Moyen potentiel cherche confirmation éventuelle

Pandémonium a écrit:J'ai pas de fiche zeetic, mais j'en attend beaucoup aussi (cachée dans mon coin )

*sifflote*
(genre qui dit rien mais qui pense pareil…)

Bienvenue! (j'ai du retard)

gattopardo a écrit:[...] Et j'ai recommencé depuis le début, avec mes lunettes spéciales (un côté sceptique, l'autre critique). Stupéfaction! Cette fois, j'avais l'impression que presque n'importe qui pouvait s'y reconnaître. [...] 

Ben justement, j'ai pensé pareil alors je l'ai fait lire à des gens. Et devine quoi? Ils ne se sont pas reconnus.

JSF joue sur le registre émotionnel, en plus son live est mal construit, tout y est mis en vrac, dans le but justement de stimuler le zèbre qui s'ignore et ne pas le laisser décrocher.

Pour un non zèbre, je suggère de lire L'adulte Surdoué, apprendre à faire simple quand on est compliqué de Monique de Kermadec.

J'étais ahuri de voir la différence des deux livres, et aussi de voir la différence de lecture de TIPEH entre moi et ceux à qui je l'ai fait lire.

@ Yul : ai-je compris ta pensée ? Tu es d accord pour dire que seuls les zèbres peuvent se reconnaître ds le bouquin de JSF et que c' est bien que ça existe, mais que c' est pas le meilleur livre sur le sujet, c' est ça?
Et le bouquin de Kermadec est bien pour les zèbres mais peut être compris par les non zèbres, même s' ils ne s' y reconnaissent pas, c' est ça, ou bien?!

Oui, à peu près.

Disons que les non zèbres comprennent différemment le livre de JSF (en supposant qu'ils aient déjà le courage de le lire jusqu'au bout).
J'ai aussi remarqué que nous ne repérions pas du tout les mêmes : moi j'étais focalisé sur les arguments liés à l'émotion, mes souvenirs, mes frustrations, quand les non zèbres qui lisaient le bouquin étaient focalisés sur le pratico-pratique.

En résumé, JSF joue sur un registre émotionnel quand de Kermadec utilise un registre beaucoup plus axé sur le pragmatisme j'ai envie de dire. Et les structures des livres sont différents, de Kermadec utilise une structure classique quand JSF utilise une structure... ben j'ai envie de dire franchement bordélique, mais finalement très réfléchie.

Tout le monde ne s'y reconnait pas en tout cas, ça je vous l'assure.

Elle est pas bordélique, elle est "en 3D"   (la structure, pas JSF )


Bienvenue Kadja (j'ai du retard aussiiiii )

Oué, bon, je sais pas comment ça se dit, je suis pas une lumière non plus, j'ai jamais été un grand lecteur (et ai toujours eu des notes dégueulasses en commentaires de textes )

Pfff, t'es bête, c'est moi qui le dis comme ça, c'est tout. c'est une image qui me parle
(et j'ai jamais eu des notes mirobolantes en commentaires, non plus, tsss)

J' ai pas encore fini le bouquin et J' avais acheté de Kermadec en même temps, dans le doute, lol, mais ce qui me parle le plus souvent ce sont les témoignages en italique. Aujourd'hui, J' ai encore surligné un truc qui résonnait dans ma propre vie :
"J'ai surtout l'impression qu'ils [les gens] ne comprendront jamais aussi bien mon problème que ce que je pense en savoir moi-même. Je tourne en rond car, en réalité, je n'arrive pas à avancer dans ma vie."

ça m'a fait pareil.
Particulièrement le témoignage du myope pour l'ensemble du livre.

IndianaJoan a écrit:Elle est pas bordélique, elle est "en 3D"   (la structure, pas JSF )

Bienvenue Kadja (j'ai du retard aussiiiii )

Merci pour l'accueil "tardif" - "y a pas d'heure pour les braves", comme on dit !
Et merci à vous pour cette discussion éclairante sur l'ouvrage - finalement assez controversé - de JSF, que je vais m'empresser de lire dès que mon amie (inscrite ici) m'aura filé son exemplaire "à l'état neuf", qu'elle a donc refermé dès les premières pages, lui trouvant trop le style "new age" de la littérature-tête de gondole façon Jacques Salomé (mais je me répète, là, non ? ).

Ah ?
J'ai pas vu que c'était bordélique ou 3D chez JSF
Ca m'a paru juste "normal" aussi bien pour la facon dont ca a été écrit que pour la facon de le lire
Cela sous entendrait il que je suis bordélique dans ma tête ?

Bon, voilà j'ai lu... BIENVENU !

C'est très étrange, non seulement j'ai l'impression d'avoir trouvé une sorte d'alter-égo, mais en plus une part significative de mes filles préférées du forum sont ici.

