Flying on the other side ;)

tu ne pouvais pas mieux choisir comme image......la quête perpetuelle et l'evolution personnelle.....sans oublier le partage du savoir .....

La vie me parait être un voyage initiatique dans lequel je suis simplement invité. J'aurais mauvaise grâce à refuser de le parcourir et par là-même d'essayer d'éviter ce qu'il m'est donné de voir et de comprendre ...

" Ne comparez pas votre vie à celle des autres. Vous n’avez aucune idée de ce qu’est leur voyage. "

Allez, je le mets là aussi !

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• Prenez 30 minutes par jour pour vous déplacer et vous promener. Souriez pendant que vous déplacez, c'est le meilleur antidépresseur naturel disponible (endurance, santé, mise au point ...).
  
• Gardez le silence 10 minutes par jour; pas de téléphone, pas d'ordinateur (ça rafraîchit l'esprit ^^).
  
• Chaque matin, avant de sortir du lit, complétez la déclaration suivante:
  
  
  "Mon but aujourd'hui est de ________________."
  
• Essayez de faire au moins de faire sourire 3 personnes chaque jour. Les sourires sont contagieux.
  
• Ne gaspillez pas votre énergie sur les potins, les questions du passé, les pensées négatives, des choses que vous ne pouvez pas contrôler.
• Concentrez-vous sur ce que vous voulez, rêvez grand!
  
• Prenez le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner en paix avec un ami ou un proche.
  
• La vie n'est pas juste, mais elle est toujours belle. Elle est trop courte pour être en colère, avare et/ou cupide.
  
• Essayez de ne pas vous juger vous-même ! Restez votre meilleur allié, pas votre pire ennemi.
  
• Faites la paix avec votre passé, de sorte qu'il ne gâche pas le présent. C'est fini, demain vient !
  
• Ne comparez pas votre vie à celle des autres, vous n'avez aucune idée de leur voyage est de ce qu'ils ont traversé.
  
• Vous n'avez pas à gagner à chaque fois, le désaccord est permis.
  
• Personne n'est responsable de votre bonheur, sauf vous ! Fermez les yeux et dites-vous que vous en êtes le responsable.
  
• Cadrez une «catastrophe» avec ces mots : «Cinq ans après, sera-ce important?". Ou mieux encore: «Un an après, sera-il important".
  
• Pardonnez à tous pour tout, le refus de pardonner ne blesse que vous.
  
• Partagez avec tout le monde.
  
• Ce que les autres pensent de vous n'est pas de votre ressort, ce que vous pensez de vous est vital !
  
• Que la situation soit bonne ou mauvaise elle va changer. La seule chose sur laquelle nous pouvons parier c'est que le changement va se produire. Suivons-le !
  
• Votre travail ne prendra pas soin de vous lorsque vous serez malade. Vos amis et famille volontiers. Restez en contact soyez social.
  
• L'envie est une perte de temps. Vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.
  
• Chaque soir avant d'aller au lit, notez cela :
  
  
  «Je suis reconnaissant pour _____________."
  «Aujourd'hui, j'ai accompli _____________."

Mon premier est un cérémonial bizarre plein d'incantations destinés au élus.
Mon second est un monsieur qui respire encore derrière sa guitare
mon troisième est une fille pas très honnête.
mon quatrième est un gestionnaire
mon dernier est un insecte imaginaire qui grignote le vêtement qu'on porte tous.
Et mon dernier....?? Il m'a appris un truc bien cool

hmmmm ... je ne vois pas.

Qui est en forme en ce moment Ygor ... l'infini est en nous et s'en approcher lucidement ne va pas sans tensions ... serions-nous en train de nous appliquer la théorie des cordes ?

Mjöllnir, ce soir je crois que j'interpréterais systématiquement tout propos de façon erronée, je suis soumis à une tension psychologique qui trouble ma capacité de raisonnement.

Je te laisse, donc!

Au plaisir

Au plaisir Ygor

Bonne soirée à toi !

Edit : Moi aussi je suis parfois dans ces états. Et cela m'a souvent conduit à interpréter ... L'humanité et ses expériences de vies multiples ...

superbes........

ahaaaaaaaaaaaaaaa

Spoiler:

ca c'est de l'incantation x)
bon je m'arrête la ou je vais plus pouvoir.
Pi hugo il était entrainé par victor.
Donc pardonnez moi.
Tchuss

Bonjour Koroko

Je cherchais tout sauf cette réponse

Pourquoi donc arrêter ?

A bientôt.

