present dans l'hémicycle depuis février 2013 ni heureux ni déçu

un peu de calme j'ai stoppé la zizique j'ai moins mal à ma douleur mais j'ai mal dormi même avec plusieurs dolipranes pris avec intervalles je me dis que le monde est fou dans tous les sens du terme

quand je vivais et travaillais en Chine je n'avais aucune idée de ce que pouvait dire un mot comme "zèbre" ( le surdouingue ou le surdouxdingue) je ne savais pas que les hommes et les femmes avaient de ce mot "barbare" des "cuit"!

j'ai vécu ces années-là chinoises dans un cru total et je me demande si je n'étais pas plus heureux parce que d'abord je n'ai jamais voulu ou accepté d'être mis dans une catégorie et une seule nous tous humains et pas seulement rayés nous sommes des patchworks

il y a partout des gémissements de plaisir et des écoulements de blessure des étreintes dans la chaleur la moiteur des asies des zorients des zoccidents

mon orien tation

et puis comme je ne savais rien de cette "rayure-étiquette" je m'expliquais ma vie mes comportements ma curiosité mon ouverture d'esprit mon adaptation mes passions mes amours mes cicatrices par la mort venue très tôt dans cet abandon de mon père

un père perdu seulement retrouvé dans l'écriture les associations d'images un père peu présent souvent en voyage un père artiste un père sensible et un fils fantaisiste enfant de la balle clown

j'ai des souvenirs de lumière et de mots qui défilent à toute vitesse comme des nuages en accéléré ma pas encore épouse mais bientôt écrivant en 1985 dans un petit carnet noir couvert d'étoiles: "tu n'étais rien, je t'ai fait"

il y en a des pages et des pages mais ces huit mots-là ont été les plus abîmants pouvoir écrire cela étais-ce le début de la fin et pourquoi je vois tant de choses en noir...

en réalité je n'ai jamais su et ce n'est pas à l'école que l'on apprend cela me recouvrir d'une carapace quand j'aime j'aime je me donne entier tel quel

je vis ce que je fais et tous mes passages en asie japon chine thaïlande sont mon accomplissement toujours ouvert largement cet éventail sensu japonais à lamelles

s'éventer et comme signaux sur le champ de bataille des armes et de la sémantique n'est-ce pas la même chose

le pouvoir le vouloir le devoir il aurait fallu que... tu aurais pu... ci ou ça toujours un mot comme ta main douce sur la mienne

j'aime ta main douce sur la mienne j'aime ta main douce dans la mienne

qu'importe que ça dure c'est tout tendre il n'y a pas de mot

des pas dans le sable mouillé la bouche siffler

il fait un peu frais ce matin tiens prends mon gilet tu n'es pas très couverte

et toi...

moi... l'amour cette chaleur

@ded: etre a coté ne veut pas dire qu'il faut se la sortir du ventre apres l'avoir cassee!!!!!

j'ai (enfin!) regarde si tu avais un fil trouve :13

j'ai du boulot

impressionnee par tes ecrits et vois le monde comme toi donc pas comme toi mais ne saurais pas si bien le dire..... il y avait quelqu'un qui aurait pu m'envoyer un livre........mais aujourd'hui il n'est pas arrive ...pas grave je vais lire tes fils.....me sens toute petite a cote (!) de toi mais:


"les petits poissons
dans l'eau;
nagent, nagent, nagent, nagent ,nagent
les petits poissons
dans l'eau
nagent aussi bien que les gros !"

( comptine pour les enfants ...quelque soit leur age... pas reussi a la faire passer sur mon message depuis YouTube sorry )

dans mon foutoir de cartons et de montagnes de (20 ans de) papiers je n'ai pas retrouvé pour le moment ce livre un peu de patience chère Calebasse quand j'aurais mis la mai dessus... de ton mp je ne sais pas quand... tant que je n'ai pas jeté-classé-rangé R.A.S.

"etre a coté ne veut pas dire qu'il faut se la sortir du ventre apres l'avoir cassee!!!!!" la carapace?

Mais je n'en ai pas...

la catégorie?

la cote? oui

non j'ai pas encore tenté une auto-opération chirurgicale ! et puis ça va mieux...

"Hé, nous sommes quelques uns à être dans un tri salutaire ze vois "
dit-elle en regardant les petits monts face à son lit, tourne la tête et souris à cet construction fortuite,
un peu muraille mais pas de Chine, de cartons et de bacs en bois empilés sur ce qui s'appelle:
tableenprincipepourmangerbureausurlequelonnepeutplustravailler....

Va-t-en savoir pourquoi traine un ventilateur à l'écart du reste? Il fait comme moi, il brasse de l'air !!!
Didiou en plus il est dirigé vers les "papiersrappelsinonçavachier " ... et si je le branchais ? Zou du vent la paperasse et le tri et le rangement....

