Une petite douceur dans ce monde de brute ?

Avez vous des trucs, des manies, des pulsions, des pensées, des "drogues naturelles", des plaisirs.... pour voir la vie en rose ?

Pour ma part, de la musique, de l'encens et du chocolat me mettent dans un état second (j'ai arrêté les cigarettes rigolotes parce que ça ne me faisait plus rigoler).... mais pffff, je reviens sur terre quand même.

Et vous ?

(peut-être qu'un fil existe déjà à ce sujet )

Regarder les Ko's de muay thai et les cars crashes sur you tube.

La musique et les jeux vidéos. =]

@ Fata : t'appelle cela de la douceur ? J'appelle cela de la "démolition sur de la démolition", en fait c'est un prolongement de ce monde de brut. Tu fais pas des break des fois ? faire des colliers en pâquerettes pour ta fille, dessiner des bulles de savons avec le nez ... ?

jardiner !

et, de façon exceptionnelle prendre un bain moussant ou pas... bien chaud toute seule au calme !
... même si le retour sur terre est souvent douloureux et rapide avec les enfants

La jardinage, oui, c'est excellent et ça détend. Bonne idée !!!

penser

quel type de pensées, Vamphidan ?

Ou est-ce seulement le fait de penser qui te fait voir la vie en rose ?

Penser, oui, mais c'est à dire ?

penser comme un zebre =) peut etre meme plus

un zebre pense en arborescence , quand je suis en "transe" j'arrive a aboutir chacun des pensée en arborescence toute en même temps et ça forme un tout indissociable , ça en devient jouissif

waou !

Mais tu sais avec l'âge ça devient épuisant.

Alors profite

les amis
(et les amoureux/ses)

euh
voyager

ok je sors

le chamallow...

et moi je sors pas!

@ Diana : Pourquoi tu sors ? t'es pas HS !

Voyager, fait parti de mes "douceurs" aussi, car en général je rencontre des gens extraordinaires qui ont des parcours de vie qui m'aide à voir la mienne différemment, avec plus d'indulgence, plus de douceur, disons. Et puis, si je suis en pleine nature, reliée à mon environnement, je m'évade, la vie est plus légère, je me recharge par la contemplation de la photosynthèse, des couleurs de chaque végétal. Une naturopathe m'a dit un jour que le simple fait de marcher pieds nus dans la nature la terre absorbait toutes les ondes négatives. Je l'ai vérifié et c'est plus flagrant quand je marche dans l'eau d'un torrent ou au bord de l'océan (et non, je ne marche pas sur l'eau ).


je peut aussi voyager en écoutant de la musique, en regardant un film 'poétique"...

Mmmm le chamallowwwww...si notre monde pouvait ressembler à un chamalow,
aussi suave,
aussi souple,
aussi sucré,
aussi moelleux,
aussi fondant,
aussi doux
...aussi edulcoré

Faire la sieste!

.

Le soleil... et la pluie.
Sentir l'air rafraîc(h)ir mes poumons de fumeur de cigarettes (pas rigolotes non plus, j'ai arrêté le H.)
Discuter, partager, éc(h)anger, ...
Manger, dormir, marc(h)er...

Mais surtout, me remplir les yeux de beaux paysages, ou fermer les yeux et me les rappeler, ou même tout simplement imaginer le paysage "parfait"...

c'est H m'en bien tout ce pas n'H !

" Le véritable trésor n'est pas forcement là ou l'on pense."

lotus2011 a écrit:@ Fata : t'appelle cela de la douceur ? J'appelle cela de la "démolition sur de la démolition", en fait c'est un prolongement de ce monde de brut. Tu fais pas des break des fois ? faire des colliers en pâquerettes pour ta fille, dessiner des bulles de savons avec le nez ... ?

J'essayais juste de jouer au dur...

Voilà ma combine préférée (Ça marche à tous les coups):


C'est beau !

On dit merci à papy !!!

Merveilleux Lotus! Sublimes citations! Quelques unes sont à réfuter ou à développer, mais elles sont bonnes à retenir!

"passes le relais" (clin d'oeil au film "un monde meilleur")

[Note guide : sujet déplacé à la demande de l'auteure.]

PAROLES D'ENFANTS :

J'aime ce qui transcende les genres que ce soit dans la société en général, la religion, la littérature, la musique....
J'aime ce qui outrepasse les clichés, réunir plutôt que diviser. C'est un exercice délicat à l'heure ou on exalte parfois l'indignation
J'aime quand on fais mentir mes convictions avec panache, avec classe
J'aime à penser que chacun ou chaque chose peut apporter, que dans la différence il y a une richesse
Ce sont souvent de belles surprises
Voici quelques rappeurs qui me font mentir sur le rap et devraient parler aux zèbres

[youtube]





Au delà des différences, nous ne sommes pas si différents...

ce sont de petites douceurs pour certains ...zèbres

Le hip-hop, ou hip hop, est un mouvement culturel et artistique apparu aux États-Unis à New York, dans le South Bronx au début des années 1970, mêlant des aspects festifs et revendicatifs. Originaire des ghettos noirs de New York, il se répandra rapidement dans l'ensemble du pays puis au monde entier au point de devenir une culture urbaine importante.
Les valeurs du hip hop sont "la paix, l'amour, l'unité et s'amuser", mais aussi le respect d'autrui ainsi que l'unité des peuples. Le hip-hop est donc une culture pacifiste, prônant la pluriracialité, en dépit de la mauvaise image que les profanes en ont véhiculée par certains groupes de rap.

Nos régions ont du talent !

p.335 :

« -Quelqu’un m’a dit que le mal peut toujours être prouvé. Le bien, jamais. Parce que le mal laisse des traces sur son passage. Tandis que le bien, on ne peut qu’en témoigner.
Nicla sourit enfin.
-C’est une bêtise, dit-elle. Tu vois, Mila, le fait est que le bien est trop fugace pour être enregistré. Et il ne laisse pas de déchets après son passage. Le bien est propre, le mal salit… Mais moi je peux le prouver le bien, parce que je le vois tous les jours. Quand l’un de mes pauvres protégés approche de la fin, j’essaye de passer le plus de temps possible avec lui. Je lui tiens la main, j’écoute ce qu’il a à me dire, s’il me raconte ses fautes je ne le juge pas. Quand ils comprennent ce qui se passe, s’ils ont été bons dans leur vie et qu’ils n’ont pas fait de mal, ou s’ils en ont fait mais qu’ils se sont repentis… eh bien, ils sourient toujours. Je ne sais pas pourquoi mais c’est comme ça, je te l’assure. La preuve du bien est ce sourire avec lequel ils défient la mort. »

Roman Le chuchoteur, par Donato Carrisi