Surmontant ma mélancolie, je vous offre à lire quelques doses de prose poétique (Tome II ça s'voit)

Attendre, repliée, l’éternuement.
Il a tiré le signal d’alarme
Il n’a pas sauté sur la voie.
Je demeure prostrée
Dans la présomption de sa venue.

Ah oui, les vacances, la drague sur les bords de mer, tout ça, on ne vient plus par ici, trop sérieux, il faut se cravater la cervelle avec de grands mots, des expressions choisies. On tousse parfois à cause des allergies...

Qui vous dit que je ne suis pas malade, que moi non plus, je ne voudrais pas rester ici, que j'aimerais prendre un bateau, me lancer dans une traversée périlleuse du lac Balaton (je ne vous expliquerai pas le pourquoi du comment du lac Balaton, mais...)?

Et pourtant je pense à vous, mon front est brûlant, je vais m'efferalganiser un petit verre mousseux, blanchâtre et répugnant, une suite de jus de citron, et une tonne de couettes.

Fidèle au poste!
A mon commandement, rompez!
Vous avez le droit de dormir à présent, puisque je vous en donne l'ordre!  

O salut Capitaine, quelles sont les nouvelles des méduses?
(Blop! Message secret à leur adresse!)

Parce-que vous m'êtes bien sympathique...

Polémos Pater Panton était un drôle d'homme.
Valeureux chevalier d'origine suédoise pour les uns, corsaire ou pirate d'origine hollandaise pour les autres, il se voyait avant toute chose comme le père d'une famille qu'il nommait affectueusement 'mon équipage'.

Ses exploits étaient connus au travers du monde et l'on avait de plus en plus de mal à différencier le mythe de la vérité. De ports en ports ses aventures se prolongeaient et on lui prêtait des exploits aussi irréels qu’improbables.
A la fois tueur du dragon Alluigne ou découvreur du trésor des quatre soleils, pourfendeur des gorgones des îles salines à sa prétendue joute maritime contre Barbe Bleue, ses aventures avaient fait le tour du monde.

Debout sur la proue de son navire il aimait se comparer aux chevaliers errants d'antan.
Lui ne galopait pas dans les plaines poussiéreuses, il voguait, pourfendait les mers et les océans comme il aimait le répéter à quiconque prenait le temps de l'écouter. Son cheval était son navire et son équipage sa famille.

Mi-corsaire, Mi-pirate, il avait une lettre de marque signée par Frédéric-Henri d'Orange Nassau, suzerain des Pays 'dits' Bas et il arborait haut et fort, par-delà tout les vents son blason aux quatre lions, symbole d'une patrie que Polémos avait depuis longtemps abandonné.

En cela, Polémos Pater Panton était un drôle d'homme et plus encore, comme vous allez l'entendre, ce n'est pas son équipage qui va sur ce point me contredire.

*******************
Pour les méduses, une chanson afin qu'elles soient médusées... Mes dûs sont infimes par rapport à ce qu'elles me doivent pour payer leurs infamies.
Et si la mer est si salée, c'est parceque de nombreuses larmes ont coulées en son sein depuis l'origine du monde.
Symbole symbolisant l'amnésie sans laquelle toute vie est impossible à prolonger.
Comme on dit, un Styx et ça repart...
La verge d'Ouranos ne fut-elle pas faucillée pour donner vie à Aphrodite ???

NewHope a écrit:A propos, il y a quelqu'un? J'ai l'impression de soliloquer par ici...

Je lis toujours  

Un jour j'aimerai aller flâner au bord du lac Balaton, y puiser l'histoire de mes ancêtres.

Keelah, cette image est superbe, le moindre detail est juste incroyable.

Merci à tous!!!

@Mis En Pate Ugly Brat
Polemos, je doute qu'il ait été d'origine suédoise, car tous les noms scandinaves anciens ne sont que des prénoms accompagnés par "fils de". Lars Petersen. Lars fils de Peter. Et quand Lars avait un fils nommé Sören. Celui-ci se nommait Sören Larssen.

