Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

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Message par 'C.Z. Mer 25 Nov 2015 - 11:46

Ben alors ? T'as la grippe Numéro6 ?

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Message par Invité Mer 25 Nov 2015 - 13:54

Il attend peut-être qu'on le supplie? 

Alleeez quoi Numéro6... reviens Triste

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Message par Invité Mer 25 Nov 2015 - 14:57



Dernière édition par Parisette le Mer 25 Nov 2015 - 15:53, édité 1 fois

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Message par Kass Mer 25 Nov 2015 - 15:27

le mercredi c'est cafting aussi ?
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Message par Invité Mer 25 Nov 2015 - 15:54

J'ai mis sous balise hide.
Je le supprimerai s'il me le demande.


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Message par Pola Mer 25 Nov 2015 - 17:43


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Message par Invité Mer 25 Nov 2015 - 18:20

Ben j'espère qu'il prépare un grand numéro, peut-être un 7 ? Dent pétée

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Message par ou-est-la-question Mer 25 Nov 2015 - 18:45

moi qui ai lu 27 pages sans rien dire , me sens frustrée tout à coup
suis accro comme pour une série ! ça alors ..... bounce bounce
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Message par Kondomm Mer 25 Nov 2015 - 18:51

Il est parti pour la Turquie le taulier ?
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Message par ou-est-la-question Jeu 26 Nov 2015 - 10:29

N°6 me fascine : le lire fait que je me trouve conne débile idiote

et cela me fait un bien fou

il est pour moi un médic à ment = un médic à mensonges , un révélateur sur le fait que je me mentais à moi-même sur mes soit-disant capacités que je me suis inventée (suis pas testée)

chouette ! je suis une femme libérée : je suis conne !

et oui, cela me fait un bien fou

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Message par Invité Jeu 26 Nov 2015 - 20:10


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Message par Numero6 Jeu 26 Nov 2015 - 23:24

Oui, ben, c'est bien gentil tout ça, mais temps en temps j'ai le droit de réfléchir moi aussi, je ne suis pas une machine.

J'ai trois plats au four en même temps.

Je bloque sur les temps courts et les temps longs dans les processus de décision. Sujet évoqué par Mily dans le cadre de l'organisation militaire. Et je n'arrive pas à réfléchir parce que la conclusion s'impose d'emblée. Les responsables des process de décision sur le long terme sont des nuisibles, ils rendent impossible la décision dans l'urgence.

"L'intendance suivra " a été remplacé par " l'intendance décide du plan de bataille, en fonction des ressources disponibles, des crédits alloués, du Livre Blanc de la défense et des résultats des sondages pour la cote des différents psychopathes qui nous servent de ministres ". Le général vainqueur n'est plus qu'un sale gosse brouillon et mal éduqué, inconscient de l'impérative difficulté de rendre un bilan comptable en accord avec l'alinéa b de la circulaire "France, Une et Indivisible " modifiée dans son article 27-j de l'ORNF, en accord avec les directives du SPLOUMF et du PAFFE. La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à des militaires. Le bilan, le bilan vous dis-je.

Et du Général avec culture historique, culture des batailles et des hommes, tradition familiale, sens de la diplomatie et adepte de la défaite victorieuse, ben, y en a plus. L'intendance ne suit plus, elle gère. Elle ordonne.
J'en ai vu les ravages dans le milieu médical. Le même process, la scission entre les deux types de responsabilité, court terme et long terme me flanche les flubes. Je ne peux m'empêcher de croire que cela aboutit à la sélection d'hommes de terrain choisis par l'intendance, intelligents et dociles. Ceux qui ont Mars en Taureau ont déjà fui ce lieu de perdition.

Pour réfléchir il faudrait que je puisse évaluer les deux options. Là, je ne peux pas, je constate la catastrophe. Ceux qui décident ne sont plus ceux qui font. Et ceux qui décident n'ont plus qu'un seul objectif, tout faire pour se faciliter la décision. Tout faire pour interdire l'imprévisible. Un homme prévisible est un esclave. Un esclave obéit mais ne sait pas combattre. Pour qui d'ailleurs ? Ses maitres ?

Chaque fois que vous réagissez comme prévu, des hédonistes statufiés par l'exposition au réel, des pleureuses pensives que l'on soumet avec huit hommes armés, pas du trapu qui dézingue froidement, du branque pas foutu d'utiliser à bon escient des bombes et des fusils d'assaut, voilà qui est suffisant pour vous faire déserter les transports en commun et les terrasses de bistro. Vous êtes si prévisibles. Vous êtes des esclaves.

J'ai un autre truc qui me turluzobe. La gadgétisation de nos vies. Ce gros fils de pute avariée, cette outre à dollar, cet autiste fournisseur officiel de la CIA, de la NSA, du LAPD, que ce Mark Zuckerberg propose avec insistance à chaque français se connectant sur son Facebook de barioler son avatar en Bleu-Blanc-Rouge, je me dis que cet bouche à foutre pourrait de temps en temps nous lâcher la pompe à vélo et continuer à pomper des kilomètres de bites bleu-blanc-rouge, il donnerait, sinon du plaisir, du moins une image fidèle de l'hégémonie américaine.
Je pisse à la raie de tous les soumis qui ont vendu leur drapeau à cette pute.
Et pourquoi ne pas uniformiser les statuts Facebook ? Je chie dans mon froc mais je me sens moins seul. Au milieu de cet océan de diarrhée verte mes étrons passent inaperçus. Gluant pourtant les étrons, c'est forcé, avec toute cette merde vegan, macrobiotique, ces salades au quinoa. Je vais téter mon tube de mayonnaise pour me faire exploser le cholestérol à votre santé. C'est tout bénéf, je vivrais pas vieux, et mes selles seront plus soyeuses que les dessous des machins que vous vous obstinez à qualifier de femmes. J'ai les moyens de péter gras, moi, monsieur.

Il a suffi d'un pétard lancé au milieu des hallucinés de la bougie Ikea, comme symbole du " NON " et du " plus jamais ça ! ", et zou, sont partis nous faire un remake du massacre du stade du Heysel, piétinent les fleurs, balayent les bougies, se chevauchent, se grimpent dessus, se piétinent la gueule à la Converse arc-en-ciel. Dubout.

Réfléchir ? Réfléchir à quoi ?

Tu regardes, tu t'assois et tu pleures. C'est le suicide collectif des lemmings, c'est la traversée du fleuve par les gnous. Ils leur restent quoi comme fierté nationale ?
Les passages cloutés, les bandes blanches, là, ils sont intraitables, ils sont prêts à tuer, à dégainer du belliqueux et du haineux. Je les hais.
Plus ça va, plus j'accélère quand un de ces Tartarins de l'Honneur pédestromaniaque s'engage sur la chaussée, tel un roi nègre foulant du pied le tapis formé par les corps alignés des femelles de son clan. Il s'engage sur le passage piéton comme Jésus marchant sur les eaux, il est ailleurs, il est autre, des jeunes filles nubiles parsèment son chemin de pétales de roses. Il peut enfin faire chier ses contemporains avec le glaive de la justice d'une main, protégé par le bouclier du vivre-ensemble, pour les cornes j'hésite entre le cocu et bison futé. Je les hais.

Que cet honnête contribuable en soit réduit à réclamer sa dignité uniquement sur ce minuscule fragment de bitume balisé par la fonction publique, bâtard incestueux des amours contre-nature entre le Roi Salomon et le Général Bigard, je me dis qu'il ne mérite rien, rien de mieux que de se niquer le poignet en frappant le toit de ma Maserati qui sort de révision ( 24 SMIC pour un réglage de l'injection et remplacement du train de pneus avant ). J'imagine cette sous-merde apostropher sa mégère en rentrant chez lui, lui admonester la face avec les reliquats de sa colère divine, l'assurer que lui vivant jamais la barbarie motorisée ne triomphera en cette terre de France. Qu'il crève dans d'atroces souffrances, la bouche fermée pour nous épargner les miasmes de sa pourriture interne.

