ππ Tour de PY-ze !!!! ππ

Finalement.... Oui!

Avec une grenadine offerte par AF en plus, que demande le peuple.

enidanerg ed sap erffo'n ej 

! aç eriaf siavuop no'uq sap siavas en eJ 

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ha siauo tse'c sap lam ne teffe!!!
Ne tiaf nom noiva ud ruoj a ete elunna, siam ferb sli tno'm sim snad nu sulp drat, re tno'm eyap enu nossiob. freb feso 

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Bande de spychopathes à poids rouges et bleus !

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Tiens a propos de vacances, de grenadine, pas de violence, spychopathes, ça me fait penser à ça :

Porter ses valises.

Parfois, c'est amusant, comment des situations de la vie quotidienne, peuvent venir apporter un éclairage sur des questions plus abstraites, plus psychologiques j'ai envie de dire, et des parallèles, des analogies que l'on peut faire sur tout un tas de choses.

Hier, avant de partir pour l'aéroport, je devais manger avec quelqu'un, et je me suis posé la question de savoir, si je prenais mes valises pour y aller ou non. Prendre mes valises m'accordait une certaine liberté au niveau de l'organisation de la journée, me permettait de pouvoir changer de plan plus facilement, quelque part, d'être plus libre et d'avoir plus de temps à moi, même si cela m'alourdissait aussi, et du coup, quelque part, limitait ma capacité de mouvement. Cela me permettait aussi, éventuellement de pouvoir montrer des choses présentes dans la valise.
Ne pas prendre mes valises, c'était synonyme à l'inverse j'ai envie de dire, de plus de souplesse dans les mouvement, de plus de légèreté, de pouvoir bouger plus facilement, mais cela me contraignait aussi, dans le sens où cela m'obligeait à devoir retourner les chercher à un moment donné. M'imposant donc une contrainte, au niveau de la distance que je pouvais parcourir, et au niveau timing, d'être obligé d'avoir le temps de retourner les chercher.

Quelle solution adopter au final, j'ai envie de dire qu'importe, ça dépend de la situation, de ce que l'on veut, de ce que l'on choisit de prioriser... Du moment que l'on voit avantages et inconvénients de chacune, quelque part, peu importe. Bref.

En même temps, je n'ai pas pu m'empêcher d'établir une sorte de parallèle psychologique. Je veux dire, on a tous des valises, à savoir, une vie, des expériences, un vécu, des contraintes, des choses qu'on va apprécier, d'autres qui nous seront insupportables, selon les valeurs, les principes que l'on a, et le poids qu'on leur accordera, l'importance qu'elles auront pour nous, le bien-être/mal-être qu'elles nous apporteront, comment on pourra les porter etc... Et euh, forcément, selon qu'on les a ou non avec soi, qu'on y pense ou non etc... On pourra être plus ou moins léger, avoir une conversation plus ou moins profonde, être plus ou moins libre, plus ou moins lourd, nous permettra de faire certaines choses, et pas d'autres.

D'un autre coté, c'est normal, d'avoir des valises, il n'y a pas de culpabilité à avoir à ce propos. On a tous fait des choix, vécu des choses, qui auront plus ou moins porté à conséquences, et puis voilà.

Je ne vais pas être sur le même plan que toi mais aborder le même sujet.

Moi, j'avais deux alternatives : partir plus tard et devoir traverser Paris à une heure de "pointe" (quoiqu'un samedi ce soit à relativiser) en métro ou en RER. Traîner ma valise dans la foule des transports en communs souterrains. Mais, cette foule, qui nous est imposée, elle m'a énervée l'autre jour en ce que j'ai eu l'impression qu'elle m'empêchait d'y contrôler l'approche de mon voleur de portefeuille. On m'a enlevé tout pouvoir de contrôle ! Je me suis sentie très bête.

L'autre alternative était de prendre le train plus tôt et de traverser Paris à pied, de gare du Nord à Montparnasse, avec ma valise sur le dos (oui, c'est possible avec celles qui ont des bretelles amovibles). C'est ce que j'ai fait. Paris en surface, dans les rues moins bondées, ça reste humain. Je continue à aimer cette ville !

Voilà. Cette semaine, j'ai encore "gagné" en inquiétude et en pessimisme et ça m'agace, même si je pense que ça ne durera qu'un temps.

Euh, merci Bliss quand même pour le gateau .

Disons, en fait qu'après, le fait que je m'en passe, peut-être un choix conscient par rapport à tout un tas de choses qui peuvent très rapidement tellement me saouler, dès lors que l'on rentre dans ce domaine, que bon voilà, c'est pas pour rien que je peux préférer m'en passer, voire même que ça peut me procurer une certaine fierté.
C'est un peu con parfois, je peux avoir des avis différents dans certaines situations mais bon bref, voilà, pas envie d'entrer dans les détails là.

Sinon, classes les vidéos des nuls

Héhé oui Daria, le monde c'est chiant dans Paris, moi aussi, il peut m'arriver de préférer marcher en surface, plutôt que de me retrouver au milieu de la foule, parfois je la supporte sans problèmes, d'autres fois, je n'ai qu'une envie, m'en barrer le plus vite possible, quelqu'en soient les conséquences. Enfin, les joies de la vie Parisienne...

Marcelin, j'ai un cadeau pour toi :

Clique !

