L'ère mite âge ...

Bon ... puisqu'on est dans l'humour, autant qu'il soit noir ...

"Qu'est-ce qui est tout noir et qui fait boum, boum, boum ?:

"Le club des bikers":

C'est trés beau surtout que j'y étais aussi,

ça me rappelle des souvenirs

C'est bien dans ces paysages que je me retrouve.
Dans les pas que je fais au sein de contrées que je découvre.
Dans les sonorités nouvelles, les fragrances étrangères.

La nouveauté me lave. Le regard des uns sur les autres est neuf, plein d'envie de découverte et de partage.

Les moments sont simples, le temps coule autrement.

Un sac à dos, un billet d'avion dans la poche ... et l'aventure au bout ... l'aventure humaine, sans fioriture inutile ...

Respirer l'histoire, les contrastes. Respirer la vie, oublier l'outrancière saveur du paraitre et rester, être là, dans l'instant, indifférent aux substances qui coulent dans mes veines, déclenchées par ces humeurs nouvelles qui m'assaillent à chaque instant.

Les yeux grands ouverts j'aspire au monde comme le monde m'aspire, et chaque fibre de mon corps m'appelle à la fusion avec ces endroits qui portent encore en eux une vérité que l'on a noyée dans le matérialisme quotidien.

Je pensais à la structuration d'un ordinateur ...

Hormis le fait qu'il n'ait pas son autonomie de pensée, il me semble que sa constitution peut être mise en parallèle à la notre (serait-ce idiot, partant du principe qu'il a été pensé par des humains ?)

Voilà un récit de la vie de l'homme qui a mis en place les idées fondatrices de ce qui deviendra l'ordinateur :

Sa vie

A 16 ans, le Britannique Alan Turing commence à s'intéresser aux sciences, et à 19 ans, il entre à l'Université de Cambridge, comme étudiant en mathématiques.

Diplôme en poche, en 1936, il s'interroge sur la possibilité pour une proposition mathématique d'être validée par un algorithme. Pour répondre à cette question, il invente... l'ordinateur, du moins l'équivalent intellectuel d'une machine qui peut simuler toutes les machines. On l'appelle machine de Turing.

Quelques années plus tard, la seconde Guerre Mondiale lui offre l'opportunité de mettre en pratique ses talents de mathématicien : on lui confie la tâche de décrypter les messages codés par Enigma utilisée par la marine allemande. Turing réussit à percer le code. Selon certains historiens, cet avantage a permis de réduire de deux ans la durée de la guerre.

La guerre achevée, le brillant mathématicien intègre alors le National Physical Laboratory où il participe à la réalisation d'un calculateur électronique, le Mark I, et conçoit un manuel de programmation.

Il publie également "Can a machine think" ? Dans cet ouvrage, il présente sa philosophie de la "machine intelligente". Il définit celle-ci par un test resté célèbre, le test de Turing, qui simule une conversation entre un homme et une machine.

En 1951, consécration suprême : Turing devient membre de la Royal Society.

Mais en 1952, en raison de son homosexualité, Turing est inculpé et choisit de se soumettre à un traitement hormonal pour échapper à la prison. Il se suicide en 1954.

Ses découvertes

1936 Concept de la Machine de Turing : c'est un système formel capable d'accomplir n'importe quelle opération mathématique dès lors qu'elle est représentée par un algorithme.

1949 Programmation d'un des tous premiers ordinateurs : Mark 1

1950 Définition du test de Turing : tentative de définition d'un standard permettant de qualifier une machine de "consciente". Définition de l'intelligence artificielle.

1952 Création d'un programme de jeu d'échecs : mais aucune machine n'est assez puissante pour le lire !

Ses influences, ceux qu'il a influencé

Alan Turing a été précédé et inspiré par les travaux d'autres géants des mathématiques comme David Hilbert en 1928 puis Kurt Gödel, en 1931.
Turing a également marqué l'histoire de l'informatique au point qu'un prix porte son nom : le Turing Award.

A savoir

Alan Turing, qui se serait suicidé en mangeant une pomme empoisonnée au cyanure, serait à l'origine du sigle d'Apple : une pomme croquée aux couleurs du rainbow flag, le drapeau de la communauté homo-bi-trans.

Citation

"Les tentatives de création de machines pensantes nous seront d'une grande aide pour découvrir comment nous pensons nous-mêmes." Conférence à la BBC - 15 Mai 1951

Un exemple de test de Turing <-- lien

Donc, et sommairement, en revenant au parallèle entre humain et ordinateur ...

Un ordinateur est un assemblage de composants électroniques divers et variés, lesquels, réunis selon une logique qui le dépasse lui-même, arrive à donner un sens à la fonction réalisée.

Aucun des composants de base n'a "conscience" que ses liens avec les autres produit un effet macroscopique, et que les informations qu'il porte ou transmet sont orientées par un phénomène que la totalité de la machine "porte".

Aucun des composants ne peut transmettre sont état réel, mais seulement une suite de signaux signifiant sa présence ou son absence conforme à l'état fonctionnel prédéterminé du système, absence qui se manifeste par un dysfonctionnement à plus haut niveau, ce niveau n'étant pas physique mais logique (La matière elle-même ayant seulement changé d'état par rapport à son "fonctionnement" initial).

Au dessus des composants vient le microprogramme d'initialisation. C'est lui qui va déterminer les relations entre composants et les rapports de base entre eux (connexions internes, mode de circulation des données, temps, appel aux routines de bas niveau inconnues des couches supérieures, etc.)

Puis vient ensuite le système d'exploitation. C'est lui qui va influer sur le fonctionnement global des composants internes, l’interaction avec les périphériques et le flux de données (classement, transport et restitution)

Enfin viennent les logiciels applicatifs. ce sont eux qui réalisent le vrai "travail", produisant des résultats utilisables. Un même logiciel pourra produire des résultats différents (non pas dans la présentation mais dans le contenu de celle-ci), et cela en fonction des données introduites.