Réfléchir ? Mais à quoi, nom de dieu ?

Alors se saouler avec du sordide, se noyer dans le vulgaire et le stupre, enfiler son leggins en cuir sous le costard en tweed taillé sur mesure chez John Philips de Londres, comme Arafat avant son premier suicide réussi, finir le tube de mayo sur la cravate en soie grège, exiger de madame d'étaler son fond-de-teint à la truelle, lui faire renoncer au gloss pour la confiture de myrtilles, lui latter sa face si elle ose porter un collant sans échelle.

Les plaisirs Méga-Gay, les trucs de voyous, froufrous et plateau de fruits de mer. Calais d'avant la jungle, ses terre-neuvas et ses dentellières. C'est ainsi que je me suis rendu dans ce lieu de perdition en compagnie de deux personnes sensibles et d'une femme. Et bien je peux vous l'affirmer haut et fort, Fragonard est vraiment une sacré feignasse mais il a du talent. Ses drapés sont une pure tuerie.

Ahhhhaaahhh, les drapés, foutre-à-cul, les drapés.


J'étais encore à faire mumuse avec les temps courts et les temps longs de Mily, ceux qui ordonnent et ceux qui agissent, quand on m'a parlé d'un économiste noir, Thomas Sowell. Je savais même pas qu'on pouvait être économiste ET noir. Je savais que parfois certains économistes s'autorisent catholiques, ce qui est, déjà, vachement dégueulasse, les études le prouvent, le prépuce est néfaste aux théories monétaires. La preuve, cet inconscient de Bastiat osait écrire dans La Loi en 1850 :

   « Il y a trop de grands hommes dans le monde ; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle. »

Mais alors... noir ! Économiste et noir ! Ah puis attention, du vrai noir, enfance à Harlem et tout et tout. Qui s'engage dans les marines pour payer ses études. Qui va évangéliser du niaouqué du coté de Da-nang, où chacun sait que les putes ont l'a priori du " trop beaucoup " pour les natifs de l’Alabama, ce qui est désobligeant quand ton sguègue à une taille standard, de toute façon, à l'époque, les putes qui n'étaient pas des agents de l'oncle Ho étaient tuberculeuses. Rien de plus désobligeant que de niquer une tubarde, soit elle est obligée de reprendre son souffle à chaque va-et-vient pipesque, soit elle t'expulse le Nestor introduit après tant de précautions lubrifiantes quand elle expulse son caillot dans les éclats d'une toux ravageuse.
Ces renoncements aux plaisirs simples de l'existence l'ont contraint à étudier pour tuer le temps. Il obtint une licence d'économie magna cum laude en 1958 à Harvard, un Master d'économie en 1959 à Columbia et un Ph.D à l'université Columbia en 1968 sous la direction de George Stigler, futur « Prix Nobel » d'économie (1982).
Georges Stigler était non seulement blanc, mais également titulaire d'un patronyme beaucoup plus seyant pour un économiste.

La plante verte élevée au sucre rapide et farouche opposante à l'épilation de la moustache se désola de ne pas trouver de Sowell dans le listing que l'honorable FNAC mettait à sa disposition. Mon humeur en déshérence interpella les rayonnages, quémandant un réconfort, un signe, à défaut j'hésitais à me doudouïfier les humeurs par la contemplation d'une jolie paire de jambes nylonée, mais ouichtre, mon âme se montrait intraitable, elle voulait du culturel, elle réclamait du sens, elle exigeait des symboles.
C'est ainsi que je passais devant le rayon " je m'emmerde toute la sainte journée dans mon studio pourri mais un jour le monde saura que je suis un artiste " et mon regard fut attiré par un ouvrage sublime intitulé " Maitriser les drapés au pastel sec ".

Je voudrais tout de suite attirer votre attention sur la médiocrité de ma pensée libidineuse. Quand je lis pastel sec, ce n'est pas mon couteux boitier de bois verni, garni de ces bâtons magiques aux couleurs subtiles qui me vient à l'esprit en premier, mais " enculage à sec ". Ce procédé coïtal ne présente que des inconvénients, on s'expose à la détumescence si la rebuffade ne peut être maitrisée par quelques violences capillaires, on peut s'échauffer stupidement le bâton magique, et pour peu que la demoiselle présente une réceptivité à l'intensité de l'instant, finir banalement dans son con avide et lubrifié comme le moteur de ma Maserati, glissant de l'anus réfractaire à l'ogre vaginal. C'était bien la peine de se prendre pour Vlad l'empaleur !
Dans cet acte furieux, spontané, sans la préparation laborieuse de la poire à lavement Stark, sans le beurrage du moule à manquer, la réussite de cette invasion territoriale signe le triomphe du désir, le trou du cul comme une porte des étoiles, l'abolition des lois les plus élémentaires de la physique et de la dynamique des fluides.

Or donc, revenons à mes amours de jeunesse, le pastel et les drapés. Je suis devenu méfiant avec l'âge, alors je feuillette l'ouvrage. Et je sens poindre en moi ce putain de sentiment de chiotte, ce caillou dans mes souliers en cuir de vierge Ukrainienne, je me dis " putain, j'aurais fait mieux ". AAaaahhh, mais que je déteste ça. Merde, il y a un artiste, maître d'une technique, champion d'un sujet, qui écrit un livre, trouve un éditeur, se retrouve dans les rayonnages de la FNAC. Et moi, comme un con, une petite bouffissure flétrie de suffisance, je me dis " j'aurais fait mieux ".
Et le pire, c'est que je le pense vraiment. J'ai horreur de ce genre de pensée. J'ai envie de me cracher dessus dans ces moments-là. Mais t'es qui connard ?

Heureusement, il y a Fragonard
. Rebaptisé Frago sur les affichettes au bas des tableaux de l'exposition. Si c'est une liberté de langage du directeur de l'expo, qu'il sache que pour lui l'enculage sera prévu avec du gravier et des clous rouillés. Frago. J'ai pas encore lu le catalogue de l'expo. Pour l'instant, je lui laisse le bénéfice du doute. Frago.

Et bien Frago, c'était une putain de feignasse. J'ai compté trois gonzesses avec seulement quatre orteils au pied gauche. Pour les raccourcis des avant-bras, il s'est pas foulé pépère. Ses psyché et ses comtesses, elles devaient tendre le bras pour se gratter le nombril. Les épaules en arrière-plan, à part dans un cirque ambulant, je vois pas comment caser leurs propriétaires.
Les critiques se foutaient de la gueule, ou plutôt, du dos de la grande Odalisque d'Ingres, lui supposant deux ou trois vertèbres surnuméraires pour faire le compte, mais à coté de Fragonard, c'était un architecte méticuleux. L'enfoiré, aucun cou ne peut se tordre comme ça, aucun pied ne peut regarder le ciel quand le mollet fait de même.
Il y a même un tableau où le tombé de l'épaule était tellement vertigineux qu'il a du l'atténuer pour le garder anatomiquement crédible. S'est pas chier pépère, zou, une couche par dessus le décor, redonner du volume aux deltoïdes, et hop, Madame de Merteuil semble apprécier les anabolisants.

Et pour la lumière, pour la direction de la lumière, pour la cohérence des ombres, alors, là, je l'affirme et je signe, il n'en avait strictement rien à péter. Se faisait pas chier, il collait la lumière sur ce qu'il voulait mettre en valeur. Comme ça, les angelots et les bouquets de fleurs du décor, tout dans l'ombre, vite torchés, pas se faire chier avec les agaceries réglementaires.

