Evidemment, j'ai fait trop long... Un salmigondis

Bah tout dépend de la perspective , vu par une coccinelle , un lutin a l'air sacrement stock !

Certes... Mais tu n'as définitivement pas le profil du lutin

Hum un soir de pleine lune a contre jour nuit , dans le brouillard de dos ?

même pas

pfff meme pas aimable cte lapin... heu ... fillez lui une belle grosse carotte , il parait que ca rend aimable ^^

DoomGopher a écrit:pfff meme pas aimable cte lapin... heu ... fillez lui une belle grosse carotte , il parait que ca rend aimable ^^

oh !
C.....rd

je dois bien avouer que la reaction me met en joie ,et que je suis assez satisfait de la duplicité de ma précédente vanne ^^ tellement d interprétations possibles ^^

c'est cadeau !

DoomGopher a écrit:je dois bien avouer que la reaction me met en joie ,et que je suis assez satisfait de la duplicité de ma précédente vanne ^^ tellement d interprétations possibles ^^

c'est cadeau !

Je savais que ça te plairait

[tu notes cependant que je n'ai toujours pas cédé à ton ex-huhuhuh-igeance de "monsieur c...rd"]

m en fous en fait , je vois pas ce que le lapin de pâques en manque de carotte saurait aux lutins ^^

DoomGopher a écrit:m en fous en fait , je vois pas ce que le lapin de pâques en manque de carotte saurait aux lutins ^^

Tu n'as peut-être pas fait très très très attention à l'image du lapin... Tu as vu ce qu'il a dans les mains ? Tu veux vraiment goûter à la non-douceur de la Nes ?

ah ah , oui j ai bien vu
il va se latter la gueule tout seul le lapinou ^^

DoomGopher a écrit:ah ah , oui j ai bien vu
il va se latter la gueule tout seul le lapinou ^^

No way. Des années d'entraînement à filer des coups de nunchaku à des imitations de lutin. A ta place j'me méfierais

Sengabl a écrit:

DoomGopher a écrit:ah ah , oui j ai bien vu
il va se latter la gueule tout seul le lapinou ^^

No way. Des années d'entraînement à filer des coups de nunchaku à des imitations de lutin. A ta place j'me méfierais

[img]

Voilà pourquoi j'adore l'idée du flood

T'es con mégalopin

(on te voit mercredi après midi à montsouris ? si oui je prends le cahier de paroles)

Une excuse à la Mégalopin : Oh non, le parc Montsouris c'est trop loin !

(mais j'espère que je me trompe)

Je n'arrive toujours pas à comprendre de manière claire et définie ce qui me pousse à avoir, parfois, envie d'interactions sociales et parfois pas du tout.

Il y a des tas de moments où je me suffis à moi-même et des tas d'autres où les autres me seraient presque indispensables (bon presque hein, faut pas charrier non plus) alors qu'ils ne me sont pas pragmatiquement utiles (oui ça fait un peu connasse cette phrase, tant pis, j'assume en espérant que certains comprendront sans que j'aie besoin d'en pondre douze pages... Ô doux espoir).

Alors je continue de me questionner, et notamment sur "mais que remplissent-ils ?".

Je lisais il y a quelques temps un bouquin très intéressant (enfin, parfois très et parfois pas - "travail de qualité inégale") sur l'identité et le groupe. Et toute la première partie sur diverses théories (toutes décriées les unes par les autres mais toutes recevables dans certains contextes) concernant la construction de l'identité.
En résumé, on ne peut se construire sans l'autre (merci le pauvre sujet de dissert de philo de terminale quoi...), sans son évaluation et son regard.
L'autre comme mètre étalon de la mesure de soi-même (mesure, pas échelle de valeur morale).
L'autre comme pour vérifier qu'on existe toujours, qu'on est toujours la même (un peu, quand même).

Mais alors pourquoi ce besoin de renfermement qui peut parfois durer des mois. Mon petit caramel anglais préféré faisait la réflexion il y a quelques temps de la possible variation entre E et I (dans l'échelle MBTI) partant du principe qu'on est E quand on se "nourrit" de l'énergie des autres et I quand les autres nous vampirisent (en gros, c'est l'idée traduite en mes mots -maux ?).

