ππ Tour de PY-ze !!!! ππ

On peut toujours poster sans timbre et laisser payer le destinataire...

Tu as raison, déjà qu'on enrichit sa présentation de nos réflexions et conseils fort avisés, on ne va pas en plus payer l'affranchissement !

Faut quand même savoir s'affranchir des contraintes!

Moi, c'est fait ! Chui complètement timbré !

Et tu es fier de poster ça?

Oh, moins si il est timbré, ça m'évite de payer le timbre.

souvenirs

[edit] merde j'ai zappé ta paje, mais c'est la faute à rincemaje.

Héhé!!!
Ouais, c'est toujours la faute à Rincemaje de toute façon

Il y avait quelques chansons de REM, qui m'avaient déjà un peu marquées, mais là, je redécouvre, et c'est aussi un plaisir.

Quand je réfléchis, je procède souvent à une sorte de mise en abyme, et ce afin de pouvoir répondre à une question : ne suis-je pas justement en train de faire ce que je voulais éviter, ou ce qui me gêne, ou ce dont je parlais, ce à quoi je réfléchissais etc...

Parfois, on a désirs, des envies, qu'on s'avoue, ou qu'on ne s'avoue pas.
Souvent, quand on me parle de refoulement dans l'inconscient, j'ai l'image de la construction d'un barrage sur une rivière. Et plus, on essaie refoule, plus on bloque, plus il faut renforcer le barrage. Plus, de l'autre coté, l'eau s'accumule et exerce de pression sur le barrage. Moins on écoute, plus on veut laisser parler l'inconscient, plus on le bloque, plus l'eau s'accumule.

Et si on fait ça trop longtemps, l'eau finit par trouver une faille et la pression devient telle que le barrage ne résiste plus... Ce qui ne doit pas être bien drôle à vivre.

Ouep.
En fait, ça rejoint la logique de l'antagonisme.

On dit parfois des hommes, qu'ils ne pensent qu'avec leur b***. C'est faux, je ne pense qu'avec la Touffe!!

Je croyais que la Touffe pensait toute seule!

Non non non, ça ce ne sont que les élucubrations de Rincemaje!!!

D'ailleurs

Ils ont fait une faute d'ortho !

C'est
Scan-da-leux

Ouais!!! Mais je crois que c'était juste pour me sucrer les droits!!!

Encore un message fantôme !!!
Je vais finir pas croire que je fais peur!!
Hum, remarque ça me donne idée pour la série de photos de moi qui font peur

En même temps, si ça se trouve c'est Rincemaje, et alors je l'ai échappée belle

Super PY geai a écrit:On dit parfois des hommes, qu'ils ne pensent qu'avec le b***. C'est faux, je ne pense qu'avec la Touffe!!

C'est pas la Touffe, c'est "Les grosses têtes".

Bah, c'est la Touffe qui me donne la grosse tête!

D'ailleurs il a les chevilles bien touffues.

Hé Touffe!
Vite de l'aire!

Pourquoi cette demande de surface?

Pour (se)jouer des mots, si telle est la consigne.

-_-

On l'appellera blaze!
^_^

Moi y-en-a pas comprendre cette remarque sur ma pilosité des chevilles

Oui, se jouer des maux

Tiens, du tractatus logico-philosophicus :


1. Le monde est tout ce qui est le cas6.
Die Welt ist alles, was der Fall ist.
2. Ce qui est le cas, le fait, est l'existence d'états de chose.
Was der Fall ist, die Tatsache, ist das Bestehen von Sachverhalten.
3. L'image logique des faits est la pensée.
Das logische Bild der Tatsache ist der Gedanke.
4. La pensée est la proposition pourvue de sens.
Der Gedanke ist der sinnvolle Satz.
5. La proposition est une fonction de vérité des propositions élémentaires.
Der Satz ist eine Wahrheitsfunktion der Elementarsätze.
6. La forme générale de la fonction de vérité est : [p, ξ, N(ξ)]. C'est la forme générale de la proposition.
Die allgemeine Form der Wahrheitsfunktion ist: [p, ξ, N(ξ)]. Dies ist die allgemeine Form des Satzes.
7. Sur ce dont on ne peut parler, il faut garder le silence.
Wovon man nicht sprechen kann, darüber muß man schweigen.

