Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris...

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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:06

Mildiou a écrit:Je vais t'appeler mon précieux lol!

De fait on remarquera comme tu m'avais dit : où stockes tu tout cela ? je pense à toutes les personnes qui ont écrit, réfléchi des choses ou la vie qui me permettent d'avoir matière à penser, à réfléchir... sinon je serai vide et je tournerai à vide depuis très longtemps Smile

De là mon "classement basique" depuis petite : ceux qui me décomposent et ceux qui me recomposent Smile je pourrais être mariée depuis 20 ans avec Gugusse  Razz Shocked....

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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:09

Une idée germe au cœur du cerveau. Mais d’où vient-elle ? Et surtout, comment nait-elle? C’est avec ce questionnement philosophique que nous avons entamé notre processus de recherche. En parallèle, nous avions déjà choisi notre terrain de recherche, soit celui de la télévision. Nous avons ainsi déterminé que l’industrie télévisuelle était en pleine mutation et que le modèle d’affaires allait devoir subir une complète transformation (Cheniac and Jezequiel, 2005; Gabszewicz and Sonnac, 2006). Pour se faire, une vision de ces nouveaux modèles allait devoir émerger. C’est donc entre le terrain et la littérature, entre nos pré-entretiens et nos propres connaissances que nous nous sommes penchés sur les facteurs influençant la vision des dirigeants d’entreprise. Ainsi, nous sommes partie à la découverte du fonctionnement cognitif afin de mieux comprendre les mécanismes de la pensée dans le cerveau. Nous avons pu déterminer que plusieurs chercheurs de la cognition reconnaissent que la vision est un processus cognitif, demandant ainsi la formation de schèmes mentaux autour de scripts spécifiques. Grâce à Amabile (1983, 1996), Mumford et al. (2003) et Sternberg (2008), nous avons pu démontrer que la vision était un processus cognitif de créativité. Nous avons donc tenté de nous approprier la littérature sur la créativité et ses composantes pour mieux la saisir et la comprendre. Nous avons aussi établi quels étaient les facteurs qui influencent la cognition et la créativité dans son édification. Puis, nous positionnant dans un paradigme managérial, nous avons établi que, selon la littérature, la vision est prescriptive et dépend d’un individu ou de la direction (Strange et Mumford, 2002, 2005; Shipman, Byrne et Mumford, 2010; O’Connell et al., 2011). De plus, peu d’études ont véritablement étudié les mécanismes de la vision (Boal et Hooijberg, 2001 ; Mumford, Connelly et Gaddis, 2003; Bryman, 2004 ; Strange et Mumford, 2002, 2005 ; Yammarino, Dionne, Uk Chun et Dansereau, 2005 ; Sternberg, 2008). Mais pour bien comprendre ce qui influence la vision, nous avons tout d’abord, par une agrégation des différentes littératures, proposé une définition de la vision plus large et dynamique, tout en précisant notre objet de recherche. Ainsi, une étude approfondie des connaissances et des perceptions de dirigeants de trois télévisions publiques, que nous avons comparés avec leurs subordonnées et des experts du milieu, a permis d’identifier certains facteurs influençant la vision ; plus particulièrement les enjeux politico-légaux et l’histoire de l’entreprise. De plus, la légitimité, concept émergeant de nos données, est venue renforcir l’apport de l’environnement dans l’édification de la vision. Ceci nous a permis de démontrer qu’en contexte d’institution publique, la vision, sise au cœur des phénomènes cognitifs de créativité, est un construit social et que le dirigeant en est son porteparole
http://www.hec.ca/etudiant_actuel/mon_programme/phd/evenements/2015/Resume-AP-BEDARD.pdf
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:11

«La créativité est essentielle en affaires. Lorsqu’une entreprise, peu importe son domaine d’activités, perd le désir d’aller dans des zones d’inconfort et cesse d’explorer de nouvelles dimensions, elle perd toute son intelligence et sa vitalité», soutient Philippe Meunier, chef de la création et associé principal chez Sid Lee, une agence de marketing, design, communication et publicité.

PLUS: La clé du leadership en affaires: la créativité

Dans le cadre du volet «Prendre sa place, laisser sa marque!» du programme Leadership action de la Jeune chambre de commerce de Montréal, Philippe Meunier a invité une trentaine de convives de la relève d’affaires à plonger dans l’univers de la création. Cherchant à casser le mythe de la créativité innée, M. Meunier a présenté dix techniques pratiques afin de faire germer les idées créatives en entreprise.

Aux comptables, ingénieurs, conseillers en gestion et autres professionnels présents, le cofondateur de Sid Lee a affirmé que chacun d’eux a un côté créatif. Le secret est de garder l’esprit ouvert et de tenter de faire preuve de créativité au quotidien.



«Tout le monde est créatif, mais certains ont la chance d’arriver plus facilement dans l’inconnu», a-t-il lancé. «C’est aussi une question de muscle, tout dépend de comment on le travaille.»

Dix mots, dix trucs pour faire place à la création, selon Philippe Meunier :

1. La machine : Il existe une formidable machine de création que personne ne connaît, a lancé avec humour le conférencier : le cerveau! «Quand on fait de la création, il faut partir la machine, mettre le cerveau à On. Quand j’ai un problème, je le mets dans la machine et je l’actionne», note M. Meunier. Ce dernier explique que les gens ont souvent la fâcheuse tendance à «démarrer la machine à idées» trop tard, comme peut le faire un cégépien qui s’attelle à un travail de 25 pages à remettre un 12 décembre… le 10 décembre! «Il faut démarrer la machine aussitôt qu’on rencontre un problème, parce que celle-ci fonctionne tout le temps», conseille M. Meunier. Ainsi, une fois que vous êtes prêt à investiguer directement le problème, la solution se trouve souvent parmi les idées qui ont mijoté.

2. Les questions : Que met-on dans la machine? Des questions. «Better question, better answer. Si quelqu’un arrive au bureau avec un problème, plus vous poserez des questions, plus vous vous approcherez de la solution», affirme M. Meunier.

3. Les «post-it» : Lors des évaluations de rendement des employés chez Sid Lee, Philippe Meunier ne parle pas d’objectifs de rentabilité ou d’autres formules complexes. Chacun sort de son bureau avec un «post-it» sur lequel il y a un mot ou un dessin, que ce soit un bocal avec un poisson rouge, un arbre ou un roseau. Ce symbole leur indique les points sur lesquels ils devraient s’améliorer, ou encore s’investir. Ces derniers colleront leur «post-it» sur leur écran, leur miroir, de façon à toujours se rappeler ce qu’ils doivent travailler.

«C’est la meilleure place pour mettre une idée», affirme M. Meunier, qui a pris soin de distribuer des fameux «post-it» aux participants à sa formation. «On peut en avoir plusieurs, faire des listes avec plusieurs d’entre eux, en mettre dans nos poches… On met une idée par «post-it» et après, on peut jouer avec, les tester et faire des liens.»

4. La vitesse : Fonctionner sur l’adrénaline s’avère une excellente façon de faire émerger les idées. Qui ne s’est pas déjà retrouvé dans une réunion sans entrain, remplie de temps morts et donc assurément improductive et coûteuse en termes de temps et d’argent? «S’il ne se passe plus rien dans une réunion, faites autre chose et revenez-y», soutient M. Meunier. «Lorsqu’il n’y a plus de vitesse, il n’y a plus de création. Pour arriver à un vrai brainstorming, dites n’importe quoi, mais dites quelque chose.»

Et par vitesse, l’associé principal chez Sid Lee entend bien sûr des échanges rapides, mais l’environnement physique est également important. À son avis, plusieurs entreprises n’ont pas un environnement propice à la création. Par exemple, les firmes où des employés passent leur journée dans des bureaux à cloisons.

Lorsqu’il travaillait sur le projet du Moulin à Images de Québec avec Robert Lepage, plusieurs bonnes idées ont pris naissance lors de leurs promenades quotidiennes dans les rues de Québec.

«Depuis, je vais faire du jogging avec les gens de la création, c’est une chose que Robert Lepage m’a apprise. Marcher crée de la dynamique. Allez marcher le midi!», conseille M. Meunier.

5. La crap : En matière de création, le cerveau comporte deux zones importantes selon M. Meunier. D’abord, la zone du connu, donc de tout ce qui a été acquis depuis la naissance. Le cerveau emmagasine des choses, de la musique, des poèmes, des messages radio, des gens qui pleurent… Tous ces éléments stockés ont un potentiel de création. Plus la zone du connu du cerveau, celle de la culture générale, est remplie, plus il sera possible de déborder vers l’autre côté : l’inconnu.

Comme le cerveau a le réflexe de vouloir associer les choses et faire des liens, le danger est de rester au premier degré, au premier niveau. «Il faut faire sortir la crap!», lance M. Meunier. Par crap, le créatif entend tout ce qui est superflu, inutile, nuisible, sans intérêt, bref tout ce qui empêche de traverser la barrière qui mène vers l’autre zone du cerveau, essentielle en création : la zone de l’inconnu. «Parfois, vous direz que quelqu’un est bizarre. Il n’est pas bizarre, il est seulement rendu dans cette zone, alors que vous en êtes encore à essayer d’associer des idées. Pour entrer dans l’inconnu, il faut faire sortir la crap! », affirme M. Meunier.

6. Le steak : «Quand je parle de steak, j’entends les protéines, la viande qui vous nourrit. Dans mon tas de crap, il y a un steak, des protéines qui forment les bonnes idées», image M. Meunier. Les Guy Laliberté et les Richard Branson de ce monde vous le diront : il y a toujours une bonne idée derrière leur projet. Ainsi, quand vous lancez un produit ou une stratégie d’affaires, le cofondateur de Sid Lee conseille de vous poser toujours la même question : «c’est quoi l’idée?»

7. Les 180 degrés : Par 180 degrés, l’entrepreneur créatif parle de la quête de la vérité, de la réalité, en cherchant le contraire d’une affirmation. «Allez voir à 180 degrés d’une idée, d’un projet, et vous aurez votre réponse», note-t-il. Par exemple, une entreprise qui fait la publicité d’une bière qui n’est pas bonne vous dira qu’elle est rafraîchissante ou qu’elle n’a pas d’arrière-goût. La réalité, soit le fait qu’elle n’a pas bon goût, se trouve à 180 degrés.

8. La peur : «On est rempli de peur au Québec; peur de perdre son travail, de déplaire, de ne pas avoir de dividendes… C’est triste parce que cela démontre un manque de courage. Et les idées ont besoin de courage pour vivre», déplore M. Meunier. Selon lui, la peur est la pire ennemie de la création. Et surtout en création, la peur est partout, même chez Sid Lee. «Aussitôt qu’il est question de lancer quelque chose de différent, les gens ont peur», affirme-t-il.

9. Le doute : Contrairement à la peur, le doute est la faculté de se remettre en question, et ce, «pas à minuit moins cinq», affirme M. Meunier. Il est donc important de mettre un pied à l’extérieur de notre travail, d’avoir du recul. La clé est de travailler l’idée sous différentes formes, la tester, jouer avec les possibilités. Chez Sid Lee, les employés sont invités à inscrire leurs idées sur des tableaux disposés sur les murs. L’initiative a pour but d’inviter les passants à les commenter. «C’est bien de partager avec d’autres, car cela nous permet de savoir si on consacre toute notre énergie à quelque chose de mauvais. Il est donc important de toujours se poser, se remettre en question en cours de processus», conseille M. Meunier.

10. La musique : La musique est essentielle pour ouvrir des fenêtres, des portes, selon M. Meunier. La création requiert des déclencheurs émotionnels et la musique permet de se laisser aller dans des sentiments différents à chaque changement de rythme. «Je mets de la musique dans mon bureau et quand les gens entrent, ils changent de rythme», note le créatif. «La musique nous permet de faire des voyages dans notre cerveau, de nous faire partir.» Et ce sont souvent ces états d’esprit qui font valser les idées créatives.

http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/innovation/innovation-10-trucs-pour-faire-germer-les-idees-creatives/509884
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:13

Brainstorming : comment collecter un maximum d’idées en un minimum de temps ?


 9 juin 2016  Expertise Innovation, Méthodes d'innovation


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Générer de nouvelles idées. De nos jours, c’est une question de survie. En réponse à cet impératif, de nombreuses techniques de créativité existent : le mind mapping, la technique analogique dite des 6 chapeaux d’Edward de Bono, ou encore la technique de concassage de SCAMPER.
Pas toujours évident de s’y retrouver !
Pour succéder à notre article sur le brainwriting, nous vous proposons un nouveau billet qui, cette fois, fera le point sur le Brainstorming.
 

Commençons par un brin d’histoire…



Encore utilisé aujourd’hui, le brainstorming fait pourtant partie des plus anciens procédés. Il date en effet de 1940. Cette méthode a été conçue par Alex Osborn, un publicitaire américain, dirigeant d’une importante agence de publicité new-yorkaise, la BBDO. Osborn avait constaté que la critique destructrice des idées émises tenait une part importante dans les réunions, il a donc interdit toute critique lors d’une première phase de l’exercice, la phase d’idéation.
Notons au passage qu’Osborn a publié de nombreux ouvrages portant sur cette technique dont le premier, Your creative power, est rapidement devenu un best-seller. 
 

Pourquoi ?



Collecter un maximum d’idées nouvelles et originales en réponse à un problème donné en un minimum de temps.
 

Comment ?



On réunit plusieurs personnes, puis, sous la direction d’un animateur, on provoque une session de remue-méninges.
Il est crucial de préciser que le processus comporte 2 étapes qui correspondent en fait aux 2 modes de pensée de l’homme.
La pensée « divergente » : on privilégie la puissance novatrice de l’hémisphère droit du cerveau. C’est à dire que l’on émet les idées sans restriction aucune.
La pensée « convergente » : cette fois on met en route la force conservatrice de l’hémisphère gauche du cerveau qui résiste à l’intuition et fait davantage appel au raisonnement. On fait donc appel à notre jugement pour trier et évaluer les idées. On transforme les idées brutes en solutions.
 

Quel est le rôle de l’animateur ?



Lors de la première partie de l’exercice, il veille à ce que rien n’entrave l’imagination des participants. L’exercice dure en moyenne 15 minutes.

  • il bannit toute forme de critique (jugement différé)

  • il encourage la spontanéité (en gérant le temps de réflexion de façon à produire un maximum d’idées dans un minimum de temps),

  • il utilise des outils pour booster la créativité (la technique de l’association d’idées par exemple),

  • il pousse à améliorer les idées émises (en rebondissant sur les idées des autres),

  • il note toutes les propositions.




 
Dans la seconde partie, qui elle, n’est pas limitée dans le temps, il mène le débat. Il aide les participants à fournir des solutions à la fois nouvelles, réalisables et qui répondent aux besoins et aux exigences de la situation donnée.
 


Quels avantages le Brainstorming présente-t-il ?  





  • La principale instruction est de ne pas juger. On évite ainsi de détruire systématiquement les idées émises par les autres,





  • Le fait de laisser libre cours au flux d’idées conduit immanquablement à la génération d’un grand nombre d’idées,





  • C’est un outil peu coûteux à mettre en place puisque le brainstorming repose sur un processus inné. Sans nous en rendre compte, nous pratiquons en effet la démarche intuitive pour résoudre toutes  sortes de problèmes au quotidien. D’abord, de façon instinctive, nous cherchons à clarifier la situation (la « préparation »). Puis, nous passons souvent à autre chose, nous donnant ainsi naturellement une période de réflexion, « l’incubation ». Alors, spontanément, des idées nous viennent à l’esprit, « l’illumination ». Il ne nous reste plus ensuite qu’à évaluer ces idées, en faisant appel à notre expérience, « la validation », avant de mettre en pratique celle de que nous jugerons la plus appropriée,





  • Ce procédé n’impliquant pas de prérequis spécifique, on peut donc aisément organiser un brainstorming à chaque fois qu’on ne trouve pas de solution satisfaisante à un problème,





  • Enfin, il constitue une situation pédagogique assez intéressante puisqu’il permet l’intégration d’attitudes collaboratives débouchant sur le croisement d’idées et par là-même, renforce les liens et la cohésion de l’équipe.




 


Quelles sont les limites de la méthode ?





  • L’exercice est présentiel. En effet, les membres du groupe de travail doivent, à un moment donné, être réunis au même endroit,





  • Pour un maximum d’efficacité, on doit limiter le nombre de participants. Dix personnes étant la moyenne optimale. Il va sans dire que cette condition modère le nombre de propositions,





  • Les bonnes idées peuvent germer à tout moment. Donc, une séance sur un temps imposé peut réduire la spontanéité,





  • Il arrive que, parfois, lors d’une séance, des individus prennent le lead sur le reste du groupe, qui se met alors en retrait.





  • De la même manière des personnes plus timides pourront avoir du mal à faire valoir leurs idées face à un groupe plus à l’aise.




 


Méthodes de Brainstorming




La méthode du Creative Solving Problem


Osborn a donc revu sa copie. Dix ans plus tard, il revient avec une technique plus élaborée, le Creative Solving Problem. Elle comprend 3 étapes : clarification de l’objectif, recherche de solutions et préparation de l’action.
En quoi cette nouvelle méthode va-t-elle plus loin que le brainstorming ?
Cette fois, c’est chacune de ces 3 phases qui sera appréhendée de 2 façons distinctes. D’abord d’un point de vue “divergent”, on récolte toutes les idées en veillant à différer le jugement, puis, sous un angle “convergent”, on raisonne de façon à filtrer les propositions.
Parallèlement, d’autres stratégies ont vu le jour.
 


Le challenge storming


Le challenge storming est une nouvelle approche d’idéation. Issue du brainstorming, elle entend cependant en corriger les faiblesses en présentant la recherche sous forme de 10 défis :


  • s’attaquer à un problème partagé,

  • brainwashing visant à se vider la tête des paradigmes inconscients,

  • faire un inventaire des solutions existantes,

  • préciser à l’avance les valeurs ou critères de choix et de sélection,

  • créer la motivation en transformant le problème en challenge partagé,

  • imaginer les solutions des concurrents,

  • trouver au moins 3 bonnes solutions compétitives alternatives,

  • choisir en équipe la meilleure des idées de solution possibles,

  • prototyper,

  • être créatif dans la mise en œuvre.




