le(s) dernier(s) film(s) que vous avez vu

« Last night in Soho » :

Une créatrice de mode est mystérieusement capable de se rendre dans les années 1960, où elle rencontre un chanteur. Cependant, le luxe qu'elle découvre n'est pas tout ce qu'il semble être, et les rêves du passé commencent à se transformer en quelque chose de bien plus sombre.

«  Young promising woman » :

Cassie était une jeune femme pleine d'avenir jusqu'à ce qu'un évènement inattendu ne vienne tout bouleverser. Mais rien dans la vie de Cassie n'est en fait conforme aux apparences : elle est aussi intelligente que rusée, séduisante que calculatrice et mène une double vie dès la nuit tombée. Au cours de cette aventure passionnante, une rencontre inattendue va donner l'opportunité à Cassie d'expier les erreurs de son passé.



Je passe les autres que j’ai trouvés sans intérêt.

Tre piani
Les éternels
Nina Wu
Venom 2 [let there be carnage]
Mourir peut attendre
Haute couture
Amants
Last night in soho
Cry macho
House of Gucci
Alita
Sale temps à l'hôtel El Royale
Aline

Je passe les autres que je n'ai pas vus.

S.O.S. Fantômes : l'héritage.

Ça vaut le coup pour les deux excellents actrice et acteur qui font les deux gamins : McKenna Grace et Logan Kim. Sinon il faut pas être trop regardant.

Un bon film se reconnaît-il à une salle qui se tait mais ne dort pas.

La méthode Williams.

Walt Disney drague les Latinos.

Encanto.

Un homme en colère inspiré du film français "le convoyeur".

S.O.S Fantômes : L'héritage.

Ah merde je l'avais déjà vu. Je m'disais aussi ça m'disait quelque chose.

West side Story de Spielberg. Un classicisme chaleureux, des images vivantes et colorées, c'est du Spielberg. Dédicacé à son père ["dad"]. La musique originale de Léonard Bernstein. Peut-être un hommage à l'original.

Les Tuche 4. J'avoue que j'aime ce genre d'humour.

West Side Story en VOST, toujours de Spielberg.

Alors ça passe beaucoup mieux version originale. Ci-dessous quelques commentaires.

Spoiler:

House of Gucci VO

Spoiler:

Ocean's thirteen. Beau film à regarder au sens propre et à écouter pour la BO très je sais pas... Années 80 ?

Vaiana, la légende du bout du monde. Disney n'innove pas trop côté ressorts dramatiques mais visuellement très riche, une eau qu'on a envie de toucher, des personnages qu'on a envie de palper [en tout respect].

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La filature avec Jackie Chan. Même en dehors de ses prouesses physiques Jackie Chan dans ses démarches montre un corps d'une maîtrise de haut niveau.

Johnny English strikes back. Je trouve qu'il sait allier humour à l'anglaise et burlesque.
Sonic. Le personnage joué par Jim Carrey est intéressant, il fait penser à un asperger qui aurait basculé du côté obscur.
Matrix Resurrections. Sans les 15 dernières minutes. C'est thérapeutique. Cela avait tellement été un choc à l'époque, à tous points de vue, qu'il fallait une sorte d'après shampoing réparateur [j'voulais pas voir la fin, pour pas me spoiler].
Don't look up, sur Netflix. J'aime bien la "ligne éditoriale" de Netflix, la "direction artistique", je trouve qu'il y a une vraie ambition créatrice. Leur degré de personnalisation est aussi assez évolué, contrairement à Primevideo ou Disney+. Mais je parle peut-être à des allergiques de plates-formes de streaming grand public.
Matrix Resurrections. En entier c'est mieux. Il y a quelques différences notables avec les trois premiers. Principalement : beaucoup moins sombre, et plus coloré : l'on ne trouve plus cette binarité bleu réalité et vert virtuel. Il est également un peu moins sérieux. Il y a des courts passages des trois premiers mais également des références, un peu comme une suite qui s'assume.
Wind river. Film poignant qui se déroule dans une réserve.
Charlie et la chocolaterie. Comme tous ceux qui ont regardé TF1 ce soir.
Quand l'inspecteur s'en mêle. De Blake Edwards avec Peter Sellers.

L'Evénement par Audrey Diwan
Oranges sanguines de Jean-Christophe Meurisse
Bad Luck Banging or Loony Porn de Radu Jude
Un endroit comme un autre de Uberto Pasolini

The King's Man : première mission. Collection disponible sur https://www.mrporter.com/en-us/mens/designer/kingsman.
Spider-Man : No Way Home. Intéressante prestation de Benedict Cumberbatch.

"Don’t Look Up" Adam McKay.

Matrix Résurrection. Avec le générique de fin.
Spider-Man: No Way Home. En IMAX 3D et VO. Je n'aime pas trop la 3D les personnages ont l'air tout petits. J'aime bien l'IMAX.
Kingsman : Première mission. Sans le début mais en IMAX. Il est assez différent des deux premiers, voire mieux : plus léger et plus triste à la fois, moins trash, mieux raconté.

