Histoire de créer

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Message par A Deluxe Artisan Dim 5 Avr 2015 - 0:53

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

Salutations distinguées,

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Message par Carla de Miltraize VI Dim 5 Avr 2015 - 1:03

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 1:04

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
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Message par Carla de Miltraize VI Dim 5 Avr 2015 - 1:10

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 1:23

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par guyom zigre doUx Dim 5 Avr 2015 - 2:22

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 2:25

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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par guyom zigre doUx Dim 5 Avr 2015 - 2:28

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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 2:33

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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.
En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.
"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

Salutations distinguées,

Un jour j'ai reçu un étrange aveu du Baron Harkonnen: Je ne supporte pas ta femme elle ressemble trop à ces étranges distributeurs japonais translucides.
Cela me bouleversa, comme si tu étais devenu une

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Message par Yul Dim 5 Avr 2015 - 4:20

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.

Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.

Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.

Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.

Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.

En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.

"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

Salutations distinguées,

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 13:45

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.

Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.

Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.

Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.

Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.

En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.

"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

Salutations distinguées,

Un jour j'ai reçu un étrange aveu du Baron Harkonnen: "Je ne supporte pas ta femme elle ressemble trop à ces étranges distributeurs japonais translucides.
Cela me bouleverse, comme si tu étais devenu une chèvre avinée hurlante." m'avait-il écrit..





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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 17:10

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.

Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.

Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.

Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.

Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.

En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.

"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.

Salutations distinguées,

Un jour j'ai reçu un étrange aveu du Baron Harkonnen: "Je ne supporte pas ta femme elle ressemble trop à ces étranges distributeurs japonais translucides.
Cela me bouleverse, comme si tu étais devenu une chèvre avinée hurlante." m'avait-il écrit. Il faut comprendre

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Message par Chat Bleu Dim 5 Avr 2015 - 18:37

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.

Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.

Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.

Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.

Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.

En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.

"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.
Salutations distinguées,

Un jour j'ai reçu un étrange aveu du Baron Harkonnen: "Je ne supporte pas ta femme elle ressemble trop à ces étranges distributeurs japonais translucides.
Cela me bouleverse, comme si tu étais devenu une chèvre avinée hurlante." m'avait-il écrit. Il faut comprendre que rien ne

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Message par Invité Dim 5 Avr 2015 - 19:27

Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.

Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.

Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.

Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.

Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur; tous ses rêves de papier pelure tombés là sans sans fracas comme une modération saoule qui erre près de nos vies usées.

En définitive, je vous aime beaucoup. Mais, sachez aussi vous asseoir sur vos jolis principes principalement précieusement princiers - d'ailleurs, l'empereur, assis sur ce trône opale-argent l'affirme : peut-être que le vulgaire est une chose indiscutablement et indéniablement inévitable. Un concept qui nous vient du fond de notre histoire parodique bien rodée par les traditions ancestrales des téléteubies-érectus du hallstadt carbonifère inférieur.

"Somptuaires!" hurla le routard argentin apathique. Le greffier se mordit si fort, tigre de papier pour seul chat perché sous lune. Sa bicyclette monoxyle, comme solex fantasmé avait déraillé pendant qu'elle envoyait un regard noir au bitume poisseux; police, cinéma germanopratin lui avaient donc replacée dans Maintemant Eumûque, film de science fiction. Voilà, pour conclure.
Salutations distinguées,

Un jour j'ai reçu un étrange aveu du Baron Harkonnen: "Je ne supporte pas ta femme elle ressemble trop à ces étranges distributeurs japonais translucides.
Cela me bouleverse, comme si tu étais devenu une chèvre avinée hurlante." m'avait-il écrit. Il faut comprendre que rien ne réconforta autant

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Message par Sol œil Lun 6 Avr 2015 - 0:21

Ok on va en finir avec se sujet et en lancer un autre si vous le voulez bien !

Levé il y'a ...
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Message par Chat Bleu Lun 6 Avr 2015 - 23:12

Levé il y'a trop longtemps, je

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Message par Carla de Miltraize VI Mar 7 Avr 2015 - 0:26

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles
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Message par Invité Mar 7 Avr 2015 - 0:35

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement...

