Re: Le complexe de l'Albatros

par DoomGopher Dim 6 Fév 2011 - 13:58

( tres bon , tres bon cette vanne .... d'habitude quand je la fais au bureau , je me sens vite seul ^^ donc je soutiens a mort ton initiative ! )

par Invité Dim 6 Fév 2011 - 14:01

DoomGopher a écrit:( tres bon , tres bon cette vanne .... d'habitude quand je la fais au bureau , je me sens vite seul ^^ donc je soutiens a mort ton initiative ! )

Et tu crois que je me sens pas seul dans bureau à faire du rangement ^^
Miki doomy

par Invité Lun 7 Fév 2011 - 11:37

par Invité Lun 7 Fév 2011 - 21:32

Joli.

par Invité Mar 8 Fév 2011 - 10:46

Je la trouve floue cette vanne ...
Hihi ...

par Zebra56 Ven 11 Fév 2011 - 19:22

Plume d'eau rayée a écrit:
C'est drôle, mais ça me fait penser à un truc. Chez les oiseaux migrateurs, on a remarqué que les individus qu'on trouvait, en automne, "égarés" loin de l'aire normale d'hivernage de leur espèce (Par exemple des pouillots sibériens qui apparaissent en Europe alors que leur espèce va se bronzer en Chine en temps normal) sont en grande majorité des jeunes de l'année. L'écrasante majorité disparaîtra dans la solitude ou bien rentrera dans le rang au printemps suivant. Mais on pense qu'à l'échelle de l'espèce l'existence de ces jeunes "déviants" est une stratégie qui permet de tester d'autres voies. Et imaginez qu'en Chine, un hiver terrible extermine les hivernants "conventionnels", ce sont peut-être les "déviants", qui se la seront coulé douce en Europe, qui feront survivre l'espèce, laquelle adoptera donc ce nouveau quartier d'hiver...
Ben peut-être que les voies alternatives explorées par les zèbres, c'est pareil... Souvent ils s'y retrouvent seuls ou entre eux, et puis parfois les circonstances font que les autres découvrent à leur tour les vertus de ce nouveau chemin, qu'ils ont défriché...

+1

par Invité Lun 14 Fév 2011 - 9:32

sauf qu'y faut qu'il arrête de s'obstiner à marcher ce con d'albatros vu qu'il a des ailes...

par Invité Mer 23 Fév 2011 - 11:20

Baudelaire comportait deux pôles internes... Wink

par Invité Lun 9 Jan 2012 - 5:55

hum
Quelqu'un s'est-il envolé finalement ?
J'ai la tête qui boue...

par Pas de pseudo Mar 7 Aoû 2012 - 16:51

On a beau savoir tout ça, on a beau en être conscient, il n'empêche que les confrontations demeurent. Et comme quelqu'un a dit précédemment, il n'y a pas grand monde là-haut.

par Invité Mar 7 Aoû 2012 - 19:58

et bien c'est exactement ce que je me dis en lisant les conversations de surdoué tiens... Et en relisant celle-ci... Ca se tire pas mal la nouille pour savoir qui a la plus grosse mais à la fin beh on en revient toujours au même hein... PErsonne n'a osé décoller. Ou en gros on se plaint d'un conformisme et d'une norme pour aussitôt en créé une autre dès que possible avec ses potes surdoué, et s'y conformer tout heureux d'enfin appartenir à un groupe social, qui ne saurait par définition être moins con que les autres, tout surdoué soit il hihi. Au final quoi ? Toujours pas le moindre piaf dans le ciel.
Bon, beh tant pis alors. LE chasseur est patient ^^

par Invité Mar 7 Aoû 2012 - 20:14

par Invité Mar 7 Aoû 2012 - 20:19

Tu veux dire que les gars là, ils nous ont pris la tête pendant deux ans à discuter de l'albatros en faisant un chipotage pas permis, qu'ils ont fini par réussir à décoller, et qu'à la fin ils reviennent même pas nous dire comment ??!!!!! Tssssss Bande d'enfoi... Laughing

J'avance Loic J'avance, et je vais vite, je me rapproche du pont d'envol. Je prends mon élan là !!!!

Smile

par Invité Mar 7 Aoû 2012 - 20:31

par fleurblanche Mar 7 Aoû 2012 - 20:59

par Pas de pseudo Mer 8 Aoû 2012 - 0:12

par Pas de pseudo Mer 8 Aoû 2012 - 0:24

par V.Lady Mer 8 Aoû 2012 - 7:38

Bah, Shung, c'est pas facile d'apprendre à voler, donc s'il faut écrire en même temps ;-)

(cela dit, c'est pas mal du tout, le monde vu de là-haut !)

par lynka Mer 8 Aoû 2012 - 8:41

Ah la la, si seulement il n'y avait que l'intelligence & co à prendre en compte...
Perso, ce qui me gêne le plus, même "la haut" comme vous dites, c'est l'égoïsme des gens et aussi leur incapacité à faire des concessions et prendre en compte les autres.. alors qu'ils se sont plaints de tout temps que les autres ne faisaient pas d'efforts d'adaptation à eux.
Genre "ah j'ai enfin atteint des sommets, youhouuu trop bien! Tout va se passer comme moi je le veux et comme ma vision des choses! Ouuuh y'a même des gens comme moi!"

