La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
La masse turbation intellectuelle rend elle sourd, doué ? Réponse cette semaine oui mais deux mai... so saxy, so le saxy, c'est sa vie pour être bien dans ses so sure
C'est toujours de la (bonne) vanne, que naissa le paradis je me suis quand même fait 50 potes chevelus, motards, baba cool, musiciens, hard rockers, ect, le même jour en mettant cette chanson, comme quoi quand elle se met à nue, la nunuche, ça permet de raisonner à plusieurs... le le doué est déroutant et surprenant. Je me revois y'a 30 ans mettre la pièce dans le juke box, j'avais hésité entre cela et Acdc et curieusement pour une fois j'ai voulu faire ma "nana" un dimanche avant de finir mon chocolat chaud, ça fait les filles le dimanche après midi on m'avait dit knaki le paradis ça rimait pas.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Racines Carrées
]I forgot how you talk, I forgot how to talk
Can this place help me
Your memory's unlocked but mine is locked
Can someone help me
Your hands in my pocket they warm me like summer sun
And I remember being unlucky from my first day till now
You never talked to me only when we drove outside this town
And I'm so fed up with being held don't try to hold me now
I suppose that I told, I suppose that you heard
I try to find what I don't need
I never liked being taught, I never even thought
We'll get so close to it
Your hands in my pocket they warm me like summer sun
And I remember being unlucky from my first day till now
You never talked to me only when we drove outside this town
And I'm so fed up with being held don't try to hold me now
Puissance cat
Dernière édition par I am so sure le Mar 2 Mai 2017 - 21:45, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
L’amour chez les AHPI
Publié le 16 février 2017par Line
C’est un aspect de la vie qui, malheureusement trop souvent, pose problème aux AHPI.
Trouver l’autre…
Trouver l’amour, c’est trouver l’autre. Cet (ou ces) autre(s) avec qui on sera bien, simplement bien. En la présence de qui nous pouvons être nous-même, entièrement, totalement, sans aucun fard.
Quelle merveille n’est-ce pas ? Quel paradis pour nous qui, pour parfois simplement survivre au milieu des autres, nous amputons d’une partie de nous-même, ou qui portons des masques.
… seul(e) au milieu des autres
Mais comment trouver cet-te autre quand toute notre existence, au quotidien, nous nous sentons comme un-e extraterrestre, seul(e) individu de son espèce sur cette planète ?
Parfois, certain-e-s préfèrent simplement renoncer aux relations amoureuses telles qu’ils/elles les conçoivent.
Pour se conformer aux normes sociales (la pression en ce sens est très forte) certain-e-s se contentent de relations qui ne les nourrissent pas. Ou bien renoncent totalement.
Neurotypique ou HPI ?
Pour celles et ceux qui n’ont pas renoncé (et évidemment, je ne saurai que vous encourager à ne pas renoncer. Pas pour la conformité sociale, mais pour le bonheur que cela représente) se pose parfois la question de la nature du/de la/des partenaire-s : Neurotypique(s) ou HPI(s) ?
Il y a toutes les réponses à cette question, et je vais tenter de vous exposer succinctement les arguments des un-e-s et des autres.
HPI/HPI
Il y a ceux et celles qui pensent qu’il vaut mieux pour un-e HPI de trouver un-e partenaire (ou plus) HPI également.
Ceci se comprend aisément.
Etre HPI c’est penser différemment, à un rythme particulier, et être malgré beaucoup d’efforts parfois, des marginaux dans la société.
Les HPI témoignent souvent de la difficulté à échanger, communiquer profondément avec les non-HPI. Il est souvent question de cette sorte de barrière invisible, de rythme différent, et d’efforts colossaux à produire pour simplement « être avec les autres ».
Avec une autre personne HPI, souvent on constate des échanges plus fluides, plus faciles, plus sereins. Plus nourrissants et stimulants également.
C’est un peu comme trouver quelqu’un qui parle la même langue maternelle. Avec les autres, on parle notre seconde langue. Etant bilingue ça se passe bien, mais il n’empêche qu’un échange dans notre langue maternelle sera sans doute plus riche.
Aussi sur le long terme, une relation HPI-HPI peut être plus facile à mener, moins éprouvante et donc ayant plus de chance de durer.
HPI/NT (neurotypiques)
L’amour c’est l’amour, et il ne connait aucune règles ni aucune loi.
Vous trouverez moult exemple de HPI en couple ou en relations amoureuse avec des personnes non-HPI sans qu’elles n’éprouvent aucune difficulté ni aucune frustration et vivent un bonheur complet.
La différence est une richesse, aussi ce qui pose parfois des difficultés peut aussi être source d’enrichissement profond.
Construire une relation sur le long terme, c’est aussi accepter l’autre tel-le qu’il/elle est, et s’accepter soi tel-le que nous sommes.
Et nous sommes bien plus qu’un réseau nerveux, une couleur de peau, une couleur de cheveux, ou une taille ou un poids.
Se trouver soi pour trouver l’autre
De ma fenêtre, une histoire d’amour ne dépend pas tant de l’autre que de soi.
Aimer quelqu’un-e, c’est pour moi l’aimer telle que cette personne est. Non pas telle qu’on la souhaiterait, pas telle que l’on aimerait qu’elle soit, pas non plus telle qu’on l’idéalise, mais bien telle qu’elle est.
Et pour être capable de voir l’autre tel-le qu’il/elle est, il faut être capable de ne pas projeter sur lui/elle ses blessures, ses manques, et les vieux schémas relationnels inconsciemment hérité de ses parents.
Pour arriver à cela, je crois que s’aimer soi-même est la clef.
S’aimer tel-le que l’on est.
Cela demande (pour moi en tout cas!) beaucoup de travail, beaucoup d’indulgence envers soi-même, et aussi – toujours dans mon cas – deux amies sincères pour vous rappeler à la réalité quand vous délirez.
Une fois libérer, ou du moins conscient-e des projections et névroses que l’on sur soi-même, il nous est possible de ne pas les projeter sur l’autre.
Et donc de le/la voir tel-le qu’il/elle est vraiment.
(Pour peu qu’il/elle soit transparent avec ce qu’il/elle est mais c’est une autre question sur laquelle nous n’avons pas prise.)
Une fois cela fait, c’est la personne dans sa globalité qui nous séduit, qui nous plait.
C’est son intelligence, son humour, son allure, son physique, son caractère, ses blessures, ses forces, ses extravagances (ou non), ses fêlures…
C’est l’être humain en face de nous qui nous séduit.
On peut aimer « n’importe qui », indépendamment de son caractère nerveux.
Personnellement
Je sais que le bonheur sans nuage que je vis avec mon fiancé s’explique par ce simple fait : nous nous comprenons.
Et jusqu’à présent je n’ai été comprise – il ne s’agit pas là de communication, mais de compréhension de ce que vis, ressens et est l’autre – que par des personnes officiellement diagnostiquées HPI.
Mon fiancé est la seule exception à cette règle puisqu’il n’a passé aucun test.
Je n’ai donc que mon ressenti pour me prononcer sur sa nature neuro(a)typique.
De vous à moi, je suis persuadée « qu’il en est ».
Lui est persuadé du contraire. Ce qui ne fait que renforcer ma conviction qu’il en est.
Je serai donc plutôt de celles qui vous diront qu’en étant HPI, avec un-e autre HPI, c’est mieux qu’avec un-e NT.
Mais « mieux » ne veut pas dire « obligatoire » ou encore « unique possibilité ».
En conclusion
L’amour, ou les relations humaines, sont des histoires d’individus dans leur globalité avant tout.
Le fait d’être ou non HPI est un des ingrédients qui participent (ou non) à l’harmonie de la relation.
Mais c’est à vous et à vous seul de déterminer quelle part cela occupe(ra) dans votre relation.
Il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse en la matière, il n’y a que ce qui fonctionne pour vous.
#AHPI #douance #amour
https://overthe130.wordpress.com/2017/02/16/lamour-chez-les-ahpi/
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
[size=30]Quelle [size=35]éthique[/size]
pour notre temps ?[/size][size=18][size=18][size=18][size=18][size=18][size=18]Des dilemmes personnels aux enjeux collectifs
Les grands modèles philosophiques[/size][/size][/size][/size][/size][/size][size=18][size=18][size=18][size=18][size=18][size=18]Sciences Humaines - Hors-série n°22 - 8,50€[/size][/size][/size][/size][/size][/size] [size=16][size=16][size=16][size=16][size=16][size=16][/size][/size][/size][/size][/size][/size] [size=16][b][size=16][b][size=16][b][size=16][b][size=16][b]CONSULTER LE SOMMAIRE[/b][/size][/b][/size][/b][/size][/b][/size][/b][/size] [size=16][b][size=16][b][size=16][b][size=16][b][size=16][b]ABONNEZ-VOUS ET RECEVEZ CE NUMÉRO[/b][/size][/b][/size][/b][/size][/b][/size][/b][/size] Soupçons de corruption, débats sur la fin de vie, statut des lanceurs d’alerte, conditions de vie des migrants, révolution du big data et robotisation... Autant de questions qui nous prennent à la gorge avec d’autant plus d’acuité que dans nos sociétés plurielles les valeurs sont parfois divergentes. L’éthique, parce qu’elle pose les principes et met à plat les argumentations, apparaît dès lors comme une précieuse boussole pour dépasser les affects et construire des visions partagées d'un monde commun. Au sommaireDossier : Quelle éthique pour notre temps ?
L'éthique comme boussole
Les principes à l'épreuve du réel
>> Questionner nos modes de vie
Entretien avec Mark Hunyadi
Les grands penseurs de l'éthique et de la morale
Lexique éthique
Les promesses de la vulnérabilité
L'éthique à l'hôpital
Dire la vérité au patient
Comment justifier l'arrêt d'un traitement ?
Où le dopage commence-t-il ?
Les machines, des agents moraux ?
Vivre avec les algorithmes
Y a-t-il une morale de l'État ?
Supprimer les prisons
Lanceur d'alerte : traître ou héros ?
Le nouvel âge de la désobéissance civile
Quelle hospitalité pour les migrants ?
>> Les guerres modernes au défi de l'éthique
Entretien avec Jean-Baptiste Jeangène Vilmer
Défendre des terroristes est-il éthique ?
Le carnivorisme en débat
Environnement : des paroles aux actes
>> La lutte contre la corruption, un défi pour la vie publique
Entretien avec Éric Alt
Laboratoires : les profits menacent-ils la santé ?
Les crédits toxiques espagnols : qui est le coupable ?
Les lobbies font-ils la loi ?
La PMA pour qui ?
La nouvelle éthique érotique
La fiction nous rend-elle meilleurs ?
https://m.scienceshumaines.com/quelle-ethique-pour-notre-temps_fr_643.htm?utm_source=MailPerformance&utm_medium=email&utm_content=_002PSF9&utm_campaign=VDP+HS22+Quelle+%C3%A9thique+pour+notre+temps+?(2%C3%A8me+envoi)_000U9K
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
C'est tout à fait un peu près ça. Sinon moi c'est plutôt je vous enluc et j'ai encore plein de chouettes choses à faire comme avant avant de mourir un jour.
Pas d'échecs quand on est sur le sien qui nous va bien.
Papapala papalala lala. tra la lère, elle a l'air et aussi tous les chansons
Moi je dis "bouffes ta glace" si tu peux toi même te regarder chaque matin dans une glace J'aime bien mon vrai reflet et pas dans la ferrari rouge, je suis faire à rit rose Pro et désinhibition moi entre adultes pas cons qui s'entendent, s'écoutent
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Journal d'une hp rit, jour 1 : vais je devenir une femme fontaine à l'approche de la ménopause ? mieux vaut vivre au rythme du temps qui passe qu'au rythme de son tam paxIl va pleuvoir, il pleut, je vais mouiller, la fête à la grenouille, je suis toute émue, tiens je vais faire des nouilles. Toujours pas ça pour la structuration des phrases, mais j'avais déjà les plans
Rien sur l'enlucation, pas une thèse, un début de recherche J'attends pour faire des phrases moi On dirait qu'il y a du monde qui retrouve la SNCF et son slogan 'c'est possible, c'est bleu zippo" je peux continuer mon train train. et de l'avant, mon arrière train, contemple ceux celles qui au lieu de m'accompagner me suivent pas ou si ??? c'est bac pro ça, moi j'avais arrêté en bep, j'y reste.
Le mode d'emploi de la vie c'est comme les lucs, par logique on se restreint pas et on rentre pas où ça pue après je pourrais mettre où ça s'poile pubien ? il faut que je me trouve un pouet pour me mettre ça en forme littéraire pour pallier à mon coté lite et raie Nain tend dos lide noire ou rose ? C'est en avançant qu'on en met mieux et fait voir mieux de toutes les couleurs.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
C'est à dire ? on n'a pas compris. Ben attends je réfléchis...
Cela dit c'est cool je trouve, avec tout ce catalogue de visions différentes sur la douance, ça laisse le choix de pouvoir être soi. Ca tombe bien parce que devenir moi plus vers la fin de ma vie, ça aurait été compliqué...
Paroles de Sur La Route
Rouler toute la nuit, et la journée en prime
Sans savoir ou on va, et pourquoi on y va
Je cours après un rêve, dans mon cœur accroche
Qui me crève la peau, sans jamais se montrer
Je suis sur la route, je suis en déroute
Je suis sur la route, et j'en ai rien a foutre
Je suis sur la route, je suis en déroute
Je suis sur la route
C'est pas c'que j'ai laisse, j'sais pas c'que vais trouver
Mais il fallait partir, partir pour oublier
J'ai pas peur de crêver, pas peur de déjanter
J'ai pas peur d'y penser, tu sais j'suis pas prêt d'arriver
Et j'en ai rien a foutre, rien a foutre
Roulez
Sur la route, en déroute, rien a foutre, rien a foutre
Rien a foutre, rien a foutre, sur la route, sur la route
Rien a foutre, non
Je suis sur la route
Allez, roulez, roule, roule...
Stop
-------------------------------------------------------------------------------
Je suis en déroute sur la route là où y'a plein de routes et qui se rejoignent en plus toujours à un moment donc ça va c'est bien comme vie en déroute où je peux toujours finir par en avoir soi disant rien à foutre et en plus coté foutre comme je suis une fille ça tombait bien (ah rien à foutre ça voulait pas dire ça ? ah ben alors moi et les expressions décidément j'ai rien con pris
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Journal d'une HiPpIe ? bip bip bip pourra.
Pour ce faire j'aurai du faire wood stock en 68, voyons voir de quel bois je me serai chauffée.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- A retenir en attendant ici que je trouve une conversation où la placer l'air de rien des un volt"après si mon style pour toi c'est mon cul, ça te regarde de le regarder pour savoir où tu marches pour avancer dans la vie"sachet en tous cas que tu mettras ton styl'haut dans mon luc sans mon autorisation. oui je sais j'ai bien dormi, si tu savais y'a eu de l'action, c'était oniderrick.
Pigeon vole
- Spoiler:
comment on peut oublier un mot comme "pousse pousse" ? comme quoi hein trop de tectuel, ça tue le pousse pousse
en fait j'ai fait plus longtemps vie commune dans mes toilettes que dans la vie, c'est vrai alors je suis peut être un peu space mais bon c'était ma vie
donc le fameux hors cadre ça serait hors game boy et hors cible.
et rien qu'en douance c'est hors baby foot ou hors billard
J'attire même les pigeons, donc il faut pas lutter contre ce qu'on est, il faut l'être et vivre avecSalut Monsieur le Pigeon, ah ben non, vous votre cadre c'est dehors, mais c'est cool d'être passé dire bonjour à la lucarne de nos mondes, vous êtes hp ou pas ? et votre tourterelle plutôt dite pigeon douée ou dite normo pigeon pensante ? vous êtes plutôt pigeon tuitif hein ? ou rationnel ? testé jeune ou sur le tard ou pas du tout ? une tite madeleine de Proust ? vous prenez plutôt les noirs ou les blancs aux échecs ?les rouges ou les bleus au baby ? vous avez quoi du clip de yes ?plutôt mahé ou ma haie ? vous avez facepigeon ? votre grand père était bouc ? vous avez un forum actif ? y'a t il des pigeons zébres aussi ?Sinon on peut faire équipe pour faire un livre, comment être un surdoué hp tuitifs ordinaires fan de maths et de zebracrossing pour être extraordinairement heureux ? oui je sais ça fera pigeon, nanas, dauphins, ect, équipe un peu bizarre mais bon bizarre de nos jours... autant raisonner dans les anciens réseaux de visu
bon 17h36, il faut pas traîner, il faut que je déjeune, bonne matinée monsieur Pigeons, tant que nous nous pigeons un peu... tout va bien
Mise en ligne le 11 janv. 2012
Enjoy!
Amoureux d´une cousine
Qui pouvait avoir vingt ans,
Je vivais, on le devine,
Haletant.
Ah! Le temps, le printemps,
inquiétant, excitant
On se couchait sur la plage.
C´était pas encor' l´été.
On avait l´air d´être sage.
