Faut-il parler de ses rayures?
+14
Tille
Bibo
Plurebati
L'ange
Zigzag
Arkhèss
femmehonnete
Bouclette
Coyote
Vendetta
Lilou
Wayne
Bobslug
fraisedesbois
18 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Plurebati a écrit:"il me disait que ces critères sont adaptables à tout type de personne et que ça ne veut rien dire. "
Oui, c'est ce que j'ai pensé en lisant JSF , mais ma psy (c'est elle qui me l'a proposé de le lire) m'a dit que pas du tout, elle a bien développé et à peu près convaincue. Donc je ne sais pas si je suis HQI (il faut que je passe le test pour en être certaine) mais les ressentis correspondent à une réalité. Peut-être que lui aussi est un zèbre qui s'ignore, et qu'il pense comme je le faisais il y a peu que les personnes de son entourage sont comme lui, donc qu'il est "normal"... et toi aussi.
Pour lui, je ne sais pas du tout. C'est ce que j'ai longtemps pensé, le considérant comme foncièrement supérieur à moi sur beaucoup d'aspect, et puis il m'avait dit avoir 142 de QI.
Maintenant, après avoir vécu près d'un an avec lui, je n'ai relevé que très peu de signe d'un aspect zèbre. Alors qu'avec ma meilleure amie, en une soirée, j'étais persuadé qu'elle était comme moi, avec lui, en un an je ne vois rien.
Il est très bien intégré dans plusieurs groupes sociaux, n'a jamais eu aucun problème scolaire, m'a soutenu pouvoir très aisément "arrêter de penser", faire le vide. Il ne comprend même pas quand je lui dit que ça m'est impossible. Je lui ai parlé de la pensée en arborescence, tout ça... A part une excellente mémoire, je n'ai rien vu d'autre en lui. Et des raisonnements plus que logiques, mais toujours expliqués de manière simple, sans "âme" si je puis dire, sans complexité.
Je me suis dis que c'était peut-être ça, un zèbre heureux et épanoui, mais il a eu une vie presque aussi compliquée que la mienne, si ce n'est plus.
Alors je me dis que soit s'en est pas un, soit il a réussi là où j'ai échoué, aller bien malgré une vie des plus misérables. Bien entendu, je ne peux prendre comme exemple que mon propre cas, et je n'ai pas la prétention d'avoir la faculté de repérer un HP. Je ne suis pas psychologue, même si les zèbres ont toujours cette proportion élevé à être empathique, à comprendre, analyser, etc... Mais je n'ai fait aucune étude dans ce domaine, je ne me risquerais jamais à faire autre chose que des hypothèses.
Donc soit il est très intelligent mais n'a aucune zèbrure, soit elles sont vraiment très bien cachées et malgré mes explications sur le sujet avec mes nombreux exemples, il ne s'en rend pas compte lui-même. (ce qui m'étonnerait un peu, mais je n'en sais rien.)
Je reste modeste sur le sujet, je n'aime pas me prononcer. Je ne fais donc que des suppositions.
Merci également Pom pour les liens. Par contre, ta réponse manquait un peu d'argumentaire pour être compris plus en profondeur. ^^
Cela ne me dérange pas, si tu ne veux pas argumenter. Mais si ça te tente, je serais content de lire ton avis sur la question. Comprendre l'avis de mon coloc peut signifier, au sens propre, le comprendre, ce que je fais aussi. Mais il peut aussi vouloir dire, être de son avis, ce qui est totalement différent.
Avais-je tort de vouloir du soutien et d'être conforter par la personne la plus proche de moi actuellement ?
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Re: Faut-il parler de ses rayures?
C'est un pari, c'est du quitte ou double.
Je considère que les amis complets n'existent pas.
Il en faut un pour chaque choses.
Il ne ressent pas ce que tu ressens.
T'écouter lui faire part de ta sensibilité est peut être un rôle qu'il n'a pas envie de jouer.
