Nouvelle venue.

Bonsoir belle Saphodane,
possiblement de textes bouddhistes ou zen.
Et merci pour la référence. Possiblement qui sera très appréciée par l'enfant qui étouffe passablement auprès de l'adulte régimentée que j'endosse beaucoup trop souvent comme rôle!

PS Pour Saphodane.
Concernant le miel sur la lame de rasoir. J'en fus d'abord témoin. Ce n'est QU'APRÊS que je l'ai lu dans un livre! Et comme ce fut le cas de beaucoup de mes expériences de vie. Je lis moins maintenant. Je me fis plus à mon expérience directe.

Oh! Merci Kasha! Et t'as remis ta photo!

On m'a dit comment
je devais penser, comment je devais vivre.
J'ai tout fait pour m'y conformer.
Et cela pour éviter
l'exclusion et
la douleur de la ségrégation.
Et tout ça pour
m'apercevoir
maintenant que cette
douleur ne m'appar-
tenait pas!!! Qu'elle
appartenait à l'autre qui
me donnait le mode d'emploi
pour l'éviter.
...
Méchant exercice de haute voltige pour finir par un écartèlement cosmique!!! Et finir par ressembler à un damier! No wonder que je porte des chemises barrées, des pantalons carreautés et que je ressemble à un drapeau ambulant!!! Noir et blanc, bien entendu!

Ce que tu as écrit me parle au plus profond !
Je n'ai pas l'énergie de m'en "expliquer" today, peut-être un autre jour ... ou pas ;-)

Quant à ton image de drapeau ambulant, elle me fait tendrement sourire car m'est passé par la tête que ce sera pratique si un jour on se rencontre, j'aurais pas besoin de chercher ;-) ;-)
Zib jolie fleur :-)

Big big biz à toi, chère Kasha!

Merci merci, je te réciproque ;-)
Zib fleureke :-)

Bonsoir. J'ai écrit ce texte ce jour.
11h50
Aux zèbres.
Aujourd'hui j'ai le goût de parler. Je vais vous raconter une histoire que j'aime bien relater parfois. Quand j'étais adolescente et que j'ai rentré à l'école secondaire, mon père m'a dit que si je touchais à une cigarette, il allait me tuer. Et je savais qu'il le ferait. Donc, réflexion intérieure et de me demander: est-ce que ça vaut la peine de mettre ma vie dans la balance pour une cigarette. Non. J'ai la chance d'aller à l'école parce que pour lui c'est une fierté de nous ''payer une éducation''. De mon côté, j'adore l'école. C'est mon milieu de survie. J'échappe à l'enfer de la maison. Même si j'y suis seule. Je peux apprendre. Puis plusieurs années plus tard, j'avais 40 ans. J'étais avec une amie à son bureau. Elle fumait comme une cheminée. Et tout à coup, les yeux en vrille comme Mogli sur sa branche devant le serpent, je lui dit: donne-moi une cigarette! Et dans mon fors intérieur me disant: je vais m'étrangler sur ce machin, c'est pas possible autrement! Je tire alors ma première taf (rien de plus jouissif que la première fois!) et...j'aspire ce truc jusqu'au fin fond des talons, la fumée me sortait quasiment par les orteils!!! Tabarnaque (juron québécois) que c'est bon ce truc!!! Et sans étranglement aucun!
...Je viens de croiser une ancienne collègue (et amie...?) en me rendant à mon rv pour dîner avec une amie ce midi. Elle est passée devant moi et ne m'a pas reconnue. C'est bon signe. Je ne l'imagine pas ce profond changement que je sens s'opérer en moi. C'est vraiment vrai. C'est réel.
...Mon initiatrice de la clope était homosexuelle. C'est avec elle que j'ai pu parler lorsque le vent a tourné pour moi et que je me suis retrouvée chamboulée de fond en comble! D'orientation hétérosexuelle, je me suis retrouvée catapultée dans une orientation homosexuelle. Elle éclatait de rire lorsqu'elle me voyait me torturer le cerveau en lui racontant mon ''tourment'' pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait. Dédramatisation assurée et totale! Un jour, elle m'invite à son chalet où elle allait passer un weekend avec sa blonde. Le soir tard, alors que cette dernière était allée se coucher, moi en plein dans mes expériences et mes plongées abyssales, je lui demande si elle accepterait de m'embrasser. Juste pour l'expérience. Vrai de vrai. Sans aucun sousentendu ou ambiguité. J'avais compté sans les fameuses convenances. Je la voyais comme une fille ''open'' qui avait roulé sa bosse donc jouissant d'une liberté que je considérais être à des années-lmières de ma portée car me considérant la coincée et la psycho-rigide de service. Je vous laisse imaginer la réponse! J'en ai eu pour mon grade! Je me suis retrouvée devant un masque de gentille, lisse, blanc, m'expédiant dans le rôle de vermisseau de service! Bien. C'est la vie! Une autre relation ''down the drain''! Et j'ai continué ma route. Et j'ai pu faire mes expériences ailleurs. Et shus ben contente d'être là maintenant, avec tous mes morceaux, relativement saine de corps et d'esprit, avec seulement quelques tocs qui sont pas si pires que ça tout compte fait.
12h15 Et là je viens de faire une expérience intéressante. En attendant cette amie, dehors sur la terrasse à me g'ler les balles (ovaires en l'occurence) Je vois approcher une femme du bout de la place. C'était clair qu'elle m'avait spottée. Bien mise. Avec un regard pouvant la culpabilité à Hannibal! Et me disant: vouss pouvez m'aideeeer... Mon estomac se tordavec une série de noeuds pour mon intestin. Shus là avec mes beax chapeau et manteau de cuir. Que faire!!! Le coup de la plus grosse part du gâteau qui débarque. Et c'esta lors que je lui réponds du tac au tac: chère madame, je suis pauvre, bien plus pauvre que vous; je vis dans une misère humaine pas possible. Merci d'oser m'aborder. Elle me regarde avec deux points d'interrogation à la place des yeux et tourne les talons.
12h25Bien. Dans le bistro. Jolie petite table. Je me réjouis de voir cette amie. Table longue à côté. Une douzaine de personnes. Tout c'beau monde se regardant dans l'blanc des yeux. On s'croirait à un enterrement. une ambiance d'ennui mortelà déprimer tous les planctons d'un océan entier!!! Trangresser les règles établies de la communauté est une équipée décoiffante et bordel que je suis contente dem'y être risquée, aventurée, et au risque d'y laisser des plumes. Le résultats étant en bout d'ligne, concluant. JE VIS.
La lutte des contraires et la folie humaine à mettre l'emphase et la surenchère sur une polarité au détriment de l'autre.
Pourquoi écrire tous ces mots, me dis-je?
Pourquoi écrire ces bouts d'histoire de ma vie?
Si anodin. Si ordinaire.
J'affronte la peur du
rejet, de l'exclusion, de la menace de destruction.
Que j'ai toujours rencontrée dans les actions
les plus anodines de ma vie. Où je fus jugée et condamnée comme ayant commis les plus pires méfaits.
Et pour moi, ça se
résumait simplement
à un peu de tabac. Un peu de sexe. Je n'ai pas compris.
Et vous tous qui me lisez, qu'en pensez-vous?
Est-ce normal de menacer un être humain qui goûte au tabac d'une cigarette ou qui expérimente la sexualité?
J'aime sentir la rage gronder dans mon ventre.
Je ne vais pas relire mon texte comme je le fais habituellement. Car je risquerais de l'effacer.
J'écoute Moustaki en vous écrivant. Il m'apaise le coeur.