 


Le brainstorming et la technique du mind mapping


Le brainstorming avec mind mapping est une autre déclinaison intéressante qui offre la possibilité de réfléchir visuellement. Le mind mapping permet en effet de capturer visuellement les idées générées lors d’une session de brainstorming, puis de les réorganiser et de les prioriser dans un format favorisant la compréhension. On commence par indiquer le thème central, puis on ajoute des branches pour les différentes idées. On complète ensuite la mind map avec des notes, des pièces jointes, des liens et des images qui viennent étayer les idées.
Le mind mapping permet de débloquer ou de renforcer le processus d’idéation en élargissant le questionnement.
 


La méthode Metaplan®




Enfin, la méthode Metaplan® qui repose sur 3 grands principes :





  • La collecte d’idées se fait de façon visuelle : les contributions des participants s’affichent sur des grandes feuilles de papier kraft,

  • On veille à stimuler les échanges entre les participants par des questions et des techniques d’interaction,

  • Une stratégie d’animation appelée “dramaturgie” qui permet de guider la réflexion du groupe, de façon précise et minutée jusqu’à l’atteinte des objectifs visés.




 
On peut poser les limites du brainstorming, il n’en demeure pas moins être l'une des premières méthodes basées sur la résolution de problèmes, ouvrant la voie vers de nombreuses variantes.
Carine Simonetti
https://www.seemy.com/fr/2016/06/brainstorming-collecter-maximum-didees-minimum-de-temps.html
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:47

La pensée « divergente » : on privilégie la puissance novatrice de l’hémisphère droit du cerveau. C’est à dire que l’on émet les idées sans restriction aucune.
La pensée « convergente » : cette fois on met en route la force conservatrice de l’hémisphère gauche du cerveau qui résiste à l’intuition et fait davantage appel au raisonnement. On fait donc appel à notre jugement pour trier et évaluer les idées. On transforme les idées brutes en solutions
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J'avais dit à doudouille : en fait me mettre avec quelqu'un aurait fait que je sois obligée de m'enfermer en fait il suffit de tomber sur une personne ouverte comme moi. quand on a la possibilité de faire du bien, (c'est pas moi qui le dit, on me l'a dit toute ma vie) aux autres, supprimer les autres ! pour ne rendre heureux qu'une personne ? et finir par s’assécher totalement.... je n'aurai pas aimé bizarrement qu'on me mette sur un piédestal toute ma vie sans jamais me critiquer, me destabiliser, me faire évoluer en somme... j'ai vraiment du mal avec cette idée de réussir à se convaincre alors qu'on naît dans un monde qu'on n'a pas construit.... et dont on bénéficie chaque jour.... genre c'est pas moi qui ait inventé la cafetière.... de me regarder le nombril en buvant mon café me disant à quel point je suis géniale ? je n'ai pas inventé ni planter le café, je n'ai pas inventé le filtre, le sucre, le lait, je ne produis pas, je n'ai pas de vache dans le salon, je n'ai pas inventé le pc avec lequel j'écris ici, je n'ai pas inventé ce forum... mais bon j'ai un esprit génial hein.... et comment on le sait ? ben parce que je te le dis .... crois moi Smile crois en moi je suis dieu et je n'ai même pas à le démontrer, je suis je suis "questions pour un champion" et je sonne "tellement faux" que j'envisage même de passer à la télé pour qu'enfin tout le monde voit à quel point je suis géniale ? ma première angoisse en fait à cette découverte fut celle de me demander si ça allait m'éloigner de tout le monde et effectivement non puisque j'ai passé ma vie "dans le monde". être acteur. Cela dit je conçois bien que ne rien faire et mettre constamment à distance est le meilleur moyen de se donner raison tout le temps. le test de la vie de chaque jour est un grand test. C'est du test 24h/24h, 7 jours sur 7, c'est bien plus intéressant de tenter de forcer son esprit à essayer de mettre des pas tout à fait ronds dans des pas tout à fait carrés, ça demande effectivement réflexion et tout un ensemble de choses, c'est pas lisse, c'est pas facile. avoir des facilités pour rester dessus, j'aurai jamais su. je me serai fait chier à mourir. je n'aurai pas aimé rester juste un esprit de contradiction.... déja être coincée pour moi c'est la flippe totale mais si j'avais me retrouver coincée dans mon esprit de fait étriqué voire plus étriqué que celui qui n'a pas une once d'intelligence, je n'arrive même pas à y penser tellement ça me donner froid dans le dos.... c'est totalement anti conversatif.... l'autre ne peut pas placer deux mots.... c'est le circuit fermé.... écoutes moi ou tais toi ? je n'aurai pu ouvrir aucune porte de mon esprit si je n'avais pas accepté l'idée qu'on puisse m'en fermer des portes et alors des fils d'arborescence qui partaient à coté de la plaque.... et alors ce mode automatique castratif... comment se retrouver constamment à l'armée sans même y être... tu peux pas dire ça, tu peux pas faire ça, tu peux penser ça.... ça fait un peu christophe colomb qui découvre pas l'amérique en fait. qui dirait ça existe je le sais, point, c'est comme ça Smile
aller au contact avec sa besace, sa boîte à outils. mais l'inverse ? j'aurai l'impression de ne pas me respecter en fait. de me faire du mal et de n'avoir jamais rien découvert même juste de moi même, je crois que je me détesterai sans aucun espoir que ça s'améliore du coup, je serai dans un cercle vicieux... et jamais rassurée, assurée... un doute perpétuel.... avec aucune richesse ou possibilité d'enrichissement provenant de l'extérieur, condamné comme un petit train à faire toujours le même circuit, mental et physique. Rien que d'en parler ça me fait du malaise et du mal être.... un esprit d'analyse ne sert absolument à rien sans rien à analyser ... et à mes yeux un esprit critique ne sert à rien non plus si il ne produit pas une critique permettant de faire mieux et faire avancer du déjà existant... vivre et laisser vivre.... c'est le seul reproche que j'ai fait à ma mother et à ma soeur, que ça ne leur convienne pas et qu'elles vivent selon elles oui mais faire chier les autres... ça ne ressemble pas pour moi à de l'intelligence et de la perfection, c'est totalement l'inverse... et en plus c'est drôle car c'est en plus s'auto polluer constamment soi même avec des gens autour qui s'en foutent et vivent leur vie contrairement à elles.... je suis reconnaissante à toutes les personnes imparfaites qui ont révélé mes imperfections afin que je puisse les travailler, me corriger, aller mieux, me sentir mieux, jouer mickey l'ange qui peut changer le monde, alors qu'on ne s'est déjà pas sculpté soi même ? ce concept ne veut pas entrer dans mon crâne  Evil or Very Mad y'a rejet direct et ça heurte au plus haut point ma sensibilité, ça veut même pas passer le cap d'y penser deux secondes... des fois des raisonnements m'apparaissent comme un pied dans une crotte de chien, ça glisse et ça dérape et en fait ça met de la merde partout en plus.... oui je sais parfois ça image bizarre mais bon... Very Happy
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:56

de là me serait venue cette adhésion à cerveau droit cerveau gauche ? pouvoir verbaliser une bascule ? ce truc genre le string qui délimiterait la frontière ? et permet de se positionner ou de se repositionner ? une fesse droite sans le string et la fesse gauche en fait elle n'existe pas. ça rejoint l'idée de Dieudonné dans l'émission le bouc émissaire, sans le tout, pas de néant et vice versa. Ne pas être d'accord nécessite d'avoir réfléchir par rapport à d'autres choses que soi sinon ça n'a aucun intérêt et le jugement qu'on en ressort aucun intérêt. Je n'aurai pas du tout aimé non être marié à un chasseur qui m'aurait raconté 20 ans la vase dans un étang.... de fait il ne pourrait même pas devenir le crapaud qui pourrait éventuellement se transformer en prince charmant, il reste à jamais un chasseur qui raconte la vase dans un étang.... avoir d'autres arbres qui auraient permis de délimiter mes arborescences ? entrelacer des pensées et des raisonnements ? là se situeraient les orgasmes intellectuels ? de l'association subite sous beat de maps minds ? c'est pour ça que des fois il fait vite chaud  Wink cat drunken drunken drunken
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 12:57

qui en s'arrête pas au luc finit au fond d'un trou du luc ? on naît peu de choses....
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 13:45

Ma super doudouille avait dit : on va bien voir où ça nous mène.
J'avais répondu : je n'y vais jamais
Il m'avait dit : où ça
Ben là où ça nous mène, perso ça je ne le suis jamais .... je ne sais pas qui c'est ça, et c'est pas ça qui va mener ma vie Smile
Ca me donne : orienter ses pensées. et une casserole avec du lait, qu'on laisserait bouillir en espérer que ça va pas déborder n'importe comment..... genre un miracle Smile
hormis le coté négatif de se faire couper l'herbe euh la branche d'arborescence, sous le cerveau, le pied Smile quelqu'un qui arrive avec un panneau stop dans une réflexion et qui amène un panneau déviation ? en mode je suis déjà passée par ce raisonnement, cette route, et j'ai pris à gauche ça va plus vite et plus loin... c'est mieux.
sinon ça ressemble à tout le monde se tape dessus en couple, donc je vais accepter les coups pour ne pas être con con au lieu d'aller prétendre connaître quelqu'un qui sera doux.... parce qu'en plus doux c'est très con et très surfait dans une société où tout le monde est dur, il faudrait se faire remarquer et passer pour un bisounours, histoire que la lignée des bisounours s'éteigne plus vite... être pré curseur pour ne pas le déplacer ? ça dé marque plus rien... ça se fond dans la masse ? bon après moi j'ai pas voulu être reconnue mondialement donc ça doit aussi faire une différence... je crois, je suis pas sûre, j'attends donc la prochaine personne qui me fera avancer dans ma réflexion mais pas celle qui confirmera mes doutes et me fera douter encore plus et de mes idées et de moi.... je ne vais jamais où ça mène, je me mène toujours là où je veux aller en fait. Et j'ose très souvent en fait faire la bête de foire Smile parce que le regard foireux des autres je m'en fous royalement. Me brider pour d'autres et leur convenir ne m'aurait pas plus du tout, et ne pas oser être moi dans tous mes états ne m'auraient pas plus non plus. Ne jamais pouvoir se détendre pour bien représenter finalement une "étiquette" ? doué commune ? c'est pour moi nier l'individu doué dans justement ce qu'il a de singulier, tenter d'expliquer la douance pour permettre à des personnes de se trouver oui pour moi mais pour en définir des caractéristiques qui feraient d'eux et d'elles un paquet de "gens"... un fonctionnement cérébral commun mais qui ne brassent pas les mêmes choses.... c'est là je trouve tout l’intérêt de la chose.... sinon on file vers de la pensée unique ? buzz avait dit de moi : quel gâchis, avec compassion. En fait non, projection de ce que j'aurai pu faire avec un potentiel, je l'ai rassuré en lui disant que j'en avais fait ce que j'en ai voulu et non pas ce que j'aurai pu en faire selon bidule, truc ou machin, bidule, truc ou machin, ils font ce qu'ils veulent du moment qu'ils viennent pas se mêler de mes trucs, bidules et machins à moi.
Doudouille avait donc relevé un "osage" d'émotions et un coté expansif, il m'a fait sauter d'autres cases et moi de même pour lui.
le raisonnement comme un jeu d'échecs, un équilibre, un échange plateau sinon ça tombe dans l'échange commun qui ne sert à rien.
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:15

Je comprends encore mieux mon bizarre "ne te laisses pas faire" en premier contact dans certaines interactions.
du coup ça me remémore Pieyre qui à mes débuts ici avait de suite canaliser mon "oui mais" le mais c'est bien mais parfois le oui et ? et j'écoute et y'a le stade ah ben ouais c'est mieux pour justement pouvoir penser différemment avec sa pensée différente.... du toujours différents naît du différend....qui aboutit alors toujours à du pareil de différend... et à être toujours dans le différend....on n'essaie plus de savoir ce qui est différent afin de pouvoir adhérer à d'autres idées qui permettent un instant enfin d'être pareils ? et de se sentir moins différent ? être une boule sans flipper c'est juste être une boule dans ce cas on est même plus au gars de Camus qui lui en pousser plusieurs et pleins d'autres choses, ce forum parfois m'emmerde au plus haut point mais c'est aussi pour cela que je l'aime bien. Si je n'avais du conversé qu'avec des personnes qui ont peur de moi ou qui me donnent raison ou n'ont appris que ce que moi, y'a plein de choses de moi et de réseaux mentaux que je n'aurai jamais désormais, qui sait peut être même je n'aurai découvert la colombe.... selon les retours d'autres doués ou pas, on passe vite d'ange heureux à dangereux et vice versa.
l'avocat de Dieudonné dans l’émission d'hier disait : oui le bouc émissaire, mais les questions restent posées tout de même... si c'est pour faire raisonner sur une seule personne au final pareil ça sert à rien au niveau de faire évoluer les débats sur les fameuses questions... le nombre de choses en fait que je peux voir dans deux images. que de concepts, de politique, de psycho, que de pavés ça ferait... quelle chance alors de voir deux images.... sacré flipper ce forum et des membres en sont de sacrés bumpers d'en face qui permettent de voir ou de dépasser les impasses.
parfois la douance ça peut coincer comme dans un malabar qui n'est pas le sien... tant de personnes ici que j'avais lu qui donnaient déjà tant de réponses que je ne retrouvais même plus les questions que je me posais avant d'arriver. c'était trop simple  Razz y'avait plus à chercher, plus à réfléchir, le gros plateau réponses et la grosse bouffée d'air, le ploq mental, là où ça permet d'avancer plutôt que de bloquer, et de devoir faire marche arrière pour raisonner à l'envers de soi et devoir expliquer en plus en donnant des éléments en plus. le juste milieu entre diverger et converger. lire en un autre et la minute d'après être déjà en train communément décrive un autre livre... pouvoir tirer essence des erreurs des autres, pour ne pas les faire et transmettre ensuite cela à d'autres afin qu'ils ne fassent pas les mêmes erreurs non plus, bon évidemment si on se pense n'ayant pas fait d'erreurs... une copine me ressortait l'expression : il n'a pas la lumière à tous les étages....
se sentir sécurisée par un monde balisé... ça évite de baliser quand même... ça permet du "au pire qu'est ce qui peut t'arriver ?" il n'empêche tout de même que demain hop une lésion au cerveau et y'a plus rien de toute cette intelligence ? comme quoi à mon avis toujours, ce n'est pas là dessus qu'on doit baser sa vie.
et t'es parti où là ? nulle part, je regarde où ça mène, puisque ce n'est que de la pensée que j'aurai peut être même pas à matérialiser ni à prouver, ni à argumenter, ça détend mes strings mentaux.... ça permet de faire sauter les soupapes. évidemment si tu veux être le cheval au tiercé qui va seul et vite, c'est sûr que le P.M.U.....
non mais déjà que c'était pas simple de faire défonceuse de portes fermées alors si en plus il aurait fallute que je me fermatte des portes mentales et que je ne futte plus porte mentaux
l'expression "être cintrée" ça veut rien dire non plus du coup !  Wink Razz cat bounce drunken sunny albino
si on met celui là :  santa en fait c'est être rebelle jusqu'au prochain 25 décembre ? mieux vaut être des phares à "on"  farao que l'inverse ?
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:18

Trouver et envoyer une carte de voeux à l'inventeur des riffs parce que sans lui hein.... mon super cerveau aurait étouffé ? tout tendu de génialité ?

sinon tu as raison mais pas pareil que moi en soi c'est pas grave du moment que ça rentre pas trop en moi  Razz
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:21

Sortez couverts, le rhume de cerveau toussa toussa



on n'en parle pas des MST du cerveau ? déjà que certains gars ont du mal avec une capote sur un organe externe .... je reste curieuse de voir avec quelles méthodes .... en interne et mental en plus ?.... 
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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 14:24

Pas très sexy...
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:27

ortolan a écrit:Pas très sexy...
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là elle est placée en extérieur Smile en tout cas si c'est toi ou dis à ce monsieur d'éviter d'être morveux...  Razz 
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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 14:30

Non ce n'est pas moi. En interne, j'ai les méninges qui font office de membrane protectrice. https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9ninges
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:33

Du coup c'est pour ça l'histoire des tests que j'avais peur de mettre le bronx aussi  Razz
jeune on te dit un potentiel, plus vieux tu arrives avec ce que tu en as fait ou pas, de l’intérêt aussi de ce forum et pouvoir comparer, tu vois le truc, en fait les tests ça doit être quasi le seul moment où le doué se tait et peut être éventuellement d'accord une fois pendant 2 heures dans sa vie, grand moment cela doit être Razz
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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 14:35

Le WAIS serait le test HIV du ciboulot, pour voir si on n'a pas chopé la connerie ? Perplexe Intéressante théorie...
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:37

ortolan a écrit:Non ce n'est pas moi. En interne, j'ai les méninges qui font office de membrane protectrice. https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9ninges

membre âne qui fait le ménage, y'a concept là non ?
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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 14:43

http://global.rakuten.com/en/store/okamoto-condoms/item/408905/
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:44

«La créativité est essentielle en affaires. Lorsqu’une entreprise, peu importe son domaine d’activités, perd le désir d’aller dans des zones d’inconfort et cesse d’explorer de nouvelles dimensions, elle perd toute son intelligence et sa vitalité», soutient Philippe Meunier,






encore un cygne
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:45

ortolan a écrit:http://global.rakuten.com/en/store/okamoto-condoms/item/408905/
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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 14:46

Pété de rire
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 14:52

ortolan a écrit:http://global.rakuten.com/en/store/okamoto-condoms/item/408905/



un peu de souplesse d'esprit n'a jamais fait peu de soupline à l'ourson cage aux lignes 



avoir un oeil de lynxge Smile bref dans la vie il faut avoir toujours un string d'avance pour survivre hors ?
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:00