Je considère que les amis complets n'existent pas.
Il en faut un pour chaque choses.
Il ne ressent pas ce que tu ressens.
T'écouter lui faire part de ta sensibilité est peut être un rôle qu'il n'a pas envie de jouer.
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Bibo a écrit:C'est un pari, c'est du quitte ou double.
Je considère que les amis complets n'existent pas.
Il en faut un pour chaque choses.
Il ne ressent pas ce que tu ressens.
T'écouter lui faire part de ta sensibilité est peut être un rôle qu'il n'a pas envie de jouer.
Oui, c'est surement ça. Mais je ne comprends pas vraiment ce raisonnement. Lorsque quelqu'un veut s'amuser, discuter de tout et de rien, je suis là. Si cette personne veut ensuite me faire part de quelque chose de plus intime, de sa sensibilité, pourquoi ne pas être là ? Soit on est complètement là pour quelqu'un, soit on ne l'est pas du tout.
Enfin, je ne dis pas que ça doit être la vision de chacun, seulement que j'ai du mal à la comprendre en son sens le plus profond. Je n'arrive pas à me mettre dans cette position, à sa place. Ça me parait soit illogique, soit égoïste.
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
L4nge a écrit:
Si cette personne veut ensuite me faire part de quelque chose de plus intime, de sa sensibilité, pourquoi ne pas être là ? Soit on est complètement là pour quelqu'un, soit on ne l'est pas du tout.
Notre identité est aussi culturelle.
Un homme qui se livre ça heurte le rôle prédéfinit.
A partir de là, toute une conversation peut être orientée vers le rejet de cette même conversation.
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Bonsoir à tous,
je ne sais pas s'il faut le dire... et je ne sais pas L4nge, pour ton coloc, à quoi est due sa réaction.
J'en ai parlé à deux personnes autour de moi.
Ma collègue de travail depuis à peine 8 mois : tout simplement parce que la découverte affectait mon travail, qu'on est 2 dans le bureau/la boîte et que j'en avais besoin. C'était un trop lourd "secret".
Elle n'a pas mal réagi. Elle a écouté. Elle a posé des questions. Elle n'était pas surprise ni en colère ni quoi que ce soit.
En fait, je ne lui ai pas dit pour qu'elle soit au courant. Je lui ai dit parce que vraiment je n'en pouvais plus de ne pas en parler à mes proches (amis, bien sûr - la famille est au courant).
Une amie que je connais depuis moins d'un an mais à qui je me confie bcp : elle m'a parlé du fils d'un de ses amis qui, venant juste d'apprendre les nombres, s'est mis à ne plus dormir pendant des nuits entières car il cherchait à savoir quel était le dernier nombre !!!
Et en fait, dans le discussion, j'ai fait le lien. Je l'ai dit à deux personnes en qui j'ai confiance et que je sais compréhensives. Mais en fait, je l'ai dit à deux personnes qui ont des traits similaires, surtout.
Alors je leur ai dit, plus tard : "moi, je n'en sais rien, mais je me pose la question et pose-te la à ton tour : pourquoi je te l'ai dit à toi ? Ce n'est peut-être pas anodin..."
Et au final, je suis persuadée que ma collègue l'est aussi! C'est devenu un jeu entre nous lorsqu'elle a un comportement ou une réflexion de Z, je lui en fais la remarque et elle me dit "mais non, arrête, c'est pas ça..."
Bref, pour en revenir à ton coloc, en fait, c'est mon frère qui m'a dit en premier qu'il avait fait les tests et qu'il était Z. J'avais des doutes sur mon cas mais je ne voulais surtout pas me prendre pour qqun d'autre. "Surdouée ? N'importe quoi!" Et en fait, lorsqu'il me décrivait tous les traits d'un Z, je me retrouvais (forcément) dans certains mais pas du tout dans d'autres.
