On est demain ! *copie-colle*

Ahhhhh... C'est bon de se sentir lu
Vanité sors de ce corps !
Ouste.

Bah hum des bisous j'en fais !!! après il est vrai que je saute pas partout. Dans la vraie vie qui pique, les plafonds sont bas.
Mais sur ce forum je peux faire genre !

Spoiler:

Bisou ma Vive-Argent

Fa a écrit:
Bah hum des bisous j'en fais !!! après il est vrai que je saute pas partout. Dans la vraie vie qui pique, les plafonds sont bas.

Mais si tu vas dehors, il n'y a que le ciel comme limite! (Enfin, attention aux arbres quand même.)

Spoiler:

fleur_bleue a écrit:Mais si tu vas dehors

Oui non mais avec des si...

bisou la fleur

Il pleut même pas!

à toi.

J'avais pas vu, mais il a vachement bronzé Fa. Comment t'as fait avec ce temps?

Pour son bronzage je l'invite à me rejoindre sur les fouille!!!

Je suis près d'un soleil

Je vois :p, tu me le prêtes?

EDIT FLASH NEWS: Je serai sur Paris ce week-end, bien occupé mais malgré tout il subsiste la probabilité de ma présence au Lapin dimanche soir, mais à voir, si jamais. ;-)

Si jamais tu ne leur poses pas un Lapin ?
Désolée, c'tait trop tentant Flo

Ci-dessous un article (en anglais, mais je peux tenter de le traduire s'il y a des intéressés - manifestez-vous ) à propos des problèmes d'estime de soi.

http://www.psychologytoday.com/articles/201112/the-boom-and-bust-ego

J'y ai trouvé assez juste et amusante la description des épiphénomènes de la faible estime de soi, et intéressante la démarche préconisée : plutôt tenter de composer avec, que d'en "guérir".

Bon, ça reste à creuser, ça me semblerait plus profitable d'en guérir, mais je recherche scanne pas mal sur le sujet, actuellement.
Je crois réellement que la bataille pour l'estime de soi est et va être "la" grande bataille de ma vie. Et à lire ce forum, j'ai l'impression que la question concerne une petite poignée d'autres zèbres également

Actuellement, je me sens la plupart du temps bien, voire heureux, et suis plein d'espoirs et de rêves. Mais oui oui, bien évidemment, je traine toujours mes casseroles d'ego. Et à mes yeux aujourd'hui, les seuls obstacles qui pourraient me faire passer à côté de ma vie seraient dus à divers problèmes d'estime de soi.

Ce qui serait, vous en conviendrez, le comble de la zébrocrétinerie

Des bisous sur vos joues et de l'amour dans vos coeurs
(Remarquez que je suis prêt à un duel d'EMP, tounu sur le pré le plus proche, avec quiconque trouve cette dernière phrase trop mièvre)

Moi en tout cas, je serai très intéressée par le résultat de tes recherches...

Et j'aime bien cette phrase:

Actuellement, je me sens la plupart du temps bien, voire heureux, et suis plein d'espoirs et de rêves.

à toi, le sha.

Il fait trop froid pour un duel tounu, en revanche!

EDIT: D'ailleurs, j'ai un bouquin sur l'estime de soi que je pourrais te prêter si tu veux.

Il fait jamais trop froid pour se retrouver nue contre un torse pareil. Mais soit. T'sais pas c'que tu perds, Fleur bleue !

Et sinon, oui, je pense qu'une bonne partie des problèmes des gens en général viennent de leur estime ou plutôt mésestime d'eux-mêmes. Et plus spécifiquement, de l'impact du jugement de l'Autre sur cette estime.

Sauf que s'en foutre complètement revient à se marginaliser franchement, et il faut pouvoir assumer ça. Ce qui n'est pas, personnellement, mon cas.

