Jouer l'imbécile

Ce décalage d'avec les autres m'a fait plonger dans le faux-self
Le faux-self est une façon aussi de "jouer à l'imbécile", sauf qu'il est guidé par la peur

(ツ)_/¯

Oui je le fais souvent pour l'instant j'ai identifié trois but à ça:

-être accepté
-pour me calibrer par rapport à l'autre
-par simplicité

blabla

aussi pour se détendre et décompresser but purement horriblement égoiste

(ツ)_/¯

Je ne suis pas dans la tête de cleobule, mais le mépris peut avoir un côté libérateur en ce qu'il ote la pression de plaire à autrui : si autrui nous méprise, inutile de faire des efforts pour lui plaire !
Personnellement, je pense que faire l'imbécile peut être salutaire dans certaines situations (boulot), mais dommageable si l'on souhaite une relation franche avec autrui. Après, beaucoup d'entre nous le font de temps à autre par convenance sociale ...

Je ne sais pas si je joue à l'imbécile mais j'ai surtout l'impression que finalement les vrais sujets intéressants n'intéressent pas grand monde:
Donc je vais parler avec les gens du temps qu'il fait ou autres trucs qui ne changeront pas la face du monde.
Un coin de ma tête semble toujours frustrée de ne pas pouvoir parler de sujets plus vastes mais en même tps ma pensée va trop vite et je fais partie de celles qui n'arrivent pas à s'exprimer.

Alors je me tais ou surfe sur la conversation...

Personnellement, je ne joue pas l'imbécile mais je tente d m'adapter pour me fondre un peu plus dans le décor.
Je l'ai tellement bien fait professionnellement que j'aurai du mal à prouver le contraire.
Et cela n'est pas sans conséquences car il est extrêmement difficile de s'en défaire par la suite et de redevenir soi même.
C'est tentant de conserver la tenue de camouflage que l'on a mit des années à se fabriquer plutôt que d'assumer cette différence et ses conséquences...

Franchement, ca fait du bien de voir que je n'ai pas ete la seule à jouer les blondes (en plus je le suis vraiment :p ) pour essayer d'être intégrée. A l'ecole je me suis aussi fermée très vite et de la meme maniere je me souviens de ma prof de Français qui m'avait collé un Zero en rédac, sous prétexe que je ne pouvais l'avoir ecrit moi-meme à mon age blabla... je crois que de ce jour, l'ecole avec laquelle j'avais deja énormément de mal à trouver ma place, est definitivement devenu un endroit que j'ai détesté toute ma vie et que j'ai quittée au plus vite bien avant le bac. (aujourd'hui encore, quand j'emmene mes enfants à l'ecole, j'ai "le cerveau " de mon estomac qui part en vrac et de grosses bouffées d'angoisse rien qu'a entendre les enfants crier, chahuter dans la cour, ou bien quand la maitresse de mon fils veut me parler.
Longtemps je me suis vraiment pensée blonde et bête (je n'ai decouvert et appris que très tard mes "problèmes" de Q.I. Mais jouer les blondes, je le fais encore tres souvent maintenant, en terrain inconnu (ou non d'ailleurs), car c'est malheureusement aussi devenu pour moi un mode de communication qui fonctionne. Je fais rire la galerie, et du coup ne génère plus ni anhimosité, ni rejet, ni jalousie. C'est devenu une protection efficace et à force, je pense que c'est aussi devenu un reflexe de non comprehension de premier abord (ce qui pose bien des soucis), car en effet, le cerveau, si on lui refuse nourriture et develloppement, finit par avoir de plus en plus de mal à cojiter rapidement. J'ai tellement pris l'habitude de ne pas parler avant les autres, de ne surtout pas mieux faire et de poser plein de questions idiotes, ok par curiosité vraiment des fois, mais bien souvent, simplement pour communiquer et faire penser à l'autre que j'ai besoin de lui et du coup recevoir de l'attention (je crois que c'est aussi pathétique que ca). Et franchement au bout de 40 ans, et alors que le cerveau fonctionne deja bcp moins vite sans que j'en rajoute, je crois que c'est devenue une seconde peau très négative et corrosive (pour moi). Et encore, j'ai la chance de bosser dans l'informatique et d'y avoir trouvé pas mal de personne "Zébrées (c'est mignon ce therme, ca me plait plus que précoce/doué/XIP blabla) ou semi Zébrées. Mais je n'ai pas pour autant reussi à lacher cette espèce seconde peau et tjrs maintenant, je me refugie très vite dans une attitude légère, fofolle ou superficielle, qui me permet d'éviter les conflits. Je pense que ca rend tres difficile les relations, car je garde un deuxième masque caché en permanence, que très peu de personne peuvent voir. Les très rares personnes avec qui je me suis sentie assez en confiance pour mettre "la blonde" de côté, et qui n'ont pas fuit, sont à compter sur les doigts d'une main et sont sans doute doté du meme Zebrage que moi. Mais c'est rassurant de voir que je ne suis la seule à l'avoir utilisé comme subterfuge. d'intégration.

