A blabla y nous va Un Con est passé par là

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:35

là là les schtroumpfs là là !

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:39

oui j'ai honte parce que je suis une fille... trop trop trop belle Pété de rire
pis en plus chui intelligente plus que beaucoup trop
je fais des enfants merveilleux
j'ai mon amour qu'il est trop gros, pardon, beau
alors oui j'ai honte car je me fourvoie ici avec trop de plaisir pour que cela soit honnête
conclusion : je suis une femme

stauk... va chez le coiffeur, t'as besoin de faire prendre l'air à ta tête de linotte.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:41

▉▉▉▉▉▉ a écrit:
si je suis tenace en ma stratégie je vais la pécho avant toi, tonton.

Pété de rire pov'Alpha !!

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:43

normopensant a écrit:Cher journal intime,
Je sais que je plaîs aux femmes qui ont comme 20 ans de plus que moi (pas des antiquités, plutôt des milfs), je les aime bien aussi.
C'est pas Kharmit qui disait ça aussi ? Ah non. Je sais plus. C'est peut être tout le monde.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:44

Patate a écrit:
stauk... va chez le coiffeur, t'as besoin de faire prendre l'air à ta tête de linotte.
Tu crois pas si bien dire. Faut déjà que je me motive à faire 6 heures de voiture, pour aller assumer ma responsabilité de papa gâteau. C'est chouette les grand-mères des fois. Mais le coiffeur ouais. Mais ça coûte.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:51

stauk a écrit:
Patate a écrit:
stauk... va chez le coiffeur, t'as besoin de faire prendre l'air à ta tête de linotte.
Tu crois pas si bien dire. Faut déjà que je me motive à faire 6 heures de voiture, pour aller assumer ma responsabilité de papa gâteau. C'est chouette les grand-mères des fois. Mais le coiffeur ouais. Mais ça coûte.

ça coute 10 euros chez les coiffeurs rebeus ! merde tu déconnes !!!
bon trêve de papotage. je devrais avoir honte de trainer ici alors que je suis au bureau !!

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 11:53

Patate a écrit:
bon trêve de papotage. je devrais avoir honte de trainer ici alors que je suis au bureau !!
Je veux bien t'y rejoindre. Surtout si en plus on me paye pour ça. Mais là je dois envisager de me mettre en route. 6 heures de voiture, ça aussi ça coûte.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 12:11

Spoiler:

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 12:18

stauk a écrit:
Patate a écrit:
bon trêve de papotage. je devrais avoir honte de trainer ici alors que je suis au bureau !!
Je veux bien t'y rejoindre. Surtout si en plus on me paye pour ça. Mais là je dois envisager de me mettre en route. 6 heures de voiture, ça aussi ça coûte.

faut que je te parle des services sncf...

Dédé : m'enfin !!! c'est quoi ça ?

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 12:31

Patate a écrit:
Dédé : m'enfin !!! c'est quoi ça ?
On dirait un peu la rubrik à brac de Gotlieb. Mais perverti.
A blabla y nous va Un Con est passé par là - Page 11 Gotlib

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 12:56

.


Dernière édition par normopensant le Mer 30 Juil 2014 - 13:31, édité 1 fois

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 13:04

Bande de zèbres.


Dernière édition par Super poucave le Lun 4 Aoû 2014 - 12:18, édité 3 fois

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 14:00

J'allais dire qu'ils floodent. Mais ils ont sû rester synthétiques. Et puis c'est pas comme si j'étais chez moi.
quoi ??? Normopensant a édité son message !
Moi j'ai lu ! Enfin maintenant c'est encore plus synthétique. Du coup.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 16:12

normopensant il est parti ou banni ou ma messagerie bloque parce que je n'arrive pas à le contacter pour lui donner rendez-vous sous un pont pour que je lui coupe la gorge.
Tant pis.

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 16:15

▉▉▉▉▉▉ a écrit:normopensant il est parti ou banni ou ma messagerie bloque parce que je n'arrive pas à le contacter pour lui donner rendez-vous sous un pont pour que je lui coupe la gorge.
Tant pis.

ignorant, il t'a foutu en ignoré ! comme moi...
ou il a cliqué la fonction "pas de contact meupeu".
de la fiotte en barre toussa...

heu quel pont ? que fasse tourner la wouidéo sur fessebouc, c'est à la mode en ce moment le truc horrible. p'tain pourquoi je pense à ça moi !!!!  Crying or Very sad 

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 16:21

Asinus asinorum in sæcula sæculorum

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 16:26

Atqui, e lotio est

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Message par Invité Mer 30 Juil 2014 - 20:51

Patate a écrit:Dédé : m'enfin !!! c'est quoi ça ?

Oops, pardon, j'ai pas répondu, j'ai passé l'essentiel de la journée à dormir (et à remettre mon boulot à demain, voire après-demain)

Comme vous parliez de bureau, de pécho, de honte, j'ai immédiatement pensé à cette BD. "La vie d'Einstein", de Goossens (un dessinateur vraiment recommandable !)

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 11:54

le nouveau casting des "supers couillus"....
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Tu sais quoi ? je les plains et DIEU seul sait que je suis pas dans ce schéma là ^^
Je te le dis publiquement, je commence à éprouver un sentiment de pitié pour certains.
Merde j'aurais donc attendu 40 ans (oui Flamby une milf comme tu les aimes petit vermisseau. Bravo pour ton vocabulaire hyper tendance, toi tu es "in", tu suis bien la mode comme il le faut !! wouh!) et ZC pour découvrir ce sentiment.
MERCI à vous, bande de petites "biiiiiiiiiiip" sans vous j'aurais été moins complète.

Enfin, le manque de distance (pas toi dédé chéri) et de maturité pourraient les excuser auprès de certains. Pas chez moi. Chez moi, on tue la vilenie dès la naissance. On t'enfonce profond au fond de la gorge les mots qui font mal, on te cloue aux portes et si tu l'ouvres encore, on te fait bouffer ton vomi.

Tiens pour une fois j'en appelle à la modération afin de conspuer ce type de types !!

Je propose une irl avec cette bande de queue de cerise car je serai curieuse de découvrir dans leur réalité engoncée, ces pauvres en générosité intellectuelle, sentimentale, amicale, etc...


@ Dédé : je vais aller voir ça si tu dis que c'est bon !

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 12:58

Nan mais le poucav c'est pas le super c'est l'autre devenu un point,
c'est le seul a mériter de se faire marav.

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 13:49

Patate a écrit:
Je propose une irl avec cette bande de queue de cerise car je serai curieuse de découvrir dans leur réalité engoncée, ces pauvres en générosité intellectuelle, sentimentale, amicale, etc...

Des fois ils sont très fréquentables. J'ai été surpris quand des collègues que je connaissais en vrai... enfin des collègues donc, m'ont permis d'admirer leur personnalité en ligne. Je veux bien tenir le pari que ceux là que tu conspues ainsi, sont bien plus fréquentable que ... d'autres ici. Que je ne nommerai pas. Par respect.

Bon okay, je nomme. Moi.
Et puis toi aussi. Mouahahaha. Je suis méchant.

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 14:15

@ stauk : c'est vrai qu'au taf on est toujours soi même ^^, et jamais dans un rôle social.
T'es mignon quand même.
Tiens je te Bisous pour la peine mais ferme les yeux steuple, je voudrais pas qu'on te les crève Wink

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 14:47

Patate a écrit:
Tiens je te Bisous pour la peine Wink mais ferme les yeux steuple

Merci c'est gentil. Mais tu sais, je veux pas d'emmerdes avec un mari Jalouse. Ou n'importe qui d'autre de Jaloux (Coucou c'est nous !). Enfin tu me diras, on devrait avoir le droit de rouler des galoches à qui ont veut. En plus là c'est juste un bisou innocent. Et tout doux. Donc innocent. Ahhh.

Je comprend pourquoi on dit que faut jamais sortir avec une collègue. Ou une camarade de classe. Mais si on est libre, après les arbres généalogiques sont compliqués. Et la consanguinité c'est pas bon. Mais moi j'aime bien les calins. Faudrait des calins pas coquins.

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 15:11

Type berbère au dernier échelon social, ici demeuré pur, là mélangé de sang juif ou arabe. Les races, sauf exception, ne sont point restées, face à face, séparées par leurs génies nationaux, leurs modes d’existence. Il y a eu endosmose à peu près constante, avec absorption de l’individu on faveur du berbère notamment dans les deux pâtés de l’AURÈS et du BELEZMA.
La langue arabe elle même n’a pu s’implanter que très incomplètement dans le milieu, ce qui est la forte indication du peu d’emprise ethnique de l’arabe sur le chaouia, malgré le Coran.
Les chaouias se sont toujours montrés férocement jaloux de leur indépendance.
On les a vus et en les verra mieux encore, dans le chapitre des insurrections, s’enflammer, de tous temps, pour la défense ou la délivrance de leur pays.
Ils n’ont pas changé. Ils sont toujours, du moins depuis la conquête arabe, au même niveau social inférieur, et c’est notre tort d’avoir cru qu’ils avaient assez progressé pour bénéficier de système d’administration qui n’est pas fait à leur taille.
Les montagnards des OULED FATMA de MEROUANA d’OUED-EL-MA et de MARKOUNDA, pour ne parler que d’eux sont demeurés réfractaires à tout progrès comme à tout bon sentiment.
Un de leurs anciens administrateurs qui les connaît bien M.LAUSSEL, nous disait : «je n’ai jamais rencontré, pendant ma longue carrière de brutes pareilles aux habitants de ces Douars. Ils ont commis des crimes dont l’horreur dépasse l’imagination. Ils font redouter des soulèvements par des bruits qu’ils s’ingénient à mettre en circulation chaque fois que l’occasion s’en présente, c’est-à-dire chaque qu’ils croient à un affaiblissement de la France du fait des menaces de conflit avec une autre puissance : Fachoda par exemple, ou de campagne coloniales (le Maroc) réduisant nos effectifs.»
En 1907, le bruit a courut, à BATNA, rapporté par le Sous-Préfet de l’époque M. Emile LUTAUD, d’une révolte des OULED FATMA.
En 1914, pareil bruit fut mis en circulation. C’est périodique.
Ces gens là, par ailleurs, n’ont pas de conducteurs, n’ayant pas d’élites. Et quand une tête s’élève, il n’est pas rare, si elle devient trop autoritaire ou trop gênante en autres manières, de la voir disparaître par des procédés d’exécution rapides. Est ce par sentiment d’égalité farouche ? Est-ce explosion de colère contre les abus terrifiants des hommes qui montent aux échelons du commandement ?

 
 
h t t p : / /w w w .limag.refer.org/Textes/Letan/Batna.PDF

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:10

Au début du XXème siècle, un caïd dont la tribu se révolte, ou un sultan dont le peuple se soulève, fait venir une sorcière et lui dit de soumettre sa tribu.
 
