Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
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Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
chuna56 a écrit:Je crois qu'il faut penser positif et le positif arrive.
Ouaip, en claquant des doigts.
Ce n'est pas très positif ça.
Invité- Invité
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
Ben si, il est aussi facile de voir positif que négatif. Les gens voient toujours le verre à moitié vide, car il est plus simple d'être dans un état de déprime, de penser que l'on subit, plutôt que de sentir qu'on y est presque arrivé... et qu'il va falloir fournir un effort supplémentaire.
Dans le premier cas c'est le confort de se décharger de toute responsabilité, de se persuader que ça nous tombe dessus. Dans le second cas, c'est se mettre un coup de pied aux fesses.
Là où le musulman dit Inch'Allah et où le chrétien dit "aide toi et le Ciel t'aidera". Où plus athée "We shall never surrender" - Churchill.
Dans le premier cas c'est le confort de se décharger de toute responsabilité, de se persuader que ça nous tombe dessus. Dans le second cas, c'est se mettre un coup de pied aux fesses.
Là où le musulman dit Inch'Allah et où le chrétien dit "aide toi et le Ciel t'aidera". Où plus athée "We shall never surrender" - Churchill.
Invité- Invité
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
Onomatopée a écrit:Bon, mon cas, mon cas. Je ne recherche pas forcément à faire ce jeûne à tout prix, je suis juste très curieux, j'aimerais vraiment tester ça "proprement", et non parce que j'me suis pas levé assez tôt pour avaler les flocons, le lait d'amande et les fruits.
Disons que je dois tourner de base autour des 2000 ; qu'en période d'entraînement intense, j'ai clairement besoin de plus. Les oléagineux, j'en cale déjà une belle poignée, précédemment trempées pour les "activer" (exceptionnellement deux). Qualitativement, les voyants sont au vert : quasiment tout fait à ma main, gros consommateur d'eau, fruits, légumes, légumineuses, herbes frâiches et céréales complètes. Si je veux du sucré raffiné, je fais main également. Le tout sans me forcer, me restreindre. C'est fun et ça me plaît, voilà.
.
Si ton alimentation te convient telle quelle, pourquoi en changer ?
L'idée n'est pas de dire qu'il faut absolument le faire, en effet, mais qu'il y a d'autres manières de faire. Nous n'avons pas tous le même rythme, les mêmes besoins.
Comme je l'ai dit, je sentais déjà une tendance à jeûner chez moi, et à préférer faire des repas conséquents et peu fréquents que plusieurs petits repas. J'étais persuadée que c'était très mauvais, et là je me rends compte que peut-être, il y a une possibilité de manger d'une façon qui me convient mieux. Côté plaisir, j'y gagne aussi, puisque la rupture du jeûne à midi est un vrai bonheur, lorsqu'on apprend à manger quand on a réellement faim, on profite beaucoup plus des saveurs.
Pour les horaires, j'ai connu le travail de nuit type 3*8 ... je n'aurais pas forcément opté pour l'IF à cette époque.
@Misoshiro : tu sais en terme de maladie psy, et en particulier de TCA parce que je connais, les interprétations psychologisantes sont à énoncer avec beaucoup de précautions ...
Invité- Invité
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
Mily a écrit:Si ton alimentation te convient telle quelle, pourquoi en changer ?
L'idée n'est pas de dire qu'il faut absolument le faire, en effet, mais qu'il y a d'autres manières de faire. Nous n'avons pas tous le même rythme, les mêmes besoins.
Comme je l'ai dit, je sentais déjà une tendance à jeûner chez moi, et à préférer faire des repas conséquents et peu fréquents que plusieurs petits repas. J'étais persuadée que c'était très mauvais, et là je me rends compte que peut-être, il y a une possibilité de manger d'une façon qui me convient mieux. Côté plaisir, j'y gagne aussi, puisque la rupture du jeûne à midi est un vrai bonheur, lorsqu'on apprend à manger quand on a réellement faim, on profite beaucoup plus des saveurs.
Pour les horaires, j'ai connu le travail de nuit type 3*8 ... je n'aurais pas forcément opté pour l'IF à cette époque.