Eh ben non kiki, même là haut il y a des gens différents... Ils sont aussi intelligents que toi, voire même davantage, mais ils ne sont pas identiques à toi et à ce que tu considères comme "la vérité/la bonne manière de faire/etc.."
Malheureusement, les gens ici aussi ont des envies/des besoins/des habitudes bien à eux... mais elles ne sont pas forcément les mêmes que les tiennes... et ça il faut savoir s'y adapter un minimum aussi et voir plsu loin que son petit nombril. Ironie du sort... quand on a quitté la terre ferme parce qu'on en avait marre d'essayer de s'adapter à "des gens qui ne s'adaptent pas à moi" et qu'on en est devenu rigide et aigri et intolérant... ben on st toujours aussi rigide et intolérant même là haut.

Quelle que soit la sphère dans laquelle on évolue, il faut savoir se remettre en question, s'adapter un chouïa aux autres, etc..

Je pense que, plus que tous les autres "problèmes" que rencontre le surdoué, celui ci est certes théoriquement le plsu con et le plus facile à résoudre... mais dans la pratique... ils sont coriaces les surdoués, et plus rigides qu'ils ne le croient. Alors albatros ou pas, pour pouvoir prendre son envol sans redescendre pour cause de non-adaptation aux autres "sensés être comme soi", il faut y mettre un peu du sien.

Quand on arrive dans une maison où le dîner est annoncé pour 19h mais qu'à 19h10 il n'est pas encore sur la table, ben on n'en fait pas tout un plat, on s'adapte à la maisonnée si on veut manger/si on veut de la compagnie (à la base c'est pour ça qu'on va manger chez les autres.. pour la compagnie, pas pour l'heure du dîner.. sinon on se fait sa bouffe tout seul chez soi avec sa montre dans la main), et on réalise que ça n'est qu'un détail et qu'il y a d'autres choses plus importantes qui priment... genre la bonne entente, les échanges riches, etc..

Bref, je ne sais plus quel était mon idée de départ, mais pitié, si vous pouvez, ne devenez pas comme ça.
Vu sa sensibilité, le "zèbre" a tous les moyens de rester sensible à l'autre, compréhensif, etc... pourquoi diable envoyer le monde entier chier sous prétexte qu'il n'a pas la même vérité que soi? C'est bien dommage quand on sait que dans le monde entier il y a aussi d'autres zèbres qu'on aurait gagné à connaître.

par V.Lady Mer 8 Aoû 2012 - 8:53

Tiens Lynka (un bisou au passage !), je ne vois pas du tout le "là-haut" comme un milieu élitiste. "Simplement", il s'agit d'inventer la vie qui nous convient... avec les autres, tous les autres. Savoir qui l'on est (le passage par l'étape "rhômondieuje suiszèbre" n'est qu'une petite étape ;-) ) permet justement d'apprendre à vivre avec ces caractéristiques et le sourire aux lèvres...

Le chemin est long, on y perd beaucoup de plumes, mais le duvet repousse, plus épais, plus dense, plus coloré. Du coup, l'albatros a des couleurs de perroquet ;-)

par lynka Mer 8 Aoû 2012 - 9:19

Oui, je ne parlais pas de tous ceux qui trouvent le chemin du sommet, mais de certains qui l'ont à portée d'aile et qui crachent dessus à cause de leur rigidité/égoïsme.
Ils ratent quelque chose juste parce qu'ils sont intolérants aux autres.

En gros, mon message c'était "c'est bien beau de se plaindre d'être seul là haut.. mais des fois la solitude c'est à cause de soi et de son caractère à la con, pas à cause d'une douance quelle qu'elle soit".

Voilà Wink

Ceci dit, je m'adressais à une personne en particulier, qui se ruine l'existence à cause de ça, et qui aurait les moyens d'avoir un meilleur quotidien et de passer de bons moments entre gens ouverts si elle n'était pas aussi rigide et intolérante.
Et P.S.: il y a toujours une place au chaud si elle veut revenir s'amuser avec nous Wink

Enfin bref je crois qu'au final je suis hors sujet... donc je m'éclipse... Embarassed

(Bisous Lady V. ! )

par Invité Mer 8 Aoû 2012 - 10:39

Moi je ne pense pas que tu sois hors sujet, bien au contraire...
S'envoler ne rime à rien si tu n'as pas en toi La Bienveillance, certes pour toi-même, mais également pour les autres... car il n'y aura jamais rien de beau sans cet Autre. Et ça, on a beau dire tout le monde ne l'a pas encore découvert, même là-haut, d'ailleurs peut-pn prétendre avoir atteins les sommets dont tu parles sans avoir découvert cette bienveillance, j'en suis pas certain.
Peu importe le piaf qu'on s'imagine être devenu, sans elle, pour moi s'est voler sans ailes (ahahah trop facile ^^) et c'est pour ça que je me mélange pas trop. Les cons sont partout, même dans les airs...
Je suis d'accord avec ce que tu dis Lynka. Peut être pas à voir avec le concept du complexe de l'albatros, mais avec le reste oui.

par Pas de pseudo Mer 8 Aoû 2012 - 11:13

Attention ! Icare s'était brûlé les ailes Wink

par DoomGopher Mer 8 Aoû 2012 - 11:15

Icare ? c est le dernier modèle automobile d'Apple ?

edit : heu lol , 10 min apres avoir ecrit ma connerie , je tombe sur ca
http://www.erenumerique.fr/l_icar_d_apple_se_brule_les_ailes-article-3763-1.html

par Pas de pseudo Mer 8 Aoû 2012 - 13:04

par Foreigner Jeu 22 Nov 2012 - 12:17

Pour mieux comprendre mes propos (et parce que cela ne manque pas d'ironie ! Very Happy

) ...

