Fata's présentation II le retour.

Alors demain en priorité: Ian Pooley et Stu goldberg (violon/moog)

noté

mes préférés après je les rajoute sur ma playlist Spotify, comme ca j'en profite dans le RER

Je ne suis pas certain que ce soit adapté au rer ! Avec ce tintamarre !
Mais bon, c'est toi qui vois. Globalement ces musiques demandent un effort et n'offrent leurs sucs qu'après plusieurs écoutes...

mais si, carrément. La musique me transporte dans un autre monde, je vis mieux le temps perdu dans les transports, et le son à fond, promis que le bruit disparait.

Un album sublime du guitariste principalement acoustique Steve Tibetts qui a officié chez ECM.
Un disque rare que je réserverais à ceux qui veulent "rêver utile"...

Bon voyage !


Du même, quelques pas en-dehors du monde, en compagnie...D'un vol de fleurs ?

le son à fond, promis que le bruit disparait.

Attention, ça tue les oreilles !

Écoutez ce prodige vocal les amis ! Oh cette fille !!!


Un morceau d'une légereté de bulle, spumescent, et d'une virtuosité inouïe qui commence lentement pour devenir une pluie d'arpèges:

Spoiler:

J'étais hospitalisé dans un très sale état (psy) quand un toubib me fit découvrir ce titre:


Plus tard il y eu ça:


Et un vieil album miraculeux qui contient une émotion irrésistible (le seul morceau qui ne m'emballe pas est le premier) Ambiance à vouloir faire la route et mysticisme sous-jacent, un grand disque porté par une voix unique. Passer à la minute 3:04


Et une chanson dont les paroles peuvent être comprises comme coquines:



Un bien bel album récent clairement influencé par Jon Anderson, mais étrangement réussi, plein de voyage, de profondeur. Entrerez-vous dans ce temple là ?

Le nouveau très poétique et pollénisé album de Jean Pascal Boffo. Vous ne connaissez pas ? L'occasion fait le larron !

Ce matin, je suis venue me régaler de ces musiques que je connaissais pas toutes, , Fata. Je n'ai, certes, pas ton parcours de vie ,mais le mien n'est pas mal non plus, peu de gens le savent, et n'en ont jamais connaissance en entier, car je n'aime pas parler de moi, ou alors seulement dans la mesure où mon pragmatisme ronchon me laisse entrevoir qu'il peut servir à d'autres pour entretenir, ou rallumer, la petite lumière intérieure qui permet de vivre pleinement, et non pas de survivre. Bref, la musique m'a sauvée des pires moments de désespoir, elle est ma compagne fidèle, joyeuse, elle m'écoute tout autant que je l'écoute, elle veille toujours sur ma petite flamme de vie, ,et ne demande qu'à s'enrichir encore et toujours, ce qu'elle vient de faire ce matin sur ton fil.

Merci pour les artistes Ael !

Deux morceaux totalement différents, mais que je ne peux m'empêcher de relier. Sans doute pour leur beauté et leur ambition. Dans mon esprit, ils s'adressent aux mêmes "zones sensori-émotionnelles".

Tout à fait, ces deux morceaux, que je n'ai pas fini d'écouter, mais dont j'écoute des extraits de l'un après l'autre, me semblent faire partie de la même famille. Je suis pour le moment dans le ressenti, je m'en imprègne, et, une fois la digestion terminée, je chercherai à quelles zones sensori-émotionnelles elles peuvent s'adresser, et par quels mécanismes, parce que c'est passionnant de comprendre, mais je crains que ma digestion soit un peu lente, tant j'appréhende, plus ou moins consciemment, que l'explication, la rationalisation efface la magie...

Après toutes ces découvertes, un groupe complexe, proche de l'école de canterbury, formé d'instrumentistes talentueux et exigeants.

