De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
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De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
Alors voilà, je suis en plein dans la loi d'attraction, et comme je vais super bien , que je souris etc , et bien j'attire pas mal de gens vers moi. Mais qu'en faire ?
Avec « les vieux », j'arrive à avoir des conversations enrichissantes, et j'aime échanger, c'est plutot une activité intéressante.
En revanche, avec les jeunes de mon âge, ça se corse.
D'une part, je n'éprouve pas le besoin de construire une relation avec eux.
J'ai rencontré des gars sympas qui me proposaient de se boire une bière et de sympathiser, et j'ai rencontré des filles plutot canon qui me tournent encore autour.
D'habitude, quand les gens m'intéressent, je prends du plaisir à passer du temps avec, à tisser des liens.
Mais la plupart des gens que je rencontre en ce moment, bah non. Ils sont cool, ils ont un tas de qualité et de valeurs proches des miennes , ils ont le coeur sur la main, et des centres d'intérêts qui se rapproche vaguement des miens (en principe c'est pas un critère de sélection pour moi , je précise ... ) . La première fois qu'on se voit, on passe un moment ensemble , c'est sympa, puis vient la question "si ça te dis on se revoit à l'occaz" , accompagné d'une "t'as pas un zero six ?" .
Alors à la limite, ça me dérange pas, sauf que je ne vois pas la finalité. Je ne vois pas ce qu'on pourrait bien se dire par tél / sms, et je ne vois pas non plus l'utilité de se rencontrer à nouveau. Et ça va plus loin que ça : ça me fait chier, en fait
Il ne s'agit pas de la peur de sociabiliser, mais bien du fait que je n'en vois pas l'intérêt .
Par exemple, j'étais concerné par :
-mauvaise estime de soi / relation a soi
-rejet des autres
-peur de créer des liens (parce que je portais un masque et que je ne voyais pas comment m'en sortir après pour l'enlever... )
-dépendance affective
J'ai réussi à travailler chacun de ces points et à les terrasser. Peut être qu'il reste encore du boulot, puisque je n'arrive pas à trouver de l'intérêt pour les gens que je rencontre.
Maintenant, je sais qui je suis, je sais comment je fonctionne, et je n'ai plus peur. J'ai confiance en moi et je n'ai pas peur de moi, je n'ai pas peur des autres. Je n'éprouve pas le besoin d'être compris par les autres, parce que je me comprends moi même et ça ne me demande pas trop d'effort pour me mettre au niveau des autres. Sans porter de masque. Juste que j'aime bien philosopher sur le sens de la vie et que c'est souvent incompris par les autres. Mais la bienveillance et le respect sont toujours là, d'un côté comme de l'autre.
J'ai vu le film « Yes Man », où Jim Carrey dit « oui » à la vie, en espérant découvrir de nouvelles possibilités. Alors, par curiosité, j'imite Jim Carrey et je rencontre des gens, même si j'en ai pas envie, pour me sortir de ma zone de confort et pour essayer de ne pas passer à côté d'une potentielle amitié ou d'une potentielle petite amie. Alors je sais remettre les choses dans leur contexte, et effectivement, quand on est seul(e) et qu'on arrive dans une nouvelle ville, c'est vrai qu'on a tendance à accorder de l'importance aux nouveaux contacts qu'on se fait sur place , et ça ne me dérange pas de tendre la main à des personnes qui se sentent seules et qui réclament un peu de mon attention. Mais je n'intellectualise pas la relation comme avant, j'essaye de la vivre , et je peux prendre du plaisir à échanger avec des personnes qui n'ont aucun point commun avec moi. Au delà des points communs, il y a le feeling, la connexion !
Ça vous arrive souvent ?
Y a -t-il des sujets sur le forum ou des livres que je devrais lire ?:cat :
Avec « les vieux », j'arrive à avoir des conversations enrichissantes, et j'aime échanger, c'est plutot une activité intéressante.
En revanche, avec les jeunes de mon âge, ça se corse.
