Besoin d' être désagreable
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Re: Besoin d' être désagreable
Bimbang a écrit:La compréhension d'un phénomène est déjà un début de quelque chose.
J'avais pas vu les choses sous cet angle
J'ai tendance à placer le phénomène de la compréhension à la fin, du coup, si c'est le début de quelque chose, je ne vois pas très bien ce que ca peut être...
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Besoin d' être désagreable
J'ai tendance à placer le phénomène de la compréhension à la fin, du coup, si c'est le début de quelque chose, je ne vois pas très bien ce que ca peut être...
Si tu le places dans un contexte de besoin de changement, tu comprends d'abord ce qui se passe, avant de commencer à changer.
Si tu ne comprends pas le phénomène, comment espérer changer les conditions qui le produit ?
Après il faut pouvoir modifier ces conditions si on veut le changement en question. Et ça c'est la deuxième étape.
Bimbang- Messages : 6417
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Besoin d' être désagreable
Je me suis posé bcp de questions j' ai fait du chemin mais je suis pas encore sur la ligne d' arrivée si arrivée il y a. Je suis d' accord avec toi sur la compréhension.
Pou moi c' est la deuxième étapes. 1 Prise de conscience. 2 !!!!!compréhension du phénomène. 3) actions.
Pou moi c' est la deuxième étapes. 1 Prise de conscience. 2 !!!!!compréhension du phénomène. 3) actions.
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Mes fautes de frappe me piquent les yeux. Désolé
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Que le point 1 soit un préliminaire au 2, sans doute. Mais il me semble que ce n'est que dans certains cas de figures que l'on doive placer le 3 seulement à la fin. Il peut être entre le 1 et le 2, et même avant le 1.
Normalement, quand on a quelque chose à faire, on y pense, on l'exprime puis on agit. Mais c'est parfois à partir d'essais divers que l'on comprend mieux le problème, voire même qu'on prend conscience qu'il y avait un problème.
Normalement, quand on a quelque chose à faire, on y pense, on l'exprime puis on agit. Mais c'est parfois à partir d'essais divers que l'on comprend mieux le problème, voire même qu'on prend conscience qu'il y avait un problème.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: Besoin d' être désagreable
Tu abordes les préliminaires avec beaucoup d'assurance.
Je ne suis pas certaine que le résultat en soit garanti.
Je ne suis pas certaine que le résultat en soit garanti.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Besoin d' être désagreable
Salut,
...peut-être une fausse justification de l' influence seule d'un post ouvert par no idea, l'énergie du vide.
D' ailleurs je pense que tout a une origine. Encore faut il le vouloir
...peut-être une fausse justification de l' influence seule d'un post ouvert par no idea, l'énergie du vide.
Re: Besoin d' être désagreable
Pyjsa je comprends rien x)
Peyrre on ne doit pas parler des mêmes actions. On agit, si l' on a conscience que cela n' aboutit pas à ce que l'on souhaite on ajuste : on agit... (prise de conscience entremêlée aux actions)... du coup ce n' est pas la même "action". Je ne sais pas si je suis clair.
Le fait est que je suis dans une situation où j' ai conscience. Et quand je fais attention à être comme j' aimerais être je peux être cette personne. Mais le naturel... Du coup faut que je comprenne pourquoi j' agis comme ça alors que je sais que ce n' est pas bon. Sadisme ?
Je lisais un livre justement sur la psychanalyse et la volonté des patients à ne pas vouloir guérir (de manière inconsciente), à s' accrocher à leur état parce que "rassurant". Des infos la dessus ?
Peyrre on ne doit pas parler des mêmes actions. On agit, si l' on a conscience que cela n' aboutit pas à ce que l'on souhaite on ajuste : on agit... (prise de conscience entremêlée aux actions)... du coup ce n' est pas la même "action". Je ne sais pas si je suis clair.
Le fait est que je suis dans une situation où j' ai conscience. Et quand je fais attention à être comme j' aimerais être je peux être cette personne. Mais le naturel... Du coup faut que je comprenne pourquoi j' agis comme ça alors que je sais que ce n' est pas bon. Sadisme ?