Dans la 1ère quinzaine du mois, la sorcière va chercher un peu d’eau à 7 sources différentes, elle prend un pétrin neuf qu’elle baigne et dans lequel elle brûle un peu de benjoin et de coriandre.Elle va ensuite au hammam, elle s’habille de linge et de vêtements propres.
 
A une heure de la nuit, seule, et sans prononcer une parole, elle se rend au cimetière, elle déterre le corps d’une personne morte le jour même, elle ouvre le linceul, fait sortir les bras du cadavre qu’elle asseoit devant elle et lui pose sur les genoux le pétrin dans lequel elle a mis de la semoule, du miel et du satka (graine « qui fait taire », ressemblant au basilic, graine noire brillante et très petite) plus les baies rouges d’une solanacée.Avec les mains du mort, elle pétrit le couscous et pendant cette horrible cuisine, elle prononce ces paroles :
 
«De même que les abeilles viennent de partout lorsqu’elles sentent l’odeur du miel, je veux que les tribus arrivent de loin, se soumettre à leur chef. »
 
Avec calme, elle recoud le linceul et couche le mort pour son éternel repos, puis elle rentre chez elle, avec son pétrin de couscous qu’elle porte ensuite au caïd, lequel invite les tribus soulevées et leur offre du couscous préparé chez lui et dans lequel on met un peu de celui que le mort a pétri. Tous ceux qui en mangeront prononceront sûrement la phrase : « Nous nous soumettons ».
 

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:11

C’est parce qu’elle avait peur du scandale et surtout du blâme de ses parents qu’une jeune fille de 26 ans, habitant la ville de Larbaâ, 30 kilomètres à l’est de Blida, eut recours à l’assistance d’une chouaffa (voyante) qui lui a été recommandée par des connaissances.
M. K. n’avait pas d’autre choix pour se libérer du bébé de la honte que de se faire accoucher par n’importe quelle femme, l’essentiel pour elle c’était de mettre fin à l’inquiétude qui l’avait hantée neuf mois durant d’autant plus que son amant, à savoir le père biologique du bébé, lui avait complètement tourné le dos. Ne connaissant de ce dernier que le prénom et le lieu de son travail, M. K. ne l’a plus revu depuis qu’il l’a quittée à Riadh-El-Feth après lui avoir remis la somme de 5000 DA, argent qui lui servirait pour se faire avorter. Elle était à son sixième mois de grossesse. Déçue par le reniement de celui qui l’a trompée, elle alla chercher une sage-femme à même de la faire accoucher en dehors du milieu hospitalier. Comme elle n’en trouve pas, elle alla demander conseil à deux jeunes filles de sa connaissance qui l’ont dirigée vers la chouaffa en question et qui habitait les bidonvilles de Oued Smar. Cette dernière, connue sous le sobriquet de Saâdya Echouaffa, lui exigea la somme de 3000 DA, une gourmette et une chaîne en or. Acceptant le marché, la jeune fille resta en contact avec la voyante durant les trois mois précédant l’accouchement. Dès qu’elle commença à avoir des douleurs, elle fit appel à sa sauveuse qui arriva chez elle par taxi à 2h du matin. Sans plus attendre, la chouaffa emmena sa victime dans un verger situé entre Larbaâ et Bougara et commença à faire son travail. Pour éviter à la jeune d’attirer l’attention des riverains par ses cris de douleur, elle lui bâillonna la bouche avec une étoffe et sans la moindre pitié pour sa proie, elle fit sortir juste le bras du bébé pour le couper avec un couteau, laissant le reste du corps dans le ventre de sa mère. “C’est fini, tu as accouché mais moi je dois partir”, lui assène la sorcière avant de disparaître avec le bras du bébé. Se trouvant entre la vie et la mort, la jeune fille arrive quand même jusqu’au bord de la route où un camionneur la transporta jusqu’à l’hôpital de Bougara d’où elle sera transférée à la clinique d’accouchement de Benboulaïd à Blida. Mais quelle fut la surprise des médecins lorsqu’ils constatèrent que le nouveau-né se trouvait sans bras et sans vie. Dès lors, ils alertèrent la police qui ouvrira une enquête. Deux semaines après, le 18 août dernier, la jeune fille part avec son père à la recherche des traces de la sorcière et finirent par la retrouver à Oued-Smar. Utilisant un subterfuge, ils arrivèrent à l’emmener au commissariat de Oued-Smar où elle sera arrêtée. Avisés, les éléments de la 4e Sûreté urbaine de Blida où la plainte fut déposée, l’ont transférée à Blida et lors des interrogatoires, il s’avéra que Saâdya Echouaffa était une Tunisienne qui vit clandestinement en Algérie depuis plusieurs décennies. Mère de douze enfants, elle vit grâce à la sorcellerie en arnaquant avec des comparses les personnes niaises qu’elle visite chez elles avant de leur soutirer argent et bijoux à l’instar de cette dame qui a porté plainte contre elle après avoir eu vent de son arrestation. Celle-ci a fait l’objet d’arnaque qui lui a coûté la perte de bijoux d’une valeur de 80 millions de centimes. Saâdya Echouaffa a été présentée à la fin de la semaine dernière à la justice et a été incarcérée à la prison de Boufarik pour les chefs d’inculpation d’homicide volontaire sur un bébé, résidence illégale et vol de bijoux avec utilisation de sorcellerie.


- Le soir d'Algerie

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:15

Réponse des Cosaques zaporogues au sultan de Turquie
 
 
« À Toi Satan turc, frère et compagnon du Diable maudit, serviteur de Lucifer lui-même, salut !
Quelle sorte de noble chevalier au diable es-tu, si tu ne sais pas tuer un hérisson avec ton cul nu ? Mange la vomissure du diable, toi et ton armée. Tu n'auras jamais, toi fils de putain, les fils du Christ sous tes ordres : ton armée ne nous fait pas peur et par la terre ou par la mer nous continuerons à nous battre contre toi.
Toi, scullion de Babylone, charretier de Macédoine, brasseur de bière de Jérusalem, fouetteur de chèvre d'Alexandrie, porcher de Haute et de Basse Égypte, truie d'Arménie, giton tartare, bourreau de Kamenetz, être infâme de Podolie, petit-fils du Diable lui-même, Toi, le plus grand imbécile malotru du monde et des enfers et devant notre Dieu, crétin, groin de porc, cul d'une jument, sabot de boucher, front pas baptisé ! Voilà ce que les Cosaques ont à te dire, à toi sous produit d'avorton ! Tu n'es même pas digne d'élever nos porcs. Tordu es-tu de donner des ordres à de vrais chrétiens !! Nous n'écrivons pas la date car nous n'avons pas de calendrier, le mois est dans le ciel, l'année est dans un livre et le jour est le même ici que chez toi et pour cela tu peux nous baiser le cul ! »

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:20

Anzar, Maître de la pluie, désirait s’unir à une jeune fille d’une exceptionnelle beauté qui avait pour habitude de prendre son bain à la rivière. Or, chaque fois qu’Anzar descendait du ciel et s’approchait de la jeune fille, celle-ci prenait peur. Un jour cependant, il parvint à lui déclarer sa flamme, mais la jeune fille lui fit part de ses craintes vis-à-vis du “qu’en dira-t-on”. Prenant acte de leur impossible union, Anzar tourna la bague qu’il avait au doigt et disparut. Immédiatement la rivière se tarit. La jeune fille fondit en larmes, se déshabilla et dans le lit de la rivière implora le retour d’Anzar qui revint pour s’offrir à elle. « La rivière se remit à couler et la terre se couvrit de verdure ».
 
 
 
 
h t t p:/ /africanistes.revues.org/192

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:24

A l’origine, le cheval "Barbe", berbère en l’occurrence, était utilisé comme cheval de guerre par les Maures, les Numides, les Carthaginois, et par Jules César pour conquérir les Gaules. Ce cheval brilla durant des siècles et particulièrement en 1870, au milieu des désastres de la guerre Franco-allemande. Mais c’est singulièrement lors du premier conflit mondial de 1914-1918, en Macédoine, où il apportera la preuve de ses qualités exceptionnelles. Et plus récemment l’armée Allemande ouvrira les portes de Moscou avec des Barbes réquisitionnés en Tunisie par Rommel.

Selon plusieurs hypothèses, on avance que son admission en Afrique du Nord date du IIème millénaire avant JC, mais des ossements d’espèce chevaline datant de 4000 ans et plus ont été découverts dans des gisements en Algérie. Ajoutons à cela des peintures rupestres et des gravures représentant des chevaux qui ont été découvertes dans le Hoggar, le Tassili et en Kabylie.

On croit savoir que les Lybiens inaugurèrent la tradition des jeux du char et de l’honneur fait aux conducteurs de chars, notamment féminins qui donna naissance au mythe d’Athéna (Tineiht, devenue Neith en Egypte, Athéna en Grèce et Minerve à Rome), déesse de la guerre et de la raison à la fois symbolisée par la jeune fille victorieuse lors des jeux du char.

En tous cas, en Afrique du Nord, le cheval fait partie intégrante de la vie de l’homme, dans toute son histoire. Strabon (58 av. JC, 25 après JC) rapporte dans ses écrits de quelle manière les cavaliers numides d’Afrique du Nord « montaient leurs chevaux "sans frein", c’est à dire sans harnachement, sans enrênement, sans mors, ce qui est remarquable. Seul parfois une cordelette autour du cou pouvait servir à ralentir ou à diriger quelques chevaux. » Dès 1550, à Venise un livre contenant un chapitre "La description de l’Afrique" parle des chevaux Barbes « Ces chevaux sont appelés en Italie : Barberi, et il en est ainsi dans toute l’Europe, parce qu’ils viennent de la "Barbaria". Ils sont d’une espèce née dans le pays... ». Ce pays c’est l’Afrique du Nord. On se souvient que le roi Louis fit importer des étalons de la Barbaria pour ses provinces de Xaintonge et d’Auvergne.

Le cheval Barbe possède un mental exceptionnel, calme et explosif à la fois. Lymphatique au repos, il bouillonne dès qu’on le sollicite, c’est un faux tempérament froid allié à une véritable intelligence. Son énergie devenue légendaire est toujours très simple à canaliser.