pour ce je comprend dans ce "petit" texte, tu es entrain de passer une étape ou tu commence à accepter d'être toi tout simplement, notre avis sur la cigarette ou le sexe, te passe au-dessus de la tête, tu veux simplement savoir si livrer des morceaux de ta vie, vas nous faire ruer dans les brancards nous les zèbres ( comme y m'énerve ce nom ) , alors que tu sais que nous allons accepter ce que tu racontes. En fait, tu passe un test pour savoir si tu peux jeter à la face du monde tes ressentis, sans t’en prendre plein la gueule ! Je demande si je suis clair là, maintenant, tout de suite, en ce moment !!! Je dois vraiment être cinglé !!!

Kutya! T'as pâs l'droit! C'est moé qui vois à travers les murs! T'es ma crapule cosmique!

A la vache je suis un univers maintenant ! Je savais que j'étais de la poussière d'étoiles, mais à ce point là ! Je suis tout chose !

Beautiful! Enjoy!

Depuis une semaine environ, je fais une expérience très particulière: voir la souffrance de l'autre transforme ma souffrance et la sienne.
C'est vraiment très particulier comme sensation. Et difficile à mettre en mots. Quelque chose en moi s'apaise. Quelque chose de très profond et de très humain.
...
Ca fait se dissoudre l'impuissance et toute la panoplie des compensations qui s'en suit. Vraiment, une sensation très bizarre. Tout mon thorax et mon coeur se libèrent d'une énorme lourdeur étouffante.

Tu veux que le chien cosmique te dise, et bien pour moi pareil, avec des hauts et des bas bien sûr, je pense que l'on ressent les choses d'une manière telle que l'on sent que notre souffrance est partagée, simplement sans aucun jugement de valeur. On accepte plus facilement la critique de l'autre si elle doit venir, la compréhension est derrière !

C'est toute la culpabilité qui tombe, en fait.
Culpabilité d'être témoin de la violence dans mon milieu familial.
D'accepter d'être bouclier et de recevoir les coups n'empêchait pas la souffrance d'être témoin et toute l'impuissance qui glace le sang dans les veines.

