Mao rit (la version jaune du livre rouge)

Il fût un temps où je savais vaguement deux-trois quetrus sur la vie. J'étais jeune beau fringant avec ma veste en jean et mes lunettes Police (la classe), la win tout en jean, l'innocence à fleur du fusil, le pokémon à l'affût, les idées proches des pâquerettes dans les hautes herbes de la version jaune de moi dans la version jeune. Huit, neuf ou dix ans.

C'est bizarre d'être prêt à tout croire, de croire à tout, et de ne plus y croire. T'es sans doute plus finaud au bout de mille veuleries de questions, mais tu sais ce que tu te prends quand tu prêtes. Il fallait circonscrire tant qu'il était possible d'affirmer sans ricaner, se contenter de se contenir, tenir à ce con tenté, pas en furie de sa connerie, pas en reste de sa clownerie.

Apprendre le savoir-vivre, au sens de vivre sans savoir puis d'apprendre de son savoir le strict savoir qui peut t'apprendre à vivre. Synonyme : trier.

Demain, y a QI. Sans rire. Le grand classique dans ces cas-là c'est de pratiquer la nuit blanche, elle-même devenue un grand classique. Je sais vaguement comment ça marche. En apprenant quoi chercher, me suis upgrader de la valeur de vie, de l'indice qui dicte si ton âme vaut. Pense comme épris de symétrie et de raccourcis, comme empreint de poser des puzzles.

Bruler le blog.

Philosophiste : prêt à toute arrière-pensée pour un arrière-monde. Définition alternative : doute infiniment de tout et finit miraculeusement d'accord avec lui-même.

Histoire de QI (genre journal intime de collégienne (actor studio ou véritable nature petite nature, qui sait ?)) : M'avise du JSF (parenthèse : y en a qui boivent ou se droguent, d'autres qui se privent de sommeil pour pouvoir se dire que c'est pas qu'y sont si cons (de cochon)), pas en homme, il va sans dire... Elle pose des jalons d'honnêteté, et un vrai honnête prête toujours de l'honnêteté jusqu'à preuve intransigeante d'une preuve (une épreuve pour le veule qui le veut (son veulage, s'entend) - qui n'est pas qui veut). La preuve n'existe pas franchement ; elle exigerait de définir l'indéfinissable en revenant à des temps où on n'avait que faire des mots creux. On se moquait de ne pas être sous notre bonne étoile, car elle était là, et nous pas las.

Ça me fait chier de me dire que Stéphane de groodt est passé par là, dans ma soupière. La poule qui le rendit célèbre ne vend que son corps, au moins...

Essayer la liberté... et puis raté.

Ils savent. Je sais qu'ils savent. Ils se foutent qu'ils savent. J'attends la salve. Pire que de groodt il y a peut-être bien le slam de grand corps malade. Jusqu'où descendra-t-on ? Jusque là où Adjani chanta quand le premier déchanta ?

Je suis fier de cette blague sous-marine.

Le rejet de soi du pelage du zèbre : la sensibilité ne te place pas insensiblement en sensible, alors c'est que tu te condamnes en l'autre. C'est commode : le PN c'est pas nous (mode d'exercice de celui-là même).

M'en fous du test ; c'est le reste... la vie.

C'est pas littéraire, c'est alittérationnaire.

... On s'occupe comme on peut.

C'est curieux, mais je prépare le pop corn pour suivre ça

Bonui

Je suis content de contribuer à ton enflement visible.

Bonne nuit.

Sinon on peut aussi discuter de ta vie...

T'as combien de QI ?

Merci, mais je ne suis pas une enflure.

Pour mon Q.I., je pense que ça dépend des jours. Aujourd'hui j'aurais dit 325, à vu de nez.
Mais on n'est pas à une vache près.

Il est tout de même tard - bon courage pour ta nuit blanche.

C'est bien aimable.

Bonjour,

moi je n'ai pas de qi, je suis pas peu mais pas plus fier de cette blague terre à terre.

Personne n'en n'a, mon cher ami.

Certains l'aiment chaud.

A force de le vouloir croire ils en ont la foi,
d'ailleurs la foi est une spécialité des empathes, qui délaissent un peu la réflexion, ou du moins dont le cerveau est plus volontiers sujet aux intuitions et à l'empathie.
Mais les fervents croyants au saint qi qui croient obtenir un sésame grâce à leur mirifiques compétences semblent représenter l'autre versant à gauche cerveau, enfin je ne sais plus je m'y perd dans toutes ces deux directions, comme quoi tout ceci est un charabia sans nom, cher copain.

Le cerveau joint ses deux mains pour s'applaudir, bro.

Il les met en tenaille pour retenir sa tristesse aussi, cousin.

Tu me rappelles quelqu'un, vieille branche.

Je ne me rappelle plus, jeune pousse.

