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rts a écrit:L'économie japonaise se retrouve face à un "manque de chômeurs"

Le taux de chômage au Japon est au plus bas depuis 22 ans, il est tombé à 2,8% le mois dernier. Actuellement, le pays compte 143 offres d’emplois pour chaque centaine de personnes à la recherche d'un travail.

Il y a une pénurie de main-d'oeuvre dans certains secteurs comme la restauration, la distribution, la construction et les maisons de retraite du fait d'une démographie catastrophique. La population japonaise vieillit plus vite qu'ailleurs et depuis six ans, elle diminue. La population en âge de travailler baisse de 500'000 personnes chaque année.

Le Japon devrait perdre 40 millions d'habitants en 50 ans. En 2065, il n'y aura plus que 1,2 actif pour financer une retraite. Conséquence de cette pénurie de main-d'oeuvre aujourd'hui, des chaînes de restauration ouvertes 24 heures sur 24 doivent fermer leurs restaurants la nuit.

Pour remédier aux conséquences économiques de ce déclin démographique, le gouvernement japonais fait revenir sur le marché du travail des femmes et des personnes âgées. Actuellement, 68% des Japonaises travaillent et le nombre de retraités qui travaillent entre 65 et 75 ans est en forte hausse.

Le Japon investit encore massivement dans la robotique pour compenser ce manque de chômeurs. Les entreprises, elles, délocalisent toujours plus leur production à l’étranger.

Le Japon refuse toujours de s'ouvrir à l'immigration, mais il commence à laisser entrer des travailleurs hôtes au bénéfice de visas de 5 ans, beaucoup de jeunes Asiatiques. Pour relancer sa démographie et sa croissance, le Japon doit accepter de devenir une société moins homogène.

Georges Baumgartner/lgr

Employment and Wages
Labor markets in the First District continued to tighten somewhat. Many employers sought to add modestly to head counts (although one manufacturer laid off about 4 percent of staff over the last year), while wage increases were modest. Some smaller retailers noted increasing labor costs, in part driven by increases in state minimum wages being implemented over a multi-year period. Restaurant contacts, particularly in heavy tourism regions, expressed concern about possible labor shortages this summer, exacerbated by an expected slowdown in granting H-2B visas. Half of contacted manufacturers were hiring, though none in large numbers; several firms said it was hard to find workers. One respondent said that during a recent six-month attempt to add to staff for a new product, two-thirds of applicants for assembly line jobs were screened out before hiring via math tests and drug tests; of 400 workers hired, only 180 worked out. All software and IT services respondents said they expect to grant wage increases in the low single digits and plan net increases in headcount between zero and 3 percent through the end of the year. They reported that high-skill positions such as engineers and data scientists were increasingly hard to fill, and covering attrition remained a challenge in both technical and unskilled areas; for example, one contact noted difficulty covering very high attrition in a Maine call center.

Rendez-nous un peu de rêve

Nous vivons une élection à zéro suspense pour le Conseil d’Etat.

A dix jours du scrutin, un sondage confirme que les six ministres sortants devraient être réélus, dont cinq au premier tour. Une candidate aurait les faveurs de la cote pour décrocher le septième siège, assurant une reconduction de la majorité de gauche.

Si l’on en croit cette prise de température, les Vaudois sont satisfaits de la «formule magique» socialo-radicale en place. Ils votent pour la stabilité. Equilibre politique, gestion collégiale, grandes réalisations, belle santé des finances… Tout semble réussir à ce canton prospère et heureux. Ne nous étonnons pas si aucun débat politique n’anime une campagne plate, où gauche et droite se font des politesses. L’heure n’est pas aux fâcheries, voyons! Trinquons plutôt pour fêter notre beau Parlement.

Les mêmes Vaudois, chiffres d’audience à l’appui, se passionnent également pour l’élection présidentielle en France. Il n’est pas question d’envier le système politique et encore moins les difficultés de notre grand voisin. Mais les débats électoraux, avec de vraies confrontations d’idées, ont de quoi susciter un peu de nostalgie chez nous. La politique ne saurait se résumer à gérer l’Etat, fût-ce bien, ou à inaugurer des bâtiments. Il manque à cette campagne électorale une part de vie, de rêve, d’inattendu. (24 heures)

Les légumes et fruits à la gueule cassée, c’est le pied !

Les Gueules Cassées, le good label

• Pour en savoir plus, où trouver Les Gueules Cassées, c’est par ici : www.lesgueulescassees.org
  

Spoiler:

I am so sure a écrit:

Narkyss l'exploratrice a écrit:

I am so sure a écrit:

Mais oui bon sang, oui !

Qu'est-ce que Baudelaire écrivait d'autre ?

La musique ouvre le ciel

C'est exactement là que ça perce ! Et pas seulement la musique, mais l'art tout entier.

Le sens, le sensible. Faut voir les choses là où elles sont à la fin.

I am so sure a écrit:

Narkyss l'exploratrice a écrit:

I am so sure a écrit:

Mais oui bon sang, oui !

Qu'est-ce que Baudelaire écrivait d'autre ?

La musique ouvre le ciel

C'est exactement là que ça perce ! Et pas seulement la musique, mais l'art tout entier.

Le sens, le sensible. Faut voir les choses là où elles sont à la fin.

La musique est un n'art kiss comme un autre et un domaine qui se doit d'être n'exploré 

Narkyss l'exploratrice a écrit:

Mais oui bon sang, oui !

Qu'est-ce que Baudelaire écrivait d'autre ?

La musique ouvre le ciel

C'est exactement là que ça perce ! Et pas seulement la musique, mais l'art tout entier.

Le sens, le sensible. Faut voir les choses là où elles sont à la fin.

Ah mais il peut tout à fait être exploré, je n'ai jamais dis le contraire.

Le "bon sang oui!" est juste une exclamation devant une évidence qui n'a pas besoin de preuve, mais peut se connaitre suffisamment par l'expérience.

C'est une exclamation devant une vérité.

I am so sure a écrit:Et je t'en remerciais donc

Spoiler:

Avec plus de 14'100 suffrages obtenus lors du premier tour, Toto Morand a créé la surprise. A la tête de son Parti de rien, le Lausannois, propriétaire de magasins de chaussures, est devenu le premier des "petits candidats", devant des responsables au parcours politique déjà long.

Toto Morand compte mettre en exergue les mêmes thématiques que lors du premier tour: soutien aux petites structures commerciales, à l'agriculture locale et au bio et, surtout, remise en question de la croissance du canton de Vaud qu'il juge artificielle et sans limites.

Mystère Blue a écrit:Qu'est ce qu'y dit ?