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TUER LES LOUPS NE SERT A RIEN

https://mrmondialisation.org/tuer-les-loups-ne-sert-a-rien/


Le loup, animal social au rôle essentiel

La raison pour laquelle l’abatage ne fonctionne pas est très simple à comprendre. Dans le cas spécifique des loups, ces écarts de résultat s’expliquent par l’éventualité qu’un membre important de la meute soit tué. Si celui-ci jouait un rôle clé dans la recherche de nourriture, il est alors possible que les autres loups s’en remettent à eux-mêmes dans la réalisation de cette tâche. D’où une multiplication des attaques. Ainsi, l’abatage se voit être une solution de facilité qui ne réclame aucune compréhension du comportement de l’animal, générant passablement un effet inverse à celui escompté. Pour les organisations de protection des animaux, il est regrettable que les plus hautes instances de l’État ne prennent pas en compte ces éléments d’ordre factuel.

Rappelons également que le loup reste une espèce protégée. Tirer à l’aveugle sur ces prédateurs, en plus de n’arranger en rien les problèmes rencontrés par les fermiers (sauf psychologiquement et politiquement), contribue à la mise en péril de l’espèce. Or, de nombreuses études ont déjà témoigné de l’importance du loup (et des prédateurs) dans l’équilibrage et la préservation de nos écosystèmes. La réintroduction du loup dans le parc de Yellowstone, aux États-Unis, a par exemple fait des merveilles en termes de biodiversité et de rééquilibrage géographique. Espérons donc que les résultats de l’étude évoquée parviendront à trouver écho dans les réglementations internationales afin qu’une solution adaptée soit étudiée dans le calme et la raison.

Eauvive : tu sais ce que j'en pense

Cependant, quelques bémols ^^
La philosophie profonde de l'anti-spécisme, n'est pas de s'émouvoir des autres êtres vivants en raisons de facultés qui nous feraient sentir "pas si différents" d'eux.

Cette approche (même si elle témoigne d'une louable empathie et d'un respect du vivant, assez rare pour être félicitée) est quand même un peu biaisée.

Selon ma propre approche, aucun animal n'est supérieur ou inférieur, en fonction d'un classement découlant d'une "proximité" avec certaines facultés humaines.

Il s'agit plutôt de se souvenir que toutes les formes vivantes ont évolués a partir d'une souche commune, que l'histoire de la vie est celle d'un buisson (et non d'un arbre avec un sommet), ou chaque branche s'est adapté en fonctions des contingences de l'environnement, avec une richesse d'invention surprenante et fascinante.

Dans cette logique, je peux aussi bien m'émerveiller des "prouesses" évolutives des bactéries, des méduses, des plantes, etc, que de celles de l'humain ou de ses cousins proches (mammifères).

PS Descartes est quand même dépassé depuis un bon bout de temps chez les biologistes et éthologistes consciencieux, et les avancées que tu évoque ne sont pas si récentes
PS2 : désolé si je suis un peu pontifiant, j'apporte juste un développement

le but de ces informations n'est pas tellement de louer de que je pense, moi.

Il s'agit plutôt de mettre en perspective les découvertes toutes récentes de ce qui existe en terme d’intelligence chez les autres êtres vivants. Amener ceux que ça interessent à une réfléxion globale sur le traitement actuel de certaines espèces.

Définition antispécisme : Discrimination basée sur l'espèce, qui fait de l'espèce en soi un critère justifiant un comportement portant préjudice aux droits fondamentaux d'un être vivant (exploitation, violence, oppression ou meurtre).

Je ne vois pas en quoi ton argumentation atténue la mienne?

Sur le caractère récent :

y a l’éthique, la politique. Il y a aussi la découverte que les animaux sont, comme nous, des êtres doués d’intelligence…
C’est une découverte que l’on doit à des éthologues, comme Jane Goodall, qui sont sortis des laboratoires pour étudier les grands singes dans leur environnement. Qu’ont-ils découvert? Que les gorilles, les chimpanzés, et d’autres, ont de vraies relations sociales; qu’ils créent et utilisent de véritables outils; qu’ils communiquent entre eux. On s’est alors interrogé sur les grands singes pour comprendre l’Homme. Et puis l’on s’est rendu compte que les grands primates n’étaient pas les seuls à disposer de ces capacités cognitives, sociales: animaux de ferme, oiseaux, poissons, insectes, tous ces animaux que nous cataloguions comme des être ‘stupides’ sont, eux aussi, à des degrés divers selon les espèces, dotés d'intelligence, de conscience, d'émotions, de compétences sophistiquées...