Alors, où est le parallèle ?

• Composants ressemble à cellules
  
• Microprogramme ressemble à cerveau reptilien
  
• Système d'exploitation ressemble à limbique
  
• Logiciels applicatifs ressemble à cortex préfrontal
  
• Et les données traitées ressemblent à ce que l'on voit, assimile et comprend de notre environnement et de l'écosystème dans lequel on a gravité (et dans lequel on gravite encore ...)

Nous avons conscience de nous-même ... l'ordinateur n'a pas cette faculté. Nous pouvons influer sur nos "logiciels applicatifs", et même redescendre sur notre "système d'exploitation" ... mais plus bas ?

Enfin ... j'ai envie de creuser encore cette piste ... on verra ...

Bonjour Mjöllnir !

J'aime vraiment ton fil... Pour tes réflexions actuelles peut-être trouvera tu un peu d'eau pour ton moulin ici : http://zebrascrossing.forumactif.org/t6101-la-science-de-la-conscience-comme-outil-pour-comprendre-les-rayures ?
(mes excuses si tu as déjà jeté un oeil)

En tout cas moi j'en est trouvée chez toi, et donc merci...

.

Hey cherry_blossom

Bienvenue dans ce foutoir qu'est mon fil (en espérant, pour faire un parallèle avec la cuisine, qu'il n'est pas trop indigeste ^^)

.

Passer au fond du noir piqueté d'étoiles
Entre les orbes des astres à jamais errants
Dans les coins de l'espace où même le temps
N'existe qu'élastique, s'étirant tel un voile

Aussi transparent que ces nuées brillantes
Au sein desquelles naquit de l'Univers l'enfant.
Rêver, éphémère comme l'est un songe, errant
Et traverser ces vapeurs tôt bouillantes

Dont du primitif feu ont émergé tant de chatoyances
Extirpant du chaos une multitude de chances
Et de moments savoureux. Du sable et de l'eau
Des souvenirs heureux hissés comme un drapeau

Dans la mémoire qui danse. Le silence m'entoure
Et dans les cieux enflammés de lueurs vacillantes
Piquetés ça et là des phares de l'a venir
Je pousse, las, repu du silence, de vastes soupirs

En contemplant la matrice qui au loin m'a vu naitre.
Manipulant toujours les humeurs du paraitre
La question en suspend reste là sans y être
Que suis-je venu faire hormis regarder paitre

Les idées dans les champs des possibles intriqués ?

Salut Seiphys

Merci. Je suis heureux pour toi si tu trouves ici de quoi alimenter ta réflexion. J'ai regardé ton fil, oui. Et je dois te dire qu'il suscite des réflexions en moi. Je prends le temps de les analyser et je rebondirai dessus.

Amicalement

Arghhhh je peux pas lire les vidéos, j'ai craqué en 3 jours mes 3 gigos, je suis en débit réduit maintenant.

Globalement concernant les différents éléments d'un ordinateur, j'avais beaucoup aimé "Du composant au système" de Rodney Zacks.

Bon....je démarre....
Donc à propos des parallèles que tu fais sur l'humain/ordinateur.
D'après ce que j'ai compris, dans ton post, tu te poses à une place où le parallèle entre homme et ordinateur est au niveau de sa structuration. Tu regardes ce qui peut être "équivalent" au niveau de l'ossature (comme tu le dis si souvent).
Alors moi... Je vais te donner un autre point de vue. Ce n'est peut être pas du même point de vu que la tienne.
(ce qui aurait pu être aussi très enrichissant, ca m'aurait beaucoup plu de voir les différents avis qu'il peut y avoir si on se positionne exactement pareil. Ca permettrait de voir les différentes couleurs qui peuvent intervenir suivant l'experience/reflexion/construction etc.) (t'as le droit de limiter le nombre de caractères dans la parenthèse ^^)
Donc, mon point de vue serait plus à un autre étage. Pas un étage qui montrerait un point de vue supérieur etc, mais plus une vue différente. Un peu plus complémentaire à ce que tu exposes. Je me place plutôt au niveau de la gestion et ordonnancement des tâches.
A ce niveau là je vois bien les cellules comme l'équivalent des composants (transistors, diodes, processeur non programmé etc.). L'entité le plus petit et basique qui existe et qui transporte des données.

Pour moi, pour le reste, il me semble difficile de faire un parallèle. Car le reptilien est ce qu'il y a de sauvage en nous. Ce qui fait qu'on survit, qu'on agit à des moments "cruciaux". Il est inscrit en nous par les gênes et ne peut être modifié or le microprogramme peut être modifié. Le microprogramme est là pour être exécuté à chaque démarrage à fin que les starting blocs soient prêts. Ainsi, le reste peut "mieux" fonctionner. Il n'est exécuté qu'une fois (si la machine n'est pas arrêtée). Or le reptilien agit à chaque fois qu'il est nécessaire. Quelque part, il est automatisé et peut intervenir à tous moments. Je trouve que le reptilien a beaucoup plus la capacité d'intervenir en action suivant si la situation qui l'interpelle. Donc... Faire un parallèle entre le microprogramme et le reptilien serait reducteur au niveau du reptilien.
De la même manière, le limbique est une mémoire. Il ressort chacune des données enregistrées selon la situation or le système d'exploitation ne ressort pas de donnée. Elle ne fait qu'ordonnancer l'ordre des tâches suivant leurs priorités. Donc, pour moi l'un fournit ou ressort des éléments de sa mémoire dire que l'autre permet de gérer le temps d'execution des tâches.

