Nos poèmes
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Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Nos passions :: J'écris
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Re: Nos poèmes
Je suis un génie malgré moi
Je suis le plus beau du quartier
Bien malgré moi oui bien malgré moi
Les beaux messieurs
Voudraient bien m'déshabiller
Les belles fammes
Me comparent à leur mari
Et se rassurent en voyant
Qu'leur mari est plus mince
Alors je marche sur le monde
Avec mon air de pacha repu
Et je me dandine le fu.
Je suis le plus beau du quartier
Bien malgré moi oui bien malgré moi
Les beaux messieurs
Voudraient bien m'déshabiller
Les belles fammes
Me comparent à leur mari
Et se rassurent en voyant
Qu'leur mari est plus mince
Alors je marche sur le monde
Avec mon air de pacha repu
Et je me dandine le fu.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a
La mer de Chine
Le mur
Le mur de Chine
Il y a
La mer
L'amer de Chine
Les yeux bridés
Des cœurs bridés
Des murailles tout en haut
Des dos brisés
La mitraille
Il y a
Mitraillette
Je te tue
Pour ne pas
Te regarder.
La mer de Chine
Le mur
Le mur de Chine
Il y a
La mer
L'amer de Chine
Les yeux bridés
Des cœurs bridés
Des murailles tout en haut
Des dos brisés
La mitraille
Il y a
Mitraillette
Je te tue
Pour ne pas
Te regarder.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a des dos brisés
Des coeurs brisés
Des yeux bridés
Il y a ma vanité
Vaines idées
Rompues sur la réalité
Fatigués
De moi
Dites moi
Suis je coupable ?
Des coeurs brisés
Des yeux bridés
Il y a ma vanité
Vaines idées
Rompues sur la réalité
Fatigués
De moi
Dites moi
Suis je coupable ?
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Nos poèmes
Il y avait sur la lune
Une douce libellule
Dans les cratères alentours
Elle prenait toutes les routes
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché
Toutes les routes vertes
Parmi les guerres et les trêves
Toutes les routes bonbon
Sur dessus faisait des bons
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché
Libellule était coquette
Et n'oublianit dans sa quête
De se fair belle et jolie
Du dimanche au samedi
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché.
Une douce libellule
Dans les cratères alentours
Elle prenait toutes les routes
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché
Toutes les routes vertes
Parmi les guerres et les trêves
Toutes les routes bonbon
Sur dessus faisait des bons
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché
Libellule était coquette
Et n'oublianit dans sa quête
De se fair belle et jolie
Du dimanche au samedi
Ce document est la propriété intellectuelle de la société Gérard
Diffusion limitée aux termes et conditions du marché.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je suis un méchant garçon
Un garçon en polo
Je regarde les gens
Je leur fais du mal
Ils tombent ils tombent
Sur le gazon joli
Je suis mauvais
Je suis un garçon
J'aime regarder avec curiosité
Les magazines de Legos
Il y a des super belles trucs
Des voitures et puis des trucks
Puis je range mon magazine
Dans mon cartable
Et les coudes sur le bureau de l'école
Je regarde le ciel.
Un garçon en polo
Je regarde les gens
Je leur fais du mal
Ils tombent ils tombent
Sur le gazon joli
Je suis mauvais
Je suis un garçon
J'aime regarder avec curiosité
Les magazines de Legos
Il y a des super belles trucs
Des voitures et puis des trucks
Puis je range mon magazine
Dans mon cartable
Et les coudes sur le bureau de l'école
Je regarde le ciel.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
.
Après une naissance
un vendredi long long long,
une éternité,
vous voici, pète, oups! poète
le vent dans les voiles,
toujours prêt!
à recommencer
jusqu'à l'infini ...
et au-delà!
Bonne continuation,
gattopardo, admiratif
.
Après une naissance
un vendredi long long long,
une éternité,
vous voici, pète, oups! poète
le vent dans les voiles,
toujours prêt!
à recommencer
jusqu'à l'infini ...
et au-delà!
Bonne continuation,
gattopardo, admiratif
.
gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Nos poèmes
Continue bien
Bien bien
Bien et toi ?
Ben ça va pas mal
Pas mal ma mère
Oh oh oh
Eh eh
Ih ih
Ça va bien et toi
Et toi ça va
Oui oui
Ça va
Continue bien
Mais n'oublie pas
De commencer
Eh eh
Bien bien
Bien et toi ?