Donc j'oscille allègrement entre E et I et c'est exactement la sensation que ça me donne. A vrai dire, j'ai longtemps été une I (méta timide - ouais on sait, ça ne se voit pas) mais j'ai longtemps (et jeune) vécu avec un méga E. J'ai pris le pli je pense à cette époque. Mais je souffrais. L'idée d'avoir tous les jours quelqu'un qui venait ou bouffer ou boire un coup à la maison m'est petit à petit devenue insupportable. "La paix bordel !". Et ce bruit incessant...

Une des premières choses que j'ai appris à faire après cette rupture, c'est "baisser le son de la télé". J'ai évolué depuis, je ne la supporte quasi plus. Mais idem pour la plupart des bruits de fond de type musique. Je n'écoute jamais de la musique "tout le temps". Je crois que ça me disperse (ah, ça rejoint la discussion/questionnement interne de ce matin et de ces derniers jours, une preuve de mon non TDA ? La musique aurait tendance à les focaliser, elle a tendance à me distraire... 'fin en fait, elle a tendance à m'attirer et pour le coup je ne peux plus suivre une conversation... 'fin ça dépend, mais souvent c'est comme ça. Les bruits d'eau me font le même effet. Impossible de me parler si un robinet coule, je *n'entends* pas - en même temps, entendre est une combinaison complexe entre réception et interprétation).
Bon on s'en fout. Je disais quoi ? (Cool, je perds mon fil... rare).
Ah oui baisser le son. Symboliquement la vie est devenue beaucoup plus paisible pour moi parce que je pouvais baisser le son de la télé. Voire même, le son de la télé est devenu tellement agaçant que je l'ai progressivement éliminé.

En repensant à cette période de ma vie, je me dis que ce doit être celle où j'ai fait le plus preuve d'adaptation sociale. Et j'en ai rencontré des crétins. Si si... Des tas, des tonnes, des milliers.
Genre le beauf'... Anecdote qui m'est revenue en tête il y a quelques jours, mais qui vaut son pesant de cacahuètes. Remettons les choses dans leur contexte, j'avais euh... 18/19 ans, mon mec en avait 9 de plus (comme quoi, j'ai pas toujours eu des mecs plus jeunes ).
On va bouffer chez sa sœur. Maria Teresa, la concierge portugaise, plus cliché, tu peux pas. Ceci dit, je dirais bien qu'elle était charmante, mais en fait non, considérant qu'on s'est tapées dessus quelques années plus tard...
Bref, la dite bell's a un mari. Invitation à déjeuner, dimanche midi, dans la loge du 14ème. Et pour le dessert, voilà le mari qui glisse subrepticement dans son magnétoscope (à l'époque c'était la classe le magnétoscope hein les gamins !) une cassette de cul... Et nous voilà partis pour une heure trente de visionnage d'un quelconque chef d’œuvre dorcelien... commentaires graveleux à l'appui...

Tu m'étonnes que je trouve la pornographie déplacée et que je me dis que quand on a vu un film de cul, on les a tous vus (oui parce que ça n'a pas été unique cette anecdote... mais ça choque surtout la première fois ET sur le long terme en fait).

Et là, j'éclate de rire en repensant à un de mes derniers déjeuners dominicaux avec un pote... Qui vantait l'idée du déjeuner dominical... J'aurais du lui raconter ça

Toujours est-il que ça ne donne pas d'indice supplémentaire sur le pourquoi du renfermement. Donc, arrive la théorie des fluides (la mienne).
Ça commence au plan individuel. On visualise deux éprouvettes, avec dans/sur chacune une graduation basse type "zone rouge" (l'idée de la fin de réservoir d'essence).
Une c'est nous, l'autre c'est les autres, au sens large, "le monde entier" (réduit à notre connaissance de celui-ci, bien entendu).
Des mouvements de remplissage dans les deux sens.
Quand je donne (ou qu'on prend avec mon autorisation tacite), je remplis l'éprouvette du monde entier, quand je reçois, je remplis la mienne (je vous fais grâce de l'effet pervers, donner c'est recevoir quand même etc. parce que ça n'est pas toujours vrai et en tous les cas pas de manière égale).
Si le mouvement est régulier, tout va bien. Si je reçois moins que je ne donne, gloups, on tombe en zone rouge (E et I en conflit), tout va mal et ça peut aller très vite.
Premier réflexe : couper les vannes de sortie. C'est l'enfermement. Parce qu'en fait, en zone rouge, le moindre contact humain (à qq exceptions près) me donne l'impression de me faire piller (sans que j'en rende l'autre responsable pour autant, c'est le contact et cette partie de moi réceptive/donnante qui sont responsables du flux).
Et si je me fais piller, si je suis en réserve, il est impératif que je re-remplisse mon éprouvette, parce qu'alors je deviens irritable pour rien, hyprasuprasensible et émotive (ah question de ce matin, quelle différence ou lien peut-on vraiment faire entre hypersensibilité et hyperémotivité ?), en un mot : chiante.
Et je n'aime pas être chiante. J'aime être cool et détendue et j'aime qu'on m'aime et j'aime m'aimer.