Je lisais un livre justement sur la psychanalyse et la volonté des patients à ne pas vouloir guérir (de manière inconsciente), à s' accrocher à leur état parce que "rassurant". Des infos la dessus ?
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Alors il faut peut être reprendre les questions de tieutieu.
tieutieu a écrit:
Si tu écartes cette piste, ensuite identifier quel bénéfice tu as à adopter cette stratégie (que tu a apprise).
Par exemple : "je crains mon interlocuteur alors je le mets à distance".
Puis en essayant d'affiner au maximum.
En reprenant l'exemple précédent, ça peut être "je n'ai pas confiance en moi mais je veux pouvoir quand même être respecté".
Enfin, travailler sur ce point plutôt que sur sa manifestation.
Bimbang- Messages : 6417
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Besoin d' être désagreable
J' ai essayé mais j' avoue ne pas progresser bcp. Mon subconscient bataille ferme il faut croire
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
T'as peur de quoi ? qu'on découvre que tu es un imposteur ?
Que t'es plus fragile que tu en as l'air ?
(tu n'es pas obligé de répondre, c'est juste pour toi)
Que t'es plus fragile que tu en as l'air ?
(tu n'es pas obligé de répondre, c'est juste pour toi)
Bimbang- Messages : 6417
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Besoin d' être désagreable
Essaies l'inverse : tu es bienveillant avec quelqu'un que tu voulais bacher. Qu'est ce qu'il te manque?
A quel besoin tu n'as pas répondu?
A quel besoin tu n'as pas répondu?
tieutieu- Messages : 952
Date d'inscription : 20/05/2016
Age : 47
Localisation : LA
Re: Besoin d' être désagreable
Deuxième édition de ce message (j'ai essayé de rendre les choses plus claires)
Disons que l'inconscient lutterait pour maintenir la situation en l'état, en ce que cette situation (que ton conscient déplore et aimerait voir changer) est en réalité une réponse à des problèmes du passé (de la petite enfance, du passé lointain).
Le processus de base, c'est la projection: le premier environnement de l'enfant (à quel âge? Depuis sa naissance? Avec tel noyau familial, adultes référents) a été complètement intériorisé et avec lui les manières dont ce petit enfant (que tu as été ) s'est positionné - psychiquement- pour le moins se faire détruire possible.
L'inconscient, pour le faire changer, il s'agit de lui permettre d'émerger, de pointer le bout de son nez, et ça, bah, c'est chez un psy que ça peut avoir lieu (un bon, il y en a), par le biais des rêves, des associations d'idées, des lapsus - un mot à la place d'un autre- (et le psy qui t'accompagne t'indique que là tu as dit qqch à quoi faire attention, sur quoi tu vas pouvoir réfléchir, travailler, sur du long ou moyen terme).
Te montrer désagréable avec autrui, mordre a priori en premier pour ne pas être attaqué, déjà tu ne serais pas le premier... Mais en tout cas ce serait la réponse à ce premier environnement (où le risque de te faire attaquer -physiquement, psychiquement, ou autres- existait bel et bien et où, pour grandir, le petit enfant n'avait pas d'autre choix que de faire ça... En tout cas, c'est la réponse qu'il a retenue, avec son petit corps, son insignifiance de bébé, petit, au regard de ces géants qu'étaient les parents, les frères et soeurs aînés, etc. C'est le seul truc qu'il a trouvé, à ce moment là. Et c'est devenu sa réponse).
Il y aurait la possibilité aussi d'avoir intériorisé les regards, jugements dépréciatifs de ce premier entourage qui a été formateur -on l'a compris- (exprimés avec des mots mais aussi attitudes, regards, silences, manière de ne pas faire confiance, de ne pas dire ou signifier à la personne qu'elle est unique et extraordinaire). L'enfant a compris qu'il n'était pas qqn de bien, ni de gentil (les parents qui disent, sur dix ou quinze ans, à l'enfant qui ne veut pas faire un truc que l'adulte veut lui voir faire "t'es pas gentil"... l'enfant finit par croire qu'en effet il est méchant, pas gentil... Sauf que la purée dégueulasse, ça lui disait rien, et qu'il voyait pas pourquoi ça faisait tellement plaisir qu'il la mange, c'est son corps quand même, merde!) Pourtant, ce premier entourage, dans l'inconscient infantile, il est aimé ^plus que tout (même s'il fait du mal) et surtout il a raison. L'enfant n'imagine pas (ne peut pas imaginer) que ses parents puissent se tromper. Ce sont des dieux. DOnc s'ils ont dit qu'on était méchant, c'est qu'on est méchant. ET pour rester loyal, on va faire comme ils disent qu'on est(et se comporter en méchant).