Rhaaaaa, Rhaaaaa Réveille-toi !
Oui c'est fatigant de faire du vide, c'est pas le moment de rêver !
Hein, ha oui...oui oui oui...plus tard ? dans une heure ? demain ?
Maintenant ? Pffff....
D'abord deux cafés , et un thé pour mon Dede. Allez ma Calebasse ( putain ça fait presque Calasse le chic !! ) On trinque ?

tout a disparu....il y eu donc vraiment quelque chose ...  .a un moment....?  de     reel  ?   pas seulement une projection trompeuse de mon cerveau ?...  qui avait reçu des infos trompeuses de mes sens ?   ben ça alors ......... :dehors:

@Rhaaaaa: ton lien marche aussi mal que le mien mais nous nous en moquons nous glissons sur des fils..... :)

@ asperge: contrôler mes déplacements, ne pas être dépendante

@ oregon: faire en sorte que les courants d'air circulent

@ asperge : le négatif que les autres pourraient percevoir de moi

@ asperge: le naturel est là

@ asperge : trop de choses à faire, à commencer

@ asperge : il n'y a rien à demander... juste à vivre

Cela me rappelle trois moments: un, quand j'avais 17 ans, une amie d'amie de la trentaine voulait embrasser sur la bouche un jeune (moi)
- je voudrais t'embrasser
- ah!
elle m'embrasse (goulument à sa manière)

au Japon une amie japonaise de quelques heures me promène dans sa Toyota à Ako non loin de Hiroshima j'ai acheté du sake chez un distillateur local... je reprends le train dans une micro-station vers le soir... elle m'accompagne sur le quai...
Elle m'embrasse sur la bouche ça dure

elle n'a pas pensé je vais le faire, je vais lui demander... puis-je, excusez-moi de m'excuser puis-je... Elle (le) fait naturellement

J'avais emmené une amie chinoise que je connaissais par mail et comme je faisais une exposition de photographies à Shanghai sur les cimaises d'un bar on se rencontre et se retrouvant dehors après avoir bu une bière qingdao au comptoir en devisant sur mon œil elle s'approche de mon corps et m'embrasse sur la bouche une chaleur m'a inondé

se (re)voir non vivre oui

je découvre (avec asperge) une capacité étonnante du relèvement

quoique cette capacité je la maîtrise de mieux en mieux et je l'ai depuis longtemps elle s'affine

je pense quand je suis arrivé à Bangkok le 30 avril dernier à 10 hrs du matin à Ratchaprarop j'avais rendez-vous avec une possibilité thaïlandaise à 15 hrs... La possibilité en question une jeune femme de 40 ans l'amie d'une amie a fondu en quelques heures aussitôt que nous nous sommes étreints dans la distance grandissante sous le choc j'ai chaviré cogné à une porte à peine entr'ouverte de se voir c'était un éloignement

ma vie entière d'approche d'éloignement

des brisants parfois davantage de temps pour en extraire les bris de roche enfoncés panser la plaie coudre les saignements

@ asperge : ...une vraie éponge... @ dedezhu: Paulo Coelho est-il chinois? Il m'en a tout l'air

@ migilig: Déplace ton regard

tes regards simultanéité de tant de de tout de tes yeux immenses qui pépitent qui pétillent

ce matin j'ai calmé (ou l'on peut dire "parler") avec ma maman j'ai déplacé les arrangements j'ai inversé l'escalier de ma vie j'ai donné à mon cerveau de la cohérence (ah bien c'est pas trop tôt ki mdit! parce que depuis quelques jours j'avais mal au cœur de tvoir dans c'tétat ki mdit encore)

@ asperge : j'arrive à les englober dans un système, et non être intégrée dans le leur

Really very interesting ce mouvement perpétuel avant-arrière, dedans-dehors, vide-plein

du leur / le leur: je me demande dans quelle(s) mesure(s) le tendeur mal accroché l'élastique bandé puis relâché va me (re) venir dans la figure

en donnant beaucoup j'aurais peu en donnant peu j'aurais beaucoup en donnant rien j'aurais beaucoup en donnant tout j'aurais rien

(là on peut rire! sur l'illustration de l'élasticité du temps ou du regard exorbité de "ma" chef)

@ asperge: faut-il croire à ses rêves...

rêve pas je flotte glisse agréablement

@ asperge: ne pas être cernés dans nos contours... qui sont mouvants ... fluides ... impalpables

tant mieux! Okakura Tenshin mon ami japonais m'a dit à la terrasse d'une gargote "définir c'est limiter" je ne l'ai plus jamais revu il a dit ce qu'il avait à me dire au moment où il me l'a dit

c'est beau ça dire juste rire juste j'admire la langue en quelques traits de pinceau

Tu es....MAGNIFIQUE et je t'embrasse.....