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Que d'enthousiasme.

Atroce et donc indispensable ”Une affaire de femmes” à voir vite Ici. Galère de retenir ses larmes.
Ce film est par ailleurs merveilleusement ambigu et ça... j’aime. Elle le fait aussi pour le pognon !

J’ai bien connu ces temps. Non connard ! pas ceux de la seconde guerre mondiale ceux de la pénalisation criminelle de l’avortement.
Dans les milieux populaires, et plus encore ailleurs,  tout le monde savait qui ” savait les faire passer” dans son quartier. Seules les méthodes changeaient, sordides dans les premiers, correctes (toubibs ”marrons”) pour les autres. Et les femmes en crevaient ou restaient si souvent mutilées.
Quelle gerbe.
Jeunes gens vous ne mesurez pas vraiment à quel point la légalisation de la contraception et de l’avortement ont changé la vie. L’anorgasmie féminine lors du coït était très certainement liée (aussi mais pas seulement) à l’angoisse de la maternité.

Film de 1988 soit seulement 9 ans après la légalisation. Avec M. nous étions bien jeunes et pourtant militants de la cause (MFPF). À chaque époque ses luttes féministes aujourd’hui c’est un combat valeureux afin de promouvoir l’écriture inclusive.

Lovehard. Très décevant. Pas de SM. Remarquez le chinois a une tête marrante. Mais des lunettes. Les chinois ont un problème avec les lunettes. Ils ne savent pas les choisir. Remarquez. Le film finit bien. C'est l'essentiel. Et puis. Ce n'est pas tous les jours Noël. À ce propos. Joyeux Noël. Désolé. Mais les dates c'est pas mon fort. Noël non plus. Remarquez j'aime bien Noël. Tous ces gens qui s'agitent. Tous ces gens qui critiquent. Faut leur pardonner. Après tout c'est du business. Et puis. Les gens ont un but. Un point de mire. Vous voyez. Un point de fuite. Ceci dit je suis pas contre. La perspective. Le but. Mes amis. Le but.

Quelle est la différence entre l'objectif et le but. Mais c'est très simple. Je vais vous expliquer. L'objectif permet au but d'exister. Tandis que le but permet de se faire comprendre. Un but est compréhensible. Mais un objectif ? Pas toujours. Ben oui. Mais quel est le but de Noël ? Comme en résistance des matériaux, il faut imaginer la demi poutre. Ainsi, imaginer sans Noél. Un coït sans orgasme. Un long coït qui dure une année sans orgasme. Des va et vient quotidiens et tout ça pour quoi ? Finir pour recommencer ? Ah non point messieurs. Il me faut mon orgasme. Il me faut mon Noël. Il me faut mon but.

Ainsi l'on arrive à la notion d'orgasme. Le big bang de soulagement. La montée vers l'orgasme est un plaisir qui appelle un plus grand désir. Une sorte de réaction en chaîne. Une fuite en avant [selon la position]. Jusqu'au sommet, au climax. Ainsi l'espace d'une seconde [je parle de l'orgasme proprement dit] nous oublions cet étirement qui nous sépare inéluctablement de notre identité. Et ce bref retour à nous-même — assez long pour goûter le plaisir assez court pour ne pas le comprendre — calme un instant notre désarroi quotidien. Et l'on se prend à rêver : qu'y a-t-il de l'autre côté de cet orgasme. Qu'y a-t-il avant le big bang ?

Le but.

Un but. Mesdames Messieurs. Queers. Polygenres. Un but est toujours fabriqué. Un but donne le sens. La réalité est muable. Ainsi le but n'est jamais atteint. Ce qui est le but du but. Vous le suivez ? Non. C'est parce que je suis le but.

*me.

Un film est un coït. Alors. Me direz-vous. Un repas ? Un coït. Une journée ? Un coït. Une année ? Un coït. Alors. Faites du temps. Votre amant.

Hello Confit ça va mieux ?

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Dans devine qui vient dîner j'aime surtout le laïus du père à la fin. Aujourd'hui ça me fait penser à ma sœur et son mari qui ont adopté un petit éthiopien. Dans une moindre mesure.

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(s)ex list. Les 5 premières minutes ça compte ?

Salut ça va ? Je viens me réfugiir ici car je suis poursuivi sur mon fil habituel. J'ai finalement regardé les 101 minutes restantes. Cachez-moi. Comme je sais que tout le monde apprécie ma chronique cinéphallique. Donc il y a Chris & Vans, j'ai bien regardé sa coupe de cheveux. Comme je pense qu'il y a un lien entre cheveux et muscles je pense faire la même coupe et que mes muscles sailleront ainsi. Le dialogue entre le producteur et Chris.