Je crois que je n'arrive pas à faire le parallèle avec ces quatre entités ci dessus car dans l'ordonnancement des tâches la conscience joue un très grand rôle, à mon égard. Le microprogramme et le système d'exploitation me paraissent pas l'équivalent de reptilien et le limbique. Je trouve que les rôles même de chacune des parties est très différente pour pouvoir faire un parallèle.
Microprogramme: une fois =============================>reptilien: automatisé ( autonome en cas de danger etc)
Système d'exploitation: gestion de temps pour chaque tâche==>limbique: autonomie complète pour le traitement des données ( autonomie en action)



Pour le frontal et le logiciel applicatif, je trouve qu'il y a une équivalence par rapport à la gestion des tâches. Où le frontal agit selon ses raisonnement et traite les données selon ses convictions. Quelque part il est "autonome" si on lui donne l'environnement qu'il faut. L'applicatif gère de la même manière les données qu'on lui donne. Si on lui fournit les données qu'il peut traiter (élément entrant nécessaire pour que l'applicatif puisse "discuter"), il generera les informations nécessaires de manière autonome.

Spoiler:

Un toit…

Je verrai plus ca comme une construction commune entre deux êtres qui cherchent à communiquer.

Comme tu dis, chaque être (chaque pente) a une position bien définie. Pour moi elle ne peut pas être plate. Elle a forcément une inclinaison et aussi donc une direction. D’où, aussi, pourquoi dans la vie tout ce que l’être fera ne sera pas correcte et il ne détiendra qu’une vision de la vie (un énorme velux proportionnel à la superficie de sa pente ?). S’il n’y a pas d’inclinaison/direction, ca voudrait dire que l’être reste figé dans temps. Est-ce que ca existe ? Tout du moins, si elle ne bouge pas d’un iota toute sa vie, il y a au moins le temps qui avance et qui fait évoluer son corps. Bref, là c’est encore un autre débat « l’évolution dans « son propre » temps et sa position par rapport au Temps».

Le toit n’est, n’est pour moi, que le début de l’abri lorsqu’on veut réellement bâtir dans une relation « profonde » (Amitié, Amour, Père/Mère/Enfant).C’ est la première petit entité qu’on construit à fin de s’abriter. Un lieu commun qui ferait sentir « chez » soi chacun.
Premièrement la position/posture de chacun par rapport à son environnement apporte une richesse à l’autre. Si la position de la pente est bien défendue (donc que la personne est bien stable fondée sur ses valeurs/convictions), elle ne peut pas vaciller. Si des doutes persistent, elles seront bien affichées. Et donc ceci serait bien jaugé par la personne d’e face. Ceci apporte une position stable à la personne d’en face et apporte une richesse.
Deuxièmement, y a la position de l’être face à lui-même : son inclinaison, direction, etc. Cette position va avoir une certaine valeur ou fragilité selon son environnement. Et l’affichage même de ces paramètres permettrait à l’autre d’avoir différents angles de vues sur la vie. L’ombre ou le manque de luminosité (celui qui serait préférable ou non selon les circonstances), le poids de la pluie qui lui pèse ou le rafraichissement que ca peut apporter, comment supporterait il la lumière, à quelle vitesse la pluis glisserait sur ses parois, et la neige ? la grêle ? qu’a-t-il fait pour s’en abriter ? Ce qui pousse quelque part à s’interroger, se questionner sur la matière de l’autre, les pierres qui l’ont fondées, voir ses tuiles, le choix de la couleur ou encore plus la terre utilisée pour se solidifier.

Et puis de là, pour moi, vient la troisième phase qui est à mon sens la plus « importante ». Si les fondements, les valeurs/convictions, idées nous intéressent réellement ou bien qu’on demande à accepter (car c’est notre enfant) l’autre alors on herche à coller ces deux pentes, à réellement créer une nouvelle entité. Jusqu’à présent chacun avait sa maison, sa propre construction. Et au fur et à mesure de la communication cette nouvelle pente apparait comme l’image de l’être à travers les yeux de l’autre. Une pente créée pour ‘autre mais basée sur soi même. Ce qui permet de rassembler et de laisser libre cours à toutes sortes d’échanges mais aussi se solidifier contre toutes tempêtes qui pourraient y avoir. Tempêtes extérieures ou intérieures.

Lorsque je fais une analogie par rapport à des systèmes techniques (informatiques ou électroniques), cette troisième phase je la vois plus comme la phase « communication » entre les deux systèmes. La phase où on raccorde les deux systèmes, où quelque part il est « crucial » que l’on parle le même langage à fin que l’échange soit saine. Pour l’être humain, cette phase elle se fait petit à petit. Les pentes sont construites suivant l’échange que l’on a avec l‘autre. Et si l’un et l’autre est suffisamment convaincu de cette construction (donc fondements de l’autre) alors on en arrive à pouvoir « clipser » les deux pentes. Le mot « clipser » est important à mon sens. Car il y a quelque part un jeu à ajouter pour chacun des être. Un jeu qu’on accepte d’avance pour cette construction. Un « règlement » de paramètre pour pouvoir s’accorder complètement. Et lorsqu’on se clipse, on intègre et accepte l’autre en entier avec ses valeurs/défauts/constructions etc.


NOTE : tout ce dont j’essaie d’exprimer plus haut est purement MA conception d’une relation (profonde) à deux personnes. Donc je le décris tel que je le conçois et tel que je l’applique.
Suivant mon expérience, est ce que ca enlève de la substance à l’un et à l‘autre ?
Non, je ne pense pas… dans mes relations, chacun vient comme il est. Si on en arrive à la construction du toit, c’est que les pentes sont construites. Elles sont l’image des êtres dans la relation elle mêmes et à travers chacun des êtres. Et leur raccordement apporte ( dans ma vie ) beaucoup plus du positif qu'autre chose.