Trois types principaux : des plaines littorales riches, celui des montagnes, celui des hauts plateaux et de la limite Nord du Sahara. Bien qu’il n’y ait jamais eu d’étude systématique à ce sujet, plusieurs publications anatomiques précisent que le cheval Barbe n’aurait que cinq vertèbres lombaires au lieu de six comme les autres chevaux. N’avoir que cinq vertèbres lombaires mobiles donne l’avantage de moins fatiguer les muscles pour supporter une charge. Cela ne gène en rien la souplesse du rein, bien au contraire puisque les muscles ne tétanisent pas. Cette particularité anatomique de la majorité des Barbes joue un grand rôle dans l’endurance qu’on leur connaît. Endurant, sobre, frugal, résistant à toutes les variations climatiques, l’étalon Barbe demeure le cheval d’extérieur et de loisir par excellence, monture rêvée pour le tourisme équestre et l’endurance On le trouvera plutôt brun rouge et gris en Tunisie, plutôt gris en Algérie, plutôt gris et bai au Maroc avec toutes les variantes de ces familles de robe. Il est toujours efficace et agréable à monter. Des sabots plutôt petits, cylindriques et durs, une croupe “en pupitre”, une encolure courte, le Barbe a une morphologie de cheval porteur et efficace. Le Barbe est à l’origine de l’élaboration de la race du Pure Race Espagnol, mais également du Pur-Sang Anglais. Il donna en effet naissance à Godolphin Arabian qui fut le chef de file de l’une des plus prodigieuses filiations de Pur-Sang Anglais.

On trouve le Barbe dans tout le territoire de Tamazgha, d’où il est arrivé à pied en France par l’Espagne et en bateau plus tard à Sète et Marseille. Dans l’antiquité, il gagnait déjà en bateau l’Italie, la France et les îles méditerranéennes. Très apprécié dans le Sud-Est de la France où il a “débarqué” en premier, il y est encore élevé en nombre dans les domaines d’Uzès et d’Annecy. Son élevage s’est étendu sur un axe Sud-Est Nord-Ouest et a gagné aujourd’hui la Bretagne, les Flandres comme l’Artois et le Nord-Est. La fantasia symbole de la virtuosité guerrière, rendue célèbre par les tableaux du peintre français Delacroix, assure la continuité d’une tradition équestre militaire authentique. Simulation de l’action militaire traditionnelle au XIXème siècle, elle reproduirait les glorieux assauts de la tactique militaire Berbère. Aujourd’hui, la charge du baroud a remplacé le coup d’arbalète. La Fantasia reste une des manifestations hippiques les plus estimées dans toute l’Afrique du Nord. En Algérie 140 associations équestres traditionnelles perpétuent la Fantasia. Au Maroc près de 1 000 "troupes" et près de 15 000 chevaux participent aux concours organisés par les haras nationaux à l’occasion des fêtes locales ou nationales.

Le cheval Barbe a joué un rôle important en Europe occidentale, tout spécialement en Angleterre à partir du XVIéme siècle. C’est à Henri VIII, le contemporain de François 1er et de Charles Quint, que le Prince de Mantoue offrit plusieurs juments de cette race qui furent mises à la reproduction au Haras d’Eltham. Les cours européennes utilisaient des chevaux napolitains et andalous qui se prêtaient bien au dressage. Le Barbe, cheval d’extérieur par nature, se révéla capable de les concurrencer sur leurs propres terrains, tant son équilibre naturel était bon. Aussi Henri VIII, puis ses successeurs, multiplièrent-ils ce cheval dans les îles Britanniques. Olivier Cromwell, bien qu’opposé aux courses, pratiquait l’élevage, et possédait des juments Barbes qu’il faisait couvrir par l’étalon du Général Fairfax, le fameux "Marocco Barb". En 1650, après le rétablissement de la monarchie, Charles II envoya ses écuyers acheter d’autres juments d’Afrique du Nord : ce sont les fameuses "Royale Mares et Barb Mares". Le Barbe continue, par ailleurs, à alimenter les écoles d’équitation. Le duc de Newcastle, le célèbre auteur de la "Méthode Nouvelle et Invention Extraordinaire de dresser les chevaux" exprime toute l’estime qu’il porte à cette race : il nous dit que le Barbe est son cheval préféré, il lui donne cette préférence « pour le modèle, la force, son naturel agréable et sa docilité. »

En France, c’est à propos du roi Henri III que l’on cite pour la première fois, au plus haut niveau, le cheval Barbe. C’est en effet sur un Barbe qu’il quitta Cracovie, où il était alors roi de Pologne, pour regagner Paris, lorsque la mort de son frère Charles IX, en 1574, lui laissa le trône de France.

Mais Henri IV va être le premier souverain Français à s’intéresser vraiment aux chevaux Barbes et à leur élevage. Antoine de Pluvinel, Grand Ecuyer du Roi avait découvert cette race en Italie et l’avait introduite dans les écuries du roi : il employait plusieurs Barbes dans son Académie Equestre, et c’est sur un Barbe appelé "le Bonnitte" qu’il fit faire au dauphin, le futur Louis XIII, son éducation équestre.

Dans "Le Manège Royal", dont il était l’auteur, plusieurs gravures représentent "le Bonnitte". Le Grand Ecuyer en parlait en ces termes : « C’est le cheval le mieux dressé de la chrétienté, et il est le parangon de tous les chevaux de manège du monde, tant par sa beauté, que pour aller parfaitement, de bonne grâce, jusque terre à terre et à courbettes. On lui trouve beaucoup de nerf, de légèreté et d’haleine ; il réussit parfaitement aux allures relevées et dure longtemps. A n’en point douter, le fameux "cheval blanc" qu’Henri IV montait dans les grandes occasions, était un Barbe ! ».

Sous Louis XIV de nombreuses juments Barbes achetées à Moulay Ismail sont mises à la reproduction au Haras royal de Saint Léger en Yvelines. Jacques II, roi d’Angleterre, poursuit la politique de son frère Charles II, et achète à Monsieur Curwen deux étalons Barbes que le sultan du Maroc avait offert à Louis XIV, et dont avait hérité son fils légitime, le Comte de Toulouse : il s’agit de "Curwen Bay Barb" et de "Toulouse Barb".

En 1731, le Bey de Tunis offre au jeune roi Louis XV, huit étalons Barbes ; il se sépare de Scham, étalon bai, à l’encolure puissante, qui après beaucoup de vicissitudes sera acheté par Lord Godolphin ; il deviendra "Godolphin Barb" et produira avec l’excellente Roxana une extraordinaire descendance dont un des meilleurs chevaux de courses : "Lath". Naîtront ensuite, du même père, Cade, Regulus et bien d’autres.

Ce sont les qualités foncières des Barbes qui, grâce à une sélection sévère par l’épreuve sportive, ont permis aux Anglais de fabriquer le Pur-Sang Anglais. Les pedigrees de Matchem, Herod et Eclipse en apportent la preuve. Le Barbe n’est pas en soi contesté ; dans son "Histoire du Cheval" le grand hippologue que fut Ephrem Houel en parle en ces termes : « Le Cheval Barbe a plus de taille que l’Arabe, il a la tête un peu plus longue. Sa poitrine est magnifique, ses membres sont forts et nerveux, son ensemble est merveilleux de grâce et d’élégance. Il a le pied sûr, la course rapide et se plie néanmoins facilement aux travaux les plus compliqués du manège. » Quelques années plus tard, le Général Daumas, écrivait dans son admirable ouvrage "Les Chevaux du Sahara" : « Si le Barbe n’a pas les contours arrondis, l’harmonieuse beauté, l’élégance plastique du cheval arabe, on peut dire que ses lignes arrêtées et vigoureuses révèlent d’indiscutables qualités. »

La grande guerre de 14-18 fut les années de morts et de souffrances ; le peuple français a payé plus que les autres, en Europe, pour la liberté. En cette période comme en 1870, c’est la Cavalerie d’Afrique et son cheval Barbe qui sauvèrent l’honneur des troupes à cheval. Elle offrit à la France la dernière victoire de la guerre : Uskub (Skoplje -Macédoine) ; le 29 septembre 1918. Ce fut la plus belle (car avec capitulation de l’ennemi). Cette cavalerie légère avait le meilleur cheval de selle de guerre de troupe. Après la rupture du front Germano-Bulgare par l’infanterie à Dropopoljé, la brigade de Cavalerie d’Afrique est lancée sur les arrières ennemis, le 21 septembre au soir, par le général en chef. Elle est composée de chasseurs d’Afrique et du régiment de marche des Spahis marocains : 2 000 chevaux Barbes de troupe. Objectif Uskub, nœud ferroviaire derrière le front. La brigade atteindra le Danube où l’arrêtera l’Armistice général, moins de 50 jours plus tard. Mais l’incroyable fut, les 26-27-28 septembre 1918, le raid, par des sentiers de chèvres, de ces 2 000 chevaux à travers les montagnes de Macédoine, culminant à 2 000 mètres.
Par ce chef d’œuvre de manœuvre d’infiltrations sur les arrières, cette cavalerie légère investit et prit Uskub le 29 sans coup férir. La retraite de l’armée allemande était coupée, elle capitulera. Ce même jour (29) la Bulgarie demande l’Armistice. Le général Jouinot-Gambetta a écrit « Nos chevaux Barbes se montrent admirables (pour grimper) la terrible pente ». Par anticipation de sa manœuvre stratégique, il avait rassemblé et préparé cette cavalerie dans la région de Monastir en Tunisie. Ces chevaux étaient produits dans les établissements hippiques d’Afrique de Nord.


(la barbe Mag)

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:28

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Est un plat connu dans tout l’ Aures ; on pouvait presque dire que c' est le plat national des chaouia. L’auressiene fait une sorte de galette tres fine pétrie au beurre ou à l’huile qu’elle emiette dans un tarbout et qu’elle arrose d’une merga tres épiceé dans la quelle ont cuit de la viande ou de la graisse ,des abricots secs et des tomates ,telles est la recette courante dans la vallée de l oued ABDI notament a MENAA et amentane ,on ajoute volontiers du beurre fondu( adhâne) à ce mets ;on dit meme que la tachekhchoukht doit etre bien beurré A MENAA encore pour la fête du printemps ,on a coutume quand le plat est prêt a etre servi de le garnir d ‘œufs durs cuits dans la merga et de datte deglet noûr coupées en morceaux ,puis de l ‘aroser avec de beurre

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La Chakhchoura ou Chakhchoukha ou Chekhechoukha est une spécialité culinaire chaoui des Aurès et qui aujourd'hui s'est répendue un peu partout.


Du tamazigh chaoui tacherchert qui signifie « émietter », le terme chakhchoukha possède plusieurs graphies.


Jadis, les bergers qui faisaient pâturer leur troupeau jusque tard dans la soirée se devaient d'avoir une alimentation plus enrichie. Au fil du temps, ce qui n'était qu'une « crêpe » se transforma alors en plat accompagné de sauce.

La chakhchoura est le plat culinaire par excellence à Batna mais elle est aussi faite et appréciée dans tous les Aurès et à proximité. Ainsi si elle est sensiblement identique à Biskra, elle en est tout autre à Constantine dans sa conception ou encore à M'sila.

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Pour préparer la recette de chakhchoukha de Biskra (saletés de Biskris !)

