Peur de ce que je suis
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Re: Peur de ce que je suis
qu'on ne sait même pas exactement ce qui cause la schizophrénie ?)
c'est faux
c'est faux
Invité- Invité
Re: Peur de ce que je suis
Livebox a écrit:qu'on ne sait même pas exactement ce qui cause la schizophrénie ?)
c'est faux
Vas-y mon grand, fais-toi plaisir. Je ne demande qu'à être instruite.
Florette- Messages : 71
Date d'inscription : 01/02/2015
Re: Peur de ce que je suis
- Spoiler:
- Livebox a écrit: Je ne demande qu'à être instruite. Smile
deviens autodidacte
Contribution super utile et à moi-même et, peut-être, à l'auteur de ce post. Merci mon gars pour ta bienveillance.
Florette- Messages : 71
Date d'inscription : 01/02/2015
Re: Peur de ce que je suis
Mesdames, Messieurs,
Je vois que cela suscite le débat de vives réactions (plus ou moins partagé :-D )
"Mon extravagance est mon arme, mon image un bouclier"
J'ai compris que je devais assumer ma singularité et la transformer en groupe strato-propulseur (désolé pour le technique) à mon avantage (sans monter sur la têtes des autres cela va de soi!)
L'image que j'en rejetterai ne serai qu'un bouclier, reflétant assurance et confiance. Me rendant aimant ou détestable (tant pis pour vous et vous ne me manquerez pas!)
Cependant, je confirme qu'il n'est pas très constructif d'affirmer les choses de manières si catégorique (d'autant plus dans cet espace, "bavardages doux et courtois") ni de communiquer trop "brute de pomme" (si la métaphore est saisi).
Je conçois (et ça n'engage que moi) cet espace comme une prolongation de mon identité et de mon cerveau (connecté aux autre afin d'accélérer l'échange) et désolé de le dire brutalement mais ne tentez pas de m'affirmer de cette manière vôtre point de vue, car à part vous dire merde et stériliser le débat je ne vois pas ce que cela apporte.
Après l'intention porté était peut être louable, soit. Je peux tout à fait le comprendre? Dans ce cas je souhaite que cela soit évoqué afin d'éviter d'entretenir des non dits
Merci de m'avoir lu et j'espère que le débat se poursuivra intelligemment et sereinement.
Dodow
PS: Désolé Licorneau si je ne t'appelle pas aujourd'hui, j'suis un peu de mauvais poil et je n'ai pas le courage de tenir une conversation verbale.
Je vois que cela suscite le débat de vives réactions (plus ou moins partagé :-D )
"Mon extravagance est mon arme, mon image un bouclier"
J'ai compris que je devais assumer ma singularité et la transformer en groupe strato-propulseur (désolé pour le technique) à mon avantage (sans monter sur la têtes des autres cela va de soi!)
L'image que j'en rejetterai ne serai qu'un bouclier, reflétant assurance et confiance. Me rendant aimant ou détestable (tant pis pour vous et vous ne me manquerez pas!)
Cependant, je confirme qu'il n'est pas très constructif d'affirmer les choses de manières si catégorique (d'autant plus dans cet espace, "bavardages doux et courtois") ni de communiquer trop "brute de pomme" (si la métaphore est saisi).
Je conçois (et ça n'engage que moi) cet espace comme une prolongation de mon identité et de mon cerveau (connecté aux autre afin d'accélérer l'échange) et désolé de le dire brutalement mais ne tentez pas de m'affirmer de cette manière vôtre point de vue, car à part vous dire merde et stériliser le débat je ne vois pas ce que cela apporte.
Après l'intention porté était peut être louable, soit. Je peux tout à fait le comprendre? Dans ce cas je souhaite que cela soit évoqué afin d'éviter d'entretenir des non dits
Merci de m'avoir lu et j'espère que le débat se poursuivra intelligemment et sereinement.
Dodow
PS: Désolé Licorneau si je ne t'appelle pas aujourd'hui, j'suis un peu de mauvais poil et je n'ai pas le courage de tenir une conversation verbale.
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
Bonjour Dodow,dodow a écrit:Bonjour à tous,
Aïris:
Merci pour ton message, je vois où tu veux en venir cependant j'ai a y redire (j'avais pas assez explicité la dernière fois je pense) :-)
Dans le principe du psy je te rejoins. Après je change de point de vue quand aux méthodes qu'il utilise pour me faire "réagir".
Suivant les profils des gens et le cursus du thérapeute, si j'ai bien tout compris, il y a plusieurs manières de "travailler" le patient plusieurs façon de parvenir au nœud du problème.
J'ai bien l'impression que ce psy n'utilise pas une méthode approprié me concernant.
Je lui parle, il me répond. Mais avec des tendances / connotations négatives. Pourquoi ne pas me faire réagir grâce au positif et non grâce au négatif. (Sachant, au passage que je suis déjà bien assez "négatif" au quotidien)
C'est la méthode qui doit ne pas me convenir.
Après ne pas le cerner, why not? Mais il faut se demander "pourquoi" je cherche à le cerner?
Il me mettrai en confiance, il aurai les mot, l'attitude pour mettre en confiance, je pense que "je me serai abandonné (encore) plus facilement" à la discussion.
A titre d'exemple, en 2012 lors de mon "burn-out", je voyais ma doc généraliste, qui faisait mon suivi psy grosso modo. Elle était affectueuse, rassurante, toujours souriante. Certes ce n'est pas une psy, mais au moins quand je ressors je ne suis pas encore plus frustré qu'en rentrant.
Je pense que quelqu'un qui me renvoi une image rassurante et/ou confiante, me permet de ne pas trop éveiller le soupçon, chercher à y redire, essayer de trouver ce qui va pas chez lui.
D'autant plus, que l'énergie consacrée pensant la séance à l'analyser est de l'énergie perdue pour m'exprimer.
Enfin, concernant mon sentiment de "supériorité" je ne me considère pas parfait en tout point ou "plus fort". C'est juste que de théoriser tout et n'importe quoi permet d'élaborer tout les points de vues possibles , toutes les entrées toutes les sorties possibles (en étant pas nécessairement mon point de vue), me montre "l'évidence".
Comprendre que untel s'est fait tapé par son père et c'est pour ça qu'il a une position dominante dans un groupe d'ami et qu'il tape sa copine de temps à autre.
"Mais nan t'es singlé d'imaginer un truc pareil"
"Je lui demande (je schématise hein!)?!" ... "Alors c'est vrai"
ouin, ouin, ouin, "oui mais j'aurai jamais pu trouvé les mots"
Bref c'est synthétique mais c'est une réalité.
A l'inverse vois-tu, je n'ai pas "la bosse des maths" je suis même nul (sauf pour Pythagore et Thalès, mes deux meilleurs potes pendant les heures de retenues :-) )
Pour finir le mot "supérieur" est approprié pour moi (et uniquement moi), quelqu'un de "normo-pensant" trouverai cela prétentieux et dégradant (pour lui), suscitant jalousie, haine où incompréhension.
Ce mot porte à controverse, mais de mon point de vue il faut bien qualifier la chose. Cerveau plus "illuminé", facilité de compréhension. La résultant est "un forme de supériorité de part sa différence"
...
Je ne saurais dire quelle méthode ton psy utilise, je n'en ai personnellement testé qu'une et mes impressions de départ furent très semblables aux tiennes.
Lorsque je me suis demandé pourquoi j'avais ce sentiment que mon psy ne comprenait rien, manquait apparemment beaucoup de cette "bienveillance" que je croyais devoir être la règle dans la relation soignant-soigné ( croyance issue de ma formation d'infirmière) , et pire qu'il se montrait même parfois désagréable limite blessant, je me suis dit: "ça n'a pas de sens, cet homme ne te connait pas, il n'a pas la moindre raison personnelle de se comporter d'une telle manière avec toi". J'en ai tiré la conclusion que ces impressions devaient être en lien avec ma façon de ressentir les choses et qu'elles révélaient donc probablement les points d'hypersensibilité qui me faisaient le plus mal à l'époque.
Ce phénomène inconscient qui veut qu'on ait des ressentis particuliers face à quelqu'un qu'on ne connait pas, supposé pouvoir être aidant ou non, c'est ce qui s'appelle le transfert.
Quand on en prend conscience, nos ressentis, nos besoins, nos attentes (...) peuvent alors nous apparaître indépendamment de la personne sur qui le transfert s'est opéré.
Dans ton cas, par exemple, ce qui ressort dans ce que tu décris de ces relations avec ton psy et ta doc généraliste , c'est ton besoin de confiance et de réassurance; évident me diras-tu !, mais ce qui l'est sans doute moins, ce sont les raisons possibles à cela, propres à ton histoire personnelle. Est-ce que l'attitude de ce psy te rappelle ou te renvoie à quelqu'un ou quelque chose qui a été source de souffrance pour toi par le passé? c'est une question super basique que tu t'es d'ailleurs peut-être déjà posée (?).