Ben ça va pas mal
Pas mal ma mère
Oh oh oh
Eh eh
Ih ih
Ça va bien et toi
Et toi ça va
Oui oui
Ça va
Continue bien
Mais n'oublie pas
De commencer
Eh eh
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les femmes ont des seins
Les femmes
Ont des seins
Les femmes
Ont
Des seins
Les femmes ont des seins
Les
Femmes ont des seins
Les femmes ont
Des seins
Les femmes
Ont des seins
Les femmes sont leurs seins ?
Les femmes ont
Des seins.
Les femmes
Ont des seins
Les femmes
Ont
Des seins
Les femmes ont des seins
Les
Femmes ont des seins
Les femmes ont
Des seins
Les femmes
Ont des seins
Les femmes sont leurs seins ?
Les femmes ont
Des seins.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Juillet
Le coronavirus et le confinement
J'allais au Corona acheter du tabac
La police me vit et voiture stoppa
Il était déjà tard après le firmament
Après le couvre-feu le tabac ferme tard
Il y avait quatre policiers qui tournaient
Alors mon attestation montrer je devais
Ils m'avaient allumé de tout plein de leurs phares
Alors je leur montrai mon papier téléphone
Comme quelqu'un répond quand la patronne sonne
Alors je leur montrai étaient-ils donc contents
D'être contents peut-être auraient-ils préféré
Pouvoir verbaliser pouvoir en référer
Alors se moquèrent pour pas perdre leur temps.
Le coronavirus et le confinement
J'allais au Corona acheter du tabac
La police me vit et voiture stoppa
Il était déjà tard après le firmament
Après le couvre-feu le tabac ferme tard
Il y avait quatre policiers qui tournaient
Alors mon attestation montrer je devais
Ils m'avaient allumé de tout plein de leurs phares
Alors je leur montrai mon papier téléphone
Comme quelqu'un répond quand la patronne sonne
Alors je leur montrai étaient-ils donc contents
D'être contents peut-être auraient-ils préféré
Pouvoir verbaliser pouvoir en référer
Alors se moquèrent pour pas perdre leur temps.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
.
Quand on ne sait pas poétiser,
ni même s'exprimer en français,
assurément, ne vaudrait-il mieux
laisser tomber et recommencer,
ailleurs, le traditionnel, hélas!
pénible, sans queue ni tête,
interminable, soliloque.
.
(septain en 9)
.
Quand on ne sait pas poétiser,
ni même s'exprimer en français,
assurément, ne vaudrait-il mieux
laisser tomber et recommencer,
ailleurs, le traditionnel, hélas!
pénible, sans queue ni tête,
interminable, soliloque.
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(septain en 9)
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gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Nos poèmes
Gattopardo n'écrit pas
Alors il
Critique les autres
Impuissance chérie
Est sa religion.
Alors il
Critique les autres
Impuissance chérie
Est sa religion.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
.
Pouvez-vous me rappeler le titre de ce sujet?
"Nos poèmes" NOS poèmes?
pouvez-vous, invité ou importun, en exhiber un, un seul?
De préférence écrit en français intelligible, et sans faute.
Je déplore que certains prétendent écrire avant d'avoir appris à lire.
gattopardo a écrit, écrira et écrit actuellement.
Voir le petit texte légèrement satirique* (septain en 9).
Et lisez en levant les yeux du bout de votre nez avant de raconter des carabistouilles.
*SATIRE
Œuvre en vers dans laquelle le poète tourne en dérision les défauts et les vices d'une personne (souvent en la nommant), d'une société, d'une institution. CNRTL
.
Pouvez-vous me rappeler le titre de ce sujet?
"Nos poèmes" NOS poèmes?
pouvez-vous, invité ou importun, en exhiber un, un seul?
De préférence écrit en français intelligible, et sans faute.
Je déplore que certains prétendent écrire avant d'avoir appris à lire.
gattopardo a écrit, écrira et écrit actuellement.
Voir le petit texte légèrement satirique* (septain en 9).
Et lisez en levant les yeux du bout de votre nez avant de raconter des carabistouilles.
*SATIRE
Œuvre en vers dans laquelle le poète tourne en dérision les défauts et les vices d'une personne (souvent en la nommant), d'une société, d'une institution. CNRTL
.
gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Nos poèmes
Satire gattopardienne
Bonjour c'est gattopardo
Pardon
.
Bonjour c'est gattopardo
J'aime que l'on respecte les règles
C'est vrai, mais hélas !
Que dis-je hélas, las !
Par tant de ma mie fut-il été
Ô...
Ô je n'ai rien à dire ma mie
A part que je suis gattopardo
Pour te servir au cas où
Au cas où, au cas pas où, pas au cas où
Mais que dis-je, ah là là
Oooooooooooooooooooooooooooooooh
Je suis tellement moi
Que je suis bien
Au pas cas où
Excusez-moi de vous faire de l'ombre
Ma mie je suis là au cas où
Mon nom est
Correcteur orthographique*
Pour vous servir
Votre dévoué
gattopardo**
.
