Ailes déchirer de l'ange en papier.

Ce soir, j'ai écris, j'ai écris à l'encre rouge sur mon papier blanche,j'ai écris gros dans tous les sens. Ma main à désiner des lettres, des mots des phrases, elle à choisit les sentiments aproprié, elle a fait tombé le papier gribouillé sur le sol avant de retourner sous la couette.

Lorsque qql chose ne va pas, lorsqu'on la sens monté petit à petit, qu'on aimerait en parler mais qu'on ose pas, on fait de petits gestes invisibles mais diférents que d'habitude: on mange moins, on arrête un défit que l'on s'était lancé, c'est là que l'insomnie commence et on espère profondément que quelqu'un le remarquera. Et rien ne bouge, les jours passe le mal augmente, il faut des heures avant de tombé dans un sommeil agité, la consomation de sucrerie augmente et plus on voit que personne ne remarque rien plus on se pose des questions, plus on tombe dans une sorte de dépression inconsciente qui nous affecte. lorsque l'on cherche l'attention des autres, c'est que l'on veut simplement être réconforté et un seul geste simple pourrait faire tout oublié. Mais quand on ne trouve pas cette attention, lorsque l'on ce penche sur soi-même pour écrire se qui ne va pas, lorsque consciemment on laisse la trace de notre détresse c'est qu'il est déjà trop tard.

J'ai passé des heures à réfléchir si je devais, ou non, écrire se sujet, je ne sais toujours pas si j'ai fais le bon choix, mais quitte à laissé trainer un papier autant être sûr qu'il sera lu par au moin une personne. Mon sujet est vague, je sais. Je n'ais pas expliqué de quoi je me plains (encore!) je sais. mais j'ai tellement de mal à me dévoiler. Personne ne sais ce qui me ronge à l'intérieur, et je me retrouve à le dire à des personne que je ne connais pas, cela me semble plutôt bizarre! J'ai chercher du réconfort là où je pouvais, mais en vain. Je ne sais pas réellement se qui me ronge, c'est quelque chose à l'intérieur, dans l'organe que l'on appelle 'coeur' je sais que là il y a un problème. Tant de personne y sont logé, mais je n'ais d'importance que pour la moitier d'entre elles. J'aime des ombres, j'aime des anciens, je m'attache à un rêve disparut, je cours après un futur impossible. des personnes entre dans mon coeur en cinq minutes mais n'en ressortes jamais malgrès toutes les souffrances qu'elles ont engendrés. Cet organe fait partit de moi, mais je ne le controle pas, au contraire, c'est lui qui me controle, qui dicte mes pas, mes pensées, mes besoins, c'est lui qui dirige ma vie au détriment du bonheur.
Mais est-ce que pour les zèbres, seule la famille est une source d'amour accordée? On ne peut pas vivre sans amour, mais il y a trois type d'amour: celui avec un grand A, l'amitier et la famille. je pense qu'il faut les trois pour être heureux.
Je cherche souvent à penser aux petits enfants dans les pays pauvres, je me dis "tais-toi donc, tu ne manque de rien, de quoi tu te plains encore?" en même temps, je vois ces couples qui se tiennent main dans la main, qui marchent le sourire aux lèvres dans la rue. Mais je pense que le plus beau sourire cache une plus grande souffrance. l'humanité serait-elle voué a soufrir toute sa vie? Mais qu'est-ce que 'vivre'? J'ai lu une fois que la vie s'était une continuité de douleurs et que le bonheur n'est qu'un arrêt éphémere de la douleur. Ce n'est pas si faux!

Je m'éloigne de mon idée principal (enfin, pas tant que ça en fait!) J'ai pensé cette lettre avant de l'écrire, je saivais ce que je voulais y mettre, mais, au fil des mots, ma pensé prend un autre chemin! Du coup je n'ais mis que la moitier de ce que je voulais mais je ne sais plus le reste. je ne veux pas me plaindre, mais pourtant je n'arrête pas. Si je pouvais représenter mon ressentit comme le fait éden, je dessinerais une silouhette dans un immense tunnelle. elle serait tourné vers la gauche où brille une lumière jaune mais des chaines l'entraineraient vers la droite là où la lumière est rouge, ces chaines seraient attachées au niveau de sa poitrine qui saignerait à cause de leur puissance. mais pour ne pas saigner, il lui suffirait de suivre les chaines, d'aller vers le rouge, mais la silouhette pense être mieux dans la lumière jaune alors elle force, elle cours contre elle même, elle se débat, elle se détruit juste pour atteindre un rayon de soleil illusoire, elle croit qu'elle réussit à avancer car elle voit la lumière se raprocher, mais ce ne sont que les murs que ce referme sur elle.
Fin de l'histoire pour aujourd'hui, mes pensées sont allée trop loin, je n'ais plus la force d'écrire plus. parfois il faut savoir se dire stop pour arreter la douleur qui frôle l'émoragie, non?