Mais l'inverse est alors tout aussi amusant. Si j'ai trouvé moyen de remplir mon éprouvette (je m'auto-suffis, donc...) on peut aller vers le débordement et le besoin irrépressible de voir du monde probablement pour déverser le trop plein.

Bon après la théorie des fluides part dans des idées très très philosophico-sociales et construit des fleuves dans lesquels tout le monde peut venir puiser à son tour (mais ça devient compliqué, il faut vivre dans mon cerveau là, avec tous les recoins, les barrages, bref, le bordel géométrique...). Je vous fais donc grâce de cette partie de l'explication.

M'enfin (comme dirait Gaston), tout ça ne résout (ah mais j'aurais mis un d moi à résoud... ok, je ne sais pas conjuguer les verbes en -dre) pas la devinette du schmilblick.

Comment maintenir un niveau régulier ?
Bon pour les autres je sais répondre, pour moi, pas moyen. La théorie est très cohérente, l'observation en milieu sent des pieds. Where/what is my trigger...
'fin... pour les autres je sais le voir et l'indiquer, pour moi hein... Et comme je ne suis toujours pas prête à confier mes clés à quelqu'un... Spas gagné pour l'intervention extérieure.

Allez, c'est chiant ce post.

Vivement demain sur l'herbe !

Ah ah, tout vient à point à qui sait attendre (la théorie des fluides promises il y a je sais plus combien de pages !! Enfin ).

Limpide.

Bisous

wanig a écrit:À partir de 1 et 2, quand tu donnes (et que donc tu remplis l'éprouvette du monde entier pendant que tu vides la tienne), tu gagnes ou tu perds de l'énergie ?

Pour rester dans le simple, l'idée du fluide c'est l'énergie, justement. C'est ton éprouvette d'énergie quoi...

Donc, si on reste dans la simplicité, quand tu donnes, tu perds de l'énergie, mais c'est possible jusqu'à un certain point. Ça fait donc paraître E (et répondre tendance E aux questions du test) parce que tu es dans le contact, dans la "générosité" et pas dans le repli.

Mais le I se réveille fort quand on atteint (ah, celui là j'aurais pas mis un d... chuis bizarre ) la zone rouge. Sinon j'ai tout le temps l'air d'être une E, vu que quand je suis une I, je ne me montre pas . C'est une des raisons pour lesquelles j'ai du mal avec ce test MBTI d'ailleurs, les questions sont suffisamment mal posées pour qu'elles me laissent trop de choix, du genre je m'interroge sur "dois-je répondre ce que je fais en réalité, ce que je pense que je devrais faire, ou ce que je voudrais faire ?" parce que c'est pas toujours la même chose

Mais pour en revenir à "on perd ou on gagne", dans le même temps, le fait de donner des choses aux autres procure (souvent) une forme de satisfaction aussi, et donc remplit l'éprouvette mais souvent de manière moindre qu'elle ne la vide (sur le moyen terme).

Ouais, mon analyse est probablement plus poussée que ta non-analyse, mais finalement, je suis comme toi, je ne sais rien J'brasse du neurone quoi.

Waka a écrit:Ah ah, tout vient à point à qui sait attendre (la théorie des fluides promises il y a je sais plus combien de pages !! Enfin ).

Limpide.

Bisous

Oui oui je n'avais pas oublié, j'étais juste en mode I Mais je me doutais que tu noterais

bisouitou.

wanig a écrit:puis, à un moment, il faut absolument que je voie du monde (le côté E), même des inconnus, typiquement en allant boire des canons tout seul dans un rade, si aucun des mes potes n'est dispo ce soir là (bon ça fait un peu pathétique mais c'est comme ça, na !).