D'une part, je n'éprouve pas le besoin de construire une relation avec eux.
J'ai rencontré des gars sympas qui me proposaient de se boire une bière et de sympathiser, et j'ai rencontré des filles plutot canon qui me tournent encore autour.
D'habitude, quand les gens m'intéressent, je prends du plaisir à passer du temps avec, à tisser des liens.
Mais la plupart des gens que je rencontre en ce moment, bah non. Ils sont cool, ils ont un tas de qualité et de valeurs proches des miennes , ils ont le coeur sur la main, et des centres d'intérêts qui se rapproche vaguement des miens (en principe c'est pas un critère de sélection pour moi , je précise ... ) . La première fois qu'on se voit, on passe un moment ensemble , c'est sympa, puis vient la question "si ça te dis on se revoit à l'occaz" , accompagné d'une "t'as pas un zero six ?" .
Alors à la limite, ça me dérange pas, sauf que je ne vois pas la finalité. Je ne vois pas ce qu'on pourrait bien se dire par tél / sms, et je ne vois pas non plus l'utilité de se rencontrer à nouveau. Et ça va plus loin que ça : ça me fait chier, en fait
Il ne s'agit pas de la peur de sociabiliser, mais bien du fait que je n'en vois pas l'intérêt .
Par exemple, j'étais concerné par :
-mauvaise estime de soi / relation a soi
-rejet des autres
-peur de créer des liens (parce que je portais un masque et que je ne voyais pas comment m'en sortir après pour l'enlever... )
-dépendance affective
J'ai réussi à travailler chacun de ces points et à les terrasser. Peut être qu'il reste encore du boulot, puisque je n'arrive pas à trouver de l'intérêt pour les gens que je rencontre.
Maintenant, je sais qui je suis, je sais comment je fonctionne, et je n'ai plus peur. J'ai confiance en moi et je n'ai pas peur de moi, je n'ai pas peur des autres. Je n'éprouve pas le besoin d'être compris par les autres, parce que je me comprends moi même et ça ne me demande pas trop d'effort pour me mettre au niveau des autres. Sans porter de masque. Juste que j'aime bien philosopher sur le sens de la vie et que c'est souvent incompris par les autres. Mais la bienveillance et le respect sont toujours là, d'un côté comme de l'autre.
J'ai vu le film « Yes Man », où Jim Carrey dit « oui » à la vie, en espérant découvrir de nouvelles possibilités. Alors, par curiosité, j'imite Jim Carrey et je rencontre des gens, même si j'en ai pas envie, pour me sortir de ma zone de confort et pour essayer de ne pas passer à côté d'une potentielle amitié ou d'une potentielle petite amie. Alors je sais remettre les choses dans leur contexte, et effectivement, quand on est seul(e) et qu'on arrive dans une nouvelle ville, c'est vrai qu'on a tendance à accorder de l'importance aux nouveaux contacts qu'on se fait sur place , et ça ne me dérange pas de tendre la main à des personnes qui se sentent seules et qui réclament un peu de mon attention. Mais je n'intellectualise pas la relation comme avant, j'essaye de la vivre , et je peux prendre du plaisir à échanger avec des personnes qui n'ont aucun point commun avec moi. Au delà des points communs, il y a le feeling, la connexion !
Ça vous arrive souvent ?
Y a -t-il des sujets sur le forum ou des livres que je devrais lire ?:cat :
Dernière édition par -Benoit- le Ven 13 Déc 2019 - 2:40, édité 1 fois (Raison : coquilles à corriger)
-Benoit-- Messages : 971
Date d'inscription : 30/10/2016
Age : 31
Localisation : Je travaille à cahors (46), mais je suis aussi là : 24, 31, 34, 84, 87, bref, toute la moitié sud du pays !
Re: De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
C'est peut-être un peu tôt pour tirer cette conclusion?
Tu as entamé ta transformation il y a peu de temps, et on dirait que ça va dans le bon sens.
Les chasseurs d'épaves font de nombreuses expéditions infructueuses (et coûteuses) avant de tomber sur un trésor !
