46 winters Yangue star planete Mars

This song (bliss trip) is surprising madam,
like you.
I don't need some drugs to go far away...

proposition d'harmonisation des chakras sur respiration Brahmari: voir:
https://www.zebrascrossing.net/t35062-pratiquez-vous-le-tantra#1426606
Namaste

J'irai voir,
il me suffit cependant d'une seule inspiration pour exprimer l'énergie...et même je n'en ai plus besoin.
Je crois qu'ils aiment bien (les chakras) quand je laisse circuler l'énergie, alors oui ils se disposent alors dans la même dimension ou peut-être réunissent tout en un seul point.
C'est alors que les limites disparaissent et que la séparation n'a plus de sens...

ah? tu m'expliqueras si c'est transférable? si tu peux me faire un tuto, je veux bien tester.
main sur le coeur x 2 sur inspir d'autant plus alors.

check the video

play before starting to read.



Aujourd'hui j'ai reçu un mail de la boite sur laquelle j'ai acheté mon T shirt Stupeflip. Il va pas. On voit pas le motif,il est trop petit, le gris est pas beau.
Ils me l'offrent et me le remplacent par celui que je vais comme beaucoup de mes vêtements, faire retailler.
Rapide, com sympas. Je l'ai comme vous dites ici, plussé au carré, en terminant par:
                     Be proud of what you are!

Voilà, ce sera ma prochaine action politico spirituello gonzo.
Couvrir les démarcheurs téléphoniques, SAV sur internet et autre de message nourrissants.
Toi, qui lisencemomentmême, je t'envoie énergie douce et amour.

Hello,

Je n'ai pas l'habitude de régulières connexions sur le forum mais les pubs des années 70, tv proustienne assurée. Un vrai siècle nous sépare, la place de la femme contraste avec l'onamisme Perrier.
Mais alors le clip "easy rider" m'a donné l'envie de road trip et de bécane ou l'inverse.
Merci

ah ouais, road trip...
J'ai fait beaucoup de stop, avec beaucoup de plaisir. En tout peut-être 7 ou 8 ans.Jamais rien vécu de glauque.
Un papi m'a un jour mis la main sur la cuisse. J'ai été dans des poids lourds avec couchette au dessus. Gloups. Et non. Que du chouette.
Des rencontre souvent magiques, lors desquels la langue du conducteur se délie sans crainte. Vous ne savez absolument rien de lui, ni lui sur vous. Vous êtes une bulle de savon dans sa vie, un moment fugace et clos: l'espace de la parole terrée.
" vous voyez/ tu vois, ça, par exemple, je n'en avais jamais parlé à personne".
" Parce que vous savez que d'ici quelques minutes, je quitte votre vie pour toujours"
"Peut-être"
sortir, merci le regard franc, tirer le sac à dos, torsion pour claquer la porte, la voiture qui s'éloigne. Le bruit du moteur qui se fait lentement absorber par la densité de l'air. Silence.
Reposer le sac, regarder. Ecouter. Sentir.

"Nous étions jeunes et larges d'épaule
bandits joyeux, insolents et drôles
on attendait que la mort nous frôle"


Je me souviens de cette petite route menant à Locmaria, sur Belle ile.Je voulais absolument y aller avant mon retour le lendemain; le village ayant la réputation d'avoir hébergé des sorcières, ou d'en avoir encore. J'avais très envie de m'offrir à l'expérience, sans savor su tout où je mettais les pieds.
J'étais en pleine campagne, seule comme toujours, le soleil se couchait, et je devais ensuite refaire du stop pour rentrer à l'auberge de jeunesse, à plusieurs kilomètres sur une route déserte, de nuit.
Bon plan.
J'ai stressé, puis cette chanson m'est venue en tête, douce, aventureuse et libre.
Le soleil était orange et les déchirées d'ouate encaissaient bien sur leurs versants, des radiances de braise. C'était beau. Je sentais l'air marin qui se rafraichissait, voyais les herbes folles des bas côtés, caressés par cette lumière magique entre chien et loup.
C'était magique.
J'ai mis mon sac à dos et ai recommencé à marcher, en tendant le pouce.