Quand la physique quantique explique les "expériences mystiques".....
Y'a bien que sur Zebracrossing que l'on peut faire ce genre de lien ....

Spoiler:

C'est en ça que certain(e)s disent que l'âme soeur existe réellement ?
Mis à part l'hypersensibilité, lorsqu'on sent ce qui se passe chez l'autre (sans en être informé ou sans aucun indice), il s'agit de ça alors ?

Mjöllnir a écrit:Tout ce que nous voyons et ressentons est un rêve dans un rêve

Au risque de rabâcher ce qui est expliqué dans la vidéo... je vais dire mon avis...

J'ai l'impression qu'on retrouve justement cette histoire de "conscience commune" qui nous projette une image de ce qu'est "réellement" soit disant partout. On arrive à déceler que l'humain ne fait que projection lorsqu'il ne prend pas garde. Suivant ses points de vue , il cherche à tous placer et à tous fixer selon son expérience. Et c'est petit à petit en regardant autour de soi, en étant dans l'empathie ou en se remettant en cause par rapport à son propre vécu/conviction qu'il arrive un peu à élargir son horizon.
Qu'est ce qu'il se passe quand l élargit et horizon?
Est ce qu'il perçoit ce même objet qu'il voyait avant autrement ? donc une autre facette de ce même objet qu'il voyait pas avant ? (dû à différents expériences /réflexions etc)... ou est ce qu'il le met complètement ailleurs dans sa conscience personnelle ?dans ce cas... les choses prennent une tournure bien plus "compliquée" car il y a une infinité de positions/déplacements qui peut être effectuées. Ce qui peut être perçu comme du non "stable" (réelle) selon la personne.
Souvent je sens que les objets sont vu que d'un sens. Et lorsqu'on le regarde autrement on dit "tu 'as fait découvrir une autre vue". Mais.. je ne suis pas sûre que l'objet en lui même soit réellement fixe à cette place tel qu'on l'ait défini. Donc... j'ai plus l'impression qu'on se positionne, avec un accord commun entre les humains, sur ce qu'est l'objet, ou il se place de quoi il est fait etc.

Comme l'exemple de la table en bois. C'est du bois, oui, mais selon la vision de l'homme. Il a crée des définition en biologie, physique, etc. suivant les normes que l'humain lui même a posé.
Donc... La réalité là dedans ? elle est ou ?
Sur quoi on peut réellement se baser en se disant qu'il existe ?
sachant que l'être humain (pour moi) est construit de façon à voir (pas au niveau sensoriel mais: recherches/ perceptions/réation etc) son environnement que selon ses sens/réflexions etc.
Comme le disent dans la vidéo, si je vois une table, c'est l'image de la rétine inversée etc. Si je sens /vois/entends etc. d'autres choses ceux sont des sens communs à l'être humain. Et c'est pourquoi elles sont prises en considération. Sinon... on ne dirait pas que cet objet existe réellement. Il n'y a qu'à voir tout ce qui est paranormal. Certaines personnes vont avoir des sens plus développés et ce qu'ils vont sentir seront admis comme des bêtises car ca ne sera pas perçu par la majorité des humains.

Toujours le même blocage: ce qui est réel est ce qui est majoritaire. De la même manière pour notre hypersensibilité, elle n'est comprise que si on veut réellement l'entendre que ca existe. Si une personne ne cherche pas à s'ouvrir, à voir d'autre horizons elle a du mal à l'accepter. De la même manière, j'ai du mal à comprendre comment les gens arrivent si facilement à agir dans leur propres intérêts pour construire leurs vies. Ou les différents modes de communications que peuvent avoir les gens: plus brutales, moins sincère mais plus commode à ce qui est accepté par la majorité. Alors j'essaie, je me force à avoir un autre point de vue. On cherche tous quelque part à découvrir ce qui est à l’extérieur de nous même pour mieux comprendre, pour mieux voir le fonctionnements des choses.
Bref, tout ca , pour moi est un exemple au niveau personnel de ce qui pourrait se passer à l'échelle de l'univers.
Car toutes les sciences (j'ai l'impression) sont créées d'abord parce qu'elles parlaient à une conscience commune où une vision brute commune à être humain.
Et j'en reviens à me demander justement: qui dit que l'espace est vide ? que ce n'est tout bonnement juste une définition que l'on a mis parce que l’humain ne peut pas voir, intercepter au delà.

Ce que je me demande, c'est est ce qu'on peut recevoir des signaux, des indices, nous montrant ce qui se passe "réellement" ?si l'humain ne mute pas, est ce qu'on peut créer des machines qui seront capable de voir au delà de ce que l'humain perçoit ?
Ou justement.. Et ce que lorsque je dis : "des signaux, des indices, nous montrant ce qui se passe "réellement" ", ce n'est pas un leurre ? Ce dont j'essayais d'expliquer tout à l'heure, comme quoi on essaie d'avoir de l'empathie et d'avoir une autre vision. Est ce qu'on voit le MEME objet sous des angles différents , donc plus de découverte ? das ce cas , est ce qu'il y aura une fin à cette recherche de ce qu'est réellement l'espace ?
Ou, si lorsqu'on prend la vision de l'autre, qu'on la voit encore sous un autre angle de vue, l'objet ne change-t-il pas de position également?

Donc on aurait soit une infinités d'information pour pouvoir compléter ce que l'on a comme perception sur l'objet ? soit une infinités de positions de l'objet qui modifierait également ses caractéristiques et donc une autre quantité d’information à une échelle plus différente ?



Très possible que je ne sois pas claire ... si c'est le cas, vous me le dites ? et je fais mon possible...