En vérité, on l´était.
Quel état que l´été
met en moi, quel émoi,
Et quel mois de Mai.
Pigeon vole,
Le ciel vole,
Chapeau vole
Et vole aussi mon cœur,
Plein de bonheur.
Cheveux volent,
Herbes volent,
Dindon vole
Et vole mon regard
Vers tes yeux noirs.
Ah! Quel vent du Nord!
Qu´il fait bon dehors,
Qu´il fait beau et doux
Près de vous.
Rentrons vite,
Ma petite
Car j´ai peur à l´horizon
De voir s´envoler la maison.
Nous voici dans la chambrette
Demoiselle et grand garçon
Célébrons notre amourette
Célébrons
Le moment
Sans maman,
Sans la bonne,
Sans personne.
Bonjour l'ange de ma vie
La minette le toutou
Bonjour ma petite amie
Ma Lili, ma Loulou
Ma Nini, ma Nounou
Mon amie, ma chérie
Mon rien et mon tout,
Pigeon vole
Le lit vole
Chemise vole
Tout tourne et vole autour
De notre amour
Baisers volent
Jambes volent
Les mains volent
Volent de beaux trésors,
Trésor en or
Ah quelle émotion
Ah quelle passion
Ah quelle vigueur
Quelle douceur
Il faut vi-te
Ma pe-tite
Prev'nir monsieur le curé
Avant qu'il ne soit envolé
Mais hélas les beaux ménages
se passent toujours, c'est curieux,
Tout à l'heure sur la plage
Un monsieur
Un peu vieux
L'air vicieux
T'a dit :"viens"
Tiens ! Tiens! Tiens!
Pour cette raison suprême
Sans émoi je suis parti
Alors tu m'as dit "je t'aime"
J'ai repondu "c'est fini"
Je m'en vais
Loin d'ici
Loin de toi
Sans souci
Sous un autre toit.
Pigeon vole
Larmes volent
Chagrin vole
Je vais te mettre au pli,
Tu me supplies.
Tu murmures
Tu me jures
Imposture
Le petit vieux d'la mer
C'est ton grand-père
Oh la!
Je suis bon et doux
Je pardonne tout
Reviens dans mes bras
Parle-moi
La rue vole
Tout s'affole
Tout chante, danse et sourit
Pigeon vole
Et vive la vie !
Ah je l'avais pré dit, j'ai peut être vraiment un don
- Spoiler:
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Je me suis dit en fait ma part du colibri...
Je vais être une personne nagée, pourra encore j'aurai piscine
Comme prévu je peux en écrire la suite et sans l'ambulance encore- Spoiler:
- Cendrillon pour ses vingt ans
Est la plus jolie des enfants
Son bel amant, le prince charmant
La prend sur son cheval blanc
Elle oublie le temps
Dans ce palais d'argent
Pour ne pas voir qu'un nouveau jour se lève
Elle ferme les yeux et dans ses rêves
Elle part, jolie petite histoire
Elle part, jolie petite histoire
Cendrillon pour ses trente ans
Est la plus triste des mamans
Le prince charmant a foutu l'camp
Avec la Belle au bois dormant
Elle a vu cent chevaux blancs
Loin d'elle emmener ses enfants
Elle commence à boire
A traîner dans les bars
Emmitouflée dans son cafard
Maintenant elle fait le trottoir
Elle part, jolie petite histoire
Elle part, jolie petite histoire
Dix ans de cette vie ont suffi
A la changer en junkie
Et dans un sommeil infini
Cendrillon voit finir sa vie
Les lumières dansent
Dans l'ambulance
Mais elle tue sa dernière chance
Tout ça n'a plus d'importance
Elle part
Fin de l'histoire
Notre père, qui est si vieux
As-tu vraiment fait de ton mieux?
Car sur la terre et dans les cieux
Tes anges n'aiment pas devenir vieux
et avec plein de fée d'été :- Spoiler:
- Elle avait à peine avalé ses quinze ans
Qui d'ailleurs lui restaient coincés dedans
Elle avait grandi arrosée par l'argent
On pousse vite chez ce genre de gens
Elle s'appelait Fait Divers
une fleur fanée en plein hiver
Oh les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici ont n'aime que la pierre
Oh oh oh
Oh oh oh sauve toi
Elle avait les manières du grand monde
Devant sa télé fait le tour du monde
Mais son univers était un petit monde
Où se battaient tous les chagrins du monde
Elle causait plus à ses parents, non
Depuis une sombre histoire d'amant
Son père gueulait à sa mère " Tu
mens ! "
Pendant qu'eux s'cognaient fort elle criait " Maman ! "
Elle s'appelait Fait Divers
Dieu que cette fille était solitaire
Oh, les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici on n'aime que la pierre
Elle avait à peine avalé ses quinze ans
qui d'ailleurs lui restaient coincés dedans
Qu'elle avala une boite de tranquillisants
Juste histoire de tuer le temps
Et en suivant son enterrement
Les gens ne comprenaient pas vraiment
Qu'ils avaient tué cet enfant
Au fond d'eux enterré depuis longtemps
Tuer l'enfant, tu es l'enfant
Tuer l'enfant qu'on a dedans
C'est ça l'auto-avortement
Reste le môme perdu comme avant
Dans le ventre d'un bon moment
- Spoiler:
- Du début à la fin de ma vie (pas encore tout de suite mais bon autant anticiper ) des personnes, des auteurs, des chanteurs, des musiciens, d'autres personnes en fait m'auront bien accompagnée toute ma vie. Je ne pense pas qu'il y est de bonnes références mais les références et tuteurs ? ou modèles ? qui vous vont bien en fait et vous font vous sentir bien. Ma seule preuve est comme ce bouquin que je commande, je suis plutôt en très bon état et pas cher
Edito
- Auteur(s) : Boris Cyrulnik - Louis Ploton - Collectif
- Editeur : Editions Odile Jacob
- Parution : 27/02/2014
- Nombre de pages : 293
- Nombre de livres : 1
- Expédition : 332
- Dimensions : 22.00 x 14.50 x 2.00
Résumé :L'anthropologue Germaine Tillion, résistante et déportée, travaillait encore à la veille de sa mort. Revenue de l'horreur, elle avait décidé de rire jusqu'à la dernière minute, suscitant autour d'elle un groupe d'amitié, d'entraide et de gaieté qui a duré jusqu'à ce qu'elle ait 101 ans. Pour beaucoup, la vieillesse fait tout perdre la mémoire, la fraîcheur, le cerveau... Ce livre montre au contraire que la résilience est possible chez les personnes âgées. Réunissant des psychologues, des neurologues, un vétérinaire, des psychiatres et des gériatres, il fait comprendre comment interviennent dans ce processus vital les liens d'attachement, les interactions, la mémoire, mais aussi les émotions, la motivation ou encore l'humour et la musique. Avec Marie Anaut, Claude Béata, Alain Brossard, Michel Delage, Jacques Gaucher, Pascale Gérardin, Cyril Hazif-Thomas, Yves Kagan, Antoine Lejeune, Pierre Lemarquis, Jérôme Pellerin, Marion Péruchon, Jean-Pierre Polydor, Gérard Ribes, Serge Sirvain, Philippe Thomas, Mireille Trouilloud.Biographie:Louis Ploton est psychiatre, professeur émérite de gérontologie à l'université Lyon-II. Boris Cyrulnik est neuropsychiatre et directeur d'enseignement à l'université de Toulon. - Auteur(s) : Boris Cyrulnik - Louis Ploton - Collectif
J'ai hâte de voir toutes les phrases que je vais faire avec tout ça mixé. Je me suis dit en fait ma part du colibri c'est ma vie aussi en fait. Après ça a œuvré et oeuvre pour le bien commun c'est encore mieuxDonc je serais ma preuve auto scientifique de mes expériences scientifiques sur moi même ? Un jour dans mon tube à essais je me suis jouée Cosette mais celle qui offrit une boite de chocolats à Victor Hugh Haut. Toute une vie à s'envoyer des messages de fumée. Où alors ...
ou alors on communique en petites bulles ? pas de chewing gum, des qu'on fait avec notre cerveau...
Journal d'une ? Réflexion pour un synapsix. Synopsis c'est pour les dits normo pensants, ça va pas m'aller ça comme trame ou comme conducteur, t'as jamais vous fait un conducteur ? c'est pratique pour les réunions de sa vie, on suit mieux ce qu'on vit.
http://www.bayonne.cci.fr/js/libs/tiny_mce/plugins/filemanager/files/Commerce_services/Guide_UC/Conducteur_de_reunion.pdf
Un peu de gens bons de Bayonne
parce qu'on aura faim, des petits toasts. et alors en titre ? euh "Mémé Moire" ? aware.
Alors qu'est ce qu'on prend comme base, et trame ?
https://carnetexperiences.wordpress.com/2016/02/07/rida-releve-dinformation-decision-actions/Pas de dépression, action, réaction.Je ne suis pas d'accord, si je le suis mais j'adore ça pendant les réunions quelles qu'elles soient, de fait tout le monde s'arrête : t'as une idée ? la nôtre elle est nulle ? c'est ça hein ? t'as vu un détail qui cloche ? tu sens un truc ?Vous demanderez à Jeannineuh qu'elle vous fasse un café pour patienter, j'ai pas envie de le dire là maintenant tout de suiteNow is not the right positionNow is not the right suggestionMy heart, please stop telling me liesI made my own decisionsAnd I choose my own ways to walkWe all will end somedayBut my heart please stop telling me lies
Stop wasting your timeDon't steal my secretsChanges made and will happen
Be sure they won't pass by
Don't play my gameBut my heart please stop telling me liesI have no limits you feel no pain
I made my own decisions
And I choose my own ways to walkWe all will end somedayWe all will end someday
Stop wasting your time
Changes made and will happen
Be sure they won't pass byBe sure they won't pass by won't passStop wasting your timeChanges made and will will happen
------------------------------------------------------------------------------------------La vie c'est comme une grande réunion, avec des dicos vivants ?
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Toutpiqué là
https://www.zebrascrossing.net/t30530p225-miss-terre-et-boules-d-eude-gomment#1276794
Alors l'expression "tronche de cake (d'anniversaire)", je la visualise mieux
Comme quoi ce forum fait vraiment progresser sur les symptômes, pathologies, toussa toussa (t'as toussé ? ou pas ?) bon maintenant on va prendre votre tension, euh 42 ça fait beaucoup en monde dit normo pensant mais en douancie vous êtes dans la norme de la tension ou même de l'attention, attention, il faut pas tout mélanger. Et brossage des dents trois fois par jour, si hypersensibilité, à la brosse souple, poils de ... je sais plus et dentifrice, sens o dîne, à table, ben je peux pas je viens de me brosser les dents
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Pour te rendre un peu l'appareil : comme je vais peut-être m'en servir pour construire le soto^3, je me suis dis que çà pouvait peut-être² utile aussi pour con-sidéré (c'est moins con que conçevoir), un nouveau tétris/c'est pas triste mon bru d'aile ?! Houpa !
soto²- Messages : 2760
Date d'inscription : 07/12/2016
Localisation : Au delಠ(31)
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
soto² a écrit:
- Spoiler:
Pour te rendre un peu l'appareil : comme je vais peut-être m'en servir pour construire le soto^3, je me suis dis que çà pouvait peut-être² utile aussi pour con-sidéré (c'est moins con que conçevoir), un nouveau tétris/c'est pas triste mon bru d'aile ?! Houpa !
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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[size=30]Prendre son temps
[size=12]Gare à la précipitation ! Avoir la patience de s’écouter, de ressentir, de laisser monter en soi le désir d’agir est une étape cruciale. Petite leçon de pause bienfaitrice.
Jacqueline Kelen
[/size][/size]© JupiterSommaire
- L’analyse de Michel Lacroix
A DÉCOUVRIR
Jacqueline Kelen est écrivaine. Spécialiste des mythes, elle est l’auteure, entre autres, de L’Esprit de solitude (Albin Michel, 2005) et d’Inventaire vagabond du bonheur (Albin Michel, “Espaces libres”, 2008).«Ne demande pas ton chemin, tu ne pourrais pas t’égarer », disait rabbi Nahman de Bratslav, grande figure du hassidisme. Le conseil peut paraître extravagant à nos contemporains, obsédés par l’efficacité, les résultats rapides et le profit immédiat, qui, à force de courir, s’éparpillent et se perdent. Si la connaissance de soi et la réalisation de soi sont plus et mieux que trouver un emploi ou encore un hôtel pour la nuit, si elles concernent la vie entière d’une personne, le temps représente le matériau indispensable pour édifier la demeure intérieure, et d’abord en assurer les fondations.Prendre son temps, ce n’est pas ne rien faire, mais partir à l’aventure : se découvrir, apprécier ses ressources personnelles, mesurer ses faiblesses, développer des qualités (écoute, patience, attention, discernement), étudier et approfondir toute chose. C’est aussi prendre du recul et de la hauteur par rapport au quotidien, aux modes et modèles imposés. C’est la voie d’apprentissage de la liberté.Rien de bon ne survient dans la précipitation, qui s’avère souvent convoitise. On connaît l’histoire du roi Midas qui, pour avoir rendu un grand service au dieu Bacchus, obtint de formuler un vœu : sans réfléchir, Midas demanda que tout ce que son corps toucherait se transformât en or. Et le roi infantile se réjouit, changeant à son gré un caillou, une branche en or, jusqu’au moment où il eut faim. Mais à son contact, les mets et les boissons devenaient métal précieux, immangeables. Et Midas supplia le dieu de le délivrer de ce pouvoir empoisonné.La voie buissonnière paraît hasardeuse, risquée, mais elle est ouverte, dynamique, propice à l’inattendu, aux rencontres étonnantes. Déjà, ce temps de recul et de réflexion permet de se dégager des divers conditionnements et de ses propres illusions. Devenir soi, c’est d’abord ne pas imiter, ne pas suivre ni répéter, mais creuser sa propre route. Se pose alors la question majeure, capable d’orienter toute une vie : quel est mon désir essentiel ? Ce n’est pas : comment répondre à la demande, faire plaisir à mes proches, me conformer à ce que l’on attend de moi ? Ce désir, propre à chacun, ouvre de larges horizons. Comme l’affirment tous les mystiques, c’est la soif qui fait surgir la source.Rester en silence, fermer les yeux, écouter, ce n’est pas s’enfermer, se couper des autres et du monde, mais aller vers l’intérieur, devenir attentif et disponible; c’est entendre sa petite musique à nulle autre pareille, accueillir les signes et les songes qui, pour l’âme, sont plus fiables que les cartes routières et les GPS. Ainsi, dans la légende de Tristan et Iseut, le roi Marc refuse de se marier, malgré l’insistance de ses barons qui lui désignent de bons partis. Un jour, par la fenêtre ouverte, entre une hirondelle qui dépose sur l’épaule du roi un long cheveu blond étincelant au soleil. Le roi déclare que la femme qu’il épousera est celle à qui appartient ce cheveu. Et il la trouvera.Il n’est pas si aisé de ne pas se presser : il faut résister au rythme ambiant et faire preuve d’une belle patience. Je me demande si la vertu de patience est comprise de nos jours, on la ressent plutôt comme une restriction, une résignation, une vie à petit feu. Or, la patience est la mise à l’épreuve de la ferveur, elle permet de maintenir et d’affiner le désir. « Patiente, ô mon cœur », murmure à soi-même Ulysse, alors tout près du but puisqu’il est parvenu, après vingt ans de tourments et d’absence, à son île d’Ithaque où demeure Pénélope. Une colère intempestive, un instant d’inattention risquent de détruire toute son entreprise et de l’éloigner d’un amour si longtemps attendu.Laisser le temps faire son œuvre est d’une grande sagesse sur laquelle toutes les traditions s’accordent. Lao-tseu énonce : « Le grand carré n’a pas d’angles, le grand vase est long à parfaire, la grande musique est au-delà du son. » L’Évangile rappelle qu’avant de bâtir une tour, il est bon de s’asseoir et de méditer afin d’aller jusqu’au bout de sa tâche. C’est encore l’adage cher aux humanistes de la Renaissance, festina lente (« hâte-toi lentement »); ou l’exemple de Socrate qui, condamné à mort, prend le temps de réunir ses amis et converse paisiblement avec eux tandis que la ciguë gagne son corps, mais n’atteint pas son âme immortelle. C’est, plus légère, l’histoire du moine zen parti se promener dans la montagne. À son retour, le disciple intrigué et zélé demande avec insistance où le maître est allé, quel chemin il a emprunté. Et le moine répond simplement : « J’ai suivi l’odeur des fleurs du chemin et j’ai flâné au gré des jeunes pousses… »La vie est vaste, si vaste. C’est nous, souvent, avec nos projets, nos calculs et nos plans, qui la rapetissons, la rendons triste et ennuyeuse. Se réaliser, c’est aussi respirer le parfum des fleurs et aller dans le vent.L’analyse de Michel Lacroix
«Prendre son temps est capital, car c’est ce qui permettra de bien choisir. Et si je ne choisis pas, je reste dans le virtuel et dans le rêve adolescent du “tout est possible”. L’existence se construit essentiellement à travers nos choix : choix d’un conjoint, d’un métier, d’un lieu de vie… Le philosophe Soren Kierkegaard parle d’ailleurs du “baptême du choix” pour expliquer que notre personnalité est fouettée, dynamitée à partir du moment où nous avons choisi. Mais là où le philosophe me semble imprudent, c’est qu’il ajoute que tout choix est bon. Je pense le contraire. Dès lors, choisir demande un grand discernement, donc de prendre le temps de la réflexion et de la maturation. Le temps de laisser monter en soi les désirs profonds. Cela n’empêche pas de se tromper de voie, mais au moins le choix aura-t-il été fait en conscience. C’est cela aussi, s’inventer. »janvier 2009
[size=30]S’interroger
Nous ne sommes pas prédéterminés. Tout est possible, tout est accessible. Mais pour ne pas risquer de nous perdre avant même de nous lancer, commençons par nous poser les bonnes questions.