@Asperge : MDR

XXY....Zebre !  passe une tres belle soiree ded

"je flotte glisse agréablement

Si après cela tu te demande si tu es un zhomme"

oui Dede le thésis (thésard) ès-mots a bien entendu vu tous les doubles/triples sens des mots qu'il a employés...

et mon discours devant les Nations Unies revu par une femme c'est EX-TRA-OR-DI-NAI-RE

MDR

laissez moi rire tout seul tout cela s'appelle

l' EM (R) OTISME... heu l' érotisme

... quelle belle soirée... MDR

décortiquer
être écrire voir en plusieurs dimensions
simultanées
a bleu foncé
e rouge
i jaune
u vert
o noir
y ocre
zèbre rose
mantille
mandorle
palimpseste

ce matin j'ai rêvé d'une femme qui m'embrassait puis j'ai rêvé de mon père solitaire qui rêvait devant sa fenêtre en face un appartement au deuxième étage tout en noir comme enfumé une jolie frimousse émerge la femme dont il rêve papa coiffure art nouveau blonde une raie bien dessinée au milieu mais elle s'éclipse et pourquoi

tout ce monde a disparu englouti
et de quoi est fait ce monde
de médiocrité de papillonnage
rien qui ne puisse s'éterniser

s'éterniser dans un espace-temps sans
nécessité de définir quoi que ce soit
je vois une espèce de poursuite
chimérique un foutoir cérébral

tandis que ce n'est pas ce que je
pressens cela ressemble à une
grande bouffe une démesure
où les limites ont éclatées pan

comme des panses sur-nourries
et à trois mille dans la piscine
sûr qu'y a plus d'eau qu'importe
le défouloir est infini la construction

de soi les autres l'amitié la loyauté
sont des notions des états vides
l'amour peut-on aimer si de soi
on ne cesse de fuir de caqueter

à vivre dans le mou les bisous
rien de dur rien ne dure quelle
déception ma balance penche
dans la beauté l'approfondissement

j'ai traversé des mirages assoiffé
roulé ma bosse d'énergie dépensée
des pensées à ceux que j'aime
que j'ai aimés plouf évaporés

me suis miré aux ondes de l'étang
ne rien faire observer se taire
toucher la terre brûlante
l'eau glacé et des rêves envolés

tout alentour piaille piaffe les gorges
les mots les signaux la dure réalité
que je ne croyais de ma souffrance
toucher éloigné de si près cyprès

j'ai quitté retrouvé la foi le tourbillon
le déséquilibre vital les jalousies
mes lamelles de vie les baies restent
ouvertes généreuse parcimonie

décision de composition liquéfié
un temps bouffon philosophe tâté
ah mes dix mille orientations
d'elles à hue à dia force et liberté

@dedezhu
MP

très beau magnifique 你好
merci asperge forme de tao

il est temps que je prenne cette année savabardik dans le for intérieur le chinois retourne à sa coquille se refaire de la bave zebra crossing un port de reconnaissance je m'étais dit que le plus bel avantage était l'absence d'implicites au moins dans la trois-dimension

les provisions de bave gluante diminuant la pluviométrie en baisse les feuilles mortes noircies par les pluies acides, l'herbe fraîchement rasée par la tondeuse l'ennemie des jardins mon espèce est en voie de disparition les messages au wwf n'y faisant rien

d'ailleurs la lignée tricotée de surdoués qui a traversé les siècles et dont je suis un maillon je suis le dernier le dernier des gastéropodes le lent qui prend son temps la lenteur bénéfique à la pensée dans le maintenant fulgurant fugitif

hi hi hi ho ho ho ha ha ha non je ne me vois pas rire triste sire tous ces mots balancés qu'ils se balancent mais sans moi le temps passe je faisais du surplace je ne m'étais point trompé je voulais ou entraîné dans un tourbillon joyeux ouvrir un chemin

et je débouche à la force de mes pas tous les sens animés de l'amuseur ambulant colporteur errant sur le néant le vide que je ne comprends pas cette façon si occidentale de la tentative tentation de l'aspiration au groupisme de l'aggloméré

j'ai lu récemment une biographie ancienne portant sur la vie de Jean-Arthur Rimbaud hors de son temps ce jeune garçon happé attiré-étiré par le muscle de la prosodie parnassienne déchiré déchiqueté par l'emprise le rouleau-compresseur de l'uniformité

j'ai juste lu porté emporté par la musicalité rimbaldienne je n'ai rien conclu conclure quoi m'associer à quoi jouer un rôle celui qui me va comme un gant celui qu'on m'assigne celui qui arrange ou celui qui dérange juste un peu décalé d'une masse d'une boule

juste des scories propulsés ma lave mon torrent une rivière impétueuse prompte à vivre dans une logique cylindrée cylindrique spiralée sans début sans fin

depuis deux ans je me rends compte que cela n'a pas changé grand chose à mon chemin personnel la voie qui m'est tracée et/ou que je trace de me savoir thqi ma vie je l'ai faite construite avant dans la japonitude/sinitude et je me sens plutôt dans un maelström

en avril dernier j'avais imaginé quitter zebra crossing je l'ai fait tout en laissant mon œil glisser sur les fils sans rien dire sans intervenir je laisse la porte ouverte encore mais je me tairais davantage à chaque fois que j'ouvre la bouche pour faire cette ferraille de mots je ris ou bien je pleure

je peux parfaitement rire et pleurer hors d'une catégorie je voudrais et je l'ai toujours vécu avant être libre et je me rends bien compte aussi que je n'ai pas été aimé pour ce que je suis c'est un peu le rêve de chacun j'ai été apprécié aimé pour ce que l'autre les autres trouvaient en moi qui étaient en eux

il ou elle était un peu de moi moi était un peu d'il ou d'elle c'était là et cela l'est encore sur zebra-crossing cette entente utile mais utile à quoi je me le demande quand on est fait programmé déterminé va t-on se lancer dans d'immenses verbiages sur la qualité de son soi son système qui nous (me) porte

j'ai traversé des bonheurs et des enfers des passions amoureuses et des milliers de kilomètres au-dessus des nuages je ne suis qu'un grain de poussière tout ce que j'écris est juste ce que j'écris dans le moment des mots en poudre de belles cendres chaudes se retirant de la braise

bonne journée...