EDIT: je n'avais pas encore vu les autres vidéos. Je post un par un, au fur et à mesure que je lis/visualise une vidéo.
Et comme tu le dis Mjöllnir, j'ai l'impression que ca fait un "redit" sur tout ce qui est intrication etc. Désolée...
Mais c'était purement la suite "naturelle" de mes pensées par rapport à la vidéo que je viens de commenter...
Toutes mes excuses

Je te comprends parfaitement et c'est en interaction avec des idées que j'avais. Ca me donne confiance en mes intuitions donc merci

Spoiler:

si certains sont intéressée par ses questions,

Ce que je retiens du dernier post d'etoile_en_etoile a, selon la lecture que j'en fait, trait à l'intrication quantique, ou le rappelle fortement à mes yeux.

Pour éclairer quelque peu ma pensée en complément, je comparerai chaque être humain à un atome dans une môle de gaz. l'interaction entropique qui y règne influe sur la position de chaque atome, ce qui signifie que chaque observation menée modifie la postion de l'un par rapport à l'autre, et donc le résultat de la vision de chacun. Ainsi, la "Vérité" me parait fortement accolée au temps, et est donc par essence impermanente.

Quant à Seiphys, il donne une autre vision des choses au travers du lien qu'il a posté deux fois de suite. Il est effectif que ce dernier apporte une vue complémentaire sur un point précis par rapport au débat qui continue et continuera ici.

Seiphys a écrit:Quand la physique quantique explique les "expériences mystiques".....
Y'a bien que sur Zebracrossing que l'on peut faire ce genre de lien ....

Je ne pense pas qu'elle ait prétention a l'expliquer, mais plutôt à lui donner un aspect projectif.
A partir du moment où une pensée émerge, elle produit un signal électrique dans le cerveau, puis passe au niveau d'expression. Elle EXISTE donc, et cette existence la rend réelle. Elle est donc vraie puisqu'on peut constater son expression. Quant à son contenu, sa sémantique, sa signification ... sa véracité par rapport à l'environnement et aux interactions humaines ... c'est autre chose.

On voir bien là qu'il faut différencier l'onde porteuse (la pensée exprimée qui existe réellement) de la particule (substance de l'idée) qui elle n'a de sens qui si acceptée et mise en œuvre.

Le coté projectif peut être remis en question car il a trait à l'interprétation commune confrontée au expériences et au vécu des uns et des autres. le coté déductif qui amène à la création de la "porteuse", quant à lui, ne peut être jugé car trop imbriqué dans la construction de l'être qui fait face.

Oups oui pardon mes escuses, il faut y voir une excitation mal canalise et non du racolage.
Ou du détournement.

Merci de lever mes interrogations Seiphys ...

j'ai jeté un coup d’œil sur ton fil Seiphys. Je reviendrai plus tard pour réagir (quand j'en aurai l'occasion). N'aies aucun doute!

Seiphys:

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etoile_en_etoile a écrit:Pour moi, pour le reste, il me semble difficile de faire un parallèle. Car le reptilien est ce qu'il y a de sauvage en nous. Ce qui fait qu'on survit, qu'on agit à des moments "cruciaux". Il est inscrit en nous par les gênes et ne peut être modifié or le microprogramme peut être modifié.

Il est inscrit en nous par des gênes et ne peut être modifié ... Alors comment expliques-tu l'apparition de l'homme et son évolution ? Sais-tu qu'il existe des gênes récessifs dont les fonctions sont en sommeil ? Que l'impact des rayons cosmiques sur le chaines de gênes peut provoquer des mutations ? Que l'écosystème dans lequel nous vivons a son influence sur l'adaptation des fonctions corporelles (les habitants des Andes ont en moyenne un litre de sang de plus que les autres êtres humains par exemple). je ne saurai préjuger que cette modification ait lieu de notre vivant, mais je ne doutes pas qu'elle puisse se faire lors de l’arrivée d'une nouvelle génération. le parallèle avec ce que l'on appelle le BIOS (Basic Input/Output System) est donc tenable, même si les fonctions structurelles associées sont plus réduites en ce dernier.
En ce qui concerne l'action unique du microprogramme (BIOS), là aussi, ce dernier n'agit pas qu'une seule fois. Effectivement il initialise les composants au démarrage, mais installe également du microcode résidant en mémoire (une partie de lui) qui est par exemple appelée à chaque frappe clavier, à chaque lecture disque, etc.

Le limbique et son parallèle avec le système d'exploitation. Le système d'exploitation gère la mémoire (vive et de masse), apporte une couche d'abstraction pour l'accès aux périphériques en entrée/sortie, et effectivement assure l'ordonnancement des tâches. Ce qu'apporte en plus le limbique à l'homme ? Les émotions !

Quand au programmes applicatifs ... on pourrait prendre un parallèle comme la connaissances des langues étrangères. En être capable c'est de pouvoir traiter des données en les comprenant. je pense que tu seras d'accord sur le fait que là, le limbique (système d'exploitation) et le cerveau reptilien (BIOS) n'ont rien à voir n'est-ce pas ?

Oui tu as raison le terme "expliquer " était mal choisi ...

J'en resterai donc à "faire le lien", et oui je ne parle que de moi lorsque je m'exprime, cela n'implique pas les autres ou un jugement.
Mais au fond de moi j'ai une intuition c'est que l'on à tous le même "programme" pour reprendre ta terminologie, donc j'imagine que les pistes que j'entrevois, avec la critique et la co-construction permise par les échanges, puissent avoir une "réalité" qui est du "sens" hors de moi.

Pour reprendre ce que j'ai compris de ses théories, l'observateur est "condamné" a deux choses:1/savoir qu'il ne fait qu’interpréter le réel
2/ savoir qu'il le modifie du fait même de son observation et de son intention.


