Tiger Crossing, "trop intelligent pour être malheureux ou les tribulations d'un ancien zèbre devenu Tigre"

Mais vraiment j'adore ta version chat!!! Mais je vais rester Tigre

Moi président...

Tient j'ai pensé à ça tout à l'heure suite à une discussion !
On revenait finalement de manière sous jacente encore et toujours à la peur. La peur de l'autre bien entendu !
Mais une autre forme de peur, celle des gens que l'on aime auquel on tient, ou de la famille. Ces gens ne nous font pas peur pour ce qu'ils peuvent nous faire en mal, mais plutôt la peur de ce que nous nous pouvons faire. On a en effet cette peur un peu inverser. Peur qu'ils croient qu'on ne les aime plus. Peur qu'eux même ne nous aime plus. La peur de faire quelque chose qui les blesse. Généralement d'ailleurs cette peur est plus forte que l'inverse. On ne veut jamais faire mal à ceux qu'on aime.
Mais du coup des fois on s'enferme dans de fausse relation amicale ou familiale. De peur de faire mal on ne dit pas (ou mal) les choses que l'autre fait qui nous fait mal. On a peur qu'en lui envoyant à la face un mal qu'il a fait involontairement (ou pire en voulant faire bien) on le blesse !
Il y a aussi cette peur de dire à l'autre qu'il fait une erreur (à notre sens). Si on a beaucoup d'ascendant, le dire c'est parfois lui faire faire notre choix (pas nécessairement le bon) et devoir l'assumer. Ou parfois on a peur qu'il le prenne mal ou qu'il pense qu'on le juge.
Alors que pourtant la famille, les amis, nos êtres précieux par dessus tout, ça doit être ceux à qui on peut TOUT dire, sans peur du jugement et sans peur qu'ils se croient juger. Les vrais amies restent et sont toujours là, sinon ils ne les sont tout simplement pas. La famille, c'est plus complexe, mais après tout, on peut garder que ceux avec qui il y a confiance et réciprocité des actes et de l'amour ! A quoi bon flipper de la réaction d'un membre de sa famille ? Il m'aime comme je l'aime, donc il n'y aura pas de problème. Il ne m'aime pas pour ce que je suis mais pour ce qu'il voudrait que je sois ? Ben donc ce n'est pas moi qu'il aime, il n'y a donc pas réciprocité : pas de problème on règle ça ou on s'en va !
En fait la vie est si simple qu'on l'oublie, mais envoyer bouler quelqu'un c'est simple.
Cas plus complexe les parents...
(Moi déjà envoyer bouler mon paternel en beauté pour des raisons qui ne seront pas dévellopée ici, mais je précise pour que mon message ne cache pas d'élément)
Donc cas plus complexe les parents, c'est plus dur car on les aime et surtout eux on a pris l'habitude qu'ils nous jugent et on l'a accepté inconsciemment depuis qu'on est gosse. On veut leur plaire. Mais on n'en n'a pas toujours conscience que c'est à cause de ça et on le vit comme un fait sans se poser plus de question. Et c'est là que la force est importante. S'ils nous aiment on peut TOUS leur dire. S'ils ne nous aiment pas pour ce qu'on est, bref c'est idem qu'au dessus. On peut (on doit ?) les envoyer bouler s'il le faut ! Ils reviendront s'ils comprennent, sinon sont ils encore des parents ?

Ouais ouais ouais je sais "c'est facile à dire nianniania", mais encore une fois je ne donne pas un mode d'emploi, mais mon point de vu et la tigre attitude que je propose n'engage que moi (d'ailleurs la maison décline toutes responsabilités...)

Oui, tu peux envoyer bouler les gens que tu aimes, s'ils t'aiment ils doivent tout accepter... je déconne bien sûr.
IL me semble que c'est un peu plus subtile que ça tout de même non ?
Ou alors tu as bouffé du tigre ce matin ?
C'est tout le problème de se respecter soi-même tout en respectant l'autre. Actuellement je suis sur un gros dilemme avec ma soeur qui me cause un max de culpabilité, mais j'ai très envie de l'envoyer bouler... mais pas sûr que je le fasse.

Le problème avec la famille c'est aussi que c'est le lieu où l'on a été, soi même ou pas, ou quelqu'un qui n'existe plus, ou que l'on ne veut plus recroiser. C'est le lieu de tas de mécanismes qui se jouent consciemment et inconsciemment. Dans l'absolu, tu as raison Kalthu, mais ce n'est vraiment pas toujours simple...