Par exemple, lorsqu'il m'a dit qu'en entrant dans une pièce, il pouvait savoir d'un coup d’œil, qui était avec/contre lui, qui était déprimé, énervé, joyeux, triste, etc. je ne me retrouvais pas du tout là-dedans et c'est en lisant un bouquin sur l'hypersensibilité que j'ai compris ce que ça voulait dire. En fait, moi je trouvais ça totalement normal !
ALors peut-être que ton coloc effectivement trouve ces comportements que tu lui décris totalement normaux et qu'il n'a pas conscience que la plupart "des autres" ne calcule pas comme ça.
Faut peut-être lui laisser du temps et revenir sur la discussion un peu plus tard...
Je n'ai pas de conseils à donner mais je sais que je ne le dirai pas à certaines personnes qui me sont très très proches parce qu'elles ne comprendraient simplement pas et surtout leur regard sur moi et notre relation changeraient. Et franchement, c'est déjà assez compliqué comme ça alors, faut l'accepter et c'est pas facile. Tout le monde n'est sans doute pas "capable" (je ne sais pas si le mot est bien choisi) de l'encaisser.
je ne sais pas s'il faut le dire... et je ne sais pas L4nge, pour ton coloc, à quoi est due sa réaction.
J'en ai parlé à deux personnes autour de moi.
Ma collègue de travail depuis à peine 8 mois : tout simplement parce que la découverte affectait mon travail, qu'on est 2 dans le bureau/la boîte et que j'en avais besoin. C'était un trop lourd "secret".
Elle n'a pas mal réagi. Elle a écouté. Elle a posé des questions. Elle n'était pas surprise ni en colère ni quoi que ce soit.
En fait, je ne lui ai pas dit pour qu'elle soit au courant. Je lui ai dit parce que vraiment je n'en pouvais plus de ne pas en parler à mes proches (amis, bien sûr - la famille est au courant).
Une amie que je connais depuis moins d'un an mais à qui je me confie bcp : elle m'a parlé du fils d'un de ses amis qui, venant juste d'apprendre les nombres, s'est mis à ne plus dormir pendant des nuits entières car il cherchait à savoir quel était le dernier nombre !!!
Et en fait, dans le discussion, j'ai fait le lien. Je l'ai dit à deux personnes en qui j'ai confiance et que je sais compréhensives. Mais en fait, je l'ai dit à deux personnes qui ont des traits similaires, surtout.
Alors je leur ai dit, plus tard : "moi, je n'en sais rien, mais je me pose la question et pose-te la à ton tour : pourquoi je te l'ai dit à toi ? Ce n'est peut-être pas anodin..."
Et au final, je suis persuadée que ma collègue l'est aussi! C'est devenu un jeu entre nous lorsqu'elle a un comportement ou une réflexion de Z, je lui en fais la remarque et elle me dit "mais non, arrête, c'est pas ça..."
Bref, pour en revenir à ton coloc, en fait, c'est mon frère qui m'a dit en premier qu'il avait fait les tests et qu'il était Z. J'avais des doutes sur mon cas mais je ne voulais surtout pas me prendre pour qqun d'autre. "Surdouée ? N'importe quoi!" Et en fait, lorsqu'il me décrivait tous les traits d'un Z, je me retrouvais (forcément) dans certains mais pas du tout dans d'autres.
Par exemple, lorsqu'il m'a dit qu'en entrant dans une pièce, il pouvait savoir d'un coup d’œil, qui était avec/contre lui, qui était déprimé, énervé, joyeux, triste, etc. je ne me retrouvais pas du tout là-dedans et c'est en lisant un bouquin sur l'hypersensibilité que j'ai compris ce que ça voulait dire. En fait, moi je trouvais ça totalement normal !
ALors peut-être que ton coloc effectivement trouve ces comportements que tu lui décris totalement normaux et qu'il n'a pas conscience que la plupart "des autres" ne calcule pas comme ça.