Majeures, ces découvertes ont-elles corrigé le regard que nous portons sur les animaux?
Dans certains cas. Ceux qui ont ouvert le ban, ce sont les scientifiques, bien sûr. En 2010, des chercheurs ont publié, en Finlande, une déclaration des droits des cétacés. Deux ans plus tard, des spécialistes du cerveau du monde entier ont signé, à Cambridge, un manifeste affirmant que les animaux, notamment les mammifères, les oiseaux et beaucoup d’autres créatures, comme le poulpe, sont doués d’une conscience et comme les hommes, éprouvent peur, plaisir et souffrance. C’est en s’appuyant sur ces découvertes que des juristes font avancer le droit des animaux. La cour de cassation argentine a attribué à un orang-outan la qualité de ‘personne non-humaine’, lui garantissant trois droits basiques: la vie, la liberté et le droit de ne plus être maltraité. En Inde, une loi confère depuis 2013 des droits semblables aux dauphins. Ce n’est sans doute qu’un début.

[img]http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-R%C3%A9volutions_animales-494-1-1-0-1.html[/img]



Ce livre témoigne d'une évolution sociétale sous l'impulsion de la science. Une évolution internationale et multidisciplinaire. La question animale touche donc aussi le droit, l'éducation, le développement responsable et durable, le réchauffement climatique, l'urbanisme, la médecine, la politique, l'économie... La question animale est multiple et, de fait, les réflexions à mener doivent être conduites par des experts légitimes dans ces domaines. Prendre en compte ces évolutions scientifiques dans les décisions politiques, juridiques, économiques et éducatives s'imposerait tout comme accompagner les transitions nécessaires vers d'autres rapports entre les hommes et les animaux, -encore une fois, sans opposer les uns aux autres mais pour le bien des animaux, des hommes et de la planète. La question de nos rapports avec les animaux doit sortir du débat intellectuel: il est temps de passer aux actes.

Eh beh, un coup de blues ou quoi ?

Eauvive a écrit:
Je ne vois pas en quoi ton argumentation atténue la mienne?

Effectivement, j'ai été un peu rapide, désolé

J'insistais juste, implicitement sur le fait qu'on peux étendre la réflexion aux autres règnes du vivant en fait.
Les botanistes, entre autres, se désolant qu'on entende encore moins "la cause des arbres" ^^

Tout ça pose tellement de questions...

on est ok le sujet est tranversal, verticalement et horizontalement, ce qui à mon sens, lui donne tout son intérêt, inpépuisable d'un point de vue des sciences humaines et des sciences dites "pures".

et bizarrement, j'entame des études pour devenir éthologue ^^

la mouette a écrit:Eh beh, un coup de blues ou quoi ?

Il me semble pas? Je te donne cette impression?

Eauvive a écrit:on est ok le sujet est tranversal, verticalement et horizontalement, ce qui à mon sens, lui donne tout son intérêt, inpépuisable d'un point de vue des sciences humaines et des sciences dites "pures".

et bizarrement, j'entame des études pour devenir éthologue ^^

@eauvive
Je sais pas. Pour ça que j'ai demandé (poème tout badant etc)
Peut-^etre aussi parce que je trouve l'antispécisme badant

Penguin a écrit:je trouve l'antispécisme badant

Pourquoi ? Sans ça, on t'causerais même pas, espèce de pingouin

c'est le cas pinguin, je partage ce sentiment hein, mais je renonce pas. Vaincre ou périr.

pour la poésie d’Aragon, le premier vers s'est imposé à moi, et oui le lien avec ce que j'aime , mais j'ai voulu le redécouvrir.

Ouvrir peut être une réflexion sur idéalisme et expérience (Aragon et le stalinisme).

Quid si les animaux avaient une place différente de celle que nous connaissons? qu'est ce que cela générerait sur les hommes, quelle façon de vivre...Tu vois les questions débiles qui me taraudent...

Aujourd'hui (et ce depuis hier soir), tournent tels des électrons fous ces questions sans réponse. J'avais besoin de les poser, de les livrer un peu, et savoir que c'est lu, ben ça me suffit (pourvu que je sois comprise).

Je sais pas si je mets en lumière tous les liens (plus ou moins intelligents, cela va sans dire) que je fais ?

@Godzilla
Un parti pris. Incapable de mettre sur le même plan un pingouin et une fourmi.
M'enfin je ne vais pas développer, si c'est pour qu'ensuite tu te dises qu'un dinosaure est supérieur à un pingouin et que tu décides de me snober.

@Eauvive
Je ne sais pas si j'ai compris, mais j'ai lu.

PS: Je fais des effort pour éviter les remarques trop scatos, mais vu qu'on en est à parler de bestioles: les wombats font des cacas carrés qu'ils empilent!
h t t p : / / w w w .sirtin.fr/2015/03/17/le-wombat-chie-carre/
Carrés!

alors merci pour l'effort

@Penguin : t'inquiètes, je suis repassé au mode "j'aime tout le monde" ^^ Pas spécialement par altruisme, simplement du coup je suis 1000 fois moins stressé, ptêtre que ça suffira à enrayer la chute des cheveux ?