Dans un "Djefna" (ou un grand plateau en bois), mélanger la semoule et le sel, rajouter de l'eau ( en petite quantité à chaque fois) et mélanger énergiquement la pâte jusqu'a obtenir une pâte élastique et maniable. Ensuite, recouvrer la pâte d'une serviette propre et laisser la reposer 5 mn environ. Travailler la pâte énergiquement pendant encore 5 mn environ (rajouter de l'eau de temps en temps pendant ce travail quelques cuillères à soupe en une seule quantité à chaque fois). Huiler légèrement les mains pour que la pâte glisse facilement. Prendre la pâte de la main droite, former un cercle avec le pouce et l'ndex de la main gauche et presser la pâte pour en dégager une petite boule de la grosseur d'un oeuf. Huiler la surface d'un plateau et disposer les boules les unes à côté des autres. Laisser reposer le temps de chauffer la "TAWA" ( plaque en acier de 3 à 5 mm de 50 à 60 cm de diamètre). Faire chauffer le "TAWA" pendant environ 10 mn à feu doux. Prendre la première boule et posez la sur un coin du plateau huilé (ATTENTION pas sur le TAWA), étirer la pâte du bout des doigts huilés en l'étalant en rond, poser par dessus une deuxième boule et étaler en forme de cercle la pâte ainsi formée jusqu'à l'obtention d'une pâte très fine (comme des crêpes mais d'un plus grand diamètre). mettre quelques gouttes d'huile sur le "TAWA" qui doit être à feu doux, prendre la feuille de rougag, la poser sur le "TAWA" pendant 30 à 45 secondes sans laisser sécher, la crêpe (ou rougag) ainsi formée doit rester molle mais cuite (en faisant bien attention de ne pas la brûler). Disposer la crêpe (ou rougag) dans un plat de grande taille. Recommencer l'opération pour les autres boules (une fois cuites les disposer les unes sur les autres).

Sauce et viande (marga b'l ham) :
Dans une marmite, mettre la viande coupée en morceau, rajouter 2 cuillères à soupe d'huile, 1/2 cuillère à soupe de sel, 1/2 cuillère à soupe de "Dersa", 1/2 cuillère à soupe de poivre rouge en poudre, 1/2 cuillère à café de piment fort en poudre et les oignons coupés finement. Bien mélanger et laisser prendre à feu doux 5 mn environ en mélangeant en permanence avec une cuillère en bois. Enlever la peau des tomates et les écraser en malaxant avec la main, mettre dans la marmite accompagnées d'une cuillère à soupe bien pleine de tomate concentrée. Bien mélanger le tout. Ajouter 2 grands bols d'eau. Mélanger le tout et laisser bouillir jusqu'à ce que la viande soit presque cuite. Rajouter les pommes de terre et les courgettes. Lorsque les pommes sont pratiquement cuite, rajouter les pois chiches et 1 piment vert percé à l'aide d'une fourchette. rajouter de l'eau si nécessaire ( le niveau de sauce ne doit pas diminuer). Goûter pour vérifier si la quantité de sel est suffisante pour vous.

Les feuilles de rougag doivent être couper à la main en petits morceaux (le terme en dialecte est Fètète Rougag). Servir en mettant 2 poignées de rougag en morceaux dans une assiette et arroser avec la sauce et ajouter les légumes et la viande (à la manière du couscous).

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:34

Numero6 a écrit:  Dis-voir, toi la bombasse, qu'est-ce qu'il a dit sur Amatouille, j'en ai rien à foutre mais je manque d'imagination pour faire la conversation et te transformer en collier-à-paf. Va pas croire que j'ai pas suivi, mais tu sais, ces conneries, j'en avais déjà fait la critique à la crèche, je m'emmerde un peu, tu fais quoi ce soir ? Et sinon, pour Amatouille, tu en penses quoi ?
 
Tchao mec, t'es quand même un putain d'escroc.

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 16:40

Durant l'Antiquité romaine, les circoncellions — de circum cellas, ceux qui vont de grange en grange — sont des saisonniers ou des journaliers africains qui se louent au temps de la moisson ou de la cueillette des olives. Une autre interprétation explique leur nom par le fait qu'ils rôdent circum cellae, autour des granges, des entrepôts, qu'ils attaquent à main armée pour s'en approprier les stocks. Les circoncellions mettent rapidement en parallèle leur situation économique très dégradée et celle des fidèles donatistes opprimée par Rome. Le mouvement n'est pas seulement anticatholique, mais aussi antiromain.


Origines de la révolte

Les circoncellions apparaissent vers 340 lorsqu'ils se révoltent écrasés par les exigences de l'État romain. Ils rendent responsables de leur misère les propriétaires terriens et les fonctionnaires romains. Le comte Taurinus, commandant de l'armée d'Afrique entre 340 et 345, les massacre, les considérant comme des bandits. Très vite, un amalgame est fait entre les circoncellions et les fidèles donatistes. Les circoncellions sont vénérés comme des martyrs. Le fanatisme religieux succède alors aux revendications sociales. Des exaltés s'immolent sur des bûchers, se jettent, parfois en groupe, du haut de rochers. Ils méritent alors la palme du martyr et sont vénérés comme des saints.

L'agitation sociale sème le trouble dans toute l'Afrique, au point que Optat, évêque catholique africain écrit en 366:

« Aucun créancier ne pouvait alors exiger le paiement de ce qui lui était dû… Chacun se hâtait de renoncer aux dettes même les plus importantes… Les routes non plus n'étaient pas sûres : des maîtres, jetés à bas de leur voiture, coururent comme des esclaves devant leurs propres valets assis à la place des maîtres… La situation était renversée entre maîtres et esclaves.» )(Optat, Contre le donatiste Parmenianus, III, 4)
Même si le rapprochement entre les schismatiques donatistes et les circoncellions n'est qu'occasionnel, ils prennent parti pour le berbère Firmus lors de la rébellion des montagnes de Kabylie entre 371 et 375. Environ 20 000 hommes se joignent à lui. Firmus est proclamé roi par les Berbères. L'empereur Valentinien envoie en Afrique le général Théodore pour rétablir la paix. Finalement Firmus est trahi par l'un des siens, Ighmacen, mais se suicide plutôt que de passer à l'ennemi. Le frère de Firmus, Gildon prend sa suite. Vaincu, lui aussi se suicide en prison. (non en fait c'est son frère Gildon qui trahit Firmus, raisons familiales, claniques, jalousie, après lui-même se rebelle contre les Romains)


Leur révolte est assez importante pour qu'en 406 Augustin d'Hippone écrive:

« Vos clercs et vos circoncellions exercent contre nous des persécutions d'un nouveau genre et d'une cruauté inouïe. S'ils rendaient le mal pour le mal, ce serait déjà violer la loi du Christ, Mais après avoir considéré tous nos actes et les vôtres, il se trouve que nous souffrons ce qui est écrit dans un psaume: "Ils me rendaient le mal pour le bien", et dans un autre "J'étais pacifique avec ceux qui haïssaient la paix; quand je leur parlais, ils m'attaquaient sans raison".»
Optat de Milev et saint Augustin, les décrivent donc comme des bandits commettant des vols à main armée, des assassinats et des mutilations en tout genre. Ce dernier accepte mal l'impunité dont ils bénéficient de fait, en raison de l'incapacité de l'administration de les réprimer

CIRCONCELLIONS

Terme désignant les bandes qui parcouraient les campagnes africaines au IVe siècle et dont le sens
probable est «ceux qui rôdent autour des greniers». Adhérents de la secte schismatique des donatistes, les circoncellions résistaient par la force aux autorités favorables à l’Église catholique. L’inscription du
«moissonneur de Mactar» nous apprend que des paysans libres se constituaient en équipes qui allaient se louer pour la moisson, souvent très loin de chez eux; originaires pour la plupart du centre et du sud de la Tunisie et du Constantinois, ils allaient chercher du travail dans les plaines à blé du Nord. Au IIIe siècle, cette activité pouvait être rentable, comme le montre l’histoire du Mactarois, devenu sur ses vieux jours un propriétaire respecté. Les conditions durent s’aggraver pour ces travailleurs au IVe siècle. Ils eurent alors tendance à se révolter comme le faisaient à la même époque les bagaudes de Gaule. Les textes catholiques les montrent maltraitant les grands propriétaires et appelant à la révolte les esclaves et les colons des domaines. Persécutés par le pouvoir dès le règne de Constantin, les évêques donatistes, qui refusaient l’intégration du christianisme dans l’ordre impérial, furent tout naturellement portés à s’appuyer sur ces «contestataires». En 347, l’empereur Constant Ier ayant remis en vigueur les mesures édictées par son père contre les schismatiques, l’évêque Donat de Bagaï, qui avait pris la tête du mouvement hérétique, fit appel à des circoncellions «agonistiques» (c’est-à-dire, sans doute, militants) pour résister aux autorités.
L’accord entre les circoncellions et le clergé schismatique ne fut d’ailleurs pas parfait. Se qualifiant de
«chefs des saints», les dirigeants circoncellions menèrent leur politique propre. On peut penser qu’ils
n’épargnèrent pas les riches donatistes. Aussi certains évêques de la secte n’hésitèrent-ils pas à faire
appel aux autorités contre ces alliés indociles. Les circoncellions se recrutaient parmi les moins romanisés
des Africains. Il serait sans doute anachronique de les considérer comme de véritables nationalistes, mais
ils n’éprouvaient pas d’attachement pour l’Empire. Aussi embrassèrent-ils avec enthousiasme le parti de
deux seigneurs berbères, Firmus et Gildon, qui, dans le derniers tiers du IVe siècle, essayèrent de se rendre indépendants en Afrique. La répression de ces révoltes porta un coup très dur au mouvement. En
outre, dans les premières années du Ve siècle, l’Église catholique, animée par saint Augustin, entreprit un
très énergique et efficace effort de propagande antidonatiste. Après la conférence de Carthage de 411, qui scella le destin du donatisme, on n’entendit plus parler des circoncellions.

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Donatisme


Le donatisme désigne une doctrine chrétienne schismatique puis hérétique qui prit son essor dans le diocèse d'Afrique romaine aux IVe et Ve siècles. Il tire son nom de Donatus évêque de Cellae Nigrae (Cases-Noires) en Numidie. Le principal point d’achoppement des donatistes avec l’Église officielle concernait le refus de validité des sacrements délivrés par les évêques qui avaient failli lors des persécutions de Dioclétien (303-305). Cette position fut condamnée en 313 au concile de Rome.




L'origine du problème : la grande persécution

Le donatisme trouve sa genèse dans un climat de persécutions des chrétiens d’Afrique romaine. Dès les années 295-299, ces provinces africaines comptent des martyrs. Mais la répression prend une forme systématique lors de la grande persécution de Dioclétien au début du IVe siècle.