Quelle est sublime de féminité cette chanson des Mummers ! Mais aussi steve Tibetts et alex de Grasi déroulent sous nos yeux de si vastes paysages. N'est-ce pas ? n'est-ce pas ?
Nous voudrions que jamais notre sensibilité ne dorme, que toujours l'amour nous garde un cœur agile et pour ainsi dire phosphorescent !
Ces artistes nous font entrevoir tout un monde infini qui nous attend dans notre intimité subjective, là où bouillonne un vivre que la brutalité quotidienne nous arrache. Nous voudrions contempler, nous voudrions emprunter le chemin des tapis volants, nous sentons à leur écoute que nous n'avons qu'une demie vie, que notre sensibilité est amputée de tant de stases que nous éprouvons une immense nostalgie, la nostalgie non d'un monde meilleur, mais d'un soi accompli, d'un être meilleur. Tout en veille, tout en résonnances.
J'ai mis ces perles pour que nous voyagions ensemble, pour que nous partagions l'élan de nos cœurs.
Avons-nous été moins seuls ?

Fata, merci pour tous ses sons, des chouettes decouvertes pour moi.
Et ne penses pas que sans commentaire sur ton fil, personne ne t'ecoute, parce que ce topic ne necessite pas de connexion
A bientot

Plus profonde peut être la joie si elle est agrémentée d'une petite touche de mélancolie. Pas loin de la grand-mer cela danse en vue de nouveaux horizons...


Nous savons au fond de nos cœurs que nous sommes sur le départ. Nous partons sans savoir où le havre. Il s'agit seulement de comprendre que nous ne saurions installer à jamais nos tentes entre deux mondes, et de lever le camp.


Et voici un instant de sensation d'enfance. C'est ultra léger comme souvent avec l'école de Canterbury, et plein de science. C'est un déplacement rapide entre des émotions variabiles, si changeantes, comme nous passons dans notre vraie vie d'un monde intérieur à l'autre,
sans nous en apercevoir, d'un ressenti à l'autre, de surprises en surprises.


Tiens ? Une chanson !   


Oh que oui vous allez adorer cette merveille, bien sûr ! Nos pauvres âme vagabondes n'y résisteront pas ! Notre amour n'y résistera pas !
Il y a toujours un amour inoublié au zénith d'un cœur humain !
Magnifique !!! Magnifique !!!


Une bricole aérienne, peu connue, mais au titre et aux airs évocateurs et lestes:

Une 'tite bonus track ? (Voire deux ?)



Les machines nous ont rendu paresseux. On ne crafte plus de sons et des sons SOUPLES et ophidiens, corporels, humains. On n'a plus que de gros tambours mécaniques et des filles qui vendent leurs culs. Révolte ! Révolte contre l'arnaque ! Contre les booms booms putassiers et les pouets pouets en tube qu'on nous bourre en boite !
Na !

Et pis tiens, prenez ça conasses des majors ! Pitresses ! clownesses ! Tas de gadgets en toc ! Qu'on leur crêve les tympans !

Continuons la programmation (les passants peuvent laisser des commentaires, ça motive !)

Un morceau que j'apprécie beaucoup, avec ce qu'il faut de poésie, et puis je suis sensible ici aux vocaux.





Il faut parfois un air de musique pour que le poète s'éveille en nous. Baudelaire disait: "Parfois la musique me prend comme une mer." Même si on a des préférences (qui souvent ne sont d'ailleurs que des habitudes) c'est souvent par où on ne s'y attendait pas qu'une mélopée va venir
tirer de son sommeil l'artiste qu'on a laissé s'assoupir au fond de nous. Je n'ai jamais bien compris comment on peut s'enfermer dans un seul genre musical en ignorant le reste. C'est faire comme si en regardant une carte on choisissait de n'en voir qu'une parcelle, alors qu'avec un peu de hauteur, c'est tout un monde qui s'ouvrirait à nos yeux.

On n'écoutera pas ces morceaux à tout moment je pense.


Musique cinématique. On se voit comme un personnage de jeu de rôle.


Sortir du RER !  Enjamber des collines !