D’où la nécessité de l'échange interobservateur une fois ses bases posées....

Mjöllnir a écrit:

etoile_en_etoile a écrit:Il est inscrit en nous par des gênes et ne peut être modifié

Sais-tu qu'il existe des gênes récessifs dont les fonctions sont en sommeil ? Que l'impact des rayons cosmiques sur le chaines de gênes peut provoquer des mutations ? Que l'écosystème dans lequel nous vivons a son influence sur l'adaptation des fonctions corporelles (les habitants des Andes ont en moyenne un litre de sang de plus que les autres êtres humains par exemple). je ne saurai préjuger que cette modification ait lieu de notre vivant, mais je ne doutes pas qu'elle puisse se faire lors de l’arrivée d'une nouvelle génération. le parallèle avec ce que l'on appelle le BIOS (Basic Input/Output System) est donc tenable, même si les fonctions structurelles associées sont plus réduites en ce dernier.

Attention!!! je ne dis pas que je sais parfaitement comment fonctionne le reptilien. Je dis même tout l'inverse!!! Peut être que je ne l'ai pas montré explicitement dans mon post (honte à moi, j'aurais dû peut être plus le préciser), mais pour moi tout ce que j'exprimais était à ma porte, à la mesure de mes connaissances. Or sur ce sujet, j'ai forcément beaucoup de choses à apprendre je pense... Pour l'instant mes connaissances sur ce sujet est de telle taille que ce que je comprends du "reptilien" , c'est ca. C'est pour ca que j'ai préféré dire explicitement ce que je conçois du "reptilien", sachant que mes connaissances sont très peu dessus. Mais ca ne me dérange pas d'afficher que je ne sais pas beaucoup de choses. je préfère partager (peut être à tort ?) ma réflexion qui va de paire en même temps que mes connaissances augmentent là dessus. Donc... ainsi... peut être que ca permettra d'avoir un fil directeur par rapport au discours que je tiens. je ne sais pas, ca peut faire voir d'autres choses, même si c'est inutile. En gros, je sais que je ne sais pas beaucoup, et ca ne me dérange pas de l'afficher. Mais il est important de faire voir le cheminement de ma pensée au fur et à mesure que je prends des infos .

Mjöllnir a écrit: Alors comment expliques-tu l'apparition de l'homme et son évolution ?

Quant à la question que tu poses,pour moi la plus grande différence entre un homme et une machine est la conscience. Et c'est la prise de conscience de chacun des éléments se mélangeant aux sentiments qui fait qu'on évolue avec le temps etc. Donc évolution au niveau réflexion comme physique.

Mjöllnir a écrit:En ce qui concerne l'action unique du microprogramme (BIOS), là aussi, ce dernier n'agit pas qu'une seule fois. Effectivement il initialise les composants au démarrage, mais installe également du microcode résidant en mémoire (une partie de lui) qui est par exemple appelée à chaque frappe clavier, à chaque lecture disque, etc.

Le fait que le micropogramme soit exécuté à fin que les sous programmes soient mémorisés et lancés par d'autres à la suite ne change pas le fait (pour moi) qu'il n'agit qu'une fois. Car le micropogramme ne fait que installer ces sous programmes. Il ne voit pas quand est ce qu'il faudrait agir, ne les traite pas. Il les pose et s'en va. Pour moi le microprogramme en lui n'agit qu'une fois: j'initialise, et ressors le programme qu'on me demande. Je crois que là ou pour toi ca ne te va pas c'est le mot "une fois". Alors je vais essayer de l'expliquer d'une autre manière: le microprogramme n'a aucun autonomie face aux situation. Il ne détecte aucunement ce qui faut faire. Il est rappelé donc il envoie ce qu'il faut.
Est ce plus clair ?

Mjöllnir a écrit:Le limbique et son parallèle avec le système d'exploitation. Le système d'exploitation gère la mémoire (vive et de masse), apporte une couche d'abstraction pour l'accès aux périphériques en entrée/sortie, et effectivement assure l'ordonnancement des tâches. Ce qu'apporte en plus le limbique à l'homme ? Les émotions !

Oui mais justement... pour moi le décalage entre le limbique et système exploitation reste le même. Car le limbique ressort les émotions et quelque part les données enregistrées jusqu'à 7 ans etc. Le système d'exploitation gère le timing Pour moi le principal rôle qu'il a est d'agencer ce qu'il faut faire à tel ou tel moment: entre le moment ou je clique sur la souris et le moment où un des drivers se met à jour, l'O.S. va chercher à faire partager le temps. Le limbique ne va pas s'occuper de ca... Comme je l'ai dit depuis le début: je ne me préoccupe pas du parallèle qu'il pourrait y avoir au niveau "matériel" entre ces deux entités. Je regarde seulement comment les donnes sont agencées/ordonnancées. Ce qui m'interpelle c'est réellement l'échange en soi ou avec son entourage aussi.De plus comme tu dis, il y a les émotions en plus qui ajoute encore un décalage. Mais j'ai essayé de ne pas trop faire rentrer les émotions dans ces parallèles sinon je ne m'en sortais pas.

Mjöllnir a écrit:Quand au programmes applicatifs ... on pourrait prendre un parallèle comme la connaissances des langues étrangères. En être capable c'est de pouvoir traiter des données en les comprenant. je pense que tu seras d'accord sur le fait que là, le limbique (système d'exploitation) et le cerveau reptilien (BIOS) n'ont rien à voir n'est-ce pas ?

oui! , là dessus je suis tout à fait d'accord... Pour moi il n'y a pas de parallèle possible entre les applicatifs et le reste (limbique, reptilien)


la conversation devient de plus en plus geek/management des données .....

