Choses diverses et variées que vous voulez partager !
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Je me suis refais , jusqu'au bout cette fois, hier soir, le documentaire "La Révélation des pyramides" sur RMC découverte, c'est toujours aussi impressionnant, affligeant et flippant
Palatinus- Messages : 2193
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Peuti a écrit:
ensemble on est plus fort
très chouette video merci :-)
enfin quelqu'un de sensé ! dans la nef des fous
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
run away run away !!! mdrr je ne m'en lasse pas
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
zebulonlezebre a écrit:Peuti a écrit:
ensemble on est plus fort
très chouette video merci :-)
enfin quelqu'un de sensé ! dans la nef des fous
bah merci à toi ça fait au moins une chose positive dans ma journée de m....
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
de rien donc , les zebres sont parfois abonnés aux journées de m .. mais heureusement parfois ça s'améliore :-) courage donc !
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Pour ceux/celles qui voudraient se tester concernant leur niveau question jeux de mots et qui n'ont pas le temps d'aller faire des courses pour se faire...
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ça aurait pu être des bulles de savon, mais il s'agit de cellules humaines observées au microscope. En vert, ce sont des cellules souches «myoblastes», c'est-à-dire celles permettant la fabrication de muscles
Nous sommes tous, sans le savoir, à la tête d'une entreprise composée de 5 milliards de cellules qui se renouvellent chaque jour. Michèle et Michel Bontemps nous font voyager au coeur de cet écosystème. Extrait de "Il était une fois nos cellules" (1/2).
75 milliards de cellules dans notre corps
"Le corps humain n'est pas seulement, comme le considèrent les médecins, une association d'organes tous différents qui appelleraient donc des traitements spécifiques pour chacun d'entre eux. Le corps humain est, dès son origine, une cellule qui va se diviser en deux, puis encore en deux, et cela de manière exponentielle, en milliards de cellules. La cellule est, en fait, l'unité fondamentale de presque tous les organismes vivants.
(...)
LA DISTANCE DE LA TERRE AU SOLEIL !
Une cellule mesurant 0,07 millimètre, si l'on juxtaposait toutes les cellules du corps, on obtiendrait une distance de 15 000 kilomètres. C'est sans compter avec l'ADN qui multiplie ce chiffre par 10 000, soit 150 millions de kilomètres : la distance de la Terre au Soleil...
Extrait de "Il était une fois nos cellules, secrets d'une longue vie"
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
J'aime bien le site http://www.lightningmaps.org/
D'abord parce que c'est joli et spectaculaire.
Ensuite parce que, quand on aspire à l'orage qui rafraîchira enfin l'atmosphère suffocante, c'est amusant d'en suivre la progression.
Enfin parce que de semaine en semaine et de saison en saison on apprend la dynamique locale des orages, on sait qu'un orage qui naît à tel endroit a des chances/n'a aucune chance de passer ici ou là parce que tous ces orages-là sont canalisés ailleurs par le relief, etc.
Bref ça distrait la curiosité.
D'abord parce que c'est joli et spectaculaire.
Ensuite parce que, quand on aspire à l'orage qui rafraîchira enfin l'atmosphère suffocante, c'est amusant d'en suivre la progression.
Enfin parce que de semaine en semaine et de saison en saison on apprend la dynamique locale des orages, on sait qu'un orage qui naît à tel endroit a des chances/n'a aucune chance de passer ici ou là parce que tous ces orages-là sont canalisés ailleurs par le relief, etc.
Bref ça distrait la curiosité.
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Toujours anticiper les visites : jamais en nuisette et en pantoufles Bob l'éponge à la maison....... Développes ton don d'anticipation....
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://rue89.nouvelobs.com/2016/06/29/collait-smileys-memos-nsa-entretien-hacker-espion-264500
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Chanson: "Mil Pasos" (Soha)
Danseurs: Maria Filali & Ozgür Karahan
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
en cherchant comment trouver une solution pour le fond de mon jardin, j'ai trouvé ça
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/osmobio-le-desherbant-breton-attend-toujours-l-autorisation-d-etre-commercialise-759281.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/osmobio-le-desherbant-breton-attend-toujours-l-autorisation-d-etre-commercialise-759281.html
zelle- Messages : 1184
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.huffingtonpost.fr/2016/07/04/clitoris-dessiner-expliquer-bande-dessinee_n_10801734.html?utm_hp_ref=france
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.linternaute.com/cinema/star-cinema/1315731-ces-stars-de-cinema-surdouees/1316038-james-franco?een=d4730fdb8bab75fc0ea6fc0167f66034&utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml476_parodiesxdefilm
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Humour (ensoleillé) du matin (ensoleillé)
Cléomênia- Messages : 659
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Before-And-After Pics Reveal What War Did To The Largest City In Syria
suite
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Quand Ellen nous présente le stylo Bic pour "Elle".
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ma compagne travaille dans une petite librairie de quartier, c'est souvent très calme et silencieux. Son patron il y a quelques année a eu un grave AVC et aussi un gros problème aortique. Il a une valve artificielle au coeur. Résultat quand c'est très calme dans la librairie, on entends le clip clap de la valve cardiaque. Et lui même, le patron, l'entend aussi la nuit quand il s'endort. C'est assez flippant je trouve. Ce gas quand il est éveillé entend littéralement la pièce mécanique qui le maintient en vie faire son tic tac...
Palatinus- Messages : 2193
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.novaplanet.com/novamag/61437/la-science-de-l-ecriture-rap-en-une-video
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.novaplanet.com/novamag/61587/l-hyper-realite-l-enfer-de-notre-futur
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Podcasts
Cet été, Christophe André propose sur l’antenne de France Culture une introduction simple et ludique à la méditation en pleine conscience. Chaque jour, trois minutes de méditation guidée, pour respirer, se concentrer et lâcher prise.