Et c'est sublime, absolument sublime, l'ivresse de la chair est palpable, le masculin et le féminin se répondent, tout est fait pour jouer de la chair avant la chair. Jeu de colin-maillard où la tricheuse soulève son bâillon, le buste qui dénègue et les cuisses qui s'écartent, l'impatience de l'assouvissement prolongée par les cotillons et les voiles. Le rouge aux pommettes, les yeux en perdition, le dos creusé par les bras trop tendus, il y a du refus pour faire monter la sève.

Une odeur de sexe partout, un mélange des chairs entrelacées par la juste distance, quand la chaleur des corps apaise et réconforte, promesse de fusion, le sexe est là, profitons-en avant.

De cette époque bénie je retiens l'absence de La Représentation Grotesque. La californienne aux hanches étroites, à la poitrine de montgolfière, musclée et peinturlurée, gamine attardée pour red-necks du Montana, ceux qui boivent de la Bud en la décapsulant avec les dents. Les corps des hommes et des femmes ont des proportions très proches, le temps de Superman bodybuildé sauvant Barbie Frigide n'avait pas encore stérilisé la représentation des sexes, du sexe.
Dans le tableau La Fontaine d'Amour, les deux tendent leurs lèvres vers la coupe tendue par Cupidon ou un de ses collègues, et les deux corps sont d'égales proportions, d'égale tension amoureuse. Ça va niquer, je te raconte pas comment ça va niquer ! Les deux jeunes gens s'empressent de boire, pour augmenter leur amoureuse ivresse. Tu m'étonnes !

Merde, ça nous change des " yes, fuck my ass, baby ", " do you want me to suck your cock ? ". J'espère toujours voir un acteur porno décliner l'invitation pour réclamer des œufs sur le plat ou le New-York Times. Évidemment, hé, connasse, qu'il veut que tu suck son cock, de toute façon s'il n'a pas envie, il fait vachement bien semblant, et pi il est quand même payé pour te gicler sur la gueule à la fin. Mais comment en sont-ils arrivés à conclure toutes les scènes porno par l'éjaculation faciale ? Mais que c'est con, mais c'est pas possible à quel point c'est con. Je dis pas une fois, comme ça, pour déconner, pour fixer le fond de teint, mais franchement, c'est quoi l'intérêt, elle est où la volupté ?
La dernière chose dont tu as envie quand une délicieuse te gloutonne le mandrin, c'est de s'extraire Popaul et d'arroser la pièce. Tu es bien, tu es au chaud, tu conclues dans le velouté et la ouate. Le petit bruit de la glotte goulue se mue en bénédiction pontificale. Il vous sera beaucoup pardonné car vous avez bien bandé.

Whah, et puis alors j'ai appris un truc. Dans Le Jeu de la Main Chaude, ils sont tout un groupe à folâtrer dans les bois. Un gentilhomme s'aveugle en se glissant sous le giron d'une élégante en rose. Je ne savais pas que ça venait de là, le giron. Bref, une fois la tête placée sous les jupons de l'ordonnatrice du jeu, il tend une main en l'air. Charge à lui de reconnaitre l'inconnue qui tape dans sa main. C'est pas sensuel, ça ma couille ? Reconnaitre une femme rien qu'à sa manière de gifler sa main ! Et comme le bellâtre se tient à genoux, la badine tenue par la gourgandine à coté est surement là pour sanctionner une erreur. C'est con, c'est pas précisé sur le catalogue.
Putain, ils savaient rigoler à l'époque.
C'est quand même autre chose que la DP avec un black surmembré dans le cul et un rebeu dans la chatte qui tente de respirer sous le poids des deux autres crétins transpirants d'efforts et de la chaleur des projo de 3000 watts. Coupez ! On la refait ! SweetHeart, souris au moment du bukake, on se croirait dans une file d'attente à la Sécu, mais à quoi tu penses ma caille ?

Whaou, dedieu de Dieu, ça respirait l'amour, trois siècles plus tard le Fragonard il me donne envie de redevenir hétérosexuel, merde, finalement ça peut être sensuelle une femme ! Vouais, bon, c'est dommage, j'avais personne sous la main à la sortie de l'expo. Mes loustics étaient gay-minded, mais minded seulement. Alors on a fait la causette, pour dire de respirer un peu. Trop de chairs, trop d'étoffes, fallait éteindre l'incendie à coups de réflexions subtiles et bienvenues.

J'ai demandé au graphiste si la reproduction des drapés lui serait plus facile à la palette graphique où à la toile de Canvas. Je n'ai pas été surpris de sa réponse. Pour lui, une fois choppé le coup de main pour l'alternance ombre et lumière, le pinceau lui semblait plus approprié. J'adorais cette impression, j'adorais l'idée que plusieurs de nos vies seraient insuffisantes pour atteindre l'excellence du Maitre, ce gros branleur de Fragonard.
Il l'a souligné. D'un simple trait de pinceau Fragonard réussit à suggérer les dentelles d'une manche. Un seul coup de pinceau. Enculé ! Là où il m'en faudrait cent pour suggérer la transparence.

Putain, trop bien.

Tendre vers. Espérer. Flirter.

Bouge pas fillette, j'ai pas fini. Oui, ben, tu finiras de me sucer plus tard, elle va pas s'envoler, merde. Je te cause plus, de toute façon je sais que t'écoutes rien. Ne me raconte pas de salade. Quand t'as les yeux qui baignent comme ça dans le sperme, à part m'aspirer l'intime, je peux dire ce que je veux, t'en as rien à foutre. Alors va te faire un Mojito, roule-toi un pèt, va prendre un bain, astique-toi la protubérance, mais je t'en prie, désembouche-moi et ne déconcentre pas l'artiste, mon lectorat réclame une conclusion. C'est ça, fais ta maline, refous ton putain de tue-l'amour de jean, gnagnagna, c'est super drôle, mais va-z-y, enfile tes chaussettes de laine molletonnée, tu ne m'auras pas avec tes menaces barbares, un artiste se doit à ses lectrices.

Non, parce que le plus important dans tout ça, c'est pas les gonzesses, c'est le décor. Dans Le Jeu de le Main Chaude, les trois-quarts supérieurs du tableau sont occupés par les chênes centenaires et le ciel pommelé. Comme chez moi quand j'étais jeune et encore vaillant. Désolé les pauvres, je suis né sur le territoire du Roi Soleil. Et les décors de Fragonard, ça ressemble vachement aux allées et aux alignements forestiers qui ont servi de théâtre à mes premières amours, à mon premier amour. Les mêmes enchevêtrements de racines, les mêmes rousseurs automnales, les mêmes emballements équins, le tout sous les reproductions des chevaux de Guillaume Coustou, que ces enculés de Parisiens nous ont taxés, comme l'Obélisque aux métèques, pour décorer leur foutue place de la Concorde, que pour ne pas froisser de la tôle faut avoir fait Fast and Furious première langue.

Or donc, tout ça. La chair, l'amour, les mains qui investissent, le sein qui se réchauffe, Louis XIV, la machine, cette machine immense qui frappe d'étonnement tous ceux qui la voient, par l'énormité de sa construction, est une grande chose qui fera toujours un honneur infini à son Inventeur, malgré ses défauts. Les cicatrices de la révolution française, présentes sous la forme de dalles commémoratives des emplacements des palais royaux, le silence des jardins à la française, le bord du bassin cerné par les roseaux. Je respectais le parcours du tendre. Ce n'était pas un choix, je découpais suivant les pointillés. Serviteur.