Héméralopie a écrit:

+1

C'est concept.

con sceptre truelle.

@clippacio : T'as compris la blague avec grand corps malade et Adjani, au moins ?

Spoiler:

Je ne connaissais pas son plongeon et je t'avais lu très vite comme de bien sûr donc non.

Et là t'as un peu rit ?

Nan nan vu que ma vie n'est point rire,
à mourir de rire même
(c'est à mourir de rire^^ dixit l'autre)

Sur une devanture, un écriteau : "Bouillabaisse à toute heure". Un mec entre dans le bouiboui et demande : "Bonjour, où est Bouilla ?"

doggie
Peut-être à plus tard.

l'idéal marteau du keum qui sait pas lire
déconstruire n'a pas fait comprendre
manque à l'âme
manque de trame
du mal à fixer un cap jadis
travailler à mieux s'exprimer
s'abêtir à sa bêtise
trouver le fond
il n'y en a pas
ou il est triste

le marteau tape sur le système

Il m'arrive de songer que l'espace que j'occupe pourrait être vide, ou qu'un autre ait pu naître à ma place (et qui aurait probablement mieux embrassé la vie)... que la planète tournerait sans changements réels (ça me fait penser à cette vanne dans la série Louie : Mes filles me demandent ce qu'il y a après la mort : bah, il se passe plein de choses, il y a le superbowl tous les ans, etc. seulement tu n'es pas là pour le voir ^^).

    Seulement, je vois le monde en l'imaginant comme je le vois d'habitude : en couleurs ; mais le monde n'a aucune couleur : c'est histoire de longueur d'ondes et de lumière qui rebondit. Ça me retourne le cerveau. Comment imaginer que les couleurs n'existent pas sans nos yeux particuliers ?

    Dans le même style, se faire une idée de ce qui est raisonnable de croire, alors que l'origine du quelque chose plutôt que rien ne nous répond pas - ou du moins ne parle pas à ce que le jugement (les lumières de la raison, comme a dit l'autre) peut sentir -,ce n'est pas tant raisonnable. Ainsi donc je peux observer que l'âme ne semble pas exister, puisque nous sommes programmés autant que les animaux que nous sommes, mais si on vient me parler d'âmes qui se manifestent après la mort (et après tous les calculs plus remarqués que les sensibilités et les mouvements d'âmes), si on me parle de NDE, j'abdique. J'admets que certaines couleurs s'imposent à mes yeux et à mon imagination.

Dieu le perd, le fiste, le saint d'esprit.

"Il est malade et il boit quand même son apéritif. C'est une leçon de vie au quotidien."

Dieu cire mes pompes quand je lui demande.

fiottasse intarissable inassumée, il faut que je lutte pour mon coming out

Mortitude surabondante de la travaillitude du jeudi, le zêle en panne du vendredi donne de fausses ailes qui engluent les touches qui se sentent comme du gravier, foulés au pied, encore si ya pas foot et que ces terroristes qui se disputent la balle ne nous déprogramment pas joséphine ange gardien par pitié.

#inconscienttoutpourriquisaitpasfairedesphrases

Dieu, je Lui tape sur les fesses et Il pousse des petits cris.

Un brave petit jeune écrit des horreurs à la bibo... Est-ce lui rendre service de lui dire ou de me taire ?

Le monde va mal.

http://contes-urbains.blogspot.fr/2016/02/comment-faire-pour-etre-un-artiste.html?m=1

Un "Enseignant titulaire et écrivain indépendant" ne sait diablement pas ce qu'est un texte argumentatif, une phrase qui se tient, un donc qui se rapporte à ce qu'il était dit en début de phrase, etc.

"Je suis l'auteur [de mon blog], disponible[] gratuitement...", sous-entendu il faudrait qu'on me paie en théorie... nan mais...

Merdoum, la réalité est pire (le donc commence une phrase, suicidez-moi).... putain, le car aussi...

"Dali a passé sa vie à tout faire pour devenir un "génie" : c'était sont objectif absolu ! Lui seul serait l'unique et véritable esthète parmi tous. Donc, non seulement il était marginal, tel un fou qui sortait des choses inattendues et surprenantes, mais il était en plus visionnaire. Car être marginal, c'est à la fois se démarquer dans le présent, mais aussi avoir une vue sur l'avenir."

Extrait symptomatique. Primo (pour parler de la fin) : être marginal, c'est... suspens... être marginal. (trop fort) Deusio : t'es visionnaire si en effet tu es novateur, pas seulement parce que tu voulais devenir célèbre. Et tersio, qui rejoint le deusio et éclaire sur l'absurdité de tout le billet : ceux qui accèdent à la notoriété et se vendent peuvent être les pires bouses. Attention, raisonnement : Lorie, Kenji, Bouba, Christophe Willem.. ne sont pas des génies..