Aurore Aimelet[/size]
[size=31]Sommaire[/size]
- Qu’est-ce qui vous enchante ?
- Que feriez-vous si vous n’aviez que quelques jours à vivre ?
- Quel est votre plus mauvais souvenir ?
- Si tout était possible, quel héros seriez-vous ?
- L’analyse de Michel Lacroix
Quel était votre rêve d’enfant ?
« Vous souvenir de votre idéal d’enfant, vous demander si vous l’avez réalisé un peu, beaucoup ou pas du tout vous permettra de comprendre ce qui a motivé vos choix, pourquoi vous en êtes là, explique Luce Janin-Devillars (1), psychanalyste et coach. Avez-vous écouté votre désir ou avez-vous, inconsciemment, répondu aux attentes familiales et environnementales ? Portez-vous votre rêve ou êtes-vous toujours chargé de celui d’un autre ? » Pas facile de se débarrasser de l’image d’un grand-père virtuose qui a dû cesser le piano pour nourrir les siens… D’où, peut-être, votre désir secret de devenir musicien et « venger » le mélomane. « Les rêves d’enfant ne sont pas spontanés : ils sont imprégnés de l’histoire familiale », rappelle la psychanalyste. Cette première question vous aidera à distinguer ce qui est encore de l’ordre du fantasme.1. Luce Janin-Devillars, auteure notamment d’Il n’est jamais trop tard pour changer sa vie (La Martinière, 2001).Qu’est-ce qui vous enchante ?
Avant de chambouler votre existence, Pascale Molho, formatrice en communication non violente (2), propose de chercher « ce qui vous rend heureux aujourd’hui. Qu’est-ce qui vous nourrit, vous fait vous sentir vivant ? » Soyez attentif à ce qui vous est précieux, à ce qui vous motive, vous émeut : faire rire vos proches, enseigner à vos enfants, écouter vos amis dans la peine ou courir après des contrats à décrocher. « Vous avez, comme tout le monde, des besoins existentiels – de sens, de reconnaissance, de valorisation, d’amour, etc., poursuit la formatrice. Éloignez-vous de cette fausse humilité pour reconnaître vos talents et en quoi vous contribuez à la satisfaction de vos besoins. Vous gagnerez en estime de vous-même et vous sentirez capable. » Capable d’être heureux, de faire vivre certaines de vos valeurs, donc d’aller plus loin.2. En savoir plus : www.pmformations.typepad.comQue feriez-vous si vous n’aviez que quelques jours à vivre ?
C’est l’exercice proposé par le psychiatre Frédéric Fanget dans son livre Où vas-tu ? : « Vous savez que vous allez mourir dans quelques minutes. Sans réfléchir, quelle est la première chose que vous regrettez de ne pas avoir faite ? » Les drames sont souvent révélateurs, parce que la notion d’urgence accélère le processus de réflexion profonde sur soi. « C’est un moyen de différencier ce qui est essentiel et ce qui est accessoire, confirme Luce Janin-Devillars. Mais aussi de discerner ce dont vous avez “réellement” – dans le sens de “mettre en réalité” – envie. » Là encore, il s’agit d’être honnête et de « sortir des représentations sociales, du “ça se fait”, du fantasme. » « Cela se fait » de répondre que vous regrettez de ne pas avoir passé plus de temps auprès de ceux que vous aimez. Mais est-ce bien la vérité ? Et si oui, à quel besoin avez-vous répondu plutôt qu’à celui-là ?Quel est votre plus mauvais souvenir ?« Cette question permet de repérer ce que vous ne voulez plus faire, être ou penser, remarque Luce Janin-Devillars. Mais surtout pourquoi et comment vous vous êtes retrouvé en si mauvaise posture. Vous avez nécessairement une part de responsabilité, alors qu’avez-vous donc cherché ? » Votre plus mauvais souvenir est, par exemple, ce moment où, en famille ou au bureau, vous vous êtes senti en dessous de tout, nul, dévalorisé. « Votre image de vous était sans doute si mauvaise que, inconsciemment, vous avez cherché à conforter ce sentiment », explique la psychanalyste. La bonne nouvelle est que, si votre responsabilité est toujours en jeu, vous avez le pouvoir de changer.Si tout était possible, quel héros seriez-vous ?
« Prenez votre plume et écrivez une histoire dont vous seriez le héros et dans laquelle tout serait possible », propose Dominique Sciacca (3), coach. L’objectif est de se projeter sur le papier et de visualiser l’avenir, jusque dans le ressenti. « Connectez-vous à vos sens et décrivez ce que vous voyez, entendez, sentez, etc., suggère la coach. Cette visualisation permettra de vous familiariser avec un état que vous n’avez pas expérimenté. Et ainsi de vous libérer de la peur du changement. Nous tendons tous à rester dans notre “zone de confort”, celle que nous connaissons par cœur. Simplement imaginer que vous puissiez en sortir ne présente aucun risque. » Concevoir en pensée ce qui changerait dans votre vie si vous réalisiez votre désir, c’est faire un premier pas vers celui-ci.3. Dominique Sciacca, auteure de Sept Bonnes Façons d’organiser sa vie (InterÉditions, 2008).L’analyse de Michel Lacroix
«Il est important de s’interroger sur les deux moteurs de la réalisation de soi : celui des aptitudes et celui des motivations. Cependant, l’expérience prouve que le moteur du désir est plus puissant que celui des aptitudes. Nombreux sont ceux qui ont réussi malgré un handicap (un malentendant devenu musicien, un timide devenu conférencier…). Il faut donc faire passer ses aspirations en priorité, mais
après les avoir interrogées : d’où viennent-elles ? Sont-elles vraiment miennes ? Est-ce qu’elles ne sont pas trop modestes ?… L’objectif : libérer son désir. “Rien de grand ne s’est accompli sans passion”, disait Friedrich Hegel
dans La Raison dans l’histoire (Hatier, “Classiques & Cie philosophie”, 2007). »[size=30]Repérer ses blocages
Sentiment de culpabilité, crainte d’échouer, attentes parentales aliénantes… Retour sur les obstacles qui nous empêchent de nous réaliser.
Isabelle Taubes[/size]- 1
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Sommaire
- La culpabilité
- L’obligation de choisir
- La peur de l’échec
- Le désir des autres
- L’analyse de Michel Lacroix
- À lire
Dans Le Procès (1), qui met en scène l’absurdité de l’existence, Kafka nous propose une longue parabole. Pour résumer : un homme demande au gardien posté devant la porte de la loi la permission d’entrer. « C’est possible, répond la sentinelle, mais pas maintenant. Si cela t’attire tellement, essaye donc d’entrer malgré ma défense. Mais retiens ceci : je suis puissant. » L’homme s’installe sagement sur un tabouret en attendant la permission. Les décennies s’écoulent. Mourant, il interroge le gardien : « Comment se fait-il que durant toutes ces années, personne d’autre que moi n’ait demandé à entrer ? « Nul autre que toi ne pouvait pénétrer, car cette entrée t’était réservée. Maintenant, je m’en vais et je ferme la porte », lui répond le gardien. Beaucoup d’entre nous peuvent se reconnaître dans ce personnage qui se condamne à rester à côté de sa vie. Comme le gardien, la vie ne nous dit jamais clairement « non »; il nous appartient de forcer la porte de notre destin.
1. Le Procès de Franz Kafka (LGF, “Le Livre de poche”, 2007).La culpabilité
Que craint cet homme ? Que craignons-nous quand nous nous empêchons de suivre notre véritable voie ? Désirer suppose la confrontation avec le manque, avec le risque de s’entendre répondre « non ». Avec la culpabilité, surtout, nous apprend Freud à travers sa théorie du complexe d’Œdipe. Nos premiers désirs sont transgressifs, puisque nous élisons des « objets d’amour » – le père et la mère – interdits.
Notre vie d’être humain désirant démarre sur une faute, un ratage, une frustration. Cette première expérience est pour certains si douloureuse qu’ils optent définitivement pour la passivité, attendant qu’un autre leur donne la possibilité d’exister. Ou qu’un miracle survienne.
Pour bloquer la confiance et l’estime de soi, outils fondamentaux pour se réaliser, rien de pire que des parents infantilisants, incapables de donner à leur enfant l’illusion qu’il a prise sur le monde. En observant des patients issus de tels parents, Martin Seligman, l’un des fondateurs de la psychologie positive, a élaboré la notion d’« impuissance acquise ». Il a constaté que ces patients avaient en commun de penser que leur marge d’action sur leur destin était inexistante, et aucun succès ne les faisait changer d’avis.L’obligation de choisir
« Décider d’une chose, implique toujours de renoncer à une autre », écrit le psychiatre américain Irvin Yalom dans son dernier essai, Thérapie existentielle (2). Et, surtout, cela « m’oblige à réaliser que je suis seul à pouvoir agir sur le monde que j’ai créé ». Donc à prendre conscience que je suis seul responsable de ma vie. Or, si les grands névrosés notamment passent presque toujours à côté de leur vie, c’est justement parce qu’ils demeurent au fond d’eux-mêmes des enfants dépendants.
2. Thérapie existentielle d’Irvin Yalom (Galaade Éditions, 2008).
La peur de l’échec
« À écouter mes patients, le principal obstacle à la réalisation personnelle est la peur de l’échec, déclare le psychanalyste Jacques Arènes, auteur de La Recherche de soi. L’individu sait que s’il rate, il va se trouver lamentable. » Cette peur s’exprime généralement par des jugements négatifs – « je suis trop stupide pour y arriver » – ou par des prétextes fallacieux pour ne rien entreprendre – « inutile d’essayer, ce n’est pas mon truc ». Nous devons également apprendre à nous méfier des idées fixes comme « je ne serai heureux que le jour où je trouverai le “bon” partenaire, le “bon” poste… »
Des certitudes qui condamnent nécessairement à l’inaction. Surtout si elles sont renforcées par les paroles assassines de nos proches. L’image du héros qui triomphe de l’adversité tout seul et qui a raison contre le monde entier n’est, justement, qu’une image. « Même si nous sommes les principaux artisans de notre chemin de vie, l’influence de l’entourage pèse incontestablement, rappelle le psychanalyste. Continuer d’avoir confiance en soi quand personne ne vous soutient n’a rien d’évident. Pas plus que de l’acquérir quand on est issu d’une famille de grands anxieux. »Le désir des autres
Parmi les obstacles à l’épanouissement, l’un des plus infranchissables est la difficulté à déterminer ce pour quoi nous sommes faits. Selon le psychanalyste Jacques Lacan, nous sommes programmés pour confondre notre désir et celui des autres. Nous absorbons comme des éponges les attentes de nos parents, qui espèrent vivre grâce à nous leurs ambitions déçues : « Ma fille sera danseuse étoile, mon fils chirurgien. » Et beaucoup d’enfants, effectivement, se vouent à satisfaire ces rêves et ignorent les leurs. Tout en se plaignant d’une déplaisante sensation de vide dont ils ne parviennent pas à se défaire…L’analyse de Michel Lacroix
«Pourquoi cette étape ? Parce que l’on ne peut pas édifier un projet de vie sur une base bancale. La réalisation de soi a du mal à se déployer sur un fond de névrose. Par exemple, une vocation de chercheur qui serait motivée par une fuite devant le monde, ou le célibat que l’on choisirait à cause de problèmes relationnels. Le psychologue Abraham Maslow dit bien qu’avant de s’engager dans un travail de développement personnel, il est bon d’avoir fait un travail sur soi pour éliminer l’essentiel du négatif qui nous habite. L’épanouissement en sera plus grand et plus harmonieux. »
À lire
La Recherche de soi de Jacques Arènes
Le psychanalyste nous montre pourquoi il est si difficile de se trouver dans une société où se réaliser est un impératif si pressant que nous sommes coupés de nos véritables émotions et aspirations (Desclée de Brouwer, 2000).
[size=30]Passer à l’action[/size]
Pour agir, nous devons nous libérer des pensées négatives, écouter nos rêves et, surtout, accepter de nous poser en individus responsables de nos destins.
Isabelle Taubes
Sommaire
- Prendre sa vie en mains
- L’analyse de Michel Lacroix
- À lire
C’est l’aiguillon du temps, « la prise de conscience qu’il sera peut-être bientôt trop tard qui nous incite à agir malgré nos peurs, affirme le psychanalyste Jacques Arènes. Éternels, nous remettrions sans cesse à plus tard le moment fatidique ». Mais l’envie pressante de passer à l’action et de cesser d’être à côté de sa vie ne suffit pas toujours. « Certains individus sont inhibés depuis si longtemps qu’ils ne savent plus comment s’y prendre », affirme le psychiatre Frédéric Fanget, auteur d’Où vas-tu ?. Il s’agit par conséquent d’apprendre, par un travail personnel, à « débloquer le frein à main des pensées négatives » (« je suis trop nul ») et d’explorer les peurs qui nous maintiennent dans la passivité (« que va-t-il se passer si je quitte ce travail que je n’aime pas ? »).
Les perfectionnistes qui ne s’accordent aucun droit à l’erreur doivent réaliser que leur rigidité mentale inhibitrice cache un profond sentiment d’infériorité. Frédéric Fanget nous propose également de remettre en cause tous ces modèles de réalisation de soi prônés par la société (être en couple, fonder une famille, avoir un poste valorisant, etc.) qui nous incitent à oublier nos propres idéaux.Prendre sa vie en mains
Comment sortir du cercle vicieux de l’inhibition et de l’inaction pour entrer dans celui, vertueux, de l’action et de la réussite ? En avançant progressivement : « Je décide de faire quelque chose de facile et dont j’ai très envie, je pense que je peux y arriver, j’essaye, je réussis, je me sens efficace; du coup, j’ai envie de recommencer », explique le psychiatre. Selon lui, il est toujours possible de renouer avec le fil de son désir et de redessiner son chemin de vie. Et si, pour certains, la psychothérapie constitue un passage obligé, d’autres verront leur destin transformé par une bonne rencontre, une parole éclairante, un déclic salvateur. Ou par un proche qui croit en eux. « Quand le psychiatre Christophe André m’a proposé d’écrire un livre, j’ai d’abord pensé : “J’en suis incapable, je n’ai rien à dire”, se souvient Frédéric Fanget. Puis je m’y suis mis. Et je ne le regrette pas. Mais sans cette proposition, je crois que je n’aurais jamais écrit. »
Pour agir nous avons aussi besoin de rêves. « S’accomplir, c’est regarder vers l’avenir, affirme le psychothérapeute Alain Delourme, auteur de Construisez votre avenir. C’est grâce à ses projets que l’individu permet au futur de ne pas être une répétition du passé ou de ne pas se poser en simple succession mécanique du présent. »
Nous avons également besoin de nous sentir pleinement responsables de nos vies. Fritz Perls (1893-1970), psychiatre et psychanalyste allemand, inventeur de la gestalt-thérapie, invitait ses patients à s’y entraîner : « J’ai conscience de bouger ma jambe et j’en assume la responsabilité »; « Je ne sais pas quoi vous dire et j’en assume la responsabilité ». Progressivement, ces exercices viennent à bout de cette tendance très humaine qui consiste à mettre les autres ou les événements en position de décider pour nous.L’analyse de Michel Lacroix
«Durant l’Antiquité et le Moyen Âge, l’épanouissement de soi ne passait pas nécessairement par l’action, mais plutôt par l’inaction, la contemplation. Pouvait s’épanouir celui qui vivait libéré des tâches matérielles et loin du concret. Cela a changé à partir du XIXe siècle. Depuis, l’action est mise en valeur comme la condition sine qua non de la réalisation de soi. Se réaliser, c’est tendre vers un perfectionnement de soi, ce qui implique nécessairement un passage à l’acte. “Un homme est la somme de ses actes”, écrivait Malraux (1). Cela dit, attention au piège de l’hyperactivité. Le défi est d’équilibrer les moments d’action et les instants de lâcher-prise. »
1. In La Condition humaine d’André Malraux (Gallimard, “Folioplus classiques”, 2007).
À lire
Où vas-tu ? de Frédéric Fanget
Conseils, explications et exercices pour renouer avec le plaisir d’agir et cesser de passer à côté des choses importantes (Les Arènes, 2007).