On the road again, again...

te mets pas de stress G.
Je n'ai pas peur des gens.Je les trouve passionants, même dans leurs travers.
Je n'ai pas de prétentions. Me sentir zébrette il y a un an, ça a été une révolution intérieure.J'ai eu la chance que ça se passe pendant les vacances de février, ou presque. J'ai passé 2 semaines enfermée avec le cerveau qui explosait 48 heures/ 24.
Ca m'a ouvert les ailes, encore plus. J'ai commencé à m'accepter et à me respecter, le yoga m' apprend depuis des années la noblesse mais ausssi la solitude de la guerrière. De la quête radicale d'identité.

J'ai été rien. Jusqu'à être une machine à vivre qui n'y arrivait plus.
Je suis morte quelques fois. La mort, c'est l'ouverture à un autre cycle. On le vit dans celui ci. L'après, je sens que c'est pareil. Je veux apprendre à mourir. Aussi, je veux honorer chacun d'entre eux. Je suis en phase de puissance. Je ne désire écraser personne. Je veux exploiter jusqu'aux limites les cadeaux de cette vie. Jusqu'à aller trop loin parfois. Tant pis. Je l'ai vécu. Explorer, jusqu'aux recoins de l'existence.
Lève la tête, et regarde le monde avec le menton un peu plus haut que droit.
Maintiens. Tu sentiras ton regard sur toi et sur le monde différemment. Tu ne le subiras plus. IL sera une source de nourriture de ton positionnement au monde.
Un exercice simple à intégrer, parcequ'en plus, il se diffuse.
A chaque fois que je sens que j'ai relâché mon dos, je remonte la poitrine et me tiens la tête droite.
Effet garanti.

Tiens, training: se faire plaquer par texto quand ça décolle bien.
J'ai un bon exemple de surtexte dans ce cas: si la personne qui grandit dans votre coeur commence à s'adresser à vous en mirroir, reprenant votre syntaxe, parfois des bouts entiers qui disent oui, à tout. Ben partez.
Heureusement " je suis rare, il l'a su tout de suite".

Les mecs en général, je les trouve trash dans leur relationnel. Complètement planqués, discours vide, amitié, amour, désir.C'est peut être pour ça que les hommes ont les couilles dehors et les femmes dedans: nous, on a pas besoin de les exhiber.
On les a.

Et Cyrano: la tête haute, et le doigt bien droit.
Mes hommages, Sakura ( pas ici).

Ah madame oui il y a un tas de mecs qui ne sont pas des mecs,
Des deux principes habitants leurs corps ils font si mauvais usages...
J'aime bien quand les femmes se tiennent droites et fortes, exprimant à leurs justes mesures le masculin et le féminin.
J'aime autant les hommes qui le peuvent.
L'amour se donne, s'accepte, se partage, sa dernière forme peut grandir, amener très loin les deux êtres...mais ils auront dû avant expérimenter les deux autres formes et les avoir comprises...aimer ces deux formes pour ce qu'elles sont.
Une partie de l'ensemble.
Si la tête reste haute, le cœur à besoin d'être entier.
Humilité, simplicité, aussi force, tolérance, acceptation de ce qui est.
Amour de créer ce qui n'est pas encore à l'extérieur mais qui existe déjà à l'intérieur.
De parcourir cette onde de vie, j'ai su pourquoi j'étais un homme, les comment devenant des évidences se présentant là avec sagesse.
Espiègle sautant dans la flaque qui éclabousse, ne se désole pas de son pantalon mouillé et rit de la multitude de gouttes reflétant et diffractant cette réalité.

Allez je m'en vais trouver des flaques.

barouf d'honneur
tu sais pas ce que tu perds, Sakura.
here's to your memory

Sâdhanâ a écrit:ah ouais, road trip...
J'ai fait beaucoup de stop, avec beaucoup de plaisir. En tout peut-être 7 ou 8 ans.Jamais rien vécu de glauque.
Un papi m'a un jour mis la main sur la cuisse. J'ai été dans des poids lourds avec couchette au dessus. Gloups. Et non. Que du chouette.
Des rencontre souvent magiques, lors desquels la langue du conducteur se délie sans crainte. Vous ne savez absolument rien de lui, ni lui sur vous. Vous êtes une bulle de savon dans sa vie, un moment fugace et clos: l'espace de la parole terrée.
" vous voyez/ tu vois, ça, par exemple, je n'en avais jamais parlé à personne".
" Parce que vous savez que d'ici quelques minutes, je quitte votre vie pour toujours"
"Peut-être"
sortir, merci le regard franc, tirer le sac à dos, torsion pour claquer la porte, la voiture qui s'éloigne. Le bruit du moteur qui se fait lentement absorber par la densité de l'air. Silence.
Reposer le sac, regarder. Ecouter. Sentir.