Elle s'appelait Agathe de Mirmande, Grand-Père officier mort pour la France, anonymement comme tous les morts, dans un des derniers ilots de résistance à la progression des troupes de la Wermacht, il n'y a que les vivants pour se rappeler au bon souvenir de leurs contemporains. Les grincements des branches entre elles à l'automne, les allées pavées, les racines comme autant de canapés accueillants, trois heures pour dégrafer un bouton de chemisier, une heure pour Lenotre, une heure pour Robespierre, la dernière heure pour oser. Cueillir sa poitrine sans savoir qu'en faire sinon la réchauffer. La caresser eut été malvenu. Feindre l'indifférence, étouffer par une coquetterie verbale l'incendie meurtrier qui me ravageait parce que, ce jour-là, elle portait sa robe bleue.

Putain ! Fragonard ! Merde, j'ai connu ça ! Moi ! J'ai connu ça !

Faut avouer que c'est un putain de handicap, ce gout du décor ! Pas d'amour sans la puissance virile de Rodin, pas de fantaisie sans les arabesques de Gustave Moreau, pas de fantasme sans une particule digne de ce nom, sans un piano demi-queue d'une fille de bonne famille, sans la robe de velours rouge retouchée sur les courbes de la femme en devenir, sans les tronches de cake des aïeules accrochées aux murs.
Je ne désirais pas une femme, j'entrais à la cour du bon roi Louis.

Je vous l'avoue, c'est un handicap définitif quand il s'agit de draguer en boite. On ne remplace pas Lenotre par une mini-jupe. On n'évince pas une lignée par des talons, quelle que soit leur prétention vertigineuse, Madame de Maintenon ne farfouille pas son baise-en-ville pour chercher ses " redingotes anglaises ".

Alors je me suis soigné. J'ai renoncé au décorum. J'ai abdiqué. Ne plus créer un monde pour y loger un amour. Je me suis concentré. Un cul est un cul, une chatte une chatte et les jambes vont généralement par deux. L'important c'est de tremper le biscuit, de décharger du brutal, de napper des amygdales.

Mais putain que j'ai du mal. Putain que c'est dur. Les ambiances ne me suffisent pas, il me faut un univers. Pour pénétrer une chatte, il me faut pénétrer une culture, une histoire, une famille, me lover entre le père et la sœur, connaitre par cœur la garde-robe, le nombre de sucres dans le thé du matin, les impertinences du corps, les avidités des mains, l'odeur des cheveux, la pointure des souliers, le destin du grand-père, la cuisson des toasts, les ronflements, l'odeur des pets, les faiblesses, les exigences inutiles, les innombrables chimères. J'entre en amour comme on entre en religion. Je délaisse le Kama-Sutra pour la règle de Saint-Benoit, Vigiles, Laudes et Vêpres.

Faites les malins ! Trouvez l'intonation ! Je voudrais vous y voir, bande de dégonflés.
Parce qu'il ne faut pas mollir de la synthèse, faut pas craindre le résumé réducteur, quand il s'agit de s'enquérir de l'univers qui m'attend par une subtilité élégante digne des finesses de Fragonard, concentrer tout ça dans un monument de lubricité pour débiles profonds, et enchainer sans faillir ni baisser les yeux en articulant à l'arrache " t'sais que t'as le cul du siècle, t'as raison de porter du raz-la-touffe, ça serait un crime de cacher ça ".

Mon dieu que c'est ardu. Parce que la seule chose qui me vient à l'esprit à ce moment-là c'est la tentation de signaler cette salope d'étiquette qui dépasse du col, cette affreuse bavure du rouge-à-lèvres sur les incisives, l'accord déplorable entre la couleur du vernis à ongles et celle du chemisier. Je n'ai qu'une envie, lui chopper ses pompes, non pas pour me branler dedans, mais pour redonner à grand renfort de crèmes et de brosses l'éclat minimal que l'on doit à ce qui autrefois aurait pu être désigné sous le terme de soulier.
Mais que nenni ma mie, la désolante découverte de socquettes tout confort enfilé par-dessus le collant raffiné, me renverrait à la désespérante quiétude d'une publicité pour les produits de la marque Damart.

J'ai Watteau, Fragonard et Boucher dans la tête, et il me faut faire la conservation à un hussard de la garde impériale, sur de ses conquêtes, de sa vaillance et de la noblesse des armes, prêt à m'étriper si je ne crie pas " vive l'Empereur ". Dis, Seigneur, tu nous remettrais pas des gonzesses fébriles, à la vertu enivrante, avec des chattes dignes d'une oasis dans le désert, couvertes de falbalas et de crinolines, comme des cadeaux tombés du ciel, emballages après emballages, rubans après rubans, qu'on puisse éjaculer dans nos braies avant même d'avoir atteint l'ultime, dis, sans déconner, tu nous recollerais pas le désir en ligne de mire, plus impérieux que la conquête, l'envie d'avoir envie, le bonheur d'avoir envie.

Mais putain, merde, t'as bien su nous pondre de la Mary Kate Danaher, intouchable, farouche, passionnée, t'as perdu la main ? Je mise sur de la sous-traitance, tes gonzesses elles sortent d'une chaine délocalisée à Kandahar, c'est mou, ça baille, ça suce par routine, c'est loquée roumaine expulsée de l'espace Schengen, ça enfile du confortable, ça vaut rien, ça passe son existence à courir après le bus, je voudrais pas critiquer Seigneur, mais c'est mou du genou tout ça. Je ne t'en veux pas, le service marketing a encore foutu sa merde, ils anticipent l'attente des consommateurs, faut du novateur, du dérangeant, du flatteur. Mais juste comme ça, par nostalgie, tu pourrais pas de temps en temps nous sortir une édition spéciale, de la gonzesse de chez gonzesse, du modèle basique, appelons-la " vintage " pour gagner des parts de marché si tu veux.

Va-z-y, sors les vieilles micro-fiches, accommode au gout du jour, sors-nous le modèle qui décoiffe, quand tu ne sais jamais si tu vas t'en manger une ou la conquérir en flattant sa croupe d'une main autoritaire. Et, sans vouloir paraitre mesquin, tu pourrais lui remettre des poils sur sa chatte ? Non, juste comme ça, par nostalgie.

Y a rien de plus difficile que de faire simple.
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Message par Invité Ven 27 Nov 2015 - 7:29

Numero6 a écrit:
Y a rien de plus difficile que de faire simple.


et court ! Dent pétée

Putain trop bien.

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Message par Numero6 Ven 27 Nov 2015 - 11:54

Merci mon bleuet.
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Message par Invité Ven 27 Nov 2015 - 13:17

TU nous as gâtés Numéro6  Hourra ! 



Parce que la seule chose qui me vient à l'esprit à ce moment-là c'est la tentation de signaler cette salope d'étiquette qui dépasse du col, cette affreuse bavure du rouge-à-lèvres sur les incisives, l'accord déplorable entre la couleur du vernis à ongles et celle du chemisier. Je n'ai qu'une envie, lui chopper ses pompes


Spoiler:

Et l'étiquette sur la semelle ? 
Cette fichue étiquette sur la semelle ! 

Non parce que moi, en toute amitié, je chope la pompe et je décolle cette fichue étiquette et si j'ai le matériel sous la main, je finis les traces de colle avec un petit coton d'alcool. 

Fragonard, ma grand-mère avait une reproduction de La liseuse et un immense (immonde) tapisserie d'une "scène galante au parc" dans la salle à manger (ou bien, c'était un Watteau, mais difficile à dire sur une tapisserie). 
Fragonard pour moi, ça sent le lapin à la moutarde du dimanche après la messe à Trifouillis les Quatre canards. 