Construisez votre avenir d’Alain Delourme
Des clés pour cesser de rêver sa vie et devenir capable de vivre ses rêves (Seuil, 2006).
[size=30]Garder le cap[/size]
Une fois les grandes décisions prises, notre entourage peut nous décourager et la routine à nouveau prendre le dessus. Trois coachs proposent six exercices pour nous aider à tenir bon.
Aurore AimeletSommaire
- Écouter son corps
- Redevenir actif
- Demander de l’aide
- Réviser son plan d’action
- Parler positif pour penser positif
- Reprendre depuis le début
- L’analyse de Michel Lacroix
Écouter son corps
« Le corps ne ment pas, estime le coach Marc Maillard (1). Il sait instinctivement ce qui est bon pour vous. » Vous dire si vous avez besoin d’air ou de repos, de vous dépenser ou de vous détendre, si vous êtes en accord avec vous-même ou en dysharmonie. Pour détecter ces signes, « exercez-vous à lâcher prise régulièrement, conseille le coach. Revenez au moment présent. En apprenant à vous recentrer, à expirer profondément, à accueillir vos sensations et à accepter vos émotions comme elles viennent, vous gagnerez en énergie et en confiance ».
1. En savoir plus : www.intemo.chRedevenir actif
« Lorsque vous vous sentez soudain manquer de courage, de temps ou d’énergie, ne remettez pas au lendemain une grande action qui demande d’importants efforts, conseille Fabrice Lacombe (2). Optez pour une petite action et un moindre effort. Chaque jour est l’occasion de faire quelque chose de cohérent avec vos aspirations. » Vous vouliez vous mettre à la chanson mais, aujourd’hui, vous n’avez pas le cœur à l’ouvrage ? Ne vous forcez pas à chanter une heure demain. Faites cinq minutes de vocalises maintenant. Cette initiative amorcera le mouvement.
2. Fabrice Lacombe, auteur notamment de Savoir prendre soin de soi (InterÉditions, 2005).Demander de l’aide
« Tout changement sur soi entraîne un changement sur l’entourage, prévient Dominique Sciacca (3). Il est important d’inclure l’autre tout au long du processus : lui raconter ce que vous vivez, mais aussi écouter tout ce que votre décision vient déstabiliser chez lui. Vous favoriserez ainsi son intérêt et pourrez compter sur son aide, dans des moments de découragement, par exemple. Laissez l’orgueil de côté pour garder votre âme d’enfant, celle qui vous faisait accepter d’être aidé pour progresser sur des terres alors inconnues. »
3. Dominique Sciacca, auteure de Sept Bonnes Façons d’organiser sa vie (InterÉditions, 2008).
Réviser son plan d’action
Comment composer avec les imprévus qui mettent à mal votre projet ? « Modifier sa route tout en gardant le cap est normal dans le processus, par essence compliqué, de la réalisation de soi », estime Dominique Sciacca. Revoyez régulièrement votre liste d’étapes à franchir et, au besoin, dressez un nouveau plan d’action mieux adapté, toujours fractionné en phases et doté d’indicateurs de progrès (le jour où vous aurez réussi à…). « Surtout, félicitez-vous de chaque objectif atteint. À chaque nouvelle étape franchie avec succès, marquez le coup par l’achat d’un cadeau ou par un dîner avec vos proches. »Parler positif pour penser positif
« Le simple fait de se dire “il faut…” ou “je dois…” est entendu par le psychisme comme un effort, explique Marc Maillard. Pour gagner en assurance, mieux vaut rester dans le plaisir du changement. Parlez positif : “je vais faire…” ou “je peux faire…” est bien plus constructif. » Dominique Sciacca confirme : « En remplaçant un simple “mais”, qui représente un obstacle, par un “et”, vous ouvrez le champ des possibles. Cessez de dire : “J’aimerais faire ça mais ça va être difficile.” Dites plutôt : “J’aimerais faire ça et c’est possible.” » Changer la façon dont vous vous exprimez, c’est changer la façon dont vous vivez les événements.Reprendre depuis le début
« Être à l’écoute de soi et plus proche de ses aspirations n’est pas une dynamique linéaire et figée, précise Fabrice Lacombe. Cela ressemble plutôt à une spirale. » Spirale qui vous fait revenir au même endroit, lequel n’est plus exactement le même puisque vous serez plus riche de ce que vous aurez expérimenté. « Plus vous grandirez, plus le questionnement s’affinera, plus l’aptitude à repérer vos blocages augmentera et plus vous serez en mesure d’agir. Vous resterez alors en éveil pour vous ouvrir toujours davantage à vous-même. »
L’analyse de Michel Lacroix
«Il faut toujours se méfier de la satisfaction, du contentement de la personne “arrivée”. La réalisation de soi doit rester un projet vivant. Ce n’est jamais un état stable et acquis. Ce qui importe, c’est d’être en tension vers le but plutôt que de l’atteindre, c’est de garder allumée la flamme du désir. Les personnes âgées qui conservent leur enthousiasme sont toujours dans le dévouement et la vitalité, elles n’ont rien perdu du goût de l’action, elles continuent de faire des projets. De toute façon, le seul véritable aboutissement, c’est la mort. Peut-être qu’à cet égard, le désir de réalisation de soi n’est qu’une manière de conjurer l’angoisse de la mort. Sans la conscience de cette fin, il n’y aurait sans doute pas cette pression qui nous oblige au dépassement de soi. »
[size=30]Ce qui importe, c’est notre cheminement[/size]
S’épanouir, devenir soi, donner un sens à sa vie : l’idée est séduisante, mais que dit-elle vraiment ? Et que peut-on faire, concrètement, pour trouver sa voie ? Le philosophe Michel Lacroix, auteur de [size=12]Se réaliser, explore cette notion aussi complexe que vitale.[/size]
Anne Laure Gannac© JupiteA lire
Se réaliser de Michel Lacroix (Robert Laffont)La réalisation de soi n’est pas qu’un rêve contemporain : si le terme est apparu au XIXe siècle, avec l’émergence du moi, l’idée qu’il exprime préoccupe les penseurs occidentaux depuis l’Antiquité. De Platon à Maslow en passant par Aristote, Kant ou Nietzsche, Michel Lacroix nous invite à entendre les conseils des philosophes et des psychologues avant de nous lancer dans l’aventure de la réalisation de soi.Psychologies : Qu’est-ce que cela veut dire, « se réaliser » ?
Michel Lacroix : C’est d’abord se percevoir comme un ensemble d’aptitudes et d’aspirations. Les tenants du développement personnel parlent de potentiel. Je préfère parler de « possibles ». Ensuite, c’est se percevoir comme ayant à réaliser ces possibles. C’est ce que signifie Nietzsche, avec sa fameuse formule : « Deviens ce que tu es » (in Le Gai Savoir de Friedrich Nietzsche - Flammarion, 2007).En quoi est-ce différent du bonheur, ou, du moins, du sentiment de mener une vie agréable ?
Lorsque nous nous percevons comme une mine de possibles à réaliser, nous nous mettons en tension vers un certain perfectionnement de nous-même. Nous ne visons pas le bonheur ou le plaisir, mais une forme d’excellence. Le bonheur, la vie agréable viendront après, par surcroît, une fois que nous aurons le sentiment de notre réalisation. Ce qui importe, c’est notre cheminement.
Est-ce à dire que la réalisation de soi est toujours en devenir ?
Il s’agit de s’inscrire dans un projet de vie, ce qui, en effet, est davantage du côté du devenir que de l’aboutissement. Victor Hugo le dit : « Personne ici-bas ne termine ni n’achève » (in Tristesse d’Olympio, poème tiré des Rayons et les Ombres, de Victor Hugo - Gallimard, 2002). On n’a jamais tout à fait fini de se réaliser. C’est pour cela que les notions d’accomplissement personnel ou de plénitude me gênent, parce qu’elles sous-entendent qu’il serait possible d’arriver au bout d’un processus.N’y a-t-il qu’une façon de se réaliser ?
Non ! Nous pouvons avoir des projets de vie dans des domaines multiples : le monde du travail ou des loisirs, la vie intime ou familiale, l’engagement humanitaire, politique…Mais comment savoir pour quel projet de vie nous sommes faits ?
D’abord, il s’agit de s’assurer que nous n’allons pas vers telle activité pour des raisons négatives : le choix d’un métier de l’enfance parce que le monde des adultes nous déplaît, ou d’une vocation religieuse parce que notre vie amoureuse est un désastre. Ensuite, que ce n’est pas pour obéir à une demande extérieure : « On m’a toujours dit que j’étais fait pour enseigner. » Puis sentir que l’on n’est pas guidé par sa seule vanité, par un désir de reconnaissance ou de célébrité.
En tête des signes positifs, il y a le désir, l’attirance. Nous pouvons aussi nous interroger : « Dans quel domaine ai-je eu le sentiment d’avoir bien réussi ? » Tenir compte de nos réussites est révélateur, à condition que le plaisir s’en mêle. Enfin, il y a nos modèles de jeunesse, des proches ou des personnalités que nous n’avons pas cessé d’admirer : pourquoi ? Que représentent-ils ? Cela peut parler de notre propre désir et de notre vocation. Toutefois, rien n’empêche de changer de projet de vie au cours d’une existence. Il faut s’accorder un droit à une nouvelle chance, sans estimer que ce serait un échec. L’échec serait de s’enfermer dans un choix de vie qui nous collait à 20 ans et qui ne nous correspond plus à 50 ans.Vous parliez de viser un certain perfectionnement de soi. Le danger n’est-il pas de sombrer dans le perfectionnisme ?
Si, mais je crois que pour l’éviter, il nous faut apprendre à concevoir la réalisation de soi comme une moisson pas seulement dans le champ de l’exceptionnel, mais aussi dans le champ de l’action modeste et quotidienne. Il faut réconcilier nos ambitions avec le réel.Quels sont les autres dangers à connaître ?
L’hyperactivité : certains conçoivent la réalisation de soi comme une frénésie activiste. Or, la vie est un mouvement plus ou moins équilibré entre action et contemplation. Il y a le risque de s’isoler, en se pensant seul maître de son projet de vie. C’est Goethe qui parle de l’« égoïsme supérieur », ou Nietzsche, pour qui non seulement chacun se fait tout seul, mais aux dépens des autres. Or, nous nous faisons grâce à des amitiés, par des relations de travail, dans le lien conjugal, avec le soutien familial, etc.A DÉCOUVRIR
Idées clés
Se réaliser c’est…
Prendre conscience de ses aptitudes et de ses désirs, et vouloir les concrétiser.
Renouer avec son esprit d’adolescence.
Viser un perfectionnement mature de soi.Sommes-nous tous égaux face au besoin de se réaliser ?
Abraham Maslow (psychologue américain considéré comme le père de la psychologie humaniste) dit qu’il y aurait un « besoin d’actualisation de soi » inscrit en chacun de nous. Du point de vue philosophique, il apparaît que nous sommes des êtres de désir, de projets. L’être humain ne se contente pas de ce qu’il est, mais est en permanence dans une inquiétude, un sentiment d’inachèvement, qui le pousse sans cesse vers autre chose. « L’homme est ce qu’il n’est pas et n’est pas ce qu’il est », dit Sartre (in L’Être et le Néant de Jean-Paul Sartre - Gallimard, 1976). Et c’est cela le ressort de la réalisation de soi : se percevoir toujours sur le mode du « avoir à être ».Puis tout le monde n’a pas les moyens de s’interroger sur ce qu’il désire vraiment faire dans la vie…
Je récuse l’idée que la réalisation de soi ne soit le fait que de happy few, de privilégiés, parce qu’elle peut se faire dans tous les domaines, et pas seulement dans les sphères de la gloire éclatante ou médiatique !Mais est-ce qu’une période de crise comme celle que nous traversons ne complique pas la capacité à se remettre en question et à se lancer dans un projet de vie ?
L’état de la société influe sur nos désirs et sur notre volonté d’agir. Toutefois, quelle que soit l’époque, se réaliser consiste toujours à trouver un équilibre entre le principe de réalité, la prise en compte de la situation actuelle et le principe de désir, c’est-à-dire ce que nous souhaitons vraiment faire de notre vie. La crise économique et la morosité ambiante sont effectivement des obstacles, ce ne sont que des obstacles de plus parmi d’autres, plus intérieurs, tels que le poids du passé, de l’enfance, de notre éducation, de la psychogénéalogie… Tout projet de réalisation de soi doit tenir compte de ces difficultés.
Plus encore : vous constaterez que ce n’est pas en période faste et calme que nous sommes les plus actifs, au contraire, nous avons alors tendance à nous laisser emporter par le cours tranquille de l’existence. Transformer les entraves en carburant, opter pour un esprit volontariste et non pas victimaire : voilà la démarche propice à la réalisation de soi. « Tout bonheur est dans la lutte », dit Nietzsche (In Humain, trop humain de Friedrich Nietzsche - Hachette Littératures, 2004).À quoi reconnaît-on que l’on se réalise ?
Je crois qu’il faut se fier à un sentiment intérieur plutôt qu’à des critères extérieurs. À une certaine forme de satisfaction. Comme le sentiment d’avoir fait… son possible. Non pas d’avoir fait tout ce que l’on voulait faire, c’est impossible en une vie, mais au moins d’avoir concrétisé plusieurs des projets qui nous tenaient à cœur.
Et vous, Michel Lacroix, est-ce que vous avez le sentiment de vous être réalisé ?
Si je me replace au seuil de ma vie adulte, je me remémore deux projets qui me tenaient à cœur : consacrer ma vie à la réflexion et à l’écriture d’une part, et d’autre part remplir ma tâche de père et de transmetteur. Aujourd’hui, je dois à ma persévérance, aux hasards de la vie et surtout au soutien de mes proches d’avoir fait aboutir ces deux aspirations. Et de ressentir les plaisirs qu’ils m’apportent avec la même intensité. Cela ne doit pas être loin, en effet, du sentiment de s’être réalisé.Le risque n’est-il pas de se disperser ?
Si, en effet. Il doit y avoir un projet dominant. Ce n’est pas que les autres domaines vont être négligés – la réalisation de soi dans le travail n’a pas à se faire au détriment de la vie familiale, par exemple. Simplement, il faut s’efforcer de suivre un sillon, pour éviter de devenir un « dilettante de la réalisation de soi ». Par ailleurs, les projets s’enracinent dans des passions qui ont éclos à l’adolescence, quand nous avons commencé à nous projeter dans le futur sous la forme d’un idéal. Mais la réalisation de soi exige un dépassement de cet esprit d’adolescence, qui incite à ne vouloir renoncer à rien. Cela revient donc à être à la fois fidèle à son esprit de jeunesse, aux passions qui nous habitaient adolescents, et suffisamment mûr pour choisir et accepter l’autorestriction, renoncer à l’idée de toute-puissance.Il y a donc toujours, à la base, un sentiment d’insatisfaction.
Je crois, oui. Et ce sentiment peut nous faire basculer soit dans une sorte de dépression, soit au contraire galvaniser notre énergie et nous propulser vers l’avant.juillet 2009http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Personnalite/Articles-et-Dossiers/Se-realiser-en-5-etapes/S-interroger/4- Accueil
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Ajoutée le 7 nov. 2013
Clip des petits boudins, premier single du nouvel alboum d'AC/DC "let there bignou",
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Voulez vous coucher avec moi ?
Ce soir je serai la plus belle pour que t'ailles à la déchetterie, chéri !
Il faut que je synthétise et je croise tous les nouveaux bouquins sur la douance avec mes expériences, c'est le bordel, j'ai la flemme.
Libérez ma chérie
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=7Claxv05ZrA
Ce soir je serai la plus belle pour que t'ailles à la déchetterie, chéri !
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=1ESb2_wr9lY
Il faut que je synthétise et je croise tous les nouveaux bouquins sur la douance avec mes expériences, c'est le bordel, j'ai la flemme.
Libérez ma chérie
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=-sFFRDRBWfc
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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- Penses à aller poster for fun
ton luc, ta tronche en Wais là ou en wiscky ou en coma's you are ? :
https://www.zebrascrossing.net/t30196p225-le-premier-dimanche-du-mois-bas-les-masques#1277466
Dernière édition par I am so sure le Dim 7 Mai 2017 - 14:54, édité 1 fois (Raison : Si les psychiatres ont les échelles, si je vais me faire tester tu penses qu'en polyvalent il me ferait mes peintures ? voire un ravalement de façade ?)
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Deux écharpes en cachemire noire plus tard en soldes à - 50 pour cent J'ai déjà fait un trou mais comme quoi ça permet de rester lumineux ce forum hasch sans drogue aucune tag tête dans poule
Eude et f nous vous devons plus que l'allume hier, bien moins qu'eude mains, miaou
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Mode récent quoi d'accord high way to elle alors
mieux vaut auto gnome que autoroute qui déraillent, raillent way to elle aussi, il n'y a donc que rail qui m'aille quand la moue, tarde, et leur monte au nez.