La réputation est la somme des malentendus accumulés autour d'un nom, comme qqn a dit.

"passionné de littérature"... misère... monde cruel.
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Un autre collector : edilivre.com/communaute/2014/04/07/rencontre-avec-neil-s-s-moutanga-auteur-de-la-naissance-dune-ame-pure/#.VJmvocFADD

Né le 12 Janvier 1985, il a vu le monde à 13h. Il a fait son primaire à la Sorbonne, Pk8 II et l’école pilote de Nzeng ayong III ou il fait un parcours avec deux tâches. Arrivé en 6e, il a découvert le monde et sa poésie, il aimait tant les cours de français qu’il n’hésitait pas à émettre sa curiosité imaginative dans les devoirs tout en gardant une certaine cohérence et en gardant à l’esprit les traits moraux de ses professeurs.

Son lycée, Paul Indjendjet Gondjout, dans lequel il a fait ses preuves, il n’a pas fait un excellent parcours si l’on en croit aux bulletins, mais il a été un brillant élève qui savait ce qu’il faisait à chaque seconde, car à chaque instant, il creusait son inspiration au gré de son imagination pour fournir en idée matérielle son monde et celui de l’environnement auquel il côtoyait, il a fait tant d’années de jeunesse et ses erreurs l’ont appris tant de choses.

En 2007, il obtient son baccalauréat économique et s’envole pour le Sénégal ou il poursuit ses études de Finance privé, option Banque et Assurance. Pour des ennuis de santé et de choix personnels, il décide de prendre part au destin de son pays natal ou il vit uneopération, celle-ci fait qu’il perd les notions, contre tout désespoir, ne perd pas la passion de la Banque et de son réalisme à devenir Banquier, un choix qu’il avait opté depuis la première B3.

Il est dans une famille dont il est l’aîné, aujourd’hui 28ans, il grandit ses passions et poursuit son rêve de cinéma malgré son cynique enthousiasme que lui a légué son pays adoré, un jour, il lui dédiera une oeuvre.

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
A cette question, je dirais que j'ai trop de style pour me faire comprendre par tous, mais cet élément est une force dans mon œuvre. Elle offre beaucoup de questions et de remises en question. La qualité de mon livre réside en mon travail en tant que parémiographe, car je véhicule une certaine sagesse dans mes poésies. La poésie est le langage de l'âme et l’œuvre de l'esprit.

La naissance est pour moi comme un réveil, sans trop se leurrer, se dire que notre vie est en main et qu'on peut y arriver. Il y a une sorte de combat entre l'être et le néant et pour garder intacte son image mentale, il faut se dire que l'on est ce qu'on est devenu. Je me demande si l'on peut échapper à l'ignorance. Mon ouvrage et mes futurs parleront donc des désillusions, la fuite du temps, l'exploration de la vie, l'étrangeté, la création, la mort.

"Si je voulais être chiant et méchant je dirais "Mais encore ? " Disons qu'on essaiera de rester un peu dans le ton du salon (ne serait-ce que pour éviter des ennuis) et éviter les jugements trop sujectifs. En général, des goûts et des couleurs, on ne discute pas. Et ce dont on ne peut parler, il faut parfois le taire . Mais la subjectivité partagée, celle qui implique une relation aux autres qui créent implicitement des postulats sur le réel, celle-là, on l'explicite, et partant d'elle on peut utiliser la raison pour discuter.
Ça c'est la rationalité critique et implique que si la rationalité seule ne peut pas suffire à être raisonnable, elle est tout de même nécessaire."

Badak, tu as fait fort. C'est un peu du pieyre...

Ta subjectivité partagée, c'est le langage.

Pis selon le dico, faire preuve de rationalité c'est être raisonnable : "En sciences humaines et sociales, la rationalité caractérise une conduite cohérente, voire optimale, par rapport aux buts de l'individu."

Malheur à toi si je te lis. Mentalement, je trucide.

Dans la journée, cette question en boucle : Se montrer malin sans être condescendant... est-ce possible ? (c'est aussi un comportement d'idiots, tout le monde est à niveau là-dessus)

Parler de loin sans orgueil, est-ce possible ? Tenter d'avoir des vues élevées sans orgueil, est-ce possible ?

Badak a écrit:Si certaines individus n'ont pas les connaissances pour discuter d'un domaine pointu, alors il ne peuvent simplement pas en débattre rationnellement avec ceux qui savent. Ils peuvent par contre discuter rationnellement de certains aspects de base, en se basant sur ce qu'ils ont compris, et en questionnant de manière à mettre en évidence la structure logique de l'argumentaire et ainsi avi accès à l'idée de base.

Je postule que l'idée de base, quand on brasse des mots à toute vitesse, on l'a perd vite. Ainsi quand on se perçoit pointu et savant.

