L'hypersensibilité, et si c'était une force?

My_illusion a écrit: (Et je vaincrai l’alexithymie forzaaaaaaa)

le sujet possédant peu de capacités imaginatives.

La pauvreté de la vie imaginaire (troisième caractéristique) se reflète dans le fait que ces sujets rêvent peu et, quand le rêve existe, son contenu est pauvre, factuel et réaliste. Les fantasmes seraient rares, et le souvenir, le récit ou la fréquence des rêves apparaissent très perturbés. L’impossibilité de raconter un rêve peut s’apparenter à la difficulté de parler de ses émotions : le sujet alexithymique rêve sans doute (de même qu’il ressent des émotions), mais la verbalisation ne peut se faire. Pedinielli, en 1992, considérait qu’il est difficile de trancher entre une faible activité imaginaire et une activité imaginaire normale ne pouvant être exprimée par le sujet.

Enfin, la dernière caractéristique alexithymique, les pensées à contenu pragmatique (pensées tournées vers l’extérieur plutôt que vers les sensations intérieures) s’illustre chez le patient par une description très détaillée de faits, d’événements, de symptômes physiques ayant produit des émotions mais qui ne sont pas exprimées. Il y a une pauvreté des mots et des tournures utilisées, un évidement affectif du discours et une pauvreté du ressenti dans ce dernier. Le schéma narratif est factuel, sans fantasme ni symbole, avec une tendance à décrire les circonstances entourant les événements.

Wich a écrit:Ca ne serait pas un peu genré comme problématique ?

Wich a écrit:Quand on lit les intervenantes (j'accorde au plus grand nombre pour être inclusif) elles semblent en souffrir beaucoup plus que les intervenants.

Wich a écrit:Mouais, enfin donner des éléments de réponses avant d'avoir réfléchit à la question c'est limite non ?

Joann a écrit:Ah. Je sais pas, peut-être que ces messieurs ont plus appris la solitude des affects ou dans un autre cas, leurs refoulements. Ou que ce n'est pas dans leur "nature" de s'épancher sur ces trucs là.

Ben qui te dit que je n'y ai jamais réfléchis ?

Wich a écrit:

Ben qui te dit que je n'y ai jamais réfléchis ?

Donc on est "protégé" de façon innée (notre nature) ou par l'apprentissage ....
On est bien avancé

Corollule a écrit:

Joann a écrit:

le sujet possédant peu de capacités imaginatives.

La pauvreté de la vie imaginaire (troisième caractéristique) se reflète dans le fait que ces sujets rêvent peu et, quand le rêve existe, son contenu est pauvre, factuel et réaliste. Les fantasmes seraient rares, et le souvenir, le récit ou la fréquence des rêves apparaissent très perturbés. L’impossibilité de raconter un rêve peut s’apparenter à la difficulté de parler de ses émotions : le sujet alexithymique rêve sans doute (de même qu’il ressent des émotions), mais la verbalisation ne peut se faire. Pedinielli, en 1992, considérait qu’il est difficile de trancher entre une faible activité imaginaire et une activité imaginaire normale ne pouvant être exprimée par le sujet.

Enfin, la dernière caractéristique alexithymique, les pensées à contenu pragmatique (pensées tournées vers l’extérieur plutôt que vers les sensations intérieures) s’illustre chez le patient par une description très détaillée de faits, d’événements, de symptômes physiques ayant produit des émotions mais qui ne sont pas exprimées. Il y a une pauvreté des mots et des tournures utilisées, un évidement affectif du discours et une pauvreté du ressenti dans ce dernier. Le schéma narratif est factuel, sans fantasme ni symbole, avec une tendance à décrire les circonstances entourant les événements.

Ça vient d'où ça stp ?

C'est bien connu que les femmes ne savent pas gérer leurs émotions à cause de leurs hormones.

Wich a écrit:

C'est bien connu que les femmes ne savent pas gérer leurs émotions à cause de leurs hormones.

Tu as des sources ?

Chuna a écrit:St je t'ai grillé

Chuna a écrit:C'est bien connu que les femmes ne savent pas gérer leurs émotions à cause de leurs hormones.

Wich a écrit:Ca ne serait pas un peu genré comme problématique ?

Stef-âne a écrit:

Wich a écrit:Ca ne serait pas un peu genré comme problématique ?

  Et bien, voilà une question que je me posais à propos de l'hypersensibilité: Ne serait-on pas plus "compréhensif" face à l'hypersensibilité (ou sensibilité) féminine que vis-à-vis de l'hypersensibilitémasculine?
  "Si t'es un mec, tu ne  dois pas être sensible!", (Disons que tu ne dois pas le montrer).

siamois93 a écrit:Peut-être qu’un homme aura plus de facilité à te faire sentir sa sensibilité froissée par un grand coup de poing.

siamois93 a écrit:Peut-être qu’un homme aura plus de facilité à te faire sentir sa sensibilité froissée par un grand coup de poing.

Stef-âne a écrit:

Wich a écrit:Ca ne serait pas un peu genré comme problématique ?

  Et bien, voilà une question que je me posais à propos de l'hypersensibilité: Ne serait-on pas plus "compréhensif" face à l'hypersensibilité (ou sensibilité) féminine que vis-à-vis de l'hypersensibilitémasculine?
  "Si t'es un mec, tu ne  dois pas être sensible!", (Disons que tu ne dois pas le montrer).

Joann a écrit:Et pas la peine d'être jaloux les mecs, non je vous piquerais pas vos meufs !

St'ban a écrit:

Joann a écrit:Et pas la peine d'être jaloux les mecs, non je vous piquerais pas vos meufs !

Je te la donne, j'en veux plus,
elle fait du bruit en mangeant

St'ban a écrit:Je pleure lorsque j'épluche des oignons, ça compte ou pas??