oh c'est joli lemniscate the butterfly !

cela ressemble à la catalogne après la mer les montagnes une contrée j'y tends

sembla que el mar després de muntanyes Catalunya
no hi havia res al final el començament d'un principi
que no es veu en els éssers vius que es mouen les
coses avancin més ràpid

jo no sabia que podia anar ràpid aviat com el torrent
de muntanya
trobat la joia del meu cor per un moment abandonada
jo estava en un remolí en els remolins de pensament
poc a poc les emocions rialles i llàgrimes goma d'esborrar

cristalls de neu que bufa de nou quan l'olor del seu cos
va passar el temps de les papallones brisa lleu vent
les seves ales vibren la seva suspensió a la dolça bellesa
d'un pètal
fràgil tan lentament fondre els trossos de gel a la cantonada
d'un foc acollidor

només unes poques línies del seu rostre il·luminat per una dansa
de llum
com les mans que pasten els que cauen i pavelló de fusells
en memòria dels plecs de la terra ô muntanyes de Catalunya
recordeu aquesta calor fugitiu la calidesa alegre que em va inundar
l'estrella

valls travessats rossa campanes ding ding ding pasturatge pastors
recordi meus anys més joves lluny de tot abraçar la naturalesa
parlar amb les estrelles i fer de la nit a la seva núvia
la banya de l'abundància en els somnis reals

je suis déjà sur une autre planète quelques mois sur une autre invité elle a explosé je me retrouve oui c'est cela "re-trouve" re-compose jvais pas sauter par la fenêtre du 9 e étage
parce que j'ai été déçu par une personne

non, non, j'avance vite je trouve dommage que le dialogue même dans des situations critiques ne puisse pas EVOLUER parce que la vie la mienne celle des "miens" aimés, appréciés, dans leur quotidien dans leur "extraordinaire" même s'il elle peut avoir des "défauts" cela m'est complètement égal

cependant il ne m'est pas égal que la confiance et la loyauté l'amitié et la simplicité (du langage) soient réels pas des tirages de ficelles, je le saurais tôt ou tard qu'il y a un malaise, que les choses sont fausses ou faussées (fossé?)

que certaines personnes (ma mère par exemple) ne vivent pas elles traversent le temps parfois c'est très long en âge mais elles ne sont pas elles-mêmes elles s'inventent une vie des personnages des histoires et mêmes pour leurs enfants elles inventent

ma mère a beaucoup inventé sur moi et elle trouve plaisant de dire "sa vérité" de ce que je suis à d'autres devant moi qui bien qu'offusqué devant une telle ignorance de ce qu'est son fils "réellement" s'abstient par respect pour l'âge de toute intervention

j'ai remarqué dans mon existence déjà assez longue que bien des personnes s'inventent des personnages, ont peur d'aller au fond d'elles-mêmes et comme mon frère aîné par exemple ont plaisir (inconscient sans doute) à démolir ce qui ne les arrange pas

et comme ces personnes n'ont pas ce que j'ai elles prennent un malin plaisir à tirer les ficelles sur plus faible ou "trop" gentil, prêt à tout et tenté de se mettre à la place du corps d'un-e autre pour mieux le/la contrôler ainsi ce qu'une personne n'a pas elle peut le trouver en un autre et lui grignoter le cœur petit à petit

il y a aussi un autre cas de figure qui est de se laver les mains de toute responsabilité quoi j'ai dit ça? j'ai été dure dans mes propos? c'est que cette personne n'a pas une maîtrise bien consciente d'elle-même ou que la peur d'aller fouiller dans son fonds fait trop peur

je comprends parfaitement cela personne n'a vraiment envie de perdre son temps à fouiner dans son cœur ses organes sa tête pour dire "oui, en effet, là j'ai pas été bon/bonne", "là j'ai heurté une sensibilité", "là j'ai dépassé les bornes"

personne ne ressemble à personne je le savais déjà avant même de me savoir Z et en me sachant cet état je vois que cela continue ici sur ZC (avec une certaine déception) que parfois dans certaines circonstances de la vie on aime puis on hait

c'est assez direct et sec et cela présente pour moi un réel manque de courage intérieur de refus de la beauté de la compassion un égoïsme et égocentrisme maladifs une incompréhension de soi et des autres alors on est juste là comme des zèbres pour s'amuser??

C'est très triste mais c'est très joliment écrit...