Prendre conscience de son état intérieur, écouter la rumeur du monde, contempler la nature… Trois minutes en apesanteur, avec soi-même.
Christophe André
Psychiatre spécialiste des troubles anxieux et dépressifs, Christophe André commence à s’intéresser à la méditation à la fin des années 1990, en tant que médecin et en tant que pratiquant. Il se forme à l’enseignement de la pleine conscience et il est l’un des premiers à la proposer à ses patients dans le cadre de protocoles thérapeutiques, dès 2004, dans le Service Hospitalo-Universitaire de l’hôpital Ste-Anne à Paris. Il est l’auteur de nombreux best-sellers dont Méditer jour après jour.
http://www.franceculture.fr/emissions/trois-minutes-mediter
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
merci, je vais méditer la dessus ;-)
savoir se dégager du monde peut être utile en effet , les techniques chamanes sont en train de m'intéresser aussi mais ces derniers utilisaient souvent des drogues, mais je ne suis pas pour ces voies là
peut on atteindre une pleine conscience sans aide artificielle ? je ne sais pas
pas mal de gens se sont perdus sur ces chemins là
le vrai chamane n'a pas besoin d'artifice mais d'une longue pratique de méditation,
la méditation de pleine conscience , c'est en quelque sorte "faire son petit chamane"
ça me va
savoir se dégager du monde peut être utile en effet , les techniques chamanes sont en train de m'intéresser aussi mais ces derniers utilisaient souvent des drogues, mais je ne suis pas pour ces voies là
peut on atteindre une pleine conscience sans aide artificielle ? je ne sais pas
pas mal de gens se sont perdus sur ces chemins là
le vrai chamane n'a pas besoin d'artifice mais d'une longue pratique de méditation,
la méditation de pleine conscience , c'est en quelque sorte "faire son petit chamane"
ça me va
Invité- Invité
Ptérodactyle- Messages : 1122
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Localisation : une contrée lointaine
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ce matin, j'étais pas bien réveillé.
J'ai posé laborieusement mes fesses dans le tram, essayant de brancher ma musique les yeux a moitiés ouverts, les mains malhabiles et le souvenir du "5h17" affiché sur mon réveil, la première fois où j'ai ouvert les yeux.
3ème essais pour glisser la prise jack dans le trou approprié, et là, mon voisin de droite me tend son portefeuille - mais pourquoi fait il ca?
Il me demande mon titre de transport - mais pourquoi fait il ca?
Quelques excessives secondes se passent dans un léger moment de flottement, mon cerveau se décide alors à faire un lien.
Non, ce n'était pas un portefeuille que mes yeux avaient vus, mais "un badge en cuir".
Non, ce n'était pas un voisin normal.
Mais.. un... contrôleur en civil planqué parmi les voyageurs.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le coquin!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Je lui tends machinalement mon badge d'abonnement, dans le mode robot qui ne m'avait pas quitté depuis le franchissement de la porte de mon studio.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le relou!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Il semble vérifier que tout est en ordre, je commence à me projeter dans la 4eme tentative de branchage de mes écouteurs.
- Vous réglez comment?
- Hein?
Interruption de la projection du délicat branchage d'écouteur.
- Ba oui, vous n'avez pas validé votre abonnement en rentrant dans le tram.
Mon cerveau fait alors une nouvelle connexion - haaaaaa ouiiiiii.... j'ai oublié un truc!
Re connexion - c'est quoi le problème? c'est un abonnement mensuel, mes fesses sont posées depuis 45 secondes sur un siège, il est 7h45, j'ai pas l'air réveillé - ou-lààààà, enchainement de 5 idées consécutives - performance!
- 5€.
- J'essaie de formuler une forme de protestation.
- 5€.
- Je tends 10€.
- Vous auriez pas de la monnaie?
- Non mais vous rigolez ou quoi? J'ai le plus profond respect pour votre boulot, mais là c'est un piège, une embuscade votre histoire. Mettez des amendes a ceux qu'on pas de titre ou d'abonnement! C'est quoi vot' délire là???
- Juste 1 €?
- Débrouillez vous je vais pas vous faciliter la vie là! Et puis j'vais m'assoir plus loin parce que ça pue grave votre histoire, c'est du racket organisé, de l'abus total!
Et voila comment, après avoir, toute ma vie, payé mes titres de transports, mes amendes avec le sourire quand j'en avais pas, j'ai laché 5€ à un putkjµµ££¨£¨de nazi. Et je suis resté calme et poli.
Et finalement, voici comment mon cerveau à réussi a faire sa 8ème connexion, en associant contrôleur à nazi pour m’être concentré sur mes écouteurs plutôt que sur la validation nécessaire d'un abonnement mensuel.
[ Il y a visiblement, des choses dans ce monde qui me donnent envie de le changer ]
A quand l'amende parce que ma chemise est pas repassée et que c'est insultant pour ceux qui se donne la peine de le faire?
Enfin, rien n'atteindra mon bonheur et ma joie, blasé 8 min dans ma journée, c'est pas un drame.
9ème connexion
J'ai posé laborieusement mes fesses dans le tram, essayant de brancher ma musique les yeux a moitiés ouverts, les mains malhabiles et le souvenir du "5h17" affiché sur mon réveil, la première fois où j'ai ouvert les yeux.
3ème essais pour glisser la prise jack dans le trou approprié, et là, mon voisin de droite me tend son portefeuille - mais pourquoi fait il ca?
Il me demande mon titre de transport - mais pourquoi fait il ca?
Quelques excessives secondes se passent dans un léger moment de flottement, mon cerveau se décide alors à faire un lien.