Foreigner a écrit:Aussi pour compléter ma présentation je ne rajouterai que ceci :
Je suis un Goéland, pas farouche et pourtant insaisissable, tantôt perché sur une hauteur d'où j'observe, tantôt marchant sur l'eau à marée basse, tantôt me laissant simplement porter par le vent les ailes déployées.

Le complexe de l'Albatros est justement complexe ...
Pas en soi mais de part tout ce qu'il implique ainsi que de part la foultitude de ses corolaires. C'est d'ailleurs pour cela que je ne suis pas intervenu auparavant sur ce sujet, préférant au préalable développer, au grès des sujets, les principaux éléments qui convergent vers cet animal unique (et nous le sommes tous !), raillé car ses ailes de géant l'empêche de marcher...

Spoiler:

A mes yeux, L'Albatros et Cassandre sont, dans cet ordre, les deux sujets (liés !) les plus fondamentaux pour tout-être humain et à plus forte raison (entre autres) pour les zèbres.
L'Albatros ... Le rapport à soi ; individuellement (être et paraitre) et socialement ("cohabitation")
Cassandre ... Le rapport à l'Autre et aux Autres ; communication et considération.

L'Albatros "devrait" ...
Accoucher de soi-même.
Le premier point est que l'Albatros doit prendre conscience de sa nature et l'accepter !
Aussi une femelle mammouth peut faire ce qu'elle veut, elle ne sera jamais un opossum ...

Bien connaitre la nature et le fonctionnement de soi-même ET du monde dont l'Albatros fait nécessairement parti.
- C'est toujours le même problème : Ne pas confondre ce qui est sensé être et ce qui est réellement !
- Encore faut-il en être capable (compréhension et émotivité).
- Le véritable idéaliste est aussi réaliste.
- Les alouettes aiment tant les miroirs ...
Et ...
- On ne peut récolter que ce que l'on a semé.
- La réussite n'est jamais une certitude mais en revanche l'échec peut être garanti.
[Je ne retrouve plus les passages ... Mais bon, on s'en fout.]

En tenant compte des Autres ET en ayant conscience qu'il est lui-même un de ces "Autres.
- Il ne faut pas perdre de vue à qui appartient chaque responsabilité ...
- Mais la pire des erreurs est de répondre soi-même à la question que l'on a pas posée à l'autre !!!

Pour enfin s'en servir !
Lorsqu'elle est totalement fermé, l'huitre n'est en plus rien différente d'un simple caillou qui sera charrié par la marée.

Après, il ne faut pas non plus se voiler la face : oui les "hommes d'équipage" existent ; le plus souvent simplement parce qu'ils n'ont pas choisis d'être autre choses et ils sont beaucoup plus fréquents qu'on ne l'aimerait.
Si tendre une main est une chose éminemment louable, le syndrome du Messie en est une toute autre !
De même, vouloir être un sur-homme avant d'être relève de la démence.
Et pour éviter les redites, les principaux détails sont ici : "C'est pourtant simple l'amour : SAV."

(Ma signature : )
Think of it or Sink of it.
Renoncer à ses rêves c'est se trahir soi-même en renonçant au bonheur.

"Celui qui ne veut rien faire cherche des prétextes, celui qui veut faire quelque chose cherche des moyens."
Very Happy

par Foreigner Jeu 22 Nov 2012 - 14:54

NB : je ne fais que rebondir dans les grandes lignes sur des propos ou des idées, rien de personnel.

kid Pharaon a écrit:On parlera donc de "complexe de l'albatros" qui est à "l'inhibition" ou "castration intellectuelle" ce que le zèbre est au surdoué : une qualification plus poétique est parfaitement imagée.

Si l'on peut devenir (presque) entièrement maître de soi (Ce qui est long, pénible et demande des efforts appropriés !) on n'a revanche que de l'influence sur le monde extérieur que dans une certaine mesure on est malgré tout contraint de subir.
Donc :
- D'où vient cette castration ? De qui ? Comment ? Pourquoi ?
- Et surtout : Qu'est-ce que je fait ou pas pour la contrer ?

kid Pharaon a écrit:La peur de ... [perdre ...]

Tout est là ! Fatalisme ou défaitisme ? ... Wink

kid Pharaon a écrit:Refoulement et répression deviennent des modes de fonctionnement indispensables, ils sont des corollaires à l'étouffement de la différence sur le chemin de la conformité à l'autre, à l'adapté, au plus grand nombre.