Faut peut-être lui laisser du temps et revenir sur la discussion un peu plus tard...
Je n'ai pas de conseils à donner mais je sais que je ne le dirai pas à certaines personnes qui me sont très très proches parce qu'elles ne comprendraient simplement pas et surtout leur regard sur moi et notre relation changeraient. Et franchement, c'est déjà assez compliqué comme ça alors, faut l'accepter et c'est pas facile. Tout le monde n'est sans doute pas "capable" (je ne sais pas si le mot est bien choisi) de l'encaisser.
Tille- Messages : 82
Date d'inscription : 09/04/2014
Re: Faut-il parler de ses rayures?
L4nge
Ton coloc a eu plus ou moins la meme réaction que mon meillleur ami !! Qui a tout de meme ete jusqu'a me dire " les histoire de QI c'est comme l'horoscope, c'est des âneries pour des gens crédules. " Ah bien merci. Je pense vraiment qu'il es zebre aussi et que c'est la qu'est le problème, car admettre que je le suis serais admettre qu'il l'est aussi et donc remettre beaucoup de choses en questions finalement. J'ai lâché l'affaire avec lui il regarderas si ça l'interesse. C'est la chance d'avoir un groupe d'amies très soudées depuis 6 ans maintenant et elles tout a fait compris ( on a même décelé une zebrette en plus dans le groupe )
Donc je pense qu'on peut en parler mais il faut faire attention a qui et comment en fait. Personne dans ma famille le sais alors que mes plus proches amies oui .
Ton coloc a eu plus ou moins la meme réaction que mon meillleur ami !! Qui a tout de meme ete jusqu'a me dire " les histoire de QI c'est comme l'horoscope, c'est des âneries pour des gens crédules. " Ah bien merci. Je pense vraiment qu'il es zebre aussi et que c'est la qu'est le problème, car admettre que je le suis serais admettre qu'il l'est aussi et donc remettre beaucoup de choses en questions finalement. J'ai lâché l'affaire avec lui il regarderas si ça l'interesse. C'est la chance d'avoir un groupe d'amies très soudées depuis 6 ans maintenant et elles tout a fait compris ( on a même décelé une zebrette en plus dans le groupe )
Donc je pense qu'on peut en parler mais il faut faire attention a qui et comment en fait. Personne dans ma famille le sais alors que mes plus proches amies oui .
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Moi je l'ai écris sur ma boite aux lettres !
"L4nge, vraiment très haut potentiel/Sursursurdoué/TTTHQI/Grand zèbre/TTTBM et son colocataire.
Pas de Pub s'il vous plait. (Ou mettez tout dans la boîte aux lettres d'à côté.)"
Plus sérieusement, j'ai rediscuté avec lui. Bon d'une part, il s'avère qu'il n'aime, en effet, pas trop parler de ça. Ou du moins, j'ai juste l'impression qu'il s'en fou de ce que je pense. C'est plutôt du genre "Oui, oui, je t'écoute." (mais je regarde la route et jte réponds pas.)
Mais cependant, une fois que son euphorie du "Tu avais raison" que je lui ai sorti soit passée, on en a reparlé et il a compris que je ne me déresponsabiliserais jamais en disant que c'est parce que je suis un zèbre. Du coup, j'ai également compris que c'était l'un des problèmes de communication sur ce sujet. Et on en a rediscuté un peu ensuite, et même rigolé là-dessus.
M'enfin, ça reste un sujet que je n'aborderais plus avec lui, cela est stérile.
Par contre toi, tu as la chance que tes amies t'écoutent et le prennent bien.
Ton meilleur ami se penchera peut-être un jour là-dessus, laisse lui le temps.
Oui, je pense qu'il faut n'en parler qu'aux personnes qui sont vraiment capables d'entendre ça et de t'écouter. En l'absence de personne à sont écoute, vaut mieux rien dire. C'est pourquoi je préfère clairement fermer ma gueule !