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- https://www.youtube.com/watch?v=7GpGjk5gKqs
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Dialogue de sourdoués tout à l'heure...
Alors il m'a dit : j'ai des traumas
Et je lui ai répondu : j'ai un trois mats aussi
On était fait pour aller se boire un chocolat, la mastourbation intellect ne tue pas elle.C'est un fameux trauma.... cuissez haut
J'avais pris mon pen, restez à la niche
Dernière édition par I am so sure le Dim 7 Mai 2017 - 19:15, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Alors il m'a dit : j'aimerai voir tes seins dans la Drôme.
Et je lui ai répondu : ça ne va pas être possible, je suis Casper le fantôme enfin il me paraîtrait mais ça ne veut pas rentrer dans mon crâne, y'a trop de vent
Souffles, ah ben sinon tu vas inverser les contre courants...
[size=30]Prélude (Pater Noster) / Quand j'aurai du vent dans mon crâne
Serge Reggiani[/size]
Quand j'aurai du vent dans mon crâne
Quand j'aurai du vert sur mes osses
P'tête qu'on croira que je ricane
Mais ça s'ra une impression fosse
Car il me manquera
Mon élément plastique
Plastique tiqu' tiqu'
Qu'auront bouffé les rats
Ma paire de bidules
Mes mollets mes rotules
Mes cuisses et mon cule
Sur quoi je m'asseyois
Mes cheveux mes fistules
Mes jolis yeux cérules
Mes couvre mandibules
Dont je vous pourlèchois
Mon nez considérable
Mon coeur mon foie mon râble
Tous ces riens admirables
Qui m'ont fait apprécier
Des ducs et des duchesses
Des papes des papesses
Des abbés des ânesses
Et des gens du métier
Et puis je n'aurai plus
Ce phosphore un peu mou
Cerveau qui me servit
A me prévoir sans vie
Les os tout verts
Le crâne venteux
Ah comme j'ai mal
De devenir vieux
Paroliers : Boris VIAN / Serge GAINSBOURG
Paroles de Prélude (Pater Noster) / Quand j'aurai du vent dans mon crâne © Editions Majestic - Jacques Canetti
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Shitomygod, Trou duc c'était le mari de la duc cheese ? d'un j'ai pas dit "Monsieur" Trou duc et en plus j'ai pas dit bonjour à sa femme Je suis vraiment l'arène pas nette... pompompom pompompom
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
La douance c'est
- Spoiler:
- quand tu tombes sur une ex connaissance gars sur badoo et que tu le cases avec une ex collègue de boulot que tu as vu se mettre sur meetic...Et c'est pour qui les fleurs et les boîtes de chocolats ? c'est pour moi. Par un amoureux ? rencontré sur ces sites ? ah ben par le couple que j'ai mis ensemble (sinon c'est pas drôle et détourné voire trop simpleLa douance c'est aussi "détecter" un gratteux et sa femme en le vendant du cd et du bouquin sur le bon coin le "oui mais", oui mais ? pas d'Armes hisse tisse pour les serres et bros.J'adore Badoo par chez moi parce qu'en fait j'ai toujours des messages de gars qui me disent : je t'ai vu à fond la caisse à tel endroit et du coup j'ai 12 000 personnes qui me disent bonjour après, donc je dois changer de coin pour faire "Calimérotte" toute seule sinon on croivait que je suis avec plein de gars.Heureusement que je suis venue m'isoler ici pour y ramener tout le monde, vivement le forum ZB que pour les vieux que je puisse de nouveau me "casmisoler".Sinon j'ai aussi corrigé plein d'annonces de gars zébres sur Adopte un mec.com.Bon j'y retourne, j'ai du fan et de la fannette de Depeche Mode à mettre en relation sur Facebook, mode depeches toi t'as vu y'a un fan de par chez toi plutôt pas mal qui est célib et fan....Peut n'importe le nawak, pourvu que ça fasse du vent Il était temps que je devienne vieille et sage en arrivant ici il y a 4 ans.... je me sens plus mûreDonc je comprends pas, cela dit j'avoue enfin que moi bonjour tous les jours, j'ai toujours prévenu tout de suite, bon là on se dit bonjour, soit on va s'entendre et on se le dira plus jamais, soit on se le dit plus, un ça compte pour tout le temps... mais bon je con soi et je te présente mes plus assiettes creuses excuses, logiquement je fais tornade mauve tout le temps mais jamais au même endroit, je varie les déplacements en plannings organisés, ça laisse soit du temps de réflexion, soit du temps de repos, ect... bref pour 50 ans ça va pas le faire, ça me semble mal parti, je reporte à 60 ans...
Perds pas la bulle.
Quand tu con danses, personne il te le dit que c'est bien, critique est un beau métier à faire par un le le doué, mais il faut qu'il épouse une critique qui fait les compliments critique, quelle paradoxe ce mot.
Quand leurs corps se serrent sous la mouette, leurs jambes se barrent dans tous les sens
Pour le pigeon je te laisse légender. je te laisse les gens aussi tiens.
j'ai des doigts plein de chocolat qui m'attendent pour avoir les doigts plein de chocolat
je sais je suis con comme un manchon, et alors ? d'abord ? hein ?
8 mai non
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Si le le doué n'arrive pas à conclure, c'est parce qu'il met des épithètes partout, au lieu des attributs. On l'a lu dans le boule de Chrystal
- Spoiler:
- Accueil 5 Apprendre la drague 5 Cessez de complexifier la drague : osez la séduction simple !
Cessez de complexifier la drague : osez la séduction simple !Il n’y a aucune manière « artificielle » de créer de l’attirance. C’est un mythe. Une invention marketing. Si vous êtes obèse, chauve, édenté, timide et un peu con sur les bords, bon courage pour « construire de l’attract’ » !
La seule méthode qui marche vraiment, c’est celle qui consiste à développer les attributs et les compétences qui génèrent, ou permettent de générer, de l’attirance chez les femmes NATURELLEMENT.Mais pourquoi !?!
Ce constat ci-dessus n’est pas une incroyable révélation. Je ne suis même pas le seul à le dire. Et, pour la plupart de ceux qui pratiquent la drague (ceux qui sont sortis de l’abstraction théorique il y a bien longtemps), c’est une évidence.Même les mecs d’accord avec moi sur la simplicité du processus, sont presque incapable de faire simple et s’efforcent d’utiliser des techniques pour attirer les filles…La bonne question c’est : pourquoi tant d’hommes ressentent le besoin de complexifier la séduction dans l’espoir de créer de l’attirance ?
La réponse, je l’ai trouvé tout à fait au hasard en lisant un livre de Stephen King : « Ecriture : Mémoire d’un métier ».Dans cet essai sur l’écriture, Stephen King décrit ce qui est pour lui l’une des plus grosses erreurs des romanciers débutants. Rien à voir avec la séduction en apparence, pourtant le parallèle est flagrant.L’erreur du débutant : en faire TROP !
Une des pires erreurs des écrivains amateurs est de faire des pavés pour décrire des scènes simples, qui ne sont pas d’une grande importance pour le récit. Ils se noient dans des descriptions grandiloquentes, ennuyeuses, qui font complètement perdre le fil de l’histoire aux lecteurs.Pour Stephen King, l’objectif d’une description est de permettre au lecteur de se figurer la scène avec sa propre imagination. Pour cela, décrire quelques détails bien choisis suffit amplement. Pourtant, très rares sont ceux qui y parviennent. La plupart des aspirants écrivains se sentent forcés d’étaler des tartines de description et de vocabulaire rare.Et, qu’est-ce qui pousse les novices à tomber systématiquement dans le piège d’en faire « Too Much » ?La peur !- La peur de paraître trop simpliste aux yeux des lecteurs.
- La peur de ne pas réussir à faire imager la scène.
- La peur de déplaire — d’être pris pour un scribouillard.
Un bon écrivain, quant à lui, est toujours simple et bref ; il ne ressent jamais le besoin d’en faire des tonnes sur des détails mineurs, ou d’utiliser des mots rares à 5 syllabes pour impressionner…C’est ce qui le différencie des autres, ce qui rend sa prose fluide et agréable à lire. Il a assez confiance en lui, il est assez détaché du besoin de plaire, pour oser la simplicité !Il se trouve que c’est EXACTEMENT la même chose pour le séducteur !
Si beaucoup d’hommes en font TROP devant les filles, c’est parce qu’ils manquent de confiance en leur capacité à plaire naturellement. Par conséquent, ils craignent que sans faire de gros efforts ou utiliser des techniques ils ne puissent pas attirer.Alors, au lieu d’avoir une discussion relativement normale et spontanée, et laisser le la tension et la connexion s’installer, ils cherchent à :- Divertir,
- Impression,
- Sortir des techniques (qui soi-disant génère de l’attirance) à tout va.
L’attraction est déjà déterminé…
Au moment où vous approchez, votre capacité à attiré est déjà déterminé. Même ce qui vous confère du charisme pendant l’interaction (votre éloquence, votre langage corporel, etc.) et ce qui vous permet de supporter la tension sans la dissiper ne s’improvisent pas. Tout cela est déterminé par le travail que vous avez fait sur vous-même, et l’expérience pratique que vous avez acquises.S’il est facile de distinguer un bon écrivain d’un mauvais, il l’est tout autant pour une fille entre un homme avec de l’assurance (qui transpire la confiance sexuelle par tous les pores de la peau) et un autre fait semblant. Les femmes interagissez très jeunes avec un tas d’hommes qui les draguent, et elles développent un véritable instinct pour faire la différence.Elles détectent votre peur à travers les apparences ! Elles savent que c’est ce qui vous pousse à faire le show devant elles, à dissiper la tension, à discuter sans escalader.Est-ce qu’un mec doit faire le fanfaron pendant des heures pour espérer séduire une fille ?… Non : fanfaronner dégrade votre aura. Cela TUE l’attirance qu’elle pourrait ressentir si vous étiez authentique et laissiez faire la nature !Imaginez-vous James Bond en version joyeux drille super bavard !?! Il perdez beaucoup de son sex-appeal…Complexité ≠ Attraction
Petit exercice de visualisation. Représentez-vous ceci :[list="padding-right: 0px; padding-left: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 25px; margin-left: 10px; outline: none; list-style: none; border: 0px none; text-align: justify;"]
[*]Vous avez un bon look. Vous n’avez pas forcément une gueule de top model, mais êtes propre, racé, masculin.
[*]Vous savez bien vous exprimer. De manière élégante, avec une voix posée et assurée. Aussi, vous savez bien vous exprimer « non-verbalement » par votre gestuelle et vos expressions faciales.
[*]Vous savez comment interagir avec les femmes. Vous êtes non-réactif. Vous savez regarder dans les yeux, faire avancer l’interaction progressivement. Vous savez aussi quand il faut parler ou vous taire.
[/list]
En somme : votre seule présence, et l’aura qu’elle dégage, attire ! Il vous suffit d’interagir quelques minutes avec une femme pour lui montrer que vous êtes un homme sexué et désirable. Vous en avez conscience.Si vous êtes CET homme, ressentez-vous le besoin de :- Passer par des phases imaginaires ?
- Placer des « techniques d’attraction » dans la discussion ?
- Cacher votre intérêt complètement ?
Ça m’étonnerait !Je pense au contraire que vous vous sentiriez détendu et détaché, avec la sensation que votre présence est attirante. Et puis c’est tout !
Vous ne vous soucieriez pas d’amener autant de fun que possible dans la conversation ; de placer telle histoire DHV, ou telle technique. Vous ne sentiriez pas le besoin de passer par une « phase d’attraction » sans fin avant de tenter quelque chose. La phrase d’attraction, vous auriez l’impression de l’avoir valider DÈS les premières secondes !Ce qu’il vous manque pour une séduction simple
Si vous vous compliquez la vie avec les filles, c’est parce que vous n’avez pas (encore !):[list="padding-right: 0px; padding-left: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 25px; margin-left: 10px; outline: none; list-style: none; border: 0px none;"]
[*]les attributs,
[*]les compétences – sociales et de séduction -,
[*]les bonnes perceptions…
[/list]
…pour séduire.En réalité, en complexifiant la séduction, vous ne faites qu’essayer vainement de compenser des éléments que vous ne possédez pas encore. Quand vous les aurez, d’une part vous séduirez simplement, mais aussi vous serez à un tout autre niveau ! À des années-lumière de tous ces gars qui se prennent la tête sur des détails insipides – comme l’opener, les sujets de conversation à utiliser, etc.En attendant, vos objectifs pour progresser en séduction sont les suivants :(1) Développez des attributs et compétences qui permettent de séduire.(2) Simplifiez votre drague !Allez hop : au boulot !
Chrys
http://www.drague-academie.com/seduction-simple/
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Comment draguer simple quand on est trop intelligent complexifiant et avec des complexes perdu dans le labeat, éreinté.... comme quoi hein, être mi normo, mi pensant ça ouvre à la science du milieu - La peur de paraître trop simpliste aux yeux des lecteurs.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Tu crois ? que mon histoire de non structure, ça viendrait de l'armature ? au niveau de la glottrre qui me soutient la gorge ?Tu vas voir qu'on va aussi me faire découvrir que j'ai un ascendant dindon, au niveau de la descente, après caméléon, je me sens comme dés astre au logis, pourvu que je ne comète plus aucune imposture, ça serait un facteur aggravant, au niveau du vélo sur lequel pédale de distorsion, le hamster.Dinde oh no. I want a cordon bleu
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Diag'nose'tics nez pas fouilles
- Spoiler:
- DUNKERQUEL’arsenal de Louis XIV fait surface au parc de la MarineAprès la démolition de l’école du parc de la Marine, place au diagnostic archéologique. Jusqu’au 12 mai, les archéologues de l’INRAP explorent le sous-sol pour reconstituer l’histoire de cette partie de la ville. L’arsenal de marine du XVIIe siècle a laissé des traces.Par Annick Michaud | Publié le 02/05/2017Pendant encore dix jours, les archéologues vont sonder le sous-sol de l’école du Parc de la Marine. PHOTO MARC DEMEUREAprès avoir démoli, on creuse, sur le site de l’ancienne école du parc de la Marine, où est projeté l’aménagement d’un pôle de commerces et de logements. Les archéologues de l’INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives) ont pris possession des lieux pour un mois, afin de réaliser un diagnostic (lire ci-dessous).Un bel espace de jeu d’1,2 hectare pour eux. Leur but : reconstituer le passé de Dunkerque à partir des traces qu’ils trouveront en creusant jusqu’à trois mètres sous le niveau de l’école récemment disparue. « On dispose de plans précis de la zone à partir du XVIIe siècle parce qu’on était dans le secteur de l’arsenal de la marine royale de Louis XIV quand le roi de France a repris la ville, explique Thierry Marcy, responsable scientifique du diagnostic. Un plan de Deventer* de la deuxième moitié du XVIe siècle nous dit qu’on est hors des remparts de Dunkerque, dans un secteur où on a des canaux et potentiellement un petit secteur d’habitat. Notre but est de vérifier la présence ou l’absence de niveaux plus anciens que l’arsenal. »Les recherches sont également intéressantes « pour recaler précisément les plans anciens, vérifier l’iconographie, comprendre l’occupation humaine, l’environnement ancien, le trait de côte », détaille encore l’archéologue.
Deux bâtiments de l’arsenal
Les plans anciens, ceux du XVIIe siècle en tout cas, n’ont pas menti. Les archéologues ont retrouvé des vestiges de l’habitation de l’intendant de la marine, côté boulevard Alexandre-III. L’arsenal se composait aussi d’un grand bâtiment en arc de cercle jusqu’à l’actuelle rue des Fusiliers-Marins. Pour le reste, l’arsenal consistait « en une vaste esplanade », le parc actuel, qui était un chantier naval, agrémenté d’une forge, d’entrepôts…Les archéologues vont aussi chercher des traces du canal des Moëres, qui arrivait alors dans la ville, comme le canal de Furnes dans son ancien tracé.De l’arsenal aux blockhaus
De l’histoire du secteur du parc de la Marine ne subsiste qu’un vestige visible : la porte ancienne à l’entrée du centre commercial, qui gardait en son temps l’entrée de l’arsenal de la marine.La construction de l’arsenal avait été souhaitée par Louis XIV. Rachetée par le roi de France en 1662, Dunkerque devait ainsi se doter d’un lieu de construction des navires de guerre. Sa construction débute vers la fin du XVIIe siècle. Mais elle connaîtra un coup d’arrêt en 1713, avec la signature du traité d’Utrecht et la destruction des infrastructures portuaires par les Anglais. Ce qui existe de l’arsenal subsiste mais perd alors beaucoup de sa raison d’être.Les bâtiments subsisteront jusqu’au XIXe siècle, en se dégradant. Ils seront progressivement détruits dans la première partie du XXe siècle, une époque où le parc de la Marine vivra une deuxième histoire, avec la construction de blockhaus servant de dépôts de munitions aux Allemands.Le dernier a été détruit en même temps que l’école du Parc de la Marine* Jacob (Jacques) Van Deventer, cartographe néerlandais du XVIe siècle.Diagnostic n’est pas fouillesLe diagnostic archéologique est un préalable que la loi rend obligatoire avant tout projet d’aménagement, comme c’est le cas sur le site de l’ancienne école du parc de la Marine, où la CUD souhaite voir émerger des commerces et des logements.Le diagnostic donne lieu à un rapport. Pour le site actuellement entre les mains de l’INRAP, il devrait être rendu cet été. C’est ensuite au service régional d’archéologie, qui dépend de l’État, que revient la décision de faire procéder à des fouilles, autrement dit à des investigations plus poussées, en fonction de l’intérêt historique du site, des éléments archéologiques qui y ont été découverts…Si fouilles il y a, elles sont à la charge de l’aménageur. Elles peuvent retarder le projet, voire amener à sa modification si des éléments présents dans le sous-sol doivent être sauvés.A. M.http://www.lavoixdunord.fr/156116/article/2017-05-02/l-arsenal-de-louis-xiv-fait-surface-au-parc-de-la-marine#utm_medium=redaction&utm_source=facebook&utm_campaign=page-fan-dunkerque
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Il ne va pas osselet quand même, ah ben si
Dernière édition par I am so sure le Lun 8 Mai 2017 - 21:03, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Vu de la porte en question,
Je luis entre deux. 16(64) et catorze: Il m'éblouie, 15 Le roi soleil.
