De la difficulté à être en groupe
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Re: De la difficulté à être en groupe
Moi aussi bcp de mal à être en groupe et pourtant je recherche quand même la compagnie des autres, c'est assez paradoxal comme comportement, j'ai l'impression de générer le mal à l'aise chez les autres étant moi même mal à l'aise dans ces situations mais je n'arrive pas à renoncer aux sorties, à être avec les autres. Comme si malgré tout je cherchai à m'améliorer à chaque rencontre/réunions...
zwinette- Messages : 15
Date d'inscription : 28/01/2015
Re: De la difficulté à être en groupe
Je trouve ça tout à fait normale et même plutôt sain. Je ne l'analyse pas comme une tentative d'amélioration. Je suis assez pessimiste en la matière et considère que ce combat n'a pas à être mené. Par contre je sais qu'en tant qu'être humain (donc social) j'ai certains besoins sociaux et que ces derniers dépendent plus de ma condition (d'être humain) que de la valeur que j'attribue à mes congénères.zwinette a écrit:Moi aussi bcp de mal à être en groupe et pourtant je recherche quand même la compagnie des autres, c'est assez paradoxal comme comportement, j'ai l'impression de générer le mal à l'aise chez les autres étant moi même mal à l'aise dans ces situations mais je n'arrive pas à renoncer aux sorties, à être avec les autres. Comme si malgré tout je cherchai à m'améliorer à chaque rencontre/réunions...
Re: De la difficulté à être en groupe
oui, nous avons besoin de contacts humains en tant qu'êtres sociaux mais certaines personnes arrivent visiblement bien a totalement se passer de rapports sociaux (je pense aux ermites ou même des religieux, ou des gens très isolés à la campagne) et je me demande bien comment ils trouvent cette force. Chez moi c'est beaucoup plus vacillant, et comme je le disais plus haut, même si ça peut générer sur le coup (le fait d'être en groupe) une souffrance/douleur eh bien malgré ça je voudrai qd même renouveler l'expérience. Une sorte d'équilibre à trouver d'abord en soi j'imagine et ensuite peut être dans son rapport à l'autre.
zwinette- Messages : 15
Date d'inscription : 28/01/2015
Re: De la difficulté à être en groupe
L'horreur du groupe...
Autant je peux m'adapter (modérément) à la futilité des conversations qui émergent dans un groupe, autant l'absence de sincérité des propos empêche toute communication de ma part.
C'est un blocage immédiat teinté de souffrance et de silence.
Autant je peux m'adapter (modérément) à la futilité des conversations qui émergent dans un groupe, autant l'absence de sincérité des propos empêche toute communication de ma part.
C'est un blocage immédiat teinté de souffrance et de silence.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: De la difficulté à être en groupe
Moi, c'est la difficulté à être en groupe... de surdoués.
Sinon, j'ai les mêmes problèmes que beaucoup de monde : lorsque je ne connais pas, j'ai moins d'assurance, j'ai besoin d'en savoir un peu plus sur les gens, de tâter le terrain, d'avoir quelques signes pacifiques pour m'aventurer plus. A taton, quelques vannes et on progresse.
Tout ce qu'il y a de plus normal.
Par contre, avec des surdoués, non. Ça veut pas. Je me surprends même à dire de grosses conneries rien que pour me rappeler à l'ordre : "tu n'as rien à faire là". Je me connais, avec le temps, c'est le signe que, dans le fond, je ne veux surtout pas être là. Ensuite, je disparais.
Sinon, j'ai les mêmes problèmes que beaucoup de monde : lorsque je ne connais pas, j'ai moins d'assurance, j'ai besoin d'en savoir un peu plus sur les gens, de tâter le terrain, d'avoir quelques signes pacifiques pour m'aventurer plus. A taton, quelques vannes et on progresse.
Tout ce qu'il y a de plus normal.
Par contre, avec des surdoués, non. Ça veut pas. Je me surprends même à dire de grosses conneries rien que pour me rappeler à l'ordre : "tu n'as rien à faire là". Je me connais, avec le temps, c'est le signe que, dans le fond, je ne veux surtout pas être là. Ensuite, je disparais.
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
J'accepte volontiers le contact du groupe, mais avec une certaine anxiété, ce qui fait que je diffère de plus en plus, avant de renouveler l'expérience avec un autre groupe.
En groupe je suis généralement mieux que je ne l'aurais cru, parce que je joue le jeu au point d'aller dans le sens de mes interlocuteurs.
Et puis, quand je me retrouve seul, j'ai généralement l'impression d'avoir perdu mon temps, à moins qu'un événement extraordinaire, qui mériterait d'être noté, ne se soit produit.
En groupe je suis généralement mieux que je ne l'aurais cru, parce que je joue le jeu au point d'aller dans le sens de mes interlocuteurs.