"L4nge, vraiment très haut potentiel/Sursursurdoué/TTTHQI/Grand zèbre/TTTBM et son colocataire.
Pas de Pub s'il vous plait. (Ou mettez tout dans la boîte aux lettres d'à côté.)"
Plus sérieusement, j'ai rediscuté avec lui. Bon d'une part, il s'avère qu'il n'aime, en effet, pas trop parler de ça. Ou du moins, j'ai juste l'impression qu'il s'en fou de ce que je pense. C'est plutôt du genre "Oui, oui, je t'écoute." (mais je regarde la route et jte réponds pas.)
Mais cependant, une fois que son euphorie du "Tu avais raison" que je lui ai sorti soit passée, on en a reparlé et il a compris que je ne me déresponsabiliserais jamais en disant que c'est parce que je suis un zèbre. Du coup, j'ai également compris que c'était l'un des problèmes de communication sur ce sujet. Et on en a rediscuté un peu ensuite, et même rigolé là-dessus.
M'enfin, ça reste un sujet que je n'aborderais plus avec lui, cela est stérile.
Par contre toi, tu as la chance que tes amies t'écoutent et le prennent bien.
Ton meilleur ami se penchera peut-être un jour là-dessus, laisse lui le temps.
Oui, je pense qu'il faut n'en parler qu'aux personnes qui sont vraiment capables d'entendre ça et de t'écouter. En l'absence de personne à sont écoute, vaut mieux rien dire. C'est pourquoi je préfère clairement fermer ma gueule !
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
C'est ça, puis d'un coté le forum aide en ça aussi!
Ici il y a toujours quelqu'un a l'ecoute et qui comprend sans qu'on ai forcement besoin de se justifier
Ici il y a toujours quelqu'un a l'ecoute et qui comprend sans qu'on ai forcement besoin de se justifier
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Oui, exactement.
Ici, pas besoin d'expliquer quoi que ce soit, les gens comprennent puisque quand tu auras fini ta phrase, ils te diront "Moi aussi ! ".
Ici, pas besoin d'expliquer quoi que ce soit, les gens comprennent puisque quand tu auras fini ta phrase, ils te diront "Moi aussi ! ".
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
l4nge a écrit:Par contre toi, tu as la chance que tes amies t'écoutent et le prennent bien.
s'il ne comprenne pas se ne son pas des ami(e)s mais juste des "pote(e)s"
la différence ? s'est la confiance que tu place en eux ! les ami(e) tu le leurs dit pas les pote !!!
les rayure je n'en parle qu'avec les personne en qui j'ai confiance ( ouaii sa fait très peux et alors ? ^^ )
valerian- Messages : 5852
Date d'inscription : 31/03/2014
Age : 25
Localisation : nantes
Re: Faut-il parler de ses rayures?
valerian a écrit:l4nge a écrit:Par contre toi, tu as la chance que tes amies t'écoutent et le prennent bien.
s'il ne comprenne pas se ne son pas des ami(e)s mais juste des "pote(e)s"
la différence ? s'est la confiance que tu place en eux ! les ami(e) tu le leurs dit pas les pote !!!
les rayure je n'en parle qu'avec les personne en qui j'ai confiance ( ouaii sa fait très peux et alors ? ^^ )
Faut avoir des amis pour en parler aux amis Val !
Je le sais bien que ce ne sont pas des amis.
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
"les personne qui se trouve autour de toi son des ami(e) que tu na pas encore découvert !!
et des ami(e) tu en a même si tu en a peux tu en a toujours !
et des ami(e) tu en a même si tu en a peux tu en a toujours !
valerian- Messages : 5852
Date d'inscription : 31/03/2014
Age : 25
Localisation : nantes
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Val, certaines vérités ne sont réelles que dans la tête que des personnes qui les citent.
Tout le monde me répète "Tu as forcément des amis."