J'en viens, pour moi, à me dire que la vraie maitrise de soi en revient à ne rien vouloir maitriser ^^
Laisser le flot couler m'évite d'avoir à faire des gestes qui consomment mon énergie. Ce flot passe ainsi tout seul, de fait moins ralenti par l'obstacle que je pourrais y mettre.
Inattendre donc. Parce que le flot est perpétuel. Une goutte d'eau en remplace toujours une autre ... je n'ai donc pas à m'en préoccuper

objectifs de la journée...

si ces objectifs gênent ta vision du monde, je les enlèvent... il suffit de me le dire

Spoiler:

Salut semama

Tu peux les laisser. C'est bien de connaitre ceux des uns et des autres. Un partage, c'est aussi fait pour ça, n'est-ce pas ?

La dune du Pyla - 1 -


la dune du Pyla - 2-

Le Grand Théâtre à Bordeaux


Et la salle principale

Cité du vin à Bordeaux

Ma future profession

Anciennes connaissances

http://www.youtube.com/watch?v=xAWf3F8_zQk

Hello...

Mon but aujourd'hui; Apporter des rires ,des sourirs de la joie

bien faire mon boulot...

Allez juste, parce que j'ai cette chanson en tête je la post...

Merci Lemniscate

L'Amour est l'ultime but de la vie. Aimer c'est aussi savoir partir parfois, comme dans la deuxième photo que tu as posée. Aller se ressourcer, oublier le désir de contrôle, oublier les différences qui divisent sur l'instant et qui ne sont résorbables que par le temps si l'envie y est.
Aimer, c'est dépasser ses propres contradictions. Aimer, c'est assumer. Aimer c'est aller se regarder dans un autre miroir, voir une image différente du Soi que l'on croyait être.
Aimer c'est se remettre en question (non pas se juger, mais se remettre '"en question" (en introspection)), se demander qu'est-ce qui (ou quoi), dans notre parcours, à pu nous amener à ces automatismes d'approche ou de fuite.

Aimer, c'est savoir se reculer quand il le faut. Pour soi ET pour l'autre. Aimer, c'est savoir se dire tel qu'on est à l'instant. Aimer, c'est savoir se regarder dans sa complexité, sa joie, ses peines.
Aimer c'est attendre, c'est pardonner. C'est fixer ses propres limites. Fixer ses limites en un temps, c'est aussi savoir qu'elles existent et pouvoir ainsi les bouger : Il ne me semble pas possible de faire varier une chose dont je n'aurais pas conscience.

Aimer, c'est parfois souffrir pour deux, en attendant de rire à deux ...
Aimer, c'est parfois offrir son absence pour laisser à l'autre le choix de sa vie (je l'ai bien constaté avec mes enfants qui reviennent maintenant).

Aimer, c'est dépasser nos propres désirs parfois, en les laissant filer. Aimer, c'est un don de ce que l'on croit juste à un moment, ce moment que l'avenir change.
Aimer c'est accepter un départ aussi. Une route qui diverge. Un temps qui s'écoule différemment. Aimer c'est accepter de pouvoir se tromper, de pouvoir errer sur les routes de la vie, d'être un roseau qui plie dans le vent.

Aimer c'est écrire des odes, souvent tristes, à un idéal perdu dans l'absolu mais pas forcément dans le temps.
Aimer, ce n'est pas un refuge, c'est une construction. C'est un but, le seul qui vaille.

Aimer, ce n'est pas contrôler, c'est donner ce que l'on est au moment où l'on est. Et ce moment peut changer de substance, car tout évolue.
Aimer n'est pas un plaidoyer. Ce n'est pas porter l'autre, c'est construire en commun une chose qui dépasse les deux. Ce n'est pas un choix égoïste, une valorisation de son propre être. C'est vibrer à une chose qui dépasse tellement que l'on accepte d'en être immensément bouleversé.

Aimer, c'est la vie dans la totale splendeur de son inconnaissance ... Aimer, c'est aussi croire que l'on peut être cru ...

Ouah eh bien il n'a pas peur ce parrot !
J'y vois une métaphore d'un zèbre qui montre son affection à un non-zèbre... Tout est dans le laisser-aller du zèbre franc et affectueux, tout en VOYANT à quel animal il se frotte, et conscient que ce moment ne durera pas... "Mais il s'en fout, il s'éclate quand même" (en musique !)

Bonjour Ise

Je suis enchanté de ta visite ici.

L'un et l'autre donnent avec leurs différences. Je crois que les animaux finissent par se faire plus confiance que les hommes entre eux ...
L'instinct est moins gommé chez eux que chez nous sans doute, et même si cet instant ne dure pas, sans doute se reproduira-t-il (au moins concernant cette photo et ces deux animaux). Je crois qu'ils ont moins de désir de maîtrise et plus le gout de l'instant présent, équilibré entre leurs besoins respectifs ...

J'aime ton texte sur "aimer" Mjö

... ce sont les animaux qui m'en ont appris les nuances,
les humains les colorent,
jamais n'ôtent l'essentiel,


...