Et puis, quand je me retrouve seul, j'ai généralement l'impression d'avoir perdu mon temps, à moins qu'un événement extraordinaire, qui mériterait d'être noté, ne se soit produit.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: De la difficulté à être en groupe
J'aime bien l'adrénaline d'une rencontre avec un nouveau groupe. J'aime effectivement moins l'anxiété qui va avec.
Mais même si ça se passe mal, ce qui arrive, il y a toujours, je trouve, des choses intéressantes à noter. Quels ont été les premiers signaux émis par les différentes personnes ? Quels sont ceux qui ont voulu prendre certains pouvoirs, et comment ? Les premiers discriminations formulées (il y en a toujours), et par qui ? Etc. C'est moins humain, on s'éloigne du but de la rencontre, mais ça reste intéressant.
Mais même si ça se passe mal, ce qui arrive, il y a toujours, je trouve, des choses intéressantes à noter. Quels ont été les premiers signaux émis par les différentes personnes ? Quels sont ceux qui ont voulu prendre certains pouvoirs, et comment ? Les premiers discriminations formulées (il y en a toujours), et par qui ? Etc. C'est moins humain, on s'éloigne du but de la rencontre, mais ça reste intéressant.
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
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Dernière édition par Bérénice le Lun 28 Déc 2015 - 3:15, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Je m'emmerde, tout simplement. La première fois que j'ai mis les pieds à Mensa, j'étais avec une amie. On a failli se barrer à la fin de ma deuxième phrase. On a été rattrapé sur le perron du bar par la présidente. Après, j'ai pu discuté avec un gars avec qui on a parlé de tout sauf de surdon. On a bien rigolé. Mais sans doute pas plus qu'avec n'importe qui d'autre.
Après, je ne peux pas dire que cela se passe à chaque fois. Ce n'est pas le cas. Mais beaucoup trop souvent à un point tel que le temps perdu n'est pas rattrapé. Au delà du fait que le thème de surdon revient trop souvent dans les discussions alors que c'est le cadet de mes soucis (directement ou indirectement), il y a comme une incompétence sociale généralisée qui se fait ressentir. Encore une fois, pas par tout le monde, mais trop. J'ai déjà invité d'autres amis pour avoir leur ressenti : il était partagé.
Après, je ne peux pas dire que cela se passe à chaque fois. Ce n'est pas le cas. Mais beaucoup trop souvent à un point tel que le temps perdu n'est pas rattrapé. Au delà du fait que le thème de surdon revient trop souvent dans les discussions alors que c'est le cadet de mes soucis (directement ou indirectement), il y a comme une incompétence sociale généralisée qui se fait ressentir. Encore une fois, pas par tout le monde, mais trop. J'ai déjà invité d'autres amis pour avoir leur ressenti : il était partagé.
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
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Dernière édition par Bérénice le Lun 28 Déc 2015 - 3:15, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
J'essaie de respecter les drames de chacun. Mais sûrement pas de m'en occuper, ou encore moins de les compenser. Je l'ai eu fait, j'en suis revenu définitivement. J'ai déjà à faire avec mes problèmes et l'autre a la fâcheuse tendance, si on n'y prend pas garde, de venir en rajouter (enfin, plus exactement, à y déposer les siens).
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Nukzak a écrit:J'essaie de respecter les drames de chacun. Mais sûrement pas de m'en occuper, ou encore moins de les compenser. Je l'ai eu fait, j'en suis revenu définitivement. J'ai déjà à faire avec mes problèmes et l'autre a la fâcheuse tendance, si on n'y prend pas garde, de venir en rajouter (enfin, plus exactement, à y déposer les siens).
C'est un risque réel.
En tout cas merci de ta franchise.
Elle m'en apprend beaucoup sur moi.
Mais sais-tu finalement ce que toi, tu es venu faire ici ?
Ce forum est en quelque sorte un "groupe de surdoués".
Comment vois-tu les choses ?
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Pareil.Kilimandjaro a écrit:Je sais que je suis exigeant mais j'ai cette sensation de galoper quand les autres rampent, je trouve le monde si lent: nous n'avons pas le même rythme, c'est un fait, et je me sens comme inadapté à la possibilité de caler mon pas à celui des autres et ainsi, de développer des amitiés, de comprendre ce qui les amuse, de comprendre ce qui les réunit.
Je me sens comme engourdie au milieu d'un groupe.
Engager une conversation n'est pas mon fort puisqu'il faut commencer par des banalités, parler de soi et de l'autre mais pas trop profondément, et souvent les discussions tournent autour de choses inintéressantes pour mon esprit avide de connaissances et de réflexion. Alors j'ai le cerveau qui flâne. Et souvent on me dit "mais si ! tu étais là quand il en a parlé, tu te souviens?"... Ben non.