Qué "indispensable" !!? Question de choix ! Résultat ou facilité ; beurre ou argent du beurre ?
Mais sinon oui, le résultat est alors toujours celui que décrit Kid ; ça ou toute autre forme d'implosion. Chacun ses goûts ...
De toute façon, cela sera forcément en partie pénible, effrayant, difficile, frustrant et de plus il y aura des sacrifices. Alors quitte à de toute façon en passer par là, autant bien réfléchir d'abord à la question du beurre ...
Si tu veux que tes prochaines années ressemblent aux dernières, ne change rien !

Plume d'eau rayée a écrit: Je me fiche pas mal d'avoir le potentiel pour être un Nicolas Sarkozy si je n'en ai aucune envie et tant pis pour ceux qui trouvent que "c'est du gâchis". C'est à sa quête du bonheur personnelle qu'il faut se ramener. On peut parler de potentiel insuffisamment exploité, d'échec, de régression (je ne mets là aucune notion de responsabilité) si la personne souffre de devoir vivre une vie qui ne lui convient pas.

Redondant mais si magnifiquement résumé ...

kid Pharaon a écrit:ICI, POSTEZ UNE CHOSE QUE VOUS AVEZ FAIT DE MANIERE DIFFERENTE.

D'un côté je répondrai "La mauvaise réputation" de Brassens.
Et d'un autre côté, au delà de ça justement ... "Manière différente" est effectivement une idée intéressante à creuser ... (Et à rapprocher de "rouler dans le même sillon. Wink

)
Et pour ne pas passer mon temps à le citer : Kid est un grand sage !

qwerty a écrit:Et puis faut pas non plus oublier que quand on s'est raccroché à son intellect toutes voiles dehors pendant une partie de son enfance.

... on a délaissé la majeure partie de nous même.

chip a écrit:moi je me dis qu il est con il a pas compris ske jdisais

- Ne pas confondre entendre et écouter.
- Ne pas confondre chercher à comprendre et interpréter à l'emporte pièce.
- Ne pas confondre parler et être explicite.

Invité a écrit:Nota Bene : les Albatros, une fois en vol, sont beaux et paisibles, ils ne font de tort à personne et ne marchent sur aucune tête pour s'envoler...

A méditer ...

Kara-Stéphanie a écrit:Ne descendre que lorsqu'on y trouve son compte, ou lorsqu'on veut montrer un joli tour.

Bon, on n'a pas toujours le choix... Mais oui, c'est aussi une alternative à ne pas oublier.

Harley Davidson a écrit:Et comme quelqu'un a dit précédemment, il n'y a pas grand monde là-haut.

C'est aussi un problème de confiance en soi, en l'autre et de d'être farouche.
Mais c'est vrai qu'entre les hommes d'équipage et les Albatros qui reste à pattes, il y a plus de monde au sol qu'en l'air (de rien ...).

Le shung' a écrit:LE chasseur est patient ^^

Oui, ne pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages...

lynka a écrit:Ah la la, si seulement il n'y avait que l'intelligence & co à prendre en compte...
Perso, ce qui me gêne le plus, même "la haut" comme vous dites, c'est l'égoïsme des gens et aussi leur incapacité à faire des concessions et prendre en compte les autres.. alors qu'ils se sont plaints de tout temps que les autres ne faisaient pas d'efforts d'adaptation à eux.

Quelle que soit la sphère dans laquelle on évolue, il faut savoir se remettre en question, s'adapter un chouïa aux autres, etc..

Être pleinement égoïste mais à moitié seulement. Wink

Je ne suis pas l'Autre mais l'autre est un autre moi-même et je ne suis moi-même qu'un Autres parmi tous ...
Gné ? Mékékidi ? ...

lynka a écrit:Quand on arrive dans une maison où le dîner est annoncé pour 19h mais qu'à 19h10 il n'est pas encore sur la table, ben on n'en fait pas tout un plat, on s'adapte à la maisonnée si on veut manger/si on veut de la compagnie (à la base c'est pour ça qu'on va manger chez les autres.. pour la compagnie, pas pour l'heure du dîner.. sinon on se fait sa bouffe tout seul chez soi avec sa montre dans la main), et on réalise que ça n'est qu'un détail et qu'il y a d'autres choses plus importantes qui priment... genre la bonne entente, les échanges riches, etc..

Oui, tout comme il ne faut pas attendre servilement jusqu'à 21h.
- Ne pas confondre rigueur et rigidité.
- Ne pas confondre tolérance et être permissif.
- Ne pas confondre gentillesse et faiblesse.

lynka a écrit:Vu sa sensibilité, le "zèbre" a tous les moyens de rester sensible à l'autre, compréhensif, etc... pourquoi diable envoyer le monde entier chier sous prétexte qu'il n'a pas la même vérité que soi? C'est bien dommage quand on sait que dans le monde entier il y a aussi d'autres zèbres qu'on aurait gagné à connaître.

Tout à fait, l'Albatros vole beaucoup mieux que le caillou qui, de toute façon, ne fait que retourner vers sa marée.

lynka a écrit:Ceci dit, je m'adressais à une personne en particulier, qui se ruine l'existence ...

Main tendue ou Messie ? Wink

(Rappel : ce n'est qu'une illustration...)

Le shung' a écrit:S'envoler ne rime à rien si tu n'as pas en toi La Bienveillance,

Le meilleur pour la fin !
Bravo !