On s'ennuie vite nous autres les zèbres avec des musiques trop basiques, en tout cas j'ai besoin d'un peu de complexité de temps à autre, de dédales un peu plus savants pour qu'il y ait des effets de surprise.
Quoi qu'il en soit, des choses différentes arrivent, des choses qui sont en tête de ma playlist depuis des années. Bien différentes de ce qui a été présenté ici. J'espère votre attention !
A tout'.

A partir d'ici commence le best of the best. Les albums et morceaux qui encadrent une existence entière. Qui me sont consanguins. Qui ont eu un impact énorme sur mon existence.



L'album ci-dessous m'a sauvé la vie !






Ce morceau s'intitule ALONE. Jouez à ce jeu: ne lâchez pas une seconde la guitare des yeux, vous saurez ce que voler veut dire !

Comment transformer un RER en UFO...

Je dois à Steve une recherche spirituelle qui a finalement aboutit en Dieu. Il a été mon ballon d'oxygène pendant mes années noires. Sa musique est intemporelle, inimitable et son jeu de guitare efface tous les prétendants au trône passés, présents et futurs. Sans doute ce que le "rock" (en est-ce ?) a connu de meilleur. L'élévation des mélodies, ce coté hymnique, et la division rythmique des phrasé est unique au sens propre.
Ce fut, c'est et ce sera toujours nouveau. Bienvenue dans l'intimité de ma mélomanie !

Je continue l'exposé de mon panthéon...


Un conte électrique, magnifique et complexe !


Un album solo de Todd Rundgren, si coloré pour un synesthète, une fresque éblouissante !


Et aussi


Un délire psychédélique de très haute tenue !


On entend ici le cœur qui bat et le sang qui pulse dès le début. Suivi par le silence qui s'installe de la contemplation.


Le verbe Aimer:

Ancré dans le sol, sous le poids des jours, cœur languide, esprit troublé et par dessus tout cette guitare endiablée que j'écoute depuis mon enfance sans jamais m'en lasser !










Enfin vous voyez quoi...

Ça parait impossible quand on ressent les choses si fort de devoir les éprouver seul. On voudrait briser l'enceinte des subjectivités afin de déverser ce cri modulé de toutes les manières qui brûle en nous. Rompre la solitude, ouvrir avec d'autres le même livre. Se pencher ensemble sur les mêmes abimes de ressentis et d'impression. Regarder les mêmes visions.
Je ne comprenais pas le monde étant plus jeune, ne pouvant comprendre que ce n'est que ça la vie. J'étais estomaqué par une sensibilité outrancière, je voulais des frêres de cris, des frêres de révolte: des êtres comme moi autour de moi, et naturellement, je n'en ai pas trouvé.
Je voulais briser ce cercle de silence qui m'entourait, qui me cantonnait à moi-même pour entrer en communion avec l'univers. Tout voir, tout savoir, tout épouser. La ribambelle des nécéssités m'empesait d'un joug insupportable. Où était la vie ? Quand est-ce que ça allait commencer ?
Comment vivre si plein de couleurs dans un si sombre tunnel ?
Les musiciens, les poètes me transmettaient de leur flamme, grâce à eux je revivais un peu, je pouvais lapper, assoiffé, quelques gouttes d'harmonie. J'étais dans un tombeau, je ne pouvais ni voler, ni dire ce que je portais ! Les gens ne voyaient pas, ils détournaient leurs dos quand je voulais partager ce feu qui m'embrasait le cœur. Et j'étais comme un orphelin placé chez des tyrans, et j'étais malmené et blackboulé par la dureté de la vie. le caractère impitoyable de la nécessité me semblait un esclavage, je souffrais comme un forçat.


L'indifférence, la froideur, tout cela que je percevais alentour desséchait toute espérance en moi. Comme le dit la chanson ci-dessus:
"Pointing their plastic fingers at me".
Mon cœur était exangue.
Voilà pourquoi je reprenais haleine avec un peu de musique, un peu de poésie. Là où tout était encore possible. Je respirais quelques bouffées grâce à la musique, l'haleine d'un monde meilleur, le baiser d'une promesse lointaine.