Un médecin peut t'inspirer confiance en mettant un joli pansement sur une méchante blessure , mais si cette méchante blessure nécessite la prise en charge plus longue et plus douloureuse d'un abcès profond, mieux vaut un médecin moins rassurant qui sache inciser la plaie, curer l'abcès et traiter l'infection... plus inquiétant certes, mais plus efficace .
De ce point de vue là, on comprend qu'une psychothérapie relève davantage de la grosse intervention chirurgicale que de la cure thermale !
Aïris- Messages : 36
Date d'inscription : 05/01/2015
Age : 60
Localisation : 33
Re: Peur de ce que je suis
Bonsoir Aïris,
Je comprend le schéma. Mon père (personne à qui je pense en premier) serait en quelque sorte incarné durant la séance par le psy. Ce serait ça l'idée?
La question que je me pose c'est "est-ce que je dois passer par là" donc en baver pour y arriver ou est-ce que "la cure thermale" existe d'une manière ou d'une autre?
J'en ai débattu ce matin avec ma mère de mon père.
Il a dit à la mère récemment "que c'est de ça faute" . Ca c'est sur.
Pour résumer, premier d'une fratrie de 4 gars plus une demi soeur une peu plus agée.
Père alcoolique, toxico (gitane maïs, yalah!!) et traumatisé par la guerre (indochine, algérie).
Résultat mon père a grandi dans le mouvement, déménageant 3 fois par an à cause de son père (socialement (très)instable) (imaginez le baroudeur dans platoon qui revient chez lui.... pas jojo hein?!).
Il a du se demmerder à s'occuper des frangins avec sa mère. Après l'école le soir il allait vider les poubelles de la résidence avec ça mère.
Bref enfance sacrifiée (à mon sens).
Du plus, après l'école, son rêve était d'intégrer l'armée de l'air et devenir pilote d'hélico. Compétences mental et physique (largement) à la hauteur, pas de soucis. Par contre étant donné que le grand père à un lourd passif avec notre cher justice française, son rêve fut brisé d'un claquement de doigt.
Donc une vrai rancœur contre son père.
Il est également addict à pas mal de choses (que je ne citerai pas vous le comprendrez bien), et depuis un accident grave (deux avant ma naissance) "il a changé" (selon ma mère).
Je me rend compte des schémas de reproduction qu'il a fait avec moi d'une certaine manière.
Je me rend compte également (et très schématiquement) que c'est un cerveau gauche bien trempé (si j'ose dire), individualiste et opportuniste à ses heures et à l'inverse je suis (je m'avance peut être mais j'ai l'impression que c'est le cas) un cerveau droit, essayant, tant que possible d'être humble et altruiste.
Ce qui fait que non seulement il ne s'est pas servi du "bon mode d'emploi" pour m'éduquer (bien qu'il m'aime énormément) par le passé et nos "personnalité" sont de bases, plus compliquées à se comprendre.
Là où sa pèche c'est quels exemple précis il n'a pas fait et/ou mal fait et/ou pensait avoir bien et/ou aurait pu bien faire?
Concrètement je dois avoir toutes les données mais je n'arrive pas à les disposer dans leur globalités :-s
De plus comment me suis-je "adapté" à ce/ces manque de sa part? son absence? Comment ai perçu "l'homme de famille" dans mon enfance, et maintenant?
Une autre chose qui je pense y est liée (mais je ne trouve pas la passerelle), c'est ma façon de me faire "aimer" d'une femme.
Quelque part je pourrai passer pour un polygame mais j'ai l'impression d'avoir d'une complexité affective venant de la part d'une femme.
D'autant plus aujourd'hui que je suis avec une normopensante. On s'aime, on vit bien ensemble, j'entend par là la complicité, la communication etc... Mais j'ai l'impression d'en "avoir en réserve" comme si je pouvais me permettre d'entretenir une relation d'amitié intime avec une autre femme afin de satisfaire mes besoins de communication, d'affectif, d'émotif, d'humour.
J'ai l'impression d'être dans le remort rien qu'à essayer d'y penser (cela en rajoute une sacrée couche à nos soucis de relation actuel)
En même temps j'aimerai bien tenter, mais j'ai peur de passer pour un pervers ou un dérangé sexuel.
C'est tordu comme vision des choses non?
Dodow
Je comprend le schéma. Mon père (personne à qui je pense en premier) serait en quelque sorte incarné durant la séance par le psy. Ce serait ça l'idée?
La question que je me pose c'est "est-ce que je dois passer par là" donc en baver pour y arriver ou est-ce que "la cure thermale" existe d'une manière ou d'une autre?
J'en ai débattu ce matin avec ma mère de mon père.
Il a dit à la mère récemment "que c'est de ça faute" . Ca c'est sur.
Pour résumer, premier d'une fratrie de 4 gars plus une demi soeur une peu plus agée.
Père alcoolique, toxico (gitane maïs, yalah!!) et traumatisé par la guerre (indochine, algérie).
Résultat mon père a grandi dans le mouvement, déménageant 3 fois par an à cause de son père (socialement (très)instable) (imaginez le baroudeur dans platoon qui revient chez lui.... pas jojo hein?!).
Il a du se demmerder à s'occuper des frangins avec sa mère. Après l'école le soir il allait vider les poubelles de la résidence avec ça mère.
Bref enfance sacrifiée (à mon sens).
Du plus, après l'école, son rêve était d'intégrer l'armée de l'air et devenir pilote d'hélico. Compétences mental et physique (largement) à la hauteur, pas de soucis. Par contre étant donné que le grand père à un lourd passif avec notre cher justice française, son rêve fut brisé d'un claquement de doigt.
Donc une vrai rancœur contre son père.
Il est également addict à pas mal de choses (que je ne citerai pas vous le comprendrez bien), et depuis un accident grave (deux avant ma naissance) "il a changé" (selon ma mère).
Je me rend compte des schémas de reproduction qu'il a fait avec moi d'une certaine manière.
Je me rend compte également (et très schématiquement) que c'est un cerveau gauche bien trempé (si j'ose dire), individualiste et opportuniste à ses heures et à l'inverse je suis (je m'avance peut être mais j'ai l'impression que c'est le cas) un cerveau droit, essayant, tant que possible d'être humble et altruiste.
Ce qui fait que non seulement il ne s'est pas servi du "bon mode d'emploi" pour m'éduquer (bien qu'il m'aime énormément) par le passé et nos "personnalité" sont de bases, plus compliquées à se comprendre.
Là où sa pèche c'est quels exemple précis il n'a pas fait et/ou mal fait et/ou pensait avoir bien et/ou aurait pu bien faire?
Concrètement je dois avoir toutes les données mais je n'arrive pas à les disposer dans leur globalités :-s
De plus comment me suis-je "adapté" à ce/ces manque de sa part? son absence? Comment ai perçu "l'homme de famille" dans mon enfance, et maintenant?
Une autre chose qui je pense y est liée (mais je ne trouve pas la passerelle), c'est ma façon de me faire "aimer" d'une femme.
Quelque part je pourrai passer pour un polygame mais j'ai l'impression d'avoir d'une complexité affective venant de la part d'une femme.
D'autant plus aujourd'hui que je suis avec une normopensante. On s'aime, on vit bien ensemble, j'entend par là la complicité, la communication etc... Mais j'ai l'impression d'en "avoir en réserve" comme si je pouvais me permettre d'entretenir une relation d'amitié intime avec une autre femme afin de satisfaire mes besoins de communication, d'affectif, d'émotif, d'humour.
J'ai l'impression d'être dans le remort rien qu'à essayer d'y penser (cela en rajoute une sacrée couche à nos soucis de relation actuel)
En même temps j'aimerai bien tenter, mais j'ai peur de passer pour un pervers ou un dérangé sexuel.
C'est tordu comme vision des choses non?
Dodow
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
Coucou,
A mon tour d'apporter ma pierre à ton édifice.
Pour ne répondre qu'à tes dernières interrogations au sujet de ton trop plein d'affection à donner, j'ai vécu cette sensation dans la même position qu'est la tienne (je vais pas rentrer dans les détails de ce que j'ai vécu, qui sait, ce sera un futur sujet, quand j'aurais assez confiance en moi...).
Avant tout, tu n'es ni un pervers, ni dérangé du bas ventre.
Je suppose que tu ne sais pas jusqu'où ce trouve la limite de ta relation intime avec ta conjointe, voilà tout. Ton amie, même normopensante, reste une femme qui a une sensibilité, et qui peut être une écoute admirable si tu lui confies ton ressenti. Bien entendu faut y mettre les mots et les bons. Mais dans tout couple une des bases est la communication, qui sait peut-être que ta moitié est ouverte à tes interrogations sur cette infinie affection que tu as en sus.
Notre cerveau a un besoin constant de complexité pour vivre, et cela même en amour. Il existe des jeux amoureux qui pourraient mettre en éveil et assouvir ta soif, comme par exemple les jeux de rôle ou autres plus "verbales".