Je préfère le face à face à 2 personnes. C'est plus "vrai" selon moi, même si je ne parviens pas toujours à faire parler la personne comme je le voudrais. D'un autre côté quand on me parle en "un à un", soit je comprends avant que la personne ait terminé et ça me barbe d'attendre la fin, mais il faut bien, soit on me parle et c'est pas intéressant mais je fais tout pour pas montrer mon manque d'intérêt, j'essaie de m'intéresser, je n'aime pas blesser les gens, mais ça demande de l'énergie...
Je ne parviens d'ailleurs pas à m'exprimer car on me comprend de travers, les échanges ne sont pas transcendants. Bref, ma vie sociale n'est pas très riche. Heureusement qu'il y a les activités extérieures pour voir d'autres gens sinon...
Je me demande souvent si c'est pareil dans un groupe de personnes surdouées ? Ou les échanges sont plus vifs, intéressants ? Je me pose la question de savoir si rejoindre un groupe peut aider à sortir de cet engourdissement habituel...
Mais d'un autre côté, apparemment les groupes ne sont pas le propre des surdoués. C'est une organisation particulière qui enlève toute authenticité aux échanges selon moi puisqu'il y a ceux qui sont là pour se "mettre en avant", faire valoir leurs connaissances ou points de vue, d'autres pour charrier les autres, mon rôle à moi est d'écouter (ou pas). Ce sont des rôles adoptés qui ne changeront pas, si rien ne change au sein même du groupe.
J'ai appris ça en psychologie sociale avec une expérience sur des rats, je trouve ça hyper intéressant comme théorie. Les rôles ne sont pas prédestinés ni figés, ils existent selon le groupe en présence. D'ailleurs voici le lien de l'expérience intitulée "Faits comme des rats": https://www.youtube.com/watch?v=kk21JTzdxzY
fleur de canard- Messages : 80
Date d'inscription : 31/10/2012
c'est le hic !
Invité a écrit:J'essaie de respecter les drames de chacun. Mais sûrement pas de m'en occuper, ou encore moins de les compenser. Je l'ai eu fait, j'en suis revenu définitivement. J'ai déjà à faire avec mes problèmes et l'autre a la fâcheuse tendance, si on n'y prend pas garde, de venir en rajouter (enfin, plus exactement, à y déposer les siens).
Je découvre, je découvre les zèbres dans le Groupe.
Et là, je me sens interpellée.
C'est bien ça le hic : ne pas s'épancher auprès de l'autre. Tu ne donnes pas à manger au groupe et là, expulsion assurée ....
L'enfer c'est bien les autres. Et besoin tout de même d'avoir des contacts ... Quelle vie de paradoxe !
Mais avec l'âge, cela s'arrange, la vie spirituelle se développe et le chemin vers le monastère se dessine ! Ça c'est chouette. Alors patience ....
Étincelle du soir- Messages : 2
Date d'inscription : 08/05/2020
Re: De la difficulté à être en groupe
Aaah, le groupe... J'ai cherché son approbation et son intégration quand cela me faisait souffrir d'être seule.
Aujourd'hui, je le fuis, non pas que le sentiment de solitude s'en est attenué ( enfin si, un peu, le bénéfice de ne plus être une adolescente ), mais c'est un " concept ", le " groupe social ", le " cercle d'amis ", qui me dépasse, en fait.
Non pas que je ne comprenne pas les bénéfices logiques d'une vie sociale " entourée ", mais j'ai toujours trouvé cela malaisant pour plusieurs raisons :
- Comme dit dans plusieurs commentaires, les convenances sociales. Il faut " convenir " au groupe, non pas aux personnes, qui sont bien plus importantes, mais bien à l'image que celiu-ici renvoit à la société. Tu auras beau t'entendre et apprécier tout le monde, si tu déclares ne regarder qu'ARTE à la télé alors que tout le monde se marrent devant le dernier épisodes des Marseillais...Tu ne peux pas rentrer dans ce groupe car personne ne se marre sur les dernières interprétations de l'Odysée d'Homère bref... Tu dois correspondre à une image donnée, et ça craint.
- L'effet de groupe. Je sais pas si je dois détailler, j'imagine que ça parle de lui même. Pris dans la masse, on est stimulé, on agit mais on réfléchit pas. " Les potes trouvent ça drôle alors je le fais, même si c'est débile. " Quitte à faire même des trucs dangereux et débiles. ( Lynchages de masses etc...)
- Qui dit intégration, dit exclusion.
- Les rapports de domination qu'il peut y avoir, implicite ou non. Quand ils sont " normaux " ( subordination, hiérarchie... ) ok, mais même dans un groupe de pote, peuvent se dérouler ( sous mes yeux ébahis, c'est étranger à ma vision de l'amitié ) des compétitions internes : Qui sera la fille qui s'entendra mieux avec le beau gosse ? Qui fera rire le plus de personnes ? Qui attirera l'attention plus que tout le monde ? Qui aura la plus grande gueule qui lui permettra de décréter qu'il a la plus longue ?