Ah, j'ne le prends pas comme une obligation ! J'aime juste pouvoir exercer des options différentes, tester, m'amuser quoi, "d'autres manières de faire" comme t'as dit. Enfin, ça attendra quelques semaines, normalement !
Tout me va dans mon alimentation, en effet. Enfin, presque : le végétarisme, toujours un plaisir mais par défaut maintenant. Un autre sujet.
Merci !
Onomatopée- Messages : 111
Date d'inscription : 13/09/2017
Localisation : Là-bas si t'y es
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
Yeah, c'est cool de pouvoir parler "1 repas par jour" ici...je m'aperçois que la pratique semble être bien plus expérimentée que je ne l'imaginais !!! Je ne connaissais pas l'expression de "jeûne intermittent".
Merci Mily pour ce sujet
C'est vrai qu'aujourd'hui, l'accès à la nourriture est tellement aisé à tout point de vue dans nos pays qu'il nous faut désormais posséder une sacrée bonne dose de volonté pour ne pas devenir obèse !
On n'a même plus besoin de fournir d'effort pour pouvoir manger...c'est génial vis-à-vis de ce qu'ont subit nos ancêtres certes, mais désormais, il nous faut devoir produire un nouvel effort, celui de devoir impérativement se restreindre devant la profusion alimentaire semblant illimitée et si facilement accessible !!!
Je pratique la méthode du repas unique depuis trois ans, en candidat libre . Précédemment, j'étais sur un rythme de 2 repas par jour, durant une période de 8 ans.
Je n'ai jamais calculé les proportions et types d'aliments que je devais ingurgité, préférant faire confiance et me fier à mes envies au quotidien pour définir les besoins réels de mon organisme plutôt qu'à des méthodes extérieures.
Et perso, ça a l'air de très bien fonctionner comme ça.
J'observe que ma qualité alimentaire croit toujours petit à petit chaque année, pendant que mes quantités exessives décroissent suivant ce même rythme.
Mon péché mignon, disons-le tout de suite, c'est le grignotage sucré du soir
- Nourriture principalement à base de légumes frais de saison, idem pour les fruits, pain, beurre, fromages, yaourt, légumineuses, oeufs, chocolat noir, gâteaux artisanaux, fruits secs, miel.
- Boissons principalement à base d'eau plate (additionné d'un peu de sirop), tisanes et thé.
C'est le résultat d'une progressive évolution au fil des années...et je ne me vois plus pratiquer à nouveau 3 repas par jour, ce serait beaucoup trop !
Ma prochaine étape va consister à être satisfait tout au long de l'année sans reprendre ces 3/4 kg annuels en automne-hiver que je dois reperdre au plus tard au printemps, en agissant sur la gestion de mes grignotages sucrés.
La prise de poids est insidieuse car elle est arrive en décalage à la prise de nourritures excessives.
Et la volonté est si faible devant des sucreries lorsqu'on observe encore un peu de marge au niveau corporel !!!
Donc, au lieu d'attendre 3 mois avant de réagir scrupuleusement, je vais faire l'expérience d'alterner des petites périodes de grignotages, par exemple d'une semaine, suivi d'une même période d'alimentation stricte, le but étant de pouvoir maintenir mon poids idéal en agissant simultanément sur les périodes de grignotage et de rigueur.
En clair, comment grignoter le maximum sans reprendre une seul kg !!!
Merci Mily pour ce sujet
C'est vrai qu'aujourd'hui, l'accès à la nourriture est tellement aisé à tout point de vue dans nos pays qu'il nous faut désormais posséder une sacrée bonne dose de volonté pour ne pas devenir obèse !
On n'a même plus besoin de fournir d'effort pour pouvoir manger...c'est génial vis-à-vis de ce qu'ont subit nos ancêtres certes, mais désormais, il nous faut devoir produire un nouvel effort, celui de devoir impérativement se restreindre devant la profusion alimentaire semblant illimitée et si facilement accessible !!!
Je pratique la méthode du repas unique depuis trois ans, en candidat libre . Précédemment, j'étais sur un rythme de 2 repas par jour, durant une période de 8 ans.