* je fais aussi la correction syntaxique mais je n'ose le dire par pure humilité
** j'ai mis un g minuscule car oui oui je suis si humble
Bonjour c'est gattopardo
Pardon
.
Bonjour c'est gattopardo
J'aime que l'on respecte les règles
C'est vrai, mais hélas !
Que dis-je hélas, las !
Par tant de ma mie fut-il été
Ô...
Ô je n'ai rien à dire ma mie
A part que je suis gattopardo
Pour te servir au cas où
Au cas où, au cas pas où, pas au cas où
Mais que dis-je, ah là là
Oooooooooooooooooooooooooooooooh
Je suis tellement moi
Que je suis bien
Au pas cas où
Excusez-moi de vous faire de l'ombre
Ma mie je suis là au cas où
Mon nom est
Correcteur orthographique*
Pour vous servir
Votre dévoué
gattopardo**
.
* je fais aussi la correction syntaxique mais je n'ose le dire par pure humilité
** j'ai mis un g minuscule car oui oui je suis si humble
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Satire gattopardienne II
Bonjour c'est gattopardo
Pardon
.
Bonjour c'est gattopardo
J'aime la poésie
J'aime le gatto
J'aime le pardo
Au fond je suis un sensible*
Toujours avec bienveillance
gattopardo
.
* je n'aime pas la violence
Bonjour c'est gattopardo
Pardon
.
Bonjour c'est gattopardo
J'aime la poésie
J'aime le gatto
J'aime le pardo
Au fond je suis un sensible*
Toujours avec bienveillance
gattopardo
.
* je n'aime pas la violence
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Blanche neige et les septains
[spin off]
Alors que la neige était bien blanche
Toute de tresses vêtue
Blanche neige que n'allant
Sur les chemins que vaille
Et tressaille ainsi
Ou diffère
Oh !
[second]
Tandis qu'arriva le chasseur
Qui de la belle était éprise
La belle au bois dormant ?
Mais non blanche neige
Ah ok
Blanche neige tressauta
Oh !
*épris
[final]
Alors qu'ils contaient fleurette
Un deux trois quatre cinq six sept
Blanche neige était toute rouge
Le chasseur était plutôt grenat
Fornication allait bien
Elle lui montra son fruit
Oh !
gattopardo, d'humeur galante
[spin off]
Alors que la neige était bien blanche
Toute de tresses vêtue
Blanche neige que n'allant
Sur les chemins que vaille
Et tressaille ainsi
Ou diffère
Oh !
[second]
Tandis qu'arriva le chasseur
Qui de la belle était éprise
La belle au bois dormant ?
Mais non blanche neige
Ah ok
Blanche neige tressauta
Oh !
*épris
[final]
Alors qu'ils contaient fleurette
Un deux trois quatre cinq six sept
Blanche neige était toute rouge
Le chasseur était plutôt grenat
Fornication allait bien
Elle lui montra son fruit
Oh !
gattopardo, d'humeur galante
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Recette du gattopardo au citron et à la cannelle
Vous avez très faim et trépasse si ne mange
Ne vous reste guère qu'une once de farine
Un peu de sucre et de coulis de framboisine
Un citron, de la cannelle venus des anges
Un peu de beurre qu'apporta votre cousine
Votre estomac gargouille plus que notre Dame
De peur que de diète votre corps ne se pâme
Vous décidez une entreprise de cuisine
Respectant la lettre et l'esprit de la recette
L'orthographe des ingrédients dans votre quête
Vous pétrissez cela respectant la grammaire
Avec le citron et la cannelle d'antan
Avec application en prenant votre temps
Vous invitez amis, notables et le maire.
Vous avez très faim et trépasse si ne mange
Ne vous reste guère qu'une once de farine
Un peu de sucre et de coulis de framboisine
Un citron, de la cannelle venus des anges
Un peu de beurre qu'apporta votre cousine
Votre estomac gargouille plus que notre Dame
De peur que de diète votre corps ne se pâme
Vous décidez une entreprise de cuisine
Respectant la lettre et l'esprit de la recette
L'orthographe des ingrédients dans votre quête
Vous pétrissez cela respectant la grammaire
Avec le citron et la cannelle d'antan
Avec application en prenant votre temps
Vous invitez amis, notables et le maire.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Août
Terre d'asile de volcans de perdition
Terre des solitudes solaires, des vents
Des bestiales marées, des biscuits pour enfant
Du sable sur ta peau qui te met des frissons
Yiyun je t'attends je te rêve je t'inventre
Quand tu parlais au ciel qui poussait les nuages
Tu pleurais de tristesse entre tes deux orages
Le magma de la terre grondait dans ton ventre
Ton ventre profané par les diseurs de rien
Avant que tu meures tuées par des vauriens
Que mon cœur implose que mes yeux ne voient plus
Tu m'as dit ces mots doux et cruels à la fois
Ces mots que je n'oublie qui restent malgré moi
"Je t'aime mon cher Mathieu" puis tu disparus.