Ce que j’essaie de dire (j'ai encore du mal à exprimer mes pensées en mots, désolée), c'est qu'avant de tenter l'aventure extra-conjugale, tu devrais, peut-être, essayer de diversifier ta relation amoureuse avec ta moitié (avec son accord, hein, ça va de soi). Tu pourras déjà voir les limites que vous êtes prêts à dépasser ou non. Et en fonction, choisir le chemin que tu décides de prendre.
Quoiqu'il en soit, se poser ce genre de questions n'est pas malsain, j'y vois plutôt une envie de découverte (bon, j'accorde que le nombre de questions ne va pas se résorber avec ces interrogations, mais au moins tu donnes du grain à moudre à ton moulin).
En espérant que ces quelques phrases ont pu te rassurer. Je suis disposée à développer mes propos ; qui de toute façon fourmillera pendant mon sommeil (je gère mieux mon arborescence en dormant...).
Et puis sur ce fo, nous sommes sur notre planète, alors tu peux déjà relâcher la pression ici...
U soon
A mon tour d'apporter ma pierre à ton édifice.
Pour ne répondre qu'à tes dernières interrogations au sujet de ton trop plein d'affection à donner, j'ai vécu cette sensation dans la même position qu'est la tienne (je vais pas rentrer dans les détails de ce que j'ai vécu, qui sait, ce sera un futur sujet, quand j'aurais assez confiance en moi...).
Avant tout, tu n'es ni un pervers, ni dérangé du bas ventre.
Je suppose que tu ne sais pas jusqu'où ce trouve la limite de ta relation intime avec ta conjointe, voilà tout. Ton amie, même normopensante, reste une femme qui a une sensibilité, et qui peut être une écoute admirable si tu lui confies ton ressenti. Bien entendu faut y mettre les mots et les bons. Mais dans tout couple une des bases est la communication, qui sait peut-être que ta moitié est ouverte à tes interrogations sur cette infinie affection que tu as en sus.
Notre cerveau a un besoin constant de complexité pour vivre, et cela même en amour. Il existe des jeux amoureux qui pourraient mettre en éveil et assouvir ta soif, comme par exemple les jeux de rôle ou autres plus "verbales".
Ce que j’essaie de dire (j'ai encore du mal à exprimer mes pensées en mots, désolée), c'est qu'avant de tenter l'aventure extra-conjugale, tu devrais, peut-être, essayer de diversifier ta relation amoureuse avec ta moitié (avec son accord, hein, ça va de soi). Tu pourras déjà voir les limites que vous êtes prêts à dépasser ou non. Et en fonction, choisir le chemin que tu décides de prendre.
Quoiqu'il en soit, se poser ce genre de questions n'est pas malsain, j'y vois plutôt une envie de découverte (bon, j'accorde que le nombre de questions ne va pas se résorber avec ces interrogations, mais au moins tu donnes du grain à moudre à ton moulin).
En espérant que ces quelques phrases ont pu te rassurer. Je suis disposée à développer mes propos ; qui de toute façon fourmillera pendant mon sommeil (je gère mieux mon arborescence en dormant...).
Et puis sur ce fo, nous sommes sur notre planète, alors tu peux déjà relâcher la pression ici...
U soon
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
Hey, bon visiblement la nuit va être chargée ^^
CO-MMU-NI-CA-TION! na merci! Tu vois les fondamentaux sont les mêmes (ah j'adore!)
En faite mes idées sont mal exprimées,
Je ne recherche pas une situation extra conjugale, je cherche à ajouter une nouvelle situation amicale (mais amicale profonde).
Ma femme me comble avec tout ce qu'elle a, je pense qu'elle me donne son maximum.
Mais étant donné que mes besoins/attentes (je vais les définir après) sont énormément plus grandes je souhaite essayer de combler mon manque.
Elle et moi sommes très épanoui dans notre relation, tant sur l'affectif, l'humour (même si des fois ça me fait pas rire (ahah)), le sexe (ce que tu as "suggéré" est déjà mis en pratique ;-) )
Et j'en suis satisfait (ex: il est inconcevable pour moi de la tromper. Si mes désirs ne sont plus là je préfère prendre les devant en en parlant etc...)
Nan ce que je cherche c'est de multiplier mes moments affectifs, multiplier mes moments de débats, d'échanges (élevé le débat disons le clairement). La miss accepte cela. Elle conçoit que je puisse être un bisounours à calins. Moi en revanche j'aimerai mettre en pratique mais me sens bloqué.
Je cherche donc une amie/âme soeur/"moitié"/confidente
Vois tu où je veux en venir du coup?
CO-MMU-NI-CA-TION! na merci! Tu vois les fondamentaux sont les mêmes (ah j'adore!)
En faite mes idées sont mal exprimées,
Je ne recherche pas une situation extra conjugale, je cherche à ajouter une nouvelle situation amicale (mais amicale profonde).
Ma femme me comble avec tout ce qu'elle a, je pense qu'elle me donne son maximum.
Mais étant donné que mes besoins/attentes (je vais les définir après) sont énormément plus grandes je souhaite essayer de combler mon manque.
Elle et moi sommes très épanoui dans notre relation, tant sur l'affectif, l'humour (même si des fois ça me fait pas rire (ahah)), le sexe (ce que tu as "suggéré" est déjà mis en pratique ;-) )
Et j'en suis satisfait (ex: il est inconcevable pour moi de la tromper. Si mes désirs ne sont plus là je préfère prendre les devant en en parlant etc...)
Nan ce que je cherche c'est de multiplier mes moments affectifs, multiplier mes moments de débats, d'échanges (élevé le débat disons le clairement). La miss accepte cela. Elle conçoit que je puisse être un bisounours à calins. Moi en revanche j'aimerai mettre en pratique mais me sens bloqué.
Je cherche donc une amie/âme soeur/"moitié"/confidente
Vois tu où je veux en venir du coup?
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
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Re: Peur de ce que je suis
Toi en revanche aurais tu été sur le point de vue que tu évoquais?
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
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Re: Peur de ce que je suis
En effet. J'ai certainement calqué le problème dans lequel je me suis retrouvée, au lieu de mieux cerner le tien.dodow a écrit:Toi en revanche aurais tu été sur le point de vue que tu évoquais?
Rhôô la lose, comment faire un beau hors sujet ! loldodow a écrit:Vois tu où je veux en venir du coup?
Cependant qu'est-ce qui te bloque ? Si ta moitié te soutient, et que tes attentes sont purement bibliques (suis pas croyante, mais j'ai perdu l'autre mot adéquate) ...
Tu m'as dit que tu avais passé le cap irl en rencontrant d'autres zèbres, je suis sûre que ses moments vont venir, non ? Puis y a les free hugs pour passer le cap du câlin bisounours...
Sérendipité- Messages : 345
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Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
J'ai fais cette "bêtise" avec la conjointe de mon meilleur ami il y a trois (je m'en mort encore les doigts)
Meuh non pô hors sujet, juste mal exprimé et par conséquent mal compris :-)
Ce qui me bloque c'est que je n'arrive pas à me dire "ok elle a un nouveau pote, elle prend du temps pour elle. Donc la logique veut que j'en fasse de même. Mais va t elle toujours cautionner dans le futur lorsqu'elle verra au quotidien ce que c'est?" Pis j'ai bien essayé déjà de me lier d'amitié avec quelqu'un. J'y arrive pas.
je sais pas pourquoi ou ce qui se passe. Le mystère demeure ma chère Wats... Sérendipité!
Meuh non pô hors sujet, juste mal exprimé et par conséquent mal compris :-)
Ce qui me bloque c'est que je n'arrive pas à me dire "ok elle a un nouveau pote, elle prend du temps pour elle. Donc la logique veut que j'en fasse de même. Mais va t elle toujours cautionner dans le futur lorsqu'elle verra au quotidien ce que c'est?" Pis j'ai bien essayé déjà de me lier d'amitié avec quelqu'un. J'y arrive pas.
je sais pas pourquoi ou ce qui se passe. Le mystère demeure ma chère Wats... Sérendipité!
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
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Re: Peur de ce que je suis
Précision c'était une normopensante (utile de préciser ou pas je ne sais pas). Toujours est il qu'à un moment je vais me projeter une relation puis, sans raison apparente je vais jurer le contraire. Inutile de construire une relation, pourquoi parler, etc....
Je me sens seul. Non pas de trouver quelqu'un avec qui parler mais quelqu'un avec qui je me comprend
Je me sens seul. Non pas de trouver quelqu'un avec qui parler mais quelqu'un avec qui je me comprend
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
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Re: Peur de ce que je suis
Toute nouveauté comporte des inconnues. Mais tu le sais déjà.
L'inconnu fait peur, et l'ennui s'installe vite (surtout dans notre monde).
Je comprends ce besoin d'être compris par une personne de confiance qui pourra relever le débat ou adoucir les angles dans les moments de vie trop intenses.
Tu as le droit de prendre du temps pour toi avec des gens que tu apprécies.
En tout honnêteté je n'ai que 2 réel(le)s ami(e)s, normopensant(e)s, mais comble à leur façon mes besoins.