Je n'ai jamais calculé les proportions et types d'aliments que je devais ingurgité, préférant faire confiance et me fier à mes envies au quotidien pour définir les besoins réels de mon organisme plutôt qu'à des méthodes extérieures.
Et perso, ça a l'air de très bien fonctionner comme ça.
J'observe que ma qualité alimentaire croit toujours petit à petit chaque année, pendant que mes quantités exessives décroissent suivant ce même rythme.
Mon péché mignon, disons-le tout de suite, c'est le grignotage sucré du soir
- Nourriture principalement à base de légumes frais de saison, idem pour les fruits, pain, beurre, fromages, yaourt, légumineuses, oeufs, chocolat noir, gâteaux artisanaux, fruits secs, miel.
- Boissons principalement à base d'eau plate (additionné d'un peu de sirop), tisanes et thé.
C'est le résultat d'une progressive évolution au fil des années...et je ne me vois plus pratiquer à nouveau 3 repas par jour, ce serait beaucoup trop !
- Mon historique alimentaire:
J'ai été éduqué aux 3 repas classiques, élevé [au grain ] aux légumes du potager et à la viande du poulailler chez mes parents, complémenté par des produits basiques du supermarché : produits laitiers, viandes rouge, charcuteries, féculents, et une quasi absence de plats et produits industriels.
Bref, je dirais que j'ai reçu une alimentation assez bien équilibrée et plutôt qualitative, quoique légèrement trop quantitative (avec le recul des années).
En 2001, à 28 ans, commence alors mes premières modifications alimentaires :
- Après une année passée dans un petit village perché des Pyrénées, je me rends que toutes les bouteilles d'alcool sont restées stockées dans les cartons de déménagement. Arrêt surprise et spontané après dix années de sur-consommation festivo-intensive , dont 5 années de vie bordelaise , et doublé qui plus est, de gênes bretons ancestraux !
- Autre changement notoire : ma consommation de viande diminue fortement, et ne devient plus systématique au quotidien. J'oublie de plus en plus souvent de penser à en acheter lors de mes courses.
- Par contre, je développe le commerce du fromage local à moi tout seul puisque mon repas du soir se compose désormais uniquement d'une quinzaine de fromages variés, de pain et de beurre.
Et je n'ai aucun souvenir d'avoir spécialement pris du poids durant cette période, aussi surprenant que cela puisse paraître.
En 2004, à 31 ans, de retour en Bretagne via St Malo, je me contrains à tester la suppression du sacro-saint bol de lait chocolato-caféiné qui m'accompagnait chaque matin avec délice, souffrant d'un petit mal de tête "sourd" et permanent depuis quelques années qui me questionnait de plus en plus.
- Et là, miracle : ces maux de tête disparaissent dès le lendemain !!! J'ai d'abord cru à un effet placebo ponctuel, mais les essais de reprise m'ont confirmé le diagnostic et le rapport entre le lait et les maux de tête.
Je suis passé au lait de soja et ai admis de m'habituer à son goût particulier...
En 2006, à 33 ans, je prends 12 kg en 6 mois, suite à l'arrêt de la cigarette (1 paquet/jour depuis 14 ans) et la compensation sur la nourriture sucrée en particulier : grignotage pendant 6h le soir, pot de glace et brioche à 1h du mat, doublé d'un "terrain neurologique" à tendance additive !
- On est le 30 juin 2006 : je ne rentre plus dans aucune de mes fringues, je n'aime plus du tout ce qu'est devenu mon corps. La saison estivale est définitivement perdue pour moi et je décide de perdre ces 12 kg en 3 mois. Objectif : 73 kg le 1 octobre 2006 :
Désormais, je prendrais un petit-déj copieux en matinée quand je me lèverais, une salade composée seulement quand j'observerais que j'aurais faim (entre 16 et 18h), et uniquement des tisanes à partir de 20h. [c'était la première année où je ne bossais plus]
J'achète un pèse-personne, établie le calendrier de perte théorique, note scrupuleusement mes 3 à 4 pesées quotidiennes, découvre le poids d'un repas, la perte durant la nuit de sommeil, et surtout les activités physiques sportives : jogging 2 à 3 fois par semaine (700 m la première sortie , puis jusqu'à 8 à 10 km au bout de 2 mois ), et séance de piscine 1 fois par semaine, tout en apprenant à nager la brasse puis le crawl en observant les pros !