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Message par ortolan Jeu 29 Déc 2016 - 15:10

I am so sure a écrit:
Iam à moto Amoureux
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:21

Je suis revenue un jour sur autoroute de Pecquencourt sur une sportive tape cul à l'arrière je peux t'assurer que mon QI n'en menait pas large et que sans cette découverte à l'époque je savais déjà en quoi l'homme diffère de la femme. Là où un de mes ex suivant derrière m'a fusillée au retour de tous les dangers que j'avais soi disant pris et pas avec lui.... là je savais sans savoir comment que je ne courais aucun danger menée par celui qui conduisait. Par contre on peut par ce biais là aussi la bécane comprendre et appréhender la peur qu'on peut provoquer .... si on n'explique pas un temps soit peu ... son fonctionnement.... forcément pour quelqu'un qui projetterait ses propres capacités spatio visuelles moindres de fait y verrait un motard fou qui prendre trop de risques alors que tout est ultra mesuré dans le moindre détail et dans une vision beaucoup plus élargie...
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:41

https://books.google.fr/books?id=-lHWupj3HUYC&pg=PA86&lpg=PA86&dq=d%27o%C3%B9+vient+la+capacit%C3%A9+d%27encaisser+les+chocs+de+la+vie&source=bl&ots=ET-DXRLvmj&sig=VFKgG7MH199sjYYweUJ12N1lWcU&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjr_8HM0JnRAhWGMhoKHXwvA2sQ6AEIGjAA#v=onepage&q=d'o%C3%B9%20vient%20la%20capacit%C3%A9%20d'encaisser%20les%20chocs%20de%20la%20vie&f=false

---------------------------------------------------------------

https://books.google.fr/books?id=LrAZCwAAQBAJ&pg=PA126&lpg=PA126&dq=d%27o%C3%B9+vient+la+capacit%C3%A9+d%27encaisser+les+chocs+de+la+vie&source=bl&ots=kvlzlPtK-m&sig=nyM-jdX51D_5VPXAX5-5EMV65r0&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjr_8HM0JnRAhWGMhoKHXwvA2sQ6AEIHDAB#v=onepage&q=d'o%C3%B9%20vient%20la%20capacit%C3%A9%20d'encaisser%20les%20chocs%20de%20la%20vie&f=false
--------------------------------------------------------------
https://books.google.fr/books?id=wddSYbZAgowC&pg=PA82&lpg=PA82&dq=d%27o%C3%B9+vient+la+capacit%C3%A9+d%27encaisser+les+chocs+de+la+vie&source=bl&ots=CacxFhuXnY&sig=_fJCa2MaqUbOO6A1hZQfQft04Ek&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjr_8HM0JnRAhWGMhoKHXwvA2sQ6AEIIjAD#v=onepage&q=d'o%C3%B9%20vient%20la%20capacit%C3%A9%20d'encaisser%20les%20chocs%20de%20la%20vie&f=false
---------------------------------------------------------------
https://books.google.fr/books?id=RGC2CgAAQBAJ&pg=PT131&lpg=PT131&dq=d%27o%C3%B9+vient+la+capacit%C3%A9+d%27encaisser+les+chocs+de+la+vie&source=bl&ots=lXt6JZZDhE&sig=jgQg42UWJgosiw0SmvHsdDaHZno&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjr_8HM0JnRAhWGMhoKHXwvA2sQ6AEIJTAE#v=onepage&q=d'o%C3%B9%20vient%20la%20capacit%C3%A9%20d'encaisser%20les%20chocs%20de%20la%20vie&f=false
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:45

La résilience: développer la capacité à rebondir 


après un drame ou un traumatisme  et reconstruire l'estime de 
soi


Nous sommes tous un jour ou l’autre, confrontés à un traumatisme plus ou moins difficile 
à combattre, nous devons tous vivre avec «le murmure de nos fantômes» (Cyrulnik).

Lorsque notre réalité de vie est ou a été particulièrement difficile, quels moyens mettons nous 
en place pour nous défendre, pour vivre, voire survivre, pour continuer à avancer?


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Définition de la résilience

La résilience a ses origines dans la théorie du développement psychologique et humain. 
Ce mot décrit la capacité de l’individu de faire face à une difficulté ou à un stress important, de 
façon non seulement efficace, mais susceptible d’engendrer une meilleure capacité de réagir plus 
tard, à une difficulté.
C'est l'aptitude à surmonter les traumatismes psychiques et les blessures émotionnelles les plus 
graves : maladie, deuil, viol, torture, attentat, déportation, guerre, abandon…
L’ethnologue et neuropsychiatre Boris Cyrulnik est un pionnier du concept, le mot résilience vient 
du latin : «ressauter» non pas ressauter à la même place, comme si rien ne s’était passé, mais 
ressauter un petit peu à coté pour continuer d’avancer. Pour lui, même dans les cas les plus 
terribles, les personnes peuvent s’en sortir et reprendre le cours de leur vie grâce à quelques 
difficultés acquises dans l’enfance et aux soutiens qu'ils trouvent après l’expérience traumatique.
Les 10 clés de la résilience
Les gens n'ont pas la meme reaction 
face aux drame qu'ils vivent...

Certains se reprennent en main 
alors que d'autres s'effondrent... 

Pourquoi ?
Les 10 clés de la résilience
Les gens n'ont pas la meme reaction 
face aux drame qu'ils vivent...

Certains se reprennent en main 
alors que d'autres s'effondrent... 

Pourquoi ?


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Les facteurs contribuant à la résilience
A. Les mécanismes de défense

L’activisme

L’activisme peut être une réponse ponctuelle par exemple : la personne se réfugie dans son travail 
pour oublier momentanément sa peine, on peut parler de mécanisme adaptatif, il peut interdire
 toute réflexion sur soi par le fait que l’hyperactivité empêche le repos psychique.


L’affirmation de soi

Par l’expression des sentiments, en proies à un état émotionnel ou à un événement extérieur, 
la personne qui utilise ce mécanisme de défense communique sans détours sentiments et pensées 
de façon ni agressive ni manipulatrice, exemple : le personnel humanitaire.


L’agression passive

Il s’agit d’une réponse aux conflits émotionnels ou aux facteurs de stress intenses ou externes, par 
une agression envers autrui exprimée de façon indirecte et non combative. L’agression passive 
représente une réponse aux exigences d’action ou de performance d’une autre personne, ou au 
manque de gratification des propres désirs du sujet. 
Exemple : la personne qui n’exprime pas son hostilité ou sa colère ouvertement mais l’exprime en 
laissant des notes virulentes à l’attention de ses collègues de travail.


L’altruisme

Le dévouement à autrui permet au sujet d’échapper à un conflit; ici, le risque est de tisser une 
relation de dépendance avec la ou les personnes avec lesquelles il se dévoue.


L’anticipation

Anticiper consiste lors d’une situation conflictuelle, à imaginer l’avenir, en expérimentant d’avance 
ses propres réactions émotionnelles, en prévoyant les conséquences de ce qui pourrait arriver en 
envisageant différentes réponses ou solutions possibles; c’est souvent le cas lorsque la personne 
s’avère incapable d’affronter une nouvelle situation sans l’avoir anticipée.


La complaisance

Le sujet a recours à la soumission passive pour éviter les conflits et les facteurs de stress, 
ce mécanisme assimilable à l’inhibition de l’action plus qu’à la fuite devant l’agression est très 
coûteuses. L’agressivité ainsi masquée se retourne contre le sujet. Elle est surtout pathologique; 
la complaisance peut aussi être une façon de se rendre indispensable dans le groupe.


Contrôler, gérer, diriger

Contrôler de manière exagérée les événements et les objets de l’environnement a pour but de 
minimiser l’anxiété et de résoudre les conflits internes. Ce contrôle peut s’exercer par différentes 
stratégies comme l’intervention avec des suggestions, la séduction et la complaisance excessive.


L’humour

Il apparaît comme une défense permettant une sublimation des pulsions agressives, l’humour 
aura comme effet de présenter une situation vécue comme traumatisante de manière à en dégager 
les aspects plaisants, ironiques, et insolites. C’est seulement lorsque l’humour est appliqué à soi 
même qu’il peut être considéré comme un mécanisme de défense.


Le déni

Le déni peut porter sur des aspects variés de la réalité, c’est refuser la réalité d’une perception 
vécue comme dangereuse ou douloureuse «c’était pour mon bien». Le déni sert à entretenir 
l’illusion d’invulnérabilité «cela ne m’arrivera jamais».



L’intellectualisation

L’intellectualisation est une des variétés d’isolement, et peut également constituer un moyen de se 
protéger de l’intensité des affects de déplaisir en les évacuant pour privilégier le monde des idées et 
de la rationalisation logique.


B. Les tuteurs et l’estime de soi

Deux éléments sont susceptibles de faciliter le développement de l’estime de soi:
- Sentir qu’on a de la valeur aux yeux d’autrui.
- Se prouver à soi même qu’on a de la valeur.

Les tuteurs de résilience jouent souvent sans le savoir, sur ces deux aspects. Un enfant mal aimé 
peut ressentir comme une véritable illumination dans son existence en étant au contact d’une
 personne chaleureuse, ouverte et attentive, humaine tout simplement. Certes le tuteur de 
résilience a généralement conscience qu’il a fait du bien. On peut dire que l’univers de la résilience 
est l’école de la modestie.

Les qualités d’un tuteur de résilience

- Il manifeste de l’empathie et de l’affection
- Il s’intéresse prioritairement aux cotés positifs de la personne.
- Il est modeste.
- Il est patient.
- Il laisse à l’autre la liberté de parler ou de se taire.
- Il ne se décourage pas face aux échecs.
- Il facilite l’estime de soi d’autrui
- Il associe le lien et la loi
- Il évite les gentilles phrases qui font mal
- La personne blessée est souvent méfiante, il faut du temps pour recréer la confiance, 
pour apprivoiser l’enfant qui n’a pas été habitué à l’amour.


C. Un cadre structurant pour les enfants et les adolescents

L’enfant et l’adolescent en difficulté ont non seulement besoin d’amour, mais aussi d’un cadre 
structurant; 
en effet, tisser des liens n’est pas incompatible avec le fait de poser des règles; ces deux attitudes 
sont complémentaires et s'inscrivent dans le "triangle fondateur de la résilience": le lien, la loi et le 
sens.
Ces trois fondements s'influencent l'un l’autre pour former 4 types de comportements:

- Liens/sens : se sentir aimé permet de donner un sens à son passé et une direction à son futur.
- Sens/lien : témoigner et aider autrui crée des liens.
- Loi/sens : donner des repères à un jeune l’aide à se construire un avenir.
- Loi/lien : une attitude respectueuse des autres facilite la création des liens.
Il est important que l’enfant ne souffre pas du manque de repères dans l’univers familial: 
instaurer des règles de vie, des limites et le lien, n’est pas suffisant: il est nécessaire de lui 
associer la loi, en maintenant un bon équilibre entre les deux, en considérant que ce sont des 
attitudes complémentaire non contradictoires.
Ne pas fixer de limites à l’enfant est une façon involontaire de ne pas le reconnaître à sa juste 
valeur, de ne pas le considérer comme un être suffisamment responsable de ses actes ; l’équilibre 
entre les deux va engendrer la cohérence éducative et par voie de conséquence : la résilience.
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conscience de ce qu'ils vivaient


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Un livre phare surlal résilience : Le Murmure des fantômes de Boris Cyrulnik

Personne ne pouvait deviner que c'était un fantôme. Elle était trop jolie pour ça, trop douce, 
rayonnante. Une apparition n'a pas de chaleur, c'est un drap froid, un tissu, une ombre inquiétante. 
elle nous ravissait. On aurait dû se méfier. Quel pouvoir avait-elle pour tant nous charmer, nous 
saisir et nous emporter pour notre plus grand bonheur? Nous étions piégés, au point de ne pas 
comprendre qu'elle était morte depuis longtemps.


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Ecouter une chanson sur la résilience - Caroline Rivas : Victime de ta vie


 

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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:48

Souffrez-vous d'hypersexualité? 
 
La sexualité est un besoin essentiel de tout être humain. Toutefois, elle peut devenir déviante chez certains individus:
- Idées obsédantes et masturbation compulsive à l'aide de fantasmes, de films, de revue, de lignes  téléphoni-   ques ou de sites Internet pornographiques, ou parfois même en utilisant certains objets non sexuels,
  comme  des sous-vêtements.
- Relations sexuelles anonymes avec de multiples partenaires
- Aventures en série, même si la personne est déjà engagée dans une relation stable.
- Fréquentation assidue de bar de danseuses nues, de studios de massages érotiques ou de librairies 
  pour adultes
- Exhibitionnisme
- Voyeurisme
- Frotteurisme, c'est-à-dire propension à toucher la poitrine ou les organes génitaux d'une autre personne
  de manière à ce que la chose paraisse accidentelle, dans une foule par exemple

Quoique l'utilisation de jouets sexuels, le visionnement de films érotiques, voire l'échangisme et le sadomasochisme puissent parfois faire partie d'une sexualité dite "normale", on parle de dépendance lorsque ces comportements sont dictés par des besoins irrépressibles, qu'ils sont répétitifs et qu'ils interfèrent avec les activités quotidiennes et les relations interpersonnelles de la personne qui en souffre. 

Contrairement aux hommes et aux femmes qui trouvent dans leurs multiples conquêtes un certain épanouissement, les victimes de dépendance sexuelle ont un rapport douloureux avec leur sexualité et se sentent engagées dans un engrenage dont elles ne peuvent plus sortir. 


Conséquences parfois dramatiques
La plupart des personnes qui souffrent d'hypersexualité ressentent de la honte et de la culpabilité devant 
leur impuissance à contrôler leur comportement même s'ils en connaissent les conséquences. Et elles sont nombreuses: négligence du partenaire, divorce, accumulation de dettes (prostitués, pornographie, lignes téléphoniques, etc.), contraction de maladies transmises sexuellement, perte d'emploi, risque élevé de s'engager dans d'autres comportements néfastes, comme l'abus de drogue ou d'alcool, dépression, suicide.


La dépendance à la pornographie
De nos jours, beaucoup de personnes, hommes ou femmes, deviennent "porno-dépendantes", en grande partie à cause de leur utilisation quotidienne d'Internet. Elles ne peuvent donc plus se passer de tout ce qui provoque le plaisir sexuel, et surfent parfois durant des heures sur des sites pornos, dans le but d'avoir une brutale jouissance à tout prix, un orgasme mental rapide, telle une drogue dont on a besoin à heure fixe.
La dépendance à la pornographie est un trouble à caractère psychologique entraînant un besoin plus ou 
moins important d'assister à des scènes pornographiques afin de calmer ses pulsions sexuelles.
La dépendance sexuelle est pour certaines personnes une manière de soigner leurs sentiments et/ou de faire face aux tensions, de telle sorte que leurs comportements sexuels deviennent le principal mécanisme de défense face au stress. En général, la personne concernée ne peut pas supporter d'être privée de relations sexuelles pendant tous le temps où elle est seule. Une personne dépendante sexuelle passe beaucoup de temps
à la recherche de l'assouvissement de ses fantasmes ou de ses comportements sexuels.
Elle peut encore être sous l'emprise de pratiques sexuelles particulières.

Plus rien n'a d'importance à ses yeux mis à part ce besoin irrépressible et compulsif de visionner toujours et encore des images pornographiques à n'importe quel prix. En effet, le piège du porno, c'est l'isolement et l'enfermement dans des schémas réducteurs et violents. Peu à peu, le dépendant n'a plus envie de rien. 

Il n'a plus de goûts pour ses loisirs, son travail. Au fil du temps, le sujet se dégoûte et la culpabilité s'installe.
Avant tout, il convient de ne pas généraliser et de ne pas être alarmiste. Chaque fois qu'un partenaire du couple souhaite utiliser de la pornographie, il ne s'agit pas nécessairement de dépendance et de compulsion sexuelle. La consommation de pornographie et de magazines érotiques peut ne pas être problématique.
C'est surtout à travers une consommation excessive que des distorsions de la réalité se produisent et que
le couple risque d'en souffrir. 


Comment aider votre partenaire ou conjoint 

Vous avez peut-être découvert le problème de votre conjoint/compagnon, par vous-même, vous auriez sans doute souhaité qu'il vous en parle lui-même, vous allez naturellement être effondrée en apprenant que votre mari s'adonne à la pornographie, vous allez avoir l'impression d'avoir été trahie et cela va détruire la confiance que vous aviez en lui. Que votre mari ait été impliqué dans la pornographie physiquement avec quelqu'un ou émotionnellement et mentalement, la violation est ressentie de la même manière.
Votre réaction peut varier de l'incrédulité au dégoût et à la peur. Vous vous demandez comment il a pu vous "faire cela". Vous n'avez peut-être plus envie d'avoir de relations sexuelles avec lui et vous envisagez peut-être le quitter.

Acceptez le problème et parlez-en ! Le problème de votre conjoint/mari indirectement, est devenu le vôtre, surtout ne le niez pas, Il faut apprendre à en parler avec lui, sans le juger, posez les questions nécessaires à votre compréhension, évitez celles qui ne serviront qu'à ruminer votre rancœur, mais si c'est à vous que votre compagnon a choisi de se livrer, faites lui comprendre qu'il peut avoir confiance en vous, ne le culpabilisez pas, soyez honnête avec vos souffrances, exprimez franchement vos déceptions, mais prenez conscience qu'attaquer avec des condamnations et des paroles blessantes ne peut qu"envenimer la situation, votre mari se sent probablement terriblement coupable, et ce dont il a besoin maintenant, c'est de savoir que vous êtes toujours à ses côtés.


Les femmes peuvent-elles aussi être dépendantes sexuelles?