Le travail chez le psy permet de déconstruire, progressivement, cette représentation et de modifier les réponses aux différents stimuli: non, ce premier noyau n'avait pas forcément raison. ET surtout, le travail chez le psy permet de tester d'autres réponses (en sécurité, sur le divan) aux sollicitations extérieures que celles qui viennent naturellement. Progressivement, on cesse de projeter sur le monde extérieur son monde intériorisé mais on devient apte à interagir avec les vraies personnes que l'on côtoie (qui ne sont pas le père, la mère, le frère, la soeur et auxquels on opposait, jusqu'alors, les réponses que l'on avait réservées à ces personnes fondatrices).
On réalise (en l'expérimentant) que les réponses alternatives (pas de méchant par exemple), bah, ça ne m'a pas tué, ça n'a pas tué ma mère, mon père (s'ils sont déjà morts, je ne sais pas comment ça se passe), je n'ai pas désobéi, en fait (parce que maintenant je suis un adulte ). Ok, rien ne s'est écroulé, je peux continuer à essayer de changer. D'abord soutenu par le psy, puis tout seul, comme un grand qu'on a réussi enfin à devenir (psychiquement).
Bon, c'est une ébauche de proposition de réponse.
L'inconscient qui ne veut pas changer: certes (on tient à maintenir ce que l'on connaît, surtout qu'on ne sait absolument pas comment faire autrement, en vrai) mais c'est qu'il ne peut pas. Pour pouvoir, va falloir qu'il se fasse accompagner, comme une reprogrammation complète (comme dans tout système: on change un truc, ça déplace le truc d'à côté, etc... ça peut être bouleversant, devoir abandonner sa loyauté à son premier noyau familial... Bref, seul avec tes livres de psychanalyse, c'est super intéressant, mais pour un vrai taf en profondeur avec changements à la clé, pas le choix...)
Je me permets d'écrire tout ça parce que ça a été mon cheminement: 5/ 7 ans à lire le plus de livres possibles ayant trait à la psychanalyse, avec l'idée que je comprenais les processus à l'oeuvre (comme chuis un cerveau, c'était cool) mais les "symptômes" restaient les mêmes. J'ai dû me lancer (pour pas mourir) et ça a donné 10 ans de psychanalyse avant de pouvoir dire que j'avais déblayé le plus gros de la merde... C'est pas parfait, les projections sur le monde extérieur de nos fantasmes, craintes, etc, on ne peut pas ne pas le faire. Mais tout est une question de mesure.
J'espère que mon message t'aura apporté un petit qqch d'utile, ne serait-ce qu'une mini lumière.
Courage.
no idea a écrit:Pyjsa je comprends rien x)
Peyrre on ne doit pas parler des mêmes actions. On agit, si l' on a conscience que cela n' aboutit pas à ce que l'on souhaite on ajuste : on agit... (prise de conscience entremêlée aux actions)... du coup ce n' est pas la même "action". Je ne sais pas si je suis clair.
Le fait est que je suis dans une situation où j' ai conscience. Et quand je fais attention à être comme j' aimerais être je peux être cette personne. Mais le naturel... Du coup faut que je comprenne pourquoi j' agis comme ça alors que je sais que ce n' est pas bon. Sadisme ?
Je lisais un livre justement sur la psychanalyse et la volonté des patients à ne pas vouloir guérir (de manière inconsciente), à s' accrocher à leur état parce que "rassurant". Des infos la dessus ?
Disons que l'inconscient lutterait pour maintenir la situation en l'état, en ce que cette situation (que ton conscient déplore et aimerait voir changer) est en réalité une réponse à des problèmes du passé (de la petite enfance, du passé lointain).