Non, ce n'était pas un portefeuille que mes yeux avaient vus, mais "un badge en cuir".
Non, ce n'était pas un voisin normal.
Mais.. un... contrôleur en civil planqué parmi les voyageurs.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le coquin!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Je lui tends machinalement mon badge d'abonnement, dans le mode robot qui ne m'avait pas quitté depuis le franchissement de la porte de mon studio.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le relou!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Il semble vérifier que tout est en ordre, je commence à me projeter dans la 4eme tentative de branchage de mes écouteurs.
- Vous réglez comment?
- Hein?
Interruption de la projection du délicat branchage d'écouteur.
- Ba oui, vous n'avez pas validé votre abonnement en rentrant dans le tram.
Mon cerveau fait alors une nouvelle connexion - haaaaaa ouiiiiii.... j'ai oublié un truc!
Re connexion - c'est quoi le problème? c'est un abonnement mensuel, mes fesses sont posées depuis 45 secondes sur un siège, il est 7h45, j'ai pas l'air réveillé - ou-lààààà, enchainement de 5 idées consécutives - performance!
- 5€.
- J'essaie de formuler une forme de protestation.
- 5€.
- Je tends 10€.
- Vous auriez pas de la monnaie?
- Non mais vous rigolez ou quoi? J'ai le plus profond respect pour votre boulot, mais là c'est un piège, une embuscade votre histoire. Mettez des amendes a ceux qu'on pas de titre ou d'abonnement! C'est quoi vot' délire là???
- Juste 1 €?
- Débrouillez vous je vais pas vous faciliter la vie là! Et puis j'vais m'assoir plus loin parce que ça pue grave votre histoire, c'est du racket organisé, de l'abus total!
Et voila comment, après avoir, toute ma vie, payé mes titres de transports, mes amendes avec le sourire quand j'en avais pas, j'ai laché 5€ à un putkjµµ££¨£¨de nazi. Et je suis resté calme et poli.
Et finalement, voici comment mon cerveau à réussi a faire sa 8ème connexion, en associant contrôleur à nazi pour m’être concentré sur mes écouteurs plutôt que sur la validation nécessaire d'un abonnement mensuel.
[ Il y a visiblement, des choses dans ce monde qui me donnent envie de le changer ]
A quand l'amende parce que ma chemise est pas repassée et que c'est insultant pour ceux qui se donne la peine de le faire?
Enfin, rien n'atteindra mon bonheur et ma joie, blasé 8 min dans ma journée, c'est pas un drame.
9ème connexion
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Je te recommande la technique d'jeun's éprouvée et approuvée sur les lignes du TER Nord Pas de Calais.
Le d'jeun's : "J'ai oublié ms'ieu le contrôleur". "Non, j'ai pas d'argent sur moi, ni de chèque, ni de CB". "Non, j'ai pas de pièces d'identité sur moi".
Ensuite : donner une fausse adresse pour le PV. Prendre le papier inutile du PV.
Enfin : descendre à destination et passer à autre chose, l'esprit serein...
Le d'jeun's : "J'ai oublié ms'ieu le contrôleur". "Non, j'ai pas d'argent sur moi, ni de chèque, ni de CB". "Non, j'ai pas de pièces d'identité sur moi".
Ensuite : donner une fausse adresse pour le PV. Prendre le papier inutile du PV.
Enfin : descendre à destination et passer à autre chose, l'esprit serein...
Gabriel- Messages : 2311
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Localisation : 59
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Merci pour le conseil... mais.... ca serait mentir
Et pour 5 euros en plus
Et pour 5 euros en plus
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ajoutée le 13 juin 2016
Céline Joyce Douay est co-auteur du livre My Paris Story, créatrice de richesses intérieures et extérieures, pour les coachs et les dirigeants ainsi que guide spécialisée dans la « Lecture d’âme » pour aider tout individu, en France comme à l’étranger, à trouver sa mission de vie. Depuis son violent réveil en 2012 par l'Univers, elle décide de reprendre son pouvoir, accueillir son potentiel unique et se mettre au service des autres afin d’aider à la « Transition Planétaire ». Elle synchronise l’Ego, avec la mission et les messages de l’âme, qui lui réalise les actions dans la matière. Cela permet un parfait alignement de l’individu et une prise de conscience de l'influence de la loi d’attraction sur sa vie. Les résultats sont visibles dans le concret, de nombreux clients en témoignent.
Guidée depuis son enfance, elle a reçu de nombreux signes toute sa vie, rêves prémonitoires, flashs, en 2001 l’appel du Mount Shasta en Californie, puis à partir de 2008 de très fortes synchronicités telle que la rencontre de sa cousine devant la Pyramide de Khéops en Egypte, une multiplication de coïncidences à Londres, des rencontres surprenantes à Los Angeles qui l'ont guidé sur son chemin spirituel. Elle réussit à réactiver son potentiel énergétique en parcourant plus de 40 pays, en passant par des lieux à vibrations très élevées comme le Machu Picchu, le Mont Sinaï, les Chutes du Niagara, et beaucoup d’autres…. Ses capacités extra-sensorielles ne cessent de se développer et elle découvre également une faculté à guérir les gens, communiquer avec des gens dans le coma, faire du remote viewing, lire des photos de personnes, etc.
Dotée d’une grande volonté et accompagnée de sa force et de sa foi, Céline contribue à faire en sorte que les êtres de lumière que l'on peut appeler - coachs, thérapeutes, accompagnateurs, dirigeants de société ou autres - reprennent possession de leur plein pouvoir afin qu’ils participent, à leur tour et à leur manière, à la transformation de ce monde vers un épanouissement total de l’être humain et ainsi sauver des vies.