Pour avoir une lettre de recommandation de Msieur d'Orange, il fallait aussi être du bon coin. Hollandais, c'est plus que sûr...4L

On n'a pas été présentés. J'aurais rêvé d'être capitaine. Mais pas pirate. Qu'ai-je à faire des trésors des autres? Le ciel et la mer me suffisent.

Quant aux méduses, ne sont-elles pas belles quand on ne les touche pas? Tant de légèreté!
Il faudra songer à leur écrire une chanson.

@Keelah se'lai

S'envoler même sans ballon. Prendre des leçons de vol plané et autres en utilisant le rayon vert de Jules Verne. Ca doit marcher. Personne n'a essayé ce coup-là. Surtout par des petits chemins glauques..

@Parisette
Aïe. L'histoire des ancêtres hongrois, c'est toute une série de défaites. Il faut le savoir... Budapest, Eger, Szekesfehervar... Il faudrait qu'on se fasse un petit tour de la Hongrie.

Mais pour commencer des recherches généalogiques, l'ambassade de Hongrie en France peut rendre bien des services (payants) ou bien l'ambassade de France en Hongrie (et là c'est gratuit..). J'ai été confrontée aux deux. Evidemment j'ai pris le service gratuit. Et puis quoi encore! Si c'est pour obtenir le même renseignement. Merci!!!

Je l'ai dis...

Polémos Pater Panton était un drôle d'homme

... Scandinave ou crétois, je n'en sais fichtrement rien. Comme dit plus haut, c'est juste un drôle d'homme !!!
D'ailleurs son navire se nomme "le Gré", cela vous dit d'entendre son histoire ?

NewHope a écrit:
On n'a pas été présentés. J'aurais rêvé d'être capitaine. Mais pas pirate. Qu'ai-je à faire des trésors des autres? Le ciel et la mer me suffisent.

Le ciel et la mer sont des trésors qui ne me suffisent pas.
Je trouve le ciel comme la mer trop limité. D'ailleurs je préfère l'Océan. Plus rugueux et violent que la mer, même du Nord.
Moi j'aurai été pirate, ou corsaire, juste pour le plaisir de jouer ma vie sur un abordage.

Quant aux méduses, ne sont-elles pas belles quand on ne les touche pas? Tant de légèreté!
Il faudra songer à leur écrire une chanson.

On pourrait comparer les méduses à des harpes de mer.
Transparentes et translucides (quel mot !!!).
Mais c'est aussi oublier qu'elles sont fourbes.
Du long de leur fils (ou cils)  oblongs elles brûlent celui qui a le malheur de trop s'approcher d'elles.
Une véritable essence féminine.

Quand on danse avec elles, on est heureux.
Jusqu'à la brûlure qui est à la fois prenante et profonde.
Notre chaire se nécrose alors et le sel de la mer, cette si belle mer... nous fait hurler de nouveau.
Et on finit en radeau...

En fait c'est plus sur leurs morsures qu'il faudrait écrire une chanson, à ces harpes de l'Océan.

Je ferai un chant sur les jolies méduses si l'inspiration veut bien me visiter. Et là, on n'est sûr de rien. Les morts sures viennent des hommes et non des méduses.

Et si vous désirez agrémenter mon fil des dernières péripéties de PPM, un public tout acquis semble tout prêt à vous lire. Je pousserai de temps en temps un cri de mouette pour faire couleur locale. Il y en a quelques exemplaires à Paris.

Quant au lever de Radeau,http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=22541, j'invite mes lecteurs à se noyer dans la culture, dans un beau bouillon.

***
Dernier mot:
Je ne souhaite pas devenir pirate, il y a pi (3,14... etc.) et rate. Je ne garderai que le mâle en pi que sont les mathématiciens et l'anagramme parité qui rendra nostalgique ceux qui croyaient à l'égalité.

Moi aussi je polé-molosse, je po-les-mec,  je polémique.
Mais je préfère nettement jouer ma vie aux dés (iodée pour ceux qui suivent le bon air de l'océan)

[img][/img]

Moralité: par arrêté préfectoral, il est interdit aux mouettes de jouer au football.

Parisette a écrit:Un jour j'aimerai aller flâner au bord du lac Balaton, y puiser l'histoire de mes ancêtres.