Saphodane a écrit:

Well, [s]he's saying that because that's what g[al]s say, or because [s]he feels sorry for me, or because [s]he knows that I'm psychologically fragile, and [s]he doesn't want to upset me.

bise ma saphort <3

Dans une émission que j'ai vue il y a peu, Régis Debray parle un peu de ça... Il dit que devenir vieux c'est chouette parce qu'on finit par se foutre de ce que pensent les autres
http://www.france2.fr/emissions/ce-soir-ou-jamais/diffusions/17-05-2013_58461 (environ à la 12e minute)

Alors peut-être que t'es juste encore un peu jeune, et que petit à petit tu vas la gagner cette confiance en toi ?

Oh...
Etre sensible à l'avis d'autrui est un phénomène de la mésestime de soi mais ça n'est pas le seul. Je crois que la problématique dépasse largement ce cadre. D'ailleurs je n'avais pas ça à l'esprit lorsque j'ai posté ça cet aprem.

A vrai dire, telles que je vois les choses actuellement, un retour positif de "ce que pensent les autres" me semble au contraire important pour poser les premières pierres à la construction de cette estime de soi. Tôt dans la vie de préférence.
Après, ouais, faut composer avec... ou faire du petit à petit, comme tu dis

Bisou, boule de p'luche Merci pour le jeune

Mais mais mais, l'amie mogwai, tu me sers tout de même une superbe transition sur un plateau

Y'a par exemple une certaine dose de sexualité dans pas mal de mes envies de dessin, et il y a quelques bouchons "regard des autres" à faire sauter pour que je m'autorise à le coucher sur le papier, sans parler de le montrer.

donc hop :

Spoiler:

A la base je voulais faire un speed painting... mais j'ai tellement galéré... je vous avouerai pas le temps que ça m'a pris.
Puis j'aurais aimé le construire davantage grace à ce que j'ai travaillé dernièrement d'anatomie... alors que j'ai fini par reproduire bêtement ce que je voyais, tellement je luttais.
Mais bon... Je me suis contraint à n'utiliser qu'une seule brush, je vais donc prendre ça comme un entrainement à l'outil et aux couleurs

Chouette!
J'aime la façon dont tu as rendu la lumière!

Magnifique. Je kiffe autant le thème que la pose que les couleurs que la lumière que le cadrage... tout.

Y'a guère que le cadrage dont je puisse me targuer ^^ Et encore.
Merci les fiyes

Moi j'dis qu't'es un malin ! On te balance du Debray, et t'envoies du bondage, en toute modestie

Harpo a écrit:Moi j'dis qu't'es un malin !

Et la boucle est bouclée ? ^^
Bise, Harpo

Bah je trouvais intéressant ce que disaient Debray et Badiou... Y causent bien, ces gars là ! Mais la question de fond était relativement éloignée des miennes
Sinon, hors de son contexte, le passage sur le fait de se foutre de l'avis des gens était amusant, mais... il ne m'a pas convaincu que c'était du à son âge, ou même qu'il s'en foutait vraiment, vu comme l'affirmation tombait comme un cheveu sur la soupe (un peu dans le genre proclamation ) mais okay okay, j'avoue, je cherche la ptite bête

Ptet que faudrait me citer des porn star ? Rho, c'est scandaleux, ma brave dame. La honte de ZC !

Superbe, Fa. Juste superbe.

Merci, la fleur
bisou

Fa a écrit:et intéressante la démarche préconisée : plutôt tenter de composer avec, que d'en "guérir".
Bon, ça reste à creuser, ça me semblerait plus profitable d'en guérir,

Bon, il est tôt le matin et j'ai pas bcp dormi, mais...

Dans la réalité des faits observés, ça marche assez ensemble à vrai dire.
A partir du moment où tu passes en phase d'acceptation de ce que tu es (faible estime de soi comprise), tu fais un pas vers ce que tu appelles "guérison".
L'idée est simple (et encore simplifiée) : n'est pathologie que ce qui est gênant. Si ça n'est plus gênant, tu es guéri.
C'est un peu la base de toute la théorie comportementaliste d'ailleurs.