Résultat : 73,0 kg pile au matin du jour prévu !!!
Pfffiouuuu, promis, je ne recommencerais plus
Le rythme des 2 repas par jour me convenant finalement très bien, je garderais ce fonctionnement durant les années qui suivront.
Ma tendance récurrente au grignotage le soir entraînera une reprise de poids progressive jusqu'à 5 kg, et à pratiquer, chaque printemps, une alimentation scrupuleuse pendant 2/3 mois pour retrouver mon poids de forme pour profiter de la belle saison !
Mais je commence à trouver cette pratique de plus en plus contraignante...
- En 2014, à 41 ans, le goût des "laits de substitution" devient de moins en moins agréable, et j'aimerais trouver le moyen de me faire plaisir à l'année en maintenant mon poids de forme.
Je décide donc d'expérimenter la suppression de cet ex-fameux p'tit-déj (qui n'a désormais plus la saveur d'antan) pour passer à 1 repas par jour quand j'aurais faim (autour de 17-18h), tout en maintenant le plaisir du grignotage le soir.
Il m'a fallu seulement 10 jours pour me passer de l'envie de petit-déjeuner, je m'attendais à bien plus de difficultés !
- En 2015, à 42 ans, je ralentis drastiquement mes achats alimentaires en supermarché pour me diriger vers de petits producteurs locaux, orientés en cultures raisonnée/bio, et je me prends un petite parcelle de jardin. A moi les bonnes vitamines bien fraîches et de qualité !!!
Le rythme de 1 repas suivi de quelques heures de grignotage à base de fruits crus/cuits/glacés, chocolat noir, gâteaux de qualité le soir me convient très bien.
Mes sursauts pondéraux se limitent à +3 kg environ que je dois tout de même perdre au printemps au plus tard chaque année.
- En 2017, à 44 ans, je viens de passer 3 mois principalement en mode "méditation/réflexion/repos/recul/sieste/cuisine/sommeil", une période de bullage certes très agréable pour l'esprit, mais également assez intense en sur-grignotage !!! Résultat : +5 kg Je ne l'ai pas vu venir ce coup-ci...
Objectif : 72 kg pour la mi-mars 2018. Je maîtrise, j'a déjà fait pire...
Ma prochaine étape va consister à être satisfait tout au long de l'année sans reprendre ces 3/4 kg annuels en automne-hiver que je dois reperdre au plus tard au printemps, en agissant sur la gestion de mes grignotages sucrés.
La prise de poids est insidieuse car elle est arrive en décalage à la prise de nourritures excessives.
Et la volonté est si faible devant des sucreries lorsqu'on observe encore un peu de marge au niveau corporel !!!
Donc, au lieu d'attendre 3 mois avant de réagir scrupuleusement, je vais faire l'expérience d'alterner des petites périodes de grignotages, par exemple d'une semaine, suivi d'une même période d'alimentation stricte, le but étant de pouvoir maintenir mon poids idéal en agissant simultanément sur les périodes de grignotage et de rigueur.
En clair, comment grignoter le maximum sans reprendre une seul kg !!!
Invité- Invité
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
Merci pour vos témoignages
Alors Godisgood, l’objectif de mi-mars ?
Petit retour sur mon expérience du fasting depuis fin décembre :
- depuis 3 semaines, j’ai dû assouplir mes fenêtres d’alimentation car j’ai eu à faire quelques déplacements et j’ai eu un peu plus d’activités sociales que d’habitude. Cependant, même après plusieurs jours, j’arrive à revenir assez facilement à mon rythme de jeûne.
- mon alimentation a été beaucoup moins contrôlée pendant cette période (restaus, apéros, grignotages) sans grande incidence sur mon poids. Mon corps aurait-il enfin appris à se réguler ?
- cette semaine, je suis en entraînement intensif. J’ai donc beaucoup plus faim que d´habitude, et l’impression de ne pas avoir assez de temps pour préparer mes repas et manger aux heures dites. Mais avec de l’organisation, en augmentant un peu mes portions habituelles, je pense que c’est faisable.
