L'axiome du début

Enfin jouer dans des films

Steven Spielberg est complaisant

Sauf peut-être dans son dernier film

Le président ukrainien est provocateur

Quand je dis que je suis Jésus franchement j'y crois quasiment

Ce qui me ferait dire par contre que Jésus n'avait pas toute sa tête

Mais bon ça reste une hypothèse

Je n'ai pour l'instant pas la preuve du contraire

Enfin allez savoir

Il y a tellement d'intox de nos jours.

Les gens qui n'ont pas le cœur trop pur devraient mieux se tenir éloignés de moi

Qu'ils laissent les autres s'approcher de moi

Qu'ils prennent le temps de changer en profitant d'une plus grande distance me séparant d'eux

Mais surtout qu'ils prennent soin de changer

Car à un moment donné ils n'auront plus le choix

Et le choc avec la pureté pourra alors être brutal

You never know.

Bien pour me faire pardonner d'avoir jugé avec un style expéditif les films de Steven Spielberg

Sans appuyer sur les aspects positifs

Je vais développer une critique un petit peu plus détaillée

Tout d'abord je trouve que dans son dernier film il a fait preuve de courage

Et la dédicace de West Side Story, "to my Dad", avait déjà quelque chose de personnel, en même temps j'en sais rien il met peut-être ça à la fin du générique de tous ses films

Je trouve ce dernier film maladroit et intéressant

Fabelsman

The Fabelmans

Et si ce film est maladroit d'un réalisateur glorieux avec une certaine expérience

On comprend que le sujet put être difficile à aborder

Le thème du père, que l'on retrouve [pour les films que j'ai vus] aussi abordé dans indiana Jones et la dernière croisade et attrape-moi si tu peux

Même si ce n'est pas exactement la même figure paternelle

Dur pour un fiston de décrire son père de la sorte

Si ce film ne semble régler la question, il rompt le silence

Et c'est acte de force plus que d'analyse

Une self-violence qu'il m'a semblé en tout cas percevoir

Plus dans les relations de camarade de l'adolescent

Plus que dans le traitement de la situation paternelle

Qui est justement cinématographiquement parlant traitée justement à travers la caméra

[deux fois justement]

Le train qui sort de l'écran et qui est dans le film en tout cas l'élément forgeant la vocation du jeune garçon

Ou en tout cas déclenchant

Est le troisième aspect de ce film un peu en trois couleurs

Qui est quand même un élément violent le train qui déraille

Et le gamin destroy son train chez lui pour reproduire la scène

Donc il y a une transmission de violence

Mais qui est aussi la paternité cinématographique d'un Steven Spielberg qui n'a jamais caché ses influences

Le train, la force paternelle qui déraille

Et il y a cette fascination qui est presque un peu flippante du gamin

Avec une esthétique limite de film d'épouvante quand on voit le regard du gamin immobile

Mais qui peut-être tout simplement une référence à Orson Welles

Ou à des films du même genre

Enfin j'imagine qu'il était fan d'Orson Welles comme tous les réalisateurs

Mais la tête du gamin fait quand même bien flipper