..

offset a écrit:Je crois aussi que ce sont les petites choses, les gestes quotidiens des gens ordinaires qui nous préservent du mal,
de simples actes de bonté et d’amour .

Merci Offset pour ces paroles douces, sauf que même les gestes quotidiens sont mis sur la sellette des questions, même les actes de bonté sont confrontés à des questionnements où dominent les pourquoi et les quelles raisons pour?

Le décalage que je ressens est permanent depuis tant d'années que je me demandais parfois si l'indifférence n'est pas meilleure parce qu'à ce moment-là nul ne vous demande des comptes.

Erreur encore! Si vous montrez du détachement, on vous taxera de froideur et d'incompréhension.

Vivre avec certaines personnes vous apprend à être coupable de vivre, tout simplement.

Cesare Pavese a écrit 'le métier de vivre' avant de se suicider.
Vivre, le seul métier ou le salaire est la peur constante de vivre... et par extension, de mourir.

= climatisation   

Je n'ai pas lu "le dur métier de vivre" sans doute pas le moment, plus tard, quand et si cela ira mieux. Mais une de mes poésies morbides préférées est bien celle-là de lui, juste avant sa mort:

La mort viendra et elle aura tes yeux -
cette mort qui est notre compagne
du matin jusqu’au soir, sans sommeil,
sourde, comme un vieux remords
ou un vice absurde. Tes yeux
seront une vaine parole,
un cri réprimé, un silence.
Ainsi les vois-tu le matin
quand sur toi seule tu te penches
au miroir. O chère espérance,
ce jour-là nous saurons nous aussi
que tu es la vie et que tu es le néant.

La mort a pour tous un regard.
La mort viendra et elle aura tes yeux.
Ce sera comme cesser un vice,
comme voir resurgir
au miroir un visage défunt,
comme écouter des lèvres closes.
Nous descendrons dans le gouffre, muets.

Cesare Pavese, Poésies variées

Merci Krapopithèque pour cette touchante image des pompiers.

Certains y trouveraient encore à y redire parce qu'on critique toujours ceux qui veulent faire avancer les choses...

Nota : âmes sensibles s’abtenir.

Je  prie par avance mes chers lecteurs dont l’âme est sensible à la religion de se détourner de cette honteuse nouvelle qui risque de les choquer en cette période qui apparaît comme un événement sacré pour certains – je respecte les croyances de tous bords, y compris du mien, qui est le bord de la falaise -  et croyez que ce n’est pas d’eux que je me moque actuellement.


Croix

- Eli, Eli, lama sabachtani !
- Ecoute mon vieux, tu te payes trente-trois berges, t’es majeur quand même !
- Au secours Papa ! Je vais avoir de sérieux problèmes. Ça fait mal ![...]

@Mis en pate
Je ne connaissais pas ce sketch, mais c'est tout à fait dans l'esprit. Super!

Lettre à moi-même

- Halte-là, je t’arrête.
- Pardon, je n’ai rien fait.
- Eh bien pour cette raison que tu n’as rien fait, je t’arrête. Il fallait agir, te révolter, virevolter, prendre les armes. Mais toi, devant ce monde fou, tu as baissé les bras.
- Vous aussi, vous n’avez rien fait.
- Tu me vouvoies à présent ?
- On ne se connaît plus.

   jamais trop tard pour agir à son niveau,c'est déjà un bon début

NewHope a écrit:

Le décalage que je ressens est permanent depuis tant d'années que je me demandais parfois si l'indifférence n'est pas meilleure parce qu'à ce moment-là nul ne vous demande des comptes.

Erreur encore! Si vous montrez du détachement, on vous taxera de froideur et d'incompréhension.

Vivre avec certaines personnes vous apprend à être coupable de vivre, tout simplement.

Pourquoi eux ne seraient pas plus décalés, parce qu'ils sont plus conformes ?
C'est quoi la conformité ?

Je me demande aussi si le détachement n'est pas une bonne solution pour éviter de souffrir.

De temps en temps j'essaye de faire des petites "BA" c'est encore bien modeste mais ça apporte
un peu de soutien à celui qui en a besoin.
On a oublié la valeur du soutien et du reconfort moral, de nos jours c'est chacun pour soi.
Même son voisin on lui dit à peine bonjour.

