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Oui, je connais ce sentiment, même si, personnellement, ça venait aussi du fait que je n'aimais pas demander aide ou même conseils aux autres, je ne voulais pas imposer ma présence, je voulais faire les choses moi-même ou m'en passer (et souvent, ayant la flemme de les faire, je m'en passais ), ne rien devoir aux autres, également, ne pas être redevable.

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Ainaelin a écrit: (pas) être redevable.

Quelle horreur.




(désolé pour l'intrusion Asparagus)

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Le retrait (momentané) et le délai pour toute réaction (préserves-toi) le tout avé le sourire aux coins des yeux !  

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Disons que s'asseoir un instant (laisser passer le cadavre qui flotte) et ne reprendre la route qu'après le repas des crocodiles    

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comme au yoga??
   

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Spoiler:

Pourquoi une tel prise de risque?

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 Alors c'est pas la posture de l'autruche
Tu ecoute ton coeur n'ai pas peur

ASPERGE a écrit:Plutôt du genre je viens de jeter un gros pavé dans la mare, mais je continue à me promener à côté comme si de rien n'était...

Oh, un pavé...  

J'espère que tu arrives à être mieux dans ce boulot, que c'est moins énergivore pour toi.

En ce moment, je suis toute seule toute la journée, j'ai des contacts juste avec mes clients, c'est calme, c'est un vrai bonheur. Tout est dépeuplé et plus rien ne manque... La semaine prochaine, c'est le grand retour, ils reviendront tous de vacances bronzés, enthousiastes, et tout va se remettre en place. Je ne sais pas si je vais supporter tout ce monde d'un coup. J'en arrive même à me dire que finalement, je suis peut-être faite pour travailler seule.

Sortir de la relation d'aide ce n'est pas évident pour moi, j'ai vraiment du mal à me positionner autrement dans mes relations qu'en aidant les gens. Je ne sais pas trop pourquoi je suis parti dans ce chemin ? Si, je sais bien pourquoi, en fait. Mais j'aimerais en sortir car ce mode de relation ne me convient pas. J'ai trop l'impression de me faire exploiter, bouffer.

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asperge

petite asperge croquante et fragile
n'oublie jamais que c'est le soleil, qui guide tes petites soeurs aspirantes a pousser, que tes soupirs puissent se dissiper par mon souffle discret 

    

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normal UK est passé avant toi et a tout fini.... a moins que ce ne soit simli ..... ou licorne 
waip ... bref.... t'as le choix

.... de toutes facons sont tous des chameaux ici alors ^^    ..... (mheuuuu non vous offusquez pas , je ne parle que de boisson ..........
pour l'instant   )

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s'il te plait n'insulte pas les singes >> vallent bien mieux que tes confreres
..... une image comme ca en passant >>> les collegues grimpant entre les lianes avec des houuuu houuuuu guturaux apres ta tournée  

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Des messages comme celui-ci, c'est juste beau. C'est un boost au moral.

Asperge.

Coucou Asperge  

Passer du temps perdu au temps qui travaille pour nous (avec le cerveau). C'est chouette de lire ça. Et de lire comment tu as trouvé tes solutions pour le boulot.

https://www.youtube.com/watch?v=aTQfB8W0-EM&feature=player_embedded     



Pendant que tu écoute ci-contre :

je peux témoigner que l'âge est un critère

mais qu'il ne m'empêche pas de vivre et

chaque jour d'aimer ,   


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" Soyez résolus de ne plus servir et vous voilà libres. "
La Boétie, Discours de la servitude volontaire, 1549

" Ne pas subir "
De Lattre de Tassigny

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ASPERGE a écrit:Il me semble que Licorne à zébrure ait disparu...

Oui, il s'est désinscrit il y a 2-3 jours.

Coucou !
Merci Asperge pour le frisson dans le dos que j'ai eu en lisant ton post de Mer 4 Sep 2013 - 20:14    

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Bonjour Asperge.
Tu as une vie en dehors du boulot, et certains patrons veulent nous faire oublier cela, ils voudraient que l'on soit 24h/24 au boulot, histoire de régler leurs problèmes et qu'ils se la coulent douce eux. Quand les soucis professionnels sont trop prenants c'est aussi ce qui arrive car on ressasse ses soucis en dehors du boulot, n'est-ce pas ?

J'aime bien la façon dont tu deviens toi-même.

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C'est la vie qui nous fait des blagues, parfois c'est mieux, malgré tous nos efforts, de ne pas changer.
N'est-ce pas plutôt à tes collègues de changer vis-à-vis de toi ?

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J'ai eu beau croiser les doigts, je vois que ça n'a pas fait grand chose.

Je pense à toi. tu sais où me trouver.

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Garde l'espérance car un jour viendra...

Imagine un mur qui  bouge et qui te pousse dans la direction opposée.
Plus tu lui résistes, et moins tu as de liberté pour bouger, le mur te colle aux basques (salut les Pyrénées) . Ça, c'est notre environnement, la norme,  et même avec l'intuition, la réflexion et tous ces prétendus "supers pouvoirs" il n'y a pas grand chose à faire, sinon subir ce mouvement et phosphorer, avec plus ou moins de réussite.
Imagine maintenant que tu décides, important ce mot, imagine que tu décides de courir, de distancer ce mur. Car même une fuite peut se décider se préparer.
Tu te retrouves alors dans une position ou tu n'es pas obligée. Tu te retrouves certes éloignée de ce qui est la norme, mais tu as alors le choix, les 360°. Tu peux voir venir, et prendre ton élan pour franchir l'obstacle, les obstacles, quand tu veux.
Plus tu as distancé le mur, plus tu disposes de ton libre choix.
C'est ce qui m'est arrivé récemment, j'ai couru, pour m'éloigner du bruit, du fast des anglais. je me suis choisi, sans référence de l'extérieur, ne gardant que les miennes ou celles que je croyais telles. Je n'avais plus d'attente que de finir, tranquillement, faire avec. C'est dire si j'étais dans un renoncement à la normalité.
Libre de mes pensées non polluées par l'obligation, j'ai scanné sans but sur la toile ou dans les livres.
Et paf, vla ty pas que je me prends le tipeh en pleine face, par hasard, mais en est ce vraiment, je redécouvre maintenant qu'il existe une palette de couleurs oubliées.
C'est au moment ou je m'y attendais le moins, abandonné à une logique de moindre insatisfaction, c'est dans cette non attente de plaisir, que je redécouvre le désir d'avoir du désir.


J'espère que ça parlera comme ça crie en moi. je ne veux surtout choquer personne, et si je débloque grave, dites le moi.