Globalement, je n’ai pas fait de gros craquages depuis le début du jeûne, je m’impressionne par ma toute nouvelle capacité à prendre un carré de chocolat et à ... reposer la tablette. C’est comme avoir un super-pouvoir XD
Côté performances sportives, je continue à grappiller des secondes à chaque course, c’est plutôt bon signe.
Y’en a d’autres qui ont testé depuis ?
Alors Godisgood, l’objectif de mi-mars ?
Petit retour sur mon expérience du fasting depuis fin décembre :
- depuis 3 semaines, j’ai dû assouplir mes fenêtres d’alimentation car j’ai eu à faire quelques déplacements et j’ai eu un peu plus d’activités sociales que d’habitude. Cependant, même après plusieurs jours, j’arrive à revenir assez facilement à mon rythme de jeûne.
- mon alimentation a été beaucoup moins contrôlée pendant cette période (restaus, apéros, grignotages) sans grande incidence sur mon poids. Mon corps aurait-il enfin appris à se réguler ?
- cette semaine, je suis en entraînement intensif. J’ai donc beaucoup plus faim que d´habitude, et l’impression de ne pas avoir assez de temps pour préparer mes repas et manger aux heures dites. Mais avec de l’organisation, en augmentant un peu mes portions habituelles, je pense que c’est faisable.
Globalement, je n’ai pas fait de gros craquages depuis le début du jeûne, je m’impressionne par ma toute nouvelle capacité à prendre un carré de chocolat et à ... reposer la tablette. C’est comme avoir un super-pouvoir XD
Côté performances sportives, je continue à grappiller des secondes à chaque course, c’est plutôt bon signe.
Y’en a d’autres qui ont testé depuis ?
Invité- Invité
Re: Jeûne intermittent : booster de perf ou nouvelle bullshit diet ?
C'est chouette, tu sembles bien avoir trouvé la méthode adaptée à ton rythme et à ton fonctionnement !
Après ces 3 mois et demi de JI, as-tu encore quelques kg à perdre ?
Si je comprends bien, ton activité sportive te permet -en particulier- de vérifier l'absence de perte musculaire.
Perso, je ne prête pas d'attention particulière sur ce point, mais ça me questionne du coup, mes activités physiques étant plutôt douces : randos à pieds et natation principalement.
As-tu en tête un niveau de "sèche" précis à atteindre ou à maintenir ?
Et comment envisages-tu l'évolution de ton rythme alimentaire actuel lorsque tu auras atteint ton poids de forme ?
*********
Bilan actuel de mon côté :
J'ai perdu 4 kg (77,7 à 73,8 kg) en 5 semaines avec une alimentation stricte, c'est-à-dire simplement sans aucun grignotage. Comme quoi, le grignotage est vraiment insidieux, on ne se rend vraiment pas compte de la quantité d'aliments ingurgitée !
Il me restait donc 3 semaines avant la mi-mars. 3 semaines..."ahhh chuis large" dit Foresti
Du coup, j'ai repris quelques plaisirs alimentaires supplémentaires, type gâteaux, chocolat et fromages principalement, pendant une dizaine de jours. Evidemment, le poids s'est stabilisé, voir une reprise de quelques centaines de grammes !!!
Je ne regrette pas cette petite incartade, qui m'a permis de me refaire plaisir déjà, et aussi d'observer l'évolution -rapide!- du poids au cours de cette période de crackage.
1ère semaine de mars : je reprends le programme strict pour atteindre ce ventre sec (correspondant à 72 kg), tout en m'accordant un tout petit peu plus d'aliments plaisirs, avec une surveillance accrue pour éviter l'entraînement...grrrr
Aujourd'hui, il me reste 1,5 kg à perdre. L'objectif est désormais d'atteindre le poids idéal pour les premiers beaux jours ensoleillés et chauds. Et ça tombe bien car habitant en Bretagne, j'ai encore un peu de temps devant moi...
C'était le but initial de toute façon, je me gardais un peu de marge car je déteste être pressé.
Je suis rassuré car le plus gros est derrière moi, tout en restant attentif à poursuivre la sèche.