Oui Mag ... oui ... vibrer et vibrer encore, parce qu'aimer c'est s'offrir à nu ...

http://www.youtube.com/watch?v=3xyhrbtlR3w

Je reviens sur ce chat et ce perroquet
Je me rends compte que j'ai mis le zèbre sur le perroquet. Et si c'était l'inverse ? Je me fais violence et essaie de voir en ce prédateur égoïste (!) l'être multi-sensoriel et aux capacités physiques inégalées qui a besoin de temps en temps de trouver de l'amour de la tendresse. Et ce perroquet qui se croit doux malgré ses plumes, beau de par ses couleurs vives, supérieur car volant, content de "donner" un peu de son temps à ce pauvre minet...
Quoi qu'il en soit cet instant miraculeux provient d'un désir des deux... (ou du photographe truqueur coquin), et illustre ton propos ci-dessus sur l'amour, un bon bol d'air sain et énergisant...

Je te "vois" depuis longtemps et admire tes interventions. Ca me fait plaisir de me rapprocher de toi mais je te préviens : je suis bloquée, donc totalement inintéressante, incapable "à aujourd'hui" comme disent les gens d'ici, de me lancer dans de longues tirades philosopiques ou sociétales... Je t'envoie juste mes meilleures pensées

Et aussi à Mag, coucou

Pourquoi inintéressante Ise ?

Je l'ai cru pour moi, très longtemps. Et même maintenant encore parfois, souvent même ...

Se dépasser est un déchirement. Pour moi en tout cas. Un vrai, une torture (je n'affabule pas). J'ai été moulé, contraint, alors que je ne savais encore comprendre d'où venaient ces forces d'obstruction. Il n'y a que moi qui puisse casser cette coquille et cela me demande d'immenses efforts.

Je me mets sciemment en position de faiblesse, surtout envers moi. En déséquilibre. Je me pousse ainsi à avancer. Parce que j'aspire à être, à franchir ces cols qui m'ont été fermés sans même que je le sache.

Je m'arrache à moi-même. A ce que je fus.

J'échange avec ce que je suis, comme tu peux sans aucun doute échanger avec ce que tu es Ise. S'apporter nos différences nécessite que l'un et l'autre se penche sur ce qu'il ne connait pas. Je ne veux pas juger le contenant. Plus jamais. Simplement cet acte d'apport, d'intérêt croisé, de "don" quelque part. Ce contenu qui forge l'être est à regarder comme véritable et issu d'un autre chemin, chemin que je m'applique à imaginer sans projeter désormais.

Je sais que mon parcours est solitaire dans l'esprit, mais qu'il peut en être différemment dans le temps et dans le vécu; ainsi décrirai-je ma complétude.

Tu es la bienvenue. Quand tu veux

Mes meilleures pensées aussi, Ise.

Les écrits par la main sont souvent noirs alors que le cœur saigne en rouge renarde20 ...

"Se dépasser est un déchirement. Pour moi en tout cas. Un vrai, une torture (je n'affabule pas). J'ai été moulé, contraint, alors que je ne savais encore comprendre d'où venaient ces forces d'obstruction. Il n'y a que moi qui puisse casser cette coquille et cela me demande d'immenses efforts.

Je me mets sciemment en position de faiblesse, surtout envers moi. En déséquilibre. Je me pousse ainsi à avancer. Parce que j'aspire à être, à franchir ces cols qui m'ont été fermés sans même que je le sache.

Je m'arrache à moi-même. A ce que je fus."

C'est tout à fait ça... C'est dur hein ? "ces forces d'obstruction"
En ce moment je sens mon ventre se serrer quand je lis avec quelle facilité vous arrivez à disserter sur tous les sujets... Et je ferme vite les posts. Je ne me sens pas capable, je ne m'intéresse pas. En ce moment. "Il n'y a que moi qui puisse casser cette coquille"... Quand est-ce que je vais me décider ?

Je parlais hier soir avec mon mari d'un ami disparu trop tôt. Il était bizarre, et doué en tout. Un vrai zèbre quoi. ?on testé mais ses trois enfants sont surdoués. A l'époque je ne savais pas pour moi. ENORME différence entre nous deux : lui s'était battu vers l'extérieur, il se lançait dans tout hautbois aviation vélocouché navigation agrégation de lettres informatique, et tout à haut niveau. Moi je me suis battue intérieurement pour couper tout ce qui pouvait dépasser. Je pense qu'il y a ainsi de multiples réactions à la zébritude quand on est tout seul dans son coin. Que j'en ai choisi une et qu'il ne me faut pas culpabiliser, ce fut une lutte aussi. Mais c'est le résultat qui me désole. Enfin, toussa, ça m'aide de l'écrire alors tu en fais les frais ce matin ! Merci pour ton écoute, ton accueil
A bientôt

Le beau soigne et apaise. Quand les mots et les maux bloquent, l'art permet d'aller mieux, de faire une pause ...

