Aethos...où l'éthique de l'ontos au logos...en passant par le pathos

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Message par Aethos Jeu 16 Jan 2014 - 9:42

Dent pétée Dent pétée Dent pétée Dent pétée Dent pétée Dent pétée Dent pétée Long hug 
 Long hug Long hug Long hug Long hug Long hug Long hug 

Et plein de câlins chère Ise...

Merciiii

Aethos

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Message par Ise Jeu 16 Jan 2014 - 9:48

Aujourd'hui on a pile 10 ans d'écart, mais bizarrement ce chiffre rond me rapproche de toi (même si depuis nos échanges si riches tu es dans ma tête pour toujours !)
Je te souhaite une super journée, pleine de petits et grands plaisirs, des plus évidents (mmmm gâteau) aux plus fous (là c'est toi qui vois !)
 Long hug Un ange 
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Message par Basilice Jeu 16 Jan 2014 - 10:00

Bon annif Aethos, et bonne suite de parcours.  Smile 
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Message par Mowa Jeu 16 Jan 2014 - 21:59

happy birthday, man!
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Message par Invité Jeu 16 Jan 2014 - 22:28

Bon anniversaire à toi l'Homme qui déborde d'amour !

Ton enfant intérieur est prêt, je crois :
à gravir l'échelle du sens:

à rencontrer ses démons ?:

à entrer en Fée et rit ?:

Que ce jour soit le début d'un renouveau :
Un nouveau jour se lève:


Dernière édition par Rhaaaaa le Jeu 16 Jan 2014 - 22:29, édité 1 fois (Raison : paske)

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Message par Ise Ven 17 Jan 2014 - 10:02

Rhaaaaa :
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Message par Aethos Mar 21 Jan 2014 - 11:20

@ ISE: merci beaucoup pour le chiffre rond... et la différence est bien ténue en ce qui concerne les ans... A nos dix ans alors et merci pour tes pensées et nos échanges... qui resteront elles aussi dans ma tête et mon coeur!  Un ange 

@ Basilice: un immense merci pour l'annif... que je snif avec plaisir! Plein de bonheur à toi et de découvertes! Becs  Bisous 

@ Mowa: merci pour ton soutien et ton écoute... et merci à la woman... En me réjouissant de te revoir un de ces 4!  Un ange 

@ Rhaaa: après l'ascenseur social en panne, j'ai testé les échelons manqués... l'enfant que je suis néanmoins gravit, s'arrête, regarde et reprend son ascension. Parfois il redescend pour affronter ses démons restés au sol et leur réapprendre la docilité, mais toujours l'enfant rêve, rêve, bien éveillé, de ce monde qui l'a vu naître et qui porte aujourd'hui encore ses songes.

Je remarque ici que les femmes sont plus enclines à me souhaiter une noyeux jannisaire que les hommes... ce qui n'est pas pour me déplaire d'ailleurs! Eh bien, Mesdames, Mesdemoiselles... un immense merci à vous toutes qui m'avez entendu et lu, écouté et aidé dans mes réflexions parfois tarabiscottées. C'est toujours avec un immense plaisir et énormément de respect que je m'en remet à vos vues et vos idées... souvent éclairantes et subtiles...

Simplement MERCI! Plein de bonheur, de tendresse, d'amitié et de chaleur pour vous toutes...

Sincèrement...

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Message par Aethos Lun 12 Jan 2015 - 9:43

Bon Bon Bon...
Afin de me pétrir et de me malaxer encore, comme tous mes propos sont sujets à interprétation, je me dois de prendre des gants et demande ici pardon à ceux que j'auraient froissé par laxisme formaliste d'expression de mes idées. Une idée n'aura jamais la précision formelle d'être universellement reconnue, il serait bon de s'en aviser, moi le premier.

Je ne reconnais aucune "raison" au meurtre qui soit mu par autre chose que la nutrition. La vie n'ayant d'autre sens qu'elle-même, je ne vois rien de mal à prendre des vies, je l'ai déjà fait. Je suis pêcheur et j'aime les animaux... j'ai tué pourtant et assez "violemment" d'ailleurs. Vite, et bien...pour me nourrir. Je n'ai aucun scrupule... ma condition a entraîné ceci... la nécessité de consommer une forme d'énergie plutôt qu'une autre à toute fin de survie formelle, survie autorisant la vie par ailleurs, si tant est qu'il y ait une distinction à faire...