J'en rajoute un pour la philosophie, car il me plait énormément :
La méthode correcte en philosophie consisterait proprement en ceci : ne rien dire que ce qui se laisse à dire, à savoir les propositions des sciences de la nature - quelque chose qui, par conséquent, n'a rien à voir avec la philosophie-, puis quand quelqu'un d'autre voudrait dire quelque chose de métaphysique, lui démontrer toujours qu'il a omis de donner, dans ses propositions, une signification à certains signes. Cette méthode serait insatisfaisante pour l'autre - qui n'aurait pas le sentiment que nous lui avons enseigné de la philosophie - mais ce serait la seule strictement correcte."

(En même temps, je suis pas tout à fait d'accord, des fois, c'est au contraire ça le plus marrant, quand on nous montre qu'on a oublié des choses)

Bon, et puis, comme on est en période de noël :

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Tu ne t'es pas méfiée de ma fourberie

J'avais pas osé à la base, mais il y a mieux :

.

.

Non, non, c'est la fourberie de la Touffe qui dépasse de loin la mienne!!
D'ailleurs, je crois qu'elle a senti une certain connivence avec ces plantes Touffues

Fait un rêve un peu chelou cette nuit.

Ca commençait, par une sorte de manifestation/émeute avec d'un coté des émeutiers, et de l'autre la police. Moi à la base, je n'étais ni pour l'un, ni pour l'autre. Et donc première session, à un moment, je me retrouve pris dans une voiture avec les émeutiers, et je suis un otage, et coup de "chance", le mec qui conduit la voiture est un peu suicidaire, la voiture va exploser contre quelque chose, c'est bon. Sauf que je me retrouve à nouveau à rêver de choses similaires. Cette fois, je me dis héhé, je vais pas me laisser avoir une deuxième fois, du coup, je pars du coté des flics dès le début, comme ça je serai tranquille. Sauf, que la situation, se reproduit deux, trois fois, et à chaque fois, les émeutiers gagnent du terrain et à la fin, je me retrouve dans leur camp. Bref, à la fin de la deux ou troisième fois, je me dis pas grave, je prends une voiture, et je me barre de cette situation à la con.
Sauf que là, je rentre dans ma caisse (j'en ai pas en vrai, mais bon, dans le rêve c'était la mienne). Et là, à peine ai-je démarré (en plus chelou, en y repensant, c'était comme si je rentrais dedans par le coté passager mais après, j'étais bien le conducteur du bon coté enfin bref...) à peine ai-je donc démarré, que des mains se posent sur mon épaule par derrière, mais c'est juste l'amie d'un ami qui me demandent d'aller à l'aéroport (normalement, le surnom associé devrait etre un mec, mais je suis en train de me dire si le surnom que je donne n'est pas associé au tapotement sur l'épaule bref). Pas de danger, je me dis ok, go à l'aéroport. Je démarre, et puis je sais pas, toutes les routes que je semble prendre me perdent un peu plus, j'arrive à la campagne, dans des sens interdits, sur des routes toutes chelou, qui des fois, ne sont pas vraiment des routes, les panneaux n'indiquent rien qui valent le coup... Bref, à un moment, je demande à ma passagère, si elle est pressée d'arriver à l'aéroport. Parce que la situation, si elle continue comme ça me semble de plus en plus mal embarquée. Elle me réponds que oui, et que même si c'était qu'à "deux stations", si elle m'a demandé, c'était pour y arriver plus vite.
Bon, dans une telle situation à la con, je me dis bon, faut que je sorte mon portable, et tant pis, j'utilise le GPS ça devrait aller mieux. Je sais pas, je m'arrête sur le bord de la route pour gérer cette histoire, et là genre au même moment, il y a une camionnette des émeutiers qui s'arrête juste derrière, et un mec sort pour me demander X euros, que je n'ai évidemment pas sur moi. Du coup, je me dis tant pis osef, je redémarre et on verra bien, sauf que c'est impossible de redémarrer. Et le mec qui me dit qu'il a le contrôle de mon embrayage, impossible de redémarrer malgré mes tentatives, sans avoir géré cette histoire, le mec me dit même qu'il faut que je fasse attention à ne pas trop essayer d'accélerer parce que ça sert à rien, et puis que ça va être chaud quand l'embrayage va revenir et là, je me réveille.
Je me rends compte que le prix demandé, est celui (sans offre à peu près, de mon portable). Enfin, bref, même réveillé, mon cerveau continue de dérouler le rêve, au final, je crois que je lâche mon portable, je repars avec ma passagère, jusqu'à arriver à un barrage policier, que la passagère va pouvoir passer, mais pas moi, quoique je fasse. Et après, ça, je me retrouve chez moi, dans un endroit sous contrôle des émeutiers, et puis voilà. Impression d'être de retour dans un endroit avec une ambiance type moyen-âge. Je sens quelques présence familières aussi qui me font plaisir aussi.