Ben moi je ne trouve pas ça pathétique du tout.

Ca m'est arrivé super souvent en fait. Moins maintenant (la flemme ? ou moins besoin ?) mais longtemps, mes copines n'en revenaient pas que j'aille au resto, au ciné ou en vacances toute seule. Mais moi j'aimais bien. Et comme en plus j'ai le contact facile, il ne se passait jamais un moment sans qu'on discute avec moi, le guichetier, le serveur, le gardien de l'hôtel... Je n'aimais pas toujours ça (les boulets des fois...), mais j'ai fait, du coup, des rencontres mémorables... qui faisaient encore plus marrer mes copines...

Encore aujourd'hui, des fois il faut juste que je sorte. D’où l'intérêt pour moi de vivre pas trop loin de paris aussi, je me pose dans un lieu très public et je regarde les gens. Et c'est cool.

Bon, on a élucidé un point : c'est pas pathétique.

Oui, c'est un cri.

'tain mais j'en reviens pas.

Mon... poursuivant d'il y a euh... de depuis euh... dix ans vient de m'envoyer un énième message.
Nan mais c'est fou ça. Dix ans sans réponse. Rien, que dalle, nada et il lâche pas l'affaire... Personne ne peut me dire que je suis têtue après ça

Je l'ai quitté en bonne et due forme (des cris, des pleurs, des hurlements, normal quoi ), répété moultes fois "c'est bon, tu me lâches" jusqu'à en devenir cruelle, et à opter, au bout de plusieurs semaines pour le total silence radio... Et non. Même comme ça...

Le mec dont je dis "partout où j'ouvre un compte sur le net, il finit par m'y trouver"...
Bon, ok, c'est pas ici le message... I'm safe here !!! Mais pour combien de temps ?!

Et ce fou me parle d'une escapade à Montmartre un peu ratée... Et moi je ne sais même pas à quoi il fait référence...

C'est dingue.

Avec la chance que j'ai un de ces quatre je le croise à Paris. Et il va me reconnaître. Et moi pas. Et ça sera une catastrophe. pfffffffffffffffffffffffffffffffffffff mais pfffff quoi.

Je ne vois plus qu'un seule solution: la cagoule.

Gardenwall a écrit:Je ne vois plus qu'un seule solution: la cagoule.

Oh la trop trop bonne idée !!!!!!!

Je la note ! (bon ok, pas sûr que je la mette en application...)

Et pour fêter ça...

Fous ta cagoule!

Flûte, t'as posté avant moi. Je boude!

^^ ah ah le fameux .... t es sur c est pas un morback ?
moi j ai reglé le pb , dans l absolu j'ai jamais "besoin" de voir des gens ( sauf ptet une personne ^^ ) meme mon pere , je le vois quand j ai envie ...

de meme , le test MBTI , c est un casse tete , j ai bien souvent qu'une seule reponse " ca depend ( c est un d ? cb de faces ? ) du contexte " ...
et encore c est a ne tenir compte que " de ce que je fais en pratique" ( me viennent aussi les " ce que je voudrais faire" et "ce que je pense qu'il faudrait faire " ( l angle moral quoi) , mais je les ecarte bien cite , je suis deja embarassé de trop de choix pour pas m en rajouter d autres)

J'obtiens donc variablement , ENTJ ou INTJ .... ca depend du con.... de l'humeur ^^

Shaushka a écrit:Je boude!

Je pense que le jour où je deviendrai fabriquante de tee-shirts à message, j'en créerai un "je boude". Juste pour toi (et il sera très sexy )

Oh ouiiiiiiii =D

m'est avis que ca doit exister ( mais ptet pas en super tres sexy ^^ )

Ben comme ça ça existera

Donc...

Je fais le test en mode "comment j'étais quand j'avais à éduquer mes enfants (quasi toute seule) et que je galérais ma race" :
For ENTJs the driving force in their lives is their need to analyze and bring into logical order the outer world of events, people, and things. ENTJs are natural leaders who build conceptual models that serve as plans for strategic action. Intuition orients their thinking to the future, and gives their thinking an abstract quality. ENTJs will actively pursue and direct others in the pursuit of goals they have set, and they prefer a world that is structured and organized.