En gros, le cheminement c'est
1. je sais que j'ai une faible estime de moi, donc, faire telle chose va être très compliquée parce que j'ai une faible estime de moi.
2. Il faudrait que je mette en place une stratégie en connaissance de cause (incluant la problématique "j'ai une faible estime de moi").
3. Je vais réussir à faire la chose que je pensais ne pas pouvoir faire.

Ça ne sera ni magique ni simple, mais ce sera fait...

Et puisque dans les résultats, avoir une faible estime de soi n'aura pas interféré avec la réalisation... en soi, tu es "guéri".

Je schématise. Mais c'est l'idée.
(bon j'ai pas lu l'article, pas l'temps là tout de suite)

Je passe à peu près la moitié de mon temps à expliquer à mes clients qu'il vaut mieux faire avec que lutter contre... nager à contre courant, ça fait stagner et ça épuise. Se laisser porter par la vague, ça amène à des endroits qu'on avait pas forcément imaginés...
Dans le traitement des angoisses et des phobies, parfois c'est révolutionnaire.

Bref.
Bisou.

Honhon, sengounette. Tu marques un point.
Pertinent Merci

La dernière phrase aussi m'intéresse. Pourrais-tu développer en quoi l'approche comportementale, que je peux concevoir fonctionner pour ce qui est des actions, permet aussi de réduire la molette de mécanismes totalement internes comme les angoisses ?

Un bref bisou à toi aussi

Ah...
Un indice sur ma manière de le penser/comprendre : un mécanisme interne est une action du psychisme.

Avec une sorte de prérequis qui abandonne l'idée qu'on est seulement victime de ce qui se passe dans notre psychisme, qu'on peut passer de spectateur à acteur, metteur en scène, etc.

Bon, ceci dit, comme j'expliquais ce matin par ailleurs, ce sont des choses assez difficiles à faire seul, l'autre (le psy en l'occurrence) comme une sorte de "miroir" et/ou d'obligation de verbalisation est une donnée non négligeable pour modifier le sens de fonctionnement du mécanisme interne, voire le démonter.

J'aime bien quand tu discutes politique, Fa. Et accessoirement, je suis tout à fait d'accord. (Mais je ne voulais pas casser la discussion sur le fil de Mis en, du coup je te l'écris ici.)

Et accessoirement, j'ai perdu moins point central -_-
Acte manqué powa

Mais je l'avais encore lu!

fleur_bleue a écrit:Mais je l'avais encore lu!

cool ^^ si tu l'as lu et que t'es dotée d'une mémoire eidétique j'pourrais le retrouver, alors

Euh, je crains que non... Désolée.

Tu me fais soulever des interrogations sur pourquoi je l'ai ouvert sur un sujet socio-politique, fleur. Je ne m'exprime pas souvent ces sujets, d'ordinaire.

Je viens de creuser un peu au fond de moi.
Je fuis le réel et l'actualité, et même l'histoire trop récente (XIXe siècle et +) possède une certaine "esthétique" qui me fait fuir. Je suppose que ça s'est cristallisé là : d'abord dans l'esthétique (par exemple, moi qui aime pourtant le fantastique, je n'aime pas le genre steam punk, pour des raisons "visuelles". Il semblerait que mon fonctionnement soit visuel). Mais la raison profonde est ailleurs, je crois.

Je préfère m'intéresser aux réactions sociales à travers un filtre historique, de préférence ancien. Le moyen âge, l'antiquité. La préhistoire. Et je regarde Kalthu avec envie.

Je trouve trop de déjà-vu dans l'actualité. Trop de rappels qu'on est, humains, capable du pire. Trop de choses qui me font baisser les bras. Trop de "putain, 2013, et on en est encore là". Trop d'idées préconçues dans les discours, trop de propagande, trop de sophismes dans les débats. Trop de panurgisme à tous les niveaux. Trop de bêtise et de méchanceté.
Too much, rideau, je fuis le 20h.
C'est ancré tellement profond, depuis tellement longtemps, que ce n'est même pas une fuite consciente. Si on me colle devant le 20h, je peux bouffer du popcorn devant.
Mes neurones se sont câblés leur petit confort de moindre résistance, et cette "fuite" se manifeste simplement, d'ordinaire, par le désintérêt.