Le processus de base, c'est la projection: le premier environnement de l'enfant (à quel âge? Depuis sa naissance? Avec tel noyau familial, adultes référents) a été complètement intériorisé et avec lui les manières dont ce petit enfant (que tu as été ) s'est positionné - psychiquement- pour le moins se faire détruire possible.
L'inconscient, pour le faire changer, il s'agit de lui permettre d'émerger, de pointer le bout de son nez, et ça, bah, c'est chez un psy que ça peut avoir lieu (un bon, il y en a), par le biais des rêves, des associations d'idées, des lapsus - un mot à la place d'un autre- (et le psy qui t'accompagne t'indique que là tu as dit qqch à quoi faire attention, sur quoi tu vas pouvoir réfléchir, travailler, sur du long ou moyen terme).
Te montrer désagréable avec autrui, mordre a priori en premier pour ne pas être attaqué, déjà tu ne serais pas le premier... Mais en tout cas ce serait la réponse à ce premier environnement (où le risque de te faire attaquer -physiquement, psychiquement, ou autres- existait bel et bien et où, pour grandir, le petit enfant n'avait pas d'autre choix que de faire ça... En tout cas, c'est la réponse qu'il a retenue, avec son petit corps, son insignifiance de bébé, petit, au regard de ces géants qu'étaient les parents, les frères et soeurs aînés, etc. C'est le seul truc qu'il a trouvé, à ce moment là. Et c'est devenu sa réponse).
Il y aurait la possibilité aussi d'avoir intériorisé les regards, jugements dépréciatifs de ce premier entourage qui a été formateur -on l'a compris- (exprimés avec des mots mais aussi attitudes, regards, silences, manière de ne pas faire confiance, de ne pas dire ou signifier à la personne qu'elle est unique et extraordinaire). L'enfant a compris qu'il n'était pas qqn de bien, ni de gentil (les parents qui disent, sur dix ou quinze ans, à l'enfant qui ne veut pas faire un truc que l'adulte veut lui voir faire "t'es pas gentil"... l'enfant finit par croire qu'en effet il est méchant, pas gentil... Sauf que la purée dégueulasse, ça lui disait rien, et qu'il voyait pas pourquoi ça faisait tellement plaisir qu'il la mange, c'est son corps quand même, merde!) Pourtant, ce premier entourage, dans l'inconscient infantile, il est aimé ^plus que tout (même s'il fait du mal) et surtout il a raison. L'enfant n'imagine pas (ne peut pas imaginer) que ses parents puissent se tromper. Ce sont des dieux. DOnc s'ils ont dit qu'on était méchant, c'est qu'on est méchant. ET pour rester loyal, on va faire comme ils disent qu'on est(et se comporter en méchant).
Le travail chez le psy permet de déconstruire, progressivement, cette représentation et de modifier les réponses aux différents stimuli: non, ce premier noyau n'avait pas forcément raison. ET surtout, le travail chez le psy permet de tester d'autres réponses (en sécurité, sur le divan) aux sollicitations extérieures que celles qui viennent naturellement. Progressivement, on cesse de projeter sur le monde extérieur son monde intériorisé mais on devient apte à interagir avec les vraies personnes que l'on côtoie (qui ne sont pas le père, la mère, le frère, la soeur et auxquels on opposait, jusqu'alors, les réponses que l'on avait réservées à ces personnes fondatrices).
On réalise (en l'expérimentant) que les réponses alternatives (pas de méchant par exemple), bah, ça ne m'a pas tué, ça n'a pas tué ma mère, mon père (s'ils sont déjà morts, je ne sais pas comment ça se passe), je n'ai pas désobéi, en fait (parce que maintenant je suis un adulte ). Ok, rien ne s'est écroulé, je peux continuer à essayer de changer. D'abord soutenu par le psy, puis tout seul, comme un grand qu'on a réussi enfin à devenir (psychiquement).
Bon, c'est une ébauche de proposition de réponse.