Merci


                                                                                     "

Tout le plaisir est pour moi Odime.   

J'écoutais cela en rêvant de drogues:


C'était extrêmement malsain, mais le sort a fait que je n'ai pas trouvé de drogues trop jeune (merci qui ?). Simplement je gobais des médicaments (des ludes = méthaqualone = mandrax)


Ce fut une période terriblement dangereuse...

Plus tard:

Puis avec steve Hillage : https://www.zebrascrossing.net/t4839p200-fata-s-presentation-ii-le-retour#599096 Revint l'espoir. Il y avait peut-être plus dans la vie que cette fatalité, cette nécessité refermée sur elle-même, ce serpent se mangeant la queue. J'entrevoyais la possibilité d'une issue.

Des orfèvres pour l' Alliance d'un mariage en à venir ?

C'est mon cœur d'abord qui doit être orfévri. (Maintenant on dit orfévré mais c'est moins beau).

Visite nocturne.
Si tu n'aimes pas, je retire, dis-moi :

Un gros faible pour ces petits gars.
J'adore "I feel you" tout à la fin.
Titre phare de Head On le film de Fatih Akin (dont je découvre qu'il est né le même jour que moi, à 9 ans près, enfin bon... que vas tu faire de cette info, hein, tu veux bien me le dire ?!).

Typiquement cold wave...A une époque j'écoutais un peu Simple Minds, Cocteau Twins.

Groovy et lolesque !  


Les zèbres broutent... 

"I want you to get together."

Fata Morgana a écrit:Typiquement cold wave...A une époque j'écoutais un peu Simple Minds, Cocteau Twins.

Cold wave... bon...
Fabuliotte toujours aussi ignare    
Simple Minds passait aussi, un peu, par mes oreilles    

Yep la voix qui rape...  

Magique !!!   

Robert Fludd, Philosophia sacra.


                     "

Fata Morgana a écrit:"I want you to get together."

Quelle joie de retrouve ce titre !
Qui me maintient en tension.
J'ai toujours adoré, mais j'étais incapable de mettre un nom dessus.

MERCI BEAUCOUP.

La semaine prochaine :

Déjà... j'aime beaucoup Susan Christie, Myron et Pacifika.
Trèèèèèèèès sympa. Vraiment. Les trois.
La suite... dès que je peux.

Une fois encore merci pour ta grande générosité.

Zappa ça fait partie des choses compliquées ! Mais avec de la patience...

Pour le morceau de St Germain, c'est tout l'album qui est fabuleux. Et d'ailleurs ses autres albums aussi !   

L'école de canterbury... Par des japonais...

Étendre ses ailes !  

Fata Morgana a écrit:Zappa ça fait partie des choses compliquées ! Mais avec de la patience...

Pour le morceau de St Germain, c'est tout l'album qui est fabuleux. Et d'ailleurs ses autres albums aussi !   

C'est quoi, compliqué ?

Spoiler:

 

Fata Morgana a écrit: 

Rhooooooooooo, meuhhhh non !
Attention, il m'arrive d'être encore plus dithymachin... dit-elle...  

Euh en fait, je dis ça... mais je ne suis pas bien sûre de ce qui te fait rougir... que je te prenne en défaut de "gourmandise" ?
Question : la gourmandise (culturelle) est-elle toujours un défaut ? Surtout quand elle vise au partage ?

Et puis c'est quoi compliqué ? (quelqu'un m'a déjà dessiné un mouton...   )
Ma question est une vraie question...

Parfait après cette mauvaise nuit...

mais je ne suis pas bien sûre de ce qui te fait rougir

D'être mis à jour.

Je suis un scanneur fou, sauf en ce moment, j'ai la crêve, je tousse la nuit, je me lève et ne peux pas me recoucher.

Fata Morgana a écrit:D'être mis à jour.

Je suis un scanneur fou, sauf en ce moment, j'ai la crêve, je tousse la nuit, je me lève et ne peux pas me recoucher.