Oui, souvent on nous colle un rôle que nous ne voulons plus. Il est plus facile d'envoyer bouler les personnes que d'arriver à leur faire comprendre qu'on en a marre de jouer le même scénario, vu les réactions que ça entraîne de bouger d'un micron... Personnellement je vais prendre l'option lâche: faire la morte.

Kalthu, le noeud de l'histoire, il est là:

Ils reviendront s'ils comprennent, sinon sont ils encore des parents ?

Quand on a des parents toxiques, il faut des années pour s'en rendre compte. Il faut commencer par trouver des points de comparaison, sinon on croit que tous les parents sont pareils. Il faut ensuite trouver des raisons solides de penser que nos parents ont tort et d'autres, raison. Il faut, par exemple - notre cas - réaliser que l'amour qu'ils nous portaient n'était pas de l'amour parental, car il n'était pas inconditionnel: il était, quelquefois ouvertement, donné en récompense de notre soumission. Sois ce que nous voulons que tu sois, sinon on ne t'aime plus - et l'enfant sait très bien que la perte de l'amour des parents, c'est la mort. Et nous en avons fait, des sacrifices pour leur plaire. Et plus on en fait, plus ça continue, car il n'y a aucune raison que ça change: nous courons après une ligne d'arrivée qui recule à mesure, et toujours sur un chemin qui n'est pas le nôtre. Sauf si nous décidons de changer. Et nous découvrons alors que, fort logiquement, en face, on riposte en nous retirant l'amour. Désintérêt, dédain, voire conflit ouvert avec cet enfant ingrat pour qui on s'est "saigné aux quatre veines" et qui a le culot de vouloir choisir sa voie au lieu d'obéir, alors qu'on avait tant investi, et qu'on attend le retour maintenant !

On est alors dans le cas où ces parents "ne sont plus des parents", au sens où il est désormais incontournable qu'ils ne se comportent pas comme des parents. La logique commande le rejet ? Comme si on effaçait comme ça tout son passé, toute son enfance, et tout l'espoir que ça change, aussi. Car nous, nous avons rempli notre part du contrat: nous sommes, nous avons été les enfants. Et pourtant on peut compter sur des parents toxiques pour transférer sur ces enfants toute la responsabilité de leur propre trahison.

J'ai ejecté un poison. Mais je ne dis pas que tout ca c'est facile,...

Ce sont toujours des parents biologiques, qui ont en général reproduit leur propre éducation, et l'histoire familiale. A un moment donné, quand cette histoire familiale est toxique, faut la changer. C'est le comment qui est complexe. Il me semble que les écrits d'Alice Miller sont assez fondamentaux à ce sujet.

Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit:Donc cas plus complexe les parents, c'est plus dur car on les aime et surtout eux on a pris l'habitude qu'ils nous jugent et on l'a accepté inconsciemment depuis qu'on est gosse. On veut leur plaire. Mais on n'en n'a pas toujours conscience que c'est à cause de ça et on le vit comme un fait sans se poser plus de question. Et c'est là que la force est importante. S'ils nous aiment on peut TOUS leur dire. S'ils ne nous aiment pas pour ce qu'on est, bref c'est idem qu'au dessus. On peut (on doit ?) les envoyer bouler s'il le faut ! Ils reviendront s'ils comprennent, sinon sont ils encore des parents ?

Ouais ouais ouais je sais "c'est facile à dire nianniania", mais encore une fois je ne donne pas un mode d'emploi, mais mon point de vu et la tigre attitude que je propose n'engage que moi (d'ailleurs la maison décline toutes responsabilités...)

Tigre, j'ai deux enfants.
Une fille qui m'envoie bouler régulièrement et un fils qui ne réclame jamais rien et ne se rebelle pas.

Ma fille va beaucoup mieux que mon fils !
Elle assume. Je contre-argumente. Il faut tenir le choc parce qu'elle est forte la peste !
Son expression préférée : "Maman t'abuses" !

Mon fils... ressasse... ne dit rien. Et je me fais beaucoup plus de souci pour lui.
Mais oui, même fâchées : ma fille et moi nous revenons parce que l'amour et la filiation sont plus forts !
Cela fait partie de son éducation.

Mes parents et moi ? Un rendez-vous manqué !
Alors que ma soeur, non.
Depuis tout petit, je me demande ce qu'ils font encore ensemble, alors que ma soeur surtout pas. Est-ce que c'est parce qu'elle lit des "harlequin" ?

Katlhu, moi j'ai la preuve de ce que tu dis.
Je fais peur.
Mes parents ont peur moi et en ce moment, ils mettent tout en place pour m'aider.
Hier, c'est ma mère qui m'a servit mon verre de rhum et qui est restée deux heures éveillée avec moi pour m'aider à parler de toute la merde que j'ai en moi.
C'est elle qui a fait cela.
Tu as raison, la peur est beau petit moteur à 'haine et à histoire'.
Et si nos parents le sont, ils nous aideront.