Et puis mes attentes envers les amis sont très très très...exigeantes. Et par malheur si un grain de sel enraille mes croyances, c'est indéniablement terminé.
Parfois je ressens des vides, et ma roue d'hamster tourne à dérailler, j'essaie toujours d'y trouver remède, alors je suis peut-être pas la meilleure personne pour te rassurer.
Je peux être une oreille (ou deux) en attendant que tu trouves chaussure à ton pied.
L'inconnu fait peur, et l'ennui s'installe vite (surtout dans notre monde).
Je comprends ce besoin d'être compris par une personne de confiance qui pourra relever le débat ou adoucir les angles dans les moments de vie trop intenses.
Tu as le droit de prendre du temps pour toi avec des gens que tu apprécies.
En tout honnêteté je n'ai que 2 réel(le)s ami(e)s, normopensant(e)s, mais comble à leur façon mes besoins.
Et puis mes attentes envers les amis sont très très très...exigeantes. Et par malheur si un grain de sel enraille mes croyances, c'est indéniablement terminé.
Parfois je ressens des vides, et ma roue d'hamster tourne à dérailler, j'essaie toujours d'y trouver remède, alors je suis peut-être pas la meilleure personne pour te rassurer.
Je peux être une oreille (ou deux) en attendant que tu trouves chaussure à ton pied.
Sérendipité- Messages : 345
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Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
Tu as du lire les précédents message de ce post mais je peux te conseiller ici également, j'y exprime un peu plus mon parcours. Pour te faire une idée plus global du machin.
https://www.zebrascrossing.net/t20247-est-ce-que-ce-sont-des-rayures-ou-un-vulgaire-tatouage
J'avais ces amis pour m'épauler, j'avais cette moitié (tant recherché) pour me réconforter, mais depuis que j'ai "tout quitté" je suis venu m'enterrer intellectuellement, renier ce que je suis et ce que je ressens.
Aujourd'hui je dois faire fasse avec les nouvelles données de l'équation. Sauf que je n'ai plus personne à qui parler.
Tout recommencer à zéro, en m'adaptant d'avantage encore.
Et comme tu le dis si bien (j'allais me mettre à pianoter au moment où tu parles pour moi) mes attentes des autres sont immensurables.
Et lorsque ce grain de sable (je te laisse le sel) vient se mettre dans mes rouages (nan nan je ne m’attelle pas à faire du copier coller :-) ) je m'effondre, je perd toute estime de moi et j'en vient à me détester au plus au point possible (si tu vois ce que je veux dire).
Même en restant objectif j'en suis à la même conclusion que toi sa tourne mais ça ne s'arrête pas sur le ticket gagnant!
Et bien deux ne seraient pas trop des fois ahah
Et plus sérieusement c'est le fait d'être d'égal à égal sur ce plan qui me rassure, le côté on s'sert les coudes! (Je crois que L'Arbre serait d'accord sur ce point).
Mais euh... juste une chose: t'arrives à entendre ce que j'écris?
Stupéfiant! (oui trop sûrement...)
https://www.zebrascrossing.net/t20247-est-ce-que-ce-sont-des-rayures-ou-un-vulgaire-tatouage
J'avais ces amis pour m'épauler, j'avais cette moitié (tant recherché) pour me réconforter, mais depuis que j'ai "tout quitté" je suis venu m'enterrer intellectuellement, renier ce que je suis et ce que je ressens.
Aujourd'hui je dois faire fasse avec les nouvelles données de l'équation. Sauf que je n'ai plus personne à qui parler.
Tout recommencer à zéro, en m'adaptant d'avantage encore.
Et comme tu le dis si bien (j'allais me mettre à pianoter au moment où tu parles pour moi) mes attentes des autres sont immensurables.
Et lorsque ce grain de sable (je te laisse le sel) vient se mettre dans mes rouages (nan nan je ne m’attelle pas à faire du copier coller :-) ) je m'effondre, je perd toute estime de moi et j'en vient à me détester au plus au point possible (si tu vois ce que je veux dire).
Même en restant objectif j'en suis à la même conclusion que toi sa tourne mais ça ne s'arrête pas sur le ticket gagnant!
Et bien deux ne seraient pas trop des fois ahah
Et plus sérieusement c'est le fait d'être d'égal à égal sur ce plan qui me rassure, le côté on s'sert les coudes! (Je crois que L'Arbre serait d'accord sur ce point).
Mais euh... juste une chose: t'arrives à entendre ce que j'écris?
Stupéfiant! (oui trop sûrement...)
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
dodow a écrit:
Mais euh... juste une chose: t'arrives à entendre ce que j'écris?
J'ai de grandes oreilles, mon enfant ! Lol
Sérendipité- Messages : 345
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Re: Peur de ce que je suis
Ah les jours d'autan tu doit être pommée quand tu te promène :-)
Dis, tu me dois un mouchoir pour Yiruma
Dis, tu me dois un mouchoir pour Yiruma
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
C'est incroyable, ce que cela procure.
Émotion et sérénité.
Moi qui Aime la musique je n'aurai jamais cru que c'était ça qui m'aurai vraiment calmé.
Je m'abandonne à différents courants selon mon humeur mais jamais un soliste au piano.
Et surtout de cette manière, je trouve ça poétique (pardon du mot)
Émotion et sérénité.
Moi qui Aime la musique je n'aurai jamais cru que c'était ça qui m'aurai vraiment calmé.
Je m'abandonne à différents courants selon mon humeur mais jamais un soliste au piano.
Et surtout de cette manière, je trouve ça poétique (pardon du mot)
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
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Re: Peur de ce que je suis
Je communique mieux en musique... Ravie que tu es pu te relaxer le temps de la partition.
J'ai pas de mouchoir. Désolée.
Il m'arrive de marcher sur mes oreilles, ou de n'entendre que ce que je veux bien entendre... ;-)
Ps : Suis encore en train de lire les liens que tu m'as fourni, je pense pas y répondre dessuite...
J'ai pas de mouchoir. Désolée.
Il m'arrive de marcher sur mes oreilles, ou de n'entendre que ce que je veux bien entendre... ;-)
Ps : Suis encore en train de lire les liens que tu m'as fourni, je pense pas y répondre dessuite...
Dernière édition par Sérendipité le Ven 27 Fév 2015 - 2:35, édité 1 fois (Raison : Rajout d'un Ps)
Sérendipité- Messages : 345
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Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
Que de questionnements , j'ai bien tout lu et je ne voudrais pas trop parler de mon expérience personnelle mais sache que sous couvert d'ignorance et de peur les psy ont souvent besoin de nous catégoriser et que cette catégorisation se fait sur plusieurs entretien .
Pour ce qui est de ta consommation , en tant qu'ancienne grosse consommatrice je sais que pour ma part , l'arrêt a permis l'arrêt de bien des troubles mais c'est vraiment mon expérience personnelle .
Enfin pour avoir vu des ribambelles de psy j'aurai tendance à te dire qu'il faut savoir écouter ton intuition et que si tu ne le sens pas , cherche en un autre , c'est plus facile à faire au début que lorsque plein de sous y sont passés
Bon courage à toi en tout cas
Pour ce qui est de ta consommation , en tant qu'ancienne grosse consommatrice je sais que pour ma part , l'arrêt a permis l'arrêt de bien des troubles mais c'est vraiment mon expérience personnelle .
Enfin pour avoir vu des ribambelles de psy j'aurai tendance à te dire qu'il faut savoir écouter ton intuition et que si tu ne le sens pas , cherche en un autre , c'est plus facile à faire au début que lorsque plein de sous y sont passés
Bon courage à toi en tout cas
evilbee- Messages : 10
Date d'inscription : 23/02/2015
Re: Peur de ce que je suis
Salut à toi Evilbee,
Oui c'est un peu la conclusion que j'en tire. C'est pourquoi j'ai une appréhension quand à ma manière d'avancer.
J'ai peur de faire comme pas mal de personnes, à savoir tâtonner, réessayer, changer. Aïe mon bas d'laine.
Ça m'angoisse pas mal.
Comme tu as pu le lire, je ne trouve pas mon déclic interne qui me mette sur la bonne voie, à savoir moins voir arrêter de consommer.
Déjà je ne cherche plus à consommer "trop fort" je me contente de produit non transformé (bon c'est déjà pas mal hein)
Je ne sais pas ce qui est ancré si profond et qui m'empêche de "décrocher"
En tout cas merci pour tes conseils, et merci de m'avoir lu
Dodow
Oui c'est un peu la conclusion que j'en tire. C'est pourquoi j'ai une appréhension quand à ma manière d'avancer.
J'ai peur de faire comme pas mal de personnes, à savoir tâtonner, réessayer, changer. Aïe mon bas d'laine.
Ça m'angoisse pas mal.
Comme tu as pu le lire, je ne trouve pas mon déclic interne qui me mette sur la bonne voie, à savoir moins voir arrêter de consommer.