Le nombre de femmes désirant se libérer d'une dépendance sexuelle ne cesse d'augmenter. Les comportements sont les mêmes que pour les hommes: masturbation, pornographie, activité sur Internet, rencontres et relations amoureuses anonymes. 
Les femmes ou les hommes hypersexuels tentent de réprimer un comportement incontrôlable, et ce, sans succès, car leur besoin est plus fort que toute condamnation morale qui pourrait venir d'eux-mêmes ou de leur entourage. De plus, si leur comportement compulsif atteint son but, c'est-à-dire qu'il entraîne une baisse d'anxiété, il n'en demeure pas moins qu'il ne peut leur apporter une véritable satisfaction.
Test: êtes-vous "porno-dépendant"?

1. Vous achetez régulièrement des revues, des livres, ou tout autre support à caractère pornographique
(avec photos, films, histoires érotiques, gadgets, sous forme de DVD, cassettes VHS, téléchargement payant sur Internet)
2. Vous visionnez fréquemment des vidéos porno chez vous, au travail ou dans des sex-shops
3. Vous êtes inscrit(e) sur un forum ou un chat à caractère sexuel, sur Internet (ou sur minitel), sous une fausse identité ou un pseudo, et vous discutez pendant des heures avec des personnes qui cherchent comme vous à se satisfaire sexuellement : flirts, scénarios sexuels, et bien davantage si affinités
4. Quand vous sentez l'excitation venir, vous avez du mal à résister et vous êtes comme hypnotisé par votre besoin compulsif de sexualité
5. Lorsque vous résistez à l'appel du manque, vous devenez nerveux ou irascible envers votre entourage. 
Cela devient dramatique
6. Juste avant de satisfaire à ce désir, vous devenez fébrile et très excité (e). "C'est plus fort que moi..." 
Vous êtes prêt à tout pour obéir à votre manque : vous en venez à mentir sur les raisons de votre comportement brutal
7. Vous passez des heures à surfer sur Internet sur des sites pornos. Le temps ne compte plus, ni le sommeil. Vous videz votre compte en banque, comme vos factures de téléphone et d'Internet le prouvent
8. Plus le temps passe, plus vous sombrez dans le sordide et l'avilissant. C'est l'escalade: il vous en faut toujours plus
9. Après avoir obtenu satisfaction, vous éprouvez de la lassitude, tout à coup vous atterrissez et 
vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire: les regrets s'installent
10. Parfois, vous éprouvez une forte culpabilité et de la honte
11. Vous écourtez vos soirées entre amis pour rentrer chez vous plus rapidement et satisfaire à vos désirs
12. Vous vous levez quelquefois en pleine nuit ou au petit matin pour surfer
13. Votre entourage n'est pas au courant, vous n'osez pas en parler
14. Si vous êtes en couple, votre conjoint souffre de votre manque de communication, de votre caractère sombre ou irritable
15. Votre conjoint ne vous attire plus sexuellement mais vous faites souvent semblant que "ça marche"
16. Si vous êtes célibataire, cela fait longtemps que vous l'êtes ou vous avez du mal à débuter une relation affective
17. La porno-dépendance fait que vous vous masturbez plusieurs fois par jour ou par semaine, parfois avec 
des supports ou divers gadgets qui vous aident à mieux parvenir à une jouissance extrême
18. Vous avez plusieurs fois décidé de vous arrêter mais en vain, vous ne tenez que quelques jours ou quelques heures. Vous jetez votre matériel mais vous vous le procurez à nouveau ensuite
19. Vous vous êtes déjà promis et juré de cesser ces pratiques, mais vous avez bien vite trahi vos promesses,
à votre grande surprise
20. Vous ne savez plus comment vous y prendre pour changer ces habitudes compulsives: le désespoir s'installe, vous ne vous reconnaissez plus
21. Vous faites des rêves érotiques et avez des insomnies
22. Vous avez une "webcam" et vous vous reliez quelquefois sexuellement avec un autre partenaire, 
en direct, jusqu'à l'orgasme en commun
23. Vous faites de même grâce à votre téléphone, ou à une ligne "rose"...
24. Voici que vous êtes maintenant poursuivi et hanté par le désir de pouvoir enfin réaliser tous ces fantasmes en réel, avec un (ou plusieurs) partenaire(s) "en chair et en os"
25. Parfois, vous chutez dans ce sens. Mais aussi, vous développez le voyeurisme, l'exhibitionnisme,
le fétichisme
26. Vous avez peur car vous vous sentez vraiment prisonnier, et comme il vous en faut toujours plus
vous imaginez le pire : et en effet vous voyez que des perversions se développent en vous, avec le temps
27. Vous ressentez un état dépressif, vous devenez de plus en plus triste, la vie n'a plus de sens.
Si vous répondez "oui" à plusieurs des questions qui suivent, vous êtes très vraisemblablement menacé. 
Vous pouvez agir contre la cyberdépendance, contre l'addiction au sexe ou à la pornographie.
Ne continuez pas à ignorer votre problème, cherchez de l'aide. 
Il peut être utile d'identifier les événements du passé qui vous ont marqués et de savoir comment ceux-ci 
ont pu causer certains troubles. La reconnaissance d'un événement troublant peut permettre une ouverture quant à la possibilité de changer l'interprétation première de l'événement, ce qui peut se faire en thérapie, 
qui consiste à en identifier les causes et qui pourra vous orienter vers les ressources disponibles pour vaincre votre dépendance.

Si vous le désirez, vous pouvez parler de votre problème de dépendance, au téléphone ou sur chat room, 
en toute confidentialité, je vous répondrai dans les meilleurs délais.

Pour prendre rendez-vous afin de comprendre ce que vous vivez, cliquez ici

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Bibliographie

Obsession. Une femme, une famille, un combat
L. Hall - Ed. Ministères Multilingues

La pornographie ou l'épuisement du désir [Broché]
Michela Marzano

Malaise dans la sexualité : Le piège de la pornographie [Broché]
Michela Marzano

http://therapeute.consultations-online.com/hypersexualite-dependances-sexuelles-pornographie-et-masturbation.htm


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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:49

Dépendance affective - Syndrome d’abandon - Abandonnisme


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile L'avis du psy 

L’abandonnisme est un état psychologique de sentiment d’insécurité permanente lié à une peur irrationnelle d’être abandonné. La personne qui souffre d’un état d’abandonnisme est en demande d’affection pour combler un manque originel (séparation traumatisante du passé)

=> Certaines situations malheureuses vont vous rappeler des souvenirs.

Une crise liée à la solitude, le vide affectif, des conduites d’anxiété, un sentiment d’abandon, en attente de reconnaissance, des relations humaines délicates, un manque de confiance en soi, un comportement agressif, une inquiétude permanente ? Cette solitude lorsqu’elle est mal vécue ou accompagnée d’une sensation de trahison, peut être insupportable et subie comme une injustice.

=> Pour guérir de la souffrance engendrée par ces situations, il faut reconnaître le mal.

La personne dépendante affective est en quête d’amour et de reconnaissance, parce qu’elle ne parvient pas à s’aimer suffisamment par elle-même, elle a des difficultés à s’estimer à sa juste valeur, elle va alors se centrer sur les autres, et se sent souvent incapable de dire Non, de poser de limites, parce qu’elle a une opinion négative d’elle-même.

=> La dépendance affective s’observe souvent à travers la qualité de la relation amoureuse, si les besoins affectifs ne sont pas satisfaits, elle éprouve de la frustration, une souffrance, sans pour autant se détacher de son partenaire, il y a un besoin constant de se faire aimer ; parce qu’elle a peur que les gens la rejette, ses amis sont pour elle une bouée de sauvetage, elle s’accroche à eux comme si sa vie en dépendait.


Le sentiment d’abandon se traduit par toutes sortes de manifestations, repli sur Soi, dépression, conduites d’anxiété, agressivité, automutilation, de sentiments d’injustice, d’impuissance et d’insécurité, car le souvenir d’un abandon mal vécu, non surmonté ou trop vite refoulé dans la petite enfance a des répercussions dans l’âge adulte, il peut amener à une dépendance extrême et infantilisante.

Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile [url=http://lionel.mesnard.free.fr/le site/boris-cyrulnik.html]Boris Cyrulnik[/url] explique comment se forme le sentiment d'abandon

 

Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Michel Leeb : ma hantise de la séparation! 


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Sites internet parlant des sentiments d'abandon


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile L'abandon peut-il s’avérer source d’évolution, pourquoi pas d’épanouissement?

"(...) si l’on ne peut parler «d’abandon réussi», peut-on concevoir qu’un acte dénoncé ou ressenti comme cruel puisse s’ouvrir, par la suite, sur une histoire heureuse, sans condamner au malheur celui qui en est la victime ni vouer aux gémonies celui qui en serait l’auteur ? Scellant une séparation réelle ou symbolique, l’abandon peut-il s’avérer source d’évolution, pourquoi pas d’épanouissement ?"

Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Des réflexes inadéquats à nos peurs d'être à nouveau abandonné

Le sentiment d'abandon ressenti par quelqu'un a un rôle efficace: il crée des réflexes destinés à le protéger, à diminuer la souffrance psychologique et l'angoisse. Le problème se pose lorsque la peur de l'abandon continue à conditionner nos actes, alors même que le danger n'existe plus. 

Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Comment la thérapie"agit" sur le sentiment d'abandon.
Forum de discussion sur la peur de l'abandon. "Savoir à quoi elle tient ou à quand elle remonte peut il servir à nous en débarrasser? Est ce que cela sert à à quelque chose de faire un thérapie?"


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Etoile Magnifique diaporama entrant dans l'univers de la solitude de l'enfant séparé, 
     sa résilience, ses jeux pour tromper l'ennui ...



 

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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:53

L'accompagnement en fin de vie


Pour une dernière "vraie relation"
Accompagner le malade, c’est lui permettre de rester une personne jusqu’au bout
Les soins palliatifs sont porteurs d’une dimension critique à l ‘égard d’un fonctionnement médical et d’une approche trop technicisés. La réflexion sur les soins palliatifs conduit à envisager une autre manière de soigner.
La première demande critique est la demande d’une vision globale de la personne souffrante: 
la symptomatologie de la maladie est plus large que l’organe malade. La personne est reconnue dans sa complexité et pas uniquement à travers le dysfonctionnement de ses organes et le droit de mourir assisté et dignement est le souci constant de l’équipe de soins palliatifs.
«Mourir dans la dignité» est devenu le cri de ceux qui s’opposent à la prolongation inutile et dégradante de la vie.
On peut se demander si ce cri désigne le droit de choisir le moment de sa mort (rapide, propre, aseptisée) ou bien le droit de mourir tranquillement, sans obstination déraisonnable, en bénéficiant des soins de vie nécessaires et en restant confiant dans la capacité des autres, proches et soignants à nous soigner et à nous accompagner.
L’expression «mourir dans la dignité» exprime avant tout l’angoisse d’être un poids pour l’entourage et de donner en spectacle à ceux que l’on aime l’image d’un corps ou d’un esprit dégradé.
Les soignants témoignent chaque jour que «mourir dans la dignité» ne veut pas forcément dire être aidé à mourir au moment où on l’aura choisi mais plutôt avoir l’assurance de ne pas être abandonné, d’être soulagé de ses douleurs et surtout de ne pas être "prolongé" inutilement. Le sentiment de dignité lorsque l’on est mourant dépend largement du sentiment de continuer à compter pour les autres, à continuer à avoir des échanges de qualités.
"C’est dans le regard de l’autre que je vois si je suis encore aimable, c’est dans la manière dont il me parle, dont il prend soin de moi que je sens si je fais encore partie du monde des vivants. (Marie de Hennezel dans nous ne nous sommes pas dit au revoir)
Les soignants témoignent du décalage entre le nombre de personnes favorables à l’euthanasie et le si petit nombre de demandes explicites en fin de vie; ce décalage souligne l’importance de la maturation psychique du patient au cours de sa maladie en interaction avec ses proches et ses soignants.
N’oublions pas que l’un des objectifs des soins palliatifs est bien de soutenir le sentiment de dignité de chaque personne jusqu’au bout de son existence, quelles que soient ses altérations physiques ou psychiques.
Le respect inconditionnel envers le malade et le regard porté sur lui par les soignants vient restituer une dignité malmenée.

«La mort ne vient qu’à l’heure choisie par l’âme» Yvon Richard extrait de mort et naissance de Christophe Ulric.


Demander de l'aide à mourir 
Nous sommes tous d’accord sur le fait qu’il est intolérable de terminer sa vie dans des souffrances insoutenables avec le sentiment de ne plus faire partie du monde des vivants ; tout le monde espère une mort douce et sans souffrances.
Que comprendre dans «aider à mourir» ? 
S’agit –il de soulager les douleurs et d’apaiser l’angoisse, d’apporter une aide psychologique et/ ou spirituelle, un environnement paisible et affectueux sans lutter contre la mort ou bien s’agit il d’une aide active à mourir : un geste qui tue ?

Les équipes de soins apportent d’autres réponses que l’euthanasie aux souffrances extrêmes. L’euthanasie signifie «bonne mort»; c'est une demande qui n'appelle pas réellement un passage à l’acte mais le plus souvent un appel à l’aide.

Peut on "aider la fin"

La seule façon "douce" de mourir n’est pas d’anticiper la mort, on doute encore de l’efficacité des bons soins palliatifs, des progrès accomplis en matière de traitement de la douleur et surtout de l’utilisation de l’endormissement artificiel appelé sédation en cas de souffrances intolérables en fin de vie, et qui se révèle d’ailleurs bien souvent une méthode ultime.

Est il souhaitable de réduire l’aide à mourir à "un geste qui tue", alors qu'une certaine écoute, la compassion et la disponibilité, sont des attitudes qui aident aussi le mourir (les équipes soignantse en témoignent). Cette autre alternative permet de ne pas délibérément provoquer la mort: elle la permet , sans la donner.

Quand un patient est au seuil de la mort et qu’il peut achever sa vie dans la tendresse des échanges avec les siens et sans souffrances et qu’il peut dire au revoir, la mort souhaitée ne tarde pas à venir car le patient est alors au bout de son chemin.


Lorsque le malade demande de l'aide pour mourir

Les soignants savent bien que lorsque la demande d’en finir s’exprime, elle est presque toujours un appel au secours, une ultime tentative de communication, une manière de demander au soignant de s’asseoir et de parler et de lui dire toute sa plainte : "je n’en peux plus, je souffre trop" (douleurs physiques, moral, tristesse de quitter la vie, désespoir par rapport au passé, angoisses …)

S'il est véritablement pris en charge, si sa douleur est traitée, si les conditions sont réunies pour son départ, le malade ne songera plus, dans la majorité des cas, à demander un acte pour partir.
Toute demande d'aide à mourir ne signifie pas réellement un passage à l’acte, mais le plus souvent un appel à l’aide. Et les progrès accomplis en matière de traitement de la douleur et surtout de l’utilisation de l’endormissement artificiel- appelé sédation- en cas de souffrances intolérables en fin de vie- et qui se révèle d’ailleurs bien souvent une méthode ultime, peuvent y aider : il est possible de mourir de façon "douce".

Le malade et ses proches: oser se parler
L’annonce de la mort d’un proche brise la représentation de l’avenir jusque là imaginé; le présent laissant les proches. Elle frappe le passé d’absurdité, nous laissant face à un présent vide, qui s’effondre, devant l’impensable et devant notre incapacité à être ici et maintenant.
Cette épreuve oblige à un remaniement, le choc va jusqu’à briser la perception que l’on a de soi même,
la représentation de notre avenir et de notre propre histoire.
Le travail de pré deuil

==> 
Le psychothérapeute va aider la famille à préparer le deuil, à faire un travail de pré deuil délicat car le sujet est toujours là ! Nous avons remarqué que si les proches acceptent la mort avant qu’elle ne survienne, il y aura toujours deuil et chagrin mais plus de travail à faire du chagrin, ni remords ni culpabilité, «ah si j’avais fait ceci ou cela». En effet, "le chagrin postérieur à un décès est plus long si celui ci n’a pas été précédé d’un chagrin anticipatoire comme c’est le cas lors d’une mort subite". (Hennezel: accueillir la mort).
La famille va traverser différentes phases après la survenue de la mort et se préparer au fait que devons tous mourir un jour. Or, "il existe un lien intime entre la relation d’attachement et le processus de détachement de la personne malade en phase terminale et ses proches" (Louise Aubé - Accompagner la vie)


Le malade sait

Quant au malade il est possible de l'aider dans le processus de détachement et d’acceptation de la mort grâce à l’attachement et le partage : "N’ayez pas peur de vous attacher à moi qui vais mourir, aimez moi ! même si je vais mourir, car je suis vivant dans mon mourir".
Le malade qui est en fin de vie développe une conscience intérieure qui est intuitive de ce qui se passe d’où il en est exactement et parfois avec plutôt que les médecins. il sait souvent ou il en est, et les proches ne peuvent plus le protéger du danger auquel il doit faire face : la mort. C’est alors la relation elle même d’attachement qui est menacée, alors que sa fonction est de sécuriser !
Oser se parler et dire ses émotions

C’est alors que l'entourage du malade se retrouve démunis et croient protéger affectivement celui qu’elles aiment en se retenant de lui exprimer et de lui manifester leurs émotions : chagrin, colère, peine, espoir, et même soulagement de le voir mourir. Cependant, la personne qui meurt ressent tout; comprend alors qu’il n’est pas permis de s’exprimer; se retient de s’ouvrir; une distance s’installe entre le mourrant et ses proches chacun espérant en retenant ses émotions protéger celui qu’il aime , mais éprouvant aussi une grande solitude.
Arrive alors souvent un sentiment dépressif relié au sentiment de perte ressentie , comme si ils se perdaient déjà mutuellement avant même que la mort ne soit imminente. On comprend pourquoi il est si important de s’ouvrir pour s’accueillir mutuellement lors de pareils moments !
C’est dans l’ouverture, sans masque, sans faux fuyants, en étant vrai que l’on peut se faire proche et laisser la personne mourante s’ouvrir et dire ce qu’elle comprend ce qu’elle ressent tout en se rapprochant de ceux qu’elle aime. Les proches peuvent montrer leur état intérieur , même en silence et permettrent qu’il y ait une ouverture à la communication. C'est ce rapprochement affectif qui sécurise la personne qui va mourir; elle est d’autant plus importante que bientôt la présence physique ne sera plus possible.

