A l'Esperluette.

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J'avais un collègue belge autrefois. Son approche des questions "tartines" et "frugal" était assez proche de celle de Nicotineke.

La fugacité de la vie ne peut avoir de limite même avec la question culturelle, on réside avec seulement des aimants.

Mais seulement les jeudi matin.

Bienvenue à tous

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T'as pas fait beaucoup de clients de la journée, on dirait.

Un café, siouplé, pis, si tu as un truc qui se grignotte, je te promets l'amour.

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Merci, tu es une perle.

Miousique, please


et le vin!
Côtes de Sein Mont, M'sieur Li?

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Ca doit être bon, ça.

Kès sec kçà?

Tu mets une pièce, tu choisis un disque et tu as de la musique. C'est génial, non ?

Ah OK, parce que j'ai vu une fontaine d'alcool blanc, photo prise dans un pays d'Europe de l'Est: On aurait dit de l'eau fraîche!

Mon chéri favori, je désire une fontaine dans la cour...
Mon amour de velours, tu peux baigner tes yeux:

Du poisson Zèbre!!!

C'est calme
C'est la nuit
y a un p'tit gars dehors
Fais le rentrer, c'est pas une heure pour un gamin!


On pourrait se reposer un peu?
Sur les cannes à paix, oui.

Tu connais la passion natale de riche terre?

On dit: l'Appassionata de Sviatoslav Richter.

J'ai goûté une recette de truffes défatigantes.

Arrête de sauter comme çà, tu m'énerves

J'peux pas, j'ai mangé tous les échantillons du cuistot

1 noix de kola fraîche finement râpée, à la râpe à gingembre.
Le triple en volume de noisettes en poudre
La moitié en volume de chocolat sans sucre en poudre
Confiture d'oranges, quantité suffisante pour obtenir une pâte assez compacte
Façonner à votre goùt, comme des truffes au chocolat.

Ne pas abuser des bonnes choses.

J'ai mangé du mauvais poulet avec de vrais amis, c'était délicieux.

Je passais juste t'embrasser pour le simple plaisir de le faire et pour mettre un mot au chat : oui, je t'aime aussi.

Silence, çà pousse

Silousse, ça pense.

Heureusement qu'on s'a, sans çà, cent s'a, sent çà, sens a!

Si on ailes m'en.

On aurait des primes.

Ceux laquent rient Zeus.Et quo Nô mi-queue.

Heurts osent m'ans.

Faix paquebot.

Jeu ment fou, jeu suis liège y ont.

Va temps, sacre t'as nanas!

Rêve y hein y Mède y a le temps!

Son faux à lier.

J'ai envie d'un mes nattes.

Pourquoi pas un père OK?

Sait chair çà.

Un gris du gars bon? J't'envole un, si tu voeux. Chars, le magne est tôt faux noeuds.

Silence, joli.

Nous reste la bouffe ou le sexe. J'ai pas faim.

Au quai, des Amaryllis

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Y aura jamais à manger assez là-dessus.

Il me reste des ring ose Eros, M'sieur Gimli

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Bon, je vais manger aussi, moi, les papillons du coup, faut pas gâcher.

Ris, noce, héros.

Waouah! La marche nuptiale, avec les rhinos devant, et tout le zoo, quel film!

Dire qu'ils se font certainement des soirées où ils se repassent le film, émus.

On a failli manquer ceci : https://youtu.be/Lqurb4ooBrQ

Certains sont heureux.

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Y a quoi au menu ce soir ? Tu fais un truc spécial ?

Le poisson Zèbre filmé hier. On l'a estourbi, un de père dodu, dix l'ont retrouvé.

S'il est filmé, on fera des papillotes.

J'ai de la confiture d'oignon.

Sweet plus tard La patronne est partie; faites comme chez vous

Marre dis! C'est la Saint Tünakâ.
T'en connais toi? Plein. C'est français çà? CD Rom, encore.
Tûnakâ, c'est une lie vers selles.
Ils fuient les robes de l'Est. L'aurore naît faste, drapée d'eux nacres.
On va tousse moues rires pour temps. Gus ta vue leurre? Il est plus tare que tu ne panses!
Tortues raies.
Je souffre à trop s'aimant, gling glong gling.
Housse tékila, la colle universelle.
Une vraie mitre aillette Un Mithra yéti? île sourd qu'homme en peau. Qui parle d'impôts encore? Le père sceptique; tel perd, sel fisse.
Glouglous des âmes au rez de la lune. Mais l'hydrogène a t il une âme, la force d'évoluer?
Spi natoirement, naît sens arrêt, fonte et noeuds!
Rive hier de mondes, jeu suis que Rê acteur.
Face onde parlée.
L'âme hors odes, il est minuit.
Docte heure chouettes airs.
Il souffre à trop s'aimant, gringrin chats grains.

