Surmontant ma mélancolie, je vous offre à lire quelques doses de prose poétique (Tome II ça s'voit)

Ah Ah Ah, c'est moi, encore.

Voisine, tu, berk, hurles...

@Patate, Uccen :  je suis désolé pour vous que vous ne puissiez admettre l'intérêt de la démarche de newHope, dont le partage de la prose est appréciable. Elle fait ça sur son fil, sans emmerder personne, au fin fond d'un forum de Nazes. Un petit commentaire élogieux, une fois de temps en temps pour dire que c'est nul, ou même que c'est bien, pourquoi pas. Tout le monde a besoin de ça une fois de temps en temps. Mais dénaturer la valeur d'un travail artistique, quand c'est assez rare pour être encouragé, je trouve ça pitoyable. Dégagez donc de ce fil. Ou au moins offrez nous ici, quelque chose qui vaille la peine qu'on soit fier d'être votre ami (virtuel, certes mais tout de même).

NewHope a écrit:On ne jalouse que celui qui est digne d'être jalousé : cela vaut tous les compliments du monde!  

Au risque de te décevoir, je ne lis strictement aucune jalousie dans les non dits de leurs propos. Je pense que leur mépris est sincère. Et être méprisé, pour un artiste, c'est assez souvent une porte ouverte vers l'extase créative. Qui, la salope, se nourrit assez bien de nos frustrations.  J'aimerais j'avoue que ce mépris dont ces deux là nous honore, soit partagé ici de façon positive, en s'insérant harmonieusement entre les œuvres, autant de crottes qui elles aussi mériteraient dés lors, notre admiration. Pas comme ces crachins de bas étage qu'on fait en rentrant bourré après la tourné des bars, de peur d'aller se coucher, et qu'on devrait réserver aux hommes politiques, et aux surdoués.

Merci Stauk pour ce commentaire qui se passe de mon commentaire tellement il n'ajouterait rien de plus!!!



The show must go on

Traque

Je vous connais. On s'insurgera. Parano! Parano!
Jusqu'au jour où. Ce fameux jour. Quand la vérité surgit. [...]

La course

Ils sont debout.
On assiste à une multitude de grands mouvements de bras rotatifs, verticaux et horizontaux. Etirement des cervicales comme s'ils embrassaient le ciel. [...]

Précipitation

Quelqu'un ouvrit la porte de ma salle de bains que je ne croyais pas nécessaire de fermer à clé puisque je vivais seule et que mon père, détenteur de l'autre trousseau, ne serait jamais venu sans prévenir. Je reconnus cette voix. Celle d'un lointain ami avec qui, autrefois, j'avais travaillé.[...]

Alors j'arrête ici.

Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs[...]

Je ne désire parler qu'à des personnes qui misent sur l'atout coeur.

Salut à tous!

Aller, salut !

Uccen en ban a écrit:
AH AH !
Aller, salut !

@ MEPU : je l'ai trouvé en résumé
je me le poste !! huhuhu

Ce que tu as, personne n’en veut.
Ce que tu n’as pas dans ton âme,
D’autres pensent que tu le possèdes
Comme ce don du bonheur et de la joie
Ou la faculté d’oublier les instants tristes
Ce que tu as, personne n’en veut.

Ce que tu es, personne n’en veut.
Ce bouquet d’attentions et de tendresse
Que tu offres sans y penser à  d’autres
Ce sourire attentif ouvert  à la tristesse
La faculté de voler d’idée en idée
Ce que tu es, personne n’en veut.

Ce que tu dis, personne ne l’écoute.
Ces paroles de poèmes et de théorèmes
Ces mots du cœur et de l’esprit
Ces discours remplis de passion et de feu
Ces gestes qui montrent l’amour d’autrui
Ce que tu dis, personne ne l’écoute.

Tu tires les fils de la conclusion
Sur le pont des désillusions

Lune blafarde et crispée
Devant le soleil des jours...

RIDEAU

Des phrases composées de mots.
Des mots composés de lettres.
Les lettres composées en sigles.
En, vous ne dites plus De.
Pourquoi...
Car j'ai dis Les à la place de Des...

Les mots sont des enveloppes qui entourent le sens des phrases qui elles mêmes, enveloppent nos maux.

Je dédie ce poème à Queneau.

Newhope, écris pour ceux qui te lisent, restent pour ceux à qui tu manquerais.
Laissons encore les mouches rêver un peu tu veux ?

Même ici, je suis trop différente. Je le constate.

Laissez-moi vos coordonnées en mp. Je vous recontacterai pour mon prochain livre.

Bises!
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