Une ENTJ (bon pour le E... mouais disons que c'est ce que j'aurais voulu à l'époque être une E avec trop plein de potes).
-----------------------------------------------------------------------------------------------
Je refais le test en mode "comment j'étais quand je vivais avec mon mari" (une épaule fiable mais un barré aventureux donc) :

For ISFPs, the dominant quality in their lives is a deep-felt caring for living things, combined with a quietly playful and sometimes adventurous approach to life and all its experiences. ISFPs typically show their caring in very practical ways, since they often prefer action to words. Their warmth and concern are generally not expressed openly, and what people often first encounter with ISFPs is their quiet adaptability, realism, and "free spirit" spontaneity.

------------------------------------------------------------------------------------------------
Je le refais en me disant... allez, sois sincère, comment te sens tu vraiment vraiment aujourd'hui ?" (pas demain hein)
For ENFPs the dominant quality in their lives is their attention to the outer world of possibilities; they are excited by continuous involvement in anything new, whether it be new ideas, new people, or new activities. Though ENFPs thrive on what is possible and what is new, they also experience a deep concern for people as well. Thus, they are especially interested in possibilities for people. ENFPs are typically energetic, enthusiastic people who lead spontaneous and adaptable lives.


Donc bon ça continue à me faire penser que les E(ou I, ça ça peut changer tout le temps)NTJ sont juste des gens qui n'ont pas encore donné dans le "lâcher prise".
Après, tout le monde dit que c'est bien le lâcher prise, dans mon cas, j'en suis pas toujours sûre.
Mais strictement, y'a plein de trucs qui, quand ils n'étaient pas cohérents, droits, etc. m'angoissaient, maintenant, c'est sûr, je continue de me dire que ça serait mieux si c'était comme ça mais que ça ne l'est pas et ça ne m'angoisse plus (ou plus autant). En gros j'aurais tendance à penser que le facteur humain est tout aussi détestable qu'il est doux, mais qu'en tous les cas, il est là. Ou que c'est vraiment trop con de ne pas vivre dans un Tetris. Ou que mon métier de psy m'oblige à être compréhensive avec les humains illogiques.

En conclusion, l'ENFP est un ex ENTJ qui a (vraiment bien ) vieilli et qui, accessoirement, associé à l'être idéal (épaule, soutien, confiance, échange, etc.) peut se transformer en E/ISFP.
Ou l'ENFP est un ENTJ profondément dépressif qui, pour s'adapter au monde qui l'entoure, se fait violence pour "en avoir rien à foutre".
Ou alors je suis juste un caméléon super adaptatif, comme je l'ai toujours dit.
Ou alors ce test est vraiment trop mal fait et ses résultats sont carrément discutables (sans un entretien préalable et une interprétation psy).

Bref, le doute persiste.

Ou alors ce test est vraiment trop mal fait et ses résultats sont carrément discutables

j'opte pour celle là ^^ tfacons , ce genre de test , c est toujours dicutable vu que c est pas assez souple a mon avis pour etre suffisement ( selon mes standardts (oui j ai pas su choisir le d ou le t ^^ ) ) pertinent
en fait je trouve que c est une facons de vouloir de foutre dans une case alors qu on voit bien que ca change tout le temps , que ca depend de parametres autres que nous meme , que finalement on est plus complexe que ca , que nous sommes des etres a geometrie variable et que par consequent , c'est pas particulierement une bonne idée de vouloir en definir les contours en tant que tel ... ca n a pas grand interet , le temps d en faire le tour , la forme a deja changé .... c est comme zapper sur toutes les chaines de la freebox un samedi soir a la recherche d un truc interessant ...

wanig a écrit:Une excuse à la Mégalopin : Oh non, le parc Montsouris c'est trop loin !

(mais j'espère que je me trompe)

J'voudrais pas faire ma balance mais... Une excuse à la wanig : "oh, non, j'ai travail" (non, c'est pas une bonne excuse )

LexLutin disait : a écrit:c est comme zapper sur toutes les chaines de la freebox un samedi soir a la recherche d un truc intéressant ...