S ’ouvrir, dire à l’être aimé qu’on demeurera toujours près de lui affectivement qu’on ne l’abandonnera jamais qu’on le gardera toujours présent en nous me semble alors primordial et que nous n'avons pas peur de s’attacher à lui qui va partir.


L'accompagnement des derniers instants 


Accompagner quelqu’un, ce n’est pas le précéder, lui indiquer la route lui imposer un itinéraire ni même connaître la direction qu’il va prendre. C’est marcher à ses côtés en le laissant libre de choisir son chemin et le rythmer de son pas
. (VESPIEREN: Face à celui qui meurt - PARIS - Desclée de Brouwer)

La mort proche n’est pas la mort immédiate, le temps qu’il reste à vivre n’est pas un temps vide mais un itinéraire où peut se manifester la vérité du sujet, un combat aussi qui réveille des défenses qui structurent la vie psychique de chacun.
Accompagner le malade dans cette étape de la vie

Nous avons vu que ce temps est celui d’un combat qui passe par des chemins détournés, des étapes nécessaires vers un apaisement possible. Le psychothérapeute ne reste pas indifférent à un tel itinéraire, c’est tout d’abord une relation d’aide qu’il va mettre en place, une présence accueillante qui rende possible la prise de parole du patient.
IL s’agit d’un travail sur l’être qui aide le patient à atteindre sa propre vérité: il ne vise pas à transmettre un savoir, il tente d’éviter le jugement l’évaluation et l’interprétation, il aide le patient à exprimer son vécu actuel; tout peut se dire. Il peut reformuler les paroles du patient pour préciser une pensée ou clarifier une situation, le patient peut alors être amené à prendre du recul à nommer ses sentiments à faire la vérité sur lui même. Cette expérience devient alors pour lui sécurisante et libératrice
Le patient en fin de vie se retrouve face à une terrible angoisse qui nécessite un soutien et la mise en place d’une communication et d’un accompagnement psychologique.
Aider le malade à faire ses deuils

Le psychothérapeute va aider à passer à autre chose, à faire ses deuils car il doit faire face à beaucoup de fins à la fois, à faire ses choix.
L’approche de la mort réactive le vécu archaïque de la relation mère-enfant; le malade manifeste une appétence relationnelle qui l’amène à créer une dyade par analogie à la dyade mère enfant. Le psychothérapeute devient le dernier objet du patient pour la dernière dyade.
Créer la dernière relation de la vie

En 1912 FREUD écrit : "tout individu auquel la réalité n’apporte pas la satisfaction entière de son besoin d’amour se tourne inévitablement avec un certain espoir libidinal vers tout autre personnage qui entre dans sa vie". La réalité n’apporte pas satisfaction au patient se trouvant en phase terminale: l’investissement libidinal peut alors se porter sur le psychothérapeute.
- Selon KURT EISSLER analyste, le thérapeute doit avoir une disponibilité absolue pour son patient, combler ses souhaits avant même qu’ils n’aient été exprimés, il parle même d’un don de sa propre vie au patient!

- Janice NORTON pense qu’il faut faciliter au maximum le développement de la relation transférentielle régressive pour protéger le patient contre tout sentiment de perte objectale.

- De M’Uzan écrit que les intérêts profonds du mourant vont se diriger petit à petit sur une seule personne faisant rarement partie de ses proches; cet objet élu devra alors "être capable de s’exposer sans angoisse excessive au large mouvement captatif qui tend à l’envelopper entièrement". "... il lui fallait assumer certaines fonctions du MOI de sa malade, à la manière d’une mère qui joue le rôle de MOI externe de son tout petit (Le travail du trépas 1977).
- Marion FELDMAN considère elle aussi que le travail du psy sera dans ce contexte de fin de vie d’accompagner la régression du malade, celui-ci semblant "retourner vers ses points d’origine, l’analyste est ainsi confronté à des transferts extrêmement archaïques en l’absence ou presque de mots et se doit d’être tenant lieu de figures archaïques". (FELDMAN 2003)
Le travail de l’accompagnement se trouve dépendant de l’état physiologique du patient qui perd son souffle, son autonomie, son potentiel vital.
Le patient perçoit les multiples attitudes de ceux qui l’entoure, comme si il avait des antennes; il est sensible aux moindres variations de tensions autour de lui : il percevoit "notre degré de proximité, notre investissement à ses côtés, notre compassion ou nos résistances". (De BEIR 2001 - la phase ultime. Manuel des soins palliatif Jacquemin et Al Dunod).

Etablir un vrai contact

Selon lui, l’authentique sera retenu et pourra être efficace pour soutenir le malade, il faut faire attention au timbre de notre voix et aussi à notre regard! Le langage du corps atteint facilement le subconscient, il a une signification émotionnelle profonde de proximité de lien avec le patient.
ANZIEU s’est positionnée par rapport au toucher "la psychanalyse n’est possible que dans le respect de l’interdit du toucher" (le moi peau- 1985 Dunod). 
Cependant dans ce contexte de fin de vie cette règle d’abstinence du toucher peut être transgressée. 

Nombreux sont ceux qui travaillant près des mourants l’ont remarqué : "le mourant et l’objet clé constituent une sorte d’organisme, presque un corps indépendant qui, pour pouvoir se construire, exige un contact physique entre ces éléments. 
Je crains qu’on ne mesure jamais assez l’importance de ce contact élémentaire fut-il limité à deux mains qui se tiennent lorsque l’échange verbal est devenu impossible. Il y a là quelque chose de comparable à l’organisme formé par la mère et son nouveau né" (M’c Uzan).

Richard 2001 (La souffrance globale)
Un texte d'Isabelle Bayer
http://therapeute.consultations-online.com/accompagnement-malades-fin-de-vie.htm
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C'est un skipper du tour de France à la voile qui m'avait dit, infirmier de son état à la Réunion, qu'en fait ce n'était pas mon rôle. Mais lui aies je répondu : je n'étais pas infirmière, j'étais une proche, pourquoi aurais je du m'éloigner pour être moins proche d'un proche parce qu'il était proche de sa fin de vie ? sinon à quoi sert un proche ?
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 15:54

La jalousie: comprendre le processus et en guerir

Vous ne supportez pas que votre partenaire s’intéresse à quelqu’un d’autre? Vous surveillez ses allées et venues. Vous lui faites subir une véritable enquête de police lorsqu’il arrive en retard. Pas de doute, vous êtes jaloux.
Qui parmi nous n’a pas déjà éprouvé un minimum de jalousie envers son partenaire? Qui n’a jamais eu peur de perdre son partenaire? Ce sentiment semble inévitable au sein d’un couple. Certains vont même jusqu’à prétendre que la jalousie est une preuve d’amour. Attention! Votre partenaire n’est pas votre propriété.
Jalousie et existence jalouse
La jalousie malsaine est une intense émotion empreinte de colère et de violence consécutive à la peur de perdre l’exclusivité de l’amour de l’être aimé au profit d’une autre personne, peur généralement non fondée, mais imaginée et exagérée par tous les petits indices pouvant l’alimenter: retards, regards, soupirs, petites attentions, cadeaux à d’autres...
Le jaloux ou la jalouse déteste voir ou imaginer son partenaire s’intéresser à d’autres personnes. Au moindre doute, le partenaire subit une explosion émotionnelle excessive que toute tentative de négation ou de justification ne fait qu’envenimer.
La dynamique de la jalousie
La jalousie se développe en général suite à des expériences d’abandon et de privation vécue à l’enfance déclenchée lorsque la personne jalouse sent que son partenaire semble moins passionné et s’investit un peu plus dans son travail ou les soins à ses enfants. En général, la personne jalouse et son partenaire entretiennent une dynamique de plus en plus destructrice: plus la personne jalouse exprime ses soupçons et cherche à contrôler son partenaire, plus le partenaire cherche à convaincre son conjoint qu’il n’a aucune raison d’être jaloux et tente de se défaire de l’emprise de son partenaire. Ce comportement ne peut qu’accentuer sa jalousie, car la personne jalouse sent que son partenaire s’éloigne. 

Les symptômes
La vérification : agenda, poche de vêtements, téléphone notamment portable, sentir sur le corps du partenaire ou sur ses vêtements une odeur ou des traces étrangères, accompagner ou venir chercher, surveiller, etc.
Le questionnement : insinuations, tester l'autre en prêchant le faux pour avoir le vrai, scènes, disputes plus ou moins violentes, questionnement de l'entourage etc.
L'inhibition : attendre et tourner en rond en cas d'absence, être incapable de faire quoi que ce soit en l'absence de l'autre etc.
Les ruminations : s'il essaye de contrôler au maximum le conjoint, le jaloux donne libre cours à son imaginaire, à ses fantasmes. Le moindre indice, le moindre mot, même la moindre justification de son partenaire le confortera dans son système de pensée négatives.
Le jaloux est jaloux : des amis de même sexe ou du sexe opposé, de l'environnement professionnel, d'un inconnu dans la rue ou ailleurs, de toute activité sociale et même parfois de ses propres enfants etc. Quelles que soient les stratégies employées, cela aboutit à l'enfermement du conjoint suspect, réduit son champ de liberté, d'une liberté suspectée de devenir l'occasion de « x » tentations.

Possessivité
Dans le cas de la jalousie amoureuse, la possessivité peut être résumée en disant « Je veux que l’autre ne soit qu’à moi et je ne supporte pas son désir de liberté ». Cette possessivité est renforcée par la peur de perdre sa place privilégiée auprès du/de la partenaire.

Idéalisation de l’autre



Parfois liée à la mésestime, l’idéalisation de l’autre apparaît également comme une source de jalousie.
En effet, cette idéalisation amène la certitude que l’autre ne peut qu’être désiré par tous les autres et par conséquent la méfiance vis à vis de toutes les personnes qui peuvent approcher le/la partenaire idéalisée.

Projection



Parmi les causes de jalousie nous pouvons citer également la projection de nos propres envies.
Certaines personnes ayant des fantasmes et/ou désirs pour d’autres partenaires peuvent parfois se persuader que l’autre en a forcément aussi… Pourtant, nous ne sommes pas tous identiques en matière de pulsions.



Quand la jalousie devient violence

Les violences dans les relations intimes sont un ensemble de comportements, d'actes, d'attitudes de l’un des partenaires ou ex-partenaires qui visent à contrôler et dominer l'autre.
Elles comprennent les agressions, les menaces ou les contraintes verbales, physiques, sexuelles, économiques, répétées ou amenées à se répéter.
Ces violences affectent non seulement la victime, mais également les autres membres de la famille, parmi lesquels les enfants. Elles constituent une forme de violence intrafamiliale.


La jalousie: un indicateur précieux
La jalousie ne devient pathologique que lorsque quelqu'un se met à être méfiant, intrusif, persécuteur, et qu'il imagine des choses qui ne sont même plus du domaine du possible, mais du délire. Il faut être donc nuancé avant de qualifier la jalousie. Souvent, une personne jalouse sent que son couple bute sur un problème, même si celui-ci n'est pas de l'ordre de la tromperie.

Freud distinguait en son temps trois sortes de jalousie
- Il qualifiait la première de normale ou "concurrentielle". Celle ci n'est que la conséquence de l'"instinct de propriété" que chacun peut ressentir envers son partenaire.
- La seconde est dite "projetée" et intervient, par exemple, quand un homme calque sur sa femme ses propres désirs d'infidélité.
- La troisième, appelée "délirante" est, elle, une forme de paranoïa. Faire les poches, éplucher l'agenda du partenaire, le ou la flairer à son retour... 



Pourquoi et comment se faire aider ?
Lorsqu’on envisage d’épouser quelqu’un, il vaut la peine d’apprendre à le connaître mieux. La jalousie n’est jamais une preuve d’amour, c’est un symptôme d’un profond manque d’estime de soi et d’une instabilité émotionnelle qui peut être soignée.
Lorsque la jalousie est présente et que l’on s’en rend compte, il est utile de l’admettre, en parler à l’autre et décider de changer sa manière d’être, puis réfléchir aux moyens d’effectuer ces changements.
Renforcer son estime de soi
Les recherches ont montré que les personnes jalouses ont souvent une faible estime d’elles-mêmes, un véritable manque de confiance ou d’amour propre. Cela provoque le sentiment de ne pas être « Assez bien » pour l’autre et donc la peur que l’autre ne se détourne. Cette mésestime amène également une incertitude quant à sa capacité de séduction, ce qui sous-tend l’idée qu’il « me serait impossible de rivaliser » s’il ou elle rencontre quelqu’un d’autre.
Ce manque d’estime de soi peut également entraîner une peur d’être abandonné qui augmente encore les risques de sentiments de jalousie.
Ces difficultés peuvent être soulagées lorsque la personne qui les vit accepte d’entrer dans un travail approfondi de type psychothérapeutique ou psychanalytique.
Les sources de la jalousie se trouvent dans la petite enfance, dans le manque d’amour ou le fait d’être «mal aimé». L’enfant peu aimé ou mal aimé va se cramponner à ses parents, puis plus tard, victime du mécanisme de la répétition, va se cramponner au premier partenaire venu et éprouver une terrible jalousie si ce partenaire donne un peu de son attention à une autre personne. C’est ce que le psychanalyste hongrois Imre Hermann nomme «le syndrome d’agrippement».
Lorsque la jalousie est tout à fait contrôlée, exprimée avec respect, elle peut devenir une expression de l’affection et de l’intérêt qu’on porte à l’autre.
Comment en sortir?


Inconsciemment, la personne jalouse provoque sa plus grande peur: que son partenaire soit infidèle alors que c’est elle-même qui rêve d’un autre partenaire qui l’aimerait comme elle le veut. Mais comment ne pas s’éloigner d’un partenaire qui nous harcèle de questions, plus la personne jalouse manque de confiance en soi et souffre d’insécurité, plus elle devient fusionnelle et fait ainsi fuir son partenaire qui lui exprimera de moins en moins souvent ses sentiments positifs, que de toute façon la personne jalouse mettra en doute.
Le conjoint d’une personne jalouse ne doit surtout pas chercher à la convaincre qu’elle n’a pas raison d’être jalouse. Elle doit aussi refuser de prendre la responsabilité de ce qui ne lui appartient pas et remettre à la personne jalouse son insécurité et son manque de confiance en elle-même.
La personne jalouse doit arrêter de chercher des indices qui alimentent sa jalousie et observer plutôt toutes les marques d’amour que son partenaire a pour elle. Elle doit cesser ses stratégies d’auto-sabotage. La psychothérapie s’avère souvent nécessaire pour que la personne jalouse puisse reprendre suffisamment de confiance en elle pour faire enfin confiance à son partenaire et s’abandonner à lui.



Pour éviter le sentiment de jalousie, à chacun d'apprendre à se connaître pour trouver l'âme sœur qui ne rouvrira pas continuellement de vieilles blessures, qui remontent souvent à l'enfance, à un sentiment d'insécurité affective ou une mauvaise image de soi-même.
Apprendre à s'aimer soi-même, afin de ne plus craindre l'autre, son passé et ses fantasmes.
La jalousie est à l’origine de beaucoup de souffrance et de drames. Elle fait référence à la notion d’exclusion. Celui ou celle qui est jaloux s’imagine à tort ou à raison «exclu» de l’amour de l’autre et il blâme cet autre, le considérant comme l’auteur de sa souffrance.
La jalousie est une émotion complexe qui implique: la peur d’être abandonné, un sentiment de perte, de la colère, de l’envie, l’impression d’être trahi et humilié.
Celui ou celle qui éprouve de la jalousie, doute de son partenaire, est préoccupé par sa fidélité ou son manque de fidélité.
Certains chercheurs postulent que la jalousie, lorsqu’elle est modérée et contrôlée est une émotion nécessaire car elle se manifeste lorsqu’il y a une menace sur la relation intime et alors, elle contribue à maintenir cette relation.
La jalousie «maladive», celle qui devient insupportable et qui amène à la séparation, se rencontre tout particulièrement chez les personnes qui souffrent d’instabilité émotionnelle et de névrose importante.
Les personnes qui sont très coopératives et capables de compassion manifestent très peu de jalousie et, surtout lorsqu’elles en éprouvent, sont capables d’en parler positivement, plutôt que de crier, empêcher leur partenaire d’avoir des relations avec l’extérieur ou manifester de la violence.
Les couples dans lesquels l’un des partenaires est plus jeune que l’autre ou plus beau que l’autre sont particulièrement en danger, si l’un des deux est émotionnellement instable.
Une personne en insécurité sur le plan émotionnel, manifestera sa jalousie vis-à-vis de toutes les formes d’amitié manifestées par son partenaire et même envers les enfants, en d’autres termes, cette personne a tendance à être jalouse de tout ce qui fait qu’on lui prête moins d’attention.
L’inconfort ressenti par celui ou celle qui est jaloux est converti en colère, en désir de contrôler l’autre, ses possessions, ses moyens de communication avec l’extérieur et en accusations, souvent infondées.
Ainsi, la jalousie n’est pas ce qui garde l’amour, c’est plutôt ce qui le détruit. Elle peut aussi exister lorsqu’il n’y a pas d’amour. Un homme qui déteste sa femme peut ressentir de la jalousie lorsqu’il voit un autre homme s’intéresser à elle.
Les sources de la jalousie se trouvent dans la petite enfance, dans le manque d’amour ou le fait d’être «mal aimé». L’enfant peu aimé ou mal aimé va se cramponner à ses parents, puis plus tard, victime du mécanisme de la répétition, va se cramponner au premier partenaire venu et éprouver une terrible jalousie si ce partenaire donne un peu de son attention à une autre personne. C’est ce que le psychanalyste hongrois Imre Hermann nomme «le syndrome d’agrippement».
Lorsque la jalousie est tout à fait contrôlée, exprimée avec respect, elle peut devenir une expression de l’affection et de l’intérêt qu’on porte à l’autre.
Ces difficultés peuvent être soulagées lorsque la personne qui les vit accepte d’entrer dans un travail approfondi de type psychothérapeutique ou psychanalytique.