Les passages cloutés


Et encore, quand ils passent dessus. 
J'ai l'impression que les mauvais piétons sont ceux qui ne conduisent jamais. Il faut savoir ce que c'est que le stress de piler devant un crétin qui déboule de nulle part pour se jeter sur la route, au risque de se faire refaire le pare-choc par celui qui colle derrière. Une fois que ça t'arrive au volant, tu as un peu plus d'empathie sur le passage clouté. 


Et lache ce tube de mayo, tu me fais de la peine ! Il n'y a pas une bonne âme pour te faire une mayonnaise digne de ce nom entre 2 autres activités ?

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:08


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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:11

Comme quoi, le connu peut être terriblement lourd

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:14

ah moi, ja pas compris comment on fait du nouveau

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:22

- "C'est beau, c'est neuf ?"

- "Naaaan !!! Le neuf ça n'existe pas !!!"

Pola

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:24

C'EST BEAU, C'EST VIEUX

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:29

Celui qui me prouve qu'il y a du "nouveau", je le vénère !

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:52

C'est pas du foutage de gueule ça ???

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 19:53

PLS pour les personnes inconsciente... Qui m'exlique ?

Pola

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Message par Invité Ven 27 Nov 2015 - 19:59

Pola a écrit:PLS pour les personnes inconsciente... Qui m'exlique ?

Je vois pas le problème... c'est même plutôt fait pour ça si je me souviens de mes cours de secourisme. 

(EDIT: inconscientes qui ventilent)

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 20:01

"C'est même plutôt fait pour ça", ok!

Pola

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 20:04

Tu dors dans quelle position toi ?

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Message par Invité Ven 27 Nov 2015 - 20:06

En PLS ...

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 20:07

punaise, je dors sur le dos...

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Message par Invité Ven 27 Nov 2015 - 20:12

Pola a écrit:punaise, je dors sur le dos...

Fais pas ça si tu as bu, tu pourrais t'étouffer dans ton vomi... 

Spoiler:

EDIT: je sais, le sommeil n'est pas un état d'inconscience. On est pas obligé de dormir en PLS Laughing


Dernière édition par Mily le Ven 27 Nov 2015 - 21:26, édité 1 fois

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Message par Pola Ven 27 Nov 2015 - 20:15

Tu as le sens de la mesure, c'est bien Smile

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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 0:06

Pola a écrit:C'est pas du foutage de gueule ça ???

Si, si, c'est n'importe quoi, rien n'a changé depuis 40 ans, les mêmes gestes, les mêmes recommandations.

On dit pas " coucou, Nathalie, serre-moi la main ", on vérifie que le cœur bat encore et on vrille le mamelon salement. C'est tellement douloureux que l'absence de réaction est très mauvais signe.
Quand à dégager la trachée en tirant sur le menton, accroche-toi ma poule.
La manière de basculer en Position Latérale de Sécurité ne protège pas du tout la moelle en cas de lésions vertébrales.
Quand à vomir dans ses bronches, faut vraiment être en coma éthylique avancé pour ne pas tousser. Avec toutes les hospitalisations en réa pour binge-drinking, ça se saurait, il n'y aurait plus un seul russe sur terre.
Apprécier la respiration en regardant la poitrine en rase-mottes, ça aussi c'est chaud.

C'est frappant la prorogation au fil des années de recommandations bâtardes, on se contente de reproduire fidèlement le même discours. A croire que c'est juste fait pour s'occuper les mains en attendant le SAMU. Tu noteras que pas une seule fois on lui fait les poches. Si jamais elle est diabétique et en coma acido-cétosique, va-z-y voir si ça serait pas signalé dans son larfeuille. Des fois qu'elle aurait le SIDA ou l'hépatite C aussi... pour les maboules du bouche-à-bouche comme à la télé. Je sais bien que ça se chope pas comme ça, mais bonjour l'angoisse quand même...

J'offre le restant de mon tube de mayo à celui ou celle qui fera du bouche-à-bouche à une personne bourrée qui vient de gerber son gouter et son Jack Daniels. A la votre, m'sieurs-dames.
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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 1:00

Un dernier petit mot pour Mily. J'ai été étonné que la vidéo sur l'art de ne prendre aucune décision en politique puisse retenir ton attention.

Le conférencier ne fait que reprendre ce que les chansonniers des Deux-Baudets ou du Caveau de la République parodiaient sans vergogne auparavant. Le contenu est connu.

Je suis un politicien, cela veut dire que je triche, je mens... Quand je n'embrasse pas les bébés, je leur vole leurs sucettes ! Mais sachez aussi que je n'exclue jamais aucune option.

A la poursuite d'Octobre Rouge.


Ce qui me surprend le plus c'est en quoi cette vidéo est révélatrice d'une époque. On s'est habitué à considérer que les choses étaient ainsi. Le corporatisme des grands corps de l'état. L'absence de courage politique. La gesticulation comme projet politique. On s'est habitué à considérer ça normal.
Qu'un homme politique mente et triche, je dirais presque qu'il est payé pour ça. Mais il " n'exclue jamais aucune option ".

C'est une discussion récente qui m'a fait voir à quel point les 20-30 ans étaient dénués d'esprit subversif. Critique, oui, cynique, surement, mais très peu rebelle, très peu méfiant.

Du haut de mon arthrose ankylosante, les discours des hommes politiques n'ont jamais été que des caravanes publicitaires. On avait un proverbe : " il y a deux sortes de personnes à qui il ne faut jamais faire confiance : les hommes politiques et les journalistes ". Que l'on puisse s'interroger sur la sincérité d'un discours de Hollande me fait halluciner.

L'originalité récente du discours des politiques c'est qu'ils ne s'en cachent plus. Ils nous prennent ouvertement pour des cons. Ils ne prennent plus la peine de faire des efforts. Plus c'est con, plus ça marche. Le français moyen d'il y a trente ans n'aurait jamais accepter ça. Maintenant ça passe comme une lettre à la Poste. L'usine à crétins fonctionnent plein gaz.

Trois exemples.

J'ai vu des abrutis décérébrés ( des étudiants en sciences humaines ou des aspirants culturo-mondains je suppose ) défiler dans la rue pour que les vieux puissent prendre leur retraite plus tôt. Sont-y cons ou bien ? Mais c'est eux qui vont payer pour que les vieux se dorent la pilule au soleil ! Abrutis !

J'ai vu des ministres va-t-en-guerre, selon la traditionnelle parade martiale des socialos, nous pondre des lois pour espionner chaque français sans jugement, sans procès, juste au gré des humeurs des fonctionnaires, mobiliser la troupe dans les rues de Paris, renforcer vigie-pirate jusqu'à l'absurde. Et pas un seul de ces tocards n'a perdu son marocain après les attentats, pas un seul ne s'est excusé. Après l'immunité de Cahuzac, je crois qu'ils ont compris que c'était Open Bar. Pas un seul français dans la rue pour réclamer leurs démissions. A part la pétition sur Facebook initiée par des parents de victimes des attentats, rien.

J'ai vu les mêmes français ne pas protester contre le bombardement de la Syrie. Dites, les jeunes, pas une seule fois ça ne vous a traversé l'esprit que si la merde commençait à pleuvoir drue, vous risquiez de vous retrouver avec un treillis sur le dos et un vieux FAMAS déglingué en pognes pour aller vous faire trouer le cul à la santé de la Hollandie ? Non ? Ah puis attention hein, ça sera comme le disait Mily, les pros on les préservent, les crétins on les envoie en première ligne. Enfin, je crois qu'elle parlait plutôt de faire les pipes et le café.

On suit l'air du temps, on se laisse bercer par les courants porteurs, on adapte des réfugiés quand c'est la mode, on bombarde les mêmes bougnoules sans remords deux semaines plus tard, les bons en plus, ceux qui restent chez eux. Très peu de révolte. Pas assez de colère. Tu reprendras bien une appli avec ton joint ?