Jolie découverte de ce matin :
https://www.facebook.com/Dominique.Fortin.artiste.peintre

Mon ventre se serre aussi devant des beautés affichées ici. Devant des cris de peur. Devant des cris d'espoir. Devant la colère, devant la joie, devant les masques qui cachent un doute dont les variables échappent ...

Cette facilité dont tu parles, je la vois chez les autres et pas en moi. Je suis inondé par la vue et la connaissance qui s'en dégagent. Je relativise alors, me dit que je ne suis qu'un parmi tant des pinceaux qui peignent le monde. Quelle que soit ma "touche", même imperceptible, je suis là pour qu'elle soit aussi là, sans l'avoir aucunement décidé.

Je me battais à l'intérieur. Ignorait mes besoins. J'ai compris désormais (ou bien suis-je sur la voie de le comprendre. Et je m'intéresse de nouveau aux éclats du monde (ce que j'ai trop laissé en sommeil, anesthésié que je fus par la solitude et l'abandon), comme le fit ton ami trop tôt disparu.

je ne me considère donc pas faire les frais de quoi que ce soit, Ise. Et je dirais même plus. je suis heureux que tu trouves un espace pour te dire !

Bien à toi

@ renarde20

L'art est un cri. Un de plus. Je me dit que seuls ceux qui vont au bout de leur souffrance et/ou de leurs rêves peuvent accrocher au travers de l'art ...

Un cri parfois, un partage aussi.

Média merveilleux des émotions à l'état brut, sans avoir à passer par les mots et leurs déformations.

Joie immense depuis quelque temps de me reconnecter à mes propres émotions par l'art. Celui des autres pour le moment, mes propres productions très bientôt je l'espère.

Certainement renarde20. Ce qui donne de plus pleine liberté au ressenti de l'autre.

J'espère aussi reprendre le chemin de ma création, de ma liberté de ressentir ...

L'amour est comme un couteau (François Brooks)

N'est-ce pas étrange que tu te blesses avec ton propre amant ? Ne pense-tu pas que tu pourrais faire autre chose avec?

Comment se fait-il que je ne me blesse pas avec le mien ? Peut-être parce que je ne cherche qu'à l'aimer et à faire des choses gentilles pour le lui montrer, sans rien demander en retour.

L'amour est comme un couteau. Si tu ne sais pas comment t'en servir, tu peux te blesser avec.

Mais comment devons-nous utiliser l'amour pour ne pas nous blesser ? Exactement comme un couteau : Tu dois le pointer vers les autres.

Coucou... Ise

Ne t'en fais pas... tu n'es pas la seule, j'ai également du mal à disserter et developper ce que j'ai dans la tête et me dis depuis toujours que je ne vole pas haut... même si j'arrive à suivre toutes les conversations, je me dis souvent que je suis inculte.... et admire ceux qui ont toutes ces facilités...



@ Mjo....

Ce n'est pas porter l'autre, c'est construire en commun une chose qui dépasse les deux.

je suis entièrement d'accord, l'amour est un partage que l'on devoloppe qui nous sert à gravir les échelons de la vie en compagnie, où chacun épaule l'autre et le fait grandir, sans gommer son identité ni la nôtre... c'est aussi mettre de l'eau dans son vin pour que le "mélange" des 2 êtres ne tourne pas au vinaigre....

Égotisme, altruisme et détachement (François Brooks)

L'égotisme mène aux mêmes pièges que l'altruisme et il est bien difficile de trouver l'équilibre.

S'aimer soi-même est un point de départ nécessaire pour se sentir bien dans sa peau. Cultiver l'amour propre, c'est bien mais comment faire pour obtenir celui des autres qui nous fait tant défaut ?

Je n'ai plus à vanter l'amour du prochain. Alors, cultiver sa générosité, c'est bien aussi mais comment faire pour qu'on l'apprécie alors qu'elle peut être interprétée comme un moyen détourné de gagner de l'affection ou comme une vile manipulation. Pas facile à démêler...

Les Bouddhistes recommandent le détachement, les Chrétiens l'amour du prochain, Gervaise l'amour de soi. Chacun dans sa niche possède une parcelle de vérité. Comment l'appliquer dans la recherche de notre propre bonheur ? Comment trouver le bon moyen de discerner?

Peut-être la prière a-t-elle quelque utilité. Mais qui prier si Dieu n'existe pas de façon personnelle ? Se prier soi-même, prier les autres, prier un dieu inventé à cet usage ?