De 1999 à 2012, entre l’obtention de son Master II en Business International & Marketing ainsi que son expérience professionnelle en tant que Directrice des Ventes Europe dans le E-commerce, elle rapporte des millions à son employeur, manage avec brio des équipes constituées de nationalités et cultures différentes dont elle fait grandir notamment le potentiel. En 2013, s'appuyant sur son vécu, en alliant ses connaissances et ses expériences à son génie "spirituel", elle décide de créer sa société dans le Coaching Intuitif et Business Mentoring à l’international.
Sa mission est d'éveiller les Acteurs de Lumière à devenir des spécialistes aguerris et justes, d’aider un large public, par conséquent de créer un impact positif et puissant au niveau planétaire. Elle accompagne ces co-créateurs et les amène à incarner avec fierté leur mission de vie et à concrétiser leurs rêves dans la matière grâce aux fruits récoltés de leur mérite.
A très vite,
Céline Joyce Douay
Comment gagner 300 euros ? Faîtes un test en direct. Je vais attendre un peu, comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu.... je vais faire ma basique et aller voir l'age de glace au ciné... pardon.. (Je ne suis pas testée, je partage juste... mais je réponds de plus en plus à la question : euh pourquoi je ne vais toujours pas le dire... euh t'es surdoué ? alors tu parles aux gens dans le coma... !!! quand il n'y a plus il y a encore et apparemment ça n'est pas fini, victime de la mode ? telle est ton nom de code ? barres ?)
Céline Joyce Douay est co-auteur du livre My Paris Story, créatrice de richesses intérieures et extérieures, pour les coachs et les dirigeants ainsi que guide spécialisée dans la « Lecture d’âme » pour aider tout individu, en France comme à l’étranger, à trouver sa mission de vie. Depuis son violent réveil en 2012 par l'Univers, elle décide de reprendre son pouvoir, accueillir son potentiel unique et se mettre au service des autres afin d’aider à la « Transition Planétaire ». Elle synchronise l’Ego, avec la mission et les messages de l’âme, qui lui réalise les actions dans la matière. Cela permet un parfait alignement de l’individu et une prise de conscience de l'influence de la loi d’attraction sur sa vie. Les résultats sont visibles dans le concret, de nombreux clients en témoignent.
Guidée depuis son enfance, elle a reçu de nombreux signes toute sa vie, rêves prémonitoires, flashs, en 2001 l’appel du Mount Shasta en Californie, puis à partir de 2008 de très fortes synchronicités telle que la rencontre de sa cousine devant la Pyramide de Khéops en Egypte, une multiplication de coïncidences à Londres, des rencontres surprenantes à Los Angeles qui l'ont guidé sur son chemin spirituel. Elle réussit à réactiver son potentiel énergétique en parcourant plus de 40 pays, en passant par des lieux à vibrations très élevées comme le Machu Picchu, le Mont Sinaï, les Chutes du Niagara, et beaucoup d’autres…. Ses capacités extra-sensorielles ne cessent de se développer et elle découvre également une faculté à guérir les gens, communiquer avec des gens dans le coma, faire du remote viewing, lire des photos de personnes, etc.
Dotée d’une grande volonté et accompagnée de sa force et de sa foi, Céline contribue à faire en sorte que les êtres de lumière que l'on peut appeler - coachs, thérapeutes, accompagnateurs, dirigeants de société ou autres - reprennent possession de leur plein pouvoir afin qu’ils participent, à leur tour et à leur manière, à la transformation de ce monde vers un épanouissement total de l’être humain et ainsi sauver des vies.
De 1999 à 2012, entre l’obtention de son Master II en Business International & Marketing ainsi que son expérience professionnelle en tant que Directrice des Ventes Europe dans le E-commerce, elle rapporte des millions à son employeur, manage avec brio des équipes constituées de nationalités et cultures différentes dont elle fait grandir notamment le potentiel. En 2013, s'appuyant sur son vécu, en alliant ses connaissances et ses expériences à son génie "spirituel", elle décide de créer sa société dans le Coaching Intuitif et Business Mentoring à l’international.
Sa mission est d'éveiller les Acteurs de Lumière à devenir des spécialistes aguerris et justes, d’aider un large public, par conséquent de créer un impact positif et puissant au niveau planétaire. Elle accompagne ces co-créateurs et les amène à incarner avec fierté leur mission de vie et à concrétiser leurs rêves dans la matière grâce aux fruits récoltés de leur mérite.
A très vite,
Céline Joyce Douay
Comment gagner 300 euros ? Faîtes un test en direct. Je vais attendre un peu, comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu.... je vais faire ma basique et aller voir l'age de glace au ciné... pardon.. (Je ne suis pas testée, je partage juste... mais je réponds de plus en plus à la question : euh pourquoi je ne vais toujours pas le dire... euh t'es surdoué ? alors tu parles aux gens dans le coma... !!! quand il n'y a plus il y a encore et apparemment ça n'est pas fini, victime de la mode ? telle est ton nom de code ? barres ?)
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
suivez moi et par ici la monnaie je suis passé par le mont shasta
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
zebulonlezebre a écrit:suivez moi et par ici la monnaie je suis passé par le mont shasta
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
En tous les cas, je sais désormais qu'il y en a ici où je peux poster ceci j'ai toujours préféré infuser avec des tiers, des tiers neutres, des tiers pas neutres, ou des tiers temps, des thières c'est le thière time On le sait pas mais le nombre d'heures que j'ai gagné en venant poster un truc ici dont je ne sais quoi penser, au lieu de me retourner le cerveau à me demander quoi en pensant mais il faut pas le répéter à ce forum, après il va se croire surdoué et avoir les chevilles qui gonflent autant laisser le sachez gonfler, sachez le c'est mieux pour le thé
Y'a concept, après sans les culottes, après les avec culots à tête d'ampoules, un collectif dans "sans QI" mais comment vont ils faire ? mais faire quoi ? touiller sans QIères. le sucre il reste au fond ? ou alors il y a une fourchette ? pour couper les équerres ou les écarts au couteau ? pour sortir du brouillard ?