Kutya. C'est vraiment TRES particulier ce que je ressens présentement. Ca fait chaud partout dans mon corps et c'est comme si la capacité respiratoire avait doublé! Et dans ma tête les souvenirs se transforment à la vitesse grand V! Très difficile à mettre en mots.

Ce n'est PAS de l'oubli. Ce n'est pas non plus me rappeler avec toute la douleur que ça implique à chaque fois. C'est autre chose. Je n'arrive pas à mettre en mots pour le moment. Je le vis avec une intensité fulgurante et un soulagement incommensurable. C'est comme si j'avais été une grande brûlée et que toutes mes brûlures disparaissaient. C'est hallucinant!!!

Alors laisse les images faire , tu te retrouve ! J'ai le cœur qui me fait un sourire !

J'ai soif! Bordel que j'ai soif!!!

Kutya! HALLUCINANT!!!!!

Je ne suis pas coupable d'être,
je suis,
c'est tout
et c'est déjà beaucoup.

INNOMMABLE!
Me sens vraiment très bizarre mais SUPER BIEN! Ma tête se vide, se vide, se vide! Hallucinant!

T'as lu Ours ce qui m'arrive! Et tu y es pour beaucoup! MERCI!!!

Belles paroles frère ours, le loup approche chez toi , il va hurler et te secouer pour que tu vive !

Des frissons puissants me traversent! Merci Kutya d'être là. Pour moi. Pour Ours. Merci mon fidèle compagnon de route et depuis bien plus longtemps qu'on ne se doute , my friend!

Méfie toi de l'ours que tu crois endormi !
Il se pourrait bien que tu déranges sa sieste !

Bonne soirée, je suis claqué, je vais

L'hiver est fini, le printemps est là !

À Ours.
Les ours me font pas peur! Shus canadienne, oublie pas! Tu navigues avec une sauvage! Et tu sais quoi? Une fois en camping sauvage, un ours est venu flairer près de ma tente la nuit, a trouvé la viande trop coriace et s'en est retourné!

N'est-ce pas, Kutya? QUELLE AVENTURE!!!

il sait qu'il va devoir bouger dans sa tête, il se prépare à donner le coup de patte, le travail de l'Orchidée et du loup !

Yessss!!! On le garde avec nous c't'Ours! Un super de co-équipier!

Ouf! Quelle traversée! Morphée me tens les bras...

Bonne nuit Ochidée électrique, que la nuit te soit apaisante et pleine de richesse intérieures .

Je n'ai pas de mots.
Je n'ai pas de culture.
Je suis une apatride.
Plus je descends,
plus je me dénude.
Je suis arrivée avec rien,
et je vais repartir dans
le même état.

Voici un texte qui, à chaque fois que je le lis, m'apaise:
...
''Prendre les démons pour des démons, voilà le danger.
Les savoir vains, voilà le chemin.
Les comprendre ''tels qu'ils sont'', voilà la délivrance.
Les connaître comme père et mère, voilà leur fin.
Les admettre comme créations de l'esprit
Et ils se changent en ornements.
Ces usages ainsi connus, le Tout est libéré.'' Milarépa

Orchidée a écrit:Je n'ai pas de mots.
Je n'ai pas de culture.
Je suis une apatride.
Plus je descends,
plus je me dénude.
Je suis arrivée avec rien,
et je vais repartir dans
le même état.

Ligne 1 : pas d'accord
Ligne 2 : pas d'accord
Ligne 3 : tu as la patrie de ton coeur
Lignes 4 et 5 : Dieu m'préserve
Ligne 6 : tu es arrivée avec tes douleurs et tes colères
Lignes 7 et 8 : tu repartiras rassurée et aimée, mais pas trop vite quand même !

Je plussoie Ours.

Ours! Tu viens d'foutre en l'air mon plus beau poème! Grrrr! Gare à toi! J'ai aussi des crocs! Ou des cornes
Saphodane: ''plussoie'' c'est quoi?
And big biz to both of you!!!
de l'enfant sage que je suis !

Un néologisme qui formule littéralement la coutume internautique qui consiste à appuyer les propos d'autrui par un concis "+1".

Saphodane a écrit:Un néologisme qui formule littéralement la coutume internautique qui consiste à appuyer les propos d'autrui par un concis "+1".

J'aime "la coutume internautique", c'est mignon comme expression

À Saphodane: ça mfout l'mal de mer ta définition! Québécoise inculte à la dérive! Ca rajoute sur la flotte d'Ours! Pauv' tit poisson que je suis, me vâ m'noyer!
À Ours: j'ai pâs pu m'empêcher d'laisser mon grain d'sel chez Phil.Smith.
PS Pour Ours: t'as-tu aimé mon p'tit poème québécois? Défense de corriger celui-là! y'â un copyright dessus!