@Godzilla
Je ne sais pas. Si j'essayais de faire ça je m'arracherais les cheveux

Pourtant son système digestif et son anus sont tubulaires. Ce qui ne l’empêche pas, chaque matin, d’éjecter ente 80 et 100 petits dés qui s’agglutinent, tels des apéricubes (pour les boursiers en tout cas). Comment est-ce possible ? Le système digestif du wombat est très lent et le colon très long. Ce qui fait que l’absorption d’humidité est très grande : à la sortie de l’anus, les fécès sont desséchés et coupés nets par les sphincters anals. Comme sa merde ne roule pas ou presque, le p’tit salopiaud en profite pour exposer ses digéricubes en hauteur, de façon bien visible, afin de marquer le territoire comme il faut.

Penguin a écrit:@Godzilla
Je ne sais pas. Si j'essayais de faire ça je m'arracherais les cheveux

Ben tu sais, faire ça (dans mon cas), ou peigner la giraffe, hein ^^

@Eauvive : ah c'est pour ça que les apericubes c'est de la m... ? Tout s'explique ^^

Et les bizarreries ne sont pas finies:

S’il est poursuivi par un prédateur, il bloque l’entrée du terrier avec son gros postérieur pour que le prédateur ne puisse pas y pénétrer. Son postérieur est prévu à cet effet puisqu’il est massif, possède une peau épaisse et dure et n’offre aucune prise au prédateur.

h t t p : / / monde-animal.over-blog.com/article-575443.html

loooolllll aussi malicieux que le blaireau !

lui là >>>>>>>>http://www.maxisciences.com/blaireau/stoffel-l-039-ingenieux-blaireau-d-039-afrique-du-sud_art36857.html

Chose étrange, le ratel a la capacité de courir en arrière, fait partagé chez les mammifères uniquement avec l’être humain

Euh... c'est un truc que les ratels font souvent ?  Les humains, ils peuvent, mais c'est quand même pas bien courant.

Roh!
h t t p : / / w w w .madmoizelle.com/ratel-psychopathe-savanes-254581

Le ratel n’a pas peur de vous. En fait, il n’en a rien à foutre. Il ne craint rien ni personne, il trottine où il veut, quand il veut, et il défonce le premier qui croise son chemin.

Je suis certaine que c'est un affreux spéciste.

bonne question, à laquelle je n'ai RIEN à répondre, donc ben euhhhh rien.

https://en.wikipedia.org/wiki/Diprotodon

ha ben avec ça, on aurait pu en construire des maisons écolo en briques prédécoupées de chez " ratels domus, la maison des anus"

Les herbivores, c'est vous qui avez déréglé mychki ?

?????

j'arrive jamais à répondre à tes questions!

Je pensais à godzilla qui se met à aimer tout le monde.
C'est une épidémie.

Godzi a toujours aimé tout le monde ; c'est juste qu'il n'arrivait pas à le montrer.

ortolan a écrit:Godzi a toujours aimé tout le monde ; c'est juste qu'il n'arrivait pas à le montrer.

Reste plus qu'à m'aimer moi-même, il y a encore du boulot ^^

Sinon Godzilla tu m'aimes moi et si j'ai du temps je te le rendrai^^

oh l'autre hé, donné repris volé, d'abord!

Les "colonnes de lumière" (light pillars en anglais) sont un étrange phénomène optique qui survient par grand froid en présence d'une source lumineuse (soleil ras, ou pollution lumineuse).

LE LANGAGE DES CETACES

En l’état actuel des connaissances scientifiques, nous ne sommes pas en mesure de comprendre les discussions entre dauphins ou baleines et le sens de ce qu’ils essaient souvent de nous transmettre. De nombreuses expériences ont tenté vainement l’apprentissage d’une langue aux dauphins et d’autre part, aucun protocole de recherche n’a permis de décoder la langue « delphinienne ». Dans les années 50, des neurobiologistes comme John Lilly ont enregistré des mots humains reproduits par les dauphins, des imitations de rire même et plus récemment en 2012, la diffusion des vocalises d’un beluga a interpellé le grand public car les sons émis étaient très proches de la voix humaine avec des harmoniques similaires. La grande histoire est faite de petites histoires et d’expériences personnelles qui font souvent voler en éclat les conceptions empiriques et les principes souvent limitants. C’est au travers de la passion, de la curiosité, du respect que la compréhension d’êtres proches et si différents se fait jour.