Val, je n'ai pas d'amis, je pense être le mieux placé pour avancer ça. Je t'assure.
Je ne peux même pas dire que j'ai des "potes".
Tout le monde me répète "Tu as forcément des amis."
Val, je n'ai pas d'amis, je pense être le mieux placé pour avancer ça. Je t'assure.
Je ne peux même pas dire que j'ai des "potes".
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
et nous alors ....
valerian- Messages : 5852
Date d'inscription : 31/03/2014
Age : 25
Localisation : nantes
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Ahah val'
Je pense qu'il es logique que l4nge ne pense pas aux gens d'ici quand il parles d'amis, c'est recent et l'amitié se construit et se consolide avec le temps et la presence
Je pense qu'il es logique que l4nge ne pense pas aux gens d'ici quand il parles d'amis, c'est recent et l'amitié se construit et se consolide avec le temps et la presence
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Coyote a écrit:
salut! je pense qu'il faut parler de ses zebrures pour qu'on nous accepte dans notre diferences, il faut que les autres comprene que nous avons un fonctionement diferent pour qu'ils nous reconforte. le probleme cest que certain en profite pour abuser de notre faiblesse, comme les PN, il faut eviter de se faire dominer. Jen ai baver par le passe et jai eu recour a la violence physique et moral, cest triste den arriver la, mais parfois on a malheureusement pas le choix. La peur permet souvent dentretenir les amities, cest mon point de vue de la vie.
Je suis daccord y faut bien taillé les amitié, et même en ratiboisé certaine, ou les mettre au noir pour que ça pousse moins vite.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Heaven a écrit:Ahah val'
Je pense qu'il es logique que l4nge ne pense pas aux gens d'ici quand il parles d'amis, c'est recent et l'amitié se construit et se consolide avec le temps et la presence
Heaven a bien résumé.
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
maiiis heuu ...
bon bin alors je te boude l4nge
( ou pas x)
bon bin alors je te boude l4nge
( ou pas x)
valerian- Messages : 5852
Date d'inscription : 31/03/2014
Age : 25
Localisation : nantes
Re: Faut-il parler de ses rayures?
L4nge a écrit:
J'ai trouvé sa réaction assez sévère, assez agressive. Et surtout, même si son raisonnement n'est pas mauvais, pourquoi me dire ça ?! Le but de la conversation n'était pas du tout là. Je voulais simplement lui faire partager ma découverte qui me tiens à cœur...
Il essayait de t'aider. Soit tu l'entends, sois tu acceptes les conséquences. Ces histoires de Zébre, c'est un point de vue un peu sectaire. Ca ne regarde que ceux qui y croient. Intelligents ou non. C'est comme de dire à quelqu'un que tu as découvert que les anges existent, et que tu leur parles régulièrement. Y croire (au point d'essayer de partager ça avec des gens qui ont les pieds sur terre) c'est se fermer beaucoup de portes. Par ailleurs les Zèbres n'ont pas une intelligence qui les distingue vraiment . La majorité des gens intelligents choisissent de ne pas croire aux anges. Ou aux Zèbres. Et prennent parfois avec condescendence le proselytisme.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Bobslug a écrit:Personnellement j'en ai parlé à quelques uns de mes proches, mais je me suis rendu compte que c'était plus par envie de me justifier, de pouvoir dire "Vous voyez, je ne suis pas folle après tout!".
Les réactions à l'"annonce" vont de l'indifférence/la non compréhension à l'approbation. Je n'ai heureusement pas encore eu de réaction négative, mais je pense que c'est parce que j'ai choisi très soigneusement les 3-4 personnes à qui j'en ai parlé.
Mais je ne pense pas évoquer le sujet avec d'autres. J'ai l'impression que cela n'apporte rien. Si la discussion se porte naturellement là-dessus, alors peut-être. Mais je me rends compte que que je le dise ou pas ne change pas grand chose à ma relation avec les autres ni à ma relation avec moi-même.