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Message par Diatribe Mar 7 Avr 2015 - 3:31

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ ...
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Message par Invité Mar 7 Avr 2015 - 6:53



Dernière édition par 11Road le Dim 26 Avr 2015 - 3:57, édité 1 fois

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Message par guyom zigre doUx Mar 7 Avr 2015 - 14:58

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; ...
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Message par Invité Mar 7 Avr 2015 - 18:08

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Message par Invité Jeu 9 Avr 2015 - 2:34

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Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la...

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Message par Yul Jeu 9 Avr 2015 - 14:41

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Message par Invité Jeu 9 Avr 2015 - 15:07

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Message par Yul Jeu 9 Avr 2015 - 15:41

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Message par guyom zigre doUx Jeu 9 Avr 2015 - 21:56

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera ...
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Message par Invité Ven 10 Avr 2015 - 21:43

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme...

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Message par Bretonne Ven 10 Avr 2015 - 22:58

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de...
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Message par guyom zigre doUx Sam 11 Avr 2015 - 0:23

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de Winston en 1938 ...
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Message par Pola Sam 11 Avr 2015 - 22:05

levé

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Message par guyom zigre doUx Dim 12 Avr 2015 - 1:17

tu casses le cadavre pola ! Wink
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Message par guyom zigre doUx Lun 13 Avr 2015 - 22:39

...

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que
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Message par Invité Mar 14 Avr 2015 - 0:04

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer

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Message par guyom zigre doUx Mar 14 Avr 2015 - 0:58

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait pola
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Message par Invité Mar 14 Avr 2015 - 1:56

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait pola : Les flots sont

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Message par Tennessee Jeu 16 Avr 2015 - 20:11

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont  un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus
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Message par Invité Jeu 16 Avr 2015 - 20:58

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont  un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs

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Message par guyom zigre doUx Ven 17 Avr 2015 - 1:24

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de...
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Message par Invité Ven 17 Avr 2015 - 1:45

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours...

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Message par Tennessee Ven 17 Avr 2015 - 8:01

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent
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Message par Bilobo Ven 17 Avr 2015 - 20:02

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte

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Message par Tennessee Ven 17 Avr 2015 - 20:05

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse
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Message par Invité Ven 17 Avr 2015 - 22:21

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur.

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Message par CakeCitron Ven 17 Avr 2015 - 22:56

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur. Je roule en direction de la prairie, et ma voiture...
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Message par Invité Sam 18 Avr 2015 - 22:44

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur. Je roule en direction de la prairie, et ma voiture pétarade comme un

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Message par Invité Sam 18 Avr 2015 - 23:12

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur. Je roule en direction de la prairie, et ma voiture pétarade comme un pet sur une toile cirée

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Message par LiaZelle Dim 19 Avr 2015 - 12:54

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Message par Tennessee Lun 20 Avr 2015 - 12:45

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Message par Carla de Miltraize VI Lun 20 Avr 2015 - 15:17

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur. Je roule en direction de la prairie, et ma voiture pétarade comme un pet sur une toile cirée. Pola me manque si peu. Trop de murs
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Message par Invité Mar 21 Avr 2015 - 22:58

Levé il y'a trop longtemps, je retiens les voiles qui s'agitent furieusement dans le champ de ma vision trop périphérique boulevard 18h; j'entre dans la danse des anars, ces drôles d'individus chaotiquement organisés en légions. Demain sera une journée comme un tableau de la chambre que tu vois tanguer, comme disait Pola : Les flots sont un spectacle inquiétant pour qui ne sait percevoir l'horizon. Rien n'est plus, tout est couleurs, certaines se reposent dans le noir des ombres de nos souvenirs toujours frétillants. Les sardines s'agitent dans la boîte de vitesse. Le chat ronronne, c'est un moteur. Je roule en direction de la prairie, et ma voiture pétarade comme un pet sur une toile cirée. Pola me manque si peu. Trop de murs se dressent devant...

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