traitement méthylphénidate et zèbre sont ils compatible ?

j'essairai si un jour je trouve le courage pour le faire (la je promet rien)

c'était l'enfer l'echo-trans-oesophagienne j'ai le pharynx tout défoncé

yersiniadclxvi a écrit:j'essairai si un jour je trouve le courage pour le faire (la je promet  rien)

Tout ce que tu te donneras comme courage te sera rendu en choses positives.  
Si tu dis que c'est difficile pour toi, c'est un signal pour le faire..

Sinon Umbeldi c'est vrai qu'il y a des gens qui sont récalcitrants à ça, mais au final ce n'est qu'une carapace qu'on peut contourner en trouvant les mots, ou attitudes pour au final être amenés à se regarder.
Ce n'est pas en n'essayant pas que ça fonctionnera, et il faut d'abord commencer par le faire soi-même pour trouver justement cette "clé" qui amènera l'autre à te regarder en face également.

@zebrafinch
oui il y a des gens qui sont récalcitrants mais il qui y viennent ensuite.
et il y a aussi des gens chez qui cela renforce la toxicité, enclenchant chez eux un mécanisme de défense, parfois même ce qui a été nommé par certains "identification projective".,
moi aussi j'aimerai que ce soit comme tu le dis, ce n'est malheureusement pas le cas.

Oui, je vois ce que tu veux dire, c'est comme regarder un psychopathe dans les yeux, avec un regard de défi, c'est chercher l'affrontement...contre lequel on n'aura aucune chance.

Mais avec un regard d'amour, là par contre...les personnes dont tu parles s'identifient à de la non-agressivité, des limites, à une écoute de l'autre...tout ce qu'on souhaite..

en fait non
pour certaines personnes un regard "d'amour" (en fait un regard d'acceptation) peut être plus violent qu'un regard de défi (mode connu de "compétition").
car il s'agit pour ces personnes d' un mode inconnu et d'une confrontation trop brutale avec la frustration et la tristesse de ne pas avoir reçu quelque chose. confrontation tellement brutale qu'in-supportable et rendant nécessaire de l'évacuer par le refoulement pour ne pas traverser ces émotions.
le mécanisme de défense le plus confortable est alors de répondre sur le mode connu: l'affrontement.

Effectivement ça m'est arrivé plus d'une fois avec des "PN version soft" (j'utilise ce langage pour me faire comprendre dans l'échelle émotionnelle)...et c'est exactement ce que tu décris.

Néanmoins, moi croyant dur comme fer à l'amour que j'ai pour les autres, aucun(e) de ceux que j'ai croisés sont allés jusqu'à l'affrontement physique, ils/elles se sont éloignés d'eux-mêmes, vu que le simple fait de les aimer était tellement violent qu'ils/elles ne trouvaient même pas la force de m'affronter. Et quand bien même ceux/celles qui ont essayé de me démolir psychologiquement par l'affrontement, n'y y sont pas arrivés, ou alors que temporairement.
Finalement, les seul(e)s qui m'ont fait mal sont ceux/celles qui m'ont fuit.

Je fais sûrement partie de ces gens très empathiques, en plein syndrome de Stockholm dans ce genre de situations, et à l'assumer autant, ce qui est parfois déstabilisant, pour les personnes narcissiques en tout cas.
(après, des vrais psychopathes, je ne sais pas, je n'essayerais pas pour le plaisir en tout cas, sauf si vraiment je n'ai pas le choix comme être pris en otage ou quoi..).

Disons que dans le cas de ma mère elle vois les choses comme ça : On lui doit tout et elle ne doit rien a personne, c'est le genre ménagère qui a abandonné toutes vérités, elle a rejeté l'idée d'amour depuis sa plus tendre enfance. On a était éduquer dans l'idée que l'amour n’existait pas qu'il n'y avait au mieux qu'un léger attachement mais que tout était question de profit . Alors je pense pas qu'un regard "d'amour" puisse arranger les choses même si je dois'avouer que je ne peux pas affirmer que sa marchera pas .

Commence par regarder, et laisse les choses se faire..