Punaise, je marque un truc positif sur ce forum, sabrez le champagne !!!

Si en fait le plus dur dans ce que je dis depuis le début, c'était de se rendre compte que c'est simple ?

Des fois, justement, ce n'est pas si simple... Parce que quand on a le choix entre rester dans un schéma ancien ou couper entièrement les ponts, ce n'est pas simple. Quand ce qu'on veut, c'est ni l'un ni l'autre, mais maintenir une relation tout en l'améliorant, en l'adaptant à la situation actuelle, ce n'est pas toujours évident. Si l'autre n'est pas ouvert à la discussion, il faut essayer de sortir tout seul d'un positionnement dépassé et effectivement parfois "envoyer bouler", mais gentiment, sans mettre en cause la relation de base. Et ce n'est pas facile si l'autre en face a tendance à prendre mal toute tentative de poser des limites.

Ouais mais ça ne marche pas toujours comme on voudrait. Les relations avec les autres (1 fois adulte ds le cadre familialle), c'est 1 ensemble de compromis accepté par les differentes personnes. Ces compromis sont renégociable à tout moment (ce ne sont pas des traités ). Il y a l'affecte qui bien sur compte (heureusement ce n'est pas 1 simple équation). Si un des partis accepte à contre coeur (à cause de l'affecte) 1 compromi, il en souffre et l'afectif aussi par contre coup. Si les personnes sont faites pour maintenir la relation (familialle, amicale...), ils trouvent toujours le compromi. Si quelqu'1 le fait contre sa volonté à cause de l'affectif, il se remet en cause en tant qu'individi, se soumet et souffre. Envoyer bouler dans ce cas là c'est se sauver. De plus rien n'est définitif (l'affectif positif comme négatif).

Si les personnes sont faites pour maintenir la relation (familialle, amicale...), ils trouvent toujours le compromis.

Il y a trois possibilités: soit les 2 camps, comme chantait Brassens, ne sont d'accord que sur un seul point: la rupture, soit les 2 sont d'accord pour un compromis et finissent par y parvenir en effet.

Soit l'une désire un compromis et l'autre pas. Et le drame de l'humanité, c'est que ce troisième cas est de très loin le plus fréquent.

Et dans le cas qui nous occupe, ça nous amène à souhaiter un autre genre de relations avec nos familles, sur la base d'un compromis, mais autre que "je m'écrase et je vous laisse m'utiliser", mais la famille, elle, n'a pas du tout envie de changer quoi que ce soit. Vlaf.

Il est très simple d'en conclure que la moins mauvaise solution est de couper les ponts. Mais après, ça vous plaît à dire, "vous n'avez qu'à couper les ponts": vous trouvez que c'est aussi facile que de jeter une feuille de papier ?

C'est tout à fait ça. Des fois, ce refus du compromis, ce n'est peut-être même pas forcément de la mauvaise volonté, mais au moins partiellement aussi une habitude - surtout quand le "travers" consiste à traiter comme un gamin l'enfant devenu adulte. Ce genre de situation peut être très pesante si ça entraîne des pressions sur l'adulte en question. Alors il faut poser ses limites et les maintenir, face à quelqu'un qui risque d'avoir certains leviers acquis par l'expérience et qui peut jouer sur l'affectif afin de parvenir à revenir au positionnement initial et à transgresser les limites (ou les abolir, d'ailleurs).

Fus... Aucune situattion , meme envoyer bouler, n'est onligatoirement définitive...
Et dres fois ca fait du bien ca lpibère (je paarle de'experience)

A mon avis, ne pas mésestimer la conscience ou pas de chacun sur ce qui se joue dans le contexte familial. Tant que l'autre, le parent, reste dans le schéma qu'il connait, sans comprendre l'impact que cela a sur les autres, que faire sinon fuir ou subir ? Comment expliquer à quelqu'un que les bases sur lesquelles il vit depuis toujours nous sont néfastes, nous nuisent ? Quelle est sa capacité à l'entendre, à se remettre en question ? A accepter ?

On ne peut le savoir qu'en le disant

Certes  !

Oh un Harpo en bleu! La classe j'ai un modo sur mon fil!

Entendu une phrase superbe : "il est plus facile de sourire que d'être heureux"

Donc cette phrase vient d'une chanson de Fauve (rien que le nom ), j'ai découvert ce groupe lundi et depuis j'écoute en boucle (toutes ces musiques me parlent un truc de malade).
Celle que je mets là c'est en gros ce que je voulais dire depuis le début, mais en bien mieux !!