Dans un premier temps, en Proconsulaire et en Numidie, les gouverneurs se livrent à des perquisitions et détruisent les objets du culte. Les évêques sont sommés par les autorités de livrer les écrits sacrés et les objets du culte. Les attitudes sont diverses : Felix, évêque de Thibiuca, s’y refuse et se voit transféré puis exécuté à Carthage ; Paulus, évêque de Cirta, obéit et livre tout ; l’évêque de Carthage, Mensurius, use d’un stratagème et ne livre que des ouvrages que les chrétiens considèrent comme hérétiques.

Mais l’édit de 304, qui exige un sacrifice général aux dieux romains, donne une nouvelle tournure aux persécutions. Les chrétiens qui refusent de s’y conformer sont menacés de mort ou condamnés aux travaux forcés.

Bien des clercs cèdent alors aux vexations et aux contraintes du pouvoir. Certains chefs religieux livrent leurs coreligionnaires aux Romains et vont jusqu’à brûler en public des livres sacrés. Les Chrétiens relaps sont désignés sous les termes de « lapsi » — de lapsus : celui qui est tombé — ou encore de « traditores » — de tradire : livrer (les livres sacrés).

Le déclenchement du schisme : une élection contestée

À cette période de persécutions succède, vers le printemps 305, une ère de tolérance. Il s'agit d'une tolérance de fait car les édits n'ont pas été rapportés et le retour à la paix n'est officiel qu’en 307, date de la paix de Maxence. C’est à cette occasion qu'apparurent les premières manifestations de ce qui allait devenir un schisme. Les réunions pour la succession de Paulus en 307 firent apparaître l’opposition des « purs » à ceux qu’ils qualifiaient de traditores, ce qui signifie « livreurs (des objets sacrés) » et aussi « traîtres ». Ces opposants furent certainement influencés par les écrits de leurs compatriotes Tertullien et Cyprien de Carthage qui refusaient que les chrétiens fautifs et réintégrés dans la communauté puissent exercer un sacerdoce. De ce point de vue, les sacrements et l’autorité spirituelle de prêtres lapsi puis réintégrés étaient sans valeur.

Au-delà, de 308 à 310, l’Afrique est provisoirement détachée de l’Empire après la sécession de l’usurpateur L.Domitius Alexander. L’Église dans sa majorité se montrait tolérante envers ceux qui avaient failli (les lapsi) et réintégrait les prêtres et évêques qui embrassaient de nouveau le christianisme. Mensurius est donc réintégré comme primat d’Afrique. Le conflit ouvert éclata en 312 lors de la succession de l’évêque de Carthage, Mensurius. La nomination de Cæcillius fut contestée : puisque il avait été ordonné prêtre par Mensurius, évêque traditor, son ordination n’était pas valable, donc il ne pouvait pas être évêque. Entraînés par l’évêque Donat, soixante-dix évêques de Numidie élirent contre lui un évêque concurrent, Majorinus.

Le conflit se poursuivit sur le terrain juridique : l’affaire remonta à l’arbitrage impérial, sollicitant Constantin Ier qui venait de récupérer l’Italie et l’Afrique par sa victoire sur Maxence. Considérant qu’il s’agissait d’un problème mineur entre chrétiens, Constantin demanda au pape Miltiade (311-314) de s’en occuper. Un concile fut organisé en 313 dans le palais de Latran autour de dix-huit évêques italiens et gaulois. De ce concile de Rome date la première condamnation des schismatiques africains. Donat s’obstina dans la contestation de l’ordination de Cæcillius par un évêque qui avait failli. Le concile de Latran confirma la validité de cette ordination par l’argumentation suivante : si le Christ est présent dans tous les sacrements, un sacrement est effectif quels que soient les antécédents du prêtre qui le délivre. Donc l’ordination de Cæcillius par Mensurius était valable.

Les donatistes, obstinés, firent de nouveau appel à Constantin, qui dut s’impliquer plus sérieusement. Le concile d'Arles qui se termina le 1er août 314 rendit la même décision qui prit force de loi en 317 par la volonté de Constantin, qui ordonna la dissolution des communautés donatistes et la confiscation de leurs biens.

Les premières violences et les tentatives d'apaisement

Les donatistes contrôlaient de nombreuses communautés, l’application de la loi s’accompagna de nombreuses violences, à Carthage et dans les provinces africaines. Pour rétablir le calme, Constantin suspendit en 321 l’application des mesures répressives. Les donatistes se maintenaient donc, crispés sur un esprit de rigorisme et d’opposition avivés par les violences qu’ils venaient de connaître. Eux seuls étaient les purs, ils étaient « fils des martyrs » et sans compromission, face aux « fils des traditores ». Tout sacrement venant d’un prêtre indigne à leurs yeux était nul, donc ils rebaptisaient ceux qui avait reçu le baptême hors de leur communauté.

Vers 340, des bandes d’ouvriers agricoles itinérants, les circoncellions, se dressèrent contre les propriétaires terriens, les forçant par la violence à annuler les dettes et affranchir les esclaves. La convergence entre les donatistes et les circoncellions ne tarda pas. À la même époque, l’empereur Constant Ier envoya en Afrique deux commissaires chargé d’apaiser les querelles religieuses en distribuant des secours aux communautés. L’évêque Donat, toujours en place, refusa tout subside, rejetant l’ingérence du pouvoir dans son Église. La tournée des commissaires dégénéra en affrontements armés contre les donatistes aidés par les circoncellions. L’évêque donatiste Marculus périt lors de son emprisonnement, tombant dans le vide depuis un rocher. Les donatistes le proclamèrent martyr, tandis que ultérieurement Augustin y vit un suicide rituel.

Alternances d’attitude du pouvoir face au donatisme

Après le concile de Nicée, l’orthodoxie chrétienne engagea la lutte contre toute forme de déviation et d’hérésie, tandis que la politique des empereurs variait selon leur sympathie religieuse. Le donatisme, quoique non encore taxé d’hérésie, resta après la mort de son inspirateur Donat vers 355 un foyer d’opposition régionale à l’orthodoxie et connut tour à tour tolérance et répression.

En 362, Julien autorisa toutes les tendances du christianisme. Il mit fin aux exils de donatistes et leur fit restituer leur lieux de culte.

En 373, Valentinien Ier interdit aux donatistes la pratique du « rebaptême ». Dans les années 372-375, les donatistes sont mêlés à la révolte du chef maure Firmus en Maurétanie. En 376, Gratien renouvelle l’interdiction de l’église et du culte donatiste. À partir de 385, le comte d’Afrique Gildon protégea et encouragea le donatisme, et finit par se révolter contre le pouvoir impérial en 397-398. Vaincu, il laissait les donatistes au sommet de leur force, mais isolés.

Les conciles de Carthage et la dilution du donatisme

Des divergences de vue apparurent au sein même du donatisme : vers 370/380 Tychonius tempéra la rigueur en rappelant, évangiles à l’appui, que l’église est sur Terre un mélange des justes et des pêcheurs.

Quelques années plus tard, le théologien Augustin, évêque d’Hippone en Afrique Proconsulaire à partir de 395, développa ses arguments pour contrer le donatisme : distinguant deux dossiers, la « causa Cæcilliani », vieux conflit de personnes qui appartenait désormais au passé, et la « causa ecclesiæ », où il critique l’attitude religieuse étroite et puritaine des donatistes et affine l’argumentation de saint Cyprien sur la validité des sacrements. Les arguments d’Augustin n’eurent aucun effet sur les donatistes, qui poursuivirent leurs violences et contraignirent l’Église orthodoxe à réclamer de l’empereur Honorius de nouvelles sanctions. Son édit de 405 assimilant les schismatiques aux hérétiques exposait désormais les donatistes à toutes les lois répressives.

En 411, les évêques donatistes ne purent se dérober à un concile organisé à Carthage entre les deux églises officielle et schismatique, sous l’arbitrage du commissaire impérial. Plusieurs centaines de représentants de chaque tendance y participèrent. Au lieu de débattre des aspects religieux sur les exigences de probité du sacerdoce et la validité ou non de ses sacrements, les donatistes s’enlisèrent sur la querelle de l’élection de Cæcillius, un siècle plus tôt. L’arbitrage rendu leur fut défavorable, et une loi prise à Ravenne en 412 définit la répression contre les récalcitrants : lourdes amendes pour les adeptes du donatisme, exils pour leurs évêques, confiscation des lieux de culte et des biens ecclésiastiques.

À partir de cette date, un grand nombre de communautés donatistes revinrent à l’orthodoxie, au point qu’un nouveau concile dut être tenu à Carthage en 418, pour achever le reclassement de centaines d’évêques. Néanmoins, quelques évêques donatistes restèrent sur leur position inflexible, comme Gaudentius à Thamugadi (Timgad) ou Emeritus à Césarée (Cherchell), tandis que l’Empire d’occident se désagrégeait sous les invasions barbares, réduisant ses capacités de répression.

La disparition du donatisme

L’arrivée des Vandales en Afrique en 429 et la chute de Carthage en 439 détacha l’Afrique de l’Empire romain pendant un siècle. Les historiens manquent d’informations à partir de cette époque sur ce qu’il advint du donatisme. Il est possible, mais non prouvé, que quelques communautés donatistes désormais indépendantes se soient maintenues en Maurétanie ou en Numidie. En 533-535, les Byzantins reconquirent en partie les provinces d’Afrique, mais l’historien Procope de Césarée ne mentionne pas les donatistes dans sa « Guerre contre les Vandales », tandis qu’une loi de Justinien en 535 interdisait tout culte aux « donatistes, juifs, païens, ariens et autres hérétiques ». Cette énumération traduisait-elle une présence réelle ou un simple effet oratoire d’accumulation ?

Enfin la laborieuse conquête arabe de l’Afrique du Nord, depuis le raid sur Sbeïtla en 647 à la chute de Carthage en 698, et celle de Ceuta en 709 fit définitivement passer le donatisme dans l’oubli, les conquérants ne faisant aucune distinction entre chrétiens. Mais l’Afrique du Nord développa en 742 avec les kharidjites un nouveau foyer de puritanisme religieux, musulman cette fois.

Le donatisme n’était pas qu'un mouvement d'opposition, qui voyait les autres chrétiens comme impurs et corrompus ; les donatistes avaient également des pratiques religieuses différentes, mettant l'accent sur le Saint-Esprit. Les anabaptistes et d'autres Églises de la Réforme radicale ont vu en eux des prédécesseurs, du fait de leur opposition à l'union de l'Église et de l'État.


Les plus grandes parties des renseignements sur ce mouvement nous sont fournis par les écrits d’Augustin d'Hippone, et de son collègue Optat, évêque de Milev, deux éminents représentants du combat contre le donatisme, ainsi que par les canons des conciles africains, par les constitutions impériales incorporées au Code Théodosien, par les procès-verbaux d’audience devant les tribunaux, ainsi que par le matériel archéologique.