Idem! Et une fois que ça été dévoilé (conjoint, parents, unique frère et 2 amies) fini, je n'en ai plus parlé (ou presque, quelques allusions rapides dans la conversation)
C'est vrai pour moi aussi, je l'ai plus fait par envie de me justifier; autant envers moi-même qu'envers les autres... en ce moment je me force pour ne plus ressentir le besoin de rendre des comptes à la Terre entière!
Je ne suis pas encore suffisamment en paix avec moi-même. C'est difficile, je le vis comme des marées, assez rythmées: des périodes où j'aurais envie de le crier (au boulot surtout) et d'autres où je le vis très bien et en fait 'bon usage'. De plus, faut dire que je ne me sens pas une 'vraie' puisque pour certaines situations je deviens complètement cruche...
Bonne chance!
Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
Localisation : Dans le coin du cercle
Re: Faut-il parler de ses rayures?
stauk a écrit:L4nge a écrit:
J'ai trouvé sa réaction assez sévère, assez agressive. Et surtout, même si son raisonnement n'est pas mauvais, pourquoi me dire ça ?! Le but de la conversation n'était pas du tout là. Je voulais simplement lui faire partager ma découverte qui me tiens à cœur...
Il essayait de t'aider. Soit tu l'entends, sois tu acceptes les conséquences. Ces histoires de Zébre, c'est un point de vue un peu sectaire. Ca ne regarde que ceux qui y croient. Intelligents ou non. C'est comme de dire à quelqu'un que tu as découvert que les anges existent, et que tu leur parles régulièrement. Y croire (au point d'essayer de partager ça avec des gens qui ont les pieds sur terre) c'est se fermer beaucoup de portes. Par ailleurs les Zèbres n'ont pas une intelligence qui les distingue vraiment . La majorité des gens intelligents choisissent de ne pas croire aux anges. Ou aux Zèbres. Et prennent parfois avec condescendence le proselytisme.
Ouais m'enfin, les surdoués c'est quelque chose de bien plus terre à terre que les anges hein ?!
De plus, je sais qu'il essayait de m'aider, mais ce n'était certainement pas la meilleure façon de le faire.
L'ange- Messages : 2710
Date d'inscription : 19/04/2014
Age : 34
Localisation : Reims
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Je tape l'incruste.. Zébro-testée, essayant d'en parler à mon chéri qui vient d'arriver dans ma vie, je me rends compte que, malgré son intelligence supérieure, ben.. c'est pas facile. C'est un sujet que je ne peux qu'aborder en parlant de mes difficultés mais pas de mon intelligence (attention, j'en fais pas un plat, je l'ai juste évoquée et vu sa réaction épidermique, j'ai arrêté net). Tout au mieux, veut-il bien reconnaître une hypersensibilité mais en la stigmatisant (lorsque je lui parle de son fils par exemple qui pourrait bien l'être) en disant en gros que si c'est pour aller chez un psy, vaut mieux pas l'être. Certes. J'aurais aimé plus d'acceptation de sa part (puisque de celle des autres, c'est même pas la peine). Je me suis ouverte à lui pensant être acceptée avec mes spécificités, ben non. Je trouve ses réactions assez "violentes" (c'est peut-être mon intolérance aux conflits) et je suis déçue.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Dis toi qu'il doit trouver ton obsession particulièrement violente et inquiétante également.Kaori Makimura a écrit: Je trouve ses réactions assez "violentes" (c'est peut-être mon intolérance aux conflits) et je suis déçue.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Pourquoi parles-tu d'"obsession" ? J'ai bien précisé que j'en avais parlé et que je l'avais juste évoqué une fois, c'est peu pour que tu qualifies ça d'obsession. Parler de soi est un minimum dans une relation il me semble.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
Kaori Makimura a écrit:Pourquoi parles-tu d'"obsession" ? J'ai bien précisé que j'en avais parlé et que je l'avais juste évoqué une fois, c'est peu pour que tu qualifies ça d'obsession. Parler de soi est un minimum dans une relation il me semble.
