Blagues pour se moquer d'Einstein

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Message par Invité Sam 4 Mar 2017 - 22:19

Less the boobies, more the handjob
Less the handjob, more the knowledge
More the boobies, less the knowledge though

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Message par Stauk Dim 5 Mar 2017 - 21:16


Mileva Maric est née en en Austro-Hongrie en 1875, le 19 décembre. Pauvre gamine, elle a deux handicaps. Elle est boiteuse et très timide. Cependant, rapidement, ses professeurs vont détecter chez elle, un cerveau vif et bien fait. Elle est excessivement intelligente, pour une fille. A l’âge de 15 ans, elle obtient une dérogation pour pouvoir étudier dans une école de garçons. Il s’agit de l’école royale d’Agram. Une école spécialisée en math et physiques (ce qui, à mes yeux, représente l’horreur). En général, à cette époque là, les filles n’ont pas le droit d’entrer dans ce genre d’école.
Source : http://www.racontemoilhistoire.com/2015/09/28/mileva-maric-albert-einstein/


A l’université de Zurich, seuls cinq étudiants ont choisi la physique. Deux d’entre eux décident de suivre le cours de « physique théorique », Mileva Maric et Albert Eistein. Rapidement, les deux deviennent amis


Mileva et Albert continuent ensemble leurs travaux à Zurich. En 1905, à eux deux, ils publient cinq articles, dont trois qui font référence à l’aboutissement de la formule E=mc2. Le travail abattu ne peut pas être du seul fait d’Albert Einstein. Cependant, tous les articles sont exclusivement signés de son nom…






Einstein était un pervers narcissique ; excédé par la vie commune avec sa première épouse Milena Maric, mère de ses deux enfants, et ne souhaitant pas prendre l’initiative d’une rupture, il érigea par écrit les conditions draconiennes et humiliantes de la poursuite d’une vie commune (le monde ,19 novembre 1996)
Source : http://bystander-effect.com/fascisme/Archives/Articles/Harcelement.php






5Einstein à Habicht, printemps 1905, [4] vol. 3, traduit dans [10] vol. 1 : p. 36.
www.biblio-scientifique.net

(Aka ZC avant l'heure)


Cher Habicht,

Il règne entre nous un silence sacré, au point que j’ai un peu le sentiment de
commettre une profanation en le brisant aujourd’hui par un bavardage sans grand
intérêt. Mais toutes les choses élevées ne finissent-elles pas ainsi en ce monde ?
Que faites-vous donc, espèce de baleine congelée, espèce de quartier d’âme fumée
en conserve
, ou que sais-je encore que j’aimerais vous jeter à la figure, emporté
que je suis par 70 % de colère et 30 % de pitié ! Vous pouvez remercier ces 30 %
qui m’ont empêché que je ne vous expédie l’autre jour — alors que, plus silencieux
qu’une tombe
, vous n’étiez pas apparu à Pâques — une boîte de conserve remplie
d’oignons et d’ail coupés en rondelles
.

Mais pourquoi donc ne m’avez-vous toujours pas envoyé votre thèse ? Ne savez-
vous point, affreux personnage, que je fais partie des une personne et demie qui la
parcourraient avec plaisir et intérêt ? Je vous promets en échange quatre travaux,
dont je pourrai prochainement vous envoyer le premier, car je dois recevoir très
bientôt les exemplaires d’auteur. Il y est question de rayonnement et des proprié-
tés énergétiques de la lumière, d’une façon tout à fait révolutionnaire, ainsi que
vous le verrez si vous m’envoyez auparavant votre thèse.

Mon deuxième travail est une détermination de la taille véritable des atomes à
partir de la diffusion et de la viscosité des solutions liquides diluées de substances
neutres. Dans le troisième, je démontre que, d’après la théorie moléculaire de la cha-
leur, des corps d’un ordre de grandeur de 1/1000 mm en suspension dans un fluide
doivent déjà effectuer un mouvement désordonné perceptible, lui-même provoqué
par l’agitation thermique ; et, de fait, les physiologistes ont observé des mouve-
ments affectant de petits corps inanimés en suspension, mouvements auxquels ils
donnent le nom de « mouvement moléculaire brownien. »

Le quatrième travail est encore à l’état d’ébauche ; il s’agit d’une électrodynamique
des corps en mouvement qui repose sur des modifications de la théorie de l’espace
et du temps. La partie purement cinématique de ce travail vous intéressera sûre-
ment.

Solo[vine] continue à donner des cours particuliers et ne se décide pas à passer l’exa-
men ; je le plains beaucoup, car il mène une bien triste existence. Il a d’ailleurs l’air
bien éprouvé. Mais je ne crois pas qu’il soit possible de l’amener à avoir des condi-
tions de vie plus supportables. Vous savez comment il est !

Bien cordialement,

Votre A.E.

Vous avez également toutes les amitiés de ma femme et du petit diable, qui a
maintenant un an.

Envoyez vite votre travail !




bouquin a écrit:
En 1922,

le mathématicien russe Alexander Alexandrovitch Friedman découvrit des so-
lutions cosmologiques dynamiques des équations d’Einstein sans constante
cosmologique. En 1923, Edwin Powel Hubble établit la loi de récession des
galaxies qui porte son nom. En 1927, Georges Lemaître proposa un modèle
d’univers en expansion. Enfin, en 1930 Eddington démontra l’instabilité de la
solution statique d’Einstein. Secoué par cette fatale série, en 1931 Einstein se
rétracta [44] :

Dans l’état actuel de nos connaissances, le fait d’une densité de matière différente
de zéro ne doit pas être mis en relation avec une courbure spatiale, mais avec une
expansion spatiale. Naturellement, nous ne voulons pas dire par là qu’une telle
courbure (positive ou négative) n’existe pas. Mais nous n’avons, pour le moment,
aucun indice de son existence.