Lors de ma "première" mise à mort, je dois vous dire que ce n'était pas rutilant... Pourtant, je considère que ma fois c'est comme cela, l'humain ne cessera jamais de s'en vouloir de mourir, impuissance formelle de tout ce que je deviens... Une forme et pas une autre.

Bref, je demande ici pardon, d'avoir pu laisser à penser que je considérais ce massacre comme entendu... Il l'est entendu d'ailleurs et il était clairement anticipable... pas formellement s'entend, mais dans les faits, il s'agit simplement d'une erreur, irréparable, commise, au nom de bien des choses. IL est des choses dont le nom de m'intéresse pas. Plus encore, j'aime des choses dont je ne connais pas le nom... Et cela m'est parfaitement égal de savoir que certains penseront que je défend ceux qui ont perpétré ce massacre. Je ne les défends pas, ils n'ont absolument pas besoin de cela... Je voulais dire, non pas qu'il faut retourner la responsabilité... je pleure, les morts de Charlie, comme je pleure quotidiennement les morts du monde, ces enfants aussi innocents qui meurent par milliers dans le monde parce que nous avons des Super U, des Hypermarchés, des Citroën et des Renaud pour nous déplacer à des endroits ou nous pensons devoir aller parce que l'on nous l'a dit... au travail par exemple.

Je regrette une fois encore qu'il ait fallu un ennemi de la liberté pour que celle-ci trouve à s'exprimer de cette façon... alors plutôt de ne que voir ce qui se passe on va aller chercher des explications à une telle "solidarité" dans notre passé... ou dans notre avenir... MAis on ne perd jamais que le présent...

Je déplore que par réduction formelle nous n'en venions à considérer l'existence d'une chose que par opposition ou différence à... c'est certes un biais de l'esprit humain de ne percevoir que les différence pour expliquer le semblable... De concevoir qu'une chose ne puisse jamais être que le contraire d'une autre or il en va autrement c'est évident... Qu'une chose n'est pas ce qu'elle semble et que ce qui semble peut tout aussi bien être cela...

DOnc, non, il n'y a pas de responsabilité plus d'un côté ou de l 'autre, il n'y a que mort et culpabilité... la culpabilité ne relevant absolument pas de la responsabilité. Etre responsable, c'est embrasser l'inattendu et le non consenti, ce que je n'avais pas prévu... Et cela, même largement anticipable, ne relève pas de la responsabilité Il n'y a de culpabilité que dans l'idée de l'homme..et si les Dieux existent, ils se contrefoutent de ce que l'on a fait de leur idée... il ne nous en veulent même pas... IL n'y a que nous pour nous en vouloir... EN ce moment, s'ils existent ce DIeux, doivent être en train de ripailler sévère en pleurant tout leur saoul du fait que nous leur manquons... et qu'ils se réjouissent de nous retrouver à leur table...

IL ne peut y avoir de responsabilité ou il y a culpa... la culpa possédant en propre ce sens de nous abdiquer la liberté... je ne suis coupable que lorsque je commet quelque chose que je ne voulais pas commettre. Après, commettre un acte à toute fin sanguinaire sous-prétexte de tort ou de raison, n'a aucun sens aucun... personne n'a tort ou raison, juste des idée relativement absolue de personne pétries de certitude...

Le combat pour la liberté ne réside que dans le doute sur la liberté. Mais oui, continuons à aller chercher cette fameuse liberté qu'on nous a laissé. Ma liberté n'est pas celle des autres, ni celle que l'autre dit que j'ai... Si vraiment elle existe, elle n'a de mon vivant, que vocation relative...

IL est bon de se "battre"...avant tout avec soi-même... et d'aucun serait aviser de savoir que tout combat avec autrui est un aveu de faiblesse... faiblesse ontologique qui m'amène à considérer une plus grande légitimité de ma personne que l'autre.

Une liberté se sachant n'a pas le besoin d'être prouvée... ON passe notre temps à le prouver parce qu'on en doute. C'est tout. Une puissance connue n'a pas besoin de preuve ou de démonstration... et non, l'être humain ne réside largement pas dans ses actes... Heureusement d'ailleurs.

Les biais logique sont nombreux dans l'esprit humain... d'abord, il a cru à la nécessité de la distinction, et du la différenciation formelle, pour ensuite justifier l'égalité des chances. Molière, grand Génie de son temps, maître absolument relatif d'une langue qui était la sienne, a dit une chose merveilleuse dans le Misanthrope; Acte premier scène une...