Michèle Balmès


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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 16:07

"La résilience" ?

Sommaire de la page :


- Présentation
- Le concept et ses implications - cours manuscrit 
- Les définitions :  "Arc en ciel ou brouillard de sens" 
- Création et résilience 
- Notes complémentaires et bibliographie
- "L’implication dans l’action éducative" au Brésil

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PrésentationJe m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Vgogh

  La résilience, Ce terme est aujourd'hui le segment de nombreuses recherches et il importe de mieux transmettre cette notion "psy" et ses concepts scientifiques auprès de tous ! Dans la présente page la résilience, il sera abordé sous différentes coutures avec principalement ses liens avec l'action culturelle et éducative. Comment des professionnels face aux difficultés sociales les plus lourdes doivent aussi faire face à des jeunes dont le potentiel est rarement pris en compte. S'il faut rester à distance d'un concept encore trop évasif sur ses implications prétendument étendues, nous avons pourtant des exemples ou des pistes à suivre. Cette "résilience" a plus les traits d'un ensemble collectif, que celui d'un cheminement personnel.


Notes de LM, année 2007



Le concept de résilience

Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 0000-fond%2003


Cours manuscrit de Psychologie et santé

I)  Qu’est ce que la résilience ? 
                
1) Origine du concept

 
Le terme « résilience » a été emprunté aux sciences physiques. A l’origine, la résilience est la capacité d’un métal à résister aux pressions et à reprendre sa structure initiale après avoir été déformé. En psychologie, on appelle « résilience » la capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité.
 
Le concept a été découvert en 1982 par Emmy Werner. Cette psychologue américaine a suivi à Hawaï 700 enfants sans famille, sans école, vivant dans la rue et victimes d’agressions physiques ou sexuelles. Trente ans plus tard, la plupart d’entre eux étaient devenus des adultes détruits psychiquement. Cependant, 28% avaient réussis à apprendre un métier, fonder une famille, et ne souffraient pas de troubles psychiques majeurs. Elle en conclut que certains enfants avaient une capacité particulière à surmonter les traumatismes de la vie pour s’en sortir, et appela ces enfants des « résilients ».
 
En France, c’est 
[url=http://lionel.mesnard.free.fr/le site/boris-cyrulnik.html]Boris Cyrulnik[/url], psychiatre, neurologue et éthologue français ; né à Bordeaux en 1937, qui va développer le concept et surtout le faire connaître du grand public. Pour lui, la résilience est un véritable « antidestin ». Boris Cyrulnik pense que les pires épreuves sont surmontables, que la guérison est toujours possible, et que nul n’est condamné au malheur. La résilience est pour lui « ce processus complexe par lequel les blessés de la vie peuvent déjouer tous les pronostics ».

Lorsque l’on découvre l’histoire de ce psychiatre, on peut se demander si son histoire personnelle n’a pas influencé son intérêt pour ce concept :

Né dans une famille juive, son père est ébéniste puis s’engage dans la légion. Durant l'Occupation, ses parents le confient à une pension pour lui éviter d'être arrêté par les Allemands, cette pension le placera ensuite à l'Assistance publique. Il y est récupéré par une institutrice bordelaise, Marguerite Farge, qui le cache chez elle. Mais au cours d'une rafle, il est trouvé et regroupé avec d'autres Juifs, dont beaucoup d'enfants, à la synagogue de Bordeaux. 

Il parvient alors à se cacher dans les toilettes et évite ainsi le sort des autres raflés, emmenés vers la gare Saint-Jean pour y être déportés. En se faufilant hors de la synagogue, une infirmière le cache dans une camionnette (qu'il prend alors pour une ambulance). Il sera ensuite pris en charge et caché par un réseau, puis placé comme garçon de ferme, sous le nom de Jean Laborde, jusqu'à la Libération. Il est ensuite recueilli à Paris par une tante qui l’élève. Ses parents, eux, mourront en déportation. C’est au cours de cette expérience personnelle traumatisante qu’il décidera de devenir psychiatre.
 
 
2) Définition :
 
« La résilience est la capacité d’une personne ou d’un groupe à se développer bien, à continuer à se projeter dans l’avenir en dépit d’évènements déstabilisants, de conditions de vie difficiles, de traumatismes parfois sévères » (M. Manciaux et coll., 2001, p17).
 
                       
II) Comment devient-on résilient ?
 
1) Le traumatisme


Pour Boris Cyrulnik, c’est à partir du moment ou la personne subit un traumatisme qu’elle va tenter de le surmonter et mettre en place un processus de résilience.
 Le traumatisme est donc l’agent de la résilience.
 
Rappelons que pour la psychanalyse, « le traumatisme est un évènement de la vie du sujet qui se définit par son intensité, l’incapacité ou se trouve le sujet d’y répondre adéquatement, le bouleversement et les effets durables qu’il provoque dans l’organisation psychique » (J.Laplanche et J.-B. Pontalis, 1967)

Cette définition, tout en mettant en évidence l’origine interne et externe du traumatisme, montre que celui-ci est avant tout psychique, puisque ce n’est pas l’évènement en lui-même qui est traumatique , mais plutôt l’incapacité qu’à le sujet d’y faire face. (Ex. : Différentes réactions après l’explosion d’une bombe dans le RER B St-Michel)
 
Pour Boris Cyrulnik, il ne peut y avoir traumatisme que si ‘il y’a une « effraction » qui provoque la déchirure de la bulle protectrice de l’enfant, si bien que celui-ci ne parvient pas à comprendre ce qui lui arrive. Son monde se désorganise et devient confus.

L’auteur utilise la métaphore du chemin pour illustrer cette idée : « le chemin de l’homme normal n’est pas dépourvu d’épreuves : il se cogne aux cailloux, s’égratigne aux ronces, il hésite aux passages dangereux et, finalement, chemine quand même ! Le chemin du traumatisé, lui, est brisé. Il y’a un trou, un effondrement qui mène au précipice. 

Quand le blessé s’arrête et revient sur son parcours, il se constitue prisonnier de son passé, fondamentaliste, vengeur ou soumis à la proximité du précipice. Le résilient, lui, après s’être arrêté, reprend un cheminement latéral. Il doit se frayer une nouvelle piste avec, dans sa mémoire, le bord du ravin. Le promeneur normal peut devenir créatif, alors que le résilient, lui, y est contraint ».
 
B. Cyrulnik montre que le développement que l’enfant parvient à rattraper après son traumatisme et qui témoigne d’un processus résilient, n’est jamais tout à fait identique à celui qu’il aurait dû poursuivre dans des conditions normales. En effet, c’est avec ce traumatisme que l’enfant aura à se développer. Ce traumatisme est inclus dans sa personnalité.
 
Il est à noter que les auteurs ayant travaillé sur la résilience se sont essentiellement centrés sur la guerre, le terrorisme, et les catastrophes naturelles. Rarement sur les traumatismes individuels.
 
2) Des dispositions personnelles
 
Aujourd’hui encore, la notion de résilience est difficile à cerner compte tenu de la diversité des recherches et des points de vue sur ce thème. Certains la conçoivent comme un trait de personnalité acquis et stable, d’autres comme un processus. Or la résilience n’est jamais acquise une fois pour toute. Elle ne correspond donc pas à un type de personnalité précis.
 
Les partisans de la psychologie clinique psychanalytique conçoivent la résilience comme un processus et ont cherché à déterminer les mécanismes permettant au sujet de surmonter son traumatisme. 

Pour eux, la résilience s’effectue selon deux axes :
     
      - Un axe intrapsychique, qui concerne les capacités propres à chaque individu.
 
    - Un axe relationnel, qui concerne les liens que le sujet met en place avec son               environnement.

 
Ainsi, tout comme il existe chez certains individus des facteurs de vulnérabilité au traumatisme (caractéristiques sociodémographiques, troubles psychiques préexistants, traits de personnalité, antécédents familiaux, expériences de l'enfance…etc.), il existe un certain potentiel de résilience chez d’autres.
 
Wolin et Wolin (1999) puis le psychanalyste P. Bessoles (2001) ont ainsi retenu sept caractéristiques de personnalité susceptibles d’avoir un rôle protecteur face aux évènements difficiles :
 
                  -Perspicacité = capacité d’analyse, de repérage, de discrimination
                  -Indépendance = capacité à être seul, autonomisation
                  -Aptitude aux relations = facteur de socialisation
                  -Initiative = capacité d’élaboration et de représentation
                  -Créativité = capacité à créer des formations réactionnelles et substitutives
                  -Humour = sublimation
                  -Moralité = capacité à interroger les valeurs

 
Ces traits de personnalité sont considérés comme des facteurs de résilience mais ils ne suffisent pas à eux seuls à développer ce processus.
  
Le fonctionnement de la résilience se décompose en deux temps :

 
                  -1er temps : Le temps du traumatisme : l’enfant résiste à la désorganisation psychique en mettant en place des mécanismes de défense qui vont lui permettre de s’adapter à la réalité frustrante.
 
                  - 2eme temps : Le temps de l’intégration du choc et de la réparation. Intégrer ne veut pas dire « effacer » mais « faire avec ». Après l’effraction du traumatisme, il y’a un rétablissement progressif des liens, puis une reconstruction à partir de l’adversité. Cela passe par la nécessité de donner un sens à sa blessure.

L’évolution  de ce processus tend vers la résilience quand l’enfant a retrouvé sa capacité d’espérer. Il pourra alors s’inscrire dans un projet de vie, et des choix personnels. On voit bien que lorsque l’on parle de dispositions personnelles à intégrer un traumatisme, on fait appel à la notion de mécanismes de défenses adaptatifs.

3) Les facteurs extérieurs et environnementaux
 
Un enfant blessé semble avoir plus de chance de devenir résilient s’il est entouré et soutenu. Ainsi, de nombreux auteurs ont mis en évidence le rôle de l’environnement dans le processus de  résilience.

Ils considèrent que des relations précoces de bonne qualité seraient à la base de la construction de la résilience et se centrent alors sur la théorie de l’attachement. D’autres montrent l’importance de placer auprès de l’enfant des tuteurs de résilience.
 
                            
 - Le type d’attachement
 
B. Cyrulnik insiste sur le fait que la résilience se construit dans la relation avec autrui. C’est ce qu’il appelle « un tricotage de l’attachement ». Cela signifie que pour devenir résilient, l’enfant doit avoir connu, avant le « fracas » du traumatisme, une certaine stabilité affective.

Il reprend ainsi, l’idée exprimée auparavant par J. Bowlby, puis par Mary Ainsworth, sur le lien d’attachement.

Ces auteurs ont découvert que l’enfant dans les interactions avec sa mère, peut développer différents types d’attachement :


Sécurisant (65 %)
Ambivalents (10 %)
Evitant (20 %)
Désorganisés (5 %)

Selon le type de relation qu’il aura réussi à établir, l’enfant saura plus ou moins bien se reconstruire après une blessure de la vie. Les enfants ayant un type d’attachement sécurisant seront les plus aptes à être résilients.

- Les tuteurs de résilience
 
Les « tuteurs de résilience » ou « tuteurs de développement » sont des personnes qui, placée sur le chemin de l’enfant, vont le guider et le soutenir.Pour cela il faut que s’effectue « la rencontre » c'est-à-dire « le fait que l’enfant résilient ait pu croiser et accrocher un jour un adulte, ou au moins un aîné, qui lui a apporté de l’aide, de l’affection et de l’estime ».

Les « tuteurs de résilience » sont donc les personnes qui rendent possible la reprise d’un développement après que l’enfant ait subi un traumatisme.

Ces tuteurs peuvent être un parent, un enseignant, éducateur, psychologue…etc. Toute personne qui va croire en lui, stimuler son développement, lui permettre de reprendre confiance en lui et d’avoir un projet d’avenir.
                 
III)  Les limites du concept de résilience
 
Nombreux sont les auteurs qui se montrent sceptiques face au concept de résilience. En effet, aujourd’hui encore, ses contours sont flous et sa définition reste superficielle.

Simple habillage commercial de concepts déjà connus pour certains (le processus de résilience peut recouper les notions de mécanismes de défenses et d’adaptation ou et coping et s’appuie sur le type d’attachement de l’enfant) ou glissement dangereux pour d’autres, comme le psychanalyste Serge Tisseron qui met en garde contre ce qu’il appelle « les pièges de la résilience ».

« La résilience, écrit-il, qui est en Amérique une vertu sociale associée à la réussite, est devenue en France une forme de richesse intérieure…»

Pour lui, une personne résiliente n'est pas libérée de ses souffrances, mais bien asservie aux mécanismes de refoulement et de compensation, aux schémas de comportement qui lui permirent, jadis, de survivre à un environnement hostile.

Le parcours personnel de Boris Cyrulnik illustre combien l'auteur d'un Merveilleux malheur a théorisé la notion de résilience à partir de son propre vécu refoulé, non reconnu comme tel. Bien qu'il se soit longtemps refusé à parler publiquement de son passé dramatique, Cyrulnik a fini par dévoiler, au fil des interviews, quelques éléments biographiques qui permettent de comprendre les stratégies d'adaptation qu'il a dû mettre en œuvre, enfant, pour survivre et échapper à la mort, et leurs liens avec certaines des idées qu'il défend aujourd'hui.

Privé de la sécurité la plus essentielle du fait de la folie des adultes, et pour ne pas sombrer lui-même dans cette folie, le jeune enfant dissocie sa terrible souffrance de sa pensée consciente en faisant rire son entourage, glanant ici ou là un regard compatissant. « Moi, on m'a aidé parce que je passais mon temps à faire le pitre » confiera Cyrulnik à un journaliste (Dans son ouvrage Les vilains petits canards, le psychiatre théorisera cette stratégie de survie en avançant notamment que certains enfants - « contraints à la métamorphose » - s'en sortent parce que privés de leurs parents, ils sauraient inspirer aux autres l'envie de les aider.

 On a également mis en avant certains artistes présentés comme résilients parce qu’ils ont connus des traumatismes importants qu’ils ont sublimé dans leur art. Mais on ignore la réalité de leur souffrance, et de leur structuration psychique. En effet, être riche et célèbre est le signe d’une réussite sociale mais n’a jamais été un gage de bonne santé mentale.
 
IV) La résilience ou l’extension d’un concept « à succès »
 
Le concept de résilience a connu un tel succès qu’il a été étendu à plusieurs domaines :


en écologie, la résilience est la capacité d'un écosystème ou d'une espèce à récupérer un fonctionnement et/ ou un développement normal après avoir subi un traumatisme ;
en économie, la résilience est la capacité à revenir sur la trajectoire de croissance après avoir encaissé un choc.

Dans le domaine de la gouvernance, de la gestion du risque et du social, la résilience communautaire associe les approches développées dans le cours en s'intéressant au groupe et au collectif plus qu'à l'individu isolé ;

En informatique, la résilience est la capacité d'un système ou d'une architecture réseau à continuer de fonctionner en cas de panne.

Dans l’armement et l’aérospatial, la résilience dénote le niveau de capacité d’un système embarqué à tolérance de panne, de pouvoir continuer de fonctionner en mode dégradé tout en évoluant dans un milieu hostile;

V) La résilience, reflet de notre époque ?

 
Dans un article original, le psychologue Jean Garneau décrit les rouages sociétaires qui, selon lui, ont conduit au succès du concept de résilience.

Pour lui, nos sociétés occidentales étaient jusqu’à présent fondées sur un principe d’élimination du risque et de surprotection de ses individus. Mais depuis un certain 11 septembre, notre vision du monde a progressivement changé et nous évoluons dans une société du « danger omniprésent ». Il suffit d’écouter un peu les médias pour s’en persuader.

Face à ce phénomène de société, la notion de résilience prend un sens nouveau et se trouve présentée comme une sorte de moyen de survie dans une société qui évolue vers la dangerosité et la menace du traumatisme. C’est ce qui expliquerait son succès actuel. (...)



Source : Blog IFSI -  année 2009



Brouillard ou arc-en-ciel de sens?     


   Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Dessin3  par Dominique Collin    
    


À l'origine, en métallurgie, la résilience désigne une qualité des matériaux qui tient à la fois de l'élasticité et de la fragilité, et qui se manifeste par leur capacité à retrouver leur état initial à la suite d'un choc ou d'une pression continue. Le Robert ne retient qu'une de ces deux idées, celle de la résistance au choc, et définit la résilience comme le rapport, exprimé en joules par cm2, de l'énergie cinétique absorbée qui est nécessaire pour provoquer la rupture d'un métal à la surface de la section brisée.

Pour l'informaticien, il s'agit de cette qualité d'un système qui lui permet de continuer à fonctionner correctement en dépit de défauts d'un ou de plusieurs éléments constitutifs. L'anglais utilise le terme system resiliency, que l'on rend, selon le contexte, par tolérance aux failles, tolérance aux anomalies, insensibilité aux défaillances

Pour l'écologiste, la résilience exprime, d'une part la capacité de récupération ou de régénération d'un organisme ou d'une population, et d'autre part, l'aptitude d'un écosystème à se remettre plus ou moins vite d'une perturbation ­ la reconstitution d'une forêt après un incendie, par exemple. Pour les pisciculteurs, la résilience exprime une idée voisine, celle de la résistance naturelle d'une race de poissons en fonction de sa fécondité. On lui donne un sens voisin, mais déjà plus riche, dans le domaine de l'économie .

Dans les domaines de la médecine, de la psychologie et de la criminologie, iil est question de résilience en rapport avec la résistance physique, les phénomènes de guérison spontanée et de récupération soudaine. Le terme s'est imposé particulièrement dans le traitement d'enfants à risque dont on cherche à solidifier l'aptitude à rétablir leur équilibre émotionnel dans des situations de stress ou d'abus importants, par une meilleure compréhension du ressort psychologique.

Plus récemment, les expressions resilient business et resilient community, moins souvent utilisées en français, font leur apparition dans les publications américaines et canadiennes, lorsqu'il est question de mettre en évidence la capacité intrinsèque des entreprises, des organisations et des communautés à retrouver un état d'équilibre ­ soit leur état initial, soit un nouvel équilibre ­ qui leur permette de fonctionner après un désastre ou en présence d'un stress continu. Dans la même veine, on parlera de sociétés, d'ethnies, de langues ou de systèmes de croyances faisant preuve de résilience.

