non, rien

un c'est pas si thaï, despacito

J'ai rechigné avec les maths, parce que je n'aimais pas les faits établis, et que je suis un sacré fainéant

Je reconnais que les bases, c'est important, comme le latin, même si on s'y perd, c'est important les guides, c'est essentiel

je ne sais pas si on peut y travailler une saine critique, autre que systématique

une critique éclairée devrait certainement s'affranchir de tout calcul

je me dis que la réflexion n'est pas "juste" si elle n'est pas partagée

Cela m'arrange, mais si j'avais fait psycho, ou socio, ce serait un peu comme si j'avais appris les échecs, la guitare, la peinture, j'éviterais les lieux communs, s'il le faut vraiment,



so long

on fera pas mieux

J'en ai marre de rester à Toulouse, j'ai envie d'aller de Bayonne à Menton.

Une péniche ce doit être bien sonore. Et c'est pas fait.

Je recrute dorénavant.

On est des zèbres ou pas?

Le zèbre il a la gonade sauvage, c'est ça la légère différence.

Point de médiocrité, sauf nécessité.

Vulgarité, entrée aux confins de tes intestins.

Ô vers

Départ à la fonte des neiges.

et ta qu'on yé

on verra si demain le marchant passe

au printemps on voit si on monte un camp de zèbres, selon

Du foin, il faut du fouin.

ceci est un test de signature

du fuoin

le fion dans le foin

et pas l'inverse

Survivre,

c'est idiot,

on devrait dire : "souvivre"

preuve que déjà il y a une arnaque, impossible de le dire, j'aimerais vivre un peu au dessus, pas seulement vivre, rester en vie, non, faire autre chose, Sur Vivre.

je ne veux pas souvivre.

déjà je vis, ok, c'est bien, c'est magnifique, surtout que je préfère alcooliste à autiste, je suis tellement jeune pour un vieux

surtout qu'a ce rythme là, je ne me donne pas quinze ans, pas que je fasse du sport, mais mon coeur est sollicité, assez, suffisamment

on pourrait chier de l'amour qu'on ferait pas autrement, être malheureux c'est être à contre-temps, sauf la mine, cette putain de mine, pas d'amour, que de la haine, je ne veux même pas la connaitre,

je sais qu'on se fait des potes dans la merde, de vrais, mais je rechigne, c'est mon coté chochotte

je ne vois plus l'intérêt de charbonner pour être tranquille, je me demande s'il ne faut pas plutôt être tranquille pour charbonner

Camus m'a niquer dans sa chute, il n'y a plus de liberté.

poil à Mory Kanté et au synthé

attends, attends juste un peu, si ça ne va pas, on ne peut pas dire que ça n'ira pas mieux.

attends, vas y, on fait un jeu, on s'attrape pas, on s'attrape mieux,

vas t'en, c'est fou, c'est faux ce feu, fi, au moins ce fut,

mais n'a pas gagné la ceinture en chamalaux, et on ne sait pas pourquoi

bon, ok, la balle au centre, on va pas se tourner autour toute la nuit non plus,

et déjà, je sent bien que j'ai perdu, c'est mon côté altruiste, vagabonde,

ce n'est pas que je sois homo, juste que la femme de ma vie court trop vite, ou alors elle est très furtive, évaporéscente,

d'ailleurs pour éviter tout quiproquoi, oui, quoi, je ne dis plus "va te faire enfiler ton collier de perles", mais "va crever ton herpès dans la boue putride de tes germes", et encore, on ignore le plaisir des apnéistes spéléologues des culs de bagnoles, en fleur.

c'était la dictée du mois, ou du moi, il, on, je sais pas.

remarque, je vais te dire un peu tard, avant que la neige fonde, il faut qu'elle tombe, ça vient, petit, un hiver de tafiole, si j'écris ça, normalement dans une semaine il fait -30 à Perpignan, c'est mon côté : "j"aurais dû la fermer".

on s'imagine pas tout le mal que peut faire un modérateur, en un clic, sur un coup de fatigue, un manque de jugement, un chili mal digéré, une branlette mal terminée, un télétubies raté, il peut te cramer l'équivalent de la joconde, un peu moins en bois.

je ne veux pas l'écrire, mes doigts m'y poussent, et il n'est là que pour la barre espace, mais au final: "qu'est ce qu'on s'en bat les gonades?" franchement, tant que, tant qu'il n'y a pas, on devrait s'en battre royalement, mais non, scrogneugneu et pouet pouet, je ne trouve pas le tréma sur ce clavier, certes pratique, et pas cher,

et comme c'est les soldes, je te fais du Baudelaire à pas cher, les coutures, c'est normal, c'est du cousu main

donc:

saperlipopette, j'ai calé

la honte n'est qu'orgueil

je suis né en février, dans une clinique au nom de marché, qui n'existe plus, sauf en moi

il va neiger, sur les sommets

Aux vers

mais pas de terre

c'est cher, pour une bière

saison de la fève, trêve, brève, Eve, achève, sève, élève, lève, la pâte.

cyranolecho a écrit:c'est cher, pour une bière

Pas prix estimé

De la sève qui s'élève au bruisseau du rêve

la lutte est un cercle, on peut le prendre en tout point, il ne se termine jamais

Rester vivant, politiquement, humainement, socialement, amicalement, amoureusement

surtout dans ses gonades

et surtout, les niquer tous, jusqu'au dernier

sinon c'est pas amusant, m'ont rendu tellement malade, c'est pas de la vengeance, c'est un jeu, maintenant.