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
- Pharaon:
"Vingt mille lieues sous les mers" ?- Chapitre XVII :
Nous étions enfin arrivés à la lisière de cette forêt, sans doute l’une des plus belles de l’immense domaine du capitaine Nemo. Il la considérait comme étant sienne, et s’attribuait sur elle les mêmes droits qu’avaient les premiers hommes aux premiers jours du monde. D’ailleurs, qui lui eût disputé la possession de cette propriété sous-marine ? Quel autre pionnier plus hardi serait venu, la hache à la main, en défricher les sombres taillis ?
Cette forêt se composait de grandes plantes arborescentes, et, dès que nous eûmes pénétré sous ses vastes arceaux. mes regards furent tout d’abord frappés d’une singulière disposition de leurs ramures - disposition que je n’avais pas encore observée jusqu’alors.
Aucune des herbes qui tapissaient le sol, aucune des branches qui hérissaient les arbrisseaux, ne rampait, ni ne se courbait, ni ne s’étendait dans un plan horizontal. Toutes montaient vers la surface de l’Océan. Pas de filaments, pas de rubans, si minces qu’ils fussent, qui ne se tinssent droit comme des tiges de fer. Les fucus et les lianes se développaient suivant une ligne rigide et perpendiculaire, commandée par la densité de l’élément qui les avait produits. Immobiles, d’ailleurs, lorsque je les écartais de la main, ces plantes reprenaient aussitôt leur position première. C’était ici le règne de la verticalité.
Bientôt, je m’habituai à cette disposition bizarre, ainsi qu’à l’obscurité relative qui nous enveloppait. Le sol de la forêt était semé de blocs aigus, difficiles à éviter. La flore sous-marine m’y parut être assez complète, plus riche même qu’elle ne l’eût été sous les zones arctiques ou tropicales, où ses produits sont moins nombreux. Mais, pendant quelques minutes, je confondis involontairement les règnes entre eux, prenant des zoophytes pour des hydrophytes, des animaux pour des plantes. Et qui ne s’y fût pas trompé ? La faune et la flore se touchent de si près dans ce monde sous-marin !
J’observai que toutes ces productions du règne végétal ne tenaient au sol que par un empâtement superficiel. Dépourvues de racines, indifférentes au corps solide, sable, coquillage, test ou galet, qui les supporte, elles ne lui demandent qu’un point d’appui, non la vitalité. Ces plantes ne procèdent que d’elles-mêmes, et le principe de leur existence est dans cette eau qui les soutient, qui les nourrit. La plupart, au lieu de feuilles, poussaient des lamelles de formes capricieuses, circonscrites dans une gamme restreinte de couleurs, qui ne comprenait que le rose, le carmin, le vert, l’olivâtre, le fauve et le brun. Je revis là, mais non plus desséchées comme les échantillons du Nautilus, des padines-paons, déployées en éventails qui semblaient solliciter la brise, des céramies écarlates, des laminaires allongeant leurs jeunes pousses comestibles, des néréocystées filiformes et fluxueuses, qui s’épanouissaient à une hauteur de quinze mètres, des bouquets s’acétabules, dont les tiges grandissent par le sommet, et nombre d’autres plantes pélagiennes, toutes dépourvues de fleurs. « Curieuse anomalie, bizarre élément, a dit un spirituel naturaliste, où le règne animal fleurit, et où le règne végétal ne fleurit pas ! »
Entre ces divers arbrisseaux, grands comme les arbres des zones tempérées, et sous leur ombre humide, se massaient de véritables buissons à fleurs vivantes, des haies de zoophytes, sur lesquels s’épanouissaient des méandrines zébrées de sillons tortueux, des cariophylles jaunâtres à tentacules diaphanes, des touffes gazonnantes de zoanthaires, et pour compléter l’illusion -, les poissons-mouches volaient de branches en branches, comme un essaim de colibris, tandis que de jaunes lépisacanthes, à la mâchoire hérissée, aux écailles aiguës, des dactyloptères et des monocentres, se levaient sous nos pas, semblables à une troupe de bécassines.
Vers une heure, le capitaine Nemo donna le signal de la halte. J’en fus assez satisfait pour mon compte, et nous nous étendîmes sous un berceau d’alariées, dont les longues lanières amincies se dressaient comme des flèches.
Cet instant de repos me parut délicieux. Il ne nous manquait que le charme de la conversation. Mais impossible de parler, impossible de répondre. J’approchai seulement ma grosse tête de cuivre de la tête de Conseil. Je vis les yeux de ce brave garçon briller de contentement, et en signe de satisfaction. il s’agita dans sa carapace de l’air le plus comique du monde.
Après quatre heures de cette promenade, je fus très étonné de ne pas ressentir un violent besoin de manger. A quoi tenait cette disposition de l’estomac, je ne saurais le dire. Mais, en revanche, j’éprouvais une insurmontable envie de dormir, ainsi qu’il arrive à tous les plongeurs. Aussi mes yeux se fermèrent-ils bientôt derrière leur épaisse vitre, et je tombai dans une invincible somnolence, que le mouvement de la marche avait seul pu combattre jusqu’alors. Le capitaine Nemo et son robuste compagnon, étendus dans ce limpide cristal, nous donnaient l’exemple du sommeil.