EDIT :
J'avais oublié le principal :
- Ne pas confondre n'avoir pas de prix et ne pas avoir de valeur ...

par Invité Jeu 22 Nov 2012 - 15:14

Nota Bene : les Albatros, une fois en vol, sont beaux et paisibles, ils ne font de tort à personne et ne marchent sur aucune tête pour s'envoler...

... "A méditer"... mais faux... Les limites de la comparaison...

par Pas de pseudo Jeu 22 Nov 2012 - 17:12

par Foreigner Ven 23 Nov 2012 - 7:47

Bonjour Harley.

Qu'entends-tu par "qui nous font croire" : "qui cherchent à nous faire croire" ou au contraire "qui font que l'on préfère croire" ?
Je trouve un sens magnifique, l'autre abominable ... Very Happy

par Invité Ven 23 Nov 2012 - 8:11

Harley Davidson a écrit:Fusain, ne crois-tu pas que ce sont les marcheurs qui nous font croire qu'il faut les limites de la comparaison ?

On n'est pas obligé d'en tenir compte. Le vrai albatros n'est pas bienveillant, nous, on est libres de l'être.

par offset Sam 15 Nov 2014 - 11:09

LE COMPLEXE DE L'ALBATROS

"L'inhibition intellectuelle chez l'enfant intellectuellement précoce
Se défendre ou s'interdire ?"

Par le docteur Alain GAUVRIT, pédopsychiatre

LE PRISONNIER :

"Il peut paraître banal de comparer l'Albatros du poète, piteusement empêtré dans ses grandes ailes blanches dès qu'il abandonne les hauteurs pour se mettre au niveau du commun des hommes, et l'enfant dit « surdoué", tellement gêné (pour ne pas dire « handicapé ») par sa haute intelligence qu’il doive parfois inhiber ses potentialités (rogner ses ailes) pour tenter de s'adapter à un système scolaire qu'il trouve souvent peu stimulant pour lui et se faire socialement accepter.
Pourtant, cette image prend un autre relief
- lorsque, d'une part on se réfère à Alice MILLER et son « pauvre enfant riche enfermé dans sa prison intérieure », et à GERAUD qui se demandait s’il fallait couper les ailes des jeunes sujets que l’on déclare géniaux et les condamner à cette prison qu'est la régression intellectuelle et mentale parce qu'ils avaient eu la chance de naître à un très haut degré d’intelligence,
- et lorsque, d'autre part, on sait que le mot « albatros » vient du vocable portugais « alcatraz » qui nous rappelle le célèbre pénitencier de San Francisco dont la réputation assurait que l’on ne pouvait s'en évader... Jusqu'au jour où trois condamnés à la réclusion à vie réussirent l'exploit de s'en échapper, ce qui condamna l’établissement. Toutes les chroniques se rapportant à ce fait-divers mentionnent que ces trois psychopathes, qualifiés de « surdoués » et même de « génies », avaient un quotient intellectuel très au-dessus de la moyenne. On ne les reverra jamais et on a même supposé qu’ils s’étaient fait refaire le visage et avaient changé d’identité !"

CONCLUSION :

" Pour résumer et pour conclure, on peut dire que, dans l'éducation aujourd'hui, le choix accordé au surdoué se résume souvent à la loi du tout ou rien : l'intellectualisation ou l'inhibition intellectuelle. Cette dernière est bien paradoxale, d'un côté système de défense à visée anti-dépressive, de l'autre véritable processus dépressiogène. S'inhiber, en effet, c'est développer un sentiment de frustration mettant en cause le narcissisme du sujet. Ne pas s'inhiber, c'est se désolidariser de son environnement et développer un sentiment de culpabilité.
Alors, il faut rendre la parole à l'enfant, lui donner la possibilité d'exprimer ses difficultés, de les mettre en mots. Plus que l'écouter, l'entendre et l'accompagner. Le prendre tel qu'il vient et lui permettre de montrer, d'épanouir et de solidifier tout ce qu'il y a en lui, non seulement d'intelligence mais aussi d'affectivité et de possibilités physiques. Tenter en quelque sorte de restaurer une harmonie. Pour cela il faut que l'enfant puisse bénéficier d'un milieu, qu'il soit familial, scolaire ou institutionnel, suffisamment solide pour qu'il se sente en sécurité et suffisamment souple pour qu'il se sente libre.
Grâce à un soutien bienveillant et actif, l'enfant-albatros ne doit plus se résigner à n'être que le jouet d'un système dont il est actuellement moins l'acteur que l'otage et moins le bénéficiaire que la victime. Et c'est à nous de décider si ce système doit être celui où il s'emmure ou celui où il se délivre.
La morale de « La légende de l'homme à la cervelle d'or » d'Alphonse DAUDET se termine ainsi : « Il y a de par le monde de pauvres gens qui sont condamnés à vivre de leur cerveau, et paient en bel or fin, avec leur moelle et leur substance, les moindres choses de la vie. C'est pour eux une douleur de chaque jour ; et puis quand ils sont las de souffrir... »
Je vous laisse sur ces points de suspension comme l'Albatros suspend son vol, et je vous remercie."

http://pedagogie.ac-toulouse.fr/garsep/gauvrit.htm

« …Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher » (Charles BAUDELAIRE, L'Albatros)

L'Albatros de Charles Baudelaire :