Déjà je ne cherche plus à consommer "trop fort" je me contente de produit non transformé (bon c'est déjà pas mal hein)
Je ne sais pas ce qui est ancré si profond et qui m'empêche de "décrocher"
En tout cas merci pour tes conseils, et merci de m'avoir lu
Dodow
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
Pour la conso, mon expérience, je n'ai jamais trouvé d'addiction la dedans, donc à chaque fois je décrochais facilement. Je pense que la part psychologique est très importante (comme pour de nombreuses addictions). Essais de réduire ta dose journalière avec un produit non coupé, de source sûr, plus doux et moins fort en THC. Et de préférence de la récolte jeune, comme ça tu auras plus d'effet stone (posé) qu'un effet high (euphorique et défonce lourde), quelque chose de léger... et sous dose les petit à petit, histoire de te sevrer. et Compense sur la clope ou un autre substitue. Et surtout évite les doses matinale, qui ne te permettent plus d'être lucide dès le matin. Réserve toi pour le soir devant un bon film et un bon dodo.
Après si tu as peur d'angoisser ou de paniquer face à la réalité et la lucidité d'esprit, pourquoi ne pas faire une psychothérapie et voir pour te faire prescrire un anxiolytique doux, je suis sous xanax, une prise par jour de 0,25mg seulement donc faible dosage (trop faible par moment) mais au moins cela te donne une aide pour avoir le courage d'affronter la journée.
Et je ne veux pas augmenter la dose car je sais que cela sera une défaite, et malgré les durs moments, je sais que j'ai besoin d'aller mal pour avancer et me dire, c'est bon j'ai tenu le coup, c'est une nouvelle victoire.
Croire en toi et faire confiance en ta force mentale, c'est le plus dur mais le plus important !
courage
Après si tu as peur d'angoisser ou de paniquer face à la réalité et la lucidité d'esprit, pourquoi ne pas faire une psychothérapie et voir pour te faire prescrire un anxiolytique doux, je suis sous xanax, une prise par jour de 0,25mg seulement donc faible dosage (trop faible par moment) mais au moins cela te donne une aide pour avoir le courage d'affronter la journée.
Et je ne veux pas augmenter la dose car je sais que cela sera une défaite, et malgré les durs moments, je sais que j'ai besoin d'aller mal pour avancer et me dire, c'est bon j'ai tenu le coup, c'est une nouvelle victoire.
Croire en toi et faire confiance en ta force mentale, c'est le plus dur mais le plus important !
courage
L'arbre- Messages : 118
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: Peur de ce que je suis
avance par étape, c'est plus facile que de viser très haut et avoir le vertige et se dire je n'y arriverai jamais.
Et prend au pied de la lettre cette citation :
Et prend au pied de la lettre cette citation :
«Les idées ne servent à rien pour le traitement : c’est d’agir, instant par instant, comme un marcheur qui, au lieu de s’effrayer de la hauteur de la montagne, est content chaque fois qu’il fait un bon pas, et arrive au sommet sans s’en apercevoir.»
(Notes et pensées du Dr Roger Vittoz, édition posthume 1955)
L'arbre- Messages : 118
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: Peur de ce que je suis
Juste histoire de mettre aussi une citation qui m'a toujours plu :
L'angoisse est le vertige de la liberté. "Soren Kierkegaard"
L'angoisse est le vertige de la liberté. "Soren Kierkegaard"
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
J'aime bien cette iamge
Le vertige se soigne en l'affrontant, et une fois le vertige accepté et dompté,
on peut certainement profiter de la vue sans en perdre l'équilibre.
Alors si l'angoisse est une étape menant à la liberté, cette étape a un gout bien amer.
Mais comme le dit la citation, "Il faut connaître le goût du vinaigre pour apprécier le miel"
Sérendipité a écrit:L'angoisse est le vertige de la liberté. "Soren Kierkegaard"
Le vertige se soigne en l'affrontant, et une fois le vertige accepté et dompté,
on peut certainement profiter de la vue sans en perdre l'équilibre.
Alors si l'angoisse est une étape menant à la liberté, cette étape a un gout bien amer.
Mais comme le dit la citation, "Il faut connaître le goût du vinaigre pour apprécier le miel"
L'arbre- Messages : 118
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: Peur de ce que je suis
Tout se soigne l'angoisse comme le vertige...
Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre.
Préface inédite de - Animal Farm "George Orwell"
Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre.
Préface inédite de - Animal Farm "George Orwell"
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
"L'homme vraiment libre est celui qui sait refuser une invitation à dîner sans donner d'excuse."
(Jules Renard)
L'arbre- Messages : 118
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: Peur de ce que je suis
N** de d*** de connexion de ta m*** la *******!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! AHHHHHHHHHHHH merd!!! et merde!!!!
Bon je disais brièvement que dès que je j'affronte je me fais mal plus qu'autre chose. Comme si j'étais déjà en bas disloqué entre les pierre essayant désespérément de me rassembler
Bon je disais brièvement que dès que je j'affronte je me fais mal plus qu'autre chose. Comme si j'étais déjà en bas disloqué entre les pierre essayant désespérément de me rassembler
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
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Re: Peur de ce que je suis
essais de trouver des bases solides, ce qu'il t'aide pour te sentir bien, rassemble tous ça et constitue toi une défense plus importante pour être capable de combattre et avancer.
L'arbre- Messages : 118
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: Peur de ce que je suis
Wahou, serais-tu ma psy cachée ? Elle m'a dit la même chose !L'arbre a écrit:essais de trouver des bases solides, ce qu'il t'aide pour te sentir bien, rassemble tous ça et constitue toi une défense plus importante pour être capable de combattre et avancer.
Sommes toute, c'est plus facile à dire qu'à faire... Ne crois-tu pas ?
*Le non-savoir est le fondement de tout, il crée le tout par un acte qu'il répète à chaque instant, il produit ce monde et n'importe quel monde, puisqu'il ne cesse de prendre pour réel ce qui ne l'est pas. Le non-savoir est la gigantesque méprise qui sert de base à toutes nos vérités, le non-savoir est plus et plus puissant que tous les dieux réunis.*
"Emil Michel Cioran "
Ok c'est pas très productif, je sors...
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
Bonjour Dodow,dodow a écrit:Salut à toi Evilbee,
Oui c'est un peu la conclusion que j'en tire. C'est pourquoi j'ai une appréhension quand à ma manière d'avancer.
J'ai peur de faire comme pas mal de personnes, à savoir tâtonner, réessayer, changer. Aïe mon bas d'laine.
Ça m'angoisse pas mal.
Comme tu as pu le lire, je ne trouve pas mon déclic interne qui me mette sur la bonne voie, à savoir moins voir arrêter de consommer.
Déjà je ne cherche plus à consommer "trop fort" je me contente de produit non transformé (bon c'est déjà pas mal hein)
Je ne sais pas ce qui est ancré si profond et qui m'empêche de "décrocher"
En tout cas merci pour tes conseils, et merci de m'avoir lu
Dodow
As-tu déjà envisagé de t'adresser à un médecin addictologue ? il existe des services spécialisés dans la prise en charge et l'accompagnement de personnes souhaitant se libérer de leur addiction.
Le suivi psychologique fait partie de cet accompagnement; il a entre autres pour but d'aider le "patient" à identifier le pourquoi de son addiction ; l'écoute est différente car ce sont des professionnels qualifiés en addictologie, pas forcément des psychiatres stricto sensu.
Cette approche là, plus ciblée mais peut-être moins "violente", sera peut-être plus adaptée à ce que tu recherches. Elle nécessite cependant que tu te sentes prêt à t'investir dans une vraie démarche de sevrage , et c'est alors là que les difficultés se situent ....
Aïris- Messages : 36
Date d'inscription : 05/01/2015
Age : 60
Localisation : 33
Re: Peur de ce que je suis
Et souvent tu as des associations d'aide qui sont gratuite ( car je sais ce que le coup financier peut représenter quand on se lance dans notre mieux être ) .
evilbee- Messages : 10
Date d'inscription : 23/02/2015
Re: Peur de ce que je suis
Reuh à tous,
Evilbee, Aïris:
J'ai déjà eu quelques expériences dans le passé concernant une thérapie contre l'addiction.
J'ai fais une bien grosse connerie (vol d'argent) auprès de la mère. (J'ai pas les intérêts en plus c'est déjà ça)
C'est là que les parents ont découvert le poteau rose. Enfin la mère à confirmé les hypothèses du père.
Résultat, suis allé en thérapie de groupe. J'ai fait deux séances et me suis barré.
J'ai essayé de moi même, j'ai tenu 3mois au mieux puis c'était reparti.
J'ai vu une psy (mais alors me souviens plus spé en quoi?) mais j'ai fais qu'une séance et n'y suis pas retourné.
Du coup j'ai arrêter de me mettre le stress et je penais ça comme ça venais : Lorsque je bossais beaucoup j'avais pas le temps, donc peu de conso et lorsque j'étais en repos / week end là c'était le "rattrapage".
Petit constat, d'année ma conso en gr/jour augmente (ça ne redescend jamais).
Là je stabilise entre 3.5-4gr/jour donc pour moi ça me semble raisonnable pour le moment (d'ici que j'ai mon déclic). J'ai par contre arrêté les concentrés en tout genre concernant ce produit.