... sinon avant que tu ne disparaisses ... une petite précision... "Hémi" (moitié donc) et "cycle"... cela n'a rien à voir avoir le vélo ... si ?

merci eXistenZ cela me touche ce que tu écris en quelques mots... oui peut-être as tu raison je suis dans le "déçu" de mon fil après une formidable aventure dans le sud-ouest de la France j'ai été désavoué cela a été difficile à vivre

j'ai repris très vite du poil de la bête

Tu seras toujours la bienvenue ici sur le forum et le tchat, c'est le modo comme le membre qui parlent, ils ne sont pas forcément d'accord tout le temps mais là c'est unanime.

Ce forum est vaste dedezhu...

Une illusion en moins ce n'est jamais vraiment une défaite, même si cela pique, je vais quand même pas apprendre cela à un bouddhiste

Bon courage à toi.

oui oui Asperge je vais disparaître de... certains fils... du tiens, non... hémicycle: une assemblée, demi-cercle, un cirque! oui c'est ça le fil de... c'est un cirque avec des clowns, des jongleurs, des animaux râpés, des acrobates, des éléphants... et des marionnettistes !

non, pas le vélo! Tu fais du vélo? Tu aimes? Bon allez on va aller à la pointe du Raz en vélo c'est désert j'aime...

David...

ils ne sont pas forcément d'accord tout le temps mais là c'est unanime.

+1

merci David 50 encore la raison (occidentale et je vis en Occident) qui l'emporte... tout n'est qu'illusion... oui, le forum est vaste et je suis déjà allé sur d'autres planètes c'est bien... tant pour aider certains zèbres dans leurs difficultés que pour m'aider moi-même et découvrir beaucoup de passions nouvelles et enrichissantes... ça fait quand même presque deux ans que je suis ici, je vais, je viens, je me tais, j'ai envie de partir, je reste, je rencontre des zèbres à Toulouse, à Lille, dans des IRL... ou à partir du chat puis après sur Skype ou par mail, non vraiment je suis gâté avec ZC, il y a beaucoup d'amis sincères, beaucoup de constructif, de positif et puis aussi du destructif, je suis plutôt diplomate, je tente ce qui est possible mais je ne peux pas aller au-delà de certaines limites (l'indifférence et l'humiliation vécues récemment) moi qui est vécu longtemps en Asie où les limites n'existent pas... comme en occident.

j'ai fait des bêtises, des conneries, je me suis trompé, j'ai été trompé ce qui plus difficile pour moi, j'ai été manipulé (pas sur ZC spécialement) dans la vie, je suis un parfait naïf mais j'estime que quand on se dit intelligent avec un qi de 145 ou de 160 (moi je tourne autour de 150) il devrait pas y avoir de bisbilles on devrait s'esclaffer face à nos vanités

et se dire qu'on ne peut pas se perdre parce qu'on donne aux mots des significations (qu'ils n'ont pas)

alors qu'il n'y en pas... sauf peut-être dans la poésie qui n'engage que des sensations

les mots ne sont que des outils pas des appropriations. Les mots pour moi ne m'appartiennent pas, ils sont libres de leur sens, leur essences

Bon Mowa je m'appelle David maintenant! tant qu'à faire autant changer de nom ou de pseudo!!!

merci Mowa!

attendez je ne suis pas parti je reste avec vous!

j'aime juste écrire des choses JUSTES sur mon fil

je ne supporte pas l'injustice - l'indifférence c'est tout telles qu'elles m'ont été infligées

j'ai aussi découvert (Mowa le sait)... que l'arrogance (la mienne parfois) ne me menait nulle part

un forum très révélateur de ce que l'on est (enfin je le savais avant) c'est bien c'est porteur je vais de l'avant, merci à tous

dedezhu a écrit:un forum très révélateur de ce que l'on est (enfin je le savais avant) c'est bien c'est porteur je vais de l'avant, merci à tous

penses-tu
en vu de la populatione generale, j'aurai pourtant tendance a penser; que justement, ce forum révèle ce que l'on est pas..soit : des êtrs intelligents

mais bon..mais bon.

Quelques mots d'amitié Dede.
Comme moi on est nombreux ici à t'estimer, à aimer te lire, à admirer ta culture.

Coucou dede...

Je te rejoins sur " l’indifférence " 
Et suis d'accord avec Gasta.


Bonne journée......

En cette nouvelle journée, je t'offre une mousse petit dede

Tournée générale!  

Ben quoi, faut faire remonter les stats!

@ Frankar: en vu de la populatione generale, j'aurai pourtant tendance a penser; que justement, ce forum révèle ce que l'on est pas..soit : des êtrs intelligents mais bon..mais bon.