Enfin, voilà. Du coup, aujourd'hui, je sais pas, une impression bizarre. Je me dis qu'on a quand même un certain luxe dans la vie actuelle, en ce sens où on a quand même une certaine liberté, et un certain respect des gens. Où on peut quand même dire non à un certain nombre de choses qui ne nous plaisent pas. Je me demande, si je ne suis pas un peu chichiteux sur tout un tas de choses. Notamment, parfois, dans mon refus des concepts, des grandes idées etc...

Enfin, voilà.

Mine de rien, ça me questionne énormément comme rêve. L'impression de toujours avoir plus ou moins réussi à me sortir des mauvais pas, des mauvaises passe. Un peu comme si j'avais toujours réussi à un moment à me mettre du coté qui m'allait, à me sortir des contradictions, à trouver une solution, à m'extraire des conflits, à naviguer plus ou moins comme j'en avais envie.
Mais, là, c'est un peu comme si au final, ça ne me servait à rien, quelque part, comme si la réalité m'obligeait à choisir un camp et m'y tenir, devoir en accepter les règles, une forme de "non tu ne peux pas chercher une "troisième voie" dans ce monde, utiliser ta carte dans ce monde. Cette obligation de choisir entre deux choses te poursuivra toujours, et si tu ne veux pas choisir, elle te sera imposée, que ce soit celle que tu veux ou non.

Bref, C'est la Touffe, ou le camp

En fait non, en me rendant compte que c'était le prix du téléphone, c'est l'embrayage qui se remettait en marche. Et puis, c'est tout. Au final, je le garde je crois

Pas mal !!

Merci pour le partage.

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Ca me questionne aussi sur la valeur des choses, et leur réalité.
L'argent, ça reste quelque chose d'abstrait, une échelle de valeur mise en place par les hommes, et qui facilite les choses.
Du coup, me vient un questionnement sur l'idée de donner le change, la différence entre donner une somme d'argent, et le portable. La différence entre l'argent qui constitue des choses potentielles quelque part, et le portable, qui est quelque chose de plus concret, l'idée que donner de l'argent, ça laisse quelque part à l'autre la possibilité de le transformer en ce qu'il veut, alors que dans le cas du téléphone, on a quelque chose de réel, de concret, l'argent peut permettre de rêver ou pas, à ce qu'on va en faire. Dans un cas, l'autre est libre de changer l'argent ce qu'il veut, alors que sinon, il a juste un téléphone. Une chose intelligible, l'autre de sensible quelque part.
Tain, en fait, j'adore ce rêve

sur un autre sujet, commandé les trois matières de Lupasco

Bon, sinon, maintenant, la liste des pseudos déjà utilisés, est maintenant dans le premier post, de la première page de ce fil, je peux plus éditer l'ancien .

http://www3.sympatico.ca/gaston.ringuelet/lepetitprince/chapitre07.html