La première que j'ai entendu



Enfin je vous invite (ceux qui ne connaissent pas) à vous y pencher !!!

Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit:Entendu une phrase superbe : "il est plus facile de sourire que d'être heureux"

En effet. J'aime beaucoup.

Ben les musiques de ce groupe ce n'est que ce genre de phrase. Le manifeste du tigre en mieux écrit...
Des textes si je les avais entendu lors de mon "rephasage" j'aurais peut être gagné un temps énorme !
(sinon c'est pratique d'être en jaune/orange pour retrouver son fil )

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Excellent j'aime

Aaaaaaaaaah si seulement on pouvait glisser ce tract sous tous les yeux, et être sûr que chacun le comprenne, en voie la sagesse...

Bien vu Darth  

Hum... tiens, j'ai trouvé ça pour commencer à éponger mes dettes

MERCI

Je précise que je n'ai pas lu tout le fil juste la 1ere page (avec tous les "spoil") et les 6 1ères pages de réponses.

Mais je DOIS te dire Merci, et je finirais de lire tout ce fil.
Tu ne sais pas le bien que ça me fais. Tu as mis en mots tellement de choses, il y a tellement de sens dans tout ça. T'y as mis tes tripes et je dois te dire qu'elles brillent d'un éclat particulier (wé tes boyaux brillent dans la nuit  ).


Si tu ne l'as pas encore vu la vidéo dans le fil écolo : changer vraiment notre mode de consommation... t'intéresseras peut être.
Et je pense que cela peut s'étendre à toute notre p** de vie. Incarner ce que l'on veut voir changer à notre échelle et à l'échelle "planétaire" tout un programme.

J'espère arriver un jour à être aussi ZEN que toi, à être en total accord avec moi même, j'y travaille.
Je n'ai jamais été dans une logique de fanatisation de qui que ce soit (on fait tous caca faut pas l'oublier) mais j'avoue que là maintenant tout de suite, sous le coup de l'émotion sans doute, j'ai envie de suivre ton exemple.



Pour ce qui touche les relations humaines et ton fil "politique" je trouve que le film CUBE est une belle métaphore de la vie actuelle : bien que le problème à résoudre soit complexe on a tous en nous une partie de la solution, si on est solidaires et qu'on arrête d'être défiant/méfiant envers tous les autres, avec un peu de bonne volonté, on arrivera à survivre, dans le cas contraire seule la terre survivra. Et pour l'instant on se dirige + vers la fin funeste du film que de "l'utopie" qu'il laisse entrevoir.


Encore MERCI

L'amusant, c'est qu'il y a contradiction entre les deux images.
Puisque le tract ne fait que teller aux électeurs what ils auront à do lors des élections.

Ce qui, à mon sens, veut dire que cette tarte à la crème "je veux pas qu'on me dise ce que je dois faire" est vide de sens. Si personne ne partage à personne ce qu'il pense être la chose à faire, alors nous sommes condamnés à être des individus oeuvrant isolément, les yeux et les oreilles bouchés, protégés de tous les tribuns certes, mais aussi privés de tout conseil, de toute analyse, de tout renseignement, de toute lumière; sourds, aveugles, les bras tendus en avant et criant très fort "Je fais rien que c'que j'veux !" Certes: mais tu piétines sur place, camarade.

La liberté, ce n'est pas de n'écouter personne hormis soi-même, mais de choisir qui on écoute et qui on suit, selon son discernement...

@ petitefadette : de rien.
@Fusain : L'idée dans le mélange n'était pas celle là, mais la tienne est pas mal

Bon ça y est, pour cette année, le terrain c'est fini :'( . On va m'enfermer pendant plusieurs mois pour le lavage et l'enregistrement et bases de données du matos qu'on a sorti !
Mais bon rendez vous en mars pour la 2ém tranche, plus grande, plus riche, plus prometteuse !!!

Pour un petit sujet d'actu (et pour ne pas faire de politique je ne dirais pas que j'emmerde Vals, comme tous ceux qui veulent reprendre les vieilles recettes nationalo à des fins électorales)



Et pi tant qu'on y est

.

 

On m'a enfermé, pour compter du silex!!!

fais gaffe de pas t'enflammer  .....oui elle est facile je sais  
sympa ta presentation et les images humoristiques aussi
salut à toi le tigre!

M'enflamer ???
Mon nouveau chef trouve que je suis refractaire à l'autorité mdr!!!