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 12:55

https://www.zebrascrossing.net/t812-le-complexe-de-l-albatros?highlight=albatros

je crois que c'est le même lien - mais flemme j'ai pas lu.

par offset Sam 15 Nov 2014 - 14:29

chercheurdemploi:

par invite1 Sam 15 Nov 2014 - 21:43

Merci d'éclairer notre lanterne sur ce sujet. Me sens concernée par le complexe de l'Albatros. Sauf que je ne crois pas du tout avoir des ailes de géant. Et plus le temps passe, je dirai que chez moi le douage deviendrait plutôt le "dumm âge". C'est assez paradoxal : mon environnement familial a toujours renvoyé de moi l'image d'une personne intelligente, je dirai, même que chaque membre a fait toujours des tonnes là-dessus. J'étais vraiment le héros de la famille premier-né, chargé de réparer toutes les blessures narcissiques de ses parents et de son milieu d'origine. Au point que ma soeur, a dû se frayer un chemin particulier au sein de la fratrie. Ce n'était pas facile pour elle, car curieusement, elle était celle qui aurait des difficultés à l'école et moi celle qui réussissais. En échange, (car il y avait une monnaie d'échange) : elle était bien plus impliquée que moi dans la cellule familiale. Enfant je parlais très peu pour ainsi dire pas du tout, mes premières années de classe étaient difficiles car j'avais des instits qui ne m'aimaient pas : ma mère n'avait pas le temps de s'occuper de mes vêtements, et il me manquait souvent des boutons. Sur mes bulletins scolaires on pouvait lire manque d'éveil ou trop empotée. C'est en CM1, qu'une gentille institutrice a repéré mon potentiel et a convoqué ma mère. Pour me sortir de mon état de paresse permanent. J'ai donc travaillé pour l'institutrice et pour ma mère. Je devenais un bonne élève, jusqu'en 5 ème. Fatalité : ma meilleure amie ne faisait plus partie de la classe. Le collège nous avait séparé. Je ne l'ai pas supporté, j'ai saboté mon année, et j'ai dû redoubler. Enfer et damnation!Pour moi le redoublement avait été un électrochoc, je ne voulais plus saccager mes études pour une fille perdue de vue. Je suis remontée à cheval, j'étais bonne élève sans trop d'efforts (c'est l'ENNEMI CA!!!), j'ai rencontré une autre camarade de classe on a déménagé, je l'ai perdue. Je suis arrivée en quatrième avec un coeur de pierre, blessé, amoindrie, dépressif.Mes parents n'ont jamais rien vu, je ne me suis jamais plaint. Je souffrais tout simplement. Une gentille camarade l'a vue, m'a pris la main. Et je me suis investie comme jamais. J'étais la meilleure. En seconde on a été séparées. Je suis retombée dans mon marasme. J'ai survolé mes années lycée dans la douleur, la douance c'était ma seule chance. L'erreur : je n'ai jamais appris plus qu'il ne fallait. Même toujours plutôt moins. Je ne parle pas des phobies qui me handicapaient, et du rapport avec les autres.Tout ça pour dire qu'il m'a toujours fallu une dose d'amour pour travailler, l'exigence de bien-faire chez moi n'est pas inné. Mais c'est vrai que l'amour, ce puissant excitant, est un danger surtout quand il n'est pas partagé. Smile

par offset Sam 15 Nov 2014 - 22:56

@invite1, c'est un témoignage très touchant, merci pour ce partage

Je pense que l'enfant à haut potentiel ne supporte pas d'être seul, il a besoin de se sentir entouré et aimé
pour être bien. C'est un besoin presque vital pour lui, l'absence d'attention et d'amour freine son épanouissement
en général

par invite1 Sam 15 Nov 2014 - 23:26

Merci offset, Smile

par elpulsco Dim 14 Déc 2014 - 11:44

Tout d'abord, merci Offset d'avoir redonné vie à ce fil.

Je me reconnais dans ce complexe de l'Albatros et concernant le texte d'Alain Gauvrit, j'y reviens souvent et j'ai du mal à ne pas pleurer quand je le lis. C'est en effet très triste de prendre conscience qu'on s'automutile intellectuellement. Je suis très triste de me rendre compte à quel point je peux me faire mal toute seule, en premier lieu en acceptant qu'on me fasse mal mais aussi et surtout en m'éteignant. Mais pour survivre, c'était la seule solution envisageable. Dès le plus jeune âge, je me suis mise en veilleuse, sur certaines photos j'ai l'air inexistante, absente, là où d'autres enfants sont pleins de vie. Je crois que mes demandes, mes besoins n'ont jamais été compris, entendus ou accueillis avec bienveillance. Ce que j'ai vécu en terme de vie familiale correspondait à de la maltraitance, bien empaquetée sous des couches de dénis.

Pour ma part, j'ai beaucoup de mal à lever le ou les blocages qui m'empêchent d'accéder à mon potentiel. Est-ce que d'autres personnes sont dans cette situation actuellement ?