Ou ce que l'on croit / ce que l'on a toujours cru / ce que l'on (sa parentèle, la société, l'école, le bon et le droit chemin, l'église...) nous a fait croire dans un moule tout préparé, ce forum révélerait ce qu'on n'est pas - ce qu'on croit ne pas être - et il ne s'agit pas (seulement) d'une question d'intelligence - mais plutôt à mon sens de tenter de savoir - à travers des centaines de fils - si son propre système-moteur-de vie de son soi-même est en (bonne ou le contraire) adéquation avec son-sa interlocuteur-trice momentané-e

La vie des sauts des sautes (d'humeur) soubresauts de volcans éteints de laves de fumées et ne pas me reposer sur mes lauriers (c'est là le plus difficile)

whah j'aime bien la bière
ça désaltère

ça fait un bail Gasta content de te voir!!! vraimentissime

la prochaine que je vais en Bretagne je te fais signe
(suis allé en juillet en coup de vent à Rennes-St Brieuc)
truc administratif à faire whah pas drôle

une chope et des bonnes galettes craquantes
comme on les fait dans le Finistère
on se fait ça un de ses quatre

Sans les mots justes.
Juste

oui supercalinou les images justes
si je m'étais appelé Mister Just sur ZC
non n'oserais porter un tel nom
mais ces baisers sont mous

J'aime

le langage : c'est véritablement un sujet intéressant je pensais ce matin en me levant que comme l'éducation nationale n'explique (surtout pas!) ce qu'est une langue les professeurs de français et/ou de langue étrangère n'ont pas été formés à comprendre ce qu'ils disent écrivent programment dans des manuels qui (soi-disant) permettent d'apprendre

que veut dire "apprendre"? c'est comme l'intelligence "il est intelligent ce petit" "tandis que l'autre là il est en retard attardé lent un rendez-vous est nécessaire avec ses parents"...

tout ce langage-là de l'approbation/désapprobation est soumis à une idéologie

parce que la langue que l'on apprend qui nous est apprise à la maison et à l'école est chargée de messages idéologiques jamais expliqués aux enfants

d'ailleurs les adultes ne savent pas comment expliquer à des enfants ce que j'appelle la philosophie de la langue

cela rejoint assez bien ce que j'ai écrit dans mon Journal d'un professeur d'anglais en Chine: quand dès le début du premier semestre d'enseignement je me pose la question suivante: mon rôle n'est pas seulement d'enseigner l'anglais à des Chinois mais de savoir comment l'enseigner...

l'enseignement du français par exemple pour de jeunes Chinois ou des Grecs ou des Navajos n'est-ce pas une tromperie? que d'apprendre des mots, des phrases, une ponctuation, une grammaire, sans donner les clefs de la langue!

je me suis souvent hérissé contre les campagnes (on se croirait sur un champ de bataille!) de la francophonie quand je vivais en Chine (quand on vit en France sans prendre la mesure de la réalité quotidienne dans n'importe quel autre pays) parce que les institutions par exemple comme les Alliances Françaises utilisent (sans le dire) les élèves apprenants comme bouclier idéologique contre l'anglomanie... toujours le même guéguerre France-Royaume Uni...

une langue apprise c'est tout d'abord une idéologie et sous-tendue une morale, une conduite sociale, un bataillon de comportements

la IIIe République, après les épisodes Thiers et Mac Mahon passe aux républicains purs et durs et dès les années 1880 le mouvement des écoles publiques gratuites et obligatoires devient un modèle idéologique solide qui est toujours le même aujourd'hui à peu de choses près

la séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905 marque une étape politique en France à l'époque de Waldeck-Rousseau et des rad-socs

ces événements politiques toujours présentés dans les livres d'histoire de mon enfance - aujourd'hui je ne sais pas, peut-être demander aux parents d'enfants précoces quel est le contenu "idéologique" des livres d'histoire en 2014 - comme des progrès... ainsi progrès sur quelque chose nécessairement (parce que nous vivons dans une mécanique idéologique binaire) rétrograde dépassée

la question de fond étant peut-être : à quoi et à qui sert une langue?

il est intéressant de constater que si la séparation de l’Eglise et de l’Etat est une réalité politique (sur le papier) elle n’est d’aucune utilité dans les écoles et dans la vie quotidienne de tous les citoyens français

pourquoi ? parce que le langage et l’écrit que nous utilisons sur ZC et hors ZC est chargé d’une idéologie religieuse qui existe sur ce territoire (la France) qui a bien souvent changé de configuration et de mains depuis l’an 0 année de la mort de Jésus-Christ

cependant ce qui n’a pas changé fondamentalement en plus de 2000 ans et qui ne peut pas changer c’est justement la réalité (inconsciente) de la présence de ce personnage qui est Jésus et de son massage à travers Dieu

chaque mot chaque contraire de mot chaque phrase construite chaque dialogue et tout l’appareil grammatical et de la versification sont chargés d’une même et unique idéologie celle du christianisme la voie chrétienne de la pensée et de l’action

ce n’est pas de la langue française seulement sur laquelle je m’exprime les langues anglaise allemande chinoise japonaise dans n’importe quelle langue il y a des codes une codification d’identification (qui est qui) de positionnement social et comportemental

cela vient bien de quelque part ! de la religion… du message biblique...