Il n'y a pas à dire, t'as vu "je suis canon", une vraie trouduchesse
------------------------------------------------------------------------------Ca voudrait dire en fait que celui qui se prend une veste, se voit con, damné, seul, à se lustrer la tige, n'ayant pas pu tirer au canon ?
Dernière édition par I am so sure le Jeu 11 Mai 2017 - 0:48, édité 2 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Coucou I am so sure
J'aime bien tes photos où le soleil est présent
Bises
J'aime bien tes photos où le soleil est présent
Bises
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Localisation : virtuelle
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
offset a écrit:Coucou I am so sure
- Spoiler:
J'ai un quota de soleil à respecter dans le cadre de la déclaration des droits de l'homme et du site hawaïen.J'aime bien tes photos où le soleil est présent
Bises
Cette lutte me laisse parfois terrassée
mais je lutte encore
Dernière édition par I am so sure le Lun 8 Mai 2017 - 21:02, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Ces photos reflètent de l'énergie
Toute lutte est suivie d'épuisement mais c'est pour avoir son quota de liberté
Merci
Toute lutte est suivie d'épuisement mais c'est pour avoir son quota de liberté
Merci
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Parole de chatliméro
Dernière édition par I am so sure le Lun 8 Mai 2017 - 21:02, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
La douance est un cockt'elle entre divers mouv anses
------------------------------------------------------------------------------------------Punk
Y'avait un temps j'étais étudiant J'étais poli j'étais charmant J'étais étudiant en littérature J'avais du jugement et des idées sûres Aujourd'hui j'suis Punk c'est plus marrant
Y'avait un temps j'étais décadent Mais j'avais du coeur et d'grands sentiments C'était un temps j'portais la cravate J'étais tolérant et populocrate Aujourd'hui j'suis Punk c'est plus marrant
C'est pas compliqué 'suffit d'un peu d'imagination C'est pas compliqué 'suffit d'être sûr de ses raisons Dépasser le stade anarchico-psychédélique Savourer l'plaisir du politique
Y'avait un temps j'étais étudiant J'avais d'beaux yeux et pas de poil aux dents J'écoutais les Doors en lisant Cioran J'trouvais les Pistols un peu bruyants Aujourd'hui j'suis Punk…
Y'avait un temps j'tais bon enfant Mais j'avais des haines et du répondant Le monde allait mal c'était distrayant Et j'lisais l'journal en gémissant Aujourd'hui j'suis Punk…
C'est pas compliqué 'suffit d'un peu d'imagination C'est pas compliqué 'suffit d'être sûr de ses raisons Dépasser le stade anarchico-psychédélique Savourer l'plaisir du politique
Y'avait un temps c'était confondant C'que j'me mentais sans ménagement J'arrivais à croire qu'j'étais d'bonne foi Petit avatar de Robin des Bois Aujourd'hui j'suis Punk…
Parfois j'me r'vois en train d'prôner l'bien Et j'me dis comme-çà que j'reviens d'loin C'était un temps pas si lointain Un frisson m'prend quand j'm'en souviens… Aujourd'hui j'suis Punk.
C'est pas compliqué 'suffit d'un peu d'imagination C'est pas compliqué 'suffit d'être sûr de ses raisons Dépasser le stade anarchico-psychédélique Savourer l'plaisir du politiquePourquoi les punks portaient-ils des épingles à nourrice ?Tout est parti de la rage incommensurable que portait en lui Johnny Lydon, le futur Johnny Rotten, chanteur des Sex Pistols.
Londres, 1975. John a dix-neuf ans.Il est parti de chez lui, il vit dans un squatt à Hampstead —quartierrésidentiel de Londres— et vomit la société dans laquelle il a vu le jour. Il avécu une enfance misérable, une méningite a achevé de le mettre à l'écart desautres et il bout d'une rage qu'il exprime par des moyens divers. Il s'est coupéles cheveux, en rupture avec les hippies, les a teints en vert.Pour lesvêtements, même technique : il achète, ou récupère, des costumes à bas prix, leslacère à coup de ciseaux et fait tenir les morceaux avec des épingles ànourrice. Une façon de refuser jusqu'aux codes vestimentaires. Attifé ainsi, ilse balade sur King's Road, où se situent alors les boutiques de vêtements lesplus en vue.On y trouve notamment la boutique SEX, dirigée par VivienneWestwood. Elle est mariée à Malcolm McLaren, futur manager des Sex Pistols, quiproposera à Johnny de devenir le chanteur du groupe... Vivienne Westwood, de soncôté, intègre l'épingle à nourrice dans ses créations. Certains soutiennent queMacLaren aurait reconnu dans ce visuel les affiches parisiennes de mai 68 quil'avaient tant impressionné à l'époque.Quoi qu'il en soit, avec l'explosionpunk, les jeunes en rupture avec la société de consommation adoptent toutes lesattitudes provocatrices possibles. Sans aller jusqu'au collier de chien deSiouxsie and the Banshees, ou les croix gammées de Sid Vicious, l'épingle ànourrice se généralise, et passe des vêtements au corps, en piercing, histoirede faire frémir dans les chaumières. Les effets de mode et le suivismes'incrustent partout, y compris chez les keupons qui prétendent vomir lamode.Sartre avait prévenu : " Il n'estpas de sentiment plus communément partagé que de se vouloir différent desautres ".Jusqu'à preuve ducontraire...http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/les-pourquoi/pourquoi-les-punks-portaient-ils-des-epingles-a-nourrice_1747193.html
Il faut savoir boucler l'épingle à nourrice, afin que d'autres baby sisters te nourrissent...
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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C'était fatal, on allait finir chez Picard...
Dernière édition par I am so sure le Mer 10 Mai 2017 - 17:49, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Dernière édition par I am so sure le Mer 10 Mai 2017 - 17:48, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Doudouille et cie comme ça je fais de la lumière et de l’énergie une vraie centrale à vapeur.
JOUET OPTIQUE : LA LANTERNE MAGIQUE EN KITConstruisez votre lanterne magique et projetez des images jusqu’à 1 mètre de large.Maquette en carton facile à construire et entièrement fonctionnelle.Mode d'emploi en Français ou AnglaisIMPORT ALLEMAGNEhttp://www.heeza.fr/fr/jeux-jouets-jouets-optiques/1485-jouet-optique-la-lanterne-magique-en-kit.html
Dernière édition par I am so sure le Mer 10 Mai 2017 - 17:48, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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euh les portes de la la perception ? avec hein position des nains ou pas
euh narcisse balises ta piste ?
euh le pont de la rive, hier, kawai ou de l'arrive hier K.Way ?
euh j'ai mis du soleil au milieu de mon arbo de cuit ? (t'as pas envie de carbonara là subeatement ?)
euh ... quand deux arbos se croisent ça fait des éclairs lumineux ? (ça lard zen ? on se fait des pâtes alors ou pas ?)
euh... I believe I can fly ? to beat or not to be alive ? mieux vaut pates que mio pâtes ! (m'a dit un doué en fauteuil roulant...)
euh.... oh les mains, peau de banane
euh, elle c'est ma bitte ? et au loin l'histoire de rémi le cormoran qui révait d'être un albatros ? mais on ne choisit pas, c'est la suite qu'on choisit ou pas pa pa la en raie majeur
comme une moule assise sur son banc ? à coté de sa paire d'encre age ? tu verras bien qu'un baume atteint fat irrigué au j'irais m'échoir sur le trottoir d'à coté hé hé ou alors
un remix de renaud : comme elle avait marre d'être sur une beat da marrage, elle a choisi un banc ?
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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[size=25]Faux self : bas les masques ![/size]Marc Olano
Article modifié le 24/02/2017
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[size=18]Porter un masque pour mieux jouer la comédie sociale, c’est une chose. Oublier qu’on le porte ou se sentir incapable de l’enlever, c’en est une autre ! Comment se retrouve-t-on piégé par son faux self ? Et comment s’en débarrasser ?
[/size]Article issu du numéro
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N°24 - mars/avril/mai 2017
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Au temps du théâtre grec, les acteurs avaient pour habitude de porter des masques (les per sona) permettant aux spectateurs de reconnaître le rôle qu’ils jouaient, mais aussi de faire résonner leurs voix, afin d’être audibles pour tous. Ces persona, du latin per-sonare, « parler à travers », le psychanalyste suisse Carl Gustav Jung en a fait un concept analytique. Selon Jung, la persona, c’est « ce qu’en réalité nous ne sommes pas, mais ce que nous-même et les autres pensent être. » C’est en quelque sorte notre face sociale qui se construit au fur et à mesure de notre enfance. L’enfant apprend à s’adapter aux conventions sociales à travers des codes de communication et de conduite, comme les formules de politesse ou la retenue en public par exemple. Mais son identité se construit aussi en fonction de la liberté que son milieu et notamment ses parents lui laissent pour exprimer ses besoins et désirs. Plus la pression externe est forte, plus il aura tendance à se cacher derrière une identité de façade. Dans l’idéal, l’enfant va développer un savant mélange de conduites adaptées et d’attitudes plus spontanées qui traduiront ses aspirations personnelles. Mais, pour certains, la balance va fortement pencher du côté du conformisme, au point de perdre de vue ce qui fait leur spécificité. C’est ce que le psychanalyste britannique Donald W. Winnicott a nommé pour la première fois en 1960 le faux self.Faux self ? Persona ? As if ?...
D’après Winnicott, le tout-petit pense que c’est lui-même qui crée les objets du monde extérieur. Pour accéder à la réalité du monde, il aurait besoin de passer par cette illusion. « Lorsqu’il doit renoncer à cette idée pour se conformer à une attente extérieure, c’est-à-dire quand il n’a pas la chance de rencontrer un environnement qui s’adapte à ses nécessités intérieures, il sera profondément attristé », explique le psychanalyste Denys Ribas, auteur de Donald Woods Winnicott (chez PUF). C’est à ce moment-là que le faux self va se mettre en place. « Ces enfants vont exprimer ce dont ils pensent que leurs parents ont besoin pour ne pas être trop tristes. Ils vont écraser leurs angoisses de séparation pour protéger leurs parents. » Ils se coupent donc très tôt de certains de leurs ressentis pour s’adapter à leur environnement familial. « Ces enfants vont développer un self de conformité aux attentes extérieures et non pas un self authentiquement en prise avec leur créativité », affirme le psychanalyste.
C’est effectivement autour d’un défaut d’exploration créative que s’ancre l’origine du faux self chez Winnicott. La créativité s’entend ici non seulement dans le sens artistique, mais englobe plus largement tout ce qui est propre à l’enfant : sa spontanéité, son imaginaire, sa capacité à jouer, à rêver,… C’est ce que Winnicott appelle le vrai self. Lorsqu’un faux self se met en place, il va occulter le vrai self. L’enfant se met au service des autres, au lieu d’écouter d’abord ses propres besoins. Il va développer une sorte de fausse identité qui lui permettra de survivre, mais qui, d’un autre côté, le laissera avec un sentiment d’étrangeté, d’inutilité et de vide.
Bien avant Winnicott, en 1928, Jung évoquait pour la première fois la persona, une forme de masque social que nous développons tout au long de la vie pour répondre aux attentes de notre milieu. Reine-Marie Halbout, psychanalyste jungienne et membre de la Société française de psychologie analytique, utilise ce concept dans sa pratique. Selon elle, c’est souvent autour de pressions trop importantes, notamment dans le domaine scolaire, que se développe ce « complexe », dans la terminologie jungienne. Et ce plus particulièrement, lorsque les attentes familiales prennent trop de place et que l’enfant n’a pas assez d’espace pour nourrir d’autres aspects de son être. « La persona occupe le devant de la scène quand le véritable moi de l’enfant, dans sa dimension de fragilité et de doute, ne peut pas être accueilli dans son environnement familial, scolaire et social. Les personnes qui surinvestissent la persona ont été carencées dans leur enfance. Ne se voyant pas satisfait dans leurs attentes profondes, elles opèrent une scission au niveau de leur personnalité », explique Reine-Marie Halbout.
Dans la pensée jungienne, les complexes apparaissent toujours sous forme dialectique : le moi et le soi, l’anima et l’animus (la part féminine et masculine inconsciente en chacun de nous) ou encore la persona et l’ombre. Si la persona est la part visible de l’individu, son identité sociale, l’ombre est sa part cachée, ce qui est refoulé ou n’est pas jugé acceptable dans une famille ou une société. « Plus la persona se doit d’être impeccable et brillante, plus l’ombre va se nourrir de ces attentes excessives et réclamer un dû en termes d’énergie psychique. Cette dynamique de tension entre la persona et l’ombre ne permet pas au moi véritable de se réaliser », explique Reine-Marie Halbout. D’où un certain malaise persistant qui risque de s’accentuer dans des périodes de doute. Comme chez Winnicott, les personnalités équilibrées sont celles qui réussissent à être en contact avec les différentes parties de leur être. Reine-Marie Halbout le résume ainsi : « avoir une persona et s’en servir c’est bien, mais en être prisonnier peut être fatal. »
En 1942, donc également avant Winnicott, la psychanalyste Hélène Deutsch a décrit l’existence d’un type de personnalité nommée as if (comme si). Pour Hélène Deutsch, ce qui caractérise ces personnes est leur manque d’authenticité, alors qu’elles donnent par ailleurs l’apparence d’être des personnalités entières. Elles sont en général dotées d’une bonne intelligence, mais leurs relations affectives apparaissent comme appauvries. Hélène Deutsch évoque des personnes dans l’imitation, plutôt que dans une activité créatrice. La psychanalyste anglaise Maureen Sheehan va même plus loin. Elle décrit des personnes pour qui « toute expérience interne fait défaut, jusque et y compris la capacité d’aimer. » Sa compatriote Hester Solomon, également psychanalyste, a pu repérer ce type de personnalité chez certains de ses patients. Victimes de négligences et de violences dans leur enfance, ces personnes étaient toutes dotées par ailleurs d’une grande créativité et avaient parfaitement réussi leur vie professionnelle. Elles étaient arrivées en analyse avec le sentiment d’avoir épuisé toutes leurs ressources internes et de ne plus pouvoir continuer à vivre comme elles l’avaient fait jusque-là. Pour Hester Solomon, le développement des personnalités as if est lié à un vécu infantile traumatique. « L’impact d’une expérience précoce d’un autre qui est absent ou non réceptif et le fait d’être exposé au comportement de violence et de haine de la part des autres produisent un stress neurophysiologique et des réactions de dissociation traumatique », écrit-elle. L’enfant grandit dans un contexte insécure qui ne lui permet pas de se construire sur un plan identitaire. Pour Maureen Sheehan, à la différence du faux self, le as if ne fait pas qu’occulter la véritable identité de l’individu, mais la remplace. La personnalité as if « résulte d’une manœuvre plus sophistiquée postérieure à la toute petite enfance. Elle est provoquée par l’injonction faite à l’enfant d’être quelqu’un d’autre, dans le but de satisfaire les besoins narcissiques de l’un ou de ses deux parents », écrit-elle.Le manque d’amour-propre
Pour Reine-Marie Halbout, les personnalités en faux self ont été blessées dans leur narcissisme, car elles ne se sont pas senties accueillies dans la totalité de leur être. « Elles parlent de solitude, de sentiment de vide, d’illégitimité. Elles doutent beaucoup d’elles-mêmes et ont l’impression que leurs réalisations ne leur appartiennent pas. Pris par le besoin d’aller chercher des supports ailleurs pour se sentir exister, elles peuvent présenter des problématiques de dépendance au travail, mais aussi à l’alcool, aux drogues ou au jeu par exemple. D’autres vont développer des comportements d’extraversion excessive et/ou de surinvestissement pour faire face au vide ressenti. » Enfin, pour la psychanalyste, il est aussi probable que la bipolarité s’inscrive dans cette quête d’identité face à une personnalité intime qui fait défaut.