Vous etes sures que vous ne voulez pas former une communauté ?

Placebo a écrit:Bon, voilà j'ai lu... BIENVENU !

C'est très étrange, non seulement j'ai l'impression d'avoir trouvé une sorte d'alter-égo, mais en plus une part significative de mes filles préférées du forum sont ici.

Vous etes sures que vous ne voulez pas former une communauté ?

Eh bien j'avais évoqué l'idée d'un harem, justement...!
Plus sérieusement : les grands esprits se rencontrent... ici, the place to be !

Merci pour l'accueil, chère retardataire. J'avais moi aussi de la lecture en retard, apparemment...

Pandémonium r'Eve a écrit:Ah ?
J'ai pas vu que c'était bordélique ou 3D chez JSF
Ca m'a paru juste "normal" aussi bien pour la facon dont ca a été écrit que pour la facon de le lire
Cela sous entendrait il que je suis bordélique dans ma tête ?

Chéris ton chaos, dans ce cas. Comme l'affirmait Nietzsche - qui disait pas que des conneries : « Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile filante. »
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

Kadjagoogoo a écrit:
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

Et d'un seul coup, ça donne tellement envie de faire plus ample connaissance

Mzelle Tigre a écrit:

Kadjagoogoo a écrit:
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

Et d'un seul coup, ça donne tellement envie de faire plus ample connaissance  

Je sais, j'ai le chic pour donner envie de devenir mon intime !
Par contre, ça dure jamais très longtemps, une fois que l'on s'aperçoit que je n'exagère pas à propos de mon désordre intérieur, contrairement aux autres pseudo-kamikazes en liberté, ces baudruches.

Autrement dit : je suis décourageant.

Kadja a écrit:« Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile filante. »
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

J'aime bien les 2 citations, celle du maître et celle de son disciple!!
la première serait une métaphore de la seconde peut-être, surmontée d'un trait d'euphémisme, me gourre-je?

Placebo a écrit:C'est très étrange, non seulement j'ai l'impression d'avoir trouvé une sorte d'alter-égo, mais en plus une part significative de mes filles préférées du forum sont ici.

Vous etes sures que vous ne voulez pas former une communauté ?

la communauté des bordéliques de la tête? ça me va aussi, mon compagnon a fait une thérapie au début de notre relation et je suis sûre maintenant que c'était pour pouvoir mieux me supporter! ça a marché...jusque là

Kadjagoogoo a écrit:
Chéris ton chaos, dans ce cas. Comme l'affirmait Nietzsche - qui disait pas que des conneries : « Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile filante. »
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

Et en plus il cite Nietzsche

Tu as lu des bouquins de Michel Onfray sur l'érotique et l'hedonisme ?

CandyNeige a écrit:

Kadja a écrit:« Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile filante. »
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

J'aime bien les 2 citations, celle du maître et celle de son disciple!!
la première serait une métaphore de la seconde peut-être, surmontée d'un trait d'euphémisme, me gourre-je?

Eh bien, non, tu vois juste : je manie l'euphémisme jusqu'à un certain degré de provocation. Au tribunal, notamment, lorsqu'il s'est agi de juger la toxicité paroxystique (pour le dire "simplement") de ma situation professionnelle qui m'avait conduit jusqu'à ce conseil de discipline inique, j'ai dit à mes juges : "Tout cela me chagrine." On m'a alors opposé une appréhension trop désinvolte de ladite situation, ce à quoi j'ai répondu : "Il s'agissait d'un euphémisme, mes chers messieurs." Ma vie professionnelle périclitait là sans que je puisse me raccrocher aux parois, méthodiquement lissées par une administration implacable (rouleau compresseur), et je devais encore répondre de ma "légèreté", qui se voulait avant tout pudeur des sentiments, retranchement blessé derrière ma dignité bafouée.

CandyNeige a écrit:

Placebo a écrit:C'est très étrange, non seulement j'ai l'impression d'avoir trouvé une sorte d'alter-égo, mais en plus une part significative de mes filles préférées du forum sont ici.

Vous etes sures que vous ne voulez pas former une communauté ?

la communauté des bordéliques de la tête? ça me va aussi, mon compagnon a fait une thérapie au début de notre relation et je suis sûre maintenant que c'était pour pouvoir mieux me supporter! ça a marché...jusque là

C'est troublant même j'aime être ainsi réifié, disputé, convoité. Ma vie personnelle est si éloignée de ces gratifiantes convoitises virtuelles, si vous saviez...

Placebo a écrit:

Kadjagoogoo a écrit:
Chéris ton chaos, dans ce cas. Comme l'affirmait Nietzsche - qui disait pas que des conneries : « Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile filante. »
Je suis moi-même un épouvantable/sublime chantier, un bordel sans nom.