cela fait 20 ans que je m'interroge sur toutes ces questions relatives au langage à la rencontre entre individus au dialogue à l'absence de dialogue à la communication non verbale (par exemple le ishin den shin japonais) aux raisons du fonctionnement ou bien d'un non-fonctionnement entre individus d'un même pays ou de pays et d'aires culturelles différentes

je n'en tire pas de conclusion cependant que c'est le sujet profond de mon livre portant sur l'enseignement de l'anglais en Chine pour des étudiants et enfants chinois à qui on a jamais donné les clefs de la langue chinoise pour comprendre ce qu'on parle (!) ni non plus de la langue anglaise enseignée par mes collègues profs chinois pas plus d'ailleurs en France par exemple les ex-IUFM où les formateurs de formateurs formatent à qui mieux mieux

en prenant conscience de la fonction du langage - si s'agit de faire passer un message chargé idéologiquement ou non - et comprendre suivre ce que l'on parle en sachant qu'il y a sous chaque mot ou ensemble de mots une direction une orientation de la langue émise par X. individu

ajouté ou non au parlé une expressivité du visage (exemples: moue de bouche front plissé paupières yeux clignant) et une gestuelle corporelle exprimant de la même manière que le langage de la bouche une approbation/désapprobation

à quoi sert une langue parlé et écrite... quand finalement on ne sait pas la parler! cette langue française par exemple que l'on débite sur des centaines de fils (je ne parle pas des fautes d'orthographe de la novlangue du verlan de l'argot des mots inventés des jeux de mots... qui sont autant de "systèmes" conscients ou non pour diversifier une langue française somme toute pauvre en images en sensations en mots libres!) est fort intéressante à plusieurs titres... je vais de plus en plus sur des fils et tout en lisant ce qui est écrit - accord désaccord plaisanterie agacement enthousiasme... - je sais que j'ai un fonctionnement de réception en simultanéité à plusieurs dimensions je vois assez parfaitement par l'agencement des mots ce qui relève de l'idéologie pure du langage orienté et ce qui relève - plus rare cependant - de la non-conséquence de la pensée écrite

un peu schématiquement je dirais les Chinois quand ils parlent/écrivent fonctionnent à l'aide d'images non conceptuelles non conceptualisées qui même si ces images ont une signification l'ont dans une situation ou un contexte c'est-à-dire qu'une même image/idéogramme peut avoir différents sens selon la contexture de l'espace-temps

à l'opposé - car c'est vraiment à l'opposé- la langue française chaque mot et ensemble de mots est concept - ça c'est ça - le mot "c'" associé au verbe être est intéressant puisque qu'il désigne la suite adjectif et phrase comme "vérité" momentanée peut-être souvent généralisée - concept c'est-à-dire état arrêté d'un mot sentiment / prise de position / comportement etc.

suite... (pour ceux sur ZC que cela intéresse: surface et profondeur d'une langue)

j'ajoute à ceci : "cela vient bien de quelque part ! de la religion… du message biblique..."

->>>> et/ou du message bouddhiste

à mon sens par des milliers d'observations - lectures expériences personnelles et autres - les régimes politiques sont des écrans (périmètres carcans ou non) et ne sont pas l'idéologie dominante

l'idéologie dominante n'est pas le politique mais le religieux sous-entendu par exemple en Chine ou en France même si l'on ne va pas prier au temple (bouddhiste) ou à l'église (catholique) et qu'on se dit athée ou agnostique il reste l'éducation idéologique par la langue apprise à la maison et à l'école et celle-ci cette éducation est au plus profond de sa surface (!) religieuse

... c'est vraiment intéressant... l'idéogramme chinois serait-il plus ouvert que le mot-la lettre français ... (?)...

... dirais-tu que l'idéogramme est image ... avant tout...

... c'est intéressant pour la religion... on a des jours fériés et tout le monde est dans les magasins..

... je réfléchie en ce moment sur ce qui fait forme, base... pour l'identification... la communication... en psychanalyse il est parfois évoqué une image primordiale (lacan) à laquelle s'identifierait le sujet... cependant c'est l'image visuelle mais aussi le lien qui existe entre cette image, le sujet et un tiers qui donnerait le sens...

... une connexion à ce système permettrait un meilleur encrage dans le lien à l'autre... en terme de relation... langage.... si tant est que l'humain est lié à l'autre...

je pense que dans les relations/discussions il y a des images/références/projections qui ne se questionnent pas toujours et pas tout de suite.... les échanges et la parole permettent de les mettre à jour... et les images sont multiples... les liens sont multiples....

... parfois le lien doit être fait de façon très claire.

énonciation... cela permet d'associer à d'autres éléments ou dans faire jour certains...

mais si on ne comprend pas ce qu’on parle si l’on a pas conscience des clefs de la langue – clefs : utilisation, idéologie, signification momentanée / conceptualisée, message orientée vers un résultat… résultat : par contrainte/apprendre, effort, progrès, objectif – ce que tu écris si on n’a pas conscience de la signification de ce l’on parle/écrit par exemple : la permission de/à… « les échanges et la parole permettent de… / cela permet d'associer à… »

je suis en train de me demander pourquoi j’ai eu le « besoin » de m’interroger sur la profondeur d’une langue ne pas me contenter de sa surface en tout cas en tant qu’enseignant ainsi en faisant de la pratique…

je l’explique je crois assez bien dans mon livre sur la Chine : parce que je me suis rendu compte qu’en sachant ce qu’on parle et donc avoir pleine conscience de l’idéologie sous-tendue à l’intérieur d’une langue on peut aller dix fois plus vite dans l’efficience / l’efficacité de la pratique de l’anglais du business par exemple (je suis véritablement dans la pratique pas dans la théorie de la langue) et dans l’anglais courant dire ce qu’il y a à dire quand il y a lieu de le dire

