L'amoureuse marginalité

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Message par Rienestfigé Dim 29 Sep 2013 - 1:47

Salut,

J'aimerai parlé, pour ceux que cela concerne, libre de toutes catégorisations zébresque dans un premier temps que je trouve néfaste, d'une marginalité de la relation amoureuse.
Je m'explique un peu sur le concept du zèbre, qu'il soit un moyen de compréhension mais non un doigt inquisiteur à l'autorité absolue qui filtrerai toute observation de soi-même et des autres. Je vous invite, vous.

Je pense, influencer certes mais pas déterminé par des valeurs qu'il me serai imposé, devant lesquelles je serai docile, soumis ; être, de mon être même, différent - soit - sur le plan relation et plus particulièrement sur la relation amoureuse.
Il n'y a aucun sens à sortir, passer le temps avec quelqu'un sur ce plan, noyer sa vie dans un rapport corporel stérile de sublime. Aimer, non pas l'autre mais ce contenter d'une médiocre satisfaction social à faire ce que les gens, la majorité, font. Aimer. De sa chair pleine. Aimer, de son corps entier. Suis-je d'une exigence incroyable ? Ou est-ce moi, qui ne vibre de tout mes atomes, ne m'éxstase psychiquement que dans quelques rares regards, caresses dense de légèreté, êtres passionnés d'absolues mises en abîmes dans un don plein de soi. La réponse pourrait être de la simple différence des gens, mais pourquoi alors si peu me donne l'envie de les embrassé, de les aimer comme j'entends l'amour, ce qu'il est pour mon coeur ? J'ai même l'impression de réfléchir à quelque chose qui n'a pas de réponses. La simplicité me dit d'accepter et de marcher mais la question me taquine.
L'état d'âme tiraillé entre l'impression de pouvoir aimer tant de femmes, mais si peu peuvent se réaliser. L'amour "amoureux" est de l'exceptionnelle, du sublime. De poignante viscéralité, d'explosions émotionnelles étrangement structuré, de simplicité désarmente, de l'étonnement du fait même de vivre ce que l'on vit. J'ai connu l'amour avec une fille, les autres relations furent telle que je n'est plus l'envie, comme si je savais ce que je ne trouver pas digne d'essayer de vivre - à prendre avec extréme précautions, malheureusement j'ai beaucoup de peine à exprimer ce que je ressens. J'suis bien paumé quand je met le nez la dedans.
Mon questionnement vient plus du fait de ne pas me contenté. De vouloir et n'accepter que ce qui n'est à mon sens exceptionnelle, je ne me trouve pourtant pas très romantique, mais ayant une conception relationnelle assez absolue. D'engagement profond et total, sans parler de temps, de fidélité etc..

Suis-je seul ?

Et cela va avec une sexualité, tantrique, profonde, pleine sinon à quoi bon ?



Rienestfigé
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Message par keano Dim 29 Sep 2013 - 9:43

tu te prends la tête!

l'amour c'est une invention du diable pour nous faire souffrir.

accepte ce que l'autre te donne, sans le forcer à te donner plus (ce qu'on cherche tous c'est de l'affection plus que de l'amour)

redescend un peu sur terre aussi, l'homme est un animal qui se prend tellement au sérieux qu'il veut conquérir le ciel...
donc te prends pas au sérieux, t'es qu'un animal doué de culture: donc les histoires de fusion, tantrisme... ça n'as ni queue ni tête!(en tout cas au début de la relation < 6 mois).

mon conseil: change de crèmerie

keano

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Message par Invité Dim 29 Sep 2013 - 11:30

Rienestfigé a écrit:Mon questionnement vient plus du fait de ne pas me contenté. De vouloir et n'accepter que ce qui n'est à mon sens exceptionnelle, je ne me trouve pourtant pas très romantique, mais ayant une conception relationnelle assez absolue. D'engagement profond et total, sans parler de temps, de fidélité etc..

Suis-je seul ?

Et cela va avec une sexualité, tantrique, profonde, pleine sinon à quoi bon ?
Non, tu n'es pas seul bien sûr... Je dis souvent que ma recherche d'absolu me "condamne" à la solitude (je veux dire par là que cette recherche ne peut aboutir qu'à très peu de rencontres dans une vie, qui ne dureront probablement que quelques années et que, de fait, la grande majorité de ma vie aura été faite de solitude). Cela ne me rend plus triste aujourd'hui, c'est un constat.


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