Et en plus il cite Nietzsche

Et toi tu cites Guitry, qui a si brillamment résumé l'art de la conversation (mon art de prédilection) : "Parlons, parlons, jusqu'à ce que nous ayons quelque chose à nous dire !"
#atomescrochus

Placebo a écrit:Tu as lu des bouquins de Michel Onfray sur l'érotique et l'hedonisme ?

Je ne vais pas jouer les cuistre mais j'ai dans ma bibliothèque ce livre-audio, "Le souci des plaisirs ; construction d'une érotique solaire", lu par Fanny Ardant. La voix la plus lascive qui soit au service de la thèse philosophique la plus sensuelle : comment aurais-je pu résister à cette aff(ri)olante combinaison !
Je ne vais peut-être pas prostituer davantage encore ma libido ici, mais voilà, c'est un fait : mon existence est sous l'empire de l'hédonisme, ma trajectoire intime articulée à cet extrait du "Portrait de Dorian Gray", fameux roman d'Oscar Wilde : "Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu’elle s’interdit."
Tout est dit ?

Je voue un culte à Guitry depuis l'enfance. D'ailleurs chaque circonstance pourrait avoir sa citation de Guitry. J'ai vu tous ses films je crois.

J'ai lu le livre, sans Fanny Ardant. J'en ai lu d'autres du reste.... et j'ai aussi lu le portrait de Dorian Gray pour des raisons qui me sont évidentes. Par contre c'est là que nous divergeons, car je ne suis pas hédoniste, je me réclame plus de l'épicurisme. (Voilà, ça, c'est fait)

Placebo a écrit:Je voue un culte à Guitry depuis l'enfance. D'ailleurs chaque circonstance pourrait avoir sa citation de Guitry. J'ai vu tous ses films je crois.

J'en suis encore loin, hélas (ou plutôt : heureusement ; "J'envie tous ces jeunes cons qui ont encore tout Brassens à découvrir", dit bien MMaxime LeForestier ), mais je viens justement de voir avec passion "Le Roman d'un tricheur", oeuvre audacieuse au scénario et à la mise en scène plus qu'habiles : virtuoses.

Placebo a écrit:J'ai lu le livre, sans Fanny Ardant. J'en ai lu d'autres du reste.... et j'ai aussi lu le portrait de Dorian Gray pour des raisons qui me sont évidentes. Par contre c'est là que nous divergeons, car je ne suis pas hédoniste, je me réclame plus de l'épicurisme. (Voilà, ça, c'est fait)

Tu m'as mis le doute, du coup, et j'ai donc vérifié scrupuleusement dans les définitions officielles, pour trouver :

hédonisme : 2 synonymes.
Synonymes : épicurisme, morale.

Soit, c'est pas complètement différent, donc.
Et je trouve encore :

L’hédonisme (du grec ancien : ἡδονή / hēdonḗ, « plaisir » et du suffixe -ισμός / -ismós) est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine.

C'est là que mon attachement à l'hédonisme achopperait, du coup, car je suis par ailleurs acquis et attaché à une certaine "zone d'inconfort", source de tension, et de tension érotique, notamment, lorsqu'elle occupe deux amants potentiels, s'arque-boutant dans une logique paradoxale.
Je sais pas si vous me suivez, là, mais je cherche à décrire cet état propre aux conflits psychanalytiques entre Surmoi et Ça, lorsque les pulsions (érotiques) entrent en contradiction avec les considérations morales héritées du joug judéo-chrétien. Et plus prosaïquement, plus concrètement - puisqu'on parle ici précisément d'érotisme - lorsque les tensions entre individus occupés ensemble par un terrain de séduction se résolvent dans l'alcôve, ce soulagement.
Plus globalement, je ne recherche pas systématiquement le confort, le bonheur, qui peut être décevant, stérile, voire même anxiogène - il ne peut que se dégrader, d'une façon ou d'une autre.

Bon sang, mais est-ce bien l'endroit pour évoquer tout cela ?!!
(J'aime le faire, en même temps, alors... )

Ba ouais t'es maso quoi
Mais ca je l'avais écrit dès le début

Pandémonium r'Eve a écrit:Ba ouais t'es maso quoi
Mais ca je l'avais écrit dès le début

Oui, et je t'avais aidé dans cette clairvoyance prémonitoire en affichant clairement la couleur. Ma participation à ce forum est d'une cohérence absolue.

Tiens mon ami, amuse toi bien

Kadjagoogoo a écrit:

Placebo a écrit:Je voue un culte à Guitry depuis l'enfance. D'ailleurs chaque circonstance pourrait avoir sa citation de Guitry. J'ai vu tous ses films je crois.

J'en suis encore loin, hélas (ou plutôt : heureusement ; "J'envie tous ces jeunes cons qui ont encore tout Brassens à découvrir", dit bien MMaxime LeForestier ), mais je viens justement de voir avec passion "Le Roman d'un tricheur", oeuvre audacieuse au scénario et à la mise en scène plus qu'habiles : virtuoses.