Et ce qui finit de me motiver également, c'est que mon amie est désormais dans un objectif similaire.
Elle, elle n'a pas vraiment de kilos à perdre vu que sa nature de corps est filiforme à la base et que son poids de forme de 53 kg est déjà atteint, mais plutôt quelques centimètres de tour de fesses suite à l'arrêt de la danse il y a quelques années et une alimentation maintenue, ne correspondant plus à sa dépense physique au quotidien.
Son objectif depuis 1 semaine : - 4 cm de tour de fesses sur 4 semaines, en reprenant une activité physique régulière (marche-rando), en veillant à manger au moins en 20 min pour se sentir rassasiée avec une quantité d'aliments moindre, et en supprimant le grignotage du soir.
Le premier cm vient déjà de partir
Prochain bilan commun donc à la mi-avril....allez, au 19 avril...pour mes 45 ans ! et là, on devrait être pour savourer nos prochaines playas naturistes à venir .Ce sera la récompense de tous nos efforts...
Après ces 3 mois et demi de JI, as-tu encore quelques kg à perdre ?
Si je comprends bien, ton activité sportive te permet -en particulier- de vérifier l'absence de perte musculaire.
Perso, je ne prête pas d'attention particulière sur ce point, mais ça me questionne du coup, mes activités physiques étant plutôt douces : randos à pieds et natation principalement.
As-tu en tête un niveau de "sèche" précis à atteindre ou à maintenir ?
Et comment envisages-tu l'évolution de ton rythme alimentaire actuel lorsque tu auras atteint ton poids de forme ?
*********
Bilan actuel de mon côté :
J'ai perdu 4 kg (77,7 à 73,8 kg) en 5 semaines avec une alimentation stricte, c'est-à-dire simplement sans aucun grignotage. Comme quoi, le grignotage est vraiment insidieux, on ne se rend vraiment pas compte de la quantité d'aliments ingurgitée !
Il me restait donc 3 semaines avant la mi-mars. 3 semaines..."ahhh chuis large" dit Foresti
Du coup, j'ai repris quelques plaisirs alimentaires supplémentaires, type gâteaux, chocolat et fromages principalement, pendant une dizaine de jours. Evidemment, le poids s'est stabilisé, voir une reprise de quelques centaines de grammes !!!
Je ne regrette pas cette petite incartade, qui m'a permis de me refaire plaisir déjà, et aussi d'observer l'évolution -rapide!- du poids au cours de cette période de crackage.
1ère semaine de mars : je reprends le programme strict pour atteindre ce ventre sec (correspondant à 72 kg), tout en m'accordant un tout petit peu plus d'aliments plaisirs, avec une surveillance accrue pour éviter l'entraînement...grrrr
Aujourd'hui, il me reste 1,5 kg à perdre. L'objectif est désormais d'atteindre le poids idéal pour les premiers beaux jours ensoleillés et chauds. Et ça tombe bien car habitant en Bretagne, j'ai encore un peu de temps devant moi...
C'était le but initial de toute façon, je me gardais un peu de marge car je déteste être pressé.
Je suis rassuré car le plus gros est derrière moi, tout en restant attentif à poursuivre la sèche.
Et ce qui finit de me motiver également, c'est que mon amie est désormais dans un objectif similaire.
Elle, elle n'a pas vraiment de kilos à perdre vu que sa nature de corps est filiforme à la base et que son poids de forme de 53 kg est déjà atteint, mais plutôt quelques centimètres de tour de fesses suite à l'arrêt de la danse il y a quelques années et une alimentation maintenue, ne correspondant plus à sa dépense physique au quotidien.
Son objectif depuis 1 semaine : - 4 cm de tour de fesses sur 4 semaines, en reprenant une activité physique régulière (marche-rando), en veillant à manger au moins en 20 min pour se sentir rassasiée avec une quantité d'aliments moindre, et en supprimant le grignotage du soir.
Le premier cm vient déjà de partir
Prochain bilan commun donc à la mi-avril....allez, au 19 avril...pour mes 45 ans ! et là, on devrait être pour savourer nos prochaines playas naturistes à venir .Ce sera la récompense de tous nos efforts...
Invité- Invité
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