La télé est fichue
Tant mieux




Divertie ou trompée – que d'erreurs, d'errements, de non-vérités, de fuites au journal télévisé et ailleurs –, la masse sociale entre dans le monde de la fiction, une fiction dont la ressemblance avec la réalité sera d'ailleurs un atout de crédibilité.
La télévision est avant tout un remède au mal-être, peu cher et mal connu, qui ressemble aux drogues… La conversation autour des séries télévisées ou des fictions est associée à un sentiment d'évasion mais aussi de dégoût de soi. Cet arrière-monde télévisuel est proche d'une toxicomanie. Et celle-ci se trahit comme pour toute addiction par le dégoût qui s'associe au geste de s'installer devant son téléviseur et de disposer son esprit à ingurgiter des émissions sans distinction.
Créant une illusion de satisfaction et un monde parallèle, elle agit aussi au détriment de l'implication de chacun. Au détriment, pour un certain nombre d'entre nous, des liens de famille qui ne résistent pas à la fascination et au dérivatif fournie par la télévision, qui crée comme un manque addictif.

y a du vrai là d'dans.

temps mieux

Ça ribouldingue toute la nuit et le matin, il faut faire son café soi-même.

La télé en panne (Pierre Perret)

C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
Ah je m'en souviendrai longtemps
Ce fut un sacré bon moment
On allait dîner tranquillement
Sans dévorer le petit écran
Sans se barder la chemise de nouilles
En regardant causer ces andouilles
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
On allait louper à coup sûr
Les attentats tous les coups durs
Tout ce qui dégringole à la ronde
Sur la calebasse du pauvre monde
Et tout le cortège désabusé
Des mêmes qui sont toujours baisés
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
Su'l'coup mes parents pris de court
Voulaient appeler police secours
Ils se sont rués sur le palier
Et le moral salement cisaillé
Prenant leur courage à deux mains
Ils ont parlé à leurs voisins
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
Dans les étages de haut en bas
C'était partout le même tabac
C'était la panique dans la strasse
Ils trouvaient ça tous dégueulasse
Qu'un gouvernement libéral
Puisse tolérer un tel scandale
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
On les a tous emmenés chez nous
Moi j'ai décroché mon biniou
Papa prit son accordéon
Le voisin du dessus son violon
On a fait un boeuf du tonnerre
Un truc qui vous fout le cul par terre
Pour finir la nuit messieurs dames
Cupidon se mêlant aux programmes
Incroyablement pour maman
Son époux redevint son amant
Et quand mon vieux lui a dit je t'aime
Ce fut comme un second baptême
Elle avait les calots brillants
Un coup de grisou dans le palpitant
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
¨Pourtant grâce à ce jour funeste
On a monté un chouette orchestre
Nous vendîmes nos télés aux puces
On vit maintenant de nos [Refrain]
Et ça nous fait bien rigoler
Demain on passe à la télé

Tu es drôle, toi, revenir de Cassiopée, il y avait la queue à la caisse de car bu rend! Je voudrais t'ivoire.

Odime a écrit:Tu es drôle, toi, revenir de Cassiopée, il y avait la queue à la caisse de car bu rend! Je voudrais t'ivoire.

Tu ne risques pas de me voir sur Cassiopée, j'ai horreur des centres commerciaux.

Cassiopée??? C'est une étoile! Le nom d'un centre commercial, chez toi, peut être. A ce propos,

, se sont fendus d'une étude de marché sur le forum, après ils sont allés faire le ré-appro. En fait, la demande est surtout...d'une

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On va mettre en bouteilles, les affaires sont les affaires.

C'est affreux ces [img] ridicules

Odime a écrit:Cassiopée??? C'est une étoile! Le nom d'un centre commercial, chez toi, peut être.

Oh là, Belin, aurai-je touché les limites de ton imagination qui me parait pourtant sans bride que tu ne m'a pas rejoint dans l'idée qu'une étoile ne puisse être qu'un centre commercial. Tu y vas bien faire ton plein d'essence, or, j'ai beau regarder dans mon télescope, je n'y vois pas de drapeau Total ? Nan mais, dis donc, c'est que ça vous fâcherait c'te p'tite bête.

M'en vais prendre un cognac, tiens, avec du coca dedans, comme on buvait à Moscou au temps de l'URSS. Faut dire que c'était du faux cognac et du faux coca, mélangé, c'était buvable.

Pis si t'avais trois oeufs, un tranche de jambon et quelques tomates, je redeviendrais le plus heureux des hommes.