"Nous étions jeunes et larges d'épaule
bandits joyeux, insolents et drôles
on attendait que la mort nous frôle"


Je me souviens de cette petite route menant à Locmaria, sur Belle ile.Je voulais absolument y aller avant mon retour le lendemain; le village ayant la réputation d'avoir hébergé des sorcières, ou d'en avoir encore. J'avais très envie de m'offrir à l'expérience, sans savor su tout où je mettais les pieds.
J'étais en pleine campagne, seule comme toujours, le soleil se couchait, et je devais ensuite refaire du stop pour rentrer à l'auberge de jeunesse, à plusieurs kilomètres sur une route déserte, de nuit.
Bon plan.
J'ai stressé, puis cette chanson m'est venue en tête, douce, aventureuse et libre.
Le soleil était orange et les déchirées d'ouate encaissaient bien sur leurs versants, des radiances de braise. C'était beau. Je sentais l'air marin qui se rafraichissait, voyais les herbes folles des bas côtés, caressés par cette lumière magique entre chien et loup.
C'était magique.
J'ai mis mon sac à dos et ai recommencé à marcher, en tendant le pouce.

On the road again, again...

Pour continuer sur le road trip, les souvenirs de plusieurs dans différentes contrées, dans différents contries. Pourtant celui de la la route 132 au Chili, dans la région du Biobio, de Chillan à Conception demeure et perdure.
Pick up benne à 3 places, je suis des passagers, une fin de stage improbable, un weekend avec mes hôtes, un weekend à l'océan Pacifique par cette latitude, il n'a rien de pacifique ce bout de mer.
La musique, les paroles, un sujet : les femmes (j'y reviendrai), les silences, l'air à la fenêtre, les odeurs de broussailles, les flammèches de poussières incendiées par le couchant. La route de terre qui annonce le début de la fin de la route.
"Et chez vous, les femmes, comment elles sont?" le silence, l'attente de ma réponse d'occidental. Alors, j'ai répondu comme le ferait ce vieux que j'ai croisé quelques semaines avant, sur l'île de Chiloé, Patagonie. Une réponse de gars du sud, répéter la fin de la phrase et laisser faire le silence.
J'ai donc dit : "elles sont...", silence à nouveau, ils me regardent, je regarde loin à l'horizon, les courbures floues de l'astre descendant.
Le regard fixe, qu'attendaient-ils? Silence toujours, soupirs. Tout était dit, en tout cas rien de plus, re soupirs ceux des Chiliens cette fois.
J'avais 20 ans de moins, le conducteur à chapeau de vieux cowboy de 70 printemps, mon voisin la petite quarantaine, des larmes silencieuses prenaient la lumière sur ses joues. C'est de cette façon que je les ai aperçues...
"Cerbeza, cabron !" s'écria-t-il. La glacière était à mes pieds, je devenais barman de pickup.
Nous bûmes chacun à la santé des ces femmes, pour moi celle dont je m'éloignais inexorablement, eux à celles qu'ils ne pouvaient pas quitter, indéniablement.
Plus tard, pleine nuit sur la plage, Mauricio m'indiquait que lors de visites contemplative, par nuit noire, il a vu une lumière, un faisceau lumineux venu de l'eau. Un engin s'en est extirpé et a pris un envol intergalactique à une vitesse inconnue de lui. Silence.
"Il y a des choses bizarres" me disait-il.
"Bizarre" lui répondais-je.

En el camino, andando, siempre.

toujours aussi créatifs, merci Ninja, musique éthérée.
Fan.

mon chéri. Vu 4 fois en concert.Et y retournerai.
Toujours en transe, le grand timide.
L'ai jamais vu finir avec un T shirt sur le dos.
top fan

"The sun doesnot give a shit about burning your eyes blind.
                                  