Que l'on puisse supporter les vitupérations nasillardes de Manuel Valls en 2015 me sidère. Aucun homme politique n'aurait osé se comporter ainsi il y a seulement 15 ans.

Ils nous passent en alerte rouge pour 3 mois, alors qu'elle est prévue pour 12 jours maximum dans la Constitution. Font ce qu'ils veulent. Personne ne bronche.

A croire que le français de 2015 a perdu toute capacité à protéger son cul.

Je ne suis pas un rebelle, j'adore les règlements, je suis plus que légaliste, mais je suis sidéré de l'efficacité remarquable du sabotage des esprits, de l'apathie bêlante. Et moi qui croyais vivre dans le pays des râleurs et des propriétaires terriens...
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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 1:18

Quelques aphorismes courtois pour le week-end, j'en profite tant que ce n'est pas encore illégal. Riez, riez, mais qui aurait pu croire qu'ils oseraient un jour nous interdire de cloper dans les bistrots ?


Tous les génies sont misogynes. En voici 12.

“La femme est une surface qui mime la profondeur.” ~ Friedrich Nietzsche

"C'est nous qui faisons des femmes ce qu'elles valent, et voila pourquoi elles ne valent rien." ~ Mirabeau

"Les femmes acceptent aisément les idées nouvelles, car elles sont ignorantes; elles les répandent facilement, parce qu'elles sont légères; elles les soutiennent longtemps, parce qu'elles sont têtues." ~ Mirabeau

"J'ai toujours été étonné qu'on laissât les femmes entrer dans les églises. Quelle conversation peuvent-elles tenir avec Dieu ?" ~ Charles Baudelaire

"Les femmes forment un sexe purement décoratif. Elles n'ont jamais rien à dire, mais elles le disent d'une façon charmante. " ~ Oscar Wilde

"Je n'ai jamais eu de chance avec les femmes. Il est toujours arrive un moment où leur bêtise a dépassé mon amour." ~ Paul Léautaud

"Les femmes sont comme les miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas." ~ Henri Béraud

“Les femmes ne sont que des organes génitaux articulés et doués de la faculté de dépenser tout l'argent qu'on possède.” ~ William Faulkner

“Toute femme a sa fortune entre ses jambes.” ~ Honoré de Balzac

“La femme rend lâche. C'est elle qui conseille au gréviste de rentrer à l'usine, à l'artiste de faire du commerce, au soldat de plier le dos. Parce qu'elle ne pense qu'à la pâtée, qu'elle a un pot-au-feu dans le cœur.” ~ Roland Dorgelès

“Une femme, si elle ne parle pas d'elle, n'a guère que deux sujets de conversation : les gens pour en médire, l'argent pour en réclamer.” ~ Georges Wolfromm

“J'ai souvent envie de demander aux femmes par quoi elles remplacent l'intelligence.” ~ Alain


Voilà pourquoi je ne serais jamais un génie.

Je ne suis pas un homme politique mais je ne néglige jamais aucune option, par exemple qu'une idée reprise au fil des siècles dans différentes cultures a peut-être un fond de vérité. Surtout quand cette même idée est souvent émise par les femmes les plus intelligentes à propos de leurs congénères. Comme sur ce forum par exemple.
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Message par 'C.Z. Sam 28 Nov 2015 - 1:39

Numéro6 a écrit:“Une femme, si elle ne parle pas d'elle, n'a guère que deux sujets de conversation : les gens pour en médire, l'argent pour en réclamer.” ~ Georges Wolfromm

Mouais, il a oublié les mioches quand même... Un tel sujet de conversation, ça ne se loupe pas !
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Message par Invité Sam 28 Nov 2015 - 8:09

moi je fais partie des abrutis qui veulent payer pour que les vieux se dorent la pilule !
Mes grands parents et maintenant mes parents ont suffisamment bossé, c'est mon tour !

et merci les vieux de ne pas piquer le travail des jeunes ou bien ...
et la guerre va bien finir par falloir la faire!
y'a plus un homme d'Etat valable, et les gens disent trop de conneries ... faut bien que les hormones s'expriment autre part !!!!

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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 9:11

@saltymbanque, je t'aime, balance tout sur mon compte Paypal, je projette une thalasso à Prague. En attendant, va bosser, esclave.

Et si tu pars faire la guerre tu as ma bénédiction. Fabius prétend s'allier à Bachar qui, selon lui, ne méritait pas de vivre. La France prévient la Cour Européenne qu'il va y avoir de sacrés coups de canifs dans les droits de l'homme. Bah... du moment que François prévient qu'il va faire des conneries, c'est pas comme si c'était grave.

Le second degré c'est comme le sel dans le ragout, une question de dosage.
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Message par Invité Sam 28 Nov 2015 - 10:26

Mouais, la justice est aveugle, elle frappe au hasard. Dent pétée

PS : Le bouche à bouche c'est fini, c'est direct massage cardiaque, d'ailleurs j'embrasse plus ma compagne, je masse directement ses seins, elle gueule que je suis un gros bourrin alors que je désire seulement la sauver, encore une qui a rien compris ! Rolling Eyes

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Message par Invité Sam 28 Nov 2015 - 11:56

J'ai été étonné que la vidéo sur l'art de ne prendre aucune décision en politique puisse retenir ton attention.

Le conférencier ne fait que reprendre ce que les chansonniers des Deux-Baudets ou du Caveau de la République parodiaient sans vergogne auparavant. Le contenu est connu.



La politique m'a toujours laissé froide comme un tube de mayonnaise sorti du réfrigérateur. Pour moi c'est nouveau ça. 
 
Mais c'est pas bon pour ma tension tout ça. Je me fais du mal. 

“J'ai souvent envie de demander aux femmes par quoi elles remplacent l'intelligence.” ~ Alain

Les chaussures ? 

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Message par 'C.Z. Sam 28 Nov 2015 - 13:54

Mily a écrit:

“J'ai souvent envie de demander aux femmes par quoi elles remplacent l'intelligence.” ~ Alain

Les chaussures ? 

J'suis foutue ! J'ai la malléole tordue ! J'ai plus qu'à vendre mes talons sur le bon coin (sont pas loin d'être neufs, c'est une bonne affaire)... J'aurais l'air mignonne à défaut d'avoir l'air d'une femme, dans ma petite robe à fleurs, une attelle dans des ballerines. C'est pas classe, mais c'est toujours mieux qu'un plâtre.

J'ai plus qu'à rêver de mes futures randonnées avec mes chevaux qui ne comprennent toujours pas pourquoi c'est si jouissif pour moi de me laver debout, au gant de toilette, à poil au milieu d'un champ embrumé à 6h du mat' sans penser à rien d'autre qu'à la morsure de l'eau froide qui me rappelle que je suis vivante. Putain, ça me manque !

Je me sécherai comme je peux avant d'enfiler mon jean et mes chaussettes pas très propres (mais encore un peu molletonnées) avant de mettre cette foutue attelle et partir à pieds devant mes loulous qui sont contents que je ne les monte pas avant quelques kilomètres.

L'intelligence, je l'ai remplacée par la tendresse. Il n'a pas l'air de s'en plaindre mon chéri, quand il pose sa tête sur mes p'tits seins et que je lui gratte doucement la tête pour qu'il s'endorme... Faut bien quelques filles comme moi pour que les autres aient l'air de femmes, non ? J'ai remplacé la déco chez moi par mon sourire, ça coûte moins cher ! XD
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Message par 'C.Z. Sam 28 Nov 2015 - 14:02

mon beau décor:
'C.Z.
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Message par Invité Sam 28 Nov 2015 - 14:05

Centaure Z'ailée a écrit:
mon beau décor:

Nice shoes. Dent pétée

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Message par 'C.Z. Sam 28 Nov 2015 - 14:33

Battement de cils
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Message par Invité Sam 28 Nov 2015 - 14:51

Spoiler:

Keuwah? Tu montes pas en amazone avec des bottines talons bobine et une jupe longue ?