Le Misanthrope

Nous aurons toutes et tous longtemps disparus avant que d'aucun accepte enfin sa condition de mort en sursis et je ne m'en voudrai pas de mourir, pas plus que je ne le reprocherai à d'autre... comme cela se peut-il que pense, entre mes certitudes et ma bile, avoir pour vous autre chose que des doutes ou de la honte, et jamais je ne m'en remettrai, pour vous aimer ou vous juger, besoin du truchement d'un Archonte.
Je ne vois dans le juge que l'odieux présage de l'erreur humaine, celui qui ne s’embarrasse que de déficit de preuve. Sans plus de pardon, ni plus de raison.
C'est à force de tant vous aimer, que mon coeur las, en est venus à vous détester. Car à force de scrupules, de franchise et d'honnêteté, j'ai été ben que vous aimé...et pourtant libre je suis demeuré, de vous vivre et mourir, rire et pleurer. Rien de ce qui fut dit ou de ce qui fut fait ne changera la liberté ultime, de vivre ou mourir.

Pour cela à mon cœur je dois consentir, quelque folie et autant de désir, de rêver encore ce jour ou je donnerai, en âme et conscience, un amour sans complaisance.
Car alors de nature ma raison, s'offusque trop souvent de ce qui n'est pas moi, pour croire que je serais plus légitime que l'autre. Dans mon for, imprenable et incorruptible, réside comme en vous toutes et tous de quoi nous libérer alors, non de notre condition, qui n'est pas mauvaise, de mourir, mais d'apprendre à le faire utilement... Et toute mort n'est bien souvent que la vie qui la précède. Et oui, je serai bien moche d'admettre que formellement certain seront plus utiles morts que vivants... Maintenant, il ne me revient pas de décidé l’utilité des autres, ni de la mienne. Tout affairé que je suis à tenter de sauver ma vie, sans prendre celle des autres, autrement que pour me nourrir.

Soyez averti que l'adversité puisse s'arrêter là, car en vous je ne vois pas de combat. Je suis souvent senti guerrier et plus batailleur qu'à mon tour, en mon sein et non à dessein, afin de ne pas vous nuire. Car ma condition est précisément celle qui m'a permis d'envisager le mal. Et si al liberté se veut absolue, la mort des uns ne justifiera jamais la mort des autres... Pas plus que leur vie.

J'ai pour vous une indicible tendresse, qui se veut, indifférente et infinie, qui ne saurait s’embarrasser de vos actes ou de vos idées, car alors je vous ai vu rire et pleurer, vous indigner et vous embrasser encore... IL n'y a d'autre sens dans la vie que celui que je daignerai lui donner, et je n'ai pas besoin que ce sens soit reconnu pas d'autre pour le savoir légitime... mais être légitime...cela ne veut pas dire plus juste, moins faux... cela veut dire qu'il existe.

Je n'ai besoin d'aucun preuve de votre existence pour y croire, je n'ai besoin d'aucune démonstration... vous existez et cela est bon... car votre droit à exister, inaliénable vous a d'ores et déjà été offert... personne ne vous en accordera un plus grand ou un moins grand e votre vie. Vous existez, ils existent...nous existons et cela est bon, de savoir exister un instant avant de périr. Car seule ce rite initiatique de la vie relève un sens...a chaque seconde renaître encore et encore et se penser soi, avant de penser les autres, pour nous éviter le jugements et le quiproquo, l'erreur et le malentendu...

Mon amour ira au pardon, mon amour ira jusqu'à reconnaître que ce qui fut fait est en acte et en forme une erreur irréparable... car nul ne répare une vie qu'il a prise... pourtant je ne serai aps celui qui distribuera mort et jugement... nombreux sont sont qui méritent la vie et qui sont mort...l'inverse étant vrai par ailleurs. IL convient de savoir quoi faire du temps qui nous est imparti... et ce temps est le garant de nos acte... car sans ce temps qui passe, plus aucun acte n'est plus nécessaire... mais comment pourrait-il en être autrement?

IL n'y a pas de responsabilité, ni de culpabilité, concepts proprement humains, et rien qu'humains. Personnes ne nous en veut à part nous... ne pourrions-nous pas faire une chose de cette énergie colossale de la culpabilité... de mourir et de laisser mourir?
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Message par Invité Jeu 15 Jan 2015 - 9:55

Merde ça va faire un an que je suis venue déposée un tit quelque chose ici !
Un peu de douceur en ce jour de pré anniv !
Une double présence, car une autre posteuse de cette page n'a pas la possibilité de le faire :
Les instants précieux de partage ne s'oublient pas !

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