Du coup j'ai plus trop d'avis sur cette question concrètement. Mais merci de réactiver l'idée.
Après (pendant que j'y pense), j'ai gardé une mauvaise image de la tabacologue lorsque j'ai un tour à l'hôpital. Grosso modo je demandais un patch et j'avais le droit à une soupe moralisatrice et dégradant des consommateurs de ganja. Résultat je lui ai dis ce que je savais et que je croyais concernant le produit. Bon en gros elle est partie un peu précipitemment fumer sa clope!
Mais merci quand même
Dodow
Evilbee, Aïris:
J'ai déjà eu quelques expériences dans le passé concernant une thérapie contre l'addiction.
J'ai fais une bien grosse connerie (vol d'argent) auprès de la mère. (J'ai pas les intérêts en plus c'est déjà ça)
C'est là que les parents ont découvert le poteau rose. Enfin la mère à confirmé les hypothèses du père.
Résultat, suis allé en thérapie de groupe. J'ai fait deux séances et me suis barré.
J'ai essayé de moi même, j'ai tenu 3mois au mieux puis c'était reparti.
J'ai vu une psy (mais alors me souviens plus spé en quoi?) mais j'ai fais qu'une séance et n'y suis pas retourné.
Du coup j'ai arrêter de me mettre le stress et je penais ça comme ça venais : Lorsque je bossais beaucoup j'avais pas le temps, donc peu de conso et lorsque j'étais en repos / week end là c'était le "rattrapage".
Petit constat, d'année ma conso en gr/jour augmente (ça ne redescend jamais).
Là je stabilise entre 3.5-4gr/jour donc pour moi ça me semble raisonnable pour le moment (d'ici que j'ai mon déclic). J'ai par contre arrêté les concentrés en tout genre concernant ce produit.
Du coup j'ai plus trop d'avis sur cette question concrètement. Mais merci de réactiver l'idée.
Après (pendant que j'y pense), j'ai gardé une mauvaise image de la tabacologue lorsque j'ai un tour à l'hôpital. Grosso modo je demandais un patch et j'avais le droit à une soupe moralisatrice et dégradant des consommateurs de ganja. Résultat je lui ai dis ce que je savais et que je croyais concernant le produit. Bon en gros elle est partie un peu précipitemment fumer sa clope!
Mais merci quand même
Dodow
Dernière édition par dodow le Ven 27 Fév 2015 - 20:02, édité 2 fois (Raison : Faut bien signer quand même! et faut pas oublier de citer les personnes concernées)
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
L'Arbre,
C'est pertinent ce que tu dis et j'en ai conscience. Mais à mon sens pour avancer et me créer une base solide je dois éliminer la merde sous l'emplacement des fondations (essaye de construire un building sur un marais. Ben sa s'casse la gueule).
J'ai l'impression d'y être devant ma montagne mais il y a tellement de brouillard que je n'arrive pas à apercevoir où est le chemin pour commencer à la gravir. Du coup j'essaye d'un côté, de l'autre, et je me casse la gueule à chaque fois, retombant à mon foutu point de départ. Ah, cependant oui une chose est sur (et positive si on a le bon point de vue) je sais par où il ne faut pas passer.
Donc j'en viens à me demander si il me faut un meilleur équipement pour ne pas me casser la gueule et "passer en force" (je crois que c'est ce que je j'essaye de faire) ou bien alors est ce que je demande une carte détaillée de la montagne à un guide. Un guide oui, mais quand je regarde autour de moi je ne vois pas de guide de Montagne. J'en vois bien un ou deux avec une grande pancarte "guide de montagne" mais ils ont l'air d'être vêtu d'une combinaison de plongée ou d'un maillot de bain et une planche.
Est-ce que je dois aller vers eux? Moi personnellement non, j'ai pas envie de mourir au fond d'un canyon parce l'un d'eux à voulu faire trempette. Alors oui je sais je devrais regarder autour de moi, mais je ne sais pas ou regarder
C'est pertinent ce que tu dis et j'en ai conscience. Mais à mon sens pour avancer et me créer une base solide je dois éliminer la merde sous l'emplacement des fondations (essaye de construire un building sur un marais. Ben sa s'casse la gueule).
J'ai l'impression d'y être devant ma montagne mais il y a tellement de brouillard que je n'arrive pas à apercevoir où est le chemin pour commencer à la gravir. Du coup j'essaye d'un côté, de l'autre, et je me casse la gueule à chaque fois, retombant à mon foutu point de départ. Ah, cependant oui une chose est sur (et positive si on a le bon point de vue) je sais par où il ne faut pas passer.
Donc j'en viens à me demander si il me faut un meilleur équipement pour ne pas me casser la gueule et "passer en force" (je crois que c'est ce que je j'essaye de faire) ou bien alors est ce que je demande une carte détaillée de la montagne à un guide. Un guide oui, mais quand je regarde autour de moi je ne vois pas de guide de Montagne. J'en vois bien un ou deux avec une grande pancarte "guide de montagne" mais ils ont l'air d'être vêtu d'une combinaison de plongée ou d'un maillot de bain et une planche.
Est-ce que je dois aller vers eux? Moi personnellement non, j'ai pas envie de mourir au fond d'un canyon parce l'un d'eux à voulu faire trempette. Alors oui je sais je devrais regarder autour de moi, mais je ne sais pas ou regarder
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
https://www.youtube.com/watch?v=FPdFZEVkzqo
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
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dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
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dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
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dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
Bon, c'est mort impossible de fermer l’œil,
les allers retours de la voisine et ses copines en talons hauts dans le couloir de l'immeuble C'EST BON! RAS L'BOL!
nan mais franchement, ça vous arrive à vous aussi des conneries dans ce genre? que des saloperies que vous n'y pouvez rien et qui vous ronge l'existence?
Pourquoi? c'est ce putain d'mot qui revient tout l'temps, POURQUOI bordel?
Pourquoi quand je me décide enfin d'aller acheter mes clopes y a plus mon tabac?
Pourquoi les putains d'portes claques pile quand je vais me coucher?
Pourquoi les autres se satisfont de toutes ces imperfections quotidienne, nuisible pour toute personne censée!!!
pourquoi, pourquoi, pourquoi????
J'ai l'impression qu'un foutu pantin démoniaque s'amuse à me compliquer l'existence!
Au hasard, demain matin madame va se lever à 9h, et qui est-ce qui va se faire réveiller....
Et merde. Na, merde!
Ça va que vous dormez.....
les allers retours de la voisine et ses copines en talons hauts dans le couloir de l'immeuble C'EST BON! RAS L'BOL!
nan mais franchement, ça vous arrive à vous aussi des conneries dans ce genre? que des saloperies que vous n'y pouvez rien et qui vous ronge l'existence?
Pourquoi? c'est ce putain d'mot qui revient tout l'temps, POURQUOI bordel?
Pourquoi quand je me décide enfin d'aller acheter mes clopes y a plus mon tabac?
Pourquoi les putains d'portes claques pile quand je vais me coucher?
Pourquoi les autres se satisfont de toutes ces imperfections quotidienne, nuisible pour toute personne censée!!!
pourquoi, pourquoi, pourquoi????
J'ai l'impression qu'un foutu pantin démoniaque s'amuse à me compliquer l'existence!
Au hasard, demain matin madame va se lever à 9h, et qui est-ce qui va se faire réveiller....
Et merde. Na, merde!
Ça va que vous dormez.....
dodow- Messages : 286
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Re: Peur de ce que je suis
En voyant le nom sur la liste des rendez vous il ne pu s'empêcher d'y repenser. Cette vieille blessure au visage ne s'est jamais vraiment cicatrisée.
Les émotions refont surfaces, il se revoit agonisant, humilié.
Ce rendez vous ne sera pas comme les autres.
La semaine défile, ce bon docteur enchaîne ses patients, à la chaîne, méthodiquement, impartiale. Il ne cesse de peaufiner les détails de son dernier rendez vous.
Jeudi, 17h45, la secrétaire enfile sa parka, prend ses clés de voiture dans son sac et s'en va. Il est en fin seul.
"Monsieur Doratti? c'est à vous!"
Il s'efface pour le laisser entrer dans son cabinet. Il ne le dévisage pas, hésitant de savoir si le temps lui permettra de masquer son identité.
D'un geste ferme et lent, il pointe son bras en direction du fond de la salle et il invite Mr Doratti à venir s'installer sur le fauteuil d'opération.
Il s'exécute.
Il éteint son halogène disposé derrière son bureau, puis se dirige vers le fond de la salle. Sa tension interne grimpe, il sent ses palpitations parcourir son corps.
Il allume la lampe scialytique , la pointe en direction de son patient. Il se retourne, ouvre un tiroir et en sort un masque à usage unique. Il l'enfile, se retourne.
"Alors, ouvrez grand la bouche. C'est parfait, merci"
Il se penche, et avance son bras en direction de la bouche de ce cher Mr Doratti. Sa main tremble, il se ressaisit.