Ce balet incessant de recherche d'attention à tout prix me sidère.
Et je constate avec sourire que comme beaucoup d'entre vous, si jamais je me retrouve dans cette situation, je joue la " sociologue " : j'écoute au possible tout ce qui se dit, d'apprendre le plus possible de la moindre information intéressante qui rejaillira par miracle, j'analyse les rapports qu'ont les gens entre eux. Je m'imagine quelles sont leurs idées politiques ( enfin, supposition ), leurs opinions sur certains sujets... Et si le sujet est lancé, si je m'étais trompé ou non
Evidemment, ça dépend du groupe. Là je prends le cas de " base " sans vouloir mépriser quiquesoit.
Puis bon, n'est-ce pas avec le " groupe " qu'on a défini ce qui était normal et ce qui ne l'était pas ? Tout ce qui extérieur ou ne correspond pas aux critères, c'est l'étranger, la différence...
Aujourd'hui, je le fuis, non pas que le sentiment de solitude s'en est attenué ( enfin si, un peu, le bénéfice de ne plus être une adolescente ), mais c'est un " concept ", le " groupe social ", le " cercle d'amis ", qui me dépasse, en fait.
Non pas que je ne comprenne pas les bénéfices logiques d'une vie sociale " entourée ", mais j'ai toujours trouvé cela malaisant pour plusieurs raisons :
- Comme dit dans plusieurs commentaires, les convenances sociales. Il faut " convenir " au groupe, non pas aux personnes, qui sont bien plus importantes, mais bien à l'image que celiu-ici renvoit à la société. Tu auras beau t'entendre et apprécier tout le monde, si tu déclares ne regarder qu'ARTE à la télé alors que tout le monde se marrent devant le dernier épisodes des Marseillais...Tu ne peux pas rentrer dans ce groupe car personne ne se marre sur les dernières interprétations de l'Odysée d'Homère bref... Tu dois correspondre à une image donnée, et ça craint.
- L'effet de groupe. Je sais pas si je dois détailler, j'imagine que ça parle de lui même. Pris dans la masse, on est stimulé, on agit mais on réfléchit pas. " Les potes trouvent ça drôle alors je le fais, même si c'est débile. " Quitte à faire même des trucs dangereux et débiles. ( Lynchages de masses etc...)
- Qui dit intégration, dit exclusion.
- Les rapports de domination qu'il peut y avoir, implicite ou non. Quand ils sont " normaux " ( subordination, hiérarchie... ) ok, mais même dans un groupe de pote, peuvent se dérouler ( sous mes yeux ébahis, c'est étranger à ma vision de l'amitié ) des compétitions internes : Qui sera la fille qui s'entendra mieux avec le beau gosse ? Qui fera rire le plus de personnes ? Qui attirera l'attention plus que tout le monde ? Qui aura la plus grande gueule qui lui permettra de décréter qu'il a la plus longue ?
Ce balet incessant de recherche d'attention à tout prix me sidère.
Et je constate avec sourire que comme beaucoup d'entre vous, si jamais je me retrouve dans cette situation, je joue la " sociologue " : j'écoute au possible tout ce qui se dit, d'apprendre le plus possible de la moindre information intéressante qui rejaillira par miracle, j'analyse les rapports qu'ont les gens entre eux. Je m'imagine quelles sont leurs idées politiques ( enfin, supposition ), leurs opinions sur certains sujets... Et si le sujet est lancé, si je m'étais trompé ou non
Evidemment, ça dépend du groupe. Là je prends le cas de " base " sans vouloir mépriser quiquesoit.
Puis bon, n'est-ce pas avec le " groupe " qu'on a défini ce qui était normal et ce qui ne l'était pas ? Tout ce qui extérieur ou ne correspond pas aux critères, c'est l'étranger, la différence...
toutestpossible- Messages : 143
Date d'inscription : 23/06/2020
Age : 31
Re: De la difficulté à être en groupe
Hélas. Pour moi aussi très difficile d'être en groupe, je m'y ennuie, j'attends l'heure du départ. Y compris aux fêtes de famille, que tout le reste de la famille affectionne.
Et d'une manière générale difficile de me plier aux exigences de la vie sociale, y compris professionnellement.
Et d'une manière générale difficile de me plier aux exigences de la vie sociale, y compris professionnellement.
Pixelibre- Messages : 7
Date d'inscription : 27/06/2021
Re: De la difficulté à être en groupe
Le problème des groupes, c'est que les gens se connaissent souvent depuis un moment, donc c'est pas évident de s'y intégrer.
Dans ces conditions, il est difficile voire impossible de créer un lien affectif, et donc ça n'a aucun intérêt. Encore plus si les centres d'intérêt ne sont pas les mêmes.