Alors pourquoi l'ouvrir maintenant, offusqué par l'action de femmes montrant leurs seins, quand je viens de vous peindre un bondage ?

Eh bien, il y a des parenthèses dans mon désintérêt pour l'histoire récente. Certaines des périodes les plus noires, et, en particulier, WWII, sans vouloir caser de godwin ici.
Je pense que c'est parce que je crois trouver là des réponses qui ne sont pas ailleurs. Ces années pas si vieilles où l'humanité a touché le fond. Ou la société a fait un "fail" monumental.
"Pourquoi ?". Pourquoi ont-ils cru en ces discours. Pourquoi ont ils suivis ainsi. Pourquoi sont ils allés jusque là. Pourquoi certains y ont pris du plaisir. Pourquoi. Pourquoi. Avec la curiosité d'un zèbre obsédé par un sujet, j'ai avalé les sources que j'ai trouvées. Je me suis repassé en boucle des scènes qui auraient du me faire vomir. Les horreurs de chaque camp, des grandes causes idéologiques à la réalité du fait divers dégueu.

Là, j'ai puisé les quelques réponses que j'ai désormais à ces pourquoi. Oh j'ai encore quelques incertitudes, et un docu sur les années 1930-1945 m'intéresse toujours, mais je me suis forgé quelques opinions. De quoi est moralement capable l'humain, de quoi suis-je moralement capable, de quoi aimerais-je être moralement fait, sur quoi repose la morale, bref. Ce genre de trucs.

Par rapport à ce matériel, entendre qu'un dirigeant vient de piquer dans la caisse n'est pas le genre d'info qui me fait en parler des heures à la machine à café. Je m'en cogne. Je sais déjà qu'un humain est capable de voler. C'est pas un scoop. Déjà-vu. Pourquoi ça vous choque autant, vous, mes collègues de la machine à café ? Je suppose que ça renforce mon côté jemenfoutiste et mon sentiment de décalage, et ça se mord la queue.

Malgré les quelques réponses que je me suis forgées à tous ces pourquoi, je reste encore, parfois, atterré de voir les gens suivre certaines idées. Mais pourquoi se laissent-ils encore embobiner par ces discours ? Pourquoi ? Si je n'avais pas recouvert mes révoltes d'un linceul, d'une brume qui apaise l'image et étouffe le son, j'en pleurerais.

Alors... quand je vois sous mes yeux la réponse à un de ces "pourquoi" :
Bin, c'est parce que cette agression vient de donner du brillant à son discours.
Et c'est l'action des paladins de mes propres valeurs qui vient de renforcer l'influence de l'extrémiste d'en face.

Alors... j'en pleure pour de vrai.

Vu la qualité de ta réflexion et de ton discours, c'est d'ailleurs plutôt dommage que tu t'exprimes si peu sur ces sujets!

Je trouve par ailleurs très intéressant ton développement sur le pourquoi de ton désintérêt pour l'actualité. Effectivement, il y a un côté frustrant quand on voit qui vole qui, qui gueule sur qui ou qui a tué qui, alors que tout ça semble si inutile. Faudrait que je creuse ça pour moi, peut-être...

Spoiler:

Fa a écrit:
Là, j'ai puisé les quelques réponses que j'ai désormais à ces pourquoi. Oh j'ai encore quelques incertitudes, et un docu sur les années 1930-1945 m'intéresse toujours, mais je me suis forgé quelques opinions. De quoi est moralement capable l'humain, de quoi suis-je moralement capable, de quoi aimerais-je être moralement fait, sur quoi repose la morale, bref. Ce genre de trucs.

Tiens, justement, je suis en train de lire la généalogie de la morale de Nietzsche, dont la question fondamentale en fait est : quelle est la valeur de la morale ? C'est assez intéressant

PY, je t'adore.
C'est un de mes livres de chevet.