"Ne laisse rien paraître" se dit-il.
Il saisit fermement la mâchoire, tourne celle ci légèrement vers la droite.
"hmmm c'est pas géniale votre affaire. Va falloir retirer cette molaire"
Ça y est, il cesse de se repasser en boucle son programme, c'est le moment de l'exécuter.
Il prend une seringue, la remplie d'anesthésiant, mais bien sur, pas n'importe lequel.
Il se retourne, saisit le menton "ne bougez pas" et plante l'aiguille dans le haut de sa carotide
"hmpf! c'est pas à côté là?!" s'exclame t il!
"rassurez vous tout est normal, vous ne ressentirez rien"
Il le relâche, se redresse "bon, attendons que ça agisse"
Très rapidement, Mr Doratti commence à ne plus sentir l'extrémité de ses membres, il sent sa tête lourde, sa perception visuelle est ralentie. Il transpire, cherche de son regard incrédule où se trouve se bon docteur. Il ne le voit pas. Sa langue est paralysée, il ne peut articuler. Il émets de bref gémissements haletants . Il ne peut plus bouger.
Le docteur se retourne de nouveau. Sort un scalpel et le saisit.
Il saisit à pleine main le visage de son patient, se penche, et lui incise les paupières. Ce pauvre Mr Doratti gémit, impuissant.
Il se redresse, pose son scalpel sur la servante et saisi une pince.
Il se place plus proche, afin de mieux voir ce qu'il fait. Il retire les morceaux de chairs et les place dans un petit récipient en inox en forme de haricot.
Il plonge sa pince derrière chaque œils afin d'en sectionner les nerfs optiques.
Il se lève. Il se retourne et repart vers son bureau. Il saisit sa sacoche située en dessous, et sort une boite en métal. Il l'ouvre et saisit son contenu. Une seringue et un sécateur.
Mr Doratti, commençant à trembler aurait semble t il besoin d'un peu d'adrénaline.
Il s'avance vers la chaise, pose le sécateur. Il saisit le bras droit de son patient et plante la seringue dans son bras.
"Voilà qui devrait faire l'affaire!"
Mr Doratti convulse quelque instants dans un gémissement bruyant.
De nouveau conscient, le docteur prend en main son sécateur et sectionne les doigts de Mr Doratti les uns après les autres.
Les effluves de sang rende le sol collant, maculant ses chaussures. Une odeur chaude et métallique commence à se faire ressentir.
S'en est fini de Mr Doratti
Le docteur, jouissant devant cette scène se met à sourire. cruellement.
Il retire son masque, se dirige vers le lavabos, afin de préparer "laprès".
Il se sèche les mains avec sa petite serviette en coton.
Il se penche pour retirer sa chaussure gauche, l'enlève.
Il se penche pour retirer sa chaussure droite, le téléphone sonne
Je décroche
Les émotions refont surfaces, il se revoit agonisant, humilié.
Ce rendez vous ne sera pas comme les autres.
La semaine défile, ce bon docteur enchaîne ses patients, à la chaîne, méthodiquement, impartiale. Il ne cesse de peaufiner les détails de son dernier rendez vous.
Jeudi, 17h45, la secrétaire enfile sa parka, prend ses clés de voiture dans son sac et s'en va. Il est en fin seul.
"Monsieur Doratti? c'est à vous!"
Il s'efface pour le laisser entrer dans son cabinet. Il ne le dévisage pas, hésitant de savoir si le temps lui permettra de masquer son identité.
D'un geste ferme et lent, il pointe son bras en direction du fond de la salle et il invite Mr Doratti à venir s'installer sur le fauteuil d'opération.
Il s'exécute.
Il éteint son halogène disposé derrière son bureau, puis se dirige vers le fond de la salle. Sa tension interne grimpe, il sent ses palpitations parcourir son corps.
Il allume la lampe scialytique , la pointe en direction de son patient. Il se retourne, ouvre un tiroir et en sort un masque à usage unique. Il l'enfile, se retourne.
"Alors, ouvrez grand la bouche. C'est parfait, merci"
Il se penche, et avance son bras en direction de la bouche de ce cher Mr Doratti. Sa main tremble, il se ressaisit.
"Ne laisse rien paraître" se dit-il.
Il saisit fermement la mâchoire, tourne celle ci légèrement vers la droite.
"hmmm c'est pas géniale votre affaire. Va falloir retirer cette molaire"
Ça y est, il cesse de se repasser en boucle son programme, c'est le moment de l'exécuter.
Il prend une seringue, la remplie d'anesthésiant, mais bien sur, pas n'importe lequel.
Il se retourne, saisit le menton "ne bougez pas" et plante l'aiguille dans le haut de sa carotide
"hmpf! c'est pas à côté là?!" s'exclame t il!
"rassurez vous tout est normal, vous ne ressentirez rien"
Il le relâche, se redresse "bon, attendons que ça agisse"
Très rapidement, Mr Doratti commence à ne plus sentir l'extrémité de ses membres, il sent sa tête lourde, sa perception visuelle est ralentie. Il transpire, cherche de son regard incrédule où se trouve se bon docteur. Il ne le voit pas. Sa langue est paralysée, il ne peut articuler. Il émets de bref gémissements haletants . Il ne peut plus bouger.
Le docteur se retourne de nouveau. Sort un scalpel et le saisit.
Il saisit à pleine main le visage de son patient, se penche, et lui incise les paupières. Ce pauvre Mr Doratti gémit, impuissant.
Il se redresse, pose son scalpel sur la servante et saisi une pince.
Il se place plus proche, afin de mieux voir ce qu'il fait. Il retire les morceaux de chairs et les place dans un petit récipient en inox en forme de haricot.
Il plonge sa pince derrière chaque œils afin d'en sectionner les nerfs optiques.
Il se lève. Il se retourne et repart vers son bureau. Il saisit sa sacoche située en dessous, et sort une boite en métal. Il l'ouvre et saisit son contenu. Une seringue et un sécateur.
Mr Doratti, commençant à trembler aurait semble t il besoin d'un peu d'adrénaline.
Il s'avance vers la chaise, pose le sécateur. Il saisit le bras droit de son patient et plante la seringue dans son bras.
"Voilà qui devrait faire l'affaire!"
Mr Doratti convulse quelque instants dans un gémissement bruyant.
De nouveau conscient, le docteur prend en main son sécateur et sectionne les doigts de Mr Doratti les uns après les autres.
Les effluves de sang rende le sol collant, maculant ses chaussures. Une odeur chaude et métallique commence à se faire ressentir.
S'en est fini de Mr Doratti
Le docteur, jouissant devant cette scène se met à sourire. cruellement.
Il retire son masque, se dirige vers le lavabos, afin de préparer "laprès".
Il se sèche les mains avec sa petite serviette en coton.
Il se penche pour retirer sa chaussure gauche, l'enlève.
Il se penche pour retirer sa chaussure droite, le téléphone sonne
Je décroche
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
Alors tu as finalement pu faire un bon dodow?
Pour ma part je n'ai jamais réussi à commencer une psychothérapie malgré deux ou trois tentatives quand je me sentais au fond du trou... En ce moment c'est pas la fête, mais je sais par expérience qu'on traverse des phases au cours d'une vie. Et qu'il faut savoir parfois laisser faire le temps... Pas facile, j'en sais quelque chose, et puis chacun a ses spécificités, sa sensibilité, ses traumatismes... Et voir un psy peut sans doute s'avérer utile si on en ressent le besoin, en essayant de travailler sur soi avec la bonne personne.
Je me suis souvent demandé si je n'étais pas schizo, maniacodépressif, autiste, et parfois tout simplement névrosé... Mais ces termes ne sont peut-être que des étiquettes, chacun est singulier, et je préfère me rassurer en me disant que je suis juste différent (on est tous différents, mais certains le sont plus que d'autres il me semble...). Le tout est de savoir l'accepter, de comprendre son fonctionnement et de parvenir à se construire sur cette base.
Finalement, je me demande s'il ne s'agit pas de force, de volonté dans toutes ces questions (spéciale dédicace aux amis de Zarathoustra...) : est-ce que j'ai la force de surmonter les obstacles qui m'empêchent de tracer ma propre voie, de libérer mon potentiel, de vaincre mes peurs, mes doutes et leurs apparitions démoniaques dans mon esprit? De maîtriser mon chaos intérieur pour me transformer et me réaliser?
Pour ce qui concerne les addictions, et bien... La fumette a été longtemps un refuge et une source d'inspiration à la fois. Ça calme les angoisses (ou ça les empire, ça dépend...), ça permet de supporter la solitude (mais ça la renforce souvent également, surtout quand on est introverti), on dort mieux. Et positivement, ça affine et stimule la sensibilité, ça libère l'imagination, donc c'est propice à la création artistique. Le souci c'est qu'on tombe vite dans l'excès et qu'on peut se retrouver coupé des réalités, des autres... J'ai souvent fait des pauses plus ou moins longues, le sport et les changements d'air aidant... Mais j'ai du mal à me modérer, c'est tout ou rien, donc le petit joint du soir c'est pas pour moi, et je préfère complètement arrêter. Après, pour pouvoir arrêter, il faut le sentir, le vouloir, et il n'y a que toi pour faire cela. Ça m'a pris plusieurs années...