Si en plus on est introverti, n'en parlons pas.
Dans ces conditions, il est difficile voire impossible de créer un lien affectif, et donc ça n'a aucun intérêt. Encore plus si les centres d'intérêt ne sont pas les mêmes.
Si en plus on est introverti, n'en parlons pas.
Pureté- Messages : 892
Date d'inscription : 25/09/2016
Re: De la difficulté à être en groupe
J'ai toujours rêvé de faire partie d'un groupe, depuis toute petite. mais tenue isolée par ma famille.
Plus grande, étant introvertie, et ayant besoin de pouvoir créer des liens de qualité, je les ai plutôt évités, tout en continuant de rêver d'avoir mon groupe de copains. De faire partie de quelque chose.
En fait, je créais des liens avec des personnes qui m'emmenaient dans leur groupe. Une fois ça a bien marché, durant un an et demi, ça m'a couté mes exams lol puis dislocation du groupe, que j'ai moyennement bien vécu.
Par la suite, donc, j'ai été la pièce rapportée dans les soirées que je préférais pourtant éviter, mais on ne peut pas toujours dire non.
Je n'aime pas ces soirées pleines de bruit et d'alcool, je n'en vois pas l'intérêt.
Puis onvieillit grandit, et on croise d'autres personnes avec qui ça colle plus. Merci ZC pour ça. On s'est créé un groupe de copains, on a passé quelques moments cools IRL.
Mais bon, comme toute bonne chose a une fin, ça c'est dépiauté avec le temps, et également les histoires.
C'est ça le souci des groupes, ce sont les possibles histoires. Et les histoires d'amour/de cul si groupe mixte.
Les rares fois où ça marche, j'ai l'impression d'appartenir à l'humanité, et ne plus être isolée rejetée. C'est très agréable.
Je sais que ça ne peut pas être un quotidien, pour le coup, les engueulades arriveraient probablement rapidement, mais si c'était régulier, pour me ressourcer, ce serait cool.
Plus grande, étant introvertie, et ayant besoin de pouvoir créer des liens de qualité, je les ai plutôt évités, tout en continuant de rêver d'avoir mon groupe de copains. De faire partie de quelque chose.
En fait, je créais des liens avec des personnes qui m'emmenaient dans leur groupe. Une fois ça a bien marché, durant un an et demi, ça m'a couté mes exams lol puis dislocation du groupe, que j'ai moyennement bien vécu.
Par la suite, donc, j'ai été la pièce rapportée dans les soirées que je préférais pourtant éviter, mais on ne peut pas toujours dire non.
Je n'aime pas ces soirées pleines de bruit et d'alcool, je n'en vois pas l'intérêt.
Puis on
Mais bon, comme toute bonne chose a une fin, ça c'est dépiauté avec le temps, et également les histoires.
C'est ça le souci des groupes, ce sont les possibles histoires. Et les histoires d'amour/de cul si groupe mixte.
Les rares fois où ça marche, j'ai l'impression d'appartenir à l'humanité, et ne plus être isolée rejetée. C'est très agréable.
Je sais que ça ne peut pas être un quotidien, pour le coup, les engueulades arriveraient probablement rapidement, mais si c'était régulier, pour me ressourcer, ce serait cool.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: De la difficulté à être en groupe
Si le groupe est aliénant par nature, si il bride la pensée par besoin de cohésion, ce serait logique que les surdouingues s'en méfient.
Donc je me demande dans quelle mesure je ne suis pas normal à être sociophobe, tout compte fait.^^
Ha ben tiens justement.
Donc je me demande dans quelle mesure je ne suis pas normal à être sociophobe, tout compte fait.^^
Ha ben tiens justement.
Pabanal- Messages : 4647
Date d'inscription : 21/10/2017
Age : 67
Localisation : Juste à côté de chez moi
Re: De la difficulté à être en groupe
Le reste de ton intervention est digne d'être mentionnée, mais est éclipsé par ce trait de génie. Je suis un surdouingue. J'adore ce mot. Je te le prend, je te le vole, et je ne te le rends pas.Pabanal a écrit:les surdouingues
RonaldMcDonald- Messages : 10107
Date d'inscription : 15/01/2019
Age : 48
Localisation : loin de chez moi, dans un petit coin de paradis
Re: De la difficulté à être en groupe
Qui veut entrainer une équipe de foot de surdoués ?
Faire partie d’un groupe, serait-ce seulement d’un groupe de copains avec qui papoter ?
Le but d’un groupe, n’est-ce pas justement de relier au-delà des différences, d’ajouter des qualités pour parvenir à un but ?
Alors, quel buts pour quels groupes ?
Faire partie d’un groupe, serait-ce seulement d’un groupe de copains avec qui papoter ?
Le but d’un groupe, n’est-ce pas justement de relier au-delà des différences, d’ajouter des qualités pour parvenir à un but ?