                                   SHINE"


Djambo Truong, Forrest Angel

Feeling so much calmer. Nourished. Fuller.more grounded.
To all yogis and yoginis in the region, who have a regular level 2 or 3 practice and who are hungry for expansion, Jambo Truong only comes to my teacher's studio in France, he says we're a bunch of witches and healers.
That we're one of his favourite groups in the world.
His energy is so high. This guy radiates, whether he talks about anatomy, energy, the Gates of the West, East, North and South during the opening shamanic ceremony of the day, food, sex, love,easing the pain, very intense and fun yoga practice.

Gratefully, humbly and proudly yours

https://www.jambodragon.com/about-jamodragon

C'est le yoga que tu pratiques, le "forrest yoga" ?
https://www.forrestyoga.com/about/philosophy/

Il y a plein de vidéos, toutes en anglais. Comment est-ce que tu as connu cette forme particulière de yoga ?
Je n'en ai jamais fait, je ne connais quasiment pas cette discipline, j'ai opté il y a longtemps pour le tai-chi, une école de souplesse aussi. On est un peu cousines dans nos pratiques, disons.

Je continue à te lire, et je suis contente d'avoir discuté avec toi au Saloon. Comme je te l'ai dit, je n'ai pas pour habitude de passer sur les fiches Zeetic, mais et d'une, tu es une femme, et de deux, ça semble être ton principal fil. Alors je m'y aventure.

Namaste Darlene et bienvenue dans mon antre.
J'ai été d'abord formée en yoga Vinyasa créé par Sri Krishnamacharya.C'est un yoga dynamique que je pratique depuis bientôt 10 ans et que j'enseigne depuis 2 ans. Je fais aussi pratiquer mes élèves de 8 ans.
J'ai eu une formation complémentaire l'an dernier dont je suis diplômée, en Forrest Yoga, par Jambo Truong, que je mentionne dans des pages récentes, ayant refait un stage de 4 jours il y a peu ( non diplomant).

Le yoga me tend les bras depuis mes 24ans, mais il a fallu de très gros problèmes de dos qui ont duré des années, pour que ma chiro m'envoie pratiquer. J'ai connu le Vinyasa par défaut, sans savoir que c'était exactement celui qu'il me fallait, canalisant un peu de mon énergie masculine.

Et oui, on a un peu en commun je crois.
Je suis ravie de ta venue.Et oui, mon fil de recherche amoureuse es devenu au cours du temps, un fil d'auto narration, dans lequel des personnages de mon quotidien jouent un rôle important. Mon quotidien, ça  aussi été des rencontres ici, incarnées pour quelques unes.
Je suis ravie aussi que tu Uni. Love soit notre fil rouge. C'est un chouette gars.
Ouais de la lecture, y en a un peu.
J'espère que tu y prendras du plaisir.

Salutations divines

Je ne savais pas que tu enseignais aussi, ce n'est pas rien. Est-ce qu'il y a un enchaînement particulier (rituel ?) à suivre, ou est-ce que tu fais en fonction des circonstances ?
Par exemple, au qi gong, auquel je vais me mettre l'an prochain, c'est axé sur les saisons, et donc sur certains organes en fonction de la saison.
Il y a des positions belles et évocatrices, comme l'archer, par exemple.



Et du coup, tu as résolu tes problèmes de dos depuis, avec le yoga ? Ca a dû faire progresser aussi ta manière de respirer.
Universal.love m'a parlé de ta page, oui, c'est ce qui m'a rappelé en te voyant tout à l'heure "au saloon", que tu avais cette page, et comme tu m'y as invitée par MP, me voilà. Il a eu raison !

te répondrai plus tard. J'ai rendez vous avec M.
hug sis

Ce morceau est pour moi d'un sexy terrible. La bass  très dure, comme le choc physique et psychologique des danseuses après leur crash; ces voix soudaines, éthérées avec un pet' à la sphère echoing the symbolism of being on the verge de jeunes représentantes d'une forme de tradition angloaméricaine sourire ultrabright et clean. Je kiffe à mort.
Un morceau parfait pour faire l'amour, pour danser seule devant un miroir, à fond torsions et volutes, le mouvement ample et indexé viscéralement au son. Pour sentir sa propre chair.
S'être vivante.

Salut soeurette ! Je vais m'absenter ce WE, alors je passe te faire coucou ici avant. On n'a pas les mêmes goûts musicaux, je pense, et à vrai dire je n'ai aucun goût musical, seulement un bric-à-brac de chansons qui me parlent. Je note que les filles dans le clip précédent dansent super bien.
Côté danse, je suis fan de Christine and the Queens, qui fait des clips épurés où elle occupe tout l'espace. C'est une personnalité d'artiste très riche , et une fille courageuse.