OK, OK
Je ne corrige pas ce délice, y a rien à corriger d'ailleurs.
Bonne soirée, je te laisse, faut que je me remette à mon boulot.

Dis donc, le coup de la descente de lit, ...
Mais j'ai bien aimé l'image.

J'ai le sourire, fichue québecoise !

Prend soin de toi !

Coudon! c'est quoi ce on and off sur le site! Tu m'donne l'vertige !
À+!

Donc ... pantalon à carreaux et dessus rose décoloré ... faciiiiiiiiiiile :-)

J'me suis bien bidonnée avec c'te bande ce soir!
J'espère que tu vas bien chère Kasha et une toute douce nuit à toi!

Un p'tit coup d'insomnie en passant. Je m'aperçois que dormir m'agace royalement. Pendant que je vous écris, une boule de fourrure ronronnante est venue se lover contre moi. Dès que j'ai du vague à l'âme, il débarque. Il ne se lasse jamais. Je me dis que le jour où il partira celui-là, j'aurai le coeur brisé.
On est le 17 avril. Je suis arrivée ici le 17 mars. Un peu dans un état second. Et je me sens encore comme dans une bulle.
Messages: 360. C'est pas tout ce que j'ai écrit j'espère!!! Ca inclut vos réponses...?...j'espère... Parce qu'en cas contraire. je trouverais choquant.
Page 13. Dans le tarot, c'est l'arcane sans nom. Un arcane qui fait souvent peur. C'est l'arcane du dépouillement. Je trouve plutôt rassurant.
Je suis en vacances pour une semaine. J'ai 36 000 trucs à faire. Je n'en ferai pas le 1/4 du 1/3 de la moitié. Tellement frustrant parfois ce foisonnement que je ne peux pas matérialiser.
Et en même temps, je ne pourrais pas m'en passer.
Je lis au hasard certains de vos textes. Il y en a tellement qui parle de cette différence que cela me met en colère. Tiens, me dis-je, pourquoi?
J'aime bien la distance de ce mode de communication que je trouve ici. Osons l'avouer, je suis un tantinet réactionnelle donc ça m'évite de sauter à la gorge du premier venu! Il y a un temps de refroidissement pendant que je tape à deux doigts sur ces touches carrées. Et moi qui m'étais jurée de ne jamais quitter mon cahier et ma plume! J'm'r'connais pas!
Tiens! Une deuxième boule de fourrure! Celle-là, elle ne miaule pas, elle gazouille et chantonne. Elle se fait maintenant les griffes sur mon édredon. Tu ne m'oublies pas?, me dit-elle.
Bien. Revenons à cette différence. C'est un rêve qui m'a réveillée. Un visage comme le smily blanc qui devient les yeux écarquillés et la bouche ouverte. Un visage comme ce tableau ''Le cri'' de Munch (non, ça ne vient pas de ma mince culture! Je viens d'aller voir dans wikipédia pour le nom du peintre). Ma première réaction fut de me dire: je me suis approchée trop près et trop rapidement. J'ai beaucoup de rêves où je vis de nuit comme de jour. Donc, j'ai eu crainte d'avoir blessé quelqu'un que j'aurais adressé trop abruptement. Mais il y a cette petite voix discrète mais tenace, qui me faisait signe des coulisses (et qui n'augure jamais rien de tranquille soit dit en passant!), me pointant du doigt. Qui? Moi? À part que mes deux chats, personne d'autre dans ma chambre. Pas de voleur sous le lit non plus! J'ai vérifié! Je connais bien cette ambiance: c'est soit un face-à-face avec une bestiole faisant minimum cinq fois mon poids et avec des crocs, soit le plafond qui va me tomber sur la tête!
Je suis à mon ordinaireté ce que Moustaki est à sa solitude.
Au nom de quoi devrais-je me dépouiller de cette ordinaireté? J'ai déjà assez de problèmes à cacher les quelques bizarretés de cette personnalité que si on m'enlève mon ordinaireté, je ne sais pas où je vais gicler!!!
Et puis cette façon de voir le monde, qu'on appelle ici ''zèbre'', je ne vois pas pourquoi j'en ferais tout un plat?! J'ai 2 ou 3 trucs un peu déphasés par rapport à la moyenne mais moyennant quelques petits ajustements et adaptations, ça devrait rentrer dans l'ordre...

Je me suis réveillée avec cette phrase dans la tête ce matin:
La pensée c'est comme les bigoudis.

Et un clin d'oeil hier soir alors que j'étais d'une humeur massacrante (ça m'arrive parfois ):
Live
Love
Laugh

mdr les pensées c'est comme les bigoudis ! Trop drôle !
Thx.

Salut Siamois quatre-vingt-treize! Bien contente de t'avoir fait rire!
And you are more than welcome!