Terre d'asile de volcans de perdition
Terre des solitudes solaires, des vents
Des bestiales marées, des biscuits pour enfant
Du sable sur ta peau qui te met des frissons
Yiyun je t'attends je te rêve je t'inventre
Quand tu parlais au ciel qui poussait les nuages
Tu pleurais de tristesse entre tes deux orages
Le magma de la terre grondait dans ton ventre
Ton ventre profané par les diseurs de rien
Avant que tu meures tuées par des vauriens
Que mon cœur implose que mes yeux ne voient plus
Tu m'as dit ces mots doux et cruels à la fois
Ces mots que je n'oublie qui restent malgré moi
"Je t'aime mon cher Mathieu" puis tu disparus.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
À mon père
Septembre
À mon père
Sur les entreforts des paysages sauvages
Rutile chatoyante la lymphe du fleuve
Et que tombe la pluie et que le souffle pleuve
De chaque histoire passée déposant la rage
De vivre et de mourir et de jouir et souffrir
Sans fin je veux mon jeu et sans fin je veux toi
Toi je te veux toi que tu ne sois que pour moi (-> mon père)
Que mon pleur soit ton pleur et ton rire mon rire (toujours lui)
Jusqu'à la possession jusqu'à l'étouffement
Sans ta voix j'étouffe à chacun de mes pas _ (Qui donc ? Mon reup !)
De l'automne chérie tous les étés sont morts
La trépanation n'empêche les hurlements
Sans tes joues qui piquaient je ne te vois pas _ (deuxième syllabe de papa)
Tes yeux qui me bordaient et me bordent encore. (Pas ma mère, mon père)
(À mon père)
Précision informative : ce poème parle de mon père et non de mon grand-père.
Septembre
À mon père
Sur les entreforts des paysages sauvages
Rutile chatoyante la lymphe du fleuve
Et que tombe la pluie et que le souffle pleuve
De chaque histoire passée déposant la rage
De vivre et de mourir et de jouir et souffrir
Sans fin je veux mon jeu et sans fin je veux toi
Toi je te veux toi que tu ne sois que pour moi (-> mon père)
Que mon pleur soit ton pleur et ton rire mon rire (toujours lui)
Jusqu'à la possession jusqu'à l'étouffement
Sans ta voix j'étouffe à chacun de mes pas _ (Qui donc ? Mon reup !)
De l'automne chérie tous les étés sont morts
La trépanation n'empêche les hurlements
Sans tes joues qui piquaient je ne te vois pas _ (deuxième syllabe de papa)
Tes yeux qui me bordaient et me bordent encore. (Pas ma mère, mon père)
(À mon père)
Précision informative : ce poème parle de mon père et non de mon grand-père.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Octobre
Octobre Ô Anni dans le sourire d'un fou
Anni aux yeux allongés comme l'horizon
Anni aux yeux tristes tu n'as plus de maison
Mais tu as l'âme fée tu es forte et debout
Dans les montagnes du sud ton pays sans bruit
Sans possession de toi ni de moi tu m'expliques
Tu m'expliques en regards le jour et la nuit
Le bruit de tes regards une douce musique
Quand l'orage produit sur toi les douleurs vives
D'un monde sans dessus d'un monde sans dessous
Tu pagaies pour passer d'un bord à l'autre rive
Pour sourire et marcher et gagner quatre sous
Si tes pas mesurés te mènent jusqu'à moi
Je t'offrirai un sol je t'offrirai un toit.
Octobre Ô Anni dans le sourire d'un fou
Anni aux yeux allongés comme l'horizon
Anni aux yeux tristes tu n'as plus de maison
Mais tu as l'âme fée tu es forte et debout
Dans les montagnes du sud ton pays sans bruit
Sans possession de toi ni de moi tu m'expliques
Tu m'expliques en regards le jour et la nuit
Le bruit de tes regards une douce musique
Quand l'orage produit sur toi les douleurs vives
D'un monde sans dessus d'un monde sans dessous
Tu pagaies pour passer d'un bord à l'autre rive
Pour sourire et marcher et gagner quatre sous
Si tes pas mesurés te mènent jusqu'à moi
Je t'offrirai un sol je t'offrirai un toit.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Réfléchir n'empêche pas de danser
Alors je danse je danse je danse
Et les pieds se tapent la discu
Je n'sais pas de quoi ils parlent.