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Message par 'C.Z. Sam 28 Nov 2015 - 15:01

Allez, si Numéro6 me trouve un selle d'amazone, je te propose de lui refaire une scène de Frago (sic) en direct. Je dois avoir quelques jupons dans mes malles Wink
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Message par ou-est-la-question Sam 28 Nov 2015 - 20:13

là où se rejoignent nos rêves :

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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 22:02

Chpeux encore raconter des conneries ?

Non ?

Bon ben, si, quand même.

La première fois que j'ai vu une selle d'amazone dans une sellerie, j'ai été saisi d'admiration pour l'orfèvrerie du sellier et d'effroi face à cette fleur à deux pétales, moitié pal pudibond, moitié rabbit hypocrite.

Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre - Page 11 DSCF4879

Comme j'ai été éduqué dans l'ère post-féministe, j'y voyais un instrument de torture, un châtiment infligé par la tartufferie patriarcale, donc tyrannique, donc stalinienne, donc le goulag, le pavillon des cancéreux, à mort les Romanov ! Vive la femme libre !

Le coup de protéger l'hymen féminin ne me convainquait que très modérément. Pas par aboutissement d'une réflexion anatomique mais parce que je connais mes congénères, je ne les vois pas se faire chier à ce point-là pour préserver un truc qu'il rêve de voir disparaitre le plus tôt possible. Rien de plus barbant que de se farcir une vierge. Non, j'y croyais pas beaucoup.

J'avais tendance à classer l'objet à coté des pieds bandés des chinoises, des jupes droites, des talons hauts, de tout ces machins calculés pour brider la geste féminine. Tous ces artifices conçus pour rassurer les hommes. La première règle qu'apprennent à respecter les travestis est de raccourcir leur pas, de ralentir leur allure. Ça se situait dans le même répertoire que la discrétion dans l'expression gestuelle, la retenue des éclats de voix, le regard baissé et les genoux joints : de la tenue. Mieux : de la retenue.

" La force d'un homme, la folie d'une femme ". Les disputes conjugales entre pédés, ça ecchymose à tout va, ça griffe et ça cogne en même temps. Faut que ça saigne ou que ça dise pourquoi.

" La folie d'une femme ", le truc le plus effrayant après les Tsunamis et les Socialistes. Je pensais qu'il existait des tas de signes permettant à une femme de signaler qu'elle était en mesure de maitriser sa folie. Histoire de pas faire fuir le matou d'emblée. Quand la femme se transforme en juge, en bourreau, et en prêtre tant qu'à faire, pour s'auto-administrer le pardon de sa folie, de sa juste folie, de sa rage distillée en poison quotidien.

Se soumettre à l'inconfort d'un vêtement bridant, accepter de se plier à une contrainte sociale ou professionnelle, pour moi c'était un message : " en cas de besoin, je dispose des ressources nécessaires pour juguler ma folie ". C'est flippant une femme qui a décidé de ne pas se contrôler, ça se situe entre la Femen et l'empoisonneuse de Loudon, désignée hystérique par respect étymologique de la matrice gorgée d'humeurs viciées, rebaptisée histrionique pour faire plus chic dans le DSM.

Et puis bon, toujours le même principe, je regardais les femmes de ma famille et je me posais la question qui tue : accepteraient-elles de supporter de monter en amazone quand c'est si simple de monter comme tout le monde ? Quand je regarde les talons bobines portés par Centaure, je ne l'imagine pas se priver de la jouissance de maitriser la puissance du cheval entre ses cuisses. Sont folles, mais pas tant que ça. Faut que ça leur plaise. Toujours.

Je ne faisais pas le lien. Jusqu'au moment où j'ai lu, c'est-à-dire il y a 10 minutes, cette recommandation pour le choix de la selle :

Ancienne ou neuve, la selle d’amazone doit répondre à certains critères bien spécifiques : en effet,  contrairement à la selle de cavaliers qui s’adapte peu ou prou à tout cheval et tout cavalier, la selle d’amazone se choisit en fonction de la morphologie de la cavalière et si possible de son cheval.

Ah ben voilà, ça je connais, voilà qui correspond bien au peu que je connaisse des femmes, le truc unique, le truc qui ne va bien que pour elle, et encore mieux, pour elle et son substitut Jupitérien équin.

Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre - Page 11 Amazone3-300x217

Quel mec serait assez maboul (les arabes, on ne leur a pas piqué que leur pétrole) pour s'infliger la discipline de monter comme ça ? L'aurait l'air d'un con, Siting Bull. Il n'y a qu'une femme pour réclamer cette distinction. Et heureusement. Parce que coté plaisir des yeux, ça se savoure à la petite cuillère. C'est juste sublime.

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Faire comme les mecs, mieux que les mecs, plus compliqués que les mecs, tout en restant cette exception, femme et femme unique, ça commençait à cadrer, et pas forcément noir comme chez les dépressifs de Saumur.

Ouais, même dans les sommets de la contrainte, les femmes restent complètement givrées. C'est tout en trompe-l’œil.

La selle ne vous convient pas si :

   vos fesses dépassent derrière ou sur les côtés : selle trop petite
   vous êtes instable et devez vous rapprocher du garrot : selle trop grande
   votre jambe gauche est rabattue vers l’arrière : la fourche est mal placée ou trop cambrée
   vous plongez vers l’avant ou bien vous effondrez vers l’arrière : le siège n’est pas assez plat ou les matelassures sont inadaptées.


Vous imaginez le nombre de critères qui leur permettent de se déclarer insatisfaites ?

Et puis, dernier argument massue, ça coute un rein ce truc. Avant qu'Hermès en cesse la fabrication, fallait compter le prix d'une petite berline. 600 euros deux lanières sur une semelle nue, du moment que c'est siglé Jimmy Choo, ça les vaut bien. N'est-ce-pas, chéri ?

C'est ça qui est marrant d'être un mec, savoir qu'on va se faire arnaquer comme un puceau à Las Vegas et qu'on adore ça !


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Youhouhou, en tout cas moi j'adore ça !
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Message par Numero6 Sam 28 Nov 2015 - 22:11

Bon, sinon y a ça :


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ou ça :


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On reste dans le fantasme organique :


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Ou le sex-appeal vestimentaire :

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Chais pas, y manque un truc quand même.


Ça doit être le canasson. Surement.
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Message par 'C.Z. Dim 29 Nov 2015 - 2:07

La selle doit d'abord s'adapter au cheval, c'est tout, c'est la règle. Un cheval n'est pas fait pour être monté, la selle permet de préserver son dos, plus que de maintenir le cavalier dans ses étriers. C'est plus difficile de trouver une bonne selle pour son cheval que de trouver un bon cheval.

J'ai mis un mois à trouver mon deuxième cheval qui m'a coûté aussi cher que la selle que j'ai mise 3mois à trouver... J'ai pas besoin d'autant de temps pour dresser un cheval, et avec mes 46kg, impossible d'utiliser la force.

Les contraintes vestimentaires apprennent peut être au femme à juguler leur hystérie, mais les chevaux aussi. Un cheval ne fait pas d'erreur, c'est toujours de la faute du cavalier. Faut apprendre à se maîtriser autant qu'à lâcher prise, bien plus que pour marcher avec des talons de 15cm.

Ah oui ! La selle d'amazone ! J'allais oublier...