J'adore son style androgyne, ça me ressemble quand j'étais jeune.  

Bon WE sweetie, profite bien de tout, je pense à toi.  

oooohh...
bon week end à toi... on revient de la plage, on die rapide pis on va à la Friche. Sur le tit en plein air, ça DJe le week end.
bisous

@Darlene:
c'est à force de souffrance que j''ai trouvé dans le yoga ( plus deux ans de nuits pansée d'argile, chou frisé, et chiro) la voie de ma guérison.
Il m'arrive encore d'avoir des problèmes plus bénins de déplacements osseux quand j'ai des émotions violentes.
Se déplacer une côte, un tibia, les poignets font partie de ma vie, très douloureux mais cela n'a plus les mêmes impacts, ayant reconstitué mon capital osseux.
Respiration: évidemment, ma respiration a changé, plus encore depuis mon dernier stage, avec la PIA, usuellement pratiquée par les haltérophiles.
Respirer à partir de son vagin, devenir une colonne d'air jusqu'au crâne ( et au delà), s'ouvrir plus encore à l'énergie de la Terre, du Cosmos, me dissout béatement.
Je me demande comment les hommes vivent la Respiration Intra Abdominale, n'ayant pas cette entrée biologique.
Anatomiquement, constitutivement, la Femme source de vie me semble plus apte à l'ouverture spirituelle que l'Homme.

Je ne connais pas cette pratique de respiration PIA, et je n'ai pas vraiment trouvé d'informations sur internet.
Une question : pourquoi ce point de départ du vagin ? Je pensais que la respiration profonde provenait du ventre. Ca colle avec le chi ou qi des arts martiaux ; le vagin, ça correspond à quel "point" d'énergie ?
C'est drôle, ça me dérange qu'il y ait un point de départ différent entre les hommes et les femmes pour l'ouverture spirituelle. En yoga, les hommes pratiquent aussi...

La respiration est un moyen efficace, les moyens sont utiles.

Les protocoles sont efficaces, ensuite on pourra peut-être trouver l'état ou le protocole devient inutile, il ne reste plus que l'intention.
Alors n'importe ou, n'importe quand, on peut accéder à soi...et à tout le reste.

Le féminin est bien sacré, pas moins que le masculin d'ailleurs.
Les deux principes s'expriment à l'extérieur, mais aussi à l'intérieur.
Oui le monde de la femme est intérieur...mais de l'intérieur l'homme peut aussi exister.

Si la femme existe c'est aussi car il y a des hommes, il serait bien triste de n'être plus sexué, la danse des polarités est bien belle je crois.

Sâdhanâ a écrit:Je me demande comment les hommes vivent la Respiration Intra Abdominale, n'ayant pas cette entrée biologique.

Je n'ai aucune compétence en yoga, mais côté techniques chinoises, c'est le tan t'ien qui est le point focalisateur. Peut-être cela correspond-il à une "entrée" énergétique que les femmes ressentent comme vaginale et les hommes autrement ?
(just my 2 euro cents)

la danse des polarités est bien belle: oui, Jo.
Et je ne sous entends rien de désobligeant envers la gente masculine, j'espère n'avoir froissé personne.
Devenir canal, c'est ce que j'ai ressenti, s'ouvrir intégralement, lâcher complètement, comme une aspiration.
Mais dans l'enseignement que j'ai connu, on parlait plutot de relâchement du périnée et d'inspir au niveau du plancher pelvien.
Cette respiration est plus complète encore que par le ventre, mais elle est aussi bien plus dure à construire du fait de paliers supplémentaires, Sis.
@ Merlin: peux tu m'en parler?

Tu as un résumé correct ici :

https://en.wikipedia.org/wiki/Dantian

C'est un point énergétique, lié au système chinois utilisé en arts martiaux (mais aussi en acupuncture). Un équivalent de chakra indien, je dirais. Le tan t'ien se situe à trois doigts sous le nombril. On y concentre le c'hi... Je ne suis pas du tout un spécialiste, j'ai juste utilisé ça en kung fu et chi kung.

Bonsoir ,

Si cela peut intéresser ,