Alors je danse je danse je danse
Et les pieds se tapent la discu
Je n'sais pas de quoi ils parlent.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Mon art a mûrit dans les abymes
Une armurerie de rimes
Une armurerie de rimes
Charly1998- Messages : 1
Date d'inscription : 10/07/2023
Age : 26
Localisation : Clermont-Ferrand
Re: Nos poèmes
Ils copulaient comme des martyrs
Des martyrs de la révolution
Des martyrs de la libération.
Des martyrs de la révolution
Des martyrs de la libération.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La jolie vendeuse
Qui déploie ses ailes
Et la peau râpeuse
De ses deux aisselles
La mine réjouie
Sous ses cheveux noirs
Sous ses yeux qui rient
Ses lèvres miroirs
Le temps reste coi
Il n'est plus le mien
Un je ne sais quoi
Un je ne sais rien
Figure stellaire
L'instant suspendu
Le sourire offert
De ses bras charnus.
Qui déploie ses ailes
Et la peau râpeuse
De ses deux aisselles
La mine réjouie
Sous ses cheveux noirs
Sous ses yeux qui rient
Ses lèvres miroirs
Le temps reste coi
Il n'est plus le mien
Un je ne sais quoi
Un je ne sais rien
Figure stellaire
L'instant suspendu
Le sourire offert
De ses bras charnus.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Novembre
La zone la zone la zone intermédiaire
Des feux des voiles et tempêtes étouffées
Le temps passé le temps présent ébouriffés
Le futur est la voie un asile un repaire
Alors Gerbette un pastis cosmopolitain
Je veux sex and the table sex and the summer
Dans les rues étoilées je me rue sur ta fleur
Les étoiles des poils et jambes de putain
Mais novembre est torride il faut se retenir
Cet impromptu sommet du summer en automne
Cet ambigu sonnet du sonneur qui veut jouir
Regarde Gerbette les passants qui s'étonnent
Qui s'étonnent que le présent existe encore
Dans tes yeux jolis yeux dans ton corps noble corps.
La zone la zone la zone intermédiaire
Des feux des voiles et tempêtes étouffées
Le temps passé le temps présent ébouriffés
Le futur est la voie un asile un repaire
Alors Gerbette un pastis cosmopolitain
Je veux sex and the table sex and the summer
Dans les rues étoilées je me rue sur ta fleur
Les étoiles des poils et jambes de putain
Mais novembre est torride il faut se retenir
Cet impromptu sommet du summer en automne
Cet ambigu sonnet du sonneur qui veut jouir
Regarde Gerbette les passants qui s'étonnent
Qui s'étonnent que le présent existe encore
Dans tes yeux jolis yeux dans ton corps noble corps.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Avant j’étais là, à cet endroit, assis, et j’étais bien
Je baignais dans quelque chose
Qui nous entoure mais que l’on ne voit pas
Aussi il faisait beau,
Le soleil brillait très fort, je me souviens
J’étais assis sur un banc devant une église
Après j’ai été à un autre endroit
Je savais que je n’aurai pas dû partir
J’aurais du rester là
Je baignais dans quelque chose
Qui nous entoure mais que l’on ne voit pas
Aussi il faisait beau,
Le soleil brillait très fort, je me souviens
J’étais assis sur un banc devant une église
Après j’ai été à un autre endroit
Je savais que je n’aurai pas dû partir
J’aurais du rester là
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Décembre
Il y avait Galina ce soir-là le ciel
Le ciel bleu du couchant l'âtre doux de nos cœurs
Le ciel rose suspendu suspendues nos peurs
Que tu étais jolie et que tu étais belle
Et que cela n'avait que si peu d'importance
Allégés de beauté sans autre société
Comme la chute annule toute gravité
Nous étions arrêtés nous étions en partance
Devant nos deux cafés sur la toile de danse
Une fuite sauvage une immobile transe
Nous respirions le ciel nous respirions le temps
De ton sourire rose et de tes mains dorées
Des serveurs portant de délicieux mets sucrés
Je te le dirai un jour sûrement mais quand.