Normalement, y'a les experts. 'fin je sais pas vous, mais moi chaque fois que j'allume la télé, y'a les experts.

lol oui c est pas impossible ^^

les Experts miami , il vienne de retrouver une jambe dans l estomac d un alligator
"Hum je crois bien qu'elle a pris ses jambes a son cou" ....
en remettant la meche et enfilant sa paire de lunette de soleil ... mythique ...

DoomGopher a écrit:lol oui c est pas impossible ^^

les Experts miami , il vienne de retrouver une jambe dans l estomac d un alligator
"Hum je crois bien qu'elle a pris ses jambes a son cou" ....
en remettant la meche et enfilant sa paire de lunette de soleil ... mythique ...

Ah mais tu oublies une chose.
La première phrase, typique de TOUTES les séries un peu policières. Arrivée sur la scène de crime...

"Qu'est ce qu'on a ?"

Ça pourrait être la première phrase du psy recevant son premier passant

Edit : amusant ce lapsus passant / patient ...

Harpo a écrit:Ça pourrait être la première phrase du psy recevant son premier passant

Edit : amusant ce lapsus passant / patient ...

En fait non, moi, ma première phrase de première séance (sachant que je les ai eu au téléphone avant) c'est la plupart du temps : "Alors... Que se passe-t-il ?"

Mais finalement, c'est pas si éloigné

"Alors... Que se passe-t-il ?"

- Mais que se passe-t-il?
- Mais que se passe-t-il?
- Mais qu'est-ce qu'i' se passe?


Désolé....

Nathalie ? C'est toi ?

Je suis une gentille et je suis poursuivie par des méchants.

Gardenwall a écrit:Je suis une gentille et je suis poursuivie par des méchants.

Fais gaffe Gardenwall, Doom c'est un peu Arkonowi, le turbo-animal venu de l'espace Mammouth !
(Et non pas un lutin comme il essaie de le faire croire)


(Et bande d'imbéciles j'avais jamais fait ce lien et maintenant je vais devoir trouver une autre 1ère phrase sinon je vais éclater de rire )

le turbo-animal venu de l'espace Mammouth

J'arrive jamais à m'arrêter de rire sur cette phrase^^

Gardenwall a écrit:

le turbo-animal venu de l'espace Mammouth

J'arrive jamais à m'arrêter de rire sur cette phrase^^

En tant que professionnelle du comportement humain, je pense sincèrement que... c'est normal

Pourtant beaucoup de mon entourage me regardent/regarderaient avec des yeux comme des soucoupes (parce que bon oui, c'est drôle, mais on rit 5 secondes, et plus du tout quand on l'a déjà vu une fois...)^^

Gardenwall a écrit:Pourtant beaucoup de mon entourage me regardent/regarderaient avec des yeux comme des soucoupes (parce que bon oui, c'est drôle, mais on rit 5 secondes, et plus du tout quand on l'a déjà vu une fois...)^^

Hmmm... ouais mais moi, déjà, je suis super bon public.

Spoiler:

Je n'aime pas qu'on dise que je suis bon public car je trouve ça vexant, et je pense surtout que ce n'est pas vrai.
Quant à parler plus fort pour outre-passer la barrière bananière...

pfff mes collegues me regardant avec un air ahurit ....
je parlais d un truc super rébarbatif ( config de routage bgp machin protocole de routage , ch'comprends pas pourquoi le ttl expire tout ca tout ca ... ) et là je tombe sur "j ai une banane dans l'oreille" , j ai eclaté de rire en plein milieu d une phrase chiante ^^ .... ils me regardent bizarre maintenant ^^

DoomGopher a écrit:pfff mes collegues me regardant avec un air ahurit ....
je parlais d un truc super rébarbatif ( config de routage bgp machin protocole de routage , ch'comprends pas pourquoi le ttl expire tout ca tout ca ... ) et là je tombe sur "j ai une banane dans l'oreille" , j ai eclaté de rire en plein milieu d une phrase chiante ^^ .... ils me regardent bizarre maintenant ^^

Ouais ben fallait pas aller lire le spoiler !!!

C'est une arme tellement dangereuse que j'ai préféré la cacher et toi, voilà quoi... Spas malin !

Gardenwall a écrit:Je n'aime pas qu'on dise que je suis bon public car je trouve ça vexant, et je pense surtout que ce n'est pas vrai.

Ben moi je prends les devants en le disant moi-même, ça m'évite d'être vexée