Bon, quand je vais m'y remettre ... j'en aurais des choses à lire ;-)
En attendant je passais juste déposer un bonjour/bonsoir/merci :-)

Le cerveau sur national Geographic

Brain games <-- lien

Notre attention nous fait omettre des éléments

Je vogue vers d'autres cieux, d'autres rives
D'autres pensées, d'autres êtres qui arrivent
Dans le flot du temps. Je cherche le moi
Celui qui depuis tant de temps se tient coi

Derrière les humeurs et les dérives
Qui ont été posées là par les ans.
A moi je pense désormais. Qu'arrive
Le jour espéré ou le vent d'autan

Amènera près de ma porte le présent
D'un personnage pouvant comprendre
Les sons, les mots qui n'ont à vendre
Que le partage de doux moments.


Je vous souhaite à tous une bonne continuation.

.

Que tes rivages à venir soient à l'image de ces lieux du Rajasthan qui te sont chers ...
Je t'embrasse

Ce dernier post fera fonction de testament apocryphe ... pour des raisons d'ordre purement épistémologiques (eh oui, non sommes sur Internet ...) il se pourrait bien que d'aucuns procèdent à le remise en cause de son auteur et de sa supposée validité.

J'ai cherché et cherche encore à la fois un moyen de communiquer plus précisément avec d'autres en parallèle à un moyen d'avancer à la vitesse qui est la mienne.
Tout au long de ce chemin, je me suis posé la question de savoir ce qui pouvait obscurcir le chemin que je parcourais.

Ma vie m'a confronté à beaucoup de problèmes, de rejet, presque à devoir jouer le rôle de paillaisson. Sans m'y complaire, j'acceptais souvent, parce que j'ai les moyens intellectuels de comprendre les mécanismes inconscients qui pilotent telle ou telle réaction et je trouvais des "excuses", ou plutôt une explication à ces actions et comportements.

Et puis je me suis rendu compte que l'acceptation pure et simple de ces faits nuisait. En premier à moi, comme si je déversais mon énergie dans le tonneau des Danaïdes.
D'une part elle me bridait dans mon avancée, et d'autre part elle donnait excuses à l'autre pour continuer dans son comportement décalé sans vouloir entreprendre quoi que ce soit pour évoluer ...

Je parle ici de personnes qui me furent proches. Et je me dit que trop de gentillesse, trop d'aide, trop de protection (oh combien ai-je donné à ce propos) conduisent plus à déresponsabiliser et à empêcher la progression qu'autre chose. pour en revenir à ma vie, le fait d'être rejeté et de rester seul m'a, en fin de compte, permis de trouver en moi la force nécessaire à avancer et à forger mes propres armes.

Ainsi, j'ai pris le parti de créer ma propre structuration de pensée; elle se devait d'être la plus complète te la plus "assise" possible, puisqu'elle était autonome. Elle devait l'être, système imposé par manque de référent.

Au fur et à mesure du temps qui passait, je me suis aperçu que le manque inavoué de certitudes poussait la majorité des gens à aller chercher dans les autres ce qui leur manquait, puis à vouloir s'appuyer dessus, comme on s'appuie sur une rampe d'escalier pour monter les marches, ou ne pas tomber quand on les descend. Au fur et à mesure, la rampe se délite ... et l'utilisateur râle que l'entretien n'est pas fait, oubliant que cette rembarde était là tout au début pour lui rendre service et considérant par la suite que c'est un dû.

Il n'existe presque plus aucune notion de l'effort personnel ... Plus de réflexion sur la remise en cause. La pensée actuelle rebondit de concepts en concepts attrapés au vol, sans pour autant en creuser la validité supposée quand on les raccroche aux siens. Cette nuée de mots entrecroisés en vient à se mesurer juste aux termes employés pour le décrire, et non au substrats qui a permis de la bâtir.

Et, là-dessus viennent se greffer les ressentis, frustrations et autres sentiments, rajoutant encore au flou, dispersion ultime du peu de raison résidant au fond des êtres.

Je ne prétends ici détenir aucune vérité si ce n'est la croyance en celle que je me constitue au travers de mes avancées. J'existe, et cela est la preuve que je me construit, et que cette construction tient. Elle tient car elle me permet de prendre des décisions, présenter leurs structurations, leurs fondations, leurs interconnections.

Je me suis appuyé sur la logique, sur l’acceptation de mes manques et leur plein agrément. J'ai essayé, et j'essaye encore de regarder les causes de l'entropie environnante, et de comprendre les mécanismes grégaires qui parfois confinent à la surdité, au point que la plupart confient leurs problèmes sans désir d'être ni écoutés ni compris, le fait même de les déverser suffisant à les considérer réglés. Ceci visant à prendre l'autre pour une sorte de "débarras" dont l'utilité se limite au rôle de réceptacle.

A force de disperser à tout vent frustrations, regrets, amertume ... et considérer ce fait comme un traitement à court terme, le progrès intérieur est ignoré ... le temps passant, la construction possible de l'être en individuation se délite. Reste la fuite et la recherche continue d'une dérivatif quel qu'il soit, la confrontation envers soi-même devenant de plus en plus difficile.

Je ne me reconnais pas dans ce schème. je crois que pour partager il faut, de ses mains, construire ce que l'on veut par la suite offrir, et donc croiser sur son chemin des personnes qui ont su faire le même parcours. Qui se respectent elles-mêmes sans vouloir imposer leur avis, sans colère quand on remet leurs approches en cause, sans ironie prise comme un cache misère.

Je me retrouve comme Diogène, errant dans la ville, sous le soleil avec une bougie, en cherchant un "Homme" ...

Et j'attends "l'éclatement" du "Moi" qui permettra, au delà de la crainte d'être soi, de se dire en tant qu'être en achèvement, comme deux constructions qui ont prise conscience qu'elles sont les premiers bâtisseurs d'elles-mêmes, et, qu'un fois ce travail en proche achèvement, demanderont l'avis de l'autre quant à leur habillage ...

Je poursuis mon chemin. Quelle que soit sa pente, je vais à présent vers moi. Quelles que soit les pierres qui y roulent et me font trébucher, je persisterai. En haut de cette inclinaison, je trouverai certainement des gens qui ont fait route vers ce parcours initiatique, révélant le feu intérieur qui n'a plus peur de se cacher puisqu'il a été épuré par nos propres mains. Mains qui ont eu le courage de pénétrer leurs propres entrailles à fin d'en enlever les pierres qui en couvraient l'âtre.

Le courage de partir vers soi est souvent considéré comme un abandon par les autres. Comme la rupture d'une canalisation d'alimentation entre deux vases communicants. Et pourtant ... savoir se remplir est bien utile si l'on veut pouvoir transmettre par la suite. Et cela ne peut pas être vu dans un seul sens, sous peine de mentir, et d'abord à soi.

Que ta force soit avec toi .

Elle l'est et la toujours été ... et le sera encore pour longtemps.

Je crois que j'ai en moi une certaine inadaptation au monde qui m'entoure. Force est de constater que ma différence me blesse quand je suis au contact des autres. Il me faut en prendre mon parti car insister quand l'impossibilité est manifeste ne conduit qu'à des frictions désagréables.

C'est ma force qui fera mon chemin, et la garder pour avancer est nécessaire.

Certains m'ont dit : "Ne pars pas, tu apportes beaucoup". Peut-être ... dans un grand silence ou dans des remises en questions que je devrais faire pour me rapprocher de la vision des autres (pour les légitimer sans doute ...). Pour apporter des briques (celles que j'ai tant eu de mal à faire pour moi-même) à une construction hésitante, où tendre la main pour prendre est plus facile que de travailler sur soi.

Je compare cela à une rivière où l'on vient boire, et sur laquelle on s'afflige quand elle est à sec. Comme les paysans qui abusent des nappes phréatiques et hurlent sur leurs voisins quand elle est asséchée, oubliant très vite qu'ils sont aussi source du problème ...

Donnerais-je ici de ma vie ... ou projetterais-je sur le présent des blessures du passé ? Il y a de ça sans doute. C'est ainsi que je m'écarte, prends du champ. Vire vers ma retraite, dans un calme qui me donnera de quoi poser les choses sans être dérangé. C'est le mieux et je le sens intensément. Le reste ne serait que noyade.

Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis. J'espère que l'on ta apporté autant que tu nous a apporté.

Pour ma part, j'ai des choses à découvrir et à travailler sur moi depuis (enfin!) l'ouverture du salon des intuitifs réceptifs. Ma formation à cheval et cette passion de ma vie me laisse heureusement suffisamment de temps libre pour continuer sur ZC un moment. (D'ailleurs, tu avais pensé toi aussi à venir sur ce salon?)

Je t'aime fort fort fort (comme on dit au Québec)! Prends soin de toi. Et sois le re-bienvenue quand tu en sentiras l'envie.

merci cathoo

Je suis heureux d'avoir pu apporter des choses, et je considère que j'en ai aussi reçues.

Moi aussi, j'ai de l'affection pour toi et suis content de pouvoir bénéficier de tes interventions et de ton regard.

A bientôt

La vidéoconférence avec un hologramme 3D en grandeur nature


L'article de la "Quee'ns University" (Canada)

Life-size, 3D hologram-like telepods may revolutionize videoconferencing

Et la vidéo

Serveur de réseau : Abreuvware
 Logiciel très compliqué : Assomware
 Procédure de sortie d'un logiciel : Aurevware
 Logiciel de nettoyage du disque dur : Baignware
 Réseau local d'une entreprise : Coulware
 Poubelle de Windows : Dépotware
 Logiciel lent à dormir : Dortware
 Logiciel filtrant les données inutiles : Egoutware
 Logiciel pour archivage longue durée : Embaumware
 Logiciel de compression de données : Entonware
 Logiciel de vote électronique : Isolware
 Logiciel seconde résidence pour riches : Manware
 Logiciel de copie : Mirware
 Logiciel antivirus : Mouchware
 Logiciel de préparation de discours : Oratware
 Logiciel pour documents en attente : Purgatware
 Logiciel d'observation : Promontware
 Logiciel de démonstration : Promouvware
 Salle informatique pas climatisée : Rotisware
 Logiciel de merde : Suppositware
 Logiciel de classement : Tirware
 Réunion des directrices de l'informatique : Tupperware

Et le meilleur ...: logiciel de demande d'augmentation : Vatfervware.

Question : Quand un objet se déplace à une vitesse de 0 m/s (autrement dit même quand les molécules ne bougent pas) il a une température de - 273,15° qui est celle de la température minimale qu'on peut atteindre. Si le minimum existe, un maximum doit bien exister vu que la vitesse maximale est de 300 000 km/s. Si on suit ce raisonnement, on peut alors dire que la lumière a une température extrême, ce qui n'est pas le cas. Qu'est-ce qui ne tourne pas rond ?



Question : Je m'interroge sur la nature de ce qui permet à la gravitation d'agir à distance. Je constate qu'on sait faire de nombreuses prédictions sur l'action de cette force sans rien savoir sur sa nature exacte.



Question : Si hypothétiquement, des particules allaient plus vite que la lumière, que cela changerait-il aux lois de la physique ?

Question : Que reste-t-il du principe d'incertitude, ou principe d'indétermination de Heisenberg de 1927 ?

Question : Pourquoi la décohérence est-elle un obstacle à la fabrication d'un ordinateur quantique ? Quelle est la différence entre un ordinateur quantique et classique ?