Il y avait Galina ce soir-là le ciel
Le ciel bleu du couchant l'âtre doux de nos cœurs
Le ciel rose suspendu suspendues nos peurs
Que tu étais jolie et que tu étais belle
Et que cela n'avait que si peu d'importance
Allégés de beauté sans autre société
Comme la chute annule toute gravité
Nous étions arrêtés nous étions en partance
Devant nos deux cafés sur la toile de danse
Une fuite sauvage une immobile transe
Nous respirions le ciel nous respirions le temps
De ton sourire rose et de tes mains dorées
Des serveurs portant de délicieux mets sucrés
Je te le dirai un jour sûrement mais quand.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Tête au vent
Gorge circonspecte
Regard voletant
Écoute indirecte
Gestes alanguis
Rythme terre
Précis,
Comme un solitaire
Gorge circonspecte
Regard voletant
Écoute indirecte
Gestes alanguis
Rythme terre
Précis,
Comme un solitaire
Re: Nos poèmes
Plein l’aime en secret
Et elle aime aussi quelqu’un
Parce qu’elle sourit parfois
Et elle aime aussi quelqu’un
Parce qu’elle sourit parfois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
C'est chose toute faite
Que d'écraser un peu de volonté
Se mettre en fête
L' opium, la cruauté
Que d'écraser un peu de volonté
Se mettre en fête
L' opium, la cruauté
Re: Nos poèmes
Janvier
Si le bateau est mûr alors je partirai
Je partirai sur le chemin de nos vancances
Quand le soleil fait regarder sans insouciance
Le sable blanc sur le goudron et il paraît
Que le sac de plage sur la dune qui frotte
Est si lourd qu'il fait ployer et traîner des pieds
Et Maman nous dit que c'est là-bas qu'on s'assied
Le sable pique il y a de l'herbe alors on trotte
Le sable est chaud et poudreux mais si l'on s'y perd
Il faut marcher pour arriver et reprendre air
Mais le sol est si mou que je trébuche et roule
Et vois ma mère et mes sœurs arriver là-bas
Tandis je m'agite et m'essouffle et me bat
Alors je me repose et regarde la houle.
Si le bateau est mûr alors je partirai
Je partirai sur le chemin de nos vancances
Quand le soleil fait regarder sans insouciance
Le sable blanc sur le goudron et il paraît
Que le sac de plage sur la dune qui frotte
Est si lourd qu'il fait ployer et traîner des pieds
Et Maman nous dit que c'est là-bas qu'on s'assied
Le sable pique il y a de l'herbe alors on trotte
Le sable est chaud et poudreux mais si l'on s'y perd
Il faut marcher pour arriver et reprendre air
Mais le sol est si mou que je trébuche et roule
Et vois ma mère et mes sœurs arriver là-bas
Tandis je m'agite et m'essouffle et me bat
Alors je me repose et regarde la houle.
Dernière édition par Le Goufig le Mar 3 Oct 2023 - 17:45, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'on me dit "sois toi-même"
Toutefois,
Le temps que lui me le dise :
Sur les pointes de l'extrême
Dans le lit d'un poème
Sous la course d'un nuage
À l'afflux d'un mirage
Mille fois,
Mon esprit va et se ravise
Toutefois,
Le temps que lui me le dise :
Sur les pointes de l'extrême
Dans le lit d'un poème
Sous la course d'un nuage
À l'afflux d'un mirage
Mille fois,
Mon esprit va et se ravise
Re: Nos poèmes
dis donc ça
rendez vous
« ... mais fais pas le malin ptin mais tu vas voir, tu...
ils, Sarty, vraiment,
vous êtes tellement CONS mais
cons ! les jeunes, mais - tellement » en avoir le secret
et cette romantique idée
du berger, de la bergère, coquille d'œuf
quoi qu'on bêle... suivre tous les conseils
le bâton ne frappe plus là-bas, en bas, juste
par terre : il est perché, levé
plus si dur dit-on
lol la violence avait pris son air laʃépʁiz
étranger
d'être supposée bête, absurde, et même
passée le mot de trop
la photo du bâton
que me dit-on à l'oreille ? laisser (moi) aller
c'est la douceur... belle
elle appelle tous faits pour
(les coups, d'un con tenir
la force, pero estoy celoso
de tuer)
tout "à prendre party
soi"
se connaissant et se voulant à travers
la forme bonne
et puis voilà, perdre la vue
quoi. temps clair
souffle gelé de l'air
comme ayant
imprimé sur tout où tout entraîne
le tremblement
le recueillement rendrez vous
des bêtes sans
toit. lol mon mot à dire «
ne me regarde pas d'autres phrases à toi
dis-donc ça crie chez les voisins
rendez vous
suivre tous les conseils
rendez vous
« ... mais fais pas le malin ptin mais tu vas voir, tu...