J'utilise ici le terme obsessions en me mettant du point d'une personne qui ne comprend pourquoi ce concept de "zébritude" est si important pour toi. C'est une obsession, puisque je ne comprends pas. Et que tu es choqués que je ne comprenne pas. J'ai utilisé le terme d'ange, car il est aisé de considéré quelqu'un qui a vu un ange, comme quelqu'un qui s'obstine dans l'erreur. Obsession est peut être un peu fort. Ce n'est pas parce-qu'on a vu un ange, qu'on va nécessairement se mettre à lire tout ce qu'on trouve sur le sujet. Ni qu'on va se sentir obligé d'expliquer ce qu'il en est à ceux qu'on aime. Alors tu as raison, ce n'est pas une obsessions.
Juste une illusion de l'esprit peut être. Une illusion qui pour toi est si réelle, que tu ne peux douter de ce que tu sais être vrai. Mais pour lui, c'est un ange, et les anges ça n'existe pas. Il peut t'écouter. Par amour, patiemment. Mais il est aussi en droit de se demander ce que cache, le fait de croire que tu vois des anges, chaque jour. (Cette explication ne fonctionne bien évidemment, que si on est persuadé que voir un ange, est le signe de tout, sauf de leur existence. Ce qui n'est pas vraiment mon cas).
Voilà, j'espère que c'est un peu plus clair. Bonne chance en tout cas.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
J'ai découvert ma zebritude la semaine dernière, merci pou vos posts ici...je serai prudent
boule de suif- Messages : 21
Date d'inscription : 12/05/2014
Age : 46
Re: Faut-il parler de ses rayures?
boule de suif a écrit:J'ai découvert ma zebritude la semaine dernière, merci pou vos posts ici...je serai prudent
N'hésite pas à en parler avec d'autres Zebres par contre ! Ici ou lors des sorties. Des fois c'est chouette quelqu'un qui t'écoutes sans juger.
Invité- Invité
Re: Faut-il parler de ses rayures?
stauk a écrit: Une illusion qui pour toi est si réelle, que tu ne peux douter de ce que tu sais être vrai. Mais pour lui, c'est un ange, et les anges ça n'existe pas. Il peut t'écouter. Par amour, patiemment. Mais il est aussi en droit de se demander ce que cache, le fait de croire que tu vois des anges, chaque jour. (Cette explication ne fonctionne bien évidemment, que si on est persuadé que voir un ange, est le signe de tout, sauf de leur existence. Ce qui n'est pas vraiment mon cas).
Voilà, j'espère que c'est un peu plus clair. Bonne chance en tout cas.
Merci.. il est clair que c'est comme si je parlais de paranormal.. (après tout, c'est un peu ça.. c'est "à côté" du normal). Et oui, j'ai mal pris son amalgame (dont je n'ai pas parlé) avec la schizophrénie. Je plussoie ta réponse à Boule de suif. Certains ici que j'ai appelé récemment au téléphone me permettent justement d'évoquer cette différence sans aucun jugement, en toute acceptation et ça fait du bien (j'aurais juste aimé qu'il en soit de même, une écoute sans jugement, de la part de cet homme à qui je me suis dévoilée).
Bien à vous
Invité- Invité
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» j' ai vu des rayures par ici, je me suis dit que je trouverais des gens a qui parler.....
» Faut-il assumer ses rayures ?
» Famille testée, faut-il en parler ouvertement ?
» Faut-il parler douance en épreuve d'admissibilité?
» Faut parler sérieux ou on a le droit d'arriver bourré ?
» Faut-il assumer ses rayures ?
» Famille testée, faut-il en parler ouvertement ?
» Faut-il parler douance en épreuve d'admissibilité?
» Faut parler sérieux ou on a le droit d'arriver bourré ?
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum