Quand avez vous compris que vous étiez Surdoué/HP/HQI/Zèbre/Autre/...

Je me suis sentie, perçu, et accepté comme ayant un fonctionnement différent (à l'époque on disait surdoué) jeune (c'était acté comme tel pour moi autour des 8 ans).

Je suis plutôt étonné à travers les témoignages ici que pour la plupart ça semble être une "révélation" beaucoup plus tardive et souvent avec l'aide d'un test.

Donc ma question en fait c'est quand ? pourquoi ? comment ?

J'ai ete diagnostiqué avec intelligence nettement superieure a la moyenne a l'ecole elementaire
J'ai fait des ecoles decrites comme elitiste (terme peu elogieux ) , et encore j'etais le premier de classe et je m'emmerdais


le zebre detecté tres tard, c'est du mythe urbain, j'aimerais rencontrer le type qui a inventé ce mythe.

zebrepat a écrit: le type qui a inventé ce mythe.

objectif : https://www.cogitoz.com/honoraires

subjectif:

Vous êtes tendu dis donc

zebrepat, tu as été diagnostiqué tôt, pour quelles raisons ? tu avais conscience de ça par toi même ?

le zebre detecté tres tard, c'est du mythe urbain, j'aimerais rencontrer le type qui a inventé ce mythe.

Un autre mythe urbain peut être : le HPI ne peut pas s'adapter à ce monde et sera toujours malheureux ?

Il y a une différence entre "se douter qu'on a un fonctionnement différent" et "se savoir HPI/Surdoué/zèbre etc..."
Tout le monde n'a pas eu la "chance" de se faire diagnostiquer enfant et donc de se rassurer quant à sa santé mentale par exemple. Je n'ai jamais été testée, j'ai toujours été consciente que j'étais décalée, mais il y avait tellement de raisons autres qui pouvaient expliquer ce décalage... Et je me suis longtemps pensé folle, à ne pas oser en parler de fait, de peur d'être enfermée en HP (oui oui, à l'adolescence je l'ai cru et une partie de ma vie adulte, croyances alimentées par certaines personnes de mon entourage).
Donc oui, on peut se découvrir sur le tard, et c'est tant mieux. On a toute une vie pour se connaître et ce n'est déjà pas assez long...

On peu aussi "se savoir HPI/Surdoué/zèbre etc..." sans diagnostic (là je sens qu'il y en a qui vont faire des bonds )

On peut se douter, mais savoir ? Sans test, ça ne reste qu'une croyance, voire une conviction ok, mais pas une certitude...

Ben si, une certitude qui dépasse le sens des tests.

D’ailleurs (ce n'est pas le sujet mais bon) on a la certitude de quoi qd on a passé le test ?

A quoi bon savoir quelque chose qui, finalement, ne veut rien dire ?

Il y a autant de façons d'être "différent" que d'individus.

Quand on est con on le sait pas non plus .

Tu peux être convaincu mais te tromper pourtant... Après, j'imagine que ça dépend de chacun. Moi, je n'ai pas assez confiance en moi ou en mes capacités pour me présenter comme surdouée ; pourtant je me reconnais beaucoup dans ces caractéristiques, j'ai pleins de faisceaux d'indices m'indiquant que possiblement oui je le suis, mais ça ne reste que de la croyance soumis à pléthore de potentiels biais qui se doit d'être vérifié (et les tests servent à ça, avec les limites évidemment que ça a) pour être considérée comme une certitude.

St'ban a écrit:Quand on est con on le sait pas non plus .

Quand tu vis dans un monde ou tu dépasses la plupart d'une tête tu n'as pas besoin d'un mètre et de connaitre la taille moyenne (sans parler de la distribution des tailles) pour comprendre que tu es plus grand que cette moyenne.

J'ai vécu entourée de gens intelligents voire très intelligents à côté desquels ma propre intelligence ne détonnait pas (et ne tenait pas la barre très haut non plus...). Pareil pour la taille, je viens d'une famille où je suis la plus petite (et quand j'étais mariée, dans ma belle-famille également j'étais la plus petite), et pourtant tu m'as déjà vue Wich, je suis considérée comme une grande femme, mais je n'ai eu conscience que je n'étais pas petite que très tard.

Fabrice micheau detecte des hpi sans test (9:03)

Moi, je ne les détecte pas le Hpi St'ban

SaraharaS, à l'école tu n'avais pas conscience de ta taille ? avec les voisins ? qd vous sortiez ? les copains, copines ?

Wich a écrit: on a la certitude de quoi qd on a passé le test ?

On a la certitude de l'avoir passé. Normalement. Après c'est toujours saint de rester circonspect.

https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-de-la-justice-2011-1-page-147.htm

Et donc ? Mis à part t’en souvenir au moment où tu passes sous un porche, ça t’apporter quoi de savoir que t’es plus grand que la moyenne ?
Se croire/penser/savoir plus « intelligent » que les autres ne sert à mon avis qu’à se situer sur une échelle pour pouvoir « se mesurer » aux autres alors qu’on devrait plutôt œuvrer à se dépasser soi-même

Hirondelle78 a écrit:Et donc ? Mis à part t’en souvenir au moment où tu passes sous un porche, ça t’apporter quoi de savoir que t’es plus grand que la moyenne ?
Se croire/penser/savoir plus « intelligent » que les autres ne sert à mon avis qu’à se situer sur une échelle pour pouvoir « se mesurer » aux autres alors qu’on devrait plutôt œuvrer à se dépasser soi-même

c'est important lorsque on doit S'habiller chez le tailleur lambda

A l'école primaire, je m'en rendais compte parce que je dépassais tout le monde, même les garçons et qu'on nous rangeait par taille (mais j'étais dans une école où on était en tout et pour tout 6 à 8 élèves dans toute l'école). Mais passée l'adolescence où les garçons grandissent et m'ont dépassée, cette conscience s'est effacée. Et je n'avais pas de voisins, je ne sortais pas vraiment, et j'avais très peu voire pas d'ami(e)s (oui je vivais dans un drôle d'isolement, j'ai grandis très à part, ce qui m'a fait penser très longtemps que ma marginalité venait d'autres causes que l'intelligence ou la taille).
Bref. Tout ça pour dire que ça dépend du contexte de vie de chacun, de son référentiel propre, et dire que la découverte sur le tard n'est qu'un mythe urbain me semble bien présomptueux.

Bon, on est en train de sortir du sujet là...

Daurinak, je ne vois pas où tu veux en venir avec "L'évaluation de la fiabilité des témoignages"

Hirondelle, je ne me pose pas ces questions là, je demande autre chose.

Spoiler:

out ça pour dire que ça dépend du contexte de vie de chacun, de son référentiel propre, et dire que la découverte sur le tard n'est qu'un mythe urbain me semble bien présomptueux.

Je suis d'accord et je n'ai jamais dit qu'une découverte tardive etait un mythe urbain.

Mais j'aimerais bien avoir d'autre témoignage que des découvertes tardive justement

En cessant  la procrastination  



A peu pres au meme age que toi, j'avais un suivi psychologique regulier en institution jusqu'a ma sortie  (internat)

St'ban a écrit:En cessant  la procrastination  

Oui mais si c'est plus toi c'est kiki te dépasse ?

Wich a écrit:Daurinak, je ne vois pas où tu veux en venir avec "L'évaluation de la fiabilité des témoignages"

C'est normal. Peu de gens comprennent ma façon de m'exprimer et de dire des trucs. J'ai pas forcément bien compris où tu veux en venir non plus, heureusement comprendre n'est pas requis pour dire des trucs.

je n'ai jamais dit qu'une découverte tardive etait un mythe urbain

Oui je sais, cette partie était pour zebrepat.

Mais j'aimerais bien avoir d'autre témoignage que des découvertes tardive justement

Je ne comprends pas... tu cherches des témoignages de ceux qui ont été diagnostiqués enfant, c'est ça ? Il y en a j'ai l'impression, mais ils se font peut-être moins entendre parce que justement ils ne sont pas dans cette frénésie de la découverte, de ce choc quand tu as passé une grande partie de ta vie à te penser malade... eux, ils ont eu le temps de digérer l'info depuis longtemps donc ça fait partie de leur ordinaire.

Wich a écrit:

St'ban a écrit:En cessant  la procrastination  

Oui mais si c'est plus toi c'est kiki te dépasse ?

Mon égo

Je ne comprends pas... tu cherches des témoignages de ceux qui ont été diagnostiqués enfant, c'est ça ?

Il y a de ça, mais aussi de personnes qui n'ont pas eu besoin de test pour se sentir très tôt (enfant) différent (Hpi surdoué patin coufin...) (promis Daurinak je resterais prudent )

St'ban a écrit:

Wich a écrit:

St'ban a écrit:En cessant  la procrastination  

Oui mais si c'est plus toi c'est kiki te dépasse ?

Mon égo

Je l'avais oublié celui là ... laisse le à sa place. Je vais continuer à procrastiner du coup

Le truc, c'est que se sentir différent n'implique pas forcément que l'on cerne en quoi l'on est différent. Je me sentais différente très tôt, mais j'étais différente :
- parce que ma mère s'est installée dans un petit village perdu en campagne profonde où on ne s'est jamais intégré car pas du coin, pas les bonnes moeurs etc...
- parce que j'étais très pauvre dans un collège puis un lycée où la quasi totalité des gamins venaient de familles aisées à très aisées
- parce que je venais d'une famille d'agnostiques avec un nom juif dans un collège catho pratiquant
- parce que dans ma fratrie on était 4 de 3 pères et 2 mères différents alors que tous mes camarades étaient dans des familles à 2 parents seulement pour tous les enfants (2 familles avec 9 à 10 enfants quand j'étais en terminale)
- etc...

Et je ne me suis jamais sentie intelligente (pas si bête certes mais pas si intelligente) parce que j'étais dans des classes de niveau et qu'il y a beaucoup de HPI dans ma famille sauf que chez moi on accorde peu d'importance du coup à l'intelligence en soi.

Wich a écrit:(promis Daurinak je resterais prudent  )

Quand j'étais enfant on me prenait pour un surdoué. Les professeurs (en primaire) ainsi que mes condisciples. Au collège on me prenait pour un surdoué. Au lycée on me prenait aussi pour un surdoué.  Finalement j'ai passé un test à l'age adulte (pour le diagnostique d'asperger) et je ne suis pas surdoué. Juste un peu Asperger. Ironie.

 A force de réfléchir à la chose, j'en suis arrivé à un certain relativisme concernant ce terme et les attentes qu'il génère, tant auprès de la population générale que de la victime (la personne qu'on colle dans une catégorie qui peut être limitante). Même les gens à qui ça semble faire du bien initialement, se retrouvent parfois enfermés dans une conception trop restrictive de leur propre intelligence.

J'ai choisis une compagne de vie qui n'en a rien à faire de ce terme, ni de la notion d'intelligence. Elle n'est ni bête, ni intelligente, elle est juste intéressante à sa façon à elle. (oui on s'en fou de ma copine, mais moi je l'aime bien alors je parle d'elle, car c'est un sujet de conversation passionnant).

Lors d'une récréation en maternelle, cela m'a frappé, comme un puzzle dans lequel nous sommes tellement pris et focalisés sur chaque pièce qu'on assemble presque sans en avoir conscience qu'on cherche la prochaine pièce et la main ne la trouve pas, le regard toujours
sur ce fameux puzzle mais de vue rapprochée. Mince. On s'éloigne pour trouver la pièce et nos yeux rencontrent finalement ce puzzle complété. Nous n'avions pas fait attention à ce qu'il pouvait bien représenter, trop contents et apaisés d'assembler des pièces, de compléter de mettre chaque chose à sa juste place. C'est un peu ce qu'il s'est passé, je crois, à cette récréation. Je n'étais pas comme ces autres et ne le serai jamais. C'était une certitude. Sensation vertigineuse de la solitude passée, présente et future qui s'impose par et pour ce qu'on est au plus profond de soi, qu'on le veuille ou non.
"Ris-en si tu veux, il faudra bien y croire" comme dit dans la chanson. bon, je n'ai pas ri ce jour là et j'ai été mutique durant quelques temps.

Sinon, pour mon entourage, je sais qu'on a vite dit de moi que j'étais hors norme dès ma naissance et plus les jours et mois passaient, plus on le faisait remarquer. Mais il y a une différence entre entendre qu'on est en dehors de la norme et le fait de conscientiser dans sa chair à quel point cela est vrai et à quel degré cela peut être. Toute petite je le voyais comme ma différence de taille avec les autres de mes âges, rien de plus. Et puis ! Et puis.

Quand j'étais enfant on me prenait pour un surdoué. Les professeurs (en primaire) ainsi que mes condisciples. Au collège on me prenait pour un surdoué. Au lycée on me prenait aussi pour un surdoué.  Finalement j'ai passé un test à l'age adulte (pour le diagnostique d'asperger) et je ne suis pas surdoué.

Et toi ? tu te sentais comment ?
Ce qui me fait sourire dans ton témoignage (merci au passage ), c'est qu'il est le reflet ironique de ce que je lis ici la plupart du temps.

Honnêtement, je me fout des termes que l'on emploi vu qu'en plus personne n'est d’accord pour leur donner une signification commune.

Je dis encore une chose de moi et je continue à vous lire, je n'ai lu aucun ouvrage sur la douance, ce sujet en tant que tel ne m'a jamais vraiment intéressé (je suis arrivé ici en suivant les réflexions/recherches de mon fils), qd je me dis "surdoué" j'utilise le seul terme connu qui m'a interpelé qd j'étais gosse et le sens que je lui donne est trop perso pour que je le partage entièrement. Voilà

Je ne me suis jamais sentie "HP" et d'ailleurs je ne suis pas testée. Hypersensible oui, mais pas HP. Par contre, j'ai toujours constatée que j'étais considérée / traitée par "les autres" comme "une bête bizarre"... puis j'ai embrassée ma bizarritude et je l'ai cultivée, d'abord de manière brutale (puisque je les dérange, je vais leur donner de bonnes raisons d'être dérangés - eh oui j'ai un petit chromosome punk qui sommeille en moi ), puis de manière plus apaisée en faisant la paix avec moi-même (version le discours de la peur de Mandela : laissons rayonner celui que nous sommes).
Depuis toujours, j'ai entendu sur mon parcours "précoce", "zèbre", "être à ta hauteur" etc... que ça vienne de profs, de psy, de collègue, d'amis etc, mais ça ne m'a jamais franchement intéressée: je déteste les étiquettes et les petites cases (pour ceux qui n'auraient pas encore compris )!

Et je suis aussi particulièrement grande et ça, ça me pose un vrai problème !!

Mais il y a une différence entre entendre qu'on est en dehors de la norme et le fait de conscientiser dans sa chair à quel point cela est vrai et à quel degré cela peut être.

Etant jeune j'etais si petit que mes freres pensaient que j'etais loin
J'ai poussé comme une mauvaise herbe plus tardivement...

Wich a écrit:Et toi ? tu te sentais comment ?

Pour moi (merci la télé et holywood) le surdoué c'était uniquement une mémoire phénoménale. Et je n'ai jamais eu de mémoire phénoménale. Je pense que j'aimais bien l'idée d'être surdoué, et qu'étant un peu fantasque, j'ai essayé d'y croire. Mais croire un truc n'en fait pas une réalité.   Y a encore aujourd'hui des gens pour me trouver intelligent. J'ai travaillé avec des polytechniciens qui se sentaient visiblement assez intelligents (surtout dans l'espèce d'élite de l'école), et aucun ne m'a trouvé complètement con. Donc surdoué non, et même probablement pas très intelligent, mais suffisamment original et traversé de quelques éphémères épisodes de fulgurance pour que ça puisse parfois être plus ou moins équivalent.

Enfant j'étais content d'apprendre des trucs : les nombres, la science, les dinosaures, les bases numériques, les probabilités, les simulations numériques.