L'inconscient qui ne veut pas changer: certes (on tient à maintenir ce que l'on connaît, surtout qu'on ne sait absolument pas comment faire autrement, en vrai) mais c'est qu'il ne peut pas. Pour pouvoir, va falloir qu'il se fasse accompagner, comme une reprogrammation complète (comme dans tout système: on change un truc, ça déplace le truc d'à côté, etc... ça peut être bouleversant, devoir abandonner sa loyauté à son premier noyau familial... Bref, seul avec tes livres de psychanalyse, c'est super intéressant, mais pour un vrai taf en profondeur avec changements à la clé, pas le choix...)
Je me permets d'écrire tout ça parce que ça a été mon cheminement: 5/ 7 ans à lire le plus de livres possibles ayant trait à la psychanalyse, avec l'idée que je comprenais les processus à l'oeuvre (comme chuis un cerveau, c'était cool) mais les "symptômes" restaient les mêmes. J'ai dû me lancer (pour pas mourir) et ça a donné 10 ans de psychanalyse avant de pouvoir dire que j'avais déblayé le plus gros de la merde... C'est pas parfait, les projections sur le monde extérieur de nos fantasmes, craintes, etc, on ne peut pas ne pas le faire. Mais tout est une question de mesure.
J'espère que mon message t'aura apporté un petit qqch d'utile, ne serait-ce qu'une mini lumière.
Courage.
Mag-Stone- Messages : 397
Date d'inscription : 06/12/2015
Re: Besoin d' être désagreable
tieutieu oui je vais essayer ce soir
Sunshine, Je te remercie d' avoir pris le temps d' écrire tant. Sois en assuré tu as apporte plus qu'un "petit" truc utile. Je vais t' appeler Sunrise maintenant ^^'
Ce que tu écris me parle vraiment. Si je comprends bien j' ai plus qu' à trouver un (bon) psy...
Encore Merci !
Sunshine, Je te remercie d' avoir pris le temps d' écrire tant. Sois en assuré tu as apporte plus qu'un "petit" truc utile. Je vais t' appeler Sunrise maintenant ^^'
Ce que tu écris me parle vraiment. Si je comprends bien j' ai plus qu' à trouver un (bon) psy...
Encore Merci !
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
no idea a écrit:tieutieu oui je vais essayer ce soir
Sunshine, Je te remercie d' avoir pris le temps d' écrire tant. Sois en assuré tu as apporte plus qu'un "petit" truc utile. Je vais t' appeler Sunrise maintenant ^^'
Ce que tu écris me parle vraiment. Si je comprends bien j' ai plus qu' à trouver un (bon) psy...
Encore Merci !
Je suis très contente si j'ai pu t'apporter qqch qui t'aide à avancer. Merci de ton retour, No Idea.
Mag-Stone- Messages : 397
Date d'inscription : 06/12/2015
Re: Besoin d' être désagreable
Et à vrai dire, Sunrise me conviendrait aussi mieux (à moi, par rapport à là où j'en suis). J'ai voulu me croire arrivée alors que je ne le suis pas: je "rise", je ne "shine" pas encore vraiment comme je crois que je peux ;-) Merci de cette heureuse suggestion.
Mag-Stone- Messages : 397
Date d'inscription : 06/12/2015
Re: Besoin d' être désagreable
Je suis très contente si j'ai pu t'apporter qqch qui t'aide à avancer. Merci de ton retour, Sunshine
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Je n'ai pas tout lu, mais un truc me vient en tête. S'autoriser à ne pas être parfait soi-même. Et ne pas s'en vouloir.
frednh- Messages : 49
Date d'inscription : 03/03/2016
Age : 42
Localisation : Paris
Re: Besoin d' être désagreable
S' autorise c' est vrai que c' est nécessaire. Mais évoluer quand ça ne va pas avec soi et/ou les autres est essentiel
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Du coup, s'autoriser est essentiel (je n'ai pas dit se dire qu'on n'est pas parfait et puis tant pis, on ne change pas). L'un permet l'autre.
frednh- Messages : 49
Date d'inscription : 03/03/2016
Age : 42
Localisation : Paris
Re: Besoin d' être désagreable
On est d' accord alors ^^
no idea- Messages : 68
Date d'inscription : 14/09/2016
Age : 32
Localisation : Nord
Re: Besoin d' être désagreable
Sûrement
frednh- Messages : 49
Date d'inscription : 03/03/2016
Age : 42
Localisation : Paris
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