on a tout à gagner socialement à rester incognito.
(Seul problème: à ce jeu on perd l'essentiel: soi.)

Je joue souvent l imbecile. Il parait. Je crois c ma facon d etre moi meme.

réflexion faite -et après une soirée quelque peu éprouvante- on l'est souvent, imbécile, alors on n'a pas vraiment à le "faire". Dans une autre temporalité, on a parfois du mal à suivre les conversations, on n'a rien à dire qui soit susceptible de s'inscrire dans la continuité de l'échange, lequel nous échappe régulièrement. Alors on a l'air éteint, insipide, sans intérêt. Envie de se montrer agréable? Hop: petite blague tombe à plat...rires polis avec un temps de retard. On a compris: elle est nulle.
Heureusement en petit groupe il y a aussi les moments de fulgurance; on peut impulser et imprimer notre propre rythme et là on a notre chance: on brille on étincelle on rayonne et on éclabousse le monde de notre pétillance. Esprit vif et virevoltant les mots s'animent et vivent, les idées s'articulent et le monde revit. Luchini me voici!
Entre deux états de grâce je suis régulièrement résolument imbécile. Pas besoin de forcer, je ne comprends rien.

Dans une autre situation ?

difficile à dire; il y a très clairement la question du nombre et de la qualité de l'entourage. En confiance et en cercle intime je suis géniale (en toute modestie) mais dès qu'il y a un groupe nombreux ou dès que la conversation prends un rythme je sors du jeu, je me retranche so far away; je deviens inadaptée à tout: la conversation, la compréhension, l'expression, l'humour,... je suis à côté de la plaque et me montre totalement incapable de m'insérer dans la conversation. Si je force je me plante.Potiche, blonde (et encore ça va mieux je vieillis, suis moins mignonne, je gagne en intelligence quoi). Je ne comprends pas la conversation de politesse, et encore moins les conversations de fin de repas; chacun défend une idée, optant et réduisant le champs des possibles à UNE hypothèse, la défendant bec et ongle. Désolée je n'ai aucune idée universelle à défendre. J'aime m'interroger ensemble, chercher le chemin à plusieurs, voire changer de point de vue.
Inadaptée je suis l'imbécile du monde.(ah bon je ne serais pas la seule?)
Bon j'avoue, je n'ai pas toujours très envie d'enrichir ou d'élever le débat.

.

.