Celui là je l'ai aussi lu, car le texte est disponible chez folio D'ailleurs je ne serai trop dire si j'ai préféré la version écrite ou mise en scène. Je te conseille "ils étaient neuf célibataires".

Kadjagoogoo a écrit:

Placebo a écrit:J'ai lu le livre, sans Fanny Ardant. J'en ai lu d'autres du reste.... et j'ai aussi lu le portrait de Dorian Gray pour des raisons qui me sont évidentes. Par contre c'est là que nous divergeons, car je ne suis pas hédoniste, je me réclame plus de l'épicurisme. (Voilà, ça, c'est fait)

Tu m'as mis le doute, du coup, et j'ai donc vérifié scrupuleusement dans les définitions officielles, pour trouver :

hédonisme : 2 synonymes.
Synonymes : épicurisme, morale.

Soit, c'est pas complètement différent, donc.
Et je trouve encore :

L’hédonisme (du grec ancien : ἡδονή / hēdonḗ, « plaisir » et du suffixe -ισμός / -ismós) est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine.

C'est là que mon attachement à l'hédonisme achopperait, du coup, car je suis par ailleurs acquis et attaché à une certaine "zone d'inconfort", source de tension, et de tension érotique, notamment, lorsqu'elle occupe deux amants potentiels, s'arque-boutant dans une logique paradoxale.
Je sais pas si vous me suivez, là, mais je cherche à décrire cet état propre aux conflits psychanalytiques entre Surmoi et Ça, lorsque les pulsions (érotiques) entrent en contradiction avec les considérations morales héritées du joug judéo-chrétien. Et plus prosaïquement, plus concrètement - puisqu'on parle ici précisément d'érotisme - lorsque les tensions entre individus occupés ensemble par un terrain de séduction se résolvent dans l'alcôve, ce soulagement.
Plus globalement, je ne recherche pas systématiquement le confort, le bonheur, qui peut être décevant, stérile, voire même anxiogène - il ne peut que se dégrader, d'une façon ou d'une autre.

Bon sang, mais est-ce bien l'endroit pour évoquer tout cela ?!!
(J'aime le faire, en même temps, alors... )

Et voilà pourquoi j'avais hésité à l'écrire : parce que j'avais pas le temps et l'energie de faire un texte sur la différence entre les deux. Comme je ne peux pas etre partout, ce soir, t'es puni, pas de MP
Enfin... tu as dis "judeo-chrétien"... je réviserai peut être ma position
En fait le livre lu par Fanny Ardant répondrait en parti à la question, mais si je voulais faire hyper synthétique je dirai :
Quand l'hédoniste dit : allons chers amis, tous à poil et baisons !
L'épicurien dirait : Laissez moi jouir du plaisir de gouter l'instant dans toutes ses dimensions.
La nuance peut paraitre subtile, mais pas tant que ca.
Par exemple pour Onfray l'Hédoniste est forcement libertin, ce que je ne suis pas. Je ne suis que libertaire.
Enfin... parfois j'ai des doutes, je le suis peut etre un peu aussi, mais au sens auquel on l'entendait au 18eme siecle. (c'est vrai qu'on déballe tout ici, c'est indecent!). On en reparlera ultérieurement en privé  

la-philosophie.com a écrit:La différence entre l’hédonisme et l’épicurisme est le rapport au plaisir :
- Epicure affirme que l’homme doit maîtriser ses plaisirs, en ne consentant qu’aux plaisirs naturels et nécessaires (besoins vitaux)
- Les hédonistes pensent que l’homme doit maximiser ses plaisirs, quel qu’ils soient.

Ca me tue de citer alors que j'avais ecris un post magnifique sur le sujet il y a quelques années, mais comme je ne me souvient meme plus du forum en question... tda quand tu nous tiens !
Sinon il y a un fil interessant ici : http://www.forumdephilosophie.com/t626-les-libertins-hedonistes-epicuriens

J'avoue ne pas avoir joué avec les deux notions depuis des lustres... t'es en retard de quelques années !!! Je suis passée à d'autres sujets depuis !

(ce post est une horreur, j'ai meme honte de poster une explication aussi mauvaise... je présente donc prématurément mes excuses. Je dois dire que ma journée à été longue   )

Bon anniversaire!

(Comme ça, ça te fera un "up" sur ta présentation. )

Tu es adorable d'y avoir pensé (ici aussi ! ^^' )
Mais j'aurais presque préféré un sur ma fiche Zeetic...

Alors ça, je te laisse t'en occuper.

fleur_bleue a écrit:Alors ça, je te laisse t'en occuper.

Hi hi, un ami à toi s'en sera opportunément chargé, youpi !