Être heureux.

Pour cela, il faut être courageux, savoir affronter l'instant.

Pour cela, il faut pouvoir être vivant dans l'instant. Spa toujours facile.

Moi, je déconnecte rapidement quand je comprends pas. Ptet fo que je sélectionne plus mes instants et mes gens, je sais pas.

Et quand je déconnecte, je me retrouve loin du groupe, comme d'habitude, allais-je dire. Mais le truc, c'est que ça m'arrive relativement tout le temps quoi, et je rejoins, comme dirait moi, d'autres personnes dans ce qu'ils sont. Je pense à des gens qui m'appellent?
C'est pas toujours évident, parce que je pleure pour eux souvent. Et puis, quand je pense à tous les pitchouns que je connais, là je peux vous dire, que c'est autre chose. Cries.

Mais c quand je déconnecte que je rêve, (que je pars en état de conscience modifié pour les "intimes"), que je pars dans mes constatations sur le monde. Il y a alors un mélange de rationnel, d'émotions, d'énergies, de chaleur, avant que que je me rende compte que ça fait un bail que je ne suis plus dans la conversation.

Mon frère, il fait pareil. Alors, on lui disait, dis simplement: Je rêve pas, je réfléchis. Hihi.

Je t'aime.

"Je t'aime." -> Je t'apprécie sans te connaitre,


Introversion + hypersensibilité/hyperémotivité/hyper-empathie ? (ouai, une brochette de hyper )



Le problème de ton sujet, c'est qu'il pose pas réellement de question, il expose juste ta vie ... Que répondre ?

Si ce n'est que tu as posté ce message à 2heures 54, donc assez tard dans la nuit ... Insomniaque ? Over-thinker ?

Réponds ce que tu veux !

La recette du bonheur:

Vivre du bon. Faire ce que l'on aime.

Méditer, aller voir des énergéticiens, faire de l'introversion, pour guérir les moments noirs.

Éviter de vivre du noir que l'on devra guérir ensuite.

Je partage ce problème de déconnexion avec la réalité.

Dans un groupe, la plupart du temps j'ai ces "absences". J'observe l'environnement, les gens qui parlent et que je n'écoute plus, je me connecte à une musique qui passe dans le fond, je me perds dans mes pensées. Quand on attend une réaction de ma part, je comprends quelle expression prendre, je dis quelques mots d'approbation, parfois je me reconnecte brièvement pour relancer la conversation.

Mais le pire c'est quand je suis avec des proches, mes enfants en particulier. Mes émotions m'oppressent rapidement alors il faut que je prenne de la distance d'une manière ou d'une autre. J'utilise souvent un appareil photo qui me sert de paravent, qui me donne ce minimum de distanciation nécessaire. Et puis je me dis que ces moments que je n'arrive pas à vivre pleinement dans l'instant, je pourrai au moins en ressentir les émotions de manière différée, en regardant ces photos ou ces petits films.

Etre heureux c'est accepter sa condition humaine, dans toute sa misérabilité.

 

Doinel a écrit:
Je partage ce problème de déconnexion avec la réalité.

Dans un groupe, la plupart du temps j'ai ces "absences". J'observe l'environnement, les gens qui parlent et que je n'écoute plus, je me connecte à une musique qui passe dans le fond, je me perds dans mes pensées. Quand on attend une réaction de ma part, je comprends quelle expression prendre, je dis quelques mots d'approbation, parfois je me reconnecte brièvement pour relancer la conversation.

Mais le pire c'est quand je suis avec des proches, mes enfants en particulier. Mes émotions m'oppressent rapidement alors il faut que je prenne de la distance d'une manière ou d'une autre. J'utilise souvent un appareil photo qui me sert de paravent, qui me donne ce minimum de distanciation nécessaire. Et puis je me dis que ces moments que je n'arrive pas à vivre pleinement dans l'instant, je pourrai au moins en ressentir les émotions de manière différée, en regardant ces photos ou ces petits films.

Mais comment as-tu fait pour entrer dans ma tête !!!  

Être heureux, cela a toujours été mon graal depuis que je suis en âge d'y penser. Cela m'a toujours paru beaucoup plus inatteignable que tout le reste (l'argent, l'amour, la gloire...)

Cela m'a conduit à faire des choix et des sacrifices couteux dans ma vie. Je ne saurais jamais s'ils m'ont permis d'êtres + ou - heureux qui si j'avais fait d'autres choix, mais j'ai l'intuition qu'ils m'ont permis de me rapprocher, fut-ce imperceptiblement, de mon graal, et c'est déjà une vértiable satisfaction.

Bonne chance à tous ceux qui veulent être heureux.  

Finalement être heureux se résume assez facilement, c'est être soi-même et vivre en harmonie avec ce qui nous trotte dans la tête. Malheureusement étant très idéaliste, le moment historique que nous vivons ne prêtent guère à l'exercice.

Pour moi le bonheur, c'est vivre son intimité, accepter ses émotions, pouvoir transmettre son vivant intérieur.
Le bonheur, c'est aussi le partage, donner un sourire, les meilleurs bonheur sont souvent dans les petits actes du quotidien et les petits mots prononcer qui viennent booster l'existence et apportent comme un oxygène vital.