!!
voyons-voyons...temporalité n'était peut-être pas le terme approprié, quoiqu'en relisant les def, il y a de ça quand même. En tous cas pas "situation". Je faisais référence à cette petite musique intérieure, celle qui impulse un tempo à notre univers interne et qui me place souvent dans un monde parallèle dans lequel les choses n'ont pas la même valeur que pour d'autres parce que je n'ai pas le même rapport à tout que mon entourage. Un peu nébuleux tout ça je le reconnais: je reviens dès que j'ai trouvé la lumière!
"Pardonne mon côté autiste, je n'aime pas les mots mal employés" Etant moi même chipoteuse sur l'emploi et l'orthographe (j'ai pas dit infaillible, hein!) j'accepte facilement la correction. Peut-être faut-il trouver encore autre chose.
"surtout ici où je soupçonne toujours que la fanfaronnerie n'est pas loin" hélas d'accord aussi, mais je me sens tellement plus timide que fanfaronne!
"Je ressentais ça avant, mais maintenant, à part si je suis plongé dans mes quelques pensées, je n'ai plus ce genre de difficultés (à ne pas paraître à l'ouest). Je m'en tape et j'ai une bien meilleure compréhension sociale que les gens que je ne comprenais pas trop, car avant je comprenais à un autre niveau et il y a comme un cumule."
je le prends comme une bonne nouvelle: il semblerait donc que ça se soigne!

Parfois oui pour diverses raisons.

par exemple

Pour voir jusqu'où on peut me prendre pour un con.

Laisser à l'autre le plaisir de la supériorité.

CQFD

^^

ou pour achever une conversation
ou pour placer une autre idée, je n'ai pas votre intelligence mais.... et bizarrement quand parfois avec certaines personnes on ne prend par le haut, on est entendu... ce qui est l'essentiel pour moi pas de convaincre que je suis ci ou ça

Bonjour

Je comprends ton interrogation.
Je joue souvent l'imbécile, la naïve aussi.
J'appelle ça mettre un masque pour entrer dans la "norme".
J'en ai.... ou plutôt avais... plusieurs.

J'ai découvert mes rayures, il y a seulement 3 semaines.
Résultat, un grand besoin d'isolement et une grande décision.
Suivre mon courant, bas les masques.
Depuis toutes ces années, difficile de retrouver qui je suis.

Sur mon 1er post, on m'a répondu qu'il faut s'accepter tels que nous sommes pour accepter les autres.

C'est ma quête aujourd'hui.

Au plaisir d'en parler.
Je suis tête neuve ici

Vous est il arrivé de jouer l'imbécile pour faire répondre l'autre à sa propre question? Car toute question posée porte en elle sa réponse aurait dit Socrate ;-)

Maïeutique diraient d'autre... (sans prétention)

Moi cela m'arrive assez fréquemment ;-)... non par souci de manipulation, mais bien par souci de valorisation...car l'autre est mine de rien assez souvent moins con qu'il ne le croit! ;-) enfin.-..celui qui pose une question hein... pas l'autre ;-)

Bonjour Aethos

En effet, je manage une petite équipe.
Certains de mes collègues ont tendances à prendre la facilité de demander.
Pour leur donner de l'autonomie et les mettre en valeur (quand c'est possible..... et il y a des causes perdus !!!!) Je fronce les sourcils, frotte ma main sur le menton et répète la question....
Ça paie souvent et ça m'a appris à être plus compréhensive et patiente.

Ahhh Padman, de ses mots, remet tant de baume à notre coeur...

L'utile à ceci d'agréable qu'il se joint à l'essentiel... le problème-> les sciences ont fini d efaire de l'utile avec du futile et inversement. J'aime les sciences, pourtant je reste intimément persuadé qu'elles ne suffisant à s'expliquer qu'elles-même... comme toute chose humaine devenir une chose plutôt qu'une autre :-)

Non, je n'en ai pas besoin. Mon intelligence n'est pas assez élevée pour que j'ai besoin de la cacher.

ça m'arrive de jouer au con, mais personne ne comprend quand je fais de l'humour, par contre la plupart du temps je ne comprends rien, rien de ce que l'on me dit, et rien des situations avec les gens. J'ai seulement l'impression de ne jamais pouvoir être moi même. La plupart du temps, je conserve mes jugements pour moi, certains moisissent en silence, mais ils ne me font pas d'ulcères, j'ai trouvé d'autres sujets de réflexion que les autres êtres humains.