Non pas que les autres personnes que tu rencontres ne sont pas des trésors (ils le sont aussi), attention...
Avec le temps tu découvriras peut-être le trésor que se cache dans chaque rencontre. Il ne faut pas s'attendre à des feux d'artifices non plus ça sera plus subtile que ça.
Bonne journée à toi
Tu as entamé ta transformation il y a peu de temps, et on dirait que ça va dans le bon sens.
Les chasseurs d'épaves font de nombreuses expéditions infructueuses (et coûteuses) avant de tomber sur un trésor !
Non pas que les autres personnes que tu rencontres ne sont pas des trésors (ils le sont aussi), attention...
Avec le temps tu découvriras peut-être le trésor que se cache dans chaque rencontre. Il ne faut pas s'attendre à des feux d'artifices non plus ça sera plus subtile que ça.
Bonne journée à toi
Nor- Messages : 23
Date d'inscription : 11/02/2017
Re: De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
si je comprends avec les "vieux" ce qui est interessant c'est qu'ils partagent du "neuf" avec toi (ie ils ont un plus long parcours et tu peux trouver des éléments dans l'échange qui te seront utiles pour apprendre de leurs erreurs/succès) alors que les jeunes en sont au même point que toi, donc pas d'intérêt ?
J'ai déjà eu ce sentiment du "ok mais maintenant ? on est d'accord et alors ? " qui finalement m'a conduit à limiter beaucoup trop mon cercle d'amitiés. Sachant qu'il est important d'avoir un cercle amical et que rester dans ma "non-appartenance" à aucun groupe ne me satisfait pas, j'ai résolu la question en trouvant des activités à faire en commun : balade, tricot, ... On discute, ET on fait quelque chose en même temps. Cela me convient mieux. Et comme on va ainsi les unes chez les autres, je découvre les autres dans leurs milieux et d'autres facettes d'elles, d'autant que les autres personnes présentes ont plus de facilité de communication standardisée que moi et donc j'écoute les conversations
Ce n'est pas encore mon idéal, mais celui-ci est plutôt flou pour l'instant de ce côté
Bref, sinon côté théorie cela me rappelle les portes d'entrée de la communication en analyse transactionnelle : peut-être n'êtes-vous pas (assez) dans le registre qui te convient quand tu es avec des personnes de ton âge ?
J'ai déjà eu ce sentiment du "ok mais maintenant ? on est d'accord et alors ? " qui finalement m'a conduit à limiter beaucoup trop mon cercle d'amitiés. Sachant qu'il est important d'avoir un cercle amical et que rester dans ma "non-appartenance" à aucun groupe ne me satisfait pas, j'ai résolu la question en trouvant des activités à faire en commun : balade, tricot, ... On discute, ET on fait quelque chose en même temps. Cela me convient mieux. Et comme on va ainsi les unes chez les autres, je découvre les autres dans leurs milieux et d'autres facettes d'elles, d'autant que les autres personnes présentes ont plus de facilité de communication standardisée que moi et donc j'écoute les conversations
Ce n'est pas encore mon idéal, mais celui-ci est plutôt flou pour l'instant de ce côté
Bref, sinon côté théorie cela me rappelle les portes d'entrée de la communication en analyse transactionnelle : peut-être n'êtes-vous pas (assez) dans le registre qui te convient quand tu es avec des personnes de ton âge ?
Weigela- Messages : 1011
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Déc 2017 - 23:44, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
Vous êtes dans le mille tous les deux !
J'aime partager avec des gens qui en savent plus que moi, ou avec des gens qui en savent moins, mais qui ont envie d'échanger.
Après, au delà de l'échange, au delà de nos points communs, j'aime la connexion qui se créé.
Par exemple, ça m'arrive d'être ami avec des personnes qui n'ont aucun point commun avec moi, si ce n'est que le courant passe, sans autre explication.
Je suis toujours curieux de rencontrer des nouvelles personnes, j'aime l'humain et j'aime la nouveauté.