Alors, quel buts pour quels groupes ?
Re: De la difficulté à être en groupe
- Spoiler:
- RonaldMcDonald a écrit:
Le reste de ton intervention est digne d'être mentionnée, mais est éclipsé par ce trait de génie. Je suis un surdouingue. J'adore ce mot. Je te le prend, je te le vole, et je ne te le rends pas.Pabanal a écrit:les surdouingues
Trop tard c'est copywrighté, j'envoie un huissier.
Pabanal- Messages : 4647
Date d'inscription : 21/10/2017
Age : 67
Localisation : Juste à côté de chez moi
Re: De la difficulté à être en groupe
hohoho!
on dirait bibo qu'il faille savoir qu'elles sont vaux besoins fondamentaux,
car si vous souhaitez vous conformez pour faire comme les autres ,vous
déchanterez vraisemblablement, d'autant plus si vous êtes un solitaire un
vrais ... c'est à creusé, moi j'aime pas les groupes, 3 à 4 personnes pas
plus en me comptant moi hein ...... et pas trop longtemps! .
il faut trouver sa formule
moi je socialise peux, d'aprés notre science je serais ASPERGER HPI,
bonen malan je discute superficiellement avec les gens,de la légèreté ,
je m'en sert, mais 5 mn et je me casse, j'ai ma dose de socialisation, je
court presque pas aprés l'humain, plus auprés des animaux ou oiseaux
avec mes jumelle ^^; je préfère la profondeur mais force de constaté
que c'est pas avec tout le monde. Je me pourfend pas en modèle ça
non, la diversité de cas est une richesse !, j'offre une vision revisité
d'un autre chose.
vive l'autonomie!!
on dirait bibo qu'il faille savoir qu'elles sont vaux besoins fondamentaux,
car si vous souhaitez vous conformez pour faire comme les autres ,vous
déchanterez vraisemblablement, d'autant plus si vous êtes un solitaire un
vrais ... c'est à creusé, moi j'aime pas les groupes, 3 à 4 personnes pas
plus en me comptant moi hein ...... et pas trop longtemps! .
il faut trouver sa formule
moi je socialise peux, d'aprés notre science je serais ASPERGER HPI,
bonen malan je discute superficiellement avec les gens,de la légèreté ,
je m'en sert, mais 5 mn et je me casse, j'ai ma dose de socialisation, je
court presque pas aprés l'humain, plus auprés des animaux ou oiseaux
avec mes jumelle ^^; je préfère la profondeur mais force de constaté
que c'est pas avec tout le monde. Je me pourfend pas en modèle ça
non, la diversité de cas est une richesse !, j'offre une vision revisité
d'un autre chose.
vive l'autonomie!!
scorames- Messages : 201
Date d'inscription : 22/12/2019
Re: De la difficulté à être en groupe
Idem... mais je le vis mal... soit je superficielise, mais au bout d'1/4 d'heure je perds patience et je m'en vais, soit je me laisse aller et plus personne me suis ^^! J'en rigole mais c'est un gros problème...
Skyhell- Messages : 16
Date d'inscription : 14/10/2021
Re: De la difficulté à être en groupe
Vaut mieux quelque chose qui fédère et cimente le temps de la session ou de la soirée, et cela doit démarrer assez rapidement. Quelque chose de plus grand que soi, qui dépasse ou est susceptible de nous dépasser. Donc c'est une question très conditionnelle tout cela, avant l'ouverture minimale permettant de se découvrir autrement : parce que c'est ici que commence l'intérêt de groupe en général, même s'il y a toujours des exceptions.
Quelque part c'est bon signe de se barrer rapidement, cela montre qu'on pense encore à soi-même si cela est décevant et que ce n'est pas le but. Les conditions dans lesquelles on vit à peu près tranquillement sont donc idéales par rapport à tout ce qu'il faut envisager et gérer en groupe. Ce n'est pas très altruiste mais il vaut mieux venir plutôt intéressé(e). Quelque chose que tout le monde aime ? Possible mais relativement intime ou alors très neuro-typiquement courant. C'est donc d'autant plus facile à trouver qu'il y a de personnes courantes participantes (les unes veulent rester, les autres veulent se barrer en courant ).
Quelque part c'est bon signe de se barrer rapidement, cela montre qu'on pense encore à soi-même si cela est décevant et que ce n'est pas le but. Les conditions dans lesquelles on vit à peu près tranquillement sont donc idéales par rapport à tout ce qu'il faut envisager et gérer en groupe. Ce n'est pas très altruiste mais il vaut mieux venir plutôt intéressé(e). Quelque chose que tout le monde aime ? Possible mais relativement intime ou alors très neuro-typiquement courant. C'est donc d'autant plus facile à trouver qu'il y a de personnes courantes participantes (les unes veulent rester, les autres veulent se barrer en courant ).