Pourquoi jouer ? Alors qu'il suffit d'être.

C'est en effet assez grave, et assez comique en même temps. Posez vous à côté des gens sans rien dire, soit ils imaginent que vous avez une idée derrière la tête, et que vous tentez de les manipuler, soit ils imaginent que vous n'avez rien dans la tête et que vous êtes un imbécile. Essayez de contrôler ce qu'ils peuvent penser de vous est un job à plein temps, plus qu'épuisant. Nous aimerions tous ne pas être incompris, et à défaut d'âtre compris, ne pas être dévisagés, embêtés, scrutés pour ce que nous sommes.

Sauf que tu as l'impression de cracher sur ta véritable personnalité, de te prostituer (bon c'est un peu fort).

- le con ne peut pas percuter ou sentir tellement il est con... Donc on peut même parler librement et se lacher, contre lui ou pas... car devant lui ou derrière lui c'est pareil vu qu'il risque pas de se douter de quoi que ce soit.

Le problème c'est que si tu essaies de le faire remarquer, on va penser que tu te foutais de la gueule des gens depuis tout ce temps où tu ne disais rien, ou alors on va faire comme si tu étais parano et qu'on avait rien dit, résultat, 0 confiance de la part des autres, et alors on te classe dans la catégorie des sales cons. Ca apporte quelques satisfactions, surtout quand les autres s'en rendent compte, mais c'est de courte durée, et c'est un peu sadique finalement. Profiter des gens c'est t'exclure un peu plus, et tu te fais avoir pour devenir ce que tu ne veux pas devenir, quelqu'un qui abuse des autres alors que tu voudrais (enfin moi) des relations de confiance.
Comme les gens risquent de ne jamais s'en rendre compte, tu es ce que décident les autres de toi.
De plus, une fois qu'ils ont eu la suggestion que tu faisais semblant, ils ne te pardonneront pas la moindre erreur puisque ils te voient alors comme un génie du mal. Donc si à un moment tu ne percutes pas au millième de seconde, que tu t'évades un peu, c'est bon, tu retombes dans la catégorie pauvre con, et se rassurent avec la première catégorisation qu'ils avaient de toi.
Au final ton absence de pouvoir sur les évènements (évènements qui dépendent de ces mêmes personnes qui te conspuent), sera une preuve pour ces derniers que tu es un con.

Je vais être très honnête, lorsque j'étais jeune, vers 20 ans, j'ai tourné dans des diners de con, car je vivais comme un pauvre type (ça n'a pas changé) sans copine, sans ambition, sans relation, que j'accorde ma confiance très facilement et que je me confie également très facilement. Le pire, c'est que c'était des diners de con, "pour mon bien", pour me sortir, parce que même si j'étais brave et éteint, il fallait que je vois le monde pour m'éveiller un petit peu.
Je vais décevoir des gens, mais j'étais pleinement conscient de leur façon de raisonner et de leur psychologie et si j'ai manqué d'a propos parfois, c'est aussi en partie car je sentais leurs attentes. Ca ne m'empêchait pas d'espérer de l'affection de leur part, car où en chercher si ils sont les seuls sur terre? Je me moque bien du discours qui dit qu'on doit s'aimer soi meme d'abord, si ça n'est jamais le cas, on fait quoi? On exploite jamais notre potentiel? On n'est jamais aimé? N'est-ce pas complètement stupide?

La partie très honnête vient maintenant: les gens qui me faisaient tourner sont de véritables imbéciles, et j'entends par là réellement bêtes et primaires.
C'est donc facile de conclure en riposte que tout le monde est con, et si personne n'a eu la compréhension de ça pendant tout ce temps, je dois me poser des question sur leur intelligence.

C'est une technique de défense que j'adore, comme ça on voit la vrai personnalité de la personne en face, surtout ceux qui se sentent supérieur,

Proverbe célèbre : la vitesse de la lumière étant supérieur à la vitesse du son, c'est pourquoi de nombreuses personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air con !