Un exemple quand je travaillais avec les Charlots (pardon les ingénieurs des grandes écoles élites de la nation), c'est qu'un des jeunes (d'une école mineure quelconque) était en train de parler avec un gars (diplômé de l'X) des tests d'entretiens. Joueur que je suis j'ai demandé un exemple de question qu'il utilisait.  "Quelle est la condition sur les longueurs des cotés pour qu'on puisse former un triangle ?". Coup de chance ça m'a pris 3 secondes de trouver. Ce qui apparemment était "rapide", dans l'expérience de ce polytechnicien, comparé aux candidats qu'il avait l'habitude d'interviewer (j'imagine les ingénieurs des écoles mineurs qu'on prend là bas comme stagiaires pour servir le café; mais j'ai pas eu trop d'occasion de fouiller précisément). Me connaissant ça aurait parfaitement pu me prendre 3 semaines, mais cette fois là ça m'a demandé 3 secondes. Ce qui fût bénéfique à mon égo.

Ça a changé ton regard sur toi ?

Wich a écrit:Ça a changé ton regard sur toi ?

ça m'a permis de réaliser la vanité de ma quête de validation. Il n'y a qu'en moi que j'ai suffisamment confiance pour me faire un compliment. Et il faudra que ça passe par des actes concrets. Des réalisations.

Wich a écrit:

Hirondelle, je ne me pose pas ces questions là, je demande autre chose.

Spoiler:

Ok, alors perso, les profs m’ont toujours dit que « je pouvais tout faire » et j’avais effectivement de grandes facilités scolaires si bien que je ne me suis jamais sentie « en souffrance » mais plutôt chanceuse d’avoir hérité des « gènes de mon papa » comme le pensait ma famille ( que je trouvais objectivement bien plus brillant que moi .
2 ans d’avance, grande école, pas de soucis.

Les « souffrances » ou « sentiments de décalage » (pétages de cable) sont apparues plus tard lorsque j’ai été plongée dans des milieux « hostiles » (grandes entreprises) ou au contact de gens toxiques et manipulateurs.
Je me sens bien avec les HP et j’en suis très entourée mais je n’ai aucune raison de penser que je suis surdouée et préfère ne pas le savoir, étant convaincue que ce n’est pas ça qui m’empêche de fonctionner « normalement » puisque ça a été le cas très longtemps.
Pour moi, un QI ne traduit pas une façon d’être particulière mais davantage l’arbre qui cache la forêt et que se reconnaître comme HP n’est qu’une façon d’éviter de s’interroger réellement sur soi et ne fait que masquer le vrai sujet.

Daurinak, Ok

e me sens bien avec les HP et j’en suis très entourée mais je n’ai aucune raison de penser que je suis surdouée et préfère ne pas le savoir, étant convaincue que ce n’est pas ça qui m’empêche de fonctionner « normalement » puisque ça a été le cas très longtemps.

C'est marrant on dirait que tu t’empêches de te sentir surdouée... essaie en enlevant tout les cotés négatifs accolés récemment à cette étiquette

J'ai été un enfant précoce, j'ai commencé par mater ma grande cousine par la serrure de sa salle de bain à l'age de 5ans...j'ai terminé en psychiatrie

Moi je jouais au docteur avec une camarade dans le placard à balai de la cantine pendant que tout le monde nous cherchais après j'ai pris un long congé

Wich a écrit:Moi je jouais au docteur avec une camarade dans le placard à balai de la cantine pendant que tout le monde nous cherchais  après j'ai pris un long congé

tu lui as prodigué des soins??

A tour de rôle

Wich a écrit:A tour de rôle

Echange de bons procédés

@wich cépafo
C’est d’avoir peut-être trop fréquenté ZC qui me fait dire que je préfère ne pas risquer d’en être ou parce qu’ on m’a tellement collée d’étiquettes (fausses) que je finis par ressembler au bonhomme de Cetelem

Hirondelle78 a écrit:@wich cépafo
C’est d’avoir peut-être trop fréquenté ZC qui me fait dire que je préfère ne pas risquer d’en être ou parce qu’ on m’a tellement collée d’étiquettes (fausses) que je finis par ressembler au bonhomme de Cetelem