La fin du passage est croustillante :

Ceux qui ne savent pas : "Ils peuvent par contre discuter rationnellement de certains aspects de base, en se basant sur ce qu'ils ont compris, et en questionnant de manière à mettre en évidence la structure logique de l'argumentaire et ainsi avi accès à l'idée de base."

Ce que sont censés faire les moins instruits a l'air bien plus compliqué que ce que font ceux qui savent. Les ignorants peuvent (seulement ?) décortiquer l'argumentaire pour extraire la forme la plus simple de l'idée du ou des savants, laquelle est bien plus complexe, forcément, alors que, pendant ce temps, ceux qui savent savent assurément, et tiennent fermement l'idée de base ; ils sont sur les bons rails (puisqu'ils savent). Le savant ne doute pas et n'a plus à se soucier de l'idée de base. Il est dans les hauteurs.

Décortiquons le savant :

Première phrase :

Badak a écrit:Si certaines individus n'ont pas les connaissances pour discuter d'un domaine pointu, alors il ne peuvent simplement pas en débattre rationnellement avec ceux qui savent.

Tu as prouvé le contraire : tu as dit que les ignorants pourraient s'attacher à la structure de l'argumentaire et aux idées de base. Rationnellement, ceux-ci ne peuvent pas parler de concepts qu'ils ne connaissent pas, mais peuvent discuter sans pour autant manquer de logique (le Graal du salon des rationnels) sur les éléments plus basiques du débat : donc ils peuvent discuter rationnellement avec les savants (même à propos du sujet pointu, puisqu'aussi pointu qu'il soit il a des bases indispensables (que le savant peut perdre de vu)), il suffit qu'ils admettent là où se situent leurs connaissances (autre Graal...).

Cette première phrase, que tu contredis juste après, n'est pas rationnelle : elle vise à marquer une séparation nette entre le savant et l'ignare, l'un étant sous la tutelle de l'autre et ne pouvant espérer que trouver l'idée de base à travers l'argumentaire feuillu des doctes. On a créé un ghetto en une phrase, on a montré à chacun sa place avec un peu de manichéisme professoral (la bête étant le cancre). Bref, on a fait de l'idéologie plus que de la logique.

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Idée pointue du jour : En discutant, sans savoir soi-même si on va manquer de logique, on peut écouter aussi bien qu'on sait s'écouter, et juger sur pièce.

Cher ami Badak, (tu es reconnecté à ce que je vois), je te relis chez les rationnels (c'est bien que tu es le plus intéressant à mes yeux), et je m'étonne que tu glorifies la raison tout en méprisant la grammaire.

...

Fata Morgana a écrit:Comment professer la non-existence de Dieu sans professer du même coup la non-existence de l'homme ?
On va en faire des phrases. Ie te laisse ta littérature, à toi le non-existant qui à défaut d'être se paye de mots.
Du vent, du flan, du "je me joue l'intello du coin".Surdon oblige je dois me singulariser. Mais le médiocre a des velléités d'originalité: il rejoint l'originalité de la masse abrutie de slogans et de réflexes conditionnés. Médor pense ! C'est inouï n'est-ce pas ?
Merde, je parle comme un dandy désœuvré. Test: on a le droit sur un forum de dire qu'on en a marre des cons ?

Pourquoi tant de haine ?

Resalut,

À toi qui est athée, je me permets de poser une question :

Tu es bien d'accord que le fait que l'homme croie être le centre du monde, que le monde ait été conçu pour lui, etc. , est peut-être bien la source de toutes croyances, l'invention de Dieu, tout ça... ?

Voici où je veux en venir : Ne trouves-tu pas que le fait de se considérer surdoué, et alors, d'une certaine façon, plus humain, plus sensible, plus tout, c'est exactement de la même façon se mettre au centre de l'univers pour dénigrer tout ce qui n'est pas soi.

J'avais lancé un sujet "le surdon est insultant", personne n'a adhéré quand j'ai dit qu'un non-surdoué n'écrirait pas des choses plus bêtes que tout ce qui se produit comme écrits sur le forum. J'avais aussi lancé un sujet "exceptionnel comme tout le monde" pour dénoncer le fait que la plus grande des bêtises et la plus facile, c'est justement celle qui nous fait croire que nous sommes uniques et merveilleux : des petits dieux à nous tout seul.

Qu'en dis-tu, vois tu un lien entre la mauvaise foi qui mène à la religion et la mauvaise foi qui mène à la croyance au surdon ?

#journalintime #ouimaislesurdouedoutetoutletemps #moncul

"I would wallow 'till you told there's no glitter in the gutter, there's no twilight galaxy"

Ah oui, c'est vrai, on enculait pas assez les mouches, merci pierre.

Virtuose du vide, tu souhaites les plus grands mensonges... Tu sonnes faux. Escroc.

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