En voici un des témoignages parmi des milliers d’autres qui soulèvent peu à peu le voile de l’inconnu :

“LE MOMENT LE PLUS FORT, CELUI QUI TE FAIT VÉRITABLEMENT BASCULER DANS UNE AUTRE DIMENSION, METTANT TA RAISON EN DÉROUTE, EST CELUI OÙ, TOUT D’UN COUP, À TON IMMENSE SURPRISE; TU ENTENDS SURGIR EN FACE DE TOI UN PARTENAIRE MUSICAL. UN VRAI. LIBRE ! QUI TE SUIT ET TE RENVOIE LA BALLE. MAIS ÇA, IL FAUT AVOIR JOUER DU JAZZ POUR VRAIMENT COMPRENDRE CE QUE ÇA SIGNIFIE. QUE ÇA PUISSE VENIR D’UN ANIMAL T’OBLIGE ALORS À TOUT REMETTRE EN QUESTION.”

Commençons par le point le plus évident : avoir une peluche sur son bureau favorise l'esprit d'équipe.

Il n'y a pas grand-chose de mystérieux ici, les deux mécanismes qui interviennent sont très simples.

La peluche, un sujet de conversation

Imagine, ami lecteur, ce qui se passera le jour où tu rapporteras une peluche dans ton bureau. On va t'en parler ; en bien ou en mal dans les premiers temps, mais la chose est certaine : ta peluche deviendra un sujet de conversation, surtout si elle est originale !

D'où vient-elle ?
C'est un cadeau de tes gamins / amis ?
Qu'est-ce qu'elle est mignonne !
Pourquoi ce modèle ?
Ramener ça au boulot, c'est une drôle d'idée, non ?
C'est à toi ce truc ?
T'as passé l'âge de ces conneries, non ?

Voici quelques exemples de questions et réactions qui vont surgir les premiers jours de présence de la peluche : autant de prétextes de parler avec les collègues, y compris les plus taciturnes qui cette fois vont venir, intrigués.

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Mais ça peut marcher avec plein de trucs non? une vache (c'est moins pratique), un godemichet en forme de pastille valda, arriver déguisé...

[b]Mise en situation[/b] : j'arrive dans le bureau de ma collègue de 45 ans, elle me présente son bisounours en coton préféré qu'elle a mis en évidence sur son bureau pour faire le lien, cela suscite des sujets passionnants, oui tout de suite, je sens que je vais me sentir bien, grâce à ce geste social je perçois en effet le renforcement de la cohésion à venir, une envie soudaine de performer, un sentiment d'appartenance va me saisir, je suis émue; J'aurais du y penser avant!

J'aime pas trop les cétacés.

Mammifères dans l'eau, je trouve ça fourbe.

pas plus que les ovipares terrestres, t'es ouf toi (ouai jparle de toi, au fait)

Puis les peluches c'est des nids à microbes.

t'es pas obligée de te moucher dedans!

Ah !

Bah j'ai rien dit alors.

redis le quand même

JE SAIS CE QUE JE FAIS, JE FAIS CE QUE JE SAIS, OR JE SAIS QUE QUE SAIS RIEN.

C'est pas de ma faute si je fous rien !

http://www.dauphinlibre.be/les-cetaces-usent-de-languages/
Si ça peut intéresser sur la compréhension des baleines et permettre de voir à quel point nous n'avons fait qu'ébaucher la complexité, la beauté, ... de ce qui nous entoure et qu'on peut en tirer (et pas que monétairement ) tant mieux.

A nos cieux qui, par vous s’illuminent
Votre vénusté que la brume dessine
Haut de forme ajusté, étroite ruelle
O si cher, entendez vous mon appel ?

C’est le matin, dans une rue de Londres
Les passants errant telles des ombres
Les marchands depuis longtemps affairés
Gracile, son pas foule la rue du Gersey

Elle a su matin la tendre nouvelle
L’ange a choisi son ventre maternel
La Bienfaisance berceau de Paradis
Chair d’innocence et douceur infinie

Il est l’enfant de la Misécorde
Celui par lequel le monde s’accorde
Son Père la Raison, sa mère la Bonté
Par lui le Mal et la douleur domptés.

Elle presse son pas, les pavés sans couleur
Laissant derrière elle le parfum des fleurs
Lumineuse auréolée à la boucher vermeil
Elle porte l’Espoir, ses promesses ö merveilles

Des cris sourds, une dispute éclate
Pour un poisson ? une cliente ingrate ?
D’autres s’en mêlent, l’un sort son arme
Une balle l’atteint, néant dans le vacarme

Serrant autour d’elle son linceul blanc
Terrassée de douleur, ventre de sang
Dans la ville sourde, la Bonté se meurt
Que la folie des hommes fait de peurs.

O désespoir, pourquoi avoir tout pris ?
N’es tu jamais repu, vile infamie
Que vaut donc la Raison sans la Bonté
Sans elle, il ne me sert plus d’exister.