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Pas mal je suis très sociable et plutôt apprécié même. Je blague souvent et suis de nature positif, sauf que... Je m'ennuie terriblement. La différence se retrouve dans la curiosité. Une fois quelques banalités passées, je m'intéresse à l'autre, pose plein de questions mais bon, je m'arrête avec de rendre les gens mal à l'aise... C'est dommage
Skyhell- Messages : 16
Date d'inscription : 14/10/2021
Re: De la difficulté à être en groupe
La difficulté pour l'intellectuel supérieur est d'arriver à lire ou de penser à lire le non verbal, en arrivant à l'interpréter, notamment en cas de malaise grandissant de l'autre ou manifeste.
Celle de l'émotionnel est de s'ouvrir assez pour arriver à entendre l'autre pendant l'écoute. Non pas non verbalement, du moins pas exclusivement mais à partir de ce qui est explicitement compréhensible verbalement.
A partir de là, cela ne suffit pas. Car une fois l'autre géré ou intégré, il faut aussi penser à soi. C'est là qu'intervient un lien à établir mais il faut le bon moment, du moins pas le mauvais s'il y a normo pensance disponible. Je dis le bon car la tension hp est explicite et implicite à la fois quand un groupe de réunion ou de partage est assez important. Le plus délicat est de trouver le bon lien avec une certaine distance afin de ne pas vampiriser débat ou affinité éventuel en cours ou autour de soi. Sinon, l'os à ronger n'est pas loin, surtout pour un hp qui ne peut, contrairement au np, basculer de suite s'il ne suit pas ou s'il a juste une idée vague sur telle ou telle question.
L'idéal est un lien avec intractivité comme garantie ou naturelle. Mais cet idéal nécessite de savoir bien animer ou avoir l'habitude de s'adapter en fonction de la psychologie en face.
L'ennui résulte donc assez souvent d'un manque d'attention ou de distance, couplé avec une démotivation engendrée par ce qui est suggéré ou ressenti.
La curiosité est un lien vraiment social et sociable ! Mais c'est vrai qu'au sein d'un groupe composé de sensibles ou d'intellectuels, même des normo n'ayant pas l'habitude de sortir en soirée pour discuter ou rencontrer des personnes non habituelles, c'est effectivement le revers de la médaille culotée voire couillue.
Celle de l'émotionnel est de s'ouvrir assez pour arriver à entendre l'autre pendant l'écoute. Non pas non verbalement, du moins pas exclusivement mais à partir de ce qui est explicitement compréhensible verbalement.
A partir de là, cela ne suffit pas. Car une fois l'autre géré ou intégré, il faut aussi penser à soi. C'est là qu'intervient un lien à établir mais il faut le bon moment, du moins pas le mauvais s'il y a normo pensance disponible. Je dis le bon car la tension hp est explicite et implicite à la fois quand un groupe de réunion ou de partage est assez important. Le plus délicat est de trouver le bon lien avec une certaine distance afin de ne pas vampiriser débat ou affinité éventuel en cours ou autour de soi. Sinon, l'os à ronger n'est pas loin, surtout pour un hp qui ne peut, contrairement au np, basculer de suite s'il ne suit pas ou s'il a juste une idée vague sur telle ou telle question.
L'idéal est un lien avec intractivité comme garantie ou naturelle. Mais cet idéal nécessite de savoir bien animer ou avoir l'habitude de s'adapter en fonction de la psychologie en face.
L'ennui résulte donc assez souvent d'un manque d'attention ou de distance, couplé avec une démotivation engendrée par ce qui est suggéré ou ressenti.
La curiosité est un lien vraiment social et sociable ! Mais c'est vrai qu'au sein d'un groupe composé de sensibles ou d'intellectuels, même des normo n'ayant pas l'habitude de sortir en soirée pour discuter ou rencontrer des personnes non habituelles, c'est effectivement le revers de la médaille culotée voire couillue.
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Sensibilité et intellectualisme sont deux facettes opposées et symétriques qui anime nos personnalités. Combient d'intellectuels se font avoir par des motifs sensibles inconscients s'ils ne s'interrogent pas sur l'origine de leurs propre pensés. le bute n'est pas de le renier au contraire ! Mais juste d'en être conscient, pour être alors plus libre d'une certaine façon comme le dit Spinoza... Bref, opposé mais pas ennemis
Mon décalage avec la plupart des gens vient surtout de l'angle interprétatif des événements et de la focale qui permet de les relier entre eux. Je ne sais pas suis je suis claire ?^^ disons que plus les choses sont complexes et plus elles me paraissent, claires, evidentes et simple, à condition de les observer avec la bonne paire de lunettes. Je pourrais décrire ces lunettes comme aillant au moins 3 fonctions. La première consiste à ne pas se poser de questions qui n'ont pas de sens, la deuxième de capter les invariances, la 3eme permet de se laisser surprendre ^^.