En revanche, même si je saisis en quoi je peux "plaire" aux autres, je ne saisis pas quelles sont leurs attentes.
Sociabiliser ne m'apporte rien.
Avant, j'avais une dépendance affective sur le dos, et j'aimais sociabiliser pour sauver les meubles.
Maintenant que je n'ai plus du tout de besoin, je n'ai que des envies.
Je me demande si les autres ont besoin ou envie de me voir, puisque moi, bah je ne vois pas bien l'intérêt.
ça se rapproche vachement du cas typique, où j'étais capable de "porter un masque" pour m'adapter à la personne, et que celle ci tombe amoureuse de ce masque, mais pas de moi même.
C'est valable pour les relations sociales les plus futiles, comme pour les relations amoureuses.
Donc non, je ne trouve pas les personnes fades ou inutiles, j'éprouve simplement un décalage entre leurs attentes et les miennes.
L'autre jour, en covoiturage, je discutais avec une fille, de tout et de rien (principe du covoit, en même temps ... )
quand chacun arriva a destination, elle me demanda mon numéro pour qu'on se revoit.
A cet instant précis, je me suis dit "ok, mais pourquoi faire ? On va parler de quoi ? Et si on se revoit, on va faire quoi ? "
J'ai trop d'amour pour les autres pour assumer de les trouver inutiles et fades, mais je ne sais pas si c'est un jugement que je porte , ni si ce jugement est fondé.
En apprenant à me connaitre, j'ai remarqué tardivement que beaucoup de gens autour de moi avaient une façon d'aborder la vie , proche de la mienne. Et je sais que je ne peux pas juger une personne , tant que je ne la connais pas vraiment.
Parfois je me dis que les gens peuvent cacher leur jeu, dans un sens comme dans l'autre.
C'est la raison pour laquelle j'accorde le bénéfice du doute aux gens : si ça se trouve, ils sont pas aussi cons que je l'imagine
La curiosité me ronge, et je vais essayer de répondre à cette question en sociabilisant avec elle. Ceci dit, ce n'est ni la première ni la dernière, et j'ai toujours pas compris ce que j'étais sensé faire
J'ai pas assez de points communs ni de "connexion" pour être ami avec ces personnes, et vu que je ne suis pas un minimum amoureux, il ne se passera rien. C'est l'histoire de ma vie
Si j'ai une peur quelconque, elle est probablement niée ou inconsciente. Sinon j'aurais mis le doigt dessus
Je sais protéger mon monde intérieur, et je n'ai pas peur du jugement des autres. Donc logiquement, je n'ai pas peur de laisser les autres rentrer dans ma vie. A vérifier
J'aime partager avec des gens qui en savent plus que moi, ou avec des gens qui en savent moins, mais qui ont envie d'échanger.
Après, au delà de l'échange, au delà de nos points communs, j'aime la connexion qui se créé.
Par exemple, ça m'arrive d'être ami avec des personnes qui n'ont aucun point commun avec moi, si ce n'est que le courant passe, sans autre explication.
Je suis toujours curieux de rencontrer des nouvelles personnes, j'aime l'humain et j'aime la nouveauté.
En revanche, même si je saisis en quoi je peux "plaire" aux autres, je ne saisis pas quelles sont leurs attentes.
Sociabiliser ne m'apporte rien.
Avant, j'avais une dépendance affective sur le dos, et j'aimais sociabiliser pour sauver les meubles.
Maintenant que je n'ai plus du tout de besoin, je n'ai que des envies.
Je me demande si les autres ont besoin ou envie de me voir, puisque moi, bah je ne vois pas bien l'intérêt.
ça se rapproche vachement du cas typique, où j'étais capable de "porter un masque" pour m'adapter à la personne, et que celle ci tombe amoureuse de ce masque, mais pas de moi même.
C'est valable pour les relations sociales les plus futiles, comme pour les relations amoureuses.
Donc non, je ne trouve pas les personnes fades ou inutiles, j'éprouve simplement un décalage entre leurs attentes et les miennes.