Darkness a écrit:   jamais trop tard pour agir à son niveau,c'est déjà un bon début

Chère Darkness
Heureuse d'avoir de tes nouvelles.
Agit à son niveau, mais la plupart du temps on vous rétorque de vous mêler de vos affaires. Terrible!

@offset
"De temps en temps j'essaye de faire des petites "BA" c'est encore bien modeste mais ça apporte un peu de soutien à celui qui en a besoin."

Je pense que modeste ou non chacune contribution apporte une pierre à l'ensemble. Ce sont plutôt les petites bonnes actions qui dynamisent la grande action humanitaire par exemple.

Avez-vous remarqué que parfois on attend qu'une personne tire les marrons du feu et débute une initiative pour soi-même s'y mettre?

C'est donc à nous d'être les initiateurs, partie la plus complexe, car on est le plus souvent aux buttes aux sarcasmes.

Quand une personnalité décide de bouger pour une grande cause, alors plus personne ne dit le moindre quolibet. Il y a donc parfois le snobisme de la bonne action.

Quand on n'est rien dans cette société, alors les autres vous le font bien sentir, et vouloir agir au delà de ce qui semble permis aux yeux des autres, entraîne des réactions d'envie, de jalousie et de rabaissement.

Une vie qui en vaudrait mille

Une vie qui en vaudrait mille
Par un temps démultiplié,
La seconde se joue à pile
Ou face sous le barillet
De cent poèmes qui brasillent
Dans la palpitation amère,
Myriades de mots où grésillent
Mille intuitions éphémères !

Cela me fait écho à cela...

Mis En Pate Ugly Brat a écrit:Cela me fait écho à cela...

Merci Pat de nous le faire découvrir.

« Ils »

« Les acteurs sont paranoïaques et les danseurs sont des schizophrènes » dixit une de mes connaissances, un acteur qui dansait ou bien l’inverse si bien que je ne sais plus au nom de qui il parlait, des paranoïaques ou des schizophrènes, ignorant par là si les deux pathologiques étaient compatibl[...]es dans un coexistence pacifique.

Nostalgie usée

Les villes, les îles, les tranquilles
Bourgades défilent
Le long des voies.[...]

Ennio Morricone Le Clan des Siciliens

Place du danger qui danse de jour, de nuit
D’une seconde à l’autre,[...]

Les interrogatoires du quotidien

A qui parlais-tu au téléphone ?

J’aurais dû répondre : au Pape.
Mais j’ai dit : pourquoi poses-tu cette question ? Cela ne te regarde pas.
[...]

Petit désespoir ordinaire

L’oxygène, de loin en loin,
Sur le parcours du conte
En longues brasses coulées,
Manque.
[...]

tu ne peux pas décrire mieux le fond de ma pensée à cette heure!
énorme travail sur soi pour.......même en brasses coulées,apnées borderlines,cahin cahan on affronte droit devant soi ,une goutte aujourd'hui ,une autre après!
donc la vie ou ce qui y ressemble tragiquement comique nous appellle dans un lointain écho ,tels le cri du loup solitaire appelant la meute dans le chant des vents en espérant que cette appel trouve écho!
dsl pas causante mais je te lis toujours depuis mon retour ,juste rien trouvé à dire et j'essaye de ne pas retourner dans ma roue de hamster donc souvent dehors(imagine pour une agoraphobe!)
au plaisir de continuer à te lire !
  

Merci Darkness pour tes encouragements.

Je constate la proximité si troublante, si proche entre Aspie et zèbres, si bien que l'on se trouve à se confronter à la même problématique des codes des relations humaines qui nous échappent.

Pas étonnant si mes mots te parlent parce que je vis de façon très proche ce que tu ressens, nos barrières avec les autres sont communes, cela devient de plus en plus évident. Bises!

Plein de petites bulles d'oxygène à vous deux
Au plaisir de vous lire NewHope; Mumu contente de te revoir parmi nous

Merci Keelah pour l'O2!
Double la dose, la demande est forte en ce moment.   

Pachelbel, il y a une ville...