Je désolée de t'avoir percé à jour...

Spoiler:

Côté positif de la chose : tu partages et ça... c'est tout de même chouette.
Partager ses infos, sa culture, comme ça. C'est formidable.

I like these artists and I purchase their CDs...

   (ça c'est pour la mauvaise nuit)

Alors un petit remède de bonne femme (en préventif).
1/3 citron frais
1/3 miel à la propolis
1/3 gingembre frais.
1 cuil. à café de la mixture à jeun, chaque matin.
Tout l'hiver ou presque...

J'ai des pilules au propolis.

Mais ça ne m'enlève pas trop les cernes sous les yeux...Dans les phases de mauvaises nuit je suis quasiment muet. Je guette le retour des mots...J'aimerais être plus créatif et communicant, désolé.

A chaque fois que je lis ta signature, je me dis que le chemin qu'il me reste à parcourir est encore long...
Je n'en suis pas à la paix intérieure...

La "paix intérieure" ? C'est une mixture instable, faite de savoir mais aussi de genoux fléchis, de renoncements et de fidélité. Et même ainsi, parce que l'humanité, elle s'évapore pour un rien.

C'est peut-être du au fait que je suis sur ce fofo depuis un bon moment, mais je n'éprouve pas (plus) le besoin de faire le zèbre. Quand je suis terne et sans allant, je ne déploie pas d'efforts particuliers pour sembler épatant, spirituel ou percutant.
Quand je lis les fils, je perçois fort bien les petits jeux de séductions et les sous-entendus qui sont derrière les mots m'apparaissent clairement. Je pense que le forum, même en ce qui concerne ceux qui ne le reconnaitraient pas, est adapté plutôt à ceux qui se cherchent. Et aussi à ceux qui pensent avoir des choses à (se) prouver. On y est beaucoup en représentation.
Je n'ai plus semble t-il ces incertitudes. Les choses vont à leur vitesse de croisière, je n'ai plus rien à (me) prouver, j'espère simplement avoir de temps en temps un trait d'esprit qui puisse contribuer à débloquer une situation d'impasse. Relancer quelques réflexions, apporter de l'eau au moulin, ou un peu de baume. La clairvoyance n'oblige pas à se mêler de tout !  

Spoiler:

Merci pour ce message que je trouve intelligent et que je perçois comme apaisé.

Fata Morgana a écrit:Je pense que le forum, même en ce qui concerne ceux qui ne le reconnaitraient pas, est adapté plutôt à ceux qui se cherchent.

Je pense faire partie de ceux-là.
Et chaque échange, chaque "collision" est une opportunité pour avancer (mais les avancées, mêmes les plus spectaculaire ne protègent pas des rechutes).   

Il y a un stade semble t-il où les "anciens" finissent par partir, c'est comme un mouvement naturel. Comme s'ils avaient tout dit et ne goûtaient plus aux joutes qui ont lieu. Mais rester au-delà de ce seuil, ça fait quoi ? Nous verrons bien...

Le contraste entre ces deux vidéos est flagrant. Nous sommes "poly-thymiques" en tout cas je le suis. Mais ce matin je me reflête mieux dans la deuxième vidéo. Quelle est la part de la lassitude dans la sagesse ? Quelle est la part de laisser-faire en elle ?
Plus on prend de l'âge et plus on s'aperçoit que notre emprise sur les choses est minime. La vie va. Nous lui emboitons le pas du mieux possible, dans ces lieux solitaires, sur cette ligne de crête.

Spoiler:

Nous aussi, nous aussi!

Maître zèbre, votre clairvoyance nous apaise...
Tel Cerbère, restez sur le seuil et protégez nous des enfers...
Amen... ta techno au pays où les sourds sont rois!   

Je sens que j'ai pas fini de le traîner ce "maître zèbre"... 

je le voulais 'tain ! A ça je le voulais ! J'ai tout supporté... Mais maintenant...J'ai l'air malin...