Pour ma part je n'ai jamais réussi à commencer une psychothérapie malgré deux ou trois tentatives quand je me sentais au fond du trou... En ce moment c'est pas la fête, mais je sais par expérience qu'on traverse des phases au cours d'une vie. Et qu'il faut savoir parfois laisser faire le temps... Pas facile, j'en sais quelque chose, et puis chacun a ses spécificités, sa sensibilité, ses traumatismes... Et voir un psy peut sans doute s'avérer utile si on en ressent le besoin, en essayant de travailler sur soi avec la bonne personne.
Je me suis souvent demandé si je n'étais pas schizo, maniacodépressif, autiste, et parfois tout simplement névrosé... Mais ces termes ne sont peut-être que des étiquettes, chacun est singulier, et je préfère me rassurer en me disant que je suis juste différent (on est tous différents, mais certains le sont plus que d'autres il me semble...). Le tout est de savoir l'accepter, de comprendre son fonctionnement et de parvenir à se construire sur cette base.
Finalement, je me demande s'il ne s'agit pas de force, de volonté dans toutes ces questions (spéciale dédicace aux amis de Zarathoustra...) : est-ce que j'ai la force de surmonter les obstacles qui m'empêchent de tracer ma propre voie, de libérer mon potentiel, de vaincre mes peurs, mes doutes et leurs apparitions démoniaques dans mon esprit? De maîtriser mon chaos intérieur pour me transformer et me réaliser?
Pour ce qui concerne les addictions, et bien... La fumette a été longtemps un refuge et une source d'inspiration à la fois. Ça calme les angoisses (ou ça les empire, ça dépend...), ça permet de supporter la solitude (mais ça la renforce souvent également, surtout quand on est introverti), on dort mieux. Et positivement, ça affine et stimule la sensibilité, ça libère l'imagination, donc c'est propice à la création artistique. Le souci c'est qu'on tombe vite dans l'excès et qu'on peut se retrouver coupé des réalités, des autres... J'ai souvent fait des pauses plus ou moins longues, le sport et les changements d'air aidant... Mais j'ai du mal à me modérer, c'est tout ou rien, donc le petit joint du soir c'est pas pour moi, et je préfère complètement arrêter. Après, pour pouvoir arrêter, il faut le sentir, le vouloir, et il n'y a que toi pour faire cela. Ça m'a pris plusieurs années...
smokin'zeb- Messages : 85
Date d'inscription : 27/02/2015
Localisation : Planète Mars, Kallisté, Hexagone...
Re: Peur de ce que je suis
dodow a écrit:En voyant le nom sur la liste des rendez vous il ne pu s'empêcher d'y repenser. Cette vieille blessure au visage ne s'est jamais vraiment cicatrisée.
Les émotions refont surfaces, il se revoit agonisant, humilié.
Ce rendez vous ne sera pas comme les autres.
La semaine défile, ce bon docteur enchaîne ses patients, à la chaîne, méthodiquement, impartiale. Il ne cesse de peaufiner les détails de son dernier rendez vous.
Jeudi, 17h45, la secrétaire enfile sa parka, prend ses clés de voiture dans son sac et s'en va. Il est en fin seul.
"Monsieur Doratti? c'est à vous!"
Il s'efface pour le laisser entrer dans son cabinet. Il ne le dévisage pas, hésitant de savoir si le temps lui permettra de masquer son identité.
D'un geste ferme et lent, il pointe son bras en direction du fond de la salle et il invite Mr Doratti à venir s'installer sur le fauteuil d'opération.
Il s'exécute.
Il éteint son halogène disposé derrière son bureau, puis se dirige vers le fond de la salle. Sa tension interne grimpe, il sent ses palpitations parcourir son corps.
Il allume la lampe scialytique , la pointe en direction de son patient. Il se retourne, ouvre un tiroir et en sort un masque à usage unique. Il l'enfile, se retourne.
"Alors, ouvrez grand la bouche. C'est parfait, merci"
Il se penche, et avance son bras en direction de la bouche de ce cher Mr Doratti. Sa main tremble, il se ressaisit.
"Ne laisse rien paraître" se dit-il.
Il saisit fermement la mâchoire, tourne celle ci légèrement vers la droite.
"hmmm c'est pas géniale votre affaire. Va falloir retirer cette molaire"
Ça y est, il cesse de se repasser en boucle son programme, c'est le moment de l'exécuter.
Il prend une seringue, la remplie d'anesthésiant, mais bien sur, pas n'importe lequel.
Il se retourne, saisit le menton "ne bougez pas" et plante l'aiguille dans le haut de sa carotide
"hmpf! c'est pas à côté là?!" s'exclame t il!
"rassurez vous tout est normal, vous ne ressentirez rien"
Il le relâche, se redresse "bon, attendons que ça agisse"
Très rapidement, Mr Doratti commence à ne plus sentir l'extrémité de ses membres, il sent sa tête lourde, sa perception visuelle est ralentie. Il transpire, cherche de son regard incrédule où se trouve se bon docteur. Il ne le voit pas. Sa langue est paralysée, il ne peut articuler. Il émets de bref gémissements haletants . Il ne peut plus bouger.
Le docteur se retourne de nouveau. Sort un scalpel et le saisit.
Il saisit à pleine main le visage de son patient, se penche, et lui incise les paupières. Ce pauvre Mr Doratti gémit, impuissant.
Il se redresse, pose son scalpel sur la servante et saisi une pince.
Il se place plus proche, afin de mieux voir ce qu'il fait. Il retire les morceaux de chairs et les place dans un petit récipient en inox en forme de haricot.
Il plonge sa pince derrière chaque œils afin d'en sectionner les nerfs optiques.
Il se lève. Il se retourne et repart vers son bureau. Il saisit sa sacoche située en dessous, et sort une boite en métal. Il l'ouvre et saisit son contenu. Une seringue et un sécateur.
Mr Doratti, commençant à trembler aurait semble t il besoin d'un peu d'adrénaline.
Il s'avance vers la chaise, pose le sécateur. Il saisit le bras droit de son patient et plante la seringue dans son bras.
"Voilà qui devrait faire l'affaire!"
Mr Doratti convulse quelque instants dans un gémissement bruyant.
De nouveau conscient, le docteur prend en main son sécateur et sectionne les doigts de Mr Doratti les uns après les autres.
Les effluves de sang rende le sol collant, maculant ses chaussures. Une odeur chaude et métallique commence à se faire ressentir.
S'en est fini de Mr Doratti
Le docteur, jouissant devant cette scène se met à sourire. cruellement.
Il retire son masque, se dirige vers le lavabos, afin de préparer "laprès".
Il se sèche les mains avec sa petite serviette en coton.
Il se penche pour retirer sa chaussure gauche, l'enlève.
Il se penche pour retirer sa chaussure droite, le téléphone sonne
Je décroche
Histoire de mettre de la musique sous cette histoire :
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
:-)
Jadoreuh!
Le texte ramené à une lecture de 3:45 ça le fait. Juste dommage, le dernier thème commence un chouilla trop tard.
En plus j'adore les craquements du tabouret, ça met du piquant :-De
Merki
Jadoreuh!
Le texte ramené à une lecture de 3:45 ça le fait. Juste dommage, le dernier thème commence un chouilla trop tard.
En plus j'adore les craquements du tabouret, ça met du piquant :-De
Merki
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
Tu peux même l'écrire dans cette version. Ce serait sympa, si t'y mettais ton texte.
Sérendipité- Messages : 345
Date d'inscription : 26/02/2015
Age : 43
Localisation : Dans la Ville Rose
Re: Peur de ce que je suis
L'idée est terrible, malheureusement suis nulos en montages de ce genre.
Ta des compétences là d'dans? Ça peut faire l'objet d'un travail (fil rouge) ?
Ta des compétences là d'dans? Ça peut faire l'objet d'un travail (fil rouge) ?
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
"Prochain rdv le 16/03 (il part en vacance...), je sais pas si je vais maintenir ce rdv..."
fuir cet homme prehistorique
bon courage et tutti !
fuir cet homme prehistorique
bon courage et tutti !
Re: Peur de ce que je suis
Yop,
Préhistorique carrément? aurais tu décelé quelque chose de primitif en lui? (à part ses stylos Mt Blanc^^)
Préhistorique carrément? aurais tu décelé quelque chose de primitif en lui? (à part ses stylos Mt Blanc^^)
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
les hommes préhistoriques avaient au moins le souci d'une auto formation permanente sinon ils mourraient tres tres jeunes ...
Re: Peur de ce que je suis
Oué, autant me faire des frites avec un silex
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
Re: Peur de ce que je suis
Je crois que c'est ma dernière arme
dodow- Messages : 286
Date d'inscription : 28/01/2015
Age : 32
Localisation : ici, là, et puis là
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