Je ne sais pas si ce blocage est dû à une défense (un interdit/une protection) Se tape la tête cont

inconsciente d'accès au plaisir (d'apprendre, d'être moi, vivante etc) ou à autre chose. En effet, en ce moment je me demande quelle est la part d'impact de différents facteurs sur ce blocage de potentiel intellectuel : le rapport à l'autre (qui chez moi prend la couleur de la dépendance affective) et le trouble de déficit d'attention (avec hypoactivité). Et encore d'autres paramètres : perfectionnisme, mauvaise estime de soi etc... Tout cela me semble bien entremêlé. SOS

offset a écrit:Je pense que l'enfant à haut potentiel ne supporte pas d'être seul, il a besoin de se sentir entouré et aimé
pour être bien. C'est un besoin presque vital pour lui, l'absence d'attention et d'amour freine son épanouissement
en général

Tout à fait d'accord. Et pour sortir de l'inhibition intellectuelle, il semble que l'attention et l'amour (bienveillance, non jugement) soit le cocktail préconisé par Alain Gauvrit. Je trouve cela difficile à trouver, surtout si on a été habitué à en manquer, à faire sans et du coup à se mettre à l'écart pour se protéger. Prisonnier

par louise Dim 14 Déc 2014 - 12:27

@elpulsco : ton témoignage peut être partagé sans aucun doute. Je lis que tu dis "sur les photos tu as l'air inexistante", moi il n'y a carrément pas de photo de moi! Si une photo de classe en CM2.

par Anarloth Mer 15 Fév 2017 - 11:51

Désolée de faire remonter ce vieux sujet mais là je pense être totalement concernée.

Dans un premier temps je me demande surtout à quel âge le complexe de l'albatros peut-il s'installer ?
Si par exemple on a très tôt été "pensé" un peu limité éventuellement et que la maternelle s'est très mal passée (genre un instit qui foutait des claques à longueur de journée et qui me considérait débile), est-ce que le complexe de l'albatros peut s'être installé à ce moment là ? Ou est-ce que c'est plus vers 6-7 ans ?
Est-ce que si on ignore qu'on est surdoué pendant longtemps, et inhiber, on peut considérer aussi que cela tient de de ce soucis ?

par Invité Mer 15 Fév 2017 - 12:24

" Les enfants intellectuellement précoces présentent certaines caractéristiques et on a défini des critères plus ou moins subjectifs dont l'association peut permettre, pour un esprit averti et attentif, de les identifier :

- apprentissage précoce et rapide de la lecture avec richesse du vocabulaire,

- avidité pour la lecture, surtout des dictionnaires et encyclopédies,

- difficultés grapho -motrices fréquentes et répugnance pour l'écrit, la main ayant du

mal à suivre le rythme de la programmation mentale,

- tendance à avoir des camarades plus âgés et à aimer dialoguer avec les adultes,

- posent beaucoup de questions, notamment sur les origines de l'Univers,

- jugent volontiers les gens et de façon perspicace,

- sont très sensibles aux injustices,

- ont le sens de l'humour,

- ont horreur de la routine,

- aiment les jeux de stratégie compliqués,

- préfèrent travailler seuls."

+1

par Anarloth Mer 15 Fév 2017 - 13:23

Hmmm tous ne présentent pas ces critères a priori, ce qui empêche la détection. ^^

par Invité Mer 15 Fév 2017 - 13:59

Oh putain de dieu ta reum, le complexe du chasseur existe pas non aussi ? Quelle connerie sérieux, mais sérieux. Les typos se pointe avec leur réflexion à deux balles, une carrière passé dans des hôpitaux intercommunaux et te ponde leur petite théorie insignifiante. En plus fallait qu'il cite du Baudelaire, on aurait mal imaginé cité un autre poème des fleurs du mal, en même temps on fait avec la culture qu'on a. No tapé, I m juste Doctor. I not rid the flower of mal.

Du vent. Quand tu sais que l'analyse de L'albatros c'est la complaisance ultime de ne pas être, un clivage du moi dans ce qu'il croit être mais n'est pas (la carnation dans une fausse image) vive la vie hein. C'est exactement ce qu'il fait le gadjo qu'a pondu cette théorie on se marre. Pas compliqué en même quand on sait que toute cette connerie est basé sur du nominalisme et la plasticité du cerveau humain. Dis moi que j'ai un complexe je le croirai. Effet Barnum ma bonne dame ! Et tout le monde dans la partouze.

Me rappelle encore ce groupe FB ou y avait des gadjo et gadji qui se plaignait de pervers narcissique, victimisation à l'état pur, croire que dieu existe c'est trouver des circonstance à sa foi. Je compare pas dieu aux PN, enfin si tiens, poins commun des deux : aucun existe mais tout le monde y croit. À y sont forts les gens. Moi ça m'aurait fait marrer si le toubib en question, ou son cortège de thèseux qu'a tapé le truc avait lu journal d'un vieux déguelasse, ou Vic saint val pourquoi pas. Là c'est pas le complexe de l'albatros qui l'aurait, mais le complexe de la main tremblante "hé raoul, hé vieux, sert moi un... un jaune !" t'aurais pas le complexe de la main tremblante toi ? #CQFD le type va chez son psy qui au bout de 45 rendez-vous sur 2 ans lui confirme qu'après analyse et sur-analyse, et sur-sur analyse, il a le complexe. Boum. Coup de tampon, carte de membre activé, à qui le tour ? "Michel, hé michel, t'aurais pas euh... ma maladie là ?"