Notons d'abord que toutes ces utilisations nouvelles du mot résilience ont un fond de sens commun, qui, curieusement, marque une distance importante par rapport au sens premier du terme en métallurgie. Premièrement, pour ce qui est de l'objet que la qualité décrit: il est question de la résilience, non plus d'une matière inerte et simple, mais d'un tout ou d'un système complexe. La résilience se caractérise ensuite par une forme d'homéostasie qui permet aux systèmes de retrouver leurs conditions de départ ou de maintenir leurs fonctions initiales dans un environnement dynamique et changeant où interagissent un nombre important de forces, qui doivent être maintenues dans un équilibre plus ou moins fragile. La tolérance au stress fait apparaître des seuils, en deçà et au-delà desquels la structure se rompt ou éclate. Autre élargissement du sens: là où la métallurgie voit dans la résilience une résistance due à la nature même de la matière, il s'agit maintenant d'une réaction d'un système qui met en jeu des contre-forces tenues en réserve pour refaire l'équilibre brisé; forces qui modifient l'environnement de manière à préserver les conditions favorables au maintien des structures.

Mais au-delà de ces éléments: complexité, équilibre, seuils de tolérance au stress, ressources intérieures pour maintenir l'intégrité de la structure, on peut soupçonner des glissements. S'agit-il alors de raffinements progressifs dans le sens de la métaphore, selon qu'elle sert à décrire des systèmes mécaniques, vivants ou conscients et selon que, pour chacune de ces trois catégories, l'unité décrite est un individu (système constitué de parties multiples et différenciées, tel un phénotype), une espèce (système formé par le regroupement d'individus semblables, tel un génotype) ou une société (ensemble regroupant nombre d'espèces différentes ­ tel un écosystème)? Brouillard ou arc-en-ciel de sens?


Source : Attila passe, l'herbe repousse (année 2002)


Résilience 
et 
création...
 
 Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Picasso

Peindre, écrire, parler ou jouer d'un instrument peuvent devenir des actes essentiels dans la valorisation de personnes, un peu, voire beaucoup bousculées par la vie. Ainsi elles peuvent trouver le chemin de leur propre désir en exprimant ce qui est constitutif en eux, et qui vaut d'être écouté, regardé et soutenu. Afin d'aider tout individu marginalisé - ou pas - à se construire dans l'imaginaire et le réel, pour faire face au quotdien de l'existence.
L'engouement pour les émissions fabriquant "des nouvaux artistes" est un facteur à ne pas négliger, les tremplins télévisuels vers le vedettariat font recettes et sont à la limite de l'aliénation mentale. Nous sommes loin de l'acte de création, l'on ne fait que produire, non pas une oeuvre mais un objet de consommation. L'on sait depuis les années 1930-1940, ce qui est advenu aux enfants «étoiles» de Hollywood, les dégâts intervenus au cours de l'existence adulte de ces personnes. Brooke Shield a connu en juin 2005 des échanges vifs avec un acteur US vaporeux (scientologue). Elle a tourné dès l'âge de 10 ou 11 ans (entre autre «La Petite» de Louis Malle), et à la fin de son adolescence, cette femme a connu de nombreuses crises de dépressions et des problèmes de dépendance à l'alcool. Il semblerait qu'elle est encore besoin d'un traitement médical. En bref, un parcours de vie pas simple, ou plus clairement, détruit par le feux des projecteurs.
La pratique artistique est en soit assez lointaine de la question de devenir un star, il s'agit plutôt d'un travail sur le long terme. Très jeune on peut être passionné par tel ou tel exercice : danse, théâtre, mais cela demande à ne pas tomber dans les pièges de la lucarne et de son miroir aux alouettes. Surtout cela fait appel à des adultes responsables, qui ne confondent pas leur propre désir avec celui de leur enfant. Créer est d'une tout autre matière, avant toute oeuvre, il y a un temps d'apprentissage et de confrontation à la vie. Si l'on fait un peu attention, à qui a bien pu apporter aux différents arts de nouvelles pistes, l'on remarque que se sont souvent des personnes en marge. L'histoire de la création en France et de manière universelle à des figures qui donnent à réfléchir. Van Gog, Edgar Alan Poe, Camille Claudel, [url=http://lionel.mesnard.free.fr/le site/antonin-artaud.html]Antonin Artaud,[/url] Stephan Zweig, et de nombreux autres artistes connus ou moins connus ont du faire face à des problèmes mélancoliques.
Alfred Hitchcock dont on connaît l'humour et son intérêt pour la psychanalyse dans ses films, avait trouvé une raison ou la cause de son enclin pour les films policiers. Il avait vers l'âge de 7 ans connu une difficulté avec un policier britannique. Il en avait gardé une grande peur et possiblement un moteur pour construire la plus grande oeuvre cinématographique de tous les temps. Tous les créateurs ne sont pas tous des névrosés en puissance, mais tout à chacun est confronté à un parcours propre. La vie la plus insolite est certainement celle de Salvador Dali, peut on deviner un jeune homme introverti, certainement pas, mais ce qu'il fut. C'est vers l'âge de 25 ans qu'il décida d'être un génie et le fut, et ce mystique sans limite le doit certainement à son papa anticlérical. La complexité humaine fait que l'on doit faire un peu le tri entre ce qui est conditionné et ce qui est propre à l'humain. Résilience ou pas, créons !
 
On ne naît pas artiste ou créateur. On le devient au travers de parcours de vie pas toujours simple. Le plus souvent parce que c'est, ou ça été un moyen de survivre, ou simplement d'exprimer ce qui en soit a pu trouver écho par ce seul et honorable acte de vie qu'est le travail de création. L'art est utile pour exprimer sa colère, ses doutes, notre rapport à la vie et à la mort sous toutes ses coutures.

Créer n'est pas un acte anodin. C'est apprendre à savoir qui l'on est, et tout à chacun peut au long de son existence avoir une ou plusieurs pratiques artistiques. Sans pour cela en faire acte de notoriété, c'est avant tout une question d'enrichissement personnel. Et une grande source d'épanouissement individuel qui va au delà de l'illusoire de la mode ou des mimétismes télévisuels.





Mon Amour.
Les feuilles tombent. Comme ces larmes qui coulent.Une petite brique d'amour pour moi.Toi qui m'a appris à t'aimer.
Apprends-moi à t'oublier.Il m'a fallu une seconde pour t'aimer.Mais il me faudra une éternité pour t'oublier. La seule chose qui peut me faire sourire c'est l'espoir.
L'espoir que tu reviennes me voir.
Sonia O. Evry-Pyramides 2000
 
Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Picasso4
   
Ces quelques 
poésies sont 
de Sonia O.,
 (adolescente de 14 ans)
La dernière nuit
Après la dernière nuit passée,

Ensemble l'aube n'est pas réapparue.

Une lumière éblouissante c'est lointainement imposée,


Sur la Ville et le temps s'est arrêté de tourner à partir du moment ou mon coeur à cesser de battre pour toi.

Et si
Et si l'amour n'existait pas.
Existerais-tu... ?
Et si le temps s'arrêtait.
Mon coeur cesserait-il de se battre pour toi... ?
Et si je t'avais dis <<je t'aime>>.
Me l'aurais-tu dis ? ...
Et si tout simplement <<si>> ??
 Sans titre 1
Les hirondelles ont des ailes c'est pour voler.
Et moi j'ai un coeur c'est pour t'aimer.

Sans titre 2
Dès que je t'ai vu.
Tu m'as tout de suite plu.
Je pense toujours à toi.
Sans regretter à chaque fois que je te vois..

Sans titre 3
J'ai mis une seconde pour t'aimer.
Mais je mettrais une éternité pour t'oublier.

Sans titre 4
Tu es comme le feu, tu éclaires mon visage.
Et tous les jours mon amour inondait de page en page.
C'est un livre sans fin.
Ou tu es mon destin ou mon amour?
Notes de L.M - Année 2002


Notes complémentaires sur la résilience (année 2002)


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Van-gogh05


Ces dernières années, on a publié beaucoup de textes sur la résilience, particulièrement en anglais, mais aussi de plus en plus dans d'autres langues. Étant donné la rapidité des développements sur le sujet, il vaut mieux donner des noms de chercheurs que des références d'ouvrages, à quelques exceptions près. Il existe les textes scientifiques, au sens classique, et les textes plus ou moins populaires.

Il y a également - mais cela reste rare - des textes qui essaient de jeter un pont entre la connaissance scientifique de la résilience et la pratique. Enfin, on découvre de plus en plus d'expériences pratiques qui démarrent sur le terrain, en Amérique latine, en Inde, à Taiwan, mais ces expériences ne sont pas forcément documentées ni analysées en détail.

En France, ce n'est que très récemment que la résilience est devenue un sujet de recherche et de discussion. Parmi les promoteurs, on trouve Boris Cyrulnik et Michel Manciaux. Davantage que dans les autres pays, la réflexion sur la résilience est marquée en France par les pédiatres et par les psychanalystes.

En Amérique latine, se développe une réflexion spécifique sur la résilience, en Argentine, au Brésil et au Chili notamment : on y a développé la notion de résilience communautaire.

Autre dossier sur la résilience et sources d'origines : http://agora.qc.ca/


Bibliographie sur la résilience :


Parmi les recherches fondamentales, il faut signaler celles de Emmy Werner, qui a suivi le développement d'enfants jusqu'à l'âge adulte (au-delà de 30 ans). Ces recherches gardent tout leur intérêt, même si elles ne sont pas très récentes. Selon certains scientifiques, la masse de recherches publiées depuis lors ajoute peu de chose à notre compréhension de la résilience.


Parmi les publications de l'auteure, nous citerons :



Emmy Werner & Ruth Smith, Overcoming the Odds. High Risk Children from Birth to Adulthoodª,Cornell University Press, Ithaca - London, 1992.
 
Ou un résumé qui reste fort intéressant : Emmy Werner, Children of the Garden Island,in: Scientific American, April 1989, pp 76 - 81
 
Celui qui cherche trouvera les noms de beaucoup d'autres chercheurs, comme par exemple: Antonovksy, Clarke & Clarke, Garbarino, Garmezy, Fonagy, Loesel, Rutter...
 
La fondation van Leer a publié un livre pratique sur la résilience, en anglais, rédigé par Edith Grotberg. Ce livre va de la recherche vers la pratique et possibilité de se le procurer auprès de : Bernard van Leer Foundation, PO Box 82334, NL - 2508 EH Den Haag, Nederland /Pays-Bas
 
Le Bice a publié un cahier sur la résilience, qui est sorti de la confrontation mutuelle de résultats, de recherches et d'expériences du terrain. Cette approche est très appréciée tant par les gens du terrain que par certains universitaires. Ce cahier a été publié par le Bice en anglais, en français, en espagnol (3 impressions).
 
Des traductions spontanées ont été faites en dehors du Bice en néerlandais, en italien, en catalan, en tamoul, en arabe, en chinois (mandarin), et des traductions sont planifiées ou en cours en portugais, en estonien, en thai, en swahili.
 
Référencé du cahier publié par le BICE : La résilience ou le réalisme de l'espérance - Blessé mais pas vaincu- Stefan Vanistendael - 3ème Édition (1998)
http://lionel.mesnard.free.fr/le%20site/psy-resilience.html

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Où alors ça viendrait du simple fait de s'attendre aux chocs éventuels ? de fait on n'est pas surpris ? choqué ? vivre la vie telle qu'elle est et peut se présenter ? plutôt que de l'imaginer autre ? avoir déjà intégré dans son plan de vie certains chocs probables ? de fait tout un processus par lequel on ne passe pas ? on ne tombe pas des nues ? un idéal de vie ne s'effondre pas ?  un film ne se brise pas parce qu'on y avait mis le mot fin ? et non pas un film non délimité dans le temps ?

ce soit les mots de mon beau père qui m'ont accompagné et soutenu après son décès. quand j'ai vu mon univers s'effondrait, sa phrase : tu verras ça fera comme ton univers qui s'effondre, était là même si lui ne l'était plus. Si c'est pas faire la nique à la mort ça  Very Happy à deux encore contre les lois de l'univers  Very Happy comme la musique et Ferré dont on avait dit que ça resterait comme un testament phonographique. Je trouve qu'on est plus que vivant lorsqu'on a bien conscience que tout peut s'arrêter. vraiment conscience. c'était marqué aussi dans TIPEH ce truc bizarre du doué de penser même pour après sa mort. peut être aussi cette façon d'appréhender cette découverte tardive, soit penser en arrière à ce que l'on aurait pu en faire, soit penser devant et très loin devant même après soi en pensant à ce que d'autres vont pouvoir en faire. mieux vaut la mémoire et la mer que la mémoire et l'amer  Very Happy mieux vaut alors l'amer tune que l'amertume.

quelle drôle de découverte, dira t on dans 20 ans certains regardent la route et d'autres le string ?  bom affraid
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Message par Invité Jeu 29 Déc 2016 - 16:19

En fait, dans la vie, il y a les gens qu'encaissent, et les gens qu'encaissent.

Je constate que ceux qui encaissent sans encaisser finissent toujours plus riches que ceux qui encaissent en cassant des caisses.
Classer des caisser c'est pas mal tu me diras Very Happy

La faute au tiroir caisse ou au tir caisse? Ptete que faudrait voir du coté de Mario voir ce qu'il en pense, quoi que ça doit pas casser des briques tout ça (je suis un peu enrhumé).

Qu'est ce que ça tire aussi, et ça marche avec ceux qui encaissent autant qu'avec ceux qui encaissent.
Bref, ça tire un peu des fois, les satyres ont souvent les fois.... bref ça va loin tout ça mais on rigole bien quand même Very Happy

Et moi ce que je pense dans tout ça? Ba au final, d'une part on s'en fou, et puis c'est pas le sujet Wink Razz

La vie est jeu sacrément bien foutu quand meme Very Happy On peu meme en comprendre ce que l'on veut, du moment qu'on est heureux Razz
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 16:28

Pour lui, la résilience est un véritable « antidestin »


Alors qu'est ce qui fait la différence ? Il faudra que je trouve pour pouvoir le dire.


Comment on arrive à passer de Rémi sans famille à re miettes va se faire une grande famille ?


aller chercher le contact avec des googles ? qui sont alors des moteurs de recherche, des moteurs tout court ?


ça vient de l'extérieur le fait de soit se freiner en regardant ou en pensant à un frein ou ne pas sombrer à penser en instantané à un moteur. ça remet d'aplomb d'un coup même si c'est un prôneur de sans plomb  Very Happy


de fait ça donne une autre signification à "garde à vous" qui n'a plus rien de militaire ou d'autorité sans raison, on dit bien prends garde à vous comme un prends garde à toi, dans le sens fais attention à toi.


évidemment il faut avoir su être à droit(e) un peu pour prendre de gauche.... c'est tout différent. ca n'est pas supprimer les sacs d'autres, c'est carrément les supprimer en fait, ils s'éliminent d'un coup. de là je trouvais bizarroide l'expression : "porter le deuil", quelle drôle d'idée de devoir porter encore un truc triste.


plutôt que d'apprendre à se méfier, j'ai préféré quand j'ai pu apprendre à se faire confiance. ça prend moins de temps du coup. si tu le sens pas, pourquoi creuser et apprendre à sentir plus que tu ne le sens pas ?

ça m'amuse beaucoup de mettre en visuel dans une interaction quelqu'un qui corrige le discours de l'autre. genre lui supprimer alors des parties de son histoire personnelle. je vois bien le classement, alors là ton expérience était nulle dans le passé, de fait ta déduction en est mauvaise ? comme si l'autre était le produit d'une dictée et qu'on en corrigeait les mots, les ressentis, les émotions Smile selon voltaire d'un autre temps, tu n'as pas pu ressentir et être émue de ça ? je suis atroce mais du coup ça me donne envie de répondre et mon pet pue pas en 2016 ? parce qu'un pouet en aurait décidé comme tel dans les ans passés ? le prout c'est quand même un phénomène ultra concret commun à tous au moins et si humain commun des mortels en fait.

de fait l'expression péter plus haut que son cul prend tout son sens, le comble de l'intellectualisation devient alors la capacité de faire une thèse d'un pet Smile tout en espérant que pour voies de réflexion ça monte directement au cerveau mais pas par les narines.

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pardon, j'avais vu des images avant donc forcément l'arborescence m'apparaissait à l'envers comme un rappel de choses que j'avais déjà vu.
comme pour l'intuition et le cassoulet
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mon mode "nuisette" nuisant ?
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 16:30

d'où l'expression je sais pas si vous connaissez : qui amène la tant pête ne doit pas se lever ?
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 16:34

Revz a écrit:En fait, dans la vie, il y a les gens qu'encaissent, et les gens qu'encaissent.

Je constate que ceux qui encaissent sans encaisser finissent toujours plus riches que ceux qui encaissent en cassant des caisses.
Classer des caisser c'est pas mal tu me diras Very Happy

La faute au tiroir caisse ou au tir caisse? Ptete que faudrait voir du coté de Mario voir ce qu'il en pense, quoi que ça doit pas casser des briques tout ça (je suis un peu enrhumé).

