands mimosas brillent
Sous les lampadaires
câlin- Messages : 787
Date d'inscription : 13/09/2022
Re: Nos poèmes
Ils ont une liste des je n'aime pas
Plus longue que leur sympathie
Une liste des lois
Qu'ils disent sous garanties
Plus longue que leur sympathie
Une liste des lois
Qu'ils disent sous garanties
Re: Nos poèmes
Se rhabiller après l'amour
Se rhabiller après l'amour
Retourner à l'enfer des jours
Le temps d'un petit paradis
L'on a dit non l'on a dit oui
De la douce danse des corps
L'on a dit non et puis encor
Mais le temps presse il faut partir
Se dire adieu se revêtir
Ne dire rien car l'on ne sait
Et l'on a peur et l'on se tait
Cacher ces corps qui un instant
Nous ont fait oublier le temps
Ton corps qui était l'univers
Et redevient un bout de chair
Par-dessus nos corps érectiles
L'on est caché par des textiles.
Se rhabiller après l'amour
Retourner à l'enfer des jours
Le temps d'un petit paradis
L'on a dit non l'on a dit oui
De la douce danse des corps
L'on a dit non et puis encor
Mais le temps presse il faut partir
Se dire adieu se revêtir
Ne dire rien car l'on ne sait
Et l'on a peur et l'on se tait
Cacher ces corps qui un instant
Nous ont fait oublier le temps
Ton corps qui était l'univers
Et redevient un bout de chair
Par-dessus nos corps érectiles
L'on est caché par des textiles.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Être corps
Feuille, mer, vent
Impressions, sensations
De loin le silence
À peine un je qui pense
Donner tort, donner raison
Et cet indéfinissable grandissant
Le tout, la vie, la mort
Feuille, mer, vent
Impressions, sensations
De loin le silence
À peine un je qui pense
Donner tort, donner raison
Et cet indéfinissable grandissant
Le tout, la vie, la mort
Re: Nos poèmes
Seul, assis à la table
Je me demande, je moi l'inatteignable
Ne devrais pas prendre la chaise, et puis
Les meubles, la literie
M'exorciser, tout balancer
Au nom de mieux, recommencer
Je me demande, je moi l'inatteignable
Ne devrais pas prendre la chaise, et puis
Les meubles, la literie
M'exorciser, tout balancer
Au nom de mieux, recommencer
Re: Nos poèmes
Ses gouttes s’écoutent une par une
Et pourtant ses goûts dégoutent la lune
Y aurait-il un coût à ses miroirs délestés?
L’ombre s’en moque, l’image en était rassasiée….
Et pourtant ses goûts dégoutent la lune
Y aurait-il un coût à ses miroirs délestés?
L’ombre s’en moque, l’image en était rassasiée….
Mp3- Messages : 923
Date d'inscription : 15/09/2022
Re: Nos poèmes
Juillet
Sur une terrasse avec mon Orangina
Lisant les pages du Monde Diplomatique
J'étais distrait par un vieillard avec des tics
Et la lecture de mon journal s'ajourna
En vrai je n'étais pas tellement concentré
Sur cette sucrerie en cette fin d'année
De lire le journal j'aimais plutôt l'idée
Souvent dans un article ai du mal à entrer
J'aime l'occupation de n'avoir rien à faire
Que d'honorer l'espace et le ciel le soleil
Parfois une cigale et parfois... Une abeille
Le cul sur une chaise et les deux pieds par terre
Que ce soit au boulot ou sur une terrasse
N'est-il pas important de trouver bonne place.
Sur une terrasse avec mon Orangina
Lisant les pages du Monde Diplomatique
J'étais distrait par un vieillard avec des tics
Et la lecture de mon journal s'ajourna
En vrai je n'étais pas tellement concentré
Sur cette sucrerie en cette fin d'année
De lire le journal j'aimais plutôt l'idée
Souvent dans un article ai du mal à entrer
J'aime l'occupation de n'avoir rien à faire
Que d'honorer l'espace et le ciel le soleil
Parfois une cigale et parfois... Une abeille
Le cul sur une chaise et les deux pieds par terre
Que ce soit au boulot ou sur une terrasse
N'est-il pas important de trouver bonne place.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Juan de Tassis y Peralta,
le nouveau moi
ne te dira pas
je t'aime,
ne se cherchera pas
dans l'accidentel,
néant,
ne s'imaginera pas
ton pouvoir
de me priver de toi.
le nouveau moi
ne te dira pas
je t'aime,
ne se cherchera pas
dans l'accidentel,
néant,
ne s'imaginera pas
ton pouvoir
de me priver de toi.
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
Age : 27
Localisation : lyon
Re: Nos poèmes
J'étais un petit garçon Alain Afflelou
J'étais un petit garçon Alain Afflelou
Maman m'emmenait ensuite au salon de thé
Nous regardions les vieilles bourgeoises parler
Alors papa nous appelait les petits loups
Alors était un autre temps un autre monde
Un monde de bermudas et de chemisettes
Un monde de jupes écossaises de couettes
Petits enfants tout blancs aux jolies têtes blondes
Ce monde n'est pas faux juste un peu différent
Du monde des adultes couleur du brouillard
Monde de l'innocence et des bras débrouillards
Dans un monde méchant et ses trucs afférents
Aujourd'hui adultes nous pouvons diffuser
Innocence d'enfance et des joies amusées.
J'étais un petit garçon Alain Afflelou
Maman m'emmenait ensuite au salon de thé
Nous regardions les vieilles bourgeoises parler
Alors papa nous appelait les petits loups
Alors était un autre temps un autre monde
Un monde de bermudas et de chemisettes
Un monde de jupes écossaises de couettes
Petits enfants tout blancs aux jolies têtes blondes
Ce monde n'est pas faux juste un peu différent
Du monde des adultes couleur du brouillard
Monde de l'innocence et des bras débrouillards
Dans un monde méchant et ses trucs afférents
Aujourd'hui adultes nous pouvons diffuser
Innocence d'enfance et des joies amusées.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
20
Les oiseaux qui volent, c'est un peu pour les adultes ce que sont les adultes environnants pour les enfants.
Deçà, l'autour majestueux ; delà, l'estropié pigeon.
Rien à en tirer, ou presque.
Tout est dans le presque.
Toujours.
Les oiseaux qui volent, c'est un peu pour les adultes ce que sont les adultes environnants pour les enfants.
Deçà, l'autour majestueux ; delà, l'estropié pigeon.
Rien à en tirer, ou presque.
Tout est dans le presque.
Toujours.
Ennaétéride- Messages : 1725
Date d'inscription : 20/01/2021
Localisation : dans l’idéal d’une oreille éléphantine, hamac indolore
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