et comprendre le rôle des fioritures des implicites (lourds) des sons (mots) orientés

on apprend une langue étrangère par exemple en fonction de sa langue maternelle : ça veut dire quoi ? je suis français j’apprends le chinois en réalité, ça n’est pas exact une langue ne s’apprend pas elle se vit ne dit-on pas qu’une langue est le miroir de la/sa culture – idéologie (le terme « idéologie » n’est évidemment pas employé par les éducations nationales mais comme on le voit le terme de « nation » oui, sous-entendu un « bloc » idéologique/de pensée/directions définies à l’avance d’une idéologie)

« culture » cela ne veut pas dire grand-chose j’en viens toujours au socle aux bases mêmes du parlé et de l’écriture le fond qui est moral sur un segment linéaire dans l’aire culturelle chrétienne en tout cas

voyons l’image de la langue chinoise justement où la conceptualisation (je parle plutôt/je me représente plutôt du/le chinois traditionnel que le chinois maoïsant qui n’a été que circonstanciel même s’il reste beaucoup de notions marxistes/occidentales en chinois) n’existe pas ou peu ou que la conceptualisation de la langue/idéogramme n’a pas « le temps de se conceptualiser » parce qu’en Chine tout change ou tout a la possibilité de changer tout le temps

je comprends le sens que tu donnes à l’énonciation :
« je pense que dans les relations/discussions il y a des images/références/projections qui ne se questionnent pas toujours et pas tout de suite.... les échanges et la parole permettent de les mettre à jour… »

Je conçois que les échanges et la parole soient des vecteurs-déclencheurs par associations d’images par exemple vers d’autres vecteurs… mais quels échanges, quelle parole ? des mots choisis, orientés, un patient sur le divan va dire des mots, des mots qu’il comprend, ne comprend pas… des implicites qu’il sait, ne sait pas… un psychothérapeute va dire des mots qu’il oriente tout cela est bien complexe et je ne sais pas si nous parlons du langage sur le même plan de réflexion

de plus je peux expliquer ce qu’est un idéogramme…
« l'idéogramme chinois serait-il plus ouvert que le mot, la lettre française… dirais-tu que l'idéogramme est image ... avant tout... »

Tout d’abord pour cette explication j’enlève ce qui est comparatif (plus… avant tout)
Parce que parler d’un idéogramme se fait en vivant la Chine pas en la théorisant je ne sais pas théoriser la Chine

Aire culturelle bouddhiste et aire culturelle chrétienne : la comparaison (concept et mot occidental) n’a pas le même sens dans la « mouvementation » du langage chinois imagé/idéogrammé

Je ne dirais même que la comparaison de deux choses en Chine deux choses chinoises n’a pas de signification en Chine

Par exemple deux situations à un jour d’intervalle qui ont l’air (tel que Dede les verrait en occidental) d’être similaires n’ont rien de similaire… Et même pour des Chinois on ne peut pas comparer dans la langue chinoise parce que les idéogrammes sont juxtaposés les uns aux autres et interchangeables : les changer de place dans une phrase écrite au tableau en changer le sens selon le contexte ou selon la personne chinoise à qui s’on s’adresse ainsi toujours du contextuel du situationnel

Si on voit des comparaisons en Chine faites par les Chinois de choses chinoises cela vient d’un chinois « artificiel » d’un Occident marxiste notamment sinisé mais qui est antinomique à l’aire culturelle/comportementale dans laquelle tous les Chinois nés en Chine évoluent

Bref, qu’est-ce qu’un idéogramme ?

C’est une forme informe « arrêtée » / serrée dans un cadre carré invisible tout en étant visible
Je pense que les Chinois ne se posent pas la question de savoir ce qu’est un idéogramme (il n’y a que Dede qui se la pose !) – dommage c’est une question que je ne leur ai pas posée à mes étudiants… mais sais-tu que si je n’étais pas revenu en août 2012 en France, jamais je ne me serais su zèbre ! – cependant j’appelle cela image parce qu’il y a d’abord une clé (214 clés en chinois) donc un dessin schématisé de la catégorie à laquelle appartient cet idéogramme

Par exemple clés de : l’eau, la main, la montagne, la rivière, l’homme, la femme, le cœur… ensuite on ajoute à cette clé des traits tracés de haut en bas laissant de la place au (x) vide(s) car sans vide pas d’idéogramme !

Je me demande s’il y a du vide (agissant, vide utile à la compréhension/utilisation d’un idéogramme dans un espace-temps donné) dans un mot français : par exemple : « une voiture »

Pour respirer le mot désigné on laisse un espace et on désigne l’objet (voiture)
En chinois il n’y a pas de désignation stricte de quelque chose ni par un article ni par un verbe « être » … « ça c’est une voiture » on dira en chinois éventuellement : « ce voiture »

(à suivre) (pour ceux sur ZC que cela intéresse: surface et profondeur d'une langue)