A ceux qui ont réussi à calmer leur angoisse...

Cette phrase «Additionally, we advise people not to fast if they have a viral infection, because the immune system probably requires immediate energy to fight viruses.» m'interpelle. J'avais lu qu'au contraire en cas d'infection, le corps est déjà surchargé par les déchets des cellules infectieuses détruites, donc il convient de ne pas trop manger et de surtout boire "correctement" afin que le système rénal fonctionne correctement.
Sinon, Caveman, dans ton cas, où en es-tu par rapport aux sucres et l'équilibre du microbiote intestinal ? Et les oméga3, le zinc ?

Sans doute qu'il y a une différence entre adapter son alimentation ou la réduire en cas d'infection virale et l'arrêter complètement (to fast = jeûner (je traduis pas pour toi, mais pour les anglophobes)).

Le jeûne est surtout recommandé si l'angoisse est de ne pas aller assez vite ou d'être en retard.

Hihihi.

Caveman a écrit:Bref l'idée c'est de sonder les méthodes qui auraient marché pour vous.

Alors, les trucs du genre: il ne faut pas être centré sur soi, il faut accepter les autres, etc... n'est pas vraiment l'idée ici, même si dans le fond cela aide dans certains contexte.

Et si vous avez suivi une technique genre TCC, il serait idéal d'indiquer, le problème, le cheminement et le résultat à moyen terme / long terme?

Je reviens à la source du sujet... sans respecter tout à fait la consigne.

Lire des gens de qui on se sent proche dans la façon de penser. Je parle de bouquins, d'auteurs qui y ont mis un peu ou beaucoup de leur tripes.

Il n'y a pas un élément ou un conseil en particulier que j'en retiens... mais j'ai creusé certains sujets, comme certains auteurs... ces sujets et auteurs m'ont lassés, et j'y suis revenu des années après avec d'autres interrogations, ou un rapport changé, un autre œil sur l'auteur, sur comment il a pu se tromper ou se mettre en scène plus ou moins volontairement.
Il y a des bidules que j'ai pu intégrer, que je croyais avoir compis juste en lisant à l'époque... sauf que pas du tout.

Édition : ce qui me vient aussi, c'est que la dizaine de forumeurs actifs qui partagent des conseils ou quoi, moi compris (bien que pas concerné), on est les derniers à écouter car on zone sur le forum.

siamois93 a écrit:Sinon, Caveman, dans ton cas, où en es-tu par rapport aux sucres et l'équilibre du microbiote intestinal ? Et les oméga3, le zinc ?

J'ai sûrement des efforts à faire niveau sucre, ne serais ce que pour savoir ou j'en suis exactement...

Les tcc sont plutôt efficaces sur l'agoisse

https://newatlas.com/health-wellbeing/review-intermittent-fasting-research-health-benefits-johns-hopkins/?utm_source=New+Atlas+Subscribers&utm_campaign=eaca752cab-EMAIL_CAMPAIGN_2019_12_30_05_33&utm_medium=email&utm_term=0_65b67362bd-eaca752cab-92942081

Review of intermittent fasting research suggests broad health benefits

un topo sur les études sur le sujet...

Je voulais juste donner un éclairage sur le problème des peurs et angoisses, d'après la perspective bouddhiste.

Cette perspective provient de la compréhension de la loi du karma. (je peux donner une référence de livre sur ce sujet profond)

D'où viennent les peurs ? Quelle est la cause karmique ?
Il nous faut comprendre les causes pour prendre les bons remèdes.

D'après le bouddhisme, la peur est l'expérience provenant d'une action passée motivée par la méchanceté.

Nous avons fait peur aux autres dans le passé ; parce que nous avons fait preuve de méchanceté vis-à-vis des autres.
Pour nous libérer de nos peurs définitivement, nous devons nous engager dans 3 types d'actions :
- nous devons réduire puis arrêter la méchanceté
- nous devons purifier nos actions méchantes (le bouddhisme propose des pratiques de purification de karma. J'en pratique une très régulièrement)
- nous devons nous engager régulièrement dans une action vertueuse, spécifiquement l'opposé de la méchanceté : la bienveillance

J'espère que cela alimentera votre réflexion ...

Nouveau mantra : "Je me simplifie la vie."

Nous passons une moitié de nos vies à nous les compliquer, et nous passons l'autre moitié de nos vies à nous les simplifier.