Hahaha :-D:-D

Joyeux Noël mon pote !!!!!

Merci, toi aussi!

Joyeux noël à ceux qui liront ce message!

En espérant, que ce soit un noël cool, genre que vous aimez bien passer. Euh, sinon :
Noël de merde!!!

Eh ben que se passe-t-il PY ???

Rien de particulier.

Alors c'est pour ça que c'est la merde ?

Ca? Non, juste pour les gens que noël saoulent, qui en ont marre d'en entendre parler... Enfin bref, moi ca va niquel, pas de soucis merci

Super PYère Noël !

Haha

Être soi, je crois qu' il y a entre autres deux choses, une première est d'être soi, une deuxième, de l'assumer.
Je sais pas trop comment développer plus là, mais bon.

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Se comprendre aussi c'est important, comprendre pourquoi on est comme cela et pas ceci ça permet de plus facilement s'accepter.

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Ah je ne parlais pas que de la personnalité.

héhé il me fait rire ce Broken

Oui, se connaitre, se comprendre, ça aide à avoir aussi un certain équilibre. Mieux se comprendre, et mieux accepter et assumer ce que l'on est ses choix.
Comprise, ça veut pas forcément dire la décortiquer non plus, comprendre que des fois, il n'y a pas besoin de comprendre, ça en fait partie aussi

Donc comprendre que ça en fait partie et que ce ne sera pas autrement

Ouep!

Être soi, c'est aussi, réfléchir par soi-même, faire les choses par soi-même, à sa manière.

Mais, je me dis aussi qu'être soi, ça peut aussi justement, si l'on ne veut pas réfléchir par soi-même etc... Ben, c'est justement de ne pas le faire. Si l'on n'assume pas d'être soi, l'assumer, c'est assumer de ne pas assumer.

Permettre aux autres d'être eux, j'avais tendance à penser, que c'était donc justement, d'accepter toutes leurs manières de penser, de ne pas trop me laisser toucher par ce que disent ou ce que font les autres, en ce sens que du coup, penser par eux-même, agir à leur manière, est du coup quelque chose qui ne leur est pas reproché, quelque chose de permis, quelque chose qui peut donc se faire plutôt naturellement, qui n'est pas un sujet de discorde, enfin bref. Il y a aussi que j'apprécie énormément quand on pense par soi-même.
Sauf, que par rapport à ce que je disais plus haut, si on est plus soi-même en justement ne réfléchissant pas, tout mon truc tombe à l'eau...
Je reviendrai sur le sujet.

si on est plus soi-même en justement ne réfléchissant pas, tout mon truc tombe à l'eau...
Je reviendrai sur le sujet.

Fais gaffe quand même, si tu réfléchis et que tu te casses, c'est 7 ans de malheur !

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Du coup, soit je réfléchis et je reste, soit j'arrête de réfléchir, et je me casse !!!

Tant que la réflexion n'aveugle pas....

Excuse...Ca m'a demangée. Car le sujet fait des ravages en ce moment. Je pense qu'on est soi quoi qu'on fasse...même dans le déni. Ensuite comprendre nos ressors ne permet pas toujours d'avancer mieux car le fossé est grand entre la pensée et le comportement.

Je ne te dérange plus

Oh, c'est bon
Oui, bien sur qu'on est soi quoi qu'on fasse, que ça nous plaise ou non, c'est de toute façon une tautologie.
L'écart entre la pensée et le comportement peut en effet être grand, et les deux sont des parts de soi. Apprendre à sentir, ou connaitre cet écart, peut aider sinon à avancer, du moins à savoir quand il est là, ou quand il peut être possible d'avancer

Mince ! En lisant ton message, je viens de me rendre qu'on est très "cosmique"

Boh, pas tant que ça

Ah va tare, quand tu nous tiens !

Au fait, pourquoi ce choix ?

Personnellement, je me sens toute petite face au monde. Ces images du cosmos me rappellent ma petite finitude et qu'il faut justement profiter de cette finitude.

Euh, parce que j'adore regarder les étoiles, depuis tout petit, puis un jour je suis tombé sur cette image d'Andromède de la Nasa.

Et j'aime bien cette image comme avatar.

Même pas une question de finitude, je me suis toujours senti en paix en regardant les étoiles.

Sur la finitude, oui, autant ça peut être démoralisant, autant on peut aussi se dire que c'est l'occasion d'apprécier ce qui nous arrive, ce qu'on vit, tant que c'est là.

Pas de problème d'avion cette fois, mis à part un petit retard au decollage

Le bonheur, parfois, c'est aussi simple que de se faire une bonne sieste!

C'est tout à fait exact. Surtout quand fifils vous a transmis ses microbes avant de partir en vacances, le bourricot...

Un rhume de cerf-veau ??? Y'a qu'à la campagne qu'on peut voir ça

Très bonne remarque Dame Protée!!
Pas pour lui manquer de respect, mais ah le petit saligaud!! Remets-toi bien!
Pour les microbes, j'ai aussi une autre astuce, qui est d'utiliser les propriétés antiseptiques des breuvages alcoolisés!
Ce qui m'amène à un deuxième point : parfois le bonheur, c'est aussi simple que de boire une bière en agréable compagnie (ou pas si agréable que ça, si il s'agit de Rincemaje, mais cela tout le monde l'aura compris, est-ce encore la peine de le préciser??)

LoOl

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