Denys Ribas, quant à lui, parle d’empiétements psychiques. Dans l’histoire de certaines personnes, peuvent exister des transmissions intergénérationnelles qui restent du domaine de l’inconscient. Denys Ribas cite l’exemple d’un enfant né après la Seconde Guerre mondiale à qui on avait donné, sans qu’il le sache, le même prénom d’un oncle déporté et mort pendant la guerre. Devenu adulte, cet homme passera sa vie à faire des choses dans l’ombre, faisant porter la responsabilité de ses actes à quelqu’un d’autre. Ses ancêtres lui avaient transmis une nécessité psychique dont il n’était pas conscient, qu’on peut résumer ainsi : si tu veux rester vivant, ne te fais pas remarquer ! Selon Denys Ribas, d’autres formes d’empiétements existent où cette fois-ci une personne fait porter des choses qui la dérangent à une autre personne proche d’elle. « Dans les couples, il y a des gens très doués pour faire porter leur honte à d’autres », explique le psychanalyste. On retrouve cette tendance dans les comportements de harcèlement moral ou physique.
La psychanalyste portugaise Teresa Flores décrit un type de personnalités en faux self qu’elle nomme les « bluffeurs » ou « imposteurs ». Ces personnes qu’elle a pu rencontrer dans sa pratique mettent en avant une identité de séducteur pour masquer une face plus fragile et vulnérable. Teresa Flores évoque le cas de deux patients en pleine réussite professionnelle avec un sentiment d’omnipotence lorsqu’ils se sentaient admirés par les autres. Mais, « cette reconnaissance et cette valorisation étaient immédiatement suivies d’une réaction où ils devenaient très angoissés et effrayés, et se mettaient à l’écart, sans plus rien dire à personne, abdiquant toute relation, déprimés dans l’éprouvé d’un vécu d’effondrement, avec parfois des idées de suicide… Derrière l’homme à succès que tout le monde admirait, il n’y avait qu’un petit enfant effrayé », écrit-elle. Ces hommes avaient eux-mêmes des pères très narcissiques ayant réussi dans leur vie. Ils souffraient d’un manque de reconnaissance de leur part et cherchaient toujours à être le meilleur partout.Peut-on guérir d’un faux self ?
Une fois bien ancré, est-il possible de se débarrasser d’un faux self ? Pour Reine-Marie Halbout, « c’est par le biais de la régression que le patient va retrouver en deçà du faux self – et dans le transfert – une expérience psychique et somatique qui va lui permettre de se relier à son être profond. Il pourra ainsi tenter de reconnecter les parties scindées du moi et retrouver une dynamique créative entre le moi et l’inconscient. »
C’est souvent un travail de longue haleine qui s’étend sur plusieurs années avec des rencontres très régulières, dans un cadre toujours immuable. Pour la psychanalyste Monique de Kermadec, une piste de travail consiste à aider la personne à se réapproprier des supports créatifs. Souvent les personnalités en faux self évitent d’exploiter leur potentiel créatif par peur d’être jugé par les autres. Tout le travail de l’analyste sera alors de les amener à redécouvrir des dons parfois inexploités que ce soit en musique, peinture, écriture ou bien au théâtre.
Aujourd’hui, le faux self est employé bien au-delà de la psychanalyse. D’autres disciplines, comme la Gestalt-thérapie se sont emparées du concept. Il est aussi utilisé dans les approches de développement personnel, comme le coaching par exemple où on vous propose de démêler le vrai du faux et de retrouver votre moi authentique. C’est devenu un terme couramment utilisé dans les forums associés aux sites de santé. Il est d’ailleurs fort probable que nous n’ayons pas fini d’entendre parler du faux self. En effet, il se pourrait bien que notre société de plus en plus tournée vers la performance et le paraître ne fasse que renforcer ce type de construction identitaire. Les réseaux sociaux ne sont-ils pas l’outil idéal pour faire exister un faux self et communiquer avec tout un tas de personnes sans jamais montrer sa vraie nature ? Quant à l’obsession de réussite, ne nous pousse-t-elle pas justement à ignorer nos fragilités et nos doutes ? Nous sommes décidément dans une course après le temps et la performance dans laquelle nous risquons d’oublier l’essentiel : nous-mêmes. •
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Faux self et haut potentiel intellectuelPlusieurs auteurs évoquent un lien entre le faux self et un potentiel intellectuel hors normes. Le psychanalyste hongrois Sándor Ferenczi parlait de « nourrissons savants » pour qualifier ces enfants hyperdoués sur un plan cognitif, mais verrouillant toute la sphère affective. Des enfants qui peuvent tenir des propos argumentés très tôt, se montrer fort bavards et curieux, mais qui manquent cruellement d’authenticité dans leur rapport aux autres. Selon la psychanalyste Monique de Kermadec, auteure de L’Adulte surdoué à la conquête du bonheur (Albin Michel, 2016), l’enfant surdoué s’éprouve très tôt comme différent. Ce qui le caractérise, en outre son intelligence, est souvent une sensibilité à fleur de peau. Mais ce qui retient l’attention des autres est avant tout son potentiel intellectuel. L’hypersensibilité est souvent mal acceptée par ses parents, mais aussi au sein du milieu scolaire. L’enfant aura alors tendance à cacher sa vraie nature pour essayer de ressembler aux autres et à se conformer aux attentes de ses parents et de l’école. « Chez les enfants à haut potentiel, le décalage qu’ils ressentent et leur difficulté à établir des liens avec les autres les amènent à se créer une personnalité qui correspond aux attentes du groupe. Ils vont donc jouer un personnage, car ils pensent que si les autres les connaissaient vraiment, ils ne les accepteraient plus », explique Monique de Kermadec. Le problème, c’est qu’au lieu de le rapprocher des autres, le faux self les en éloigne. Selon la psychanalyste, quand le faux self prend toute la place, il devient alors pathologique. Lorsque la personne perd tout contact avec son vrai self, quand elle ne sait plus qui elle est, une souffrance s’installe. Pour ne pas favoriser ce type d’évolution, les parents doivent s’efforcer d’accepter leur enfant avec ses imperfections de façon à ce qu’il se sente aimé pour ce qu’il est et non pas pour ce qu’il sait.Marc Olano
https://le-cercle-psy.scienceshumaines.com/faux-self-bas-les-masques_sh_37900
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Merci pour la coupe de jeveux, i am, the keen de l'asphalte. Bien dégagé sur les oreilles, j'en avait besoin. Et à propos des faux self, je déclare très sous serment avoir eu une adresse courrielle à soto@a-self.org, si si mon impératrice, je vous l'jure.
Moi aussi j'aime bien le popcorn.
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Moi aussi j'aime bien le popcorn.
soto²- Messages : 2760
Date d'inscription : 07/12/2016
Localisation : Au delಠ(31)
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
soto² a écrit:Merci pour la coupe de jeveux, i am, the keen de l'asphalte. Bien dégagé sur les oreilles, j'en avait besoin. Et à propos des faux self, je déclare très sous serment avoir eu une adresse courrielle à soto@a-self.org, si si mon impératrice, je vous l'jure.
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Moi aussi j'aime bien le popcorn.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Attends je fais des plans ou de la place ? ou les deux
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C'est un peu "lala douée" avec un coté un peu Teléteuhbise...Toi aussi t'as le syndrome, quand tu regardes un mur tout vide comme ça, t'allant vie subite, de prendre un stylo et d'écrire dessus, la la douée doit accepter la frustration ?Alors ça fait des fois comme ça et si quelqu'un débarque chez moi surtout ma mère, ça donne du "aaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh mais qu'est ce qui s'est passé ?" suivi souvent d'un "mais qu'est ce que tu vas faire ?"Ce à quoi je réponds : euh ben quoi ? rien de spécial ! j'ai lu le mathématicien avec que sa chaise, alors j'ai revendu les miennes, quel rapport ? ben un rapport filant. du coup j'en ai déduit que sans les chaises, ben ma table ça peut faire bureau, avec mes bouquins sur la douance, au cas où je me déciderai à paveter. Mais et tes bouquins ? ah ben ça, alors ça euh, c'est en triple projet ça, en fait j'ai fait des photos pour les vendre sur le bon coin et pendant que j'étais décidée, j'ai changé d'avis, donc je trie, je vois, c'est dur pour laladouée un départ de livre, ça demande une préparation psychologique ou pas du tout, ça dépend. Ca dépend de quoi ? euh ben d'un ensemble de choses, c'est trop complexe, peut pas t'expliquer (dixit : oh merde ça va être long, il va falloir faire des phrases, expliquer son fonctionnement, répeter éventuellement, faire un schéma, se retenir de le faire sur le mur , toussa quoi, tu vois pas ? c'est normal, alors tout va bien). Mais quand on t'a offert la chaise de bureau, arrivée au magasin au téléphone, t'as dit que tu voulais un bureau, j'ai trouvé ça bizarre et là du coup plus que la chaise de bureau et la table sans les chaises ? voilà ! c'est çaEt le reste t'as prévu de quoi faire ? j'ai quelques idées en tête, quelques pistes, quelques idées mais j'attends pour développer, et voir si je fais, parce que si je meurs après demain, j'aurai tout réfléchir pour rien.Encore que le tapis en livres c'est pas con comme concept, ou alors en table basse, tu sais avec un sur verre ? comme ça on voit tous les titres et tu vas repeindre ? et le plafond ? je sais pas, parce que ça me reprend l'idée du système solaire comme à mes 20 ans, oui mais t'as plus 20 ans, mais tu sais laladouée, elle persiste encore à ne pas faire son âge.Bon voilà j'ai fait des phrases structurées, je peux partir ? ben oui parce que là je suis en plein concept, ça semble être un peu le "prêt à partir" à ce moment, le rangement prêt à emporter, et pourquoi faire ? tu vas déménager ? pas particulièrement, pourquoi tu me demandes ça ?Du coup ça m'a fait tilter parce qu'en fait l'histoire des cartes mentales, si tu transmets des cartes mentales et bouts d'arbo genre cds, livres, films, à quelqu'un qui les a pas vus, il comprend rien, tu le savais ?.Ps : si elle se voit, je n'ai pas peint les toiles, je les achète aux gens qui ont peint mieux que moi ce que j'ai dans la tête.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Et la tondeuse quel rapport ? ben écoutes si on te demande, tu diras que tu sais pas, tu sens pas ? quoi l'air pollué ? non l'herbe fraîchement coupée, t'es con ou bien tu le fais exprès.
Et après ?On en a vu un hier ! oui mais ça c'est celui d'aujourd'hui. T'as vu il double dans la mer. C'est mon test de gens ça. Y'a ceux qui te parlent du bruit des voitures que je dois entendre en bas, y'a ceux qui disent oh c'est moche rentrons (en règle générale ceux là après ils rentrent... chez eux... ) et les pouets qui me font des tirades sur la mer, le phare, les mouettes, le zikos qui te construit son stud dans le hangar au fond, celui qui voit comme moi les immeubles à coté comme "vanille fraise et cappucino, et gris souris"... Mon proprio m'avait dit y'a 14 ans, j'avais jamais quelqu'un me louer un appart en deux minutes, une minute pour me détailler des minuscules trous ou taches, 3/4 de seconde pour regarder par la fenêtre et un quart pour me dire je vous le loue. Il avait ajouté mort de rire : ah ouais je vois quand vous voulez un jardin, vous visitez la maison ? c'est ça, pourquoi ?(ben oui la dimanche, il me dit elle est où, celle du dimanche ? jour du sais nieur)Là c'est mes bateaux dans mon autre parc dans mon autre bassin. Lala douée s'approprie les territoires, c'est tout àmoielle, tu te souviens quand je t'avais dit de me rapporter des tulipes deTerneudu pays du fromage, celui qui faitdes ravages, des ramages et le sapin de la panne devant chez Mamieuh, tu le savais qu'elle avaittenancière de, loueuse dequ'elle avait des copines que des gars trouvaient sympas, et quel rapport ? là c'est des jonquilles et alors on est dans le domaine de la jardinerie d'abord.Et là y'a mon "entreprenant" mon remorqueur préféré presque ça dépend, et il fallait être sacrément entreprenante pour mettre "Europe A final Countdown" chez Mamieuh dans le juke box, ça doit être la faute aux chevelus et aux tarmos en fait, ils devaient m'envoyer des ondes à l'insu de mon gré en fait pour que je mette le truc le plus fille parce qu'ils voyaient tout de suite que "j'occupais" l'espace (ouais il paraîtrait que j'occupe l'espace d'une façon particulière, que veux tu que je te dise, d'une façon particulière ça doit être un concept intégré de naissance chez moi, je suis jamais pareille mais parfois dépareillée mais ça c'est une autre histoire). Donc tout ça ça serait être bizarre ? même offrir les fleurs publics en photo pour les laisser tranquille ? aussi ? et le bateau phare c'est phallique quoi ?Bon sinon j'ai discuté avec une maman au rayon stylos ... son fils écrit mal et elle allait lui prendre du 0.5 en bille, j'ai dit vous connaissez zébracrossing ? c'est du 0.7 en feutre qu'il vaut mieux prendre, ah pour les stylos plume, moi je l'écrase, vous écrasez le stylo, non la plume♪ Seul ♪-------------------------------------------------------------------------------------------
Je me lève ce matin, et je bois mon café.
Je fume trois cigarettes sans l'avoir terminé.
Je cours me raser, me laver, m'habiller.
Je suis déjà en r'tard, j'dévale les escaliers.
Dehors rien n'a changé, oh! j'aurai préféré.
J'rencontre mon pôte René, le fond de l'air est frais.
J'me rue dans le métro, j'suis pas Seul, c'est complet.
Et serré contre tous, dans ce coït à deux cent,
J'oublie tout maintenant,
Je suis tout comme avant,
Seul, Seul, Seul.
Tout comme au début, tout nu.
Seul, Seul, Seul.
Journée bien entamée, j'ai pas le cÅâ ur à c'que
j'fais.
Je parle pour ne rien dire.
J'dis rien pour pas parler.
J'dis rien pour pas gueuler.
Les yeux rivés sur l'heure qui refuse d'avancer,
Qui dès qu'j'aurais fini voudra plus s'arrêter.
Bon dieu que j'me fais chier, change-moi les idées.
Ma Seule récréation, aller tout droit pisser.
Je suis Seul un moment,
Enfermé là-dedans
Seul, Seul, Seul.
Tout comme au début, tout nu,
Seul, Seul, Seul, Seul.
Parmi tout ces gens,
e m'allonge, et je croise les pieds,
J'ouvre le journal, c'est fou c'qui s'passe dans une de mes
journée,
Mais chérie, chérie, combien de larmes faudra-t-il verser?
Je suis Seul en dedans.
Je suis tout comme avant, Seul parmi tous ces gens,
Seul, Seul, Seul.
Tout comme au début, tout nu.
Seul, Seul, Seul ...
Seul, Seul, en dedans, Seul
Oh ça je connais ça, j'veux pas recommencer.
J'veux pas passer ma vie a rester enfermé.
Je veux parler à mille, veux parler à dix mille.
On m'a dit "signez-là, vous avez mis dans l'mille".
Vas-y que j'te chouchoute, que ju'te fais des courbettes,
Mais moi j'suis dans ma peau, personne peut y rentrer.
Je suis Seul en dedans.
Marrant ou pas marrant.
Le forum tu l'aimes ou tu le kit et
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
À ceux qui ne le sauraient pas, je précise à toutes fins utiles qu'au Danemark (DK), le pays des pingouins et des icebergs, le soleil ne s'élève pas à plus de 6° de l'horizon. C'est ce qui fait que les photos prises le sont toujours avec une lumière rasante C'est tout à fait normal ^^
ortolan- Messages : 13579
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Localisation : 404 Not Found
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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- À ceux qui ne le sauraient pas, je précise à toutes fins utiles qu'au Danemark (DK), le pays des pingouins et des icebergs, le soleil ne s'élève pas à plus de 6° de l'horizon. C'est ce qui fait que les photos prises le sont toujours avec une lumière rasante C'est tout à fait normal ^^Alors déjà euh , ensuite, J'ai effectivement un Nodkia, et ensuite re et je te le confirme je suis z'effectivement une "dame" qui marque. Mais comment tu sais que j'ai pensé aller entre autres à la patinoire ?
Décidément, t'es branché sur rase en ce moment C'était toi "Doga c'est plus fort que toi" ?
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
« C'est le Noooooooooord ! »
Bonne nuit et fais d'biaux rêves eum'fil
Bonne nuit et fais d'biaux rêves eum'fil
ortolan- Messages : 13579
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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- « C'est le Noooooooooord ! »
Bonne nuit et fais d'biaux rêves eum'filJe tente l'auto hypnose(avec quelqu'un d'autre, je suis que je serai pliée dès le départ, bon cela dit il pourrait me réveiller, moi c'est moins sûr mais bon il faut savoir prendre des risques dans la viequand on habite le Nord) )Cela dit y'en a pas d'assez grands des kali pour pouvoir rentrer dedans,Quelqu'un a le number de Luc Besson ?Ou mieux, Luc de Monsieur de Besson, tu vous connais Zebracrossing,Are you here ? art you hear ?Only after the David Gahan" birthday ?non ça me dérange, vous pouvez venir avecy'a du perché, y'a du poisson, y'a de la matière bien plus qu'hier et bien moins que demain, yadu, yadu...