Segur, segur.

Demain est un autre jour

moi j'étais costaud, j'étais, maintenant, on sait plus



ok, ok, ok, what else, qui ne puisse être je ne sais quoi

ceci dit, il y a des enfants

limite que ça qui compte

c'est fou comme je pue la charogne, faut que je prenne l'air

non c'est le monde qui pue de plus en plus, toi tu es bien humain

et cela me rassure moi , je sais c'est égoiste, mais je croise tellement de démons ces temps ci

cela fait du bien de croiser des humains

ça fait du bien de savoir que t'es là zeb



on m'a confirmé qu'il est temps d'écrire, avec méthode, c'est implicite

"Un guerrier de la lumière, c’est celui qui est capable de comprendre le miracle de la vie, de lutter jusqu’au bout pour ce en quoi il croit. "

Paulo Coehlo

Trop ésotérique (enfin je comprends ce mot) ou onirique, pour moi, Paulo.

Plus que comprendre, je pense qu'il faut intégrer.

Avoir conscience que ce n'est pas parce que le monde court à sa perte qu'il faut accélérer la sienne.

D'accord, mais pourquoi?

Comme disait PD, je marchais avec un poids sur la poitrine et un noeud dans la gorge, pourtant, j'étais seul.

Je dirais l'inverse, je marchais seul, et j'avais un poids sur la poitrine... etc... ce qui est paradoxal.

qu'avons nous tous en commun?

simplement, si tout va mal, je peux juste faire un truc, aller bien, parce qu'en fait ça sert à rien d'aller mal quand ça va mal

endurer la double, triple ou quadruple peine, dire merci, fournir le lubrifiant

et ne rien dire?

la paix?

Je constate à peine que ma génération est une victime unilatérale du baby boom, et que celle d'après n'en a eu que ses repères d'autant faussés.

Bref, sélection naturelle au menu et culte de la personnalité,

soit, de la polenta en guise de cerveau, philosophie des moules

entrechats et pirouette, c'est l'heure des cacahuètes

oh cyra

période Trust (encore)



au fait: c'est un peu court Izo

j'aurais écrit: "

enfin il pointe son nez, celui là, enfin, son nez, disons une proéminence anatomique disgracieuse, partie émergée d'un iceberg en forme d'éponge calé entre ses deux oreilles, allégorie physique d'une conscience formée aux effluves vulgaires qui puent et aux parfums délicatement rares. "

comme à la roulette, faites vos jeux...

reste la poésie,

mais quand ça veut pas, ben ça veut pas

Accept. Russian roulette. Musique. YT.

L'inspiration ne vient pas comme ça. Entre deux lettres. Fr
Le manque d'inspiration n'existe pas et tu veux savoir pourquoi ? Lamedufaitmain.com.
45 manières de trouver l'inspiration créer explorer grandir. Osezbriller.com 

Merci pour la signature elle m'a inspirée. 

Sympa, je savais pas quoi écouter



inspiration, expiration, inspirer, expirer

ce n'est pas pour être sarcastique, mais les sites en .com , je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait penser à l'ergothérapie en HP, ou ailleurs, d'ailleurs

je ne cherche pas une méthode, sinon je serais en train de besogner

si je m'imprègne trop, de quoi que ce soit, ce sera prégnant dans quoique je ferais

l'inspiration, c'est comme une caresse, un souffle, un trait

c'est curieux ce besoin de force et de douceur,
ces pseudo ceintures de sécurité,
quand il suffit d'une maison,
des tables solides, des vraies,

mais l'eau coule noir, partout, et après l'eau, ce sera l'air, déjà...

faut un truc fort... très fort, non, pas un whisky, ok, mais c'est pas la solution,

l'amour (non, je déconne, je ne peux pas plagier bouddhiste et troubadours à vieilles comme ça)

je savais qu'il y avait deux dés à bouddhiste, c'était juste pour voir si le correcteur orthographique fonctionnait

avec l'intelligence artificielle (sic) (faudra que je regarde vraiment ce que ça veut dire "sic" , si c'est pas : "ça me rend triste comme les pierres tellement c'est con") bref, bref, bref, l'IA donc, pourra peut être permettre, sait on?, le correcteur de conneries,

donc je pouvais pas encore l'avoir, ce qui ne se voit pas forcément du premier coup d'oeil, surtout pour qui n'est pas habitué

je sens que je suis chaud

ça devrait donc pas tarder à me gonfler

non, faut que je m'applique, peut être qu'un eskimau (ok, un inuit) là bas, me lit

voire un bantou

t'as remarqué, pas de majuscule à "bantou", alors que pour le pays, la Bantourie, il faut en mettre une

c'est comme sous la jupe quand on joue au tennis, sinon on comprend pas

ah mince, j'ai plus de clopes, faut que j'aille au tabac le plus proche

de la peau de zizi, c'est peu, mais c'est déjà un début

je me sens pute, sans le panache