Aouannanoooo ouate moraliiiiiiiiiiiiiiiiizzzz ♪
Anooo Nietzsche canshooooohoomiiiii ♫



Je n'ai pas lu ce bon monsieur.
Je suppose que c'est parce que ma curiosité est au repos car mes propres réponses à ces interrogations me suffisent, pour le moment ?
Comme je le disais, étant de confession visuelle (), je préfère souvent les sources visuelles brutes et mes propres analyses.

Mais puisque tout reste relatif, je suppose que subsistent de petits bouts de curiosité, juste suffisants pour te scanner la face Que dit-il ?

Découvrir après tout le monde que Psyché Rock a pour base Louie Louie : fait.

/me pique son stylo à Sapho et barre un item de sa liste.

Ces derniers temps, je vis des intensités émotionnelles peu communes. C'est pas un plat sur le up. C'est des amplitudes de yoyo ahurissantes.
Là je suis dans un up
Envie de vous dire ma joie.

Les seuls down sont quand j'angoisse pour rien.
La vache, quels downs... Alors que BOUDIOU CA VA BIEN

Mais j'en gagne... ça semble vouloir se stabiliser peu à peu sur "chaleur, sérénité"
Moins de montagnes russes et les down qui s'espacent. Du moins je veux le croire.

*continue de scanner sur la confiance en soi*

YEEEEEEEEESSSSSSSSSSSSSSS

Ça me fait plaisir de lire ça, Fa, c'est super!

J'ai parfois envie d'intervenir dans des threads dans lesquels je ne suis pas impliqué, juste pour... basher. Casser de l'idée, voire de l'auteur.

Eh oui, moi, pronant la "non-violence, même verbale", aurais-je envie de basher.
Ca me soulève quelques idées :

- Il semblerait que mes plus fortes envies de basher soient pour dénoncer des travers que je pense avoir eu ou avoir encore moi-même. Tout ça n'est-il qu'une réaction de culpabilité ?

- Je me sais capable des meilleures comme des pires émotions. C'est par ce que je fais de ces émotions : les autoriser à m'envahir et me faire agir, ou bien simplement les ressentir puis les laisser aller, que je me juge en bien ou mal.

- Si je suis capable de ça pour réfréner mes envies de poster des mots blessants, cela peut-il se généraliser pour, effectivement, faire ce que décrivait senga il y a quelques posts et se libérer tout à fait d'autres pulsions négatives ? En première ligne, des angoisses issues de la mauvaise estime de soi ?

- N'est-ce pas ce qu'avait voulu me faire comprendre Loic-Tseu il y a déjà fort longtemps ?

- Comment va Loic ?

Spèce de hooligan!

Fa un Hooligan !!!

J'demande à voir.

Moi je veux couper une croix dans un cimetière avec des prothèses mammaires et écrire sur mon corps FeeMan !!!

Le tous filmé par mes amis...
Bon oui, le bémol de mon idée, j'ai peu d'amis...
Mais le mieux, vous savez, c'est que je vais le faire !!!

Et il pourra me filmer donc ???
Avec un masque des Anonymous, j'adorerai.

Et avec cette zic en fond sonore, quitte à faire commercial, autant que ça serve des copains...

Puis au mois de Juillet, comme ça si je suis en garde à vue, ça fera chier mon ex femme !!!

YEAAAAAAAAAAAAAH FAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! \o/ Ça c'est bien !

Courage et bonheur pour toi, chaton !

Fa a écrit:- Il semblerait que mes plus fortes envies de basher soient pour dénoncer des travers que je pense avoir eu ou avoir encore moi-même. Tout ça n'est-il qu'une réaction de culpabilité ?

Culpabilité je sais pas, mais je vois très bien de quoi tu parles. Moi j'appelle ça "l'effet miroir"
J'ai même pris pour habitude, lorsque je me sens agacée par une personne ou par ses actes/mots de me demander immédiatement "Qu'est-ce qui me ressemble chez cette personne et que je n'aime pas en moi ?"... Parfois ça met un peu de temps, mais y'a pas photo, je finis toujours par trouver...