C'est très surprenant comme appréciation... (Le tigre ne vit pas en troupeau ni en meute.)

Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit:M'enflamer ???
Mon nouveau chef trouve que je suis refractaire à l'autorité mdr!!!

Oui t'es un rebelle p'tit frère ! Je suis content de l'éducation que je t'ai donnée

Ce matin mon facebook n'a rien trouvé de mieux que de me rappeler qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire d'1 amie...
Sauf que cette amie n'est plus!

Alorse que lui souhaiter ?
J'ai envie de souhaiter à tous ses amis et famille : longue vie et soyez heureux, profitez de chaque moment, de chaque respiration comme d'un cadeau, de chaque rencontre comme d'un trésor, de chaque dècouverte comme un miracle!
Vivez, lisez, écoutez des musiques la ville, la nature. Chaque moment est unique, sans come back, vivez le présent, révez votre future faites qu'il soit beau!
Il n'y a que les limites de notre imagination pour limiter notre bonheur!
Alors sourions d'ëtre encore là! Sourions de penser de réver d'aimer!
Carpe diem à vous tous. Du fond de votre prairie zebres, entendez le tigre qui hurle de sa jungle "soyez heureux et s'il le faut je serai là"

10. Quel est l'avantage, pour celui sui travaille, de la peine qu'il se donne?
11 .Dieu a fait toute chose belle en son temps, il a mis aussi dans leur coeur l'éternité, mais sans que l'homme puisse comprendre l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin.
12 .Et j'ai reconnu qu'il n'y a rien de meilleur pour eux que de se réjouir et se donner du bien-être pendant leur vie,
13 .Et en même temps que si un homme mange et boit, et jouit du bien-être au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu.

Y a pas que Facebook pour le rappeler, d'ailleurs...

@@ Fus. Jen'ai pas beqoin de ton dieu pour faire mon bonheur! Je m'en sors pas mal !
Fleur : ouais

Une chose flippante que je viens de comprendre : Sur ce forum beaucoup de monde se sent en décalage par rapport aux "autres"*. Du coup cette fameuse peur blabla**, ou bien se fameux problème au boulot blabla**, ou le je ne me fais pas d'amis blabla**.
Alors là les gars, les filles, les amis, chers lecteurs, chères lectrices, chèr(e)(s) vous tou(s)(te)(tes) et même les autres, le bon côté d'être moi et bien c'est que cette règle je l'ai inversée !!! Et oui, je me suis rendu compte cette semaine que les autres se sentaient en décalage par rapport à moi !!! Et voui !!! D'où eux qui font l'effort blabla"**

Comme je l'ai dis plus haut, même si n'a pas fait l'unanimité, si le plus simple c'était juste de se rendre compte que tout est simple, voir trop simple. Souvenez vous gamin, à l'école quand on vous demander un exercice simple, trop simple, tellement si simple que quand vous leviez la tête vous vous disiez "mes bordels de merde, ils ont tous l'air de chercher de pensez, ça ne doit pas être ça la réponse c'est bien trop simple. Mais l'autre intello de binoclare il à l'air d'avoir du mal, non je dois me planter, la réponse doit être plus complexe" et pourtant, la réponse était bien celle là !!! Et bien les relations sociales, l'approche du bonheur c'est le même piège TOUT est simple, trop simple, la première réponse est la bonne !
Et donc ? Et bien les autres sont en décalage par rapport à moi, mais je fais quand même un effort pour leur laisser une chance, je ne suis pas un méchant, je ne vais pas les priver de ma présence, de la chance de me connaitre quand même.
Vous voyez cette dernière phrase, là je m'adresse à ceux qui ont du mal avec les autres*, les autres*** vous pouvez passer à autre chose. Donc cette phrase vous voyez, elle est simple, simple au possible, c'est l'autre**** qui est en décalage ! Mais je lui offre la chance de me***** connaitre !!! Et bingo le monde est simple !!!

Donc je reste d'accord avec mon idée de "le plus dur c'est de comprendre que c'est simple" ! J'allais oublier : c'est mon fil ;)le mode d'emploi de la tigrattitude, donc je ne peux pas me tromper (ah oui, pour ceux qui ne connaissent pas (encore), la confiance en soit c'est un truc vraiment génial, dur à avoir, mais quand on l'a on ne la lâche pas et on s'en sert souvent pour ne pas l'user !!!).
Promis je poste un vrai long message bientôt (voir demain si j'ai le courage, vous être nombreux à m'avoir demander la suite des interview de la "peur" et ses amis)

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Petit concours : https://www.zebrascrossing.net/t13100-concours-les-jeux-de-kalthu