Combien de temps restai-je ainsi plongé dans cet assoupissement, je ne pus l’évaluer ; mais lorsque je me réveillai, il me sembla que le soleil s’abaissait vers l’horizon. Le capitaine Nemo s’était déjà relevé, et je commençais à me détirer les membres, quand une apparition inattendue me remit brusquement sur les pieds.
A quelques pas, une monstrueuse araignée de mer, haute d’un mètre, me regardait de ses yeux louches, prête à s’élancer sur moi. Quoique mon habit de scaphandre fût assez épais pour me défendre contre les morsures de cet animal, je ne pus retenir un mouvement d’horreur. Conseil et le matelot du Nautilus s’éveillèrent en ce moment. Le capitaine Nemo montra à son compagnon le hideux crustacé, qu’un coup de crosse abattit aussitôt, et je vis les horribles pattes du monstre se tordre dans des convulsions terribles.
Cette rencontre me fit penser que d’autres animaux, plus redoutables, devaient hanter ces fonds obscurs, et que mon scaphandre ne me protégerait pas contre leurs attaques. Je n’y avais pas songé jusqu’alors, et je résolus de me tenir sur mes gardes. Je supposais, d’ailleurs, que cette halte marquait le terme de notre promenade ; mais je me trompais, et, au lieu de retourner au Nautilus, le capitaine Nemo continua son audacieuse excursion.
Le sol se déprimait toujours, et sa pente, s’accusant davantage, nous conduisit à de plus grandes profondeurs. Il devait être à peu près trois heures, quand nous atteignîmes une étroite vallée, creusée entre de hautes parois à pic, et située par cent cinquante mètres de fond. Grâce à la perfection de nos appareils, nous dépassions ainsi de quatre-vingt-dix mètres la limite que la nature semblait avoir imposée jusqu’ici aux excursions sous-marines de l’homme.
Je dis cent cinquante mètres, bien qu’aucun instrument ne me permît d’évaluer cette distance. Mais je savais que, même dans les mers les plus limpides, les rayons solaires ne pouvaient pénétrer plus avant. Or, précisément, l’obscurité devint profonde. Aucun objet n’était visible à dix pas. Je marchais donc en tâtonnant, quand je vis briller subitement une lumière blanche assez vive. Le capitaine Nemo venait de mettre son appareil électrique en activité. Son compagnon l’imita. Conseil et moi nous suivîmes leur exemple. J’établis, en tournant une vis, la communication entre la bobine et le serpentin de verre, et la mer, éclairée par nos quatre lanternes, s’illumina dans un rayon de vingt-cinq mètres.
Le capitaine Nemo continua de s’enfoncer dans les obscures profondeurs de la forêt dont les arbrisseaux se raréfiaient de plus en plus. J’observai que la vie végétale disparaissait plus vite que la vie animale. Les plantes pélagiennes abandonnaient déjà le sol devenu aride, qu’un nombre prodigieux d’animaux, zoophytes, articulés, mollusques et poissons y pullulaient encore.
Tout en marchant, je pensais que la lumière de nos appareils Ruhmkorff devait nécessairement attirer quelques habitants de ces sombres couches. Mais s’ils nous approchèrent, ils se tinrent du moins à une distance regrettable pour des chasseurs. Plusieurs fois, je vis le capitaine Nemo s’arrêter et mettre son fusil en joue ; puis, après quelques instants d’observation, il se relevait et reprenait sa marche.
Enfin, vers quatre heures environ, cette merveilleuse excursion s’acheva. Un mur de rochers superbes et d’une masse imposante se dressa devant nous, entassement de blocs gigantesques, énorme falaise de granit, creusée de grottes obscures, mais qui ne présentait aucune rampe praticable. C’étaient les accores de l’île Crespo. C’était la terre.
Le capitaine Nemo s’arrêta soudain. Un geste de lui nous fit faire halte, et si désireux que je fusse de franchir cette muraille, je dus m’arrêter. Ici finissaient les domaines du capitaine Nemo. Il ne voulait pas les dépasser. Au-delà, c’était cette portion du globe qu’il ne devait plus fouler du pied.
Le retour commença. Le capitaine Nemo avait repris la tête de sa petite troupe, se dirigeant toujours sans hésiter. Je crus voir que nous ne suivions pas le même chemin pour revenir au Nautilus. Cette nouvelle route, très raide, et par conséquent très pénible, nous rapprocha rapidement de la surface de la mer. Cependant, ce retour dans les couches supérieures ne fut pas tellement subit que la décompression se fit trop rapidement, ce qui aurait pu amener dans notre organisme des désordres graves, et déterminer ces lésions internes si fatales aux plongeurs. Très promptement, la lumière reparut et grandit, et, le soleil étant déjà bas sur l’horizon, la réfraction borda de nouveau les divers objets d’un anneau spectral.
A dix mètres de profondeur, nous marchions au milieu d’un essaim de petits poissons de toute espèce, plus nombreux que les oiseaux dans l’air, plus agiles aussi, mais aucun gibier aquatique, digne d’un coup de fusil. ne s’était encore offert à nos regards.
En ce moment, je vis l’arme du capitaine, vivement épaulée, suivre entre les buissons un objet mobile. Le coup partit, j’entendis un faible sifflement, et un animal retomba foudroyé à quelques pas.
C’était une magnifique loutre de mer, une enhydre, le seul quadrupède qui soit exclusivement marin. Cette loutre, longue d’un mètre cinquante centimètres, devait avoir un très grand prix. Sa peau, d’un brun marron en dessus, et argentée en dessous, faisait une de ces admirables fourrures si recherchées sur les marchés russes et chinois ; la finesse et le lustre de son poil lui assuraient une valeur minimum de deux mille francs. J’admirai fort ce curieux mammifère à la tête arrondie et ornée d’oreilles courtes, aux yeux ronds, aux moustaches blanches et semblables à celles du chat, aux pieds palmés et unguiculés, à la queue touffue. Ce précieux carnassier, chassé et traqué par les pêcheurs, devient extrêmement rare, et il s’est principalement réfugié dans les portions boréales du Pacifique, où vraisemblablement son espèce ne tardera pas à s’éteindre.