ils, Sarty, vraiment,
vous êtes tellement CONS mais
cons ! les jeunes, mais - tellement » en avoir le secret
et cette romantique idée
du berger, de la bergère, coquille d'œuf
quoi qu'on bêle... suivre tous les conseils
le bâton ne frappe plus là-bas, en bas, juste
par terre : il est perché, levé
plus si dur dit-on
lol la violence avait pris son air laʃépʁiz
étranger
d'être supposée bête, absurde, et même
passée le mot de trop
la photo du bâton
que me dit-on à l'oreille ? laisser (moi) aller
c'est la douceur... belle
elle appelle tous faits pour
(les coups, d'un con tenir
la force, pero estoy celoso
de tuer)
tout "à prendre party
soi"
se connaissant et se voulant à travers
la forme bonne
et puis voilà, perdre la vue
quoi. temps clair
souffle gelé de l'air
comme ayant
imprimé sur tout où tout entraîne
le tremblement
le recueillement rendrez vous
des bêtes sans
toit. lol mon mot à dire «
ne me regarde pas d'autres phrases à toi
dis-donc ça crie chez les voisins
rendez vous
suivre tous les conseils
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
Age : 27
Localisation : lyon
Re: Nos poèmes
Il n’y a rien de mieux à mes yeux
Que la chaleur et la quiétude
Tout le monde s’aime
Et demain tout recommence
Que la chaleur et la quiétude
Tout le monde s’aime
Et demain tout recommence
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je suis là où les enfants s'inventent
S'invitent dans les décors, les courses imaginaires
Là où l'amoureux soupir, l'attente
S'installent les voeux et le désir qui se fait chair
Je suis l'endroit où le poète s'allonge
S'oublient le rêve comme la réalité
Là oû le penseur se plonge
Guettant l'épiphanie d'une autre vérité
Je suis, quand tout abandonné
Oû l'ordre de l'expérience
Du temps tout rassemblé, et
Qui croit bien me tromper
Faute d'exigence
Se trahira seulement d'absence
S'invitent dans les décors, les courses imaginaires
Là où l'amoureux soupir, l'attente
S'installent les voeux et le désir qui se fait chair
Je suis l'endroit où le poète s'allonge
S'oublient le rêve comme la réalité
Là oû le penseur se plonge
Guettant l'épiphanie d'une autre vérité
Je suis, quand tout abandonné
Oû l'ordre de l'expérience
Du temps tout rassemblé, et
Qui croit bien me tromper
Faute d'exigence
Se trahira seulement d'absence
Re: Nos poèmes
Wikipedia
Bradley Cooper, acteur, réalisateur, producteur et chanteur américain
Claude Lévi-Strauss, anthropologue et ethnologue français
Jean-Jacques Goldman, auteur-compositeur-interprète français, producteur et guitariste soliste
Mireille Dumas, journaliste, réalisatrice, productrice et animatrice de télévision française
Billy Bob Thornton, acteur, réalisateur, scénariste, producteur et musicien américain
Laurent Fabius, homme d'État français
Brad Pitt, acteur et producteur de cinéma américain
Leonhard Euler, mathématicien et physicien suisse
Léonard de Vinci, peintre polymathe, simultanément artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain
Joanne Rowling, romancière et scénariste britannique
Marguerite Duras, femme de lettres, dramaturge, scénariste et réalisatrice française
John Ronald Reuel Tolkien, écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur d’université britannique
Charlotte Brontë, romancière et poétesse anglaise
Sergueï Vassilievitch Rachmaninov, compositeur, pianiste virtuose et chef d'orchestre russe, naturalisé américain.
Bradley Cooper, acteur, réalisateur, producteur et chanteur américain
Claude Lévi-Strauss, anthropologue et ethnologue français
Jean-Jacques Goldman, auteur-compositeur-interprète français, producteur et guitariste soliste
Mireille Dumas, journaliste, réalisatrice, productrice et animatrice de télévision française
Billy Bob Thornton, acteur, réalisateur, scénariste, producteur et musicien américain
Laurent Fabius, homme d'État français
Brad Pitt, acteur et producteur de cinéma américain
Leonhard Euler, mathématicien et physicien suisse
Léonard de Vinci, peintre polymathe, simultanément artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain
Joanne Rowling, romancière et scénariste britannique
Marguerite Duras, femme de lettres, dramaturge, scénariste et réalisatrice française
John Ronald Reuel Tolkien, écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur d’université britannique
Charlotte Brontë, romancière et poétesse anglaise
Sergueï Vassilievitch Rachmaninov, compositeur, pianiste virtuose et chef d'orchestre russe, naturalisé américain.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Février
Alors quelle heure est-il et quand partirons-nous
Mais partir faut-il s'il vous plaît dans quel endroit
Alors où sommes-nous de travers ou tout droit
Ne soyez pas brutaux mais ne soyez pas mous
J'aime quand il y a quand c'est plus ou moins moindre
C'est selon c'est selon c'est selon c'est selon
Si c'est court c'est pas long si c'est pas court c'est long
Tu ne vois rien venir ne le vois-tu point poindre
Ce mois de février qui nous a fait vriller
Une bête de somme ma mère ouvrier
Qui mit au monde le deux le divin enfant
C'est-à-dire moi déjà fourbu de la tâche
Que je dois faire à langue à harangue et à hâche
Jadis beau garçon hui gros comme un éléphant.