Ps : non en fait excuses moi de te demander pardon mais là c'est pas le Nord, le Nord c'est tout ce qu'il a autour de mes territoires...
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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[size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=11][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size] [size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=11][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size] [size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=13][size=16][size=11][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size][/size] Troubles de la pensée1. Troubles du cours de la pensée
1.1. Altération dans le rythme de la pensée
On observe trois principaux symptômes :
1.1.1. La Tachypsychie est une accélération des processus de la pensée,qui se caractérise par une fuite des idées, un enchaînement de celles-cirapide et parfois illogique. Elle s'accompagne parfois de passage duCoq-à-l'âne et de jeux de mots dans le discours. C'est la pensée typiquedu sujet maniaque.
1.1.2. La bradypsychie, à l'inverse, est un ralentissement de tous les processusde pensée : la pensée est lente, laborieuse. Le patient fait des efforts importantspour répondre à une simple question. Cette altération est typique dusyndrome dépressif.
1.1.3. Le mentisme est un état de rumination intellectuelle accompagnée d'undéfilé rapide des idées. Le sujet ne veut pas forcément penser, mais ne peuts'en empêcher. Cette altération se rencontre notamment en état normal, aumoment de l'endormissement, ou lors de stress et de surmenage.En état pathologique, il se rencontre surtout chez les obsessionnelset les schizophrènes.1.2. Altération de la continuité de la pensée
On observe ici aussi trois principaux symptômes :
1.2.1. La diffluence de la pensée est une pensée sans but précis niaxes thématiques.
1.2.2. Le barrage est un arrêt brusque et momentané du discours (dequelques secondes à quelques minutes). Le discours reprend ensuite son coursnormal sur le thème antérieur ou sur un thème différent. Ces barrages sontconsidérés comme la marque de l'arrêt de la pensée du sujet.
1.2.3. Le fading est un barrage progressif : c'est une extinction progressivedu flux de parole Les deux derniers symptômes sont typiques dessujets schizophrènes, ils reflètent la dissociation mentale. Quand on demandeaux sujet pourquoi ils se sont arrêter, il se justifie par un « vide » dans la pensée.2. Troubles du contenu de la pensée
2.1. Obsessions
Ce sont des idées ou des groupes d'idées s'imposant de manière pénible à a penséedu sujet, qu'il ne peut chasser de son esprit bien qu'ils les reconnaissent commeétant absurdes. Cela s'accompagne souvent de compulsions (comportementsrépétitifs et rituels) que le sujet ne peut s'empêcher d'accomplir sous peined'angoisse. On distingue trois types d'obsessions :
2.1.1. Les obsessions idéatives : ce sont des intrusions répétitives de mots,idées ou images mentales.
2.1.2. Les obsessions phobiques : ce sont des craintes obsédantes concernantune maladie (souvent, une maladie précise unique), la contamination ou la saleté.Ces obsessions apparaissent même en dehors des situations redoutées (ce quiest différents des phobies
2.1.3. Les obsessions impulsives ou phobies d'impulsions sont des craintesdu sujet d'être amené, alors qu'il ne le souhaite pas, à commettre des actesabsurdes (ridicules, immoraux ou agressifs)2.2. Phobies
Il s'agit d'une peur incontrôlable déclenchée en présence d'un objetparticulier (couteau, seringue, aiguille), d'un être vivant (araignée, serpent), oudes situations particulières (traverser un pont, prendre un ascenseur,...). L'anxiétéest provoquée par l'objet/situation et disparaît donc avec l'éloignementde l'objet/situation.2.3. Idées délirantes
Pour pouvoir évoquer le symptôme d'idée délirante, le sujet doit présenterdeux critères : 1/ Il émet des idées fausses (en contradiction avec la réalité socialeet culturelle dans laquelle l'individu évolue) et 2/ il est convaincu de ces idéesfausses (il n y a pas de doutes dans ces propos).
On différencie deux éléments des idées délirantes : les mécanismes et lesthèmes. Chez le sujet paranoïaque, on trouve souvent un thème unique etun mécanisme associé, on qualifie alors le délire de délire « simple ».Il y a un certains aspects de cohérence dans le délire.Plusieurs thèmes et mécanismes qui s'associent sans être organisés demanière logique (délires « polymorphes » ou « non-systématisés »)constituent une caractéristique du délire paranoïde.2.3.1. Mécanismes délirants
- L'intuition : le sujet est convaincu d'une idée fausse sans qu'aucunedémonstration ne soit nécessaire. C'est caractéristique du délire paranoïaque
- L'interprétation : un fait réel va être interprété de manière inadaptée.On trouve souvent ce mécanisme dans le délire de persécution(inclus dans le délire paranoïaque). Il se trouve également dans lamajeure partie des troubles psychotiques.
- L'imagination, est un mécanisme moins fréquent que les deux précédents.Il consiste pour le sujet à se construire un monde imaginaire dans lequel il estle personnage principal. Ce mécanisme se rencontre dans les formesimaginatives des délires chroniques et les paraphrénies.
- Les deux mécanismes d'illusion et d'hallucinations sont lesmécanismes privilégiés des schizophrènes (cf «VII. troubles de la perception »)2.3.2. Thématiques délirantes
- Thématique de persécution : le sujet est persuadé qu'on lui en veux etqu'on cherche à lui faire du mal. Cela peut considérer sa personne physique,mentale, ses biens,... Cette thématique est fréquente dans les troublespsychotiques, que ce soit de nature paranoïaque ou schizophréniques,et lors de dépressions délirantes (mélancolie délirante). Ce n'est pas rare :elle se trouve dans 40% des états dépressifs survenant en trouble bipolaire,c'est-à-dire quand ces troubles dépressifs sont des troubles délirants.Lors des dépressions délirantes, ces idées sont souvent articulée autourd'idées de culpabilité (on en veut au sujet car il a commis une faute irréparable)
- Thématique mégalomaniaque : il s'agit d'une idée délirante de grandeur,le sujet se sentant par exemple investit d'une mission divine comme restaurerla paix,... Cet exemple est fréquent, comme celui pour le sujet de secroire le descendant d'une célébrité, ou de se croire l'inventeur non reconnud'une création. Cette thématique se rencontre dans les états psychotiques (quece soit aigu ou chronique), donc chez les schizophrènes, mais elle estsystématique lors des épisodes maniaques délirants.
- Thématique d'influence : le sujet est persuadé d'être sous l'influence, lecontrôle d'une force externe à lui-même : ses pensées et actions ne luiappartiennent plus. Cette thématique est caractéristiques des sujetsschizophrènes, pouvant conduire ces patients à un automatisme mental(sensation de dépossession de la pensée), décrit par Clérambault.
- Thématique de référence : L'individu est sûr de faire l'objet de l'attentiondes autres, qu'il est l'objet par exemple d'une transmission de pensée. Il croît,par un autre exemple, que les journaux, la télévision... contiennent desmessages à son attention.
- Thématique de jalousie (idées de jalousie) : le sujet est convaincu del'infidélité de son conjoint.
- Thématique érotomaniaque : le sujet est persuadé d'être aimé par unepersonne riche, ou célèbre, ou importante socialement,...
- Thématique hypochondriaque : le sujet est persuadé que son corps, ouune partie, s'est transformé, ou est atteint d'une maladie incurable. Onrencontre souvent cette thématique au cours des dépressions délirantes(elles sont le plus souvent ressentie comme la sanction d'une faute passée).Chez les sujets schizophrènes, ces idées prennent souvent la forme detransformations corporelle.Source : Connaissances généralesMots-clés : troubles, pensée, phobie, délire
http://www.psychoweb.fr/articles/psychopathologie/71-troubles-de-la-pensee.html
Dernière édition par I am so sure le Jeu 11 Mai 2017 - 21:25, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- J'ai des mauvaises pensées…Par Camillo ZacchiaMétroVous arrive-t-il d’avoir des pensées tellement perturbantes que vous ne pouvez pas les partager avec qui que ce soit? Vous arrive-t-il de songer à sauter devant le métro, à étrangler votre enfant ou à lancer votre voiture dans la voie inverse? Si vous êtes une personne normale, la réponse aux questions ci-dessus sera : «Mais oui, bien sûr!»Je pourrais vous présenter une longue liste très troublante d’idées que les gens peuvent avoir, mais je vais vous épargner ces détails horribles. Je me contenterai de dire que nous avons tous ce genre de pensées, et qu’elles ne signifient pas que nous avons quelque chose qui cloche.Pensées horrifiquesIl nous arrive à tous d’avoir des pensées horrifiques. Elles sont le signe d’une imagination fertile, alimentée en partie par les nombreux fantasmes, rêves, livres et films qui meublent nos vies. Parfois, elles surgissent en réaction à des signaux dont nous avons à peine conscience. Elles peuvent aussi jaillir lorsque nous nous trouvons dans un état émotionnel comme la colère ou la dépression. Le cas échéant, il n’est pas inhabituel d’imaginer ce que ce serait que de concrétiser ces pensées. Nous pouvons même en avoir des images assez saisissantes à l’esprit.Pourquoi ai-je ces folles pensées?Selon la croyance populaire, ces pensées seraient le reflet d’un conflit subconscient, et nous pourrions mettre à exécution cet horrible secret si le conflit n’est pas résolu. Cette hypothèse effraie les gens. Elle est aussi complètement ridicule. Oui, nous pouvons concrétiser ces pensées négatives si nous les cultivons, mais non, avoir une pensée négative n’est pas le signe d’un tel désir.Les sombres pensées sont habituellement un signe d’anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d’imaginer cette chose. C’est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C’est un moyen de nous assurer que nous n’agissons pas d’une manière dangereuse. Plus nous craignons quelque chose, plus nous sommes prudents.Une fenêtre sur l’esprit des autresD’excellentes recherches démontrent que les gens normaux ont le même nombre de pensées sombres ou terribles que les gens qui sont très anxieux ou obsessifs. La différence entre ces deux groupes est très simple : les gens normaux ont ces pensées et n’en font pas de cas. Elles se dissipent alors d’elles-mêmes. Les gens anxieux ont ces pensées et se demandent pourquoi. Ils essaient alors de les contrôler. Et s’ils ne réussissent pas, ils croient que ces pensées sont plus fortes qu’eux, ce qui, bien sûr, accroît l’anxiété et fait ressurgir les mauvaises pensées plus souvent. La réalité est beaucoup plus simple. Une pensée est une pensée, et un désir est un désir. Il n’y a aucun lien entre les deux.
http://journalmetro.com/plus/sante/43224/jai-des-mauvaises-penses/
[size=60]Pensées éparses[/size]
Par Camillo Zacchia
[email=?subject=Votre%20ami%20vous%20recommande%20cet%20article&body=J%27ai%20trouv%E9%20cet%20article%20sur%20JournalMetro.com%20et%20je%20te%20le%20recommande:%20http://journalmetro.com/opinions/la-vie-en-tranches/853277/pensees-eparses/][/email]
Je rédige cette chronique depuis 10 ans. Il me vient souvent des pensées au hasard qui finissent en chroniques ou en histoires, mais bien d’autres restent ce qu’elles sont : des pensées éparses.
Elles ne semblent pas vouloir se développer en autre chose que les vestiges de ma banque d’idées. Mais, comme je suis trop obsédé pour abandonner mes bébés, aussi rabougris soient-ils, je voulais les partager. Voici donc pour ce qu’il vaut, un échantillon de ces pensées éparses :- Le bonheur n’est pas ce qu’on a, mais la capacité d’apprécier ce qu’on a.
- Si vous vous faites couper le chemin, en voiture, dites-vous: «Quelqu’un m’a coupé», ou «un Asiatique m’a coupé»… ou «un Noir m’a coupé»… ou «une grosse femme m’a coupé»? Ces qualificatifs servent-ils à autre chose qu’à alimenter les préjugés? Et aviez-vous remarqué l’Asiatique qui ne vous avait PAS coupé la route?
- S’il vous arrive d’être en présence d’un crétin, vous n’êtes pas le seul. Mais si vous pensez que le monde est uniquement peuplé de crétins, le seul véritable crétin est celui que vous voyez dans le miroir.
- Nous connaissons tous de bons professeurs. J’entends par là des gens qui ont un talent naturel pour communiquer des idées. La plupart d’entre eux n’ont pas de diplôme en enseignement. Alors, pourquoi insistons-nous sur l’obtention de diplômes en enseignement? L’enseignement peut-il vraiment s’enseigner?
- Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes mènent constamment un combat qui n’existe pas?
- Nous aggravons davantage les problèmes en réagissant trop qu’en ne réagissant pas assez.
- Pourquoi acceptons-nous avec joie les louanges par association («Hourra! Nous avons gagné une médaille d’or, aujourd’hui!»), mais jamais la culpabilité par association («Ces mafieux nous donnent une mauvaise réputation, à nous, les Italiens.»)?
- Pourquoi parlons-nous toujours de bons hôpitaux et de bonnes universités, alors que dans ces établissements travaillent aussi de mauvais médecins et professeurs?
- Bien des contre-attaques sont le résultat d’une première attaque imaginaire.
- L’histoire est ce qui rend les lieux intéressants. Sans elle, Omaha Beach (une des plages du débarquement en Normandie) ne serait qu’une plage, et le Colisée ne serait qu’un vieil édifice circulaire. C’est l’histoire qui donne la chair de poule.
- Le manque de confiance détruit toutes les relations.
- Respectez ceux qui vous enseignent la FAÇON de penser. Ne respectez pas ceux qui vous enseignent QUOI penser.
- L’homme qui se croit généreux donne moins. L’homme qui se croit égoïste donne plus. Le monde considère le premier comme égoïste, et le deuxième, comme généreux.
- Si quelqu’un vole un million de dollars à une personne, on le considère comme un criminel. Est-ce moins un crime si une personne ou une entreprise vole un dollar à un million de personnes?
- L’instinct territorial aide les animaux à survivre en protégeant leur zone d’alimentation. Les humains s’entretuent à cause d’une ligne tracée dans le sable, même s’il y a assez de nourriture pour tous. Devons-nous être les esclaves de nos instincts?
- L’ex-analyste sportif dit toujours que c’est l’expérience qui a joué lorsqu’une équipe de vétérans gagne la partie. Lorsqu’une équipe de jeunes gagne, c’est parce qu’ils ont une attitude détendue, «rien à perdre».
- L’idée qu’un rebond aléatoire ou une déviation a été le seul facteur déterminant n’effleure jamais l’esprit de l’expert.
- Si un enfant né avec un syndrome d’alcoolisme fœtal devient criminel par la suite, à quel moment avons-nous cessé de nous apitoyer sur l’enfant pour blâmer l’adulte qu’il est devenu?
- Je suis certain que les jus de raisin comportent les mêmes distinctions subtiles que les vins, mais en l’absence d’alcool, qui se soucierait de savoir de quelle région de la France ils proviennent? Ce n’est que du jus.
- La plus grande illusion, en ressources humaines, est que tous ceux qui sont «qualifiés» pour un poste sont égaux. Comme nous ne pouvons pas évaluer les compétences de manière fiable, nous nous fions à l’expérience pour déterminer qui décrochera un emploi.
- La valeur ne repose pas uniquement sur la rareté des objets. La familiarité ne devrait pas occulter la beauté intrinsèque des choses.
- À quel âge les bulles cessent-elles d’être fascinantes?
- La personne heureuse et la personne malheureuse vivent dans le même monde.
- Demandez-vous comment vous vous êtes liés d’amitié avec une certaine personne. Cherchiez-vous à vous faire un ami, ou quelqu’un s’est-il présenté alors que vous faisiez autre chose?
- Bien des protestataires se considèrent comme le prochain Gandhi ou Rosa Parks. Mais la plupart d’entre eux ne sont que des gens qui aiment lancer des pierres dans des fenêtres ou vaporiser leur nom sur des viaducs.
- Vous pensez peut-être que pour que quelque chose soit bien fait, vous devez le faire vous-même. Mais ce que cela signifie réellement, c’est que si vous voulez qu’une chose soit faite à VOTRE façon, vous devez la faire vous-même.
- Il n’existe aucun lien entre le sucre et l’hyperactivité. Aucun!
- … et enfin, une statistique effarante: la personne moyenne peut conduire en état d’ébriété 200 fois avant de se faire arrêter.
Bon, j’ai encore trouvé un coin où réunir mes pensées. Tout va bien au pays de Zac!
http://journalmetro.com/opinions/la-vie-en-tranches/853277/pensees-eparses/ - Le bonheur n’est pas ce qu’on a, mais la capacité d’apprécier ce qu’on a.
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