Réalités parallèles (holorimes autorisées)

Cela commence, des ères planes et si lisses, d'une discrète senteur. Ici ou là, cerveaux lents excités, saltimbanques qui dérivent, méli-mélo. Alors raison garder, panache accru, les sens à merveille, la pitié. Et c'est là qu'est l'os hélas, sûr. Avant âge, puits sans eau, raclures par milliers. Sagesse, l'audace, derechef les diamants homologues aux mystères extraordinaires. Vues récentes, nerfs à vif, félons incultes, porcs, affreux. Dites la messe, une part celle du-dit vin, et terminez au pain. Tacles, sans pour imiter... apprendre. Possible reliquat, et ce prix à sacrifier l'ensemble. Le vague à l'âme, défoncés, misérables, émirent la volonté, moins hystériques, de passer sobres.

Seul, las, comme en ce désert, planète silice. Dunes, dix crêtes, cent heures. Hisse Éole... ah cerf-volant ! Ex-cités, sale teint, banquise, des rives mêlent îles mêlent eaux à l'horizon. Gare, des pannes à chaque crue, l'essence amère. Veille la pythie, et celle-là qu'elle ose, elle assure. Avantages, puissants oracles parmi les sages. Est-ce l'eau d'as ? D'heureux chefs, les dits amants, hommes au logos, ont mis ces terres extra or. Dix nervures, raies centenaires, à vie, filons, un culte pour Aphrodite. L'âme, est-ce une parcelle du divin ? Éther miné, ô pentacle, sang pourri, mité, âpre. Rendre peau cible, relique à esprit, à sacre, y fier l'encens bleu. Les vagues à lame de fond, ces misères, à blêmir, l'aveu long, témoins historiques d'un passé sombre.