En exposé comment une pseudo-thétorie, truc que j'ai même pas lu, rien que le nom est trop vendeur pour qu'on s'y intéresse, se propage dans la tête tellement plastique de qui veut croire qu'il est complexé. En résumé le grand problème en fait de toute ces théorie, du moment qu'y a kkun pour se reconnaître, alors oui, oui, c'est sûr, c'est certain, elle existe. Hé bah putain mon fiss, qu'est ce qu'elle devrait dire Amanda Lear.

Tiens zébulon, ça faisait longtemps, la forme l'ami ?

p.s. (j'avoue je suis pervers, pasque je prédis que qui répondra à mon message fera une lapalissade) j'aurais dû préciser un point, la flemme

par Sun Simiao Mer 15 Fév 2017 - 14:16

PouchKina a écrit:
p.s. (j'avoue je suis pervers, pasque je prédis que qui répondra à mon message fera une lapalissade)

T'es gravement atteint de ce complexe, PouchKina.

par Invité Mer 15 Fév 2017 - 14:27

Mmm, du coup s'en ait pas une. Bien joué.

par Kolyma Mer 15 Fév 2017 - 14:54

Faut pas écrire que sous MD, pense au lecteur.

par Invité Mer 15 Fév 2017 - 21:00

Erreur mon ami, penser au lecteur c'est déjà lui accorder trop d'importance. Pour ça que j'ai toujours raison et que vous avez tous tord. Mes post dans ma tête sont la réflexion absolue. Je poste jamais si je vais pas au bout d'un raisonnement. Je peux entrevoir ton point de vu, mais j'ai déjà fait un choix sur le mien. Je suis ici pour défendre mon bout de viande et c'est comme ça que le débat avance. Pas en s'écoutant, mais en se foutant sur la tronche verbalement. Tu suis, tu suis pas, mmm, pas grave. Mais si tu veux me prouver quoi que ce soit va falloir que t'ailles plus loin que 'nimporte quelle autre réflexion, le respect c'est ça, si je te repsecte alors je vais au fond de ce que je suis capable d'admettre et de penser, et dans ce cas alors je te considère comme mon égal. Dans le cas contraire, je me moque de toi je suis là juste pour raconter mon histoire et ma vision des choses. Attendre qu'un regard se pose sur moi et qu'on me dise "oui, je suis tout à fait d'accord avec toi".

Chacun sa vision de la chaîne alimentaire. Chacun sa vision du débat. Pour certain les forum sont des confessionnal pour d'autres une immense jungle à conquérir. (j'écris jamais sous MD, je suis trop sympa)

par Kolyma Mer 15 Fév 2017 - 21:23

Ah je croyais...

par Invité Mer 15 Fév 2017 - 22:09

Kolyma a écrit:Ah je croyais...

Comme d'hab.

par Kolyma Mer 15 Fév 2017 - 23:24

À PouchKina:

par Invité Jeu 16 Fév 2017 - 1:36

Plutôt rare, qu'on s'aperçoive de ça si vite. Faut bien une paire de semaines avant de faire l'effort d'aller au delà. La communication qu'est ce que tu veux. Demande à Godzilla le pauvre, il a mis 45 plombes lui. Et dire qu'il se présentait roi du pétrole. Maintenant la grande question, comment on revient au sujet (c'est quand même ça qui compte). Facile.

PouchKina a écrit:le complexe du chasseur existe pas non aussi ?

Nope. Erreur d'analyse. Classique tu me diras, quand o y vient avec tout l'amalgame du keumé qui s'intéresse à la psy. Réfuter une science par une justification verbeuse revient à se contredire. Boum. Là je t'ai fais mal au cerveau moi-même. Mais tu me diras (je suis bon seigneur) à faire d'une totologie une réponse, c'est aussi se discréditer. Hors sujet qui plus ait. Du coup on fait comment. On reprend de bout en bout. Pas considérer le complexe comme un effet de complaisance mais le considérer comme une pathologie à part entière. Non comme comme une composante intrinsèque à l'identité comme tu le fais mais comme le caractère chronique d'un ensemble de symptôme psy. Ce qui rend ton analyse bancale, bah ouais morray, t'y allé avec ta croyance j'y vais de la mienne. Après tout, la clé est dans la considération qu'on a pour les choses.

Je poursuis, considérant le complexe comme la pathologie, alors (un con l'aurait dit) reste plus qu'à chercher les caractérisques du truc. Là que (j'avoue ouais ouais) le titre fait pas honneur à la maladie. Du mal à prendre au sérieux le typos qui file une métaphore à une maladie, c'est comme si un toubib te causait dans son private et te disait "vous avez le crabe". Drôle de nom pour un cancer. Surtout quand tu roules en porche et t'es chef de clinique. Faut voir à pas tout vulgariser. Ma bon, c'est ça comme. Là ou t'as pêché d'ailleurs, pasque c'est pas si con, le môme inhibé intellectuellement ça part d'une bonne intention. Comme les voitures de course qui tourne en ville. Pas s'étonner qu'au bout d'un moment elle s'enraye. Pour le reste je laisse au défenseur du concept la main, j'ai trop donné de moi-même dans le but de rétablir un semblant de vérité. Même si, même si...