L'autre jour, en covoiturage, je discutais avec une fille, de tout et de rien (principe du covoit, en même temps ... )
quand chacun arriva a destination, elle me demanda mon numéro pour qu'on se revoit.
A cet instant précis, je me suis dit "ok, mais pourquoi faire ? On va parler de quoi ? Et si on se revoit, on va faire quoi ? "
J'ai trop d'amour pour les autres pour assumer de les trouver inutiles et fades, mais je ne sais pas si c'est un jugement que je porte , ni si ce jugement est fondé.
En apprenant à me connaitre, j'ai remarqué tardivement que beaucoup de gens autour de moi avaient une façon d'aborder la vie , proche de la mienne. Et je sais que je ne peux pas juger une personne , tant que je ne la connais pas vraiment.
Parfois je me dis que les gens peuvent cacher leur jeu, dans un sens comme dans l'autre.
C'est la raison pour laquelle j'accorde le bénéfice du doute aux gens : si ça se trouve, ils sont pas aussi cons que je l'imagine
La curiosité me ronge, et je vais essayer de répondre à cette question en sociabilisant avec elle. Ceci dit, ce n'est ni la première ni la dernière, et j'ai toujours pas compris ce que j'étais sensé faire
J'ai pas assez de points communs ni de "connexion" pour être ami avec ces personnes, et vu que je ne suis pas un minimum amoureux, il ne se passera rien. C'est l'histoire de ma vie
Si j'ai une peur quelconque, elle est probablement niée ou inconsciente. Sinon j'aurais mis le doigt dessus
Je sais protéger mon monde intérieur, et je n'ai pas peur du jugement des autres. Donc logiquement, je n'ai pas peur de laisser les autres rentrer dans ma vie. A vérifier
-Benoit-- Messages : 971
Date d'inscription : 30/10/2016
Age : 31
Localisation : Je travaille à cahors (46), mais je suis aussi là : 24, 31, 34, 84, 87, bref, toute la moitié sud du pays !
Re: De l'inutilité de rencontrer des gens ... Les gens s'intéressent à moi, mais ce n'est pas réciproque ?
Tu es peut-être dans le creux de la vague après avoir eu une dépendance affective.
Le détachement t'amène la sympathie des gens mais aussi le manque d'envie.
C'est du grand classique de la mécanique humaine.
S'il y a un point à changer, je dirais que c'est juste d'arrêter de penser à l'intérêt que pourrait avoir une relation, mais juste de penser si tu es bien avec cette personne, si son contact te plaît.
Tu as forcément des activités que tu aimes et que tu ne peux faire qu'à plusieurs (sports, jeux, etc...).
La voilà l'utilité d'avoir des connaissances ^^
Sinon, peut-être que des lectures sur la théorie de l'attachement pourrait t'aider à mieux comprendre tes mécaniques par son impact sur l'affiliatif.
En tout cas, bien joué pour cette évolution dans ton développement personnel.
La vie te sourit, accueille-la.
Les relations équilibrées sont rares, il y a toujours un donneur et un preneur.
Le détachement t'amène la sympathie des gens mais aussi le manque d'envie.
C'est du grand classique de la mécanique humaine.
S'il y a un point à changer, je dirais que c'est juste d'arrêter de penser à l'intérêt que pourrait avoir une relation, mais juste de penser si tu es bien avec cette personne, si son contact te plaît.
Tu as forcément des activités que tu aimes et que tu ne peux faire qu'à plusieurs (sports, jeux, etc...).
La voilà l'utilité d'avoir des connaissances ^^
Sinon, peut-être que des lectures sur la théorie de l'attachement pourrait t'aider à mieux comprendre tes mécaniques par son impact sur l'affiliatif.
En tout cas, bien joué pour cette évolution dans ton développement personnel.
La vie te sourit, accueille-la.
Les relations équilibrées sont rares, il y a toujours un donneur et un preneur.
Sarella- Messages : 256
Date d'inscription : 02/06/2016
Age : 35
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