Par là-même, Einstein renonçait au principe de Mach. Comme il le reconnut
plus tard, ce principe n’a vraiment de sens que dans la mesure où l’espace
n’a pas de réalité indépendante des corps qui le meublent. Mais la relativité
générale affirme justement le caractère physique et dynamique de l’espace [43].

Le sort de la constante cosmologique illustre bien la difficulté des applica-
tions cosmologiques de la relativité générale, même pour son génial fondateur.
L’impénétrabilité des mathématiques impliquées poussa souvent Einstein à
injecter une part d’intuition dans ses déductions, ou à généraliser un peu
hâtivement des résultats partiels. Ainsi, en 1939, il crut pouvoir affirmer l’im-
possibilité de l’effondrement gravitationnel d’un nuage de poussières (de symé-
trie sphérique) au-delà du rayon de Schwarzschild. Il croyait par là démontrer
l’impossibilité de construire physiquement la « singularité » de la solutio
sphériquement symétrique que Karl Schwarzschild avait donné aux équations
d’Einstein dès 1915. Mais l’analyse d’Einstein admettait le caractère statique
du champ engendré par les poussières. Dans la même année, John Robert
Oppenheimer et Hartland Snyder, qui ne faisaient pas cette supposition gra-
tuite, aboutirent à la conclusion contraire en montrant que les particules du
nuage traversaient le rayon de Schwarzschild lors de l’effondrement.

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Message par Stauk Dim 21 Mai 2017 - 12:05

Vive la bretagne !



   En 1900, Henri Poincaré publie un article dans lequel il affirme qu'un rayonnement pourrait être considéré comme un fluide fictif d'une masse équivalente m = E/c2. Il s'est inspiré pour cette interprétation de la « théorie des électrons » de Lorentz qui incorpore la pression de radiation de Maxwell.

   En 1900, Poincaré décrit une procédure de synchronisation pour des horloges en repos les unes par rapport aux autres très similaire à celle publiée par Einstein dans son article de 19058.

   En 1905, Albert Einstein est le premier à suggérer que lorsqu'un corps matériel perd une énergie E (sous forme de radiation ou de chaleur), sa masse décroît d'une valeur égale à E/c2.

   Le 5 juin 1905, devant l'Académie des sciences à Paris, Poincaré complète les transformations de Lorentz et prouve l'invariance des équations de Maxwell dans une note de 5 pages développée en un mémoire de 50 pages.

   L'article du 28 septembre 1905 d'Einstein ne contient aucune référence à d'autres articles. Il mentionne Lorentz en relation avec le traitement du champ électromagnétique. Poincaré n'est pas mentionné.

   Einstein a lu La Science et l'Hypothèse (1902) d'Henri Poincaré avant la rédaction de ses articles majeurs.
   Poincaré meurt en 1912, Einstein en 1955.





http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-einstein-ou-poincare-20366.php

Tout ça rapelle un peu le 11 septembre; D'un coté les complotistes, enfermés dans leurs certitudes, d'un autre coté les "mass média", qui distillent une vérité relativement opaque.    Masses énormes de documents avec des interprétations plus ou moins délirantes d'un coté,  Personnes propres et présentables, avec comme argument : c'est vrai car vrai, c'est faux car c'est faux de l'autre.

Ce qui est important c'est moins de dire ou pas la vérité, que de défendre la possibilité d'un débat. Car y a quand même une sacré assymétrie dans la capacité des deux camps à dire des choses au public.





Revenons à nos tristes moutons. Einstein a-t-il pu lire ce papier de Poincaré ? Je ne pense même pas que cette question soit centrale. L'article d'Einstein n'est aucunement une « compilation » ni de Poincaré ni de Lorentz. Einstein utilise les idées qui « sont dans l'air », ce qui est légitime, et les analyse d'une manière différente et, ainsi, se permet de poser une théorie. De toute manière, l'article de Poincaré de 1905 ne contient pas tous les points nécessaires à « monter » la théorie. L'influence de Poincaré – comme celle de Lorentz, de Fizeau etc. – sur Einstein est patente, mais implicite. Et si Poincaré a fort bien jalonné le terrain, il n'en a pas vu le plan. Einstein eût-il écrit son article trois mois plus tard, – et supposons-le, avec l'article (les articles) de Poincaré, de Lorentz, sur son bureau –, il n'en serait pas moins le créateur de la théorie de la relativité.

Le génie d'Einstein continue de faire des vagues ; il y a quelques années, nous avons entendu les sornettes selon lesquelles sa première femme, Mileva, serait la créatrice de la théorie, et aujourd'hui, c'est Poincaré qui, à nouveau, est mis en avant. Quand on est aveuglé par l'intolérance, le fanatisme, la haine, ou tout simplement la sottise, tous les arguments sont preuves. Souvenons-nous de la naïveté du grand géomètre Chasles qui s'était laissé abusé par le faussaire Vrain-Lucas quant à la paternité de la théorie de la gravitation. Chasles s'était laissé persuader que Pascal était, contre toute évidence, l'inventeur de la théorie de la gravitation et qu'une coterie anglaise avait fait la gloire de Newton.
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-einstein-ou-poincare-20366.php
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