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Message par Invité Jeu 31 Juil 2014 - 21:03

Flood!!!! Faut mettre tout ça en spoiler. Parce-que trop c'est trop. Et beaucoup c'est beaucoup.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 7:36

Bande de zèbres.


Dernière édition par Super poucave le Lun 4 Aoû 2014 - 12:21, édité 1 fois

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 11:35

Super poucave a écrit:
Que je t'emmerde! (même si je ne sais pas quel est ton problème)
Ton offre 'irl, tu peux te la foutre dans le cul, je ne me fatiguerais pas pour rencontrer une vieille hystérique.

... t'es qui toi ? Pouvez pas essayer de nous faciliter la tâche. C'est compliqué de suivre.

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Message par Sélène-Nyx Ven 1 Aoû 2014 - 13:02


Quand tu ignores qui c'est, tu penses "clone de chacal", c'est simple ...

Et Stauk, au fait, qui c'est? (était)?
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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 13:31

Sélène-Nyx a écrit:
 Et Stauk, au fait, qui c'est? (était)?

Y en a qu'un. C'est sale con, mais il a pas 50 pseudos. Et il va aux irl avec son vrai visage de pisseux surdoué.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 13:40

@ Superproutestuncave : la pauvrete de ta reponse illustre celle de ton esprit. Merci de ta participation car si je n'etais pas deja sur de moi, tu me donnes raison. Encore merci et un gros bisou au passage, petit fripon !! Pété de rire

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 13:48

Les Berbères sont géographiquement et génétiquement intermédiaires entre les populations européennes (composante majeure) et les populations sub-sahariennes (environ 20 % de contribution)[1].
Le chromosome Y est transmis de père en fils, l'étude des polymorphismes présents permet en théorie de suivre la lignée mâle — directe — d'une famille, d'une ethnie ou d'une espèce.
La majorité des Nords-Africains berbérophones et arabophones ont le chromosome Y E3b2 (m81) (60 % à 80 %) [2] et J* (respectivement 42 % et 20 %) d'origine majoritairement néolithique[3]. L'haplogroupe E3b2 est spécifique aux Berbères et voit sa fréquence décroître d'Ouest en Est. Cet haplogroupe est absent de la plupart des pays d'Europe sauf en Europe du Sud (Portugal, Espagne, Italie, France) ou sa fréquence dépasse les 10 % dans certaines régions d'Espagne et du Portugal. Ces chiffres pouvant s'expliquer par la longue présence musulmane dans la péninsule ibérique et dans une moindre mesure en Italie et dans le sud de la France[4]. En France sa fréquence est de 3,5 % de la population[5]. Son origine est l'haplogroupe E3b d'Afrique orientale qui date de 10 000 ans[6].
L'étude la plus récente et la plus complète sur le chromosome-Y au Portugal conclut que « les données concernant l'ADN mitochondrial et le chromosome-Y indique que la présence des Berbères dans ce pays est antérieure à l'invasion maure de 711 […] Nos données indiquent que les Berbères, contrairement aux immigrants sub-sahariens, ont constitué une communauté de longue durée et continue dans le pays. »[7]
L'haplotype V, caractéristique des populations berbères, se retrouve très fortement en Espagne (>40 % en Al-Andalus), au Portugal (36 %) en Catalogne (12 %), au Pays basque (11 %), en Italie et dans le sud de la France (11 %)[8]. D'après la NCBI, ceci étant la conséquence[9] des huit siècles de domination musulmane en Espagne et au Portugal entre les VIIIe et XVe siècles. (Ta gueule)

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 13:51

stauk a écrit:
Petitagore a écrit:
ⓗⓞⓤⓢⓔ a écrit:Ainsi si quand les tigres attaquent et que tout le monde se planque silencieusement dans des abris savamment ouvragés pendant des décennies, toi tu décides que tu as vraiment l'envie et le droit de chanter à tue tête la Macarena, même si ce n'est pas spécifiquement interdit, certains te feront remarquer que tu es bien gentil, mais bon, tu fais vraiment n'importe quoi.

Nous entrons dans le domaine de la polémique et ça va donc partir en sucette, mais dans l'immédiat ça n'empêche pas cette vanne d'être extrêmement drôle.  Laughing

Je vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle. Les tigres chassent en Solo. Je comprends pas.

"Quand les canettes de lait attaquent en masse, alors que des millions de dollars ont été investis dans un système de laser spatiaux anti-canettes, aller chanter à tue tête "La reine des neiges" sur la lune c'est le droit le plus strict. hahahaha. "

Non j'ai rien compris.

h t t p:/ /fr.wikipedia.org/wiki/Tigre

En plus de ça c'est une espèce en voie de disparition. Impliquer arbitrairement qu'ils chassent les hommes en masse et qu'on est obligé de construire des abris spécifiques, c'est justifier le braconnage, qui va se cacher derrière la défense de nos enfants pour justifier les envies personnelles des chasseurs irrespectueux de la biodiversité. Il vont te dire : Je défie quiconque à vu son enfant se faire dévorer par un tigre devant ses yeux, lentement pendant des heures, de souhaiter la préservation de cette espèce.

Je vois pas où est l'humour dans ce propos. Au mieux c'est la mauvaise fois, du lobying. Au pire c'est ...

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 13:57

Numero6 a écrit:
C'est aussi pour ça je pense que les vrais surdoués peuvent prendre leur pied avec des intelligences standards rustiques plus bien qu'avec des personnes très intelligentes mais à l'esprit trop formaté, trop politiquement correct.

Purée elle se frite toute seule.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:01

VOYAGE DANS L'AURÈS


Chez la femme chaouïa, le ventre distendu et que rien ne soutient est presque toujours flétri lorsqu'elle a eu des enfants.

Il présente fréquemment des hernies ombilicales, conséquence de la distension de l'anneau ombilical.

Au terme de la grossesse, quand le travail se déclare, la parturiente est placée dans une position mi-allongée, mi-assise; elle est soutenue en arrière par la matrone qui enlace son thorax de ses bras en passant sous les aisselles. Avec les pieds elle s'arcboute contre le sol, et afin de faciliter l'effort et de le produire plus considérable, elle tire sur une corde attachée à un des rondins de bois qui composent la partie supérieure du gourbi.

Quand la période d'expulsion arrive, la matrone placée en arrière de la parturiente, la secoue, afin dit-elle que «l'expulsion se fasse plus rapidement.»

Quand l'accouchement est normal et qu'il doit se terminer favorablement, il se fait assez rapidement. Si l'expulsion tarde à se faire, on fait avaler du beurre fondu à la femme en douleurs, afin dit-on de «faciliter le glissement.»

Si, par le fait d'un excès de volume du foetus ou par suite du rétrécissement du bassin, l'expulsion spontanée ne se fait pas, aucune intervention n'a lieu, la femme est abandonnée à la volonté de Dieu et elle meurt.

L'expulsion du placenta se fait immédiatement après celle du foetus; le cordon est coupé à quatre travers de doigt de l'ombilic et lié avec un cordon de laine; on saupoudre ensuite la plaie avec de l'antimoine, il n'y a pas d'autre pansement.

Si l'expulsion spontanée du placenta ne se fait pas, aucune intervention manuelle n'a lieu.

Les procédés employés pour provoquer la contraction utérine nécessaire au décollement du placenta sont les suivants:

Le piment pilé est donné sous forme de prise, dans le but de provoquer, à l'aide d'éternuement, une contraction des muscles abdominaux, l'abaissement du diaphragme, l'irritation du muscle utérin, sa contraction, le décollement du placenta et son expulsion.

On introduit aussi parfois une corde de laine dans la gorge de l'accouchée. Il survient un effort de vomissement et le mécanisme précité se produit.

Ou bien encore, la femme est mise debout, le bassin fléchi sur les cuises; à l'aide d'un bâton auquel on imprime des mouvements de va et vient, on frotte la la partie inférieure du ventre, celle qui répond à l'utérus. Ce dernier système n'est en somme que l'application barbare du procédé qui, chez nous, consiste à irriter l'utérus par des frictions.

Si, malgré l'emploi de ces divers procédés, le placenta n'est pas expulsé ou l'abandonne dans la cavité utérine.

Une hémorrhagie survient-elle, ou fait prendre à l'accouchée une infusion de racine de grenadier.

Si ce traitement est insuffisant, ce qui est le cas général, ou fait écrire par un taleb (savant), des versets du coran sur un carré de papier qui est ensuite suspendu au cou de la femme. C'est la suprême ressource et si l'hémorrhagie ne s'arrête pas spontanément, la femme est emportée.

Dans le cas où le placenta reste dans l'utérus, me dit la matrone, «il survient de l'odeur, le ventre de la femme enfle et elle meurt».

C'est la péritonite puerpérale.

«D'autre fois le ventre ne gonfle pas, il survient de la fièvre, il y a de l'odeur et la femme meurt plus ou moins longtemps après l'accouchement».

C'est l'infection puerpérale.

Très rarement le placenta sort par morceaux et la femme peut se rétablir.

On conçoit que dans ces conditions, la femme étant toujours livrée au hasard des complications qui peuvent survenir, périt le plus souvent victime de l'ignorance de son entourage.

Il importe donc de combattre de telles pratiques.

Il ne faut plus que la maternité soit pour les femmes de ces régions un danger très souvent mortel, alors qu'une intervention intelligente, pourrait sauver à la fois l'accouchée et l'enfant qu'elle vient de mettre au monde.

Après l'expulsion des annexes foetales, on ne procède à aucun lavage des parties génitales. La matrone saisit une des jambes de l'accouchée, place son pied sur les parties génitales externes de cette dernière et opère un mouvement de traction sur le membre inférieur; elle s'arrête seulement au moment où un craquement se fait entendre.

Cette méthode est destinée, paraît-il, à «remettre en place les os qui se sont déplacés pendant la grossesse»; puis les cuisses de la femme sont rapprochées et du massage est fait sur toutes les parties du corps.

De larges cordons de laine sont posés autour du ventre, sur une hauteur de 10 à 15 centimètres.

Après l'accouchement la primipare garde le repos pendant sept jours, la multipare pendant cinq jours seulement.



Avortement - Aurès


La fille chaouïa est mariée vers douze ans, et, qu'elle soit nubile ou non, m'a-t-on affirmé à Ménaâ, elle subit les approches du mari.

Il ne s'en suivrait aucune conséquence fâcheuse; quelquefois seulement une hémorrhagie assez considérable se produit, due sans doute à une déchirure dépassant l'hymen et empiétant sur le périné; mais elle n'en souffre pas et un mois après son mariage, la jeune femme «devient grasse comme une mule».

Le plus souvent la grossesse arrive immédiatement.