Rebref ! Je pourrais parler comme ça des heures en passant d'un arbre à l'autre avec ces liens que sont les invariances justement... cette réponse, ce texto, vous donne une petite idée du style de conversation qui me plaît, mais qui bien souvent n'intéresse que ceux qui l'aime aussi... c'est à dire pas beaucoup de monde ^^' à moi de mieux m'entourer...
Mon décalage avec la plupart des gens vient surtout de l'angle interprétatif des événements et de la focale qui permet de les relier entre eux. Je ne sais pas suis je suis claire ?^^ disons que plus les choses sont complexes et plus elles me paraissent, claires, evidentes et simple, à condition de les observer avec la bonne paire de lunettes. Je pourrais décrire ces lunettes comme aillant au moins 3 fonctions. La première consiste à ne pas se poser de questions qui n'ont pas de sens, la deuxième de capter les invariances, la 3eme permet de se laisser surprendre ^^.
Rebref ! Je pourrais parler comme ça des heures en passant d'un arbre à l'autre avec ces liens que sont les invariances justement... cette réponse, ce texto, vous donne une petite idée du style de conversation qui me plaît, mais qui bien souvent n'intéresse que ceux qui l'aime aussi... c'est à dire pas beaucoup de monde ^^' à moi de mieux m'entourer...
Skyhell- Messages : 16
Date d'inscription : 14/10/2021
Re: De la difficulté à être en groupe
Métamorphe même en texto... Donc oui pas beaucoup de monde.
Je dirais même que dans les contextes où on est appréciés par plus qu'on ne pensait, le coup d'boule, du latin coudboulus qui signifie s'casser la goule (au 21-ième siècle se casser tout court) est utile...
Mais qui intéresse aussi ceux qui peuvent nous aimer sincèrement, disons sans faux semblants car la vrai-semblance est inévitable, même en mode socialement convenu ou foutage de tronche.
Aujourd'hui, j'étais en pleine explication de ce qui se passait dernièrement et comment je le gérais, notamment en tant qu'anti-injection que j'éjecte d'office, mais après recherches, croisements et réflexions... et non que j'accepte de suite sans conclusion autre de ce que j'aurais entendu à la radio ou autre mainstream. Et d'un coup quelqu'un a fait péter un gros coeur, genre smiley que personne ne peut louper, y compris celles et ceux qui ne regardent que les images pour visionner un fil en quelques secondes... Mais qui m'a surpris comme ça ? Je vais y penser toute cette nuit, juste parce que si tu peux bien cerner rapidement chaque intervenant, même approximativement... un smiley unique, c'est tout simplement impossible ! Comme quoi les groupes de discussions, c'est aussi quelque chose, même si cela part d'un intérêt a priori commun pour le sujet ou thématique de discussion.
J'ai mon idée cependant car faut pas déconner j'suis quand même assez éveillé depuis quelques années, pour ne pas dire sévèrement atteint
Savoir s'entourer est effectivement important... sous réserve d'avoir assez de monde à la hauteur ^^
Je dirais même que dans les contextes où on est appréciés par plus qu'on ne pensait, le coup d'boule, du latin coudboulus qui signifie s'casser la goule (au 21-ième siècle se casser tout court) est utile...
Mais qui intéresse aussi ceux qui peuvent nous aimer sincèrement, disons sans faux semblants car la vrai-semblance est inévitable, même en mode socialement convenu ou foutage de tronche.
Aujourd'hui, j'étais en pleine explication de ce qui se passait dernièrement et comment je le gérais, notamment en tant qu'anti-injection que j'éjecte d'office, mais après recherches, croisements et réflexions... et non que j'accepte de suite sans conclusion autre de ce que j'aurais entendu à la radio ou autre mainstream. Et d'un coup quelqu'un a fait péter un gros coeur, genre smiley que personne ne peut louper, y compris celles et ceux qui ne regardent que les images pour visionner un fil en quelques secondes... Mais qui m'a surpris comme ça ? Je vais y penser toute cette nuit, juste parce que si tu peux bien cerner rapidement chaque intervenant, même approximativement... un smiley unique, c'est tout simplement impossible ! Comme quoi les groupes de discussions, c'est aussi quelque chose, même si cela part d'un intérêt a priori commun pour le sujet ou thématique de discussion.
J'ai mon idée cependant car faut pas déconner j'suis quand même assez éveillé depuis quelques années, pour ne pas dire sévèrement atteint
Savoir s'entourer est effectivement important... sous réserve d'avoir assez de monde à la hauteur ^^
Invité- Invité
Re: De la difficulté à être en groupe
Plus je suis en groupe, plus je veux être seul, plus je suis seul plus j'ai besoin d'être en groupe.
percuslam- Messages : 6
Date d'inscription : 14/01/2022
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