Dès que je le peux, je joue à l'abruti, ou au bête,

Je joue... je joue car bizarrement quand je reste naturelle on me traite de conne et quand je joue ben la c'est normal. Peut être que je suis réellement conne en fait, pas foutu de comprendre une simple phrase, comme me dit ma mère et pas foutu de suivre une ligne me disait mon père.

Ah oui, ça sent le vécu, je me sens moins seul. Cependant je pars avec un avantage physique indéniable, j'ai la tête de l'emploi. Je me suis d'ailleurs souvent fait cette réflexion en voyant les gens se comporter face à telle ou telle personne, même quand elles ne disaient rien de particuliers, "est-ce que les gens ne jugent l'autre que sur son aspect physique?". Ca n'est pas forcément une question de beauté, mais que l'apparence colle avec le message que tu as à passer. J'ai d'ailleurs eu la confirmation puisque quelqu'un m'a dit qu'il était persuadé qu'on voyait plein de choses par le regard, (me regardant avec un gros sourire ironique, comme si j'étais le dernier des benets), le type en question n'était pas spécialement une flèche...

kalish a écrit: J'ai d'ailleurs eu la confirmation puisque quelqu'un m'a dit qu'il était persuadé qu'on voyait plein de choses par le regard, (me regardant avec un gros sourire ironique, comme si j'étais le dernier des benets), le type en question n'était pas spécialement une flèche...

C'est vrai qu'on voit plein de choses par le regard surtout le sien j'en suis sure

Moi c'est ce que j'aurai répondu.

je ne suis pas aussi fin, enfin mince (ah ah), je veux dire que j'ai moins de répartie, en plus je n'avais que sa tête en face je ne voyais donc pas grand chose.

Ah les bonnes vieilles apparences...
On m'a souvent fait comprendre que j'avais l'air d'un imbécile, maintenant que je commence à comprendre qui je suis et mes différences ça ne me fait pas encore glousser mais presque.
Sinon il m'est arrivé de faire intentionnellement l'imbécile pour faire rire, mais quand on est pris au sérieux c'est tout de suite beaucoup moins drôle... Après , j'avais tendance à faire l'imbécile exactement au moment où il ne fallait pas, c'était mon tort. Mais bon, il me reste encore une bonne tranche de vie à tartiner avec une cuillère au lieu d'une fourchette! Qu'est ce que je suis drôle...

Sinon il m'est arrivé de faire intentionnellement l'imbécile pour faire rire, mais quand on est pris au sérieux c'est tout de suite beaucoup moins drôle...

la blague qui tombe à plat et que tu n'as même pas le courage d'expliquer tellement ce serait laborieux.

Peut-être que nous fonctionnons tous un peu au faciès mais certains semblent en faire une croyance absolue, et justement ils sont très crédules en quelques sortes. En même temps c'est sûr qu'en tant que primates, nous communiquons également par le visage. Le truc, c'est qu'en ayant ce "type de crédulité" on peut mener sa barque assez loin, ce qui la justifie alors parce que d'autres personnes partagent les mêmes jugements. On n'imagine pas un film où le méchant n'a pas une tête de méchant ou alors c'est un contre emploi. (encore que ces derniers temps, les acteurs sont hyper botoxés et inexpressifs). Un type malin va au delà de cette première impression et ne se fie pas à sa croyance, on s'aperçoit vite qu'on a souvent tous un cerveau fonctionnel.

t'as oublié veut en gras, et le ne est en trop, mais c'était marrant. C'est sûr les gros rassemblements sont intimidants.

Il paraît que quand on naît con, on est con. C'est une réflexion qu'on m'a souvent faite, avec un petit regard en coin :"on est comme on naît/ est".

on ne naît pas con, débile oui, par contre on peut être élevé dans la connerie, et s'en sortir.

La connerie est un état d'esprit, pas un handicap.

Si tu veux jouer au con, tu vas perdre !

c'est ce con verra!!

kalish a écrit:c'est ce con verra!!