J'interroge ensuite Mekdour Hinama bent el Messaoud Amri, la matrone, sur les divers procédés que les femmes emploient pour se faire avorter. Elle me répond tout d'abord qu'elle ne sait pas.

Je conçois la réserve que lui commande son caractère de quasi-médecin; mais je ruse et je finis par avoir d'elle confirmation de ce qui m'a été dit à Arris et qui me sera répété à Menai chez des Azrias qui sont celles qui se livrent le plus à la pratique de l'avortement.

L'avortement se pratique très fréquemment chez les femmes chaouïas, surtout chez celles qui habitent la vallée de l'Oued-Abdi, où les moeurs sont dissolues.

C'est dans le début de la grossesse que les femmes se font avorter. Elles disent qu'il n'y a pas crime à se débarrasser d'un enfant qui ne vit pas.

Pour provoquer l'avortement elles emploient différents moyens:

Elles absorbent de la poudre à canon, ou bien encore une substance appelée «zedje» et qui n'est autre que du sous-chlorure de mercure que viennent leur vendre les kabyles marchands qui parcourent la région. A la suite de l'absorption de cette substance, elles sont très malades; tous les signes de l'empoisonnement par le sous-chlorure de mercure se manifestent et l'avortement ne tarde pas à se faire.

Un autre moyen qui, celui-ci, agit directement sur l'utérus, consiste à établir un brasier sur lequel elles jettent des graines de piment. Le brasier est ensuite recouvert d'une sorte d'entonnoir à petite extrémité tournée en haut et qu'elles dirigent vers l'entrée du vagin en se plaçant au dessus.

Une forte congestion utérine est la conséquence d'un tel traitement, une hémorrhagie se fait entre l'utérus et l'oeuf, puis le décollement de ce dernier et son expulsion.

Des cas de mort sont assez souvent la conséquence de ces manoeuvres.

Elle survient soit par suite d'infection septique, soit par empoisonnement.

A Ménaâ, le village qui vient après Chir, j'ai su qu'une toute jeune femme était morte après l'absorption d'une infusion de laurier-rose qu'elle avait prise après avoir vainement essayé les autres moyens habituels.


(h  t t p :/ /w w w.gutenberg.org/ebooks/15375?msg=welcome_stranger          saloperie)

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:03

Aznag a écrit:
La majorité des Nords-Africains berbérophones et arabophones ont le chromosome Y E3b2 (m81) (60 % à 80 %) [2] et J* (respectivement 42 % et 20 %) d'origine majoritairement néolithique[3].

Ca m'étonne pas. Je t'ai toujours trouvé un peu primaire. Mouahahaha. Tout s'explique.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:07

Je n'ai pas passé le test du chromosome Y, j'ai peur d'être recalé et d'être trop évolué,
ce serait une honte létale.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:12

Aznag a écrit:Je n'ai pas passé le test du chromosome Y, j'ai peur d'être recalé et d'être trop évolué,
ce serait une honte létale.
T'as pas d'intuition masculine. C'est pour ça.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:15

J'ai pas d'intuition tout court,
moi je suis purement rationnel et vrai faux derche.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:23

Abu Yazid, l'homme à l'âne

Abu Yazid (أبو يزيد), également orthographié Abou Yazid ou Abû Yazîd, de son nom complet Abu Yazid Mukhallad ibn Kayrâd (أبو يزيد مخلد بن كيراد) et surnommé « l'homme à l'âne », né en 873 et mort le 19 août 947, est un Berbère zénète de la tribu des Banou Ifren[1],[2],[3].

Abu Yazid naît chez les Banou Wargu — les Banou Wargu et les Merendjissa appartiennent à la confédération des Banou Ifren — selon les propos rapportés d'Ibn Hazm par Ibn Khaldoun[3]. Mais d'autres sources indiquent qu'il serait né à Gao (Mali)[4]. Le révolutionnaire suivit le dogme du kharidjisme (nekkarites) et devint le chef de la plus importante rébellion menée contre les Fatimides au milieu du Xe siècle.

Sommaire

1 Biographie
1.1 Jeunesse
1.2 Prise du pouvoir par les Fatimides
1.3 Règne d'Al Qa'im
1.4 Règne d'Al-Mansûr
2 Postérité
3 Notes et références
4 Bibliographie
5 Voir aussi


Biographie

Jeunesse
Abu Muhammed Ayub, le fils d'Abu Yazid, rapporte que son grand-père se nommait Makhled[5] et sa grand-mère Sabika, native de Kaokao au Soudan[6]. Makhled se rendait souvent au Soudan pour commercer. Abu Yazid était boiteux et avait un signe dans sa langue[6].

Abu Yazid vivait en deux endroits à Tozeur (actuelle Tunisie) et Takyus (Tagious) dans le Sud tunisien dans l'ancien Bilad el Garid[7],[8]. Durant ses études, il apprend le Coran ainsi que la littérature classique. Abu Yazid, érudit lié au kharidjisme, part à Tahert — capitale des Rostémides et principal centre kharidjite à tendance ibadite — où il débute son enseignement et se rapproche de la secte nekkarite. Son maître Ubayda sera emprisonné à Sijilmassa pour son opinion. Dépourvu d'argent après la mort de son père, il reçoit des dons et la charité des habitants de la ville de Guiton[9] et, en contrepartie, enseigne lui-même le Coran[8].

Prise du pouvoir par les Fatimides

En 909, le propagandiste ismaélien Abû `Abd Allâh ach-Chî`î, à la tête des tribus kutama qui sont venues à bout des Aghlabides, part vers Sijilmassa pour y rencontrer enfin son imam, `Ubayd Allâh al-Mahdî, qu'il n'a jamais vu. Au passage, il détruit le royaume rostémide de Tahert (26 août 909[10]).

Le 6 janvier 910, `Ubayd Allâh al-Mahdî arrive triomphalement à Raqqâda vêtu de soie noire tandis que son fils porte un costume semblable de soie orange. Tous les notables arabes ou non sont là pour le recevoir et lui prêter serment d'allégeance. La loi islamique est promulguée et tous les interdits renforcés. Le 15 janvier, il prend le titre de calife et de « commandeur des croyants » malgré l'existence du calife abbasside. C'est la première fois que deux califes règnent au même moment.

Revenu à Tozeur, Abu Yazid cherche à soulever les habitants en prônant le renversement du fatimide `Ubayd Allâh al-Mahdî. Accusé d'avoir donné son opinion, il est déclaré hors-la-loi par la justice locale. En 922, il quitte la province et décide de accomplit le pèlerinage à La Mecque. Toutefois, il constate en cours de route qu'il est poursuivi ; il quitte alors la Tripolitaine et retourne à Takyus. Après la mort d'Al-Mahdî, son successeur ordonne à toutes ses troupes d'arrêter Abu Yazid qui part en campagne, avec sa femme et ses quatre fils, à la tête des tribus zénètes et Houaras des Aurès chaouis (Banou Zendek, Banou Berzal, Maghraoua et Azzaba)[11]. Il propose une forme de gouvernement formé d'un conseil de cheikhs en remplacement du califat fatimide. En 934, il lance sa rébellion à partir des Aurès mais cherche d'abord de l'aide auprès des Omeyyades d'Andalousie. Il réussit à amalgamer toutes les oppositions au chiisme des Fatimides et obtient le soutien des sunnites malékites de Kairouan mais fait face à l'indifférence du calife de Cordoue `Abd al-Rahman.

Abu Yazid s'enfuit alors en Orient et accomplit son pèlerinage à La Mecque entre 936 et 937[8]. Revenu à Tozeur, déguisé pour ne pas être reconnu, il est toutefois vite découvert et se retrouve en prison. À cette nouvelle, Ammar Abdelhamid, chef de la secte nekkarite, mobilise un groupe de Zénètes qui entrent à Tozeur pour demander au gouverneur de le relâcher[8]. Fadl et Yazid, les deux fils d'Abu Yazid, rejoignent le groupe et se chargent rapidement d'organiser l'évasion de leur père qui part pour Ouargla car un important groupe des Banou Ifren habitent la ville. Pendant son séjour, il visite les Aurès, et plus particulièrement les tribus des Banou Zendek Ben Maghraoua et les Berzel de M'Sila. Il rassemble tous les Azzaba et fait le serment de combattre les Fatimides en 942[8].

Il profite alors de l'absence du gouverneur de Baghaï[12] pour venir, à la tête de ses partisans, ravager les environs de cette place forte. Il s'empare sans coup férir de Tébessa et de Medjana[13]. Mermajenna, cité dont la localisation n'a pu être déterminée, est prise et Abu Yazid y reçoit en présent un âne gris dont il fait sa monture. C'est pourquoi on le désigna ensuite sous le sobriquet de « l'homme à l'âne[14]. ». Il prend ensuite Laribus[15] qu'il livre au pillage.

Règne d'Al Qa'im

Al-Qâ'im bi-Amr Allah succède à son père comme imam ismaélien et calife fatimide. Abu Yazid se dirige alors vers Béja qu'il prend après une brève bataille contre les troupes fatimides. La ville est incendiée, les habitants hommes et enfants massacrés et les femmes réduites à l'esclavage. Cette nouvelle provoque de nombreux ralliements à la cause d'Abu Yazid : autant pour échapper à ses coups que dans l'espoir de participer au butin.

Abu Yazid prend Tunis avec l'aide des habitants et attend des renforts au bord de la Medjerda. Il subit un premier revers en approchant de Sousse, 4 000 de ses partisans étant tués au cours d'une bataille. Il prend néanmoins la direction de Raqqâda que les troupes fatimides abandonnent à son approche pour se réfugier à Kairouan. Khalîl Ben Ishâq qui a la charge de défendre Kairouan essaie de traiter avec Abu Yazid plutôt que de le combattre. Il va commettre l'imprudence de se rendre dans le camp de son adversaire. Abu Yazid le fait arrêter et le met à mort. La ville privée de chef ne tarde pas à se rendre (octobre 944). Comme à l'habitude et malgré les ambassades des notables de la ville, celle-ci est mise à sac.

La légende veut que le Mahdî avait prévu une révolte inspirée par le kharijisme et qu'elle viendrait se briser sur les murs de Mahdia, aussi Al-Qâ'im attend-il le moment où la prophétie va se réaliser[16]. Abu Yazid fait le siège de Mahdia (944). Une colonne de secours menée par un chef sanhadja, Ziri ibn Menad, permit aux assiégés de tenir. En janvier 945, il est à l'emplacement prévu par la prophétie et entreprend le siège de la ville. La famine s'installe dans les deux camps. Abu Yazid expulse les non combattants que ses troupes massacrent. Les troupes disparates d'Abu Yazid se dispersent d'autant qu'il n'y a plus rien à piller. La foule enthousiaste du début commence à se sentir flouée. Al-Qâ'im profite de l'affaiblissement de ses adversaires pour effectuer une sortie de la ville assiégée. En août 945, Abu Yazid prend la fuite en abandonnant ses troupes. Al-Qâ'im reprend rapidement Tunis, Sousse et Kairouan tandis qu'Abu Yazid reconstitue son armée.