Le compagnon du capitaine Nemo vint prendre la bête, la chargea sur son épaule, et l’on se remit en route.
Pendant une heure, une plaine de sable se déroula devant nos pas. Elle remontait souvent à moins de deux mètres de la surface des eaux. Je voyais alors notre image, nettement reflétée, se dessiner en sens inverse, et, au-dessus de nous, apparaissait une troupe identique. reproduisant nos mouvements et nos gestes, de tout point semblable, en un mot, à cela près qu’elle marchait la tête en bas et les pieds en l’air.
Autre effet à noter. C’était le passage de nuages épais qui se formaient et s’évanouissaient rapidement ; mais en réfléchissant, je compris que ces prétendus nuages n’étaient dus qu’à l’épaisseur variable des longues lames de fond, et j’apercevais même les « moutons » écumeux que leur crête brisée multipliait sur les eaux. Il n’était pas jusqu’à l’ombre des grands oiseaux qui passaient sur nos têtes, dont je ne surprisse le rapide effleurement à la surface de la mer.
En cette occasion, je fus témoin de l’un des plus beaux coups de fusil qui ait jamais fait tressaillir les fibres d’un chasseur. Un grand oiseau, à large envergure, très nettement visible, s’approchait en planant. Le compagnon du capitaine Nemo le mit en joue et le tira, lorsqu’il fut à quelques mètres seulement au-dessus des flots. L’animal tomba foudroyé, et sa chute l’entraîna jusqu’à la portée de l’adroit chasseur qui s’en empara. C’était un albatros de la plus belle espèce, admirable spécimen des oiseaux pélagiens.
Notre marche n’avait pas été interrompue par cet incident. Pendant deux heures, nous suivîmes tantôt des plaines sableuses, tantôt des prairies de varechs, fort pénibles à traverser. Franchement, je n’en pouvais plus, quand j’aperçus une vague lueur qui rompait, à un demi mille, l’obscurité des eaux. C’était le fanal du Nautilus. Avant vingt minutes, nous devions être à bord, et là, je respirerais à l’aise, car il me semblait que mon réservoir ne fournissait plus qu’un air très pauvre en oxygène. Mais je comptais sans une rencontre qui retarda quelque peu notre arrivée.
J’étais resté d’une vingtaine de pas en arrière, lorsque je vis le capitaine Nemo revenir brusquement vers moi. De sa main vigoureuse, il me courba à terre, tandis que son compagnon en faisait autant de Conseil. Tout d’abord, je ne sus trop que penser de cette brusque attaque, mais je me rassurai en observant que le capitaine se couchait près de moi et demeurait immobile.
J’étais donc étendu sur le sol, et précisément à l’abri d’un buisson de varechs, quand, relevant la tête, j’aperçus d’énormes masses passer bruyamment en jetant des lueurs phosphorescentes.
Mon sang se glaça dans mes veines ! J’avais reconnu les formidables squales qui nous menaçaient. C’était un couple de tintoréas, requins terribles, à la queue énorme, au regard terne et vitreux, qui distillent une matière phosphorescente par des trous percés autour de leur museau. Monstrueuses mouches à feu, qui broient un homme tout entier dans leurs mâchoires de fer ! Je ne sais si Conseil s’occupait à les classer, mais pour mon compte, j’observais leur ventre argenté, leur gueule formidable, hérissée de dents, à un point de vue peu scientifique, et plutôt en victime qu’en naturaliste.
Très heureusement, ces voraces animaux y voient mal. Ils passèrent sans nous apercevoir, nous effleurant de leurs nageoires brunâtres, et nous échappâmes, comme par miracle, à ce danger plus grand, à coup sûr, que la rencontre d’un tigre en pleine forêt.
Une demi-heure après, guidés par la traînée électrique, nous atteignions le Nautilus. La porte extérieure était restée ouverte, et le capitaine Nemo la referma, dès que nous fûmes rentrés dans la première cellule. Puis, il pressa un bouton. J’entendis manoeuvrer les pompes au dedans du navire, je sentis l’eau baisser autour de moi et, en quelques instants, la cellule fut entièrement vidée. La porte intérieure s’ouvrit alors, et nous passâmes dans le vestiaire.
Là, nos habits de scaphandre furent retirés, non sans peine, et, très harassé, tombant d’inanition et de sommeil, je regagnai ma chambre, tout émerveillé de cette surprenante excursion au fond des mers.
source
Un mini robot raie vivant avec de l’or, du silicone et du cœur de rat
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Le grand cinéaste iranien Abbas Kiarostami est décédé le 4 juillet à l'âge de 76 ans. Pour lui rendre hommage, ARTE diffuse "Le goût de la cerise", le film qui obtint la Palme d'or à Cannes en 1997 et lui offrit la reconnaissance internationale. À Téhéran, un homme paisible, monsieur Badii, veut mettre fin à ses jours... Une réflexion sur la liberté, à la fois improvisée et magistralement mise en scène.