Qu'est ce que ça tire aussi, et ça marche avec ceux qui encaissent autant qu'avec ceux qui encaissent.
Bref, ça tire un peu des fois, les satyres ont souvent les fois.... bref ça va loin tout ça mais on rigole bien quand même Very Happy

Et moi ce que je pense dans tout ça? Ba au final, d'une part on s'en fou, et puis c'est pas le sujet Wink Razz

La vie est jeu sacrément bien foutu quand meme Very Happy On peu meme en comprendre ce que l'on veut, du moment qu'on est heureux Razz
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Il est vrai il y a aussi l'expression : larguer une caisse  Very Happy et pour ce qui est de la thèse sur le prout qu'à ce jour je n'ai pas encore trouver, il n'a pas été prouver à ce que je sache à cet instant qu'il faille encaisser son prout ? c'est médicalement déconseillé je pense .... partant de ce post Ulla de base, ça remet l'univers de l'intellect en question non ? et il y a de quoi faire une thèse sur la notion du contrôle ? et de soi, il est dit que qui pête dans la soie pête quand même....
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 16:40

comme sur cette histoire d'être impressionnée ou pas.
rien ni personne ne m'impressionne juste parce que je ne place pas les rapports humains que j'ai sur un mode comparaison/évaluation.
c'est comme deux bus quand ils se croisent, ils se disent bonjour et se passent vite fait des infos, ils jouent pas à qui a le plus gros. en tout cas j'ai raison les gens sont bizarres  Very Happy
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:00

Ca fait un "t'es tout cassé" à un "t'es tout construit". selon qui regarde. tu m'étonnes que ça m'est tout émue à l'époque.
mode genre "tu souffres" ? ben oui on me casse tout mais j'arrive encore en même temps à faire de l'empathie .... j'ai un cerveau maso dans l'autre sens qui veut pas souffrir trop longtemps sinon il voit tout le temps perdu à ne pas mettre de baume au coeur d'autres....
et aussi alors partir du postulat de toute façon dans un certain temps je m'en serais remise alors commençons par faire déjà ce que je ferai après m'être remise comme ça tout le monde est d'accord, mon je ne sais pas quoi peut souffrir à son rythme et moi je l'embête pas en continuant à avancer et à aller bien.
du coup certains nes s'interrogent sur sont ils elles plusieurs ? mais il faudrait pousser le raisonnement à "en plus sont ils plusieurs ? à être d'accord ou pas ?" quitte à être barjo autant être entier là aussi Smile du coup ça fait barges haut. et non moins un étang, mais un qui s'étend sans berges ....
donc je reste un rose haut qui plie pas. une personne toxique pour moi (pas forcément toxique tout court, toxique pour moi) c'est quelqu'un qui très vite me fait penser en bloqué et en gribouillis, comme effectivement la map ming, si tu mets quelqu'un en map tu vois tout de suite si c'est triste ou gai.
si tu peux pas étendre ton linge de pensée sur la corde à linge de quelqu'un... c'est mort d'avance, c'est pas la peine d'essayer de discuter du jardin.
plier ses idéese ça ne met jamais venu à l'esprit en fait. tu sais comme la cocotte en papier que tu fais bouger à 4 doigts pour déplier sur autre chose.
si tu es une feuille de papier, que d'un on t'empêche d'écrire dessus et en plus on te plie la feuille pour réduire l'espace où tu peux écrire, posé comme ça on voit de suite que c'est néfaste.
et les mots comme les notes, les mots roses qui te mettent en joie et en mouvement à les dire, et les mots noirs qui te foutent le cafard ou te mettent en pétard. Pétard c'est à l'opposé direct du feu d'artifice.
ton mental comme le ciel, voir qui l'éclaircit et dissipe la brume, ou qui l'assombrit et lui amène la pluie.
mieux vaut labo rieux que laborieux.
après oui il y a cette espèce d'obligation de fait de s'intégrer non pas par les cotés mais par le haut vers le bas, je conçois, c'est d'autant plus complexe si le doué se voit par le plus haut, ça ne lui donnera pas l'idée de descendre puisqu'il se croit plus bas....
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:07

ça fait double v sait aussi Smile et qui ne va pas à la chasse perd sa place ou ne la trouve jamais puisque il est dans le mauvais circuit. j'ai donc regardé des choses qui me mettaient en joie pendant que d'autres me regardaient comme souffrante.... je regardais le chemin à parcourir pendant qu'on regardait mon chemin supposé parcouru.
capteurs pattes rencontre capteurs sur pattes : échanges de données.
et effectivement insister sur le fait d'être une fille, ce qui dès le départ modifie le rapport qu'on le veuille ou non, après y'a le "que je veuille ou pas".
du coup j'ai envoyé mes cartes de voeux pour 2017. mais on est encore en 2016. oui mais les cartes de voeux ça bat les textos Smile tu vois ?
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Message par Invité Jeu 29 Déc 2016 - 17:21

2016 aura été ma plus curieuse année Very Happy  C'est bien vrai tout ça Very Happy

Profite bien des derniers jours de l'année, et des premiers de la prochaine Wink

Et a cette occasion.... merci encore Nath Very Happy

Nat lit et lie, et Rémi est remi en rime Very Happy Qu'elle bonne chose Wink Razz Very Happy

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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:27



mettre dans le mille en rime bien vu ça Smile



je garde ma prêtatention Smile
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:28

Qui peut prétendre me connaître?
Sans se contenter du paraître,
Images toutes faites ou projections
C' qu'on vous prête est à confusion,

Qui peut prétendre me comprendre?
Quand il faut de tout se défendre,
Passer les "on-dit", casser la glace
Et gratter le vernis en surface,

Quand soi-même on cherche et se perd,
Pour toute une vie qu'on veut bien faire,

Je suis comme je suis, et j'aime comme j'aime,
Même si j'en paie le prix, je suis comme je suis
Je suis mes envies, comme me suivent ceux qui m'aiment
Je rêve comme je rêve, plutôt mal que bien,
Parfois même à rien, je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien

Qui peut prétendre avoir la clé? De mon enfance et ses ratés,
Rangez tous vos clichés qui rassurent, des blessures à vif sous l'armure,

Mais qui peut prétendre encore prétendre avoir un jugement à rendre,
Et pouvoir s'regarder en face, dire ce qu'il aurait fait à ma place,

Quand moi-même je cherche et m'y perds, pour tout un cirque qu'il faut bien faire
Je suis comme je suis, et j'aime comme j'aime,
Même si j'en paie le prix, je suis comme je suis
Je suis mes envies, comme me suivent ceux qui m'aiment
Je rêve comme je rêve, plutôt mal que bien,
Parfois même à rien, je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien

Je suis comme je suis
J'aime comme j'aime
Je suis comme je suis
Je rêve comme je rêve
Je suis mes envies
Comme suivent ceux qui m'aiment

Je rêve comme je rêve
Plutôt mal que bien
Parfois même à rien
Je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien

Je suis comme je suis


rendez vous au bistrot  Razz soit ça passe soit ça cale  Razz
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:30

Je ne suis pas à vendre, ni à prêter et parfois non apprêtée mais que ça péte encore c'est qu'il y a de la vie dont je suis avide et jamais à vide  tongue cat et que je croise à vie des accents sire con flexes Smile on fera des roses des sables dans les déserts  Razz avec juste des grains de sable et des pâtés de nos grains avec des chats tôt ou tard en espagne ou ailleurs  I love you
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:32



Je me demande si on aurait pas du lui bauder le luc et l'aairer Smile monsieur fleur du mâle  Wink cat drunken bounce sunny
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:34

A travers les intempéries
Les mauvaises passes, les jours d'ennui
Pense à moi, pense à moi
Si t'en as envie

Je ne sais plus où courent tous ces gens,
Mais c'est sans doute… très important
Pour y passer, y passer
Autant de temps

Moi je me suis mis dans un jardin,
À cultiver les fleurs du bien
Pense à moi, pense à moi
Si t'en as besoin
Tu vas croire que c'est encore loin
Mais c'est juste au bout d'un chemin
Et là, tu reconnaîtras,
Les fleurs du bien… 

Pense à moi, pense à moi
Si t'en as besoin

Près d'un piano désaccordé
En attendant que vienne une idée
Tu sauras, tu sauras…toujours
Où me trouver

Je sais bien que le monde est grand,
Et qu'il faut regarder de l'avant…mais
Pense à moi, pense à moi
Si t'en as le temps

Moi je me suis mis dans un jardin,
À cultiver les fleurs du bien
Pense à moi, pense à moi
Si t'en as besoin
Tu vas croire que c'est encore loin
Mais c'est juste au bout d'un chemin
Et là, tu reconnaîtras,
Les fleurs du bien… 
Pense à moi, pense à moi
Si t'en as besoin

Je te dis ça, autant que j'en rie
Puisque les mots ne changent pas la vie
Pense à moi, pense à moi
Si t'as envie
Je sais à peu près ce qui m'attends
Et même après quoi courent les gens
Je… ne vois plus, ne vois plus rien
De très urgent

Pense… à moi, pense… à moi, oh
Pense… à moi
Pense… à moi
Là au fond de mon jardin
À cultiver les fleurs du bien
Oh, oh, 
Les fleurs…du bien
Oh, oh, oh…

Pense à moi…oh oh
Mais là…au fond de mon jardin
À cultiver les fleurs…
À cultiver les fleurs du bien
Pense à moi…
Pense…à moi

-------------------------------------------

chacun chacune sa culture et celle qui lui va bien pour aller bien  Very Happy
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 17:39

allez rends beau ou alors rends noir Smile



Ce qu'on voit
derrière les grilles
C'est pas le sourire des filles
Ce qu'on boit
depuis le ruisseau
C'est pas le sang
du bordeaux
Ce que l'on voit
derrière les nuages
C'est pas le grand paysage
De la faille du grand Canyon
Qui ne dérange
plus personne

Ce que l'on voit...
Ce qu'on entend...
De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer

Ce qu'on entend
sur les plages
C'est pas
le grand cri sauvage
D'un poète de dix-sept ans
Qui vend des glaces
pour un temps

Y a pas de poèmes
sans je t'aime
Sans Rimbaud
et sans Verlaine
Sans un cœur pur
sous la peau
Sans musique
et des sanglots

Ce qu'on voit...
Ce qu'on entend...
De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer

Ce qu'on voit...
Ce qu'on entend...
De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer
Imprimer
------------------------------------------------------------------------
Je préfère en faire du joli que constater l'enfer j’exècre l'enfermement et mental alors de surcroît, qui sur croit se leurre alors kiss leur plutôt Smile
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 18:03

Les 36 questions du Dr Arthur Aron

Les 36 questions sont divisées en trois séries, chacune étant plus poussée que la précédente. L’idée est que la vulnérabilité mutuelle qui est créée favorise le rapprochement. Prenez le temps nécessaire pour répondre, ce temps consacré participe au climat de confiance qui s’installe.
N’oubliez pas au terme de ces questions, de vous regarder les yeux dans les yeux, en silence, pendant quatre minutes chronométrées. Puis laissez agir… vous pourriez être agréablement surpris(e).

Première série







1 – Si vous aviez la possibilité de choisir n’importe qui au monde, qui inviteriez-vous à dîner ?
2 – Aimeriez-vous être célèbre ? De quelle façon ?
3 – Quand vous devez passer un coup de téléphone, vous arrive-t-il de répéter au préalable ce que vous allez dire ? Pourquoi ?
4 – Qu’est ce qui rend une journée « parfaite » selon vous ?
5 – Quand avez-vous chanté pour la dernière fois tout(e) seul(e) ? Et devant quelqu’un d’autre ?
6 – Si vous pouviez vivre jusqu’à 90 ans et que vous aviez le choix entre garder l’esprit de vos 30 ans ou le corps de vos 30 ans pour vivre les 60 années restantes, que choisiriez-vous ?
7 – Avez-vous un pressentiment sur la façon dont vous allez mourir ?
8 – Nommez trois choses que l’un et l’autre semblez avoir en commun.
9 – Pour quelle chose de votre vie, êtes-vous le/la plus reconnaissant(e)?
10 – Si cela était possible, que changeriez-vous dans la façon dont vous avez été élevé ?
11 – En quatre minutes, racontez l’histoire de votre vie avec le plus de détails possible.
12 – Si vous pouviez vous réveiller demain avec une nouvelle qualité ou une nouvelle faculté, laquelle serait-ce ?

Deuxième série







13 – Si une boule de cristal pouvait vous dire la vérité sur vous, votre vie, votre futur et tout autre chose, que voudriez-vous connaître ?
14 – Y-a-t’il quelque chose que vous rêvez de faire depuis longtemps ? Si oui, pourquoi ne l’avez-vous pas encore faite ?
15 – Quel est le plus grand accomplissement ou réalisation de votre vie ?
16 – Pour vous, qu’est-ce qui est le plus important en amitié ?
17 – Quel est votre souvenir le plus précieux ?
18 – Quel est votre souvenir le plus terrible ?
19 – Si vous appreniez qu’il ne vous restait qu’une année à vivre, changeriez-vous votre façon de vivre actuelle ? Pourquoi ?
20 – Que signifie l’amitié pour vous ?
21 – Quel rôle jouent l’amour et l’affection dans votre vie ?
22 – Chacun votre tour, dites ce que vous trouvez de positif chez l’autre ; répétez l’opération cinq fois.
23 – Vôtre famille est-elle proche de vous et est-elle chaleureuse ? Pensez-vous que votre enfance était plus heureuse que celle de la plupart des gens ?
24 – Que pensez-vous de la relation avec votre mère ?

Troisième série







25 – Faites chacun trois déclarations communes réelles, en débutant la phrase par « nous ». Par exemple : « Nous sommes tous deux dans le même état d’esprit. »
26 – Complétez cette phrase: « Je rêve d’avoir quelqu’un avec qui je pourrais partager… ».
27 – Si vous et votre partenaire devenez très proches, que pensez-vous qui soit important qu’il sache ?
28 – Dites à vôtre partenaire ce que vous aimez chez lui. Soyez très honnête et dites des choses que normalement on ne dit pas à quelqu’un que l’on vient de rencontrer.
29 – Racontez un moment embarrassant de votre vie.
30 – Quand avez-vous pleuré pour la dernière fois devant quelqu’un d’autre ? Seul ?
31 – Dites à votre partenaire une chose que vous aimez déjà chez lui.
32 – Existe-t-il selon vous des sujets trop graves pour en plaisanter ? Si oui, lesquels ?
33 – Si vous deviez mourir ce soir sans possibilité de communiquer avec quiconque, quelle chose regretteriez-vous le plus de n’avoir pas osé avouer à quelqu’un ? Pourquoi ne l’avez pas encore fait ?
34 – Si votre maison était en feu, après avoir sauvé votre famille et les animaux de compagnie, s’il vous restait du temps pour retourner prendre une seule chose : que récupéreriez-vous ? Pourquoi ?
35 – Parmi tous les membres de votre famille, le décès de qui serait le plus perturbant pour vous ? Pourquoi ?
36 – Racontez un problème personnel et demandez à votre partenaire des conseils sur la façon dont il s’y prendrait pour le résoudre. Demandez-lui également son ressentiment sur votre propre attitude face à ce problème évoqué.

Source : nytimes.com
- See more at: http://www.mieux-vivre-autrement.com/testez-les-36-questions-pour-tomber-amoureux.html#sthash.Z3TKIxB3.dpuf
------------------------------------------------------------------------------------------------------

Cela dit ça je le crois possible. puisque ça inclut donc de faire connaissance plus personnellement sauf si évidemment on part du postulat que l'amour est un immense truc compliqué  inaccessible à chercher toute sa vie et surtout au milieu de plein de gens. J'adhère assez au "l'amour c'est deux solitudes qui se rencontrent". où de fait l'amour peut naître puisque l'on passe de tout seul à mieux. si on y reste c'est bien, si on n'y reste pas, forcément on pensera ou on croira voir qu'il y a mieux. Evidemment le gars qui me met immédiatement entre lui et moi : tous les hommes, c'est mort dans l'oeuf.... d'où l'expression faire l'amour plutôt que la guerre, à croire qu'il faut des guerres pour que les gens se rapprochent, l'être humain en général est vraiment zarbi.
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 18:04

En fait quand on veut se rapprocher de tout le monde on ne se rapproche de personne et surtout pas de soi Smile
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 18:09

Tout s'explique ! (mais je ne suis pas sûr)


Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Empty par Vinchenzo Aujourd'hui à 4:34

[size=18]EUKA !
Je viens de comprendre ! 
Mais, j'ai besoin de votre avis Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Icon_wink 

Le mot zèbre regroupe tous les "surdoués" + "troubles" + "victimisation".

[/size]

  • surdoués est le mot "populaire", qui représente les haut potentiel intellectuelle (nomenclature international).
  • troubles est un mot "clinique", qui se différencie du mot "Maladie". Les troubles sont représenté dans le DSM-5 (et dans cette listes: https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_troubles_mentaux) 
  • victimisation est un mot "populaire", qui regroupe ici: l'inadaptabilité, l’échec, la souffrance, le malheur ou la pathologisation.



_ Cela explique pourquoi certains surdoués sans troubles et épanouis ne se retrouvent pas dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués sans troubles mais victimes ne se retrouvent pas dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués avec des troubles mais épanouis ne se retrouvent pas dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués avec des troubles et victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués et Autiste se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués et Asperger se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués et Dyslexique se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains surdoués victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains Autiste victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains Asperger victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains Dyslexique victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !
_ Cela explique pourquoi certains Troubles victimes se retrouvent dans la définition du zèbre !

C'est dinguissime, j'ai l'impression d'avoir tout compris ! Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Icon_sunny
Mais j'ai besoin de votre aide, je n'ai pas envie d'être un fou qui se prend pour un génie Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Lol
Je dis peut-être des bêtise Je m'exile aphone à pattes d'ours de velours pour jusqu'à un de ces cats... sont gris, souris... - Page 10 Icon_cry 
Vous en pensez quoi ?
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Piqué là : https://www.zebrascrossing.net/t29247-tout-s-explique-mais-je-ne-suis-pas-sur#1209237

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------

J'adore Smile C'est comme que j'avais compris le concept du z. Et que forcément le concept du dit np m'était indispensable pour faire des déclinaisons hiérarchisées. z par rapport à rien c'est rien. et z parmi des z, c'est du coup du "tous pareils aussi".
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Message par I am So Sure Jeu 29 Déc 2016 - 18:10

Faire le tour de son coté incasable pour devenir incassable Wink d'ailleurs incasable sans cases ça veut rien dire non plus ! je n'adhère pas à Dieudonné mais pour une fois qu'il dit un truc que je trouve intelligent Smile à mes yeux je n'ai jamais prétendu avoir la science infuse de la verveine ni le monopole du "sachet"  Razz Wink
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