Les chefs des tribus kutama et sanhadja rassemblent une armée pour secourir les Fatimides. Aux abords de Béja, ils doivent affronter Ayûb, l'un des fils d'Abu Yazid, qui les prend par surprise et les disperse. Ayûb, encouragé par cette facile victoire, se dirige vers Tunis qu'il reprend aux Fatimides. En janvier 946, Ayûb part à la conquête de Sousse. Il s'ensuit un siège acharné. Le 19 mai, pendant ce siège, le calife Al-Qâ'im meurt. Le combat reprend avec Ismâ`il Al-Mansûr qui succède à son père.

Règne d'Al-Mansûr

Ismâ`il al-Mansûr succède à son père comme imam ismaélien et calife de la dynastie fatimide alors sur le point d'être vaincue. Il commence par tenir secrète la mort de son père pour laisser l'impression qu'il n'y a rien de changé. Il envoie une flotte apporter du soutien et des vivres aux habitants de Sousse. Ces renforts permettent de desserrer le siège de la ville. Abu Yazid se replie sur Kairouan où se trouvent ses femmes et ses enfants. Les habitants de la ville lui refusent l'entrée et ferment les portes à son approche. Il se retire alors à Sbiba.

Le calife Ismâ`îl fait son entrée à Kairouan fin mai 946. Il accorde une amnistie générale aux habitants de cette ville. Les femmes et les enfants d'Abu Yazid sont respectés. Ismâ`îl fait pourvoir à leurs besoins. Abu Yazid mène des raids pour couper les routes menant de Kairouan à Mahdia et Sousse. Ismâ`îl offre à son adversaire de lui rendre ses femmes et ses enfants contre son départ définitif. Abu Yazid fait mine d'accepter mais à peine a-t-il retrouvé ses épouses qu'il reprend le combat. Ismâ`îl réunit donc une armée nombreuse pour en finir avec cet adversaire déloyal. Une bataille s'engage avec l'armée régulière au centre et sur l'aile droite des troupes de berbères kutama. Abu Yazid attaque cette aile droite et vient se heurter aux troupes régulières plus aguerries. C'est une déroute pour les kharidjites : on aurait envoyé à Kairouan 10 000 têtes d'ennemis[17].

Commence alors une chasse à l'homme : Abu Yazid fuit à travers les montagnes et passe à Belezma[18] en pensant pouvoir résister dans la place forte de Tobna[19] mais doit fuir à nouveau. Le gouverneur de M'Sila se met alors au service du calife dans sa chasse à l'homme. Il lui amène un jeune chef de partisans qui se disait le Mahdî et qu'on avait fait prisonnier dans les Aurès à la tête d'une bande. Le calife ordonna de l'écorcher vif : « Ainsi faisait-il de tous ceux qu'il prenait ». D'autres prisonniers eurent les mains et les pieds coupés[17]. Abu Yazid envoie son fils Ayûb chercher du secours en Andalousie tandis que lui-même se réfugie dans les montagnes auprès de tribus berbères qui lui sont restées favorables.

Les armées du calife délogent Abu Yazid qui part vers le désert. Le calife perd alors la trace de son adversaire mais, à la fin janvier 947, il apprend qu'Abu Yazid se prépare à faire le siège de M'Sila. Il fait aussitôt demi-tour, poussant Abu Yazid, qui n'a plus d'autre solution, que de se réfugier chez les Berzal (tribu des Maghraoua) dans la montagne Salat. Le calife fatimide propose en conséquence vingt charges d'or à qui le dénonce[20]. Abu Yazid prend aussitôt la fuite vers les montagnes de Kiyana[21]. En août 947, le siège de la montagne où s'est réfugié l'homme à l'âne se termine avec sa capture alors qu'il est presque mort des suites de ses blessures. Le calife le fait donc soigner pour pouvoir l'exhiber lors de son retour en triomphe mais Abu Yazid finit par mourir. Son cadavre est alors empaillé pour être rapporté à Mahdia comme preuve de la victoire du calife qui se donne, après cette victoire, le surnom d'Al-Mansûr (منصور soit « Le Vainqueur »). Le mouvement de rébellion est totalement désorganisé même si des tribus zénètes hostiles continuent de menacer l'empire. Elles seront un peu plus tard repoussées du Maghreb central (actuelle Algérie) par Ziri alors nommé gouverneur de la province par les Fatimides. Cet évènement marque l'avènement de la dynastie des Zirides sur l'est du Maghreb alors que l'ouest du Maghreb est sous le contrôle de la dynasite des Banou Ifren et des Maghraoua, en général des Zénètes, jusqu'à l'arrivée des Almoravides au XIe siècle[22].
Postérité

Plusieurs pièces de monnaie en or, retrouvées dans le sol du Maghreb, portent le nom d'Abu Yazid, ce qui indique que cet homme disposait d'une administration bien organisée et qu'il ne s'agissait pas d'un simple agitateur[23].

Dans son article[24], W.K.R. Hallam indique que le héros Bayajidda de la culture des Haoussas représente une personnification folklorique de partisans d'Abu Yazid qui auraient fui l'Afrique du Nord après leur défaite.

Notes et références

1↑ (fr) Louis Piesse, Itinéraire historique et descriptif de l'Algérie comprenant le Tell et le Sahara, éd. Hachette, Paris, 1862 [archive]
2↑ (en) Martijn Theodoor Houtsma, E.J. Brill's First Encyclopaedia of Islam. 1913-1936, éd. Brill Academic Publishers, Leiden, 1993 [archive]
3↑ a et b Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, traduction de William McGuckin de Slane, éd. Berti, Alger, 2003, p. 849 (ISBN 9961690277)
4↑ Robert Brown, The History and Description of Africa and of the Notable Things Therein Contained, vol. III, éd. BiblioBazaar, Charleston, 2009, p. 845
5↑ Il est dit fils de Kaydad, fils de Sâddallah, fils Mughith, fils de Kerman, fils de d'Othman, fils d'Urimt, fils de Djunfer, fils de Samiran, fils d'Ifren, etc.
6↑ a et b Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique, historique et géographique du département de Constantine, éd. Société archéologique, historique, et géographique du Département de Constantine, Constantine, 1872, vol. 15-16, p. 64
7↑ Revue des études orientales, éd. Éditions scientifiques de l'État, Varsovie, vol. 13-15, 1971-1974, pp. 185 et 280
8↑ a, b, c, d et e Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, pp. 849-852
9↑ Il s'agit d'un camp zénète du territoire des Nefzaouas rattaché à l'ancienne province de Castiba (environs de l'actuelle Tozeur), selon la note de la table géographique de l'ouvrage Histoire des Berbères d'Ibn Khaldoun.
10↑ Charles-André Julien, Histoire de l'Afrique du Nord, des origines à 1830, éd. Payot, Paris, 1994, p. 393 (ISBN 9782228887892)
11↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, p. 852
12↑ Baghaï est une ancienne ville romaine dans la wilaya algérienne de Khenchela (35° 31′ 19″ N 7° 06′ 52″ E / 35.521818, 7.114334).
13↑ Medjana est une ville de la wilaya algérienne de Bordj-Bou-Arreridj (36° 07′ 49″ N 4° 39′ 55″ E / 36.130388, 4.665155).
14↑ (fr) Partie I de la « révolte d'Abou Yézid, l'homme à l'âne » (Tunisie d'antan) [archive]
15↑ El Orbos connue aussi sous le nom de Laribus est une ancienne ville romaine située près de la ville tunisienne de Dahmani dans le gouvernorat du Kef[Où ?].
16↑ Ibn Khaldûn, Le livre des exemples. Volume I, éd. Gallimard, coll. La Pléiade, Paris, p. 688 (ISBN 2070114252)
17↑ a et b (fr) Partie III de la « révolte d'Abou Yézid, l'homme à l'âne » (Tunisie d'antan) [archive]
18↑ Ksar Bellezma est une ville de la wilaya algérienne de Batna (35° 40′ 34″ N 5° 54′ 08″ E / 35.676124, 5.902233).
19↑ Tobna (Tubunae en latin) est une place forte antique en ruine au sud de Barika dans la wilaya algérienne de Batna (35° 21′ N 5° 21′ E / 35.35, 5.35).
20↑ Youssef Nacib, Cultures oasiennes. Essai d'histoire sociale de l'oasis de Bou-Saâda, éd. Publisud, Paris, 1986
21↑ Les montagnes de Kiyana sont un lieu mal identifié près de Bichara dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj et près de ce qui deviendra plus tard la Kalâa des Béni Hammad. D'autres sources indiquent qu'il s'agit de la montagne d'Aiad.
22↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, p. 858
23↑ Arthur Pellegrin, Histoire de la Tunisie depuis les origines jusqu'à nos jours, éd. La Rapide, Tunis, 1944, p. 101
24↑ W.K.R. Hallam, « The Bayajidda legend in Hausa folklore », Journal of African History, vol. VII, n°1, 1966

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:25

Aznag a écrit: Le calife ordonna de l'écorcher vif : « Ainsi faisait-il de tous ceux qu'il prenait ».

Toi aussi vient participer au Harem du Calife. Nombreuses places à pourvoir. Toute l'année.

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:33

Aznag a écrit:Enfoiré tu m'as grillé,
du soleil cul nus,
 Pété de rire

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:47

Borthwick a écrit:
ErikFromFrance a écrit:
Zarbitude a écrit:
Il doit s'agir d'un biais de confirmation comme lorsque je dis que c'est parce que les gens sont déçus de la médecine traditionnelle qu'ils s'orientent vers les médecines alternatives.
Me trompe-je?
(...)
Et si c'est le cas alors....tu me pardonnes ?
Dis oui, dis oui, dis oui Razz
J'ai bien en tête un exemple de biais de confirmation (un cas particulier de biais cognitif) dans ton commentaire mais ça n'est pas le passage dont tu parles. Et je te pardonne. geek

Tu n'es pas obligée de chercher le biais (cognitif/de confirmation) dans ton propre commentaire. Tu peux prendre n'importe quelle situation imaginaire pour construire un exemple.

Le biais cognitif il est de ton côté. Tu te mets dans l'optique medico-physiologiste ( et forcement personne peut te donner tort sur ce terrain) alors que le sujet de l'homéopathie et de la vaccination se trouve au niveau santé publique ou alors dans l'exercice de l'art médical.

Et pan ! T'as les boules t'as les glandes t'as les crottes de nez qui pendent !



---------

heu nan désolé man je peux participer à rien suis une déchéance intelectuelle, pire qu'une blonde...

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Message par Invité Ven 1 Aoû 2014 - 14:48

Je manque d'elle.

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