Téhéran, l'après-midi d'un jour férié. M. Badii sillonne un quartier en construction au volant de son 4x4. Il aborde des hommes et leur propose de faire pour lui un travail inhabituel mais bien rémunéré. Certains, après avoir hésité, acceptent de le suivre jusqu'à un trou. M. Badii leur confie alors qu'il veut mourir. Le principe est simple : il leur suffit de l'appeler deux fois par son nom, de lui tendre la main s'il répond, sinon de l'ensevelir sur place. Tour à tour, un jeune militaire, un séminariste et un vieux taxidermiste tentent de convaincre M. Badii qu'il est dans l'erreur et que sa révolte est blasphématoire…
Conte à mourir debout
Quel est le propos du "Goût de la cerise" ? Est-ce une parabole sur le goût de la vie ? Une réflexion sur l'envie parfois dévorante d'en finir ? Un poème stoïcien à la manière du texte d'Omar Khayyam mis en exergue au film "Oh ! que de temps où nous ne serons plus, et où le monde sera encore ! Il ne restera de nous ni renommée, ni trace" ? Un peu tout cela à la fois. L'essentiel du film se passe en voiture. Le mystérieux M. Badii instaure un incroyable face à face avec ceux qu'il aborde. Comme si l'on n'avait jamais autant besoin d'autrui qu'au moment où on voudrait s'en passer. Le paisible suicidaire oblige les hommes à discuter, à répondre à ses questions indiscrètes, à lui faire la conversation. C'est par ces dialogues que, peu à peu, le film se construit. En effet, Le goût de la cerise a été réalisé sans scénario. "J'ai tourné en vidéo les séquences de M. Badii, explique Kiarostami. J'étais au volant de la voiture et j'improvisais les dialogues. (…) L'acteur principal, je l'ai trouvé dans la rue, au volant d'une voiture. En fait, je l'ai très peu dirigé, il s'est contenté d'être lui-même. C'est un architecte, un homme très réservé. (…) Le jeune soldat est un étudiant que j'ai fait habiller en treillis. Il résistait un peu parce qu'il croyait qu'on voulait l'enrôler par surprise. Il me demandait : 'Mais qu'est-ce que vous voulez faire de moi ?', et tout ça est entré dans le film parce qu'il n'avait pas compris que la caméra tournait. Le séminariste joue son propre rôle. Quant au vieux taxidermiste, c'est un homme humble qui était venu en curieux sur le tournage…" Malgré le feu croisé des questions, les motivations de M. Badii demeurent un mystère. Les hommes interrogés restent aussi opaques que leur tourmenteur. Autant de trous noirs, de cases vides, d'énigmes irrésolues. Mais l'essentiel n'est peut-être pas tant dans ce qu'ils sont que dans ce qu'ils deviennent à la faveur du rapport humain induit par l'étrange contrat proposé par M. Badii.
Téhéran, l'après-midi d'un jour férié. M. Badii sillonne un quartier en construction au volant de son 4x4. Il aborde des hommes et leur propose de faire pour lui un travail inhabituel mais bien rémunéré. Certains, après avoir hésité, acceptent de le suivre jusqu'à un trou. M. Badii leur confie alors qu'il veut mourir. Le principe est simple : il leur suffit de l'appeler deux fois par son nom, de lui tendre la main s'il répond, sinon de l'ensevelir sur place. Tour à tour, un jeune militaire, un séminariste et un vieux taxidermiste tentent de convaincre M. Badii qu'il est dans l'erreur et que sa révolte est blasphématoire…
Conte à mourir debout
Quel est le propos du "Goût de la cerise" ? Est-ce une parabole sur le goût de la vie ? Une réflexion sur l'envie parfois dévorante d'en finir ? Un poème stoïcien à la manière du texte d'Omar Khayyam mis en exergue au film "Oh ! que de temps où nous ne serons plus, et où le monde sera encore ! Il ne restera de nous ni renommée, ni trace" ? Un peu tout cela à la fois. L'essentiel du film se passe en voiture. Le mystérieux M. Badii instaure un incroyable face à face avec ceux qu'il aborde. Comme si l'on n'avait jamais autant besoin d'autrui qu'au moment où on voudrait s'en passer. Le paisible suicidaire oblige les hommes à discuter, à répondre à ses questions indiscrètes, à lui faire la conversation. C'est par ces dialogues que, peu à peu, le film se construit. En effet, Le goût de la cerise a été réalisé sans scénario. "J'ai tourné en vidéo les séquences de M. Badii, explique Kiarostami. J'étais au volant de la voiture et j'improvisais les dialogues. (…) L'acteur principal, je l'ai trouvé dans la rue, au volant d'une voiture. En fait, je l'ai très peu dirigé, il s'est contenté d'être lui-même. C'est un architecte, un homme très réservé. (…) Le jeune soldat est un étudiant que j'ai fait habiller en treillis. Il résistait un peu parce qu'il croyait qu'on voulait l'enrôler par surprise. Il me demandait : 'Mais qu'est-ce que vous voulez faire de moi ?', et tout ça est entré dans le film parce qu'il n'avait pas compris que la caméra tournait. Le séminariste joue son propre rôle. Quant au vieux taxidermiste, c'est un homme humble qui était venu en curieux sur le tournage…" Malgré le feu croisé des questions, les motivations de M. Badii demeurent un mystère. Les hommes interrogés restent aussi opaques que leur tourmenteur. Autant de trous noirs, de cases vides, d'énigmes irrésolues. Mais l'essentiel n'est peut-être pas tant dans ce qu'ils sont que dans ce qu'ils deviennent à la faveur du rapport humain induit par l'étrange contrat proposé par M. Badii.
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ca a l'air très intéressant comme concept. Et hop ! Dans mes vidéos à regarder !!
Merci Carla...
(Au fait, d'humeur insomniaque ? Ou lève-tôt ? )
Merci Carla...
(Au fait, d'humeur insomniaque ? Ou lève-tôt ? )
JehanGriffon- Messages : 905
Date d'inscription : 11/05/2015
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