Pour ce qui est de l'aspect technique, la monte en amazone, c'est l'horreur, autant pour la cavalière que pour le cheval. Il me semble qu'elle a été inventée par Catherine de Médicis pour remplacer le siège sanglé sur le cheval carrément à la perpendiculaire. C'était une avancée fulgurante à l'époque ! La femme pouvait enfin trotter et galoper ! Mais bordel à culs ! Je ne comprends toujours pas pourquoi ces putains de selles ne restent pas dans les musées.

Pour le cheval, c'est une torture. Déjà qu'un bon cavalier est incapable de s'équilibrer parfaitement en monte normale (même les meilleurs mettent 1 à 2kg de plus sur un étrier que sur l'autre), mais alors là, c'est tout d'un côté. On peut toujours te vendre un super arrimage tout cuir, et patati et patata, le cheval est obligé de compenser comme un malade pour soutenir sa cavalière.

Pour la cavalière, c'est pire que la torture. L'hymen !! XD Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de son hymen quand on risque de se faire exciser au moindre sac plastique qui se met à voler devant le cheval ? C'est hyper dur de s'équilibrer dans ses conditions... On est tordu de partout ! ça déforme la musculature, pire, l'ossature. Alors que la monte normale, elle, travaille chaque micro muscle du dos... Purée, y'a rien de plus beau que la cambrure d'une bonne cavalière... L'amazone, elle, quand elle enlève sa jolie robe de velours, c'est pas la peine de se demander pourquoi elle achète ses culottes chez kiabi, c'est sa cambrure qui n'a plus de sens.

Bref, une bonne selle d'amazone, faut que ça soit sur mesure, pour le cheval, comme pour la cavalière. Quand je dis sur mesure, je ne parle pas du cuir, je parle de l'arcade, alors oui, des Louboutins, c'est sûr que c'est cheap à côté. Toujours est il que tu peux y mettre le billet que tu veux, ça reste de la merde.

Vaut mieux proposer "une baignade" à une cavalière... Qui va monter à cru, pieds nus, avec son short en jean et son t-shirt blanc, sur la plage. Tu fais galoper les chevaux sur la plage, dans l'eau. Si les chevaux peuvent faire les cons cinq minutes c'est mieux, comme ça tu invites celle qui reste sur le dos de sa monture... Parce que la monte normale, ça peut déflorer une vierge (ce qui reste rare), mais ça fait de jolis muscles et pas seulement ceux qu'on voit...

Et celle qui maîtrise son cheval à cru, c'est certainement pas l'hystérique qui lui arrache la gueule en se cramponnant à ses étriers. Les dominatrices, leur assiette les sauve peut être de la chute, mais elles n'arrivent pas à attraper leurs chevaux dans les champs, elles sont obligés de les mettre en prison dans des box.


Dernière édition par Centaure Z'ailée le Dim 29 Nov 2015 - 2:20, édité 2 fois
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Message par 'C.Z. Dim 29 Nov 2015 - 2:10

Ça c'est de la vraie cavalière. On ne peut pas être hystérique et monter en cordelette sur la plage.

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Message par Pola Dim 29 Nov 2015 - 3:47


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Message par Numero6 Dim 29 Nov 2015 - 10:08

@Centaure, tu es impitoyable, d'un autre coté je ne regrette rien, il faut monter pour savoir évoquer aussi parfaitement l'équilibre.


En écrivant quoi que ce soit je suis obligé de mentir, de choisir un parti pris. Je monte mon armoire Ikéa après un vague coup d’œil à la notice constructeur, et je reçois les pièces en flux tendu. Et toutes les cinq minutes je choisis d'intégrer ou pas la pièce apportée par le monte-charge. Comme j'aime pas gâcher, j'ai un peu tendance à vouloir caser tous les éléments. Si je fais ça, à la fin c'est plus une armoire c'est un coffre à jouets. Je ne m'arrête que lorsque je ne sais plus où caser le moindre boulon. C'est ce sentiment d'impuissance qui me contraint à conclure par une pirouette.
Le Stroumph est mignon, il se contente de prétendre que, parfois, je tire un peu à la ligne. D'autres ont qualifié ma prose de roborative, gloup, non merci, j'ai plus faim.

De temps en temps, en réalité seulement quand je suis complètement crevé, je parviens à m'astreindre au service minimum. Et à la fin ça ressemble à une armoire, que chacun peut utiliser ou compléter par ses propres affaires. L'épuisement est le seul état qui me permette de faire simple, sinon je bourre un maximum, je choppe tout ce qui me tombe sous la main, faut pas gâcher, on sait jamais, une idée elle te vient une fois, si ça se trouve elle ne reviendra jamais plus.

Et pendant que j'écrivais sur la selle amazonienne, je recevais des pelletées d'éléments contradictoires. Comme la fascination exercée par les danseuses, la maitrise, la tension répartie dans chaque muscle. L'hypnose de l'équilibre conservé, défié par chaque déhanchement. Ou bien les brulures des cuisses frottées sur la selle, traitées au Cadre Noir de Saumur par un délicieux onguent alcoolique aromatisé au Tabasco. Le même frottement puissance dix sur la cuisse droite en appui sur les arceaux de la selle victorienne. Outch ! Bobo ! L'infinie délicatesse passionnelle des cavalières pour leurs montures. Le dos qui semble parfaitement droit sur la gravure, alors que sous les jupons c'est un entrelacs complexe. Illusion.

Au départ la notice de montage ne mentionnait que : " trouver une vanne sur le prix d'une selle d'amazone, histoire de jouer le pingre mou du genou, parce qu'en fait je suis prêt à trimballer tous mes flash de studio à l'autre bout de la France pour un simple cliché d'une cavalière en jupons ".
J'étais juste parti chercher une vague idée du prix d'une de ces selles, histoire de jouer à " beh, Centaure, tu te mouches pas du coude ma gazelle, faudrait revoir tes prétentions à la baisse, je m'en vas te bricoler deux planches enveloppées au bulgom sur ta selle, ça fera largement illusion, faut pas déconner non plus ma biche ".

Parce qu'en plus j'avais bien envie d'enchainer sur le tendre carressage de nuque, la torture des tortures, le supplice de la goutte d'eau, le frottement délicat transformé en châtiment par sa répétition. J'ai lu que les aspies étaient sujets au phénomène. Mais l'Asperger est un sujet qui me saoule, vraiment pas valorisant, au mieux on fait avec.

Trop de kilomètres dans la journée, alors j'ai fait court. J'ai élagué. Juste l'armoire. C'est un vrai bonheur de se réveiller le matin et de constater que les étagères se sont garnies en mon absence.

Tout ça c'est la faute à l'autre, là, la Mily avec son lapin à la moutarde, ses talons bobines et sa jupe longue. Rien qu'avec ça, j'ai déjà en tête son expression respectueuse à la table familiale, au moment du Benedicité de l'oncle Évêque en la cathédrale de Metz, pendant que son pied dénudé part en exploration sous la table à la conquête d'un trouble masculin. Mais à quoi ça sert les drogues ? Franchement, pas besoin de ça, cinoche gratuit en permanence dans ma tête. Ce qui m'étonne le plus c'est d'apprécier aussi la réalité, c'est bourré de détails auxquels je ne pense jamais. C'est riche en gouts.

Je me demande même si je ne fais pas exprès de projeter du raffinement désuet. Pour le plaisir de me gorger en retour du réel claquant son insolence. " Je t'en foutrais moi de la femme fragile et délicate, y va manger grave l'Oscar Wilde du pauvre, l'as intérêt à assurer pépère ! ". Ouais, heu, c'est-à-dire..., le réel c'est bien, mais c'est un peu comme les drogues, faut pas abuser non plus, tu t'es lavé les pieds au moins ?
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