Alors quelle heure est-il et quand partirons-nous
Mais partir faut-il s'il vous plaît dans quel endroit
Alors où sommes-nous de travers ou tout droit
Ne soyez pas brutaux mais ne soyez pas mous
J'aime quand il y a quand c'est plus ou moins moindre
C'est selon c'est selon c'est selon c'est selon
Si c'est court c'est pas long si c'est pas court c'est long
Tu ne vois rien venir ne le vois-tu point poindre
Ce mois de février qui nous a fait vriller
Une bête de somme ma mère ouvrier
Qui mit au monde le deux le divin enfant
C'est-à-dire moi déjà fourbu de la tâche
Que je dois faire à langue à harangue et à hâche
Jadis beau garçon hui gros comme un éléphant.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les si lançaient comme des plaies
Et si, et si
Et si, et si
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Nos poèmes
Ce monde est sans fin
Brisons nos barques contre les couleurs des saisons
Au pied d'une vieille colline, d'un arbre ou
D'un château mis en ruine
saisis-toi l'enfin
D'un lieu sans promissions
Du grand fait d'être le fou
Qui compare l’être
Le naître et l'apparaître
Pareil à l'aubépine
Brisons nos barques contre les couleurs des saisons
Au pied d'une vieille colline, d'un arbre ou
D'un château mis en ruine
saisis-toi l'enfin
D'un lieu sans promissions
Du grand fait d'être le fou
Qui compare l’être
Le naître et l'apparaître
Pareil à l'aubépine
Re: Nos poèmes
Vide au bureau
Il y a la clim ?
Je sais pas
J'espère qu'ils vont bientôt la mettre
Il y a la clim je crois
Il faut régler sur 5
Ne mettez pas la clim
Il fait trop froid après
Mettez la clim
Ne la mettez pas
Il y a la clim ?
Il y a la clim ?
Je sais pas
J'espère qu'ils vont bientôt la mettre
Il y a la clim je crois
Il faut régler sur 5
Ne mettez pas la clim
Il fait trop froid après
Mettez la clim
Ne la mettez pas
Il y a la clim ?
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a tant et tant dans ma mémoire
Des rêves
Souvent égarés
Vers et toi
Viens et moi
Sûrement effaré
Des rêves
Souvent égarés
Vers et toi
Viens et moi
Sûrement effaré
Re: Nos poèmes
Mars
J'ai parfois perdu ma jeunesse dans les pages
D'amants ensorcelés d'aventuriers ardus
D'automnes sous la pluie de destins et de dus
De désert dans Paris inquiétants paysages
Il y avait parfois des gros monstres horribles
Des lutins des génies des géants et des elfes
Des oracles mayas et des pythies de Delphes
Et religieux je lisais comme autant de Bibles
Les femmes sont sexy et les hommes musclés
De ces rêves idiots mon esprit est captif
Ces souvenirs anciens sont autant de récifs
Autant de coffres-forts dont je n'ai plus la clé
Vie Ô vie reviens à moi et éclaire-moi
Ramène mes pans de vie tristesse et émoi.
J'ai parfois perdu ma jeunesse dans les pages
D'amants ensorcelés d'aventuriers ardus
D'automnes sous la pluie de destins et de dus
De désert dans Paris inquiétants paysages
Il y avait parfois des gros monstres horribles
Des lutins des génies des géants et des elfes
Des oracles mayas et des pythies de Delphes
Et religieux je lisais comme autant de Bibles
Les femmes sont sexy et les hommes musclés
De ces rêves idiots mon esprit est captif
Ces souvenirs anciens sont autant de récifs
Autant de coffres-forts dont je n'ai plus la clé
Vie Ô vie reviens à moi et éclaire-moi
Ramène mes pans de vie tristesse et émoi.
Invité- Invité
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