— Chris ?
— Mmmh...
— J'ai un très mauvais scénario je pense que ce serait bien pour ta carrière
— Ok.

Je pense que ça se passe comme ça aux states. J'ai regardé sur une carte l'Amérique c'est assez grand par rapport à la France, mais il y a la mer.

L'histoire se passe à Boston [Boston comme disent les québécois, quoi que ça reste à prouver].

Fait intéressant : Chris se réfugie chez la fille pour fuir son coup d'un soir. Ça + la coupe de cheveux je pense que je vais bientôt avoir du muscle.

Merci Chris.

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La famille Tenenbaum de Wes Anderson.
https ://fr.wikipedia. org/wiki/La_Famille_Tenenbaum

Au ciné: Aline
En DVD: le procès paradine

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Monsieur Hire de Leconte avec Bonnaire et Blanc 1989.
Le rêve, l'espoir de la rédemption par l'amour, la trahison.
Sans pathos, sobre, efficace qui met définitivement mal, face à soi-même.

(pour info, c'est un remake de Panique de Duvivier 1947 que j'ai vu dans la foulée. Exercice intéressant)

L'affaire Thomas Crown.

"Koğuştaki Mucize "

Green lantern.
Ivresse et conséquences. Mais je pense que si l'on considère une granularité plus élevée on peut dire conséquence.
La menace Fantôme [Starwars épisode I]. C'est une époque où les images de synthèse se voient encore parfois.

L'attaque des clones [Starwars II]. Je trouve que c'est plus créatif que les marvel. Même si les marvel sont mieux techniquement faits.
Kill Bill I.
Mort sur le nil. Enfin sur un bateau sur le nil. Le nil est lui-même sur terre. La terre est dans l'espace. Mort dans l'espace quoi.
Dune. La figure d'un père intègre.

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Si t’aimes Rohmer, tu pourrais essayer Aki Kaurismaki, notamment « l’homme sans passé »

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King Kong [Peter Jackson].

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Le film 'Délicieux'

Attention ton post va s'auto-détruire.

[euh... Blague]

Les derniers films que j'ai vu au cinéma sont Lynx et la panthère des neiges.

A la TV, le dernier film qu j'ai vu en entier était Inception.

C'est un film inceptionnel.

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Le docu fait sur son cinéma m'a apporté des éléments de compréhension

Ah ? Je vais voir si je trouve ça. Nolan, c'est un réalisateur qui m'avait plu avec Memento, que j'ai même vu plusieurs fois mais il y a longtemps. A l'époque, c'était une chouette petite baffe, le traitement scénaristique de l'amnésie antérograde étant plutôt bien exploité. Il faut juste accepter une entorse au plausible (il sait souffrir de cette amnésie, ce qui est par définition impossible, plus aucun souvenir déclaratif ne pouvant être enregistré à partir du déclenchement), le reste est bien ficelé. Ce type d'amnésie (avec la petite entorse) donne un scénario intéressant. Bref, je suis hors sujet mais je recommande Memento. Il est dans les films mindfuck, là :
https://www.zebrascrossing.net/t22681-ces-films-mindfuck

Mememto où l'absence de mémorisation rend prisonnier, l'impossible guérison et la culpabilité, le jouet des autres.

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D'abord y'a eu 12 hommes en colère
Après y'a eu un homme en colère
J'attends - 10 hommes en colère
À moins que ce soit 1/12e homme en colère [je suis nul en suites logiques].

La bonne épouse. Loupé le début, sur France 3. Franchement j'ai bien aimé.

The Innocents de Eskil Vogt (non, ce n'est pas un nom de yaourt brassé...)
Dans une cité HLM désertée, quatre mioches aux aptitudes surnaturelles (télékinésie, télépathie) vont se rencontrer et se découvrir jusqu'à ce que l'un d'eux se révèle être un sacré enfoiré de psychopathe!
Entre fantastique et horreur, c'est surtout le caractère réaliste du truc qui rend la narration angoissante. Sobriété de la mise en scène, cruauté froide de ces chères têtes blonds : efficace! Méfions-nous des gamins....

The card counter de Paul Schrader
William.Tell, solitaire impassible, mais vraisemblablement bien en bordel à l'intérieur, est un joueur de carte pro. Discipliné, bardé de rituels chelous, il écume les casinos pour vivre.
Il est approché par le fils d'un ancien petit camarade militaire qui veut le rallier à son projet de vengeance (accessoirement, Will a eu un petit job bien dégueu de tortionnaire en Irak, pour lequel il a fait de la tôle, et qui l'a quelque peu déglingué....).
M. Tell, trouvant en ce gamin un fils de substitution et l'opportunité de mettre un peu d'affect dans son existence, va vouloir l'aider. Mais....
Oscar Isaac est génial, et ce film, beau, hyper créatif et réflexif! Ambiance tendue mais ultra attirante, BO top ; prenant de bout en bout!

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