Une de ces villes. Comme toutes les autres villes. Mais surtout comme les grandes. Avec des boulevards en tous sens qui la fait ressembler à une capitale. Une ville qui fait mine de jouer à la ville importante des mappemondes, dotée d’un gros point rouge. Gonflée de population. Par millions. Par millions.[...]

Film

Comment ferez-vous alors que la voie est libre ? Comment trouverez-vous un prétexte pour m’inviter ? Vous serez dans l’interrogation. Vous feriez mieux d’y songer à présent. Je prépare déjà un billet d’avion pour aller quelque part.[...]

Merci beaucoup Pate (bonne évidemment, on les reconnaît vite les bonnes pâtes...) pour cette illustration de ma nouvelle. J'ai pensé aussi au Berlin de Wim Wenders dans les ailes du désir, à certains endroits de Paris, -je ne citerai pas la bibliothèque à laquelle j'ai fait allusion, tout le monde viendrait vérifier - à Varsovie ...

Ca me rappelle aussi ces villes du côté de Frévent, Sanguain en Weppes, Douai, aux rues dont les commerces sinistrés ferment un à un.

Je suis bien d'accord que nous sommes aussi des villes sinistrées quand on se débat dans une vie qui tourne à l'envers.

C'est marrant car moi j'ai écris sur Longwy (ou je n'ai jamais mis les pieds). J'envoie le texte par mp car il n'est pas achevé. Pan pan pan.
Douai, une ville en guerre contre elle même...

Douai, la ville par excellence où nous devrions tous dire quelque chose.
Voire sur-dire quelque chose.

Mais je n'aime pas me mêler de politique, j'ai quelques idées des ravages dans une œuvre poétique et littéraire. Disons que quand je m'implique, c'est dans la vraie vie, non pas ici.

Mieux vaut en parler autour d'une tasse de n'importe quoi, de préférence chaude.
Un jour que le hasard fera rencontrer ceux qui désirent en parler de façon agréable et non pas par cris de bête, ce qui est souvent le cas.

D'un autre côté, les idées de café de la gare ne sont pas ma tasse de thé non plus.
Elles exigent un approfondissement auquel ces structures forumiques ne sont pas destinées. J'apprécie de prendre le temps de creuser au lieu d'en rester en permanence à la surface des choses.

Douai ou l'existence d'un Tramway qui a été détruit dans les années 70 pour être mieux reconstruits dans les années 10.
On remonte le temps là-bas.

Un jour sur le quais, j'ai vu le fantôme de Vidocq courir !!!
Un collège Rabelais dans une cité qui n'a rien de Thélème, mais cela est facile à critiquer.
Cerise sur le gâteau, la ville qui a donné naissance à Didier Super...

Re n'Art Devin
"Ce n'est pas un hasard, c'est notre rendez-vous, pas une coïncidence" Etienne Daho

Cecilia, Cecilia, cela me dit quelque chose..

Spoiler:

Hum, hum...

S'en va l'air de rien en sifflotant.

 

@mis en pate ugly brat
"C'est marrant car moi j'ai écris sur Longwy (ou je n'ai jamais mis les pieds)."
Kafka de même a écrit sur l'Amérique.

Il y a de beaux restes architecturaux à Douai.

@Renarde20

Bienvenue sur mon fil! Ce cliché me fait penser à la photo d'un de mes photographes préférés, André Kertesz, la fourchette



@Ours

Serre-anneau, ou savoir se faire épouser par un futur président  qu'on a poussé à devenir président et dont on ne voulait pas qu'il devienne président, comprenne qui pourra...

Je constate, Ours, que tu n'en perds pas l'appétit, c'est essentiel dans ce cas-là.

Sacré coup de mâchoire quand même!

Je suis une ombre exilée parmi les autres
Un nombre sans pareil
Un numéro de cirque
Un nu héros en simple appareil[...]

Gilles d'Antoine Watteau (vue partielle)

Cet instant qu'on ne peut morceler,
Moins qu'un battement de cœur,
Représente, sur ma planète,
un morceau d'éternité vraie.[...]

PREM'S!

O beau jour
Fées, riez !,

[...